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Question basique Finale

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deszo
Bonjour,


Il y a environ 4 ans une connaissance à moi avait pu lire avec son
logiciel Finale une partition que j'avais faite avec Logic Audio. Avec
certes des bizarreries dans la mise en page ou peut-être même dans
l'écriture rythmique (me souviens plus), m'enfin bon il avait pu
ouvrir le fichier.

En y repensant ça m'étonne : quand je vois qu'on insiste sur
l'éventuelle possibilité de lire des fichiers Encore avec Finale, ou
Finale avec Sibelius, etc, bref des transferts éditeur-éditeur, ça me
parait implicite qu'il ne faut pas trop penser à un transfert
séquenceur-éditeur.

Cette possibilité n'existait-elle qu'avec des versions antérieures des
deux softs, ou devait-il y avoir une quelconque manip pour y arriver,
ou enfin pour poser LA question basique : quel type de fichier Finale
2004 peut-il lire ?

10 réponses

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ploµFy
Après mure réflexion, Alain Naigeon a écrit :
Mauvais ?? Tu veux dire musical ? Un fichier MIDI n'est pas
fait pour éditer, il est fait pour être écouté.



tout a fait d'accord. Je repondais simplement a la question de départ :

Peut-on lire les fichier Logic avec Finale ?





à laquelle j'avais répondu oui en passant par le format MIDI

Qu'il puisse servir
à l'occasion de "langage" commun, à défaut d'un autre



Exactemnt le but de mon intervention

(vu
que NIFF est mort-né), d'accord, mais AMHA ce n'est pas son
but. La preuve, toutes les commandes MIDI dont la plupart
sont invisibles sur du papier.



NIFF, connais pas... Si tu veux bien m'en dire plus. Sion, ok pour les
commaqnde MIDI, evidemment que tout n'est pas trancriptible (tiens,
bizarre ce mot, l'aurais-je invente?) sur papier.

On m'a déjà dit que mes fichiers MIDI étaient pour la plupart
inutilisables pour faire une partition (c'est bizare, quand je les
relis ça donne queque chose d'assez correct) - mais, à la limite,
j'espère que c'est le cas. Aucune interprétation humaine agréable
ne donnerait de partition correcte non plus... Le MIDI travaillé se
veut une ébauche, un canevas d'interprétation. L'utilisation à
d'autres fins se fait aux risques et périls



je ne sais pas si tu as FInale 2004, mais voila la preuve du contraire
mon cher Alain :

ton fichier midi de Pierre Certon repiqué sur ton site :
http://www.medieval.org/emfaq/anaigeon/mes_sons/certbour.mid
donne cela en l'ouvrant avec Finale :
http://www.musiphil.org/partitions/certbour.MUS

je n'y ai rien corrigé. Apres un coup d'oeil rapide, il y a l'armure a
changer et deux correction a l'alto mesures 3 et 6, supprimer la
derniere mesure vide et terminer par la mise en page.

Pour te convaincre, voila un autre fichier trouve sur le net avec des
chantgement d'armure, des appogiature et autres ornements et meme des
changements de tempo (Haydn; trio avec piano n°23)

http://www.musiphil.org/partitions/bjogpron.mid
http://www.musiphil.org/partitions/bjogpron.MUS

Evidement, je n'y ai apporté aucune correction. Et pourtant , il n'y a
pas grand chose a remodeler....

--
ploµFy
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Alain Naigeon
"Gerald" a écrit dans le message news:
1g78j1r.1n82lc4f2vzikN%

Alain Naigeon wrote:

> Mauvais ?? Tu veux dire musical ? Un fichier MIDI n'est pas
> fait pour éditer, il est fait pour être écouté. Qu'il puisse servir
> à l'occasion de "langage" commun, à défaut d'un autre (vu
> que NIFF est mort-né), d'accord, mais AMHA ce n'est pas son
> but. La preuve, toutes les commandes MIDI dont la plupart
> sont invisibles sur du papier.

Ce que tu dis est ambigu, car le terme "éditer" peut être compris de
différentes façons. Tu parles, ici, d'un bout à l'autre de ta contrib,
d'édition de partition sur papier, et tu as alors raison, mais un
fichier MIDI est bien en réalité fait pour être "édité" ...au sens de
"visualisation et traitement d'une liste d'évènements informatiques", ce
qui est très différent.



D'accord, j'employais bien éditer dans le sens français. En Anglais
ça signifie par contre, modifier, tenir à jour, etc.

Deux mots pour finir :
1/ En plus de quinze ans et plus de 5000 pages gravées et vendues, je
n'ai jamais utilisé Finale (ou HB) qu'en mode de saisie
"dactylographique" et je n'ai jamais cherché ni à lui faire *lire* un
fichier MIDI (à mon avis improductif) ni à réaliser une *écoute* du
résultat (inintéressante et non musicale). On est, avec les partitions
"papier", dans l'univers solfégique, qui n'a rien à voir avec le MIDI
(sauf la saisie des hauteurs de notes et encore...), mais qui a à voir
par contre avec le monde des arts graphiques, de la typographie et de
l'édition (livres)... et de la tradition dans une certaine mesure.



Ok, je suppose que tu as par ailleurs les moyens et le temps d'utiliser
d'autres outils, spécialisés MIDI.
Ceci dit, qualifier les "éditeurs" [au sens anglais] d'antiquités me
paraît un peu exagéré : grouper ou lier des notes, par exemple, entre
les mains gauche et droite d'une partition de piano n'est pas trivial
à programmer... le monde du graphisme est très sophistiqué, d'ailleurs,
du point de vue programmation, je t'assure que c'est bien plus balèze
que de lire du MIDI dont les commandes sont assez simples, en fin de
compte.

Gérald (just call me "la mémoire du MIDI") :-)



Et pourquoi pas le "démon de MIDI" ? ;-)

--

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Alain Naigeon - - Strasbourg, France
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Alain Naigeon
"ploµFy" a écrit dans
le message news:

Après mure réflexion, Alain Naigeon a écrit :
> Mauvais ?? Tu veux dire musical ? Un fichier MIDI n'est pas
> fait pour éditer, il est fait pour être écouté.

tout a fait d'accord. Je repondais simplement a la question de départ :

>> Peut-on lire les fichier Logic avec Finale ?

à laquelle j'avais répondu oui en passant par le format MIDI

> Qu'il puisse servir
> à l'occasion de "langage" commun, à défaut d'un autre

Exactemnt le but de mon intervention




On doit être spécialistes du quiproquo, tous les deux !

NIFF, connais pas... Si tu veux bien m'en dire plus.



Ben c'était un projet de format de fichier normalisé pour
l'enregistrement de partitions. Quelques éditeurs l'ont
pris en compte, mais ils se font de plus en plus rares car
cela n'a pas pris, je ne sais pourquoi.


> On m'a déjà dit que mes fichiers MIDI étaient pour la plupart
> inutilisables pour faire une partition (c'est bizare, quand je les
> relis ça donne queque chose d'assez correct) - mais, à la limite,
> j'espère que c'est le cas. Aucune interprétation humaine agréable
> ne donnerait de partition correcte non plus... Le MIDI travaillé se
> veut une ébauche, un canevas d'interprétation. L'utilisation à
> d'autres fins se fait aux risques et périls

je ne sais pas si tu as FInale 2004, mais voila la preuve du contraire
mon cher Alain :



Je n'ai pas Finale :-( Mais je te crois sur parole. Pour la dernière
mesure
vide, arghh, si tu savais comme j'ai ramé pour la créer ! C'est tout bête,
mais Encore termine abruptement un fichier MIDI en sucrant la fin si elle
est vide, donc il faut ruser.
C'est une copine-net (R) américaine qui m'avait dit que mes fichiers
MIDI était inutisables. A sa décharge, elle s'obstine à travailler sous
Linux ;-) [pas taper, merci !] A ce propos, clin d'oeil pour Gérald :
à quand un simulateur Mac sous Linux ? Mais peut-être que ça existe,
après tout !

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Alain Naigeon - - Strasbourg, France
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Bernard Meylan
"Alain Naigeon" a écrit dans le message de
news:3ffde9d0$0$24049$
le monde du graphisme est très sophistiqué, d'ailleurs,
du point de vue programmation, je t'assure que c'est bien plus balèze
que de lire du MIDI dont les commandes sont assez simples, en fin de
compte.




Justement, TROP simples, voire simplistes pour qu'on puisse réellement les
utiliser sur un logiciel de partitions à qui il faut non seulement sussurer
à l'oreille -s'il n'a pas l'opus à l'oreille...- (désolé, ça me démangeait
trop!) la hauteur des notes mais aussi leur place précise dans la mesure. Je
vous met au défi de commencer une pièce musicale avec une levée (une mesure
incomplète, p.ex. les 2 derniers temps d'une mesure à 4 temps), manip déjà
hautement glissante avec MIDI (voire impossible, mais là... je ne suis pas
sûr?) et de l'importer sous le logiciel de partition de votre choix, AUCUN
ne reconnaîtra cette manoeuvre pourtant banale en musique classique et
facile à faire directement sous ce logiciel; cette levée sera reconnue comme
étant le début d'une mesure et *toutes* les mesures de votre morceau seront
décalées d'autant de temps que compte votre levée. Ensuite, eh bien il vous
faudra tout corriger à la main et pour une pièce de moyenne durée, Gérald
pourra sans doute confirmer, c'est beaucoup de temps perdu!

Bernard
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Alain Naigeon
"Bernard Meylan" a écrit dans le message news:


Je
vous met au défi de commencer une pièce musicale avec une levée (une


mesure
incomplète, p.ex. les 2 derniers temps d'une mesure à 4 temps), manip déjà
hautement glissante avec MIDI (voire impossible, mais là... je ne suis pas
sûr?) et de l'importer sous le logiciel de partition de votre choix, AUCUN
ne reconnaîtra cette manoeuvre pourtant banale en musique classique



Ben... c'est pas tout à fait vrai sous Encore, du moins le problème
se révèle un peu autrement : par exemple en 4/4 je définis la première
mesure comme levée (upbeat), en la mettant à 1/4, et je n'entre
qu'une noire. Le 4/4 est affiché au début comme il se doit, mais il
est "bidon", en ce sens que, si je relis le fichier MIDI généré, la première
mesure est 1/4 et la suite à 4/4 - d'où l'énorme avantage d'éviter
la mise à jour manuelle douloureuse que vous évoquiez.
[à ce propos je m'étonne - en fulminant - que les éditeurs soient
incapables de décaler d'un certain nombre de temps ; je voudrais
même qu'ils gèrent les liaisons entre mesures, celles à créer, ou celles
à supprimer, en mettant à jour les valeurs. Oui c'est beaucoup demander,
m'enfin, quoi !!]
Je crois que la plupart des logiciels sont trop anciens dans leur
conception,
au départ ils ambitionnaient de ne faire que l'essentiel, et après, de
rustine
en rustine, ils ne s'en sortent plus. Et parmi les (assez) nouveaux,
certains,
effectivement continuent à être spécialisés "édition" ou presque, comme
Lime (qui a l'air pas mal du tout), ou alors se sont englués par... excès
d'ambition (Igor, programmé en Lisp! était truffé de bugs, notamment
pour la lecture MIDI, il y a quelques mois encore)

--

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Alain Naigeon - - Strasbourg, France
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Gerald
Alain Naigeon wrote:

à quand un simulateur Mac sous Linux ? Mais peut-être que ça existe,
après tout !



la bonne question est : pour quoi faire ?

Si c'est pour faire tourner un système mac sur hard PC, la réponse est
non : apple ne veut pas torpiller ses ventes de hardware, il restera
propriétaire.

Par contre Darwin tourne sur PC depuis longtemps, et NextStep aussi.

Et Linux tourne sur Mac (jusqu'au G4 et apparemment bientot G5) sans
problème.

Et X11 permet de faire tourner des applis du monde Linux mises en
compatibilité Darwin et d'accéder aux logiciels du monde libre.

Et la plupart des applis commerciales majeures sont aujourd'hui
bi-plateformes. Ne pas oublier que Microsoft soi-même était invité de
manière très longue et détaillée sur la scène de la Keynote à
SanFrancisco il y a quelques jours (pour les dernières versions d'Office
Mac).

Surtout Linux et MacOS X ont des champs d'action différents et
parfaitement respectables. Je pense que le portage du reste d'OSX sous
Linux coûterait infiniment plus cher qu'OSX lui-même. Rien que Quarz et
Aqua...

La démarche Linux est une démarche "alternative" non pas à l'économie de
marché mais carrément à la prééminence du fric sur le monde de la pensée
et de l'entraide. En ce sens, il a toute ma sympathie et je ne peux
qu'encourrager à l'utiliser dans les écoles, dans les associations, dans
les institutions publiques etc.

Malheureusement, pour le pauvre pékin embourbé dans la survie
économique, force est de devoir se choisir les outils de production les
plus adaptés. Quand on dispose de l'indépendance de choix, il arrive
qu'on choisisse Apple (et encore pas toujours). Souvent on n'a pas le
choix et on suit la majorité.

--
Gérald
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Gerald
Alain Naigeon wrote:

Ben... c'est pas tout à fait vrai sous Encore, du moins le problème
se révèle un peu autrement : par exemple en 4/4 je définis la première
mesure comme levée (upbeat), en la mettant à 1/4, et je n'entre
qu'une noire.



Là tu rentres "à la main" : tu n'as pas suivi ce que disait Bernard qui
parlait de l'improductivité de la lecture de fichiers MIDI par rapport à
la saisie note à note en fournissant un exemple parfaitement valable.

Rappelons que le principal problème, au delà de cette histoire de
relecture d'un fichier est le fait que les logiciels de gravure se
prennent pour des séquenceurs : ils veulent à tout prix "pouvoir" lire
en séquence MIDI ce qu'ils écrivent et la note n'est donc pour eux
qu'une représentation graphique d'un numéro de note MIDI dans une base
temporelle.

Or la gravure est une histoire *graphique* uniquement. L'informatique
aide évidemment dans les espacements, la gestion des conflits, la
distribution des mesures dans les systèmes, mais PAS dans une lecture
MIDI qui ne devrait être que secondaire voire inexistante.

Finalement réaliser un recueil de partitions n'a rien de différent
d'imprimer un roman : un manuscrit, quelqu'un pour en saisir le texte
(écrit ou musical) au kilomètre, quelqu'un pour en assurer la mise en
page en deux étapes : par un logiciel (HB Engraver) sachant qu'un do est
un do d'une part et qui doit disposer d'une "toolbox" sophistiquée pour
pouvoir personnaliser toutes les approches, les espacements, les
positions, et qui doit accepter toutes les polices de caractères,
incluant la possibilité de créer les siennes propres etc. et ensuite par
un logiciel exclusivement graphique (Illustrator) permettant de corriger
finement la mise en page et d'ajouter les éléments manquants (après
export avec trois niveaux de groupages (systèmes, portées, notes). En
littérature on utilisera un texteur et un grapheur suivis d'un logiciel
de mise en page aussi.

Les limites de HB en faisaient la grande force : quand on imposait un
décalage (une levée), il le conservait opiniâtrement quoi qu'on fasse
derrière. Il était con mais ne se mêlait jamais de vos affaires dans
votre dos. Vous vouliez 5 temps dans une mesure à 4/4, c'était votre
problème, pas le sien. Finale-usine-à-gaz est bien trop "intelligent",
mais constitue à mon avis un moindre mal. Berlioz serait plus dans
l'état d'esprit de HB dont il était quasi contemporain... mais reste
trop localisé et fragile dans sa diffusion.

De toutes façons la gravure est quasi-morte :
- le classique "vrai" vit sur son fonds déjà flashé et le réimprime.
- le classique "contemporain" se "dessine" au gré des idiosyncrasies
- la musique "business" s'écrit de moins en moins (rap, techno) et,
quand elle s'écrit, se fout des règles et se contente d'une sortie MIDI
du pire des séquenceurs pourri (voir les publications récentes).
- le prix de la page gravée a été divisé par 3 en dix ans au niveau des
éditeurs, ce qui ne permet même plus à ceux qui savent faire de prendre
le temps de "bien" faire.
- le marché des conservatoires et des concours de fin d'année est depuis
longtemps trusté par on-sait-qui qui fait son petit business dans son
coin.
- il n'y a plus personne pour s'intéresser de quelque manière que ce
soit à la "tradition" de la gravure française (dans ce qu'elle avait
d'original par rapport aux anglo-saxons), à sa place dans une continuité
historique des métiers de l'édition... c'est comme la typographie, c'est
quasi archéologique.
- laissons donc la place aux coréens (ça pas problèm', avec l'accent de
Michel Leeb) et drapons nous dans notre dignité (ou notre linceul).RIP.

--
Gérald
Avatar
ploµFy
Le 09/01/2004, Bernard Meylan a supposé :
Je vous met au défi de commencer une pièce musicale avec une levée (une
mesure incomplète, p.ex. les 2 derniers temps d'une mesure à 4 temps), manip
déjà hautement glissante avec MIDI (voire impossible, mais là... je ne suis
pas sûr?)



absbsolument, je confirme, bien que n'etant pas specialiste du midi, je
n'ai trouve a ce jour aucune solution pour prendre en compte une levée
sauf les deux suivantes ;
1) il suffit dans ton cas de commencer par une mesure a 2 temps puis de
continuer le reste du morceau a 4 tps
2) commencer la piece par 2tps de silence... (ce qui est plus juste
musicalement AMHA)

et de l'importer sous le logiciel de partition de votre choix, AUCUN
ne reconnaîtra cette manoeuvre pourtant banale en musique classique et
facile à faire directement sous ce logiciel; cette levée sera reconnue comme
étant le début d'une mesure et toutes les mesures de votre morceau seront
décalées d'autant de temps que compte votre levée. Ensuite, eh bien il vous
faudra tout corriger à la main et pour une pièce de moyenne durée, Gérald
pourra sans doute confirmer, c'est beaucoup de temps perdu!



Je crois rever.... corriger a la main ? Et le copier coller ? Tu crées
une nouvelle portee (ou plusieurs selon le cas) puis tu fais un simple
copier coller décalé (de 2 tps pour ton exemple). En tout cas pour
Finale ca fonctionne, sauf pour les partitions de grosses taille. Pour
les gros fichiers, il suffit de le decouper en plusieurs morceau. Je
pense que le probleme est du a une mauvaise gestion de la memoire (ou
un manque de memoire?)

--
ploµFy
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ploµFy
Alain Naigeon avait soumis l'idée :

On doit être spécialistes du quiproquo, tous les deux !



pour des musiciens, c pas balaise.... on devrait plutot etre en
harmonie. ;o)

--
ploµFy
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ploµFy
Alain Naigeon a écrit :
Ben... c'est pas tout à fait vrai sous Encore, du moins le problème
se révèle un peu autrement : par exemple en 4/4 je définis la première
mesure comme levée (upbeat), en la mettant à 1/4, et je n'entre
qu'une noire. Le 4/4 est affiché au début comme il se doit, mais il
est "bidon", en ce sens que, si je relis le fichier MIDI généré, la première
mesure est 1/4 et la suite à 4/4 - d'où l'énorme avantage d'éviter
la mise à jour manuelle douloureuse que vous évoquiez.



comme te le dit Gerald, tu rentres à la main. Ceci dit, Finale gere
tres bien la levée *Graphiquement* , mais en midi il transforme la
levee en mesure normale commencant par un silence, ce qui est tres
genant lorsque tu as des reprises. Il y a toujours quelques temps de
silences lors de l'execution au moment de la reprise (au debut aussi,
mais c'est moins genant).
La solution adoptée par Encore, je l'utilise justement dans ces cas,
mais elle ne me satisfait pas, puisque tous le monde sait que le
premier temps d'une mesure est un temps fort, alors qu'une levée n'est
justement pas un temps fort. Cela pose donc un grand dilemne. Mais peut
etre que quelqu'un qui utilise finale a trouve une autre solution ?
(peut etre est -t-il possible de faire une reprise sur n'importe quelle
temps de la mesure, ce qui arrangerait le probleme...

--
ploµFy
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