Il y a environ 4 ans une connaissance à moi avait pu lire avec son
logiciel Finale une partition que j'avais faite avec Logic Audio. Avec
certes des bizarreries dans la mise en page ou peut-être même dans
l'écriture rythmique (me souviens plus), m'enfin bon il avait pu
ouvrir le fichier.
En y repensant ça m'étonne : quand je vois qu'on insiste sur
l'éventuelle possibilité de lire des fichiers Encore avec Finale, ou
Finale avec Sibelius, etc, bref des transferts éditeur-éditeur, ça me
parait implicite qu'il ne faut pas trop penser à un transfert
séquenceur-éditeur.
Cette possibilité n'existait-elle qu'avec des versions antérieures des
deux softs, ou devait-il y avoir une quelconque manip pour y arriver,
ou enfin pour poser LA question basique : quel type de fichier Finale
2004 peut-il lire ?
Je te suis tout a fait, pour 2 fichiers. MAis l"un en MIDI, l'autre en audio avec de vrais interpretes. Alors la boucle est boucléee. Ceci dit, la vraie magie de l'interpretation, c'est justement de pouvoir interpreter, donc il ne faut pas qu'une oeuvre soit totalement figée. Les exemples sont nombreux dans l'histoire de la musqiue ou les interpratations du compositeur sont moins bonnes que d'autres interpretes, ou que plusieurs versions d'une meme piece se tiennent quoique radicalement à l'opposés dans l'interpretation et ceci sons changer les notes, bien sur.
J'en reste sur ma position, ce qui ferait trois fichiers ! Le fichier MIDI "interprété" constitue une relative nouveauté aux conséquences réellement colossales !
Je crois que c'est de Gerschwin dont on dispose de rouleaux de piano mécanique enregistrés en direct par lui : fabuleux. Aujourd'hui le DisKlavier Yamaha permettrait de faire "rejouer" réellement, sur un vrai piano, un artiste disparu ou devenu handicapé. De nombreux enseignants de haut niveau considèrent aussi que c'est véritablement un outil indispensable en conservatoires (pouvoir s'écouter soi-même en différé et à distance, mais avec le piano joué "en vrai" et pas sur un enregistrement).
Tu peux naturellement étendre cela aux autres types de contrôleurs MIDI et cerner tout l'intérêt de patterns de batterie enregistrés sur des pads par Steve Gadd ou Dédé Ceccarelli.
Surtout que ces fichiers MIDI "interprétés" par les auteurs peuvent ensuite faire l'objet d'analyses et de traitements informatiques divers à destination pédagogique, didactique, analytique voire créatrice :
Avec un patch d'interpolation, dans Max, par exemple, tu peux parfaitement exploiter les qualités d'interprétation d'un pianiste hors-norme et les appliquer à une musique différente. C'est en effet un exercice très basique dans ce logiciel de faire l'interpolation entre les hauteurs de notes et le rythme de deux morceaux différents et d'écouter (avec un ou deux "cross-fader") tous les intermédiaires possibles entre les deux rythmes et les deux mélodies. Je ne comprends d'ailleurs pas que les fanas de la mouvance techno ne s'intéressent pas plus à ce genre d'applications.
Et j'en profite pour radoter (on pardonnera vu mon grand âge) : Max/MSP peut être téléchargé avec sa doc en version complètement fonctionnelle pour Mac et PC, et évalué gratuitement pendant 30 jours à l'adresse : <http://www.cycling74.com/index.html>, et jMax est un logiciel libre qu'on peut se procurer pour OSX ou Linux à <http://www.ircam.fr/> <http://artengine.ca/jmax/howto-macosx.html>.
Pour une utilisation spécifique et ne pas se prendre la tête, il est aussi possible de demander à un bon programmeur Max de réaliser (moyennant finances) un patch sur mesures et autonome (Max permet de les verrouiller et le player est gratuit).
Le MIDI créatif c'est le pied. Qu'on se le dise.
oui, je veux bien... Mais j'ai pas compris l'utilite du troisieme fichier midi, la... mais j'avoue qu'en midi suis pas tres fortiche. Si tu pouvait parler avec un langage moins technique...
-- ploµFy Ceci est une signature automatique de MesNews. Site : http://mesnews.no-ip.com
Je te suis tout a fait, pour 2 fichiers. MAis l"un en MIDI, l'autre en
audio avec de vrais interpretes. Alors la boucle est boucléee. Ceci
dit, la vraie magie de l'interpretation, c'est justement de pouvoir
interpreter, donc il ne faut pas qu'une oeuvre soit totalement figée.
Les exemples sont nombreux dans l'histoire de la musqiue ou les
interpratations du compositeur sont moins bonnes que d'autres
interpretes, ou que plusieurs versions d'une meme piece se tiennent
quoique radicalement à l'opposés dans l'interpretation et ceci sons
changer les notes, bien sur.
J'en reste sur ma position, ce qui ferait trois fichiers ! Le fichier
MIDI "interprété" constitue une relative nouveauté aux conséquences
réellement colossales !
Je crois que c'est de Gerschwin dont on dispose de rouleaux de piano
mécanique enregistrés en direct par lui : fabuleux. Aujourd'hui le
DisKlavier Yamaha permettrait de faire "rejouer" réellement, sur un vrai
piano, un artiste disparu ou devenu handicapé. De nombreux enseignants
de haut niveau considèrent aussi que c'est véritablement un outil
indispensable en conservatoires (pouvoir s'écouter soi-même en différé
et à distance, mais avec le piano joué "en vrai" et pas sur un
enregistrement).
Tu peux naturellement étendre cela aux autres types de contrôleurs MIDI
et cerner tout l'intérêt de patterns de batterie enregistrés sur des
pads par Steve Gadd ou Dédé Ceccarelli.
Surtout que ces fichiers MIDI "interprétés" par les auteurs peuvent
ensuite faire l'objet d'analyses et de traitements informatiques divers
à destination pédagogique, didactique, analytique voire créatrice :
Avec un patch d'interpolation, dans Max, par exemple, tu peux
parfaitement exploiter les qualités d'interprétation d'un pianiste
hors-norme et les appliquer à une musique différente. C'est en effet un
exercice très basique dans ce logiciel de faire l'interpolation entre
les hauteurs de notes et le rythme de deux morceaux différents et
d'écouter (avec un ou deux "cross-fader") tous les intermédiaires
possibles entre les deux rythmes et les deux mélodies. Je ne comprends
d'ailleurs pas que les fanas de la mouvance techno ne s'intéressent pas
plus à ce genre d'applications.
Et j'en profite pour radoter (on pardonnera vu mon grand âge) :
Max/MSP peut être téléchargé avec sa doc en version complètement
fonctionnelle pour Mac et PC, et évalué gratuitement pendant 30 jours à
l'adresse : <http://www.cycling74.com/index.html>, et jMax est un
logiciel libre qu'on peut se procurer pour OSX ou Linux à
<http://www.ircam.fr/> <http://artengine.ca/jmax/howto-macosx.html>.
Pour une utilisation spécifique et ne pas se prendre la tête, il est
aussi possible de demander à un bon programmeur Max de réaliser
(moyennant finances) un patch sur mesures et autonome (Max permet de les
verrouiller et le player est gratuit).
Le MIDI créatif c'est le pied. Qu'on se le dise.
oui, je veux bien... Mais j'ai pas compris l'utilite du troisieme
fichier midi, la... mais j'avoue qu'en midi suis pas tres fortiche. Si
tu pouvait parler avec un langage moins technique...
--
ploµFy
Ceci est une signature automatique de MesNews.
Site : http://mesnews.no-ip.com
Je te suis tout a fait, pour 2 fichiers. MAis l"un en MIDI, l'autre en audio avec de vrais interpretes. Alors la boucle est boucléee. Ceci dit, la vraie magie de l'interpretation, c'est justement de pouvoir interpreter, donc il ne faut pas qu'une oeuvre soit totalement figée. Les exemples sont nombreux dans l'histoire de la musqiue ou les interpratations du compositeur sont moins bonnes que d'autres interpretes, ou que plusieurs versions d'une meme piece se tiennent quoique radicalement à l'opposés dans l'interpretation et ceci sons changer les notes, bien sur.
J'en reste sur ma position, ce qui ferait trois fichiers ! Le fichier MIDI "interprété" constitue une relative nouveauté aux conséquences réellement colossales !
Je crois que c'est de Gerschwin dont on dispose de rouleaux de piano mécanique enregistrés en direct par lui : fabuleux. Aujourd'hui le DisKlavier Yamaha permettrait de faire "rejouer" réellement, sur un vrai piano, un artiste disparu ou devenu handicapé. De nombreux enseignants de haut niveau considèrent aussi que c'est véritablement un outil indispensable en conservatoires (pouvoir s'écouter soi-même en différé et à distance, mais avec le piano joué "en vrai" et pas sur un enregistrement).
Tu peux naturellement étendre cela aux autres types de contrôleurs MIDI et cerner tout l'intérêt de patterns de batterie enregistrés sur des pads par Steve Gadd ou Dédé Ceccarelli.
Surtout que ces fichiers MIDI "interprétés" par les auteurs peuvent ensuite faire l'objet d'analyses et de traitements informatiques divers à destination pédagogique, didactique, analytique voire créatrice :
Avec un patch d'interpolation, dans Max, par exemple, tu peux parfaitement exploiter les qualités d'interprétation d'un pianiste hors-norme et les appliquer à une musique différente. C'est en effet un exercice très basique dans ce logiciel de faire l'interpolation entre les hauteurs de notes et le rythme de deux morceaux différents et d'écouter (avec un ou deux "cross-fader") tous les intermédiaires possibles entre les deux rythmes et les deux mélodies. Je ne comprends d'ailleurs pas que les fanas de la mouvance techno ne s'intéressent pas plus à ce genre d'applications.
Et j'en profite pour radoter (on pardonnera vu mon grand âge) : Max/MSP peut être téléchargé avec sa doc en version complètement fonctionnelle pour Mac et PC, et évalué gratuitement pendant 30 jours à l'adresse : <http://www.cycling74.com/index.html>, et jMax est un logiciel libre qu'on peut se procurer pour OSX ou Linux à <http://www.ircam.fr/> <http://artengine.ca/jmax/howto-macosx.html>.
Pour une utilisation spécifique et ne pas se prendre la tête, il est aussi possible de demander à un bon programmeur Max de réaliser (moyennant finances) un patch sur mesures et autonome (Max permet de les verrouiller et le player est gratuit).
Le MIDI créatif c'est le pied. Qu'on se le dise.
oui, je veux bien... Mais j'ai pas compris l'utilite du troisieme fichier midi, la... mais j'avoue qu'en midi suis pas tres fortiche. Si tu pouvait parler avec un langage moins technique...
-- ploµFy Ceci est une signature automatique de MesNews. Site : http://mesnews.no-ip.com
Gerald
ploµFy wrote:
oui, je veux bien... Mais j'ai pas compris l'utilite du troisieme fichier midi, la... mais j'avoue qu'en midi suis pas tres fortiche. Si tu pouvait parler avec un langage moins technique...
Le problème n'est en fait pas technique, il est historique en deux temps.
1/ création du standard MIDI en 1983. 3 points importants : a) séquences = même pas envisagées comme un futur lié au standard. Nada pour ce qui fait l'essentiel de ce que tu en utilises ! b) but = piloter un synthé d'une marque à partir d'un synthé d'une autre marque *sans risque* de griller l'électronique géniale de l'un par l'électronique décadente de l'autre et sans risque de bousiller le programme informatique génial de l'un par les bugs pourris de l'autre (et réciproquement). Conséquence : ce standard met beaucoup l'accent sur l'aspect hardware (voltage, connecteurs, protection etc.) d'une part et sur la capacité à IGNORER les messages non interprétés d'autre part. c) grosse influence des ingénieurs de l'Ircam, via Yamaha (et ses rapports avec eux à cause de la FM), sur *l'organisation* du standard et sur son ouverture. (Oui, je sais, c'est Roland qui a précédé, mais à Hammamatsu, il y a de la porosité entre les deux usines mitoyennes via les bars à karaoke le soir !) C'est de là que vient le caractère visionnaire et avantgardiste du standard et beaucoup de ses aspects intéressants au niveau de la recherche théorique.
2/ l'utilisation du MIDI dix ou quinze ans plus tard par le quidam moyen qui exploite une partie tout à fait latérale et minoritaire du standard et qui pense qu'il se limite à cela, et qui pose typiquement les mêmes questions revenant dix fois par semaine ici concernant les "sons" MIDI qui ne seraient pas bons ou la conversion de WAV en MIDI... Le problème est d'une part que les logiciels *masquent*le MIDI derrière leur propre ergonomie et leurs commandes, et d'autre part qu'ils y donneraient éventuellement accès par leur mode d'emploi... que de toutes façons les utilisateurs ne *lisent pas* entre autres parce qu'ils ne le possèdent souvent pas s'ils n'ont pas acheté légalement ledit soft.
Ce que je raconte n'est pas "technique". C'est parfaitement clair si on sait de quoi on parle, c'est-à-dire d'une Interface Numérique pour Instruments de Musique, (ou Musical Instrument Digital Interface abrégée en "MIDI"), sur le forum précis où, en gros, on ne devrait parler que de ça.
En résumé comme on dit : RTFM (Read The Fucking Manual) à savoir le mode d'emploi de ton logiciel MIDI (en totalité), la faq de ce forum, la littérature abondante aussi bien en librairie qu'en ligne (zikinf, MacMusic, Google etc.). Les cahiers de l'ACME, maintes fois cités, proposant aussi à vil prix tous les ouvrages d'initiation qu'il faut.
Parce que quelle que soit la détermination du professeur (et la mienne a-t-elle besoin de faire sa preuve ?), ce n'est pas lui qui *apprend* quoi que ce soit à l'élève ! C'est l'élève qui apprend *avec l'aide* du professeur. Ce n'est donc qu'une question de motivation, que d'ailleurs personne ne te reproche de ne pas avoir, mais il ne faut pas espérer, alors, avoir le beurre, l'argent du... et le cul de la crémière...
oui, je veux bien... Mais j'ai pas compris l'utilite du troisieme
fichier midi, la... mais j'avoue qu'en midi suis pas tres fortiche. Si
tu pouvait parler avec un langage moins technique...
Le problème n'est en fait pas technique, il est historique en deux
temps.
1/ création du standard MIDI en 1983. 3 points importants :
a) séquences = même pas envisagées comme un futur lié au standard.
Nada pour ce qui fait l'essentiel de ce que tu en utilises !
b) but = piloter un synthé d'une marque à partir d'un synthé d'une
autre marque *sans risque* de griller l'électronique géniale de l'un par
l'électronique décadente de l'autre et sans risque de bousiller le
programme informatique génial de l'un par les bugs pourris de l'autre
(et réciproquement). Conséquence : ce standard met beaucoup l'accent sur
l'aspect hardware (voltage, connecteurs, protection etc.) d'une part et
sur la capacité à IGNORER les messages non interprétés d'autre part.
c) grosse influence des ingénieurs de l'Ircam, via Yamaha (et ses
rapports avec eux à cause de la FM), sur *l'organisation* du standard et
sur son ouverture. (Oui, je sais, c'est Roland qui a précédé, mais à
Hammamatsu, il y a de la porosité entre les deux usines mitoyennes via
les bars à karaoke le soir !) C'est de là que vient le caractère
visionnaire et avantgardiste du standard et beaucoup de ses aspects
intéressants au niveau de la recherche théorique.
2/ l'utilisation du MIDI dix ou quinze ans plus tard par le quidam moyen
qui exploite une partie tout à fait latérale et minoritaire du standard
et qui pense qu'il se limite à cela, et qui pose typiquement les mêmes
questions revenant dix fois par semaine ici concernant les "sons" MIDI
qui ne seraient pas bons ou la conversion de WAV en MIDI...
Le problème est d'une part que les logiciels *masquent*le MIDI derrière
leur propre ergonomie et leurs commandes, et d'autre part qu'ils y
donneraient éventuellement accès par leur mode d'emploi... que de toutes
façons les utilisateurs ne *lisent pas* entre autres parce qu'ils ne le
possèdent souvent pas s'ils n'ont pas acheté légalement ledit soft.
Ce que je raconte n'est pas "technique". C'est parfaitement clair si on
sait de quoi on parle, c'est-à-dire d'une Interface Numérique pour
Instruments de Musique, (ou Musical Instrument Digital Interface abrégée
en "MIDI"), sur le forum précis où, en gros, on ne devrait parler que de
ça.
En résumé comme on dit : RTFM (Read The Fucking Manual) à savoir le mode
d'emploi de ton logiciel MIDI (en totalité), la faq de ce forum, la
littérature abondante aussi bien en librairie qu'en ligne (zikinf,
MacMusic, Google etc.). Les cahiers de l'ACME, maintes fois cités,
proposant aussi à vil prix tous les ouvrages d'initiation qu'il faut.
Parce que quelle que soit la détermination du professeur (et la mienne
a-t-elle besoin de faire sa preuve ?), ce n'est pas lui qui *apprend*
quoi que ce soit à l'élève ! C'est l'élève qui apprend *avec l'aide* du
professeur. Ce n'est donc qu'une question de motivation, que d'ailleurs
personne ne te reproche de ne pas avoir, mais il ne faut pas espérer,
alors, avoir le beurre, l'argent du... et le cul de la crémière...
oui, je veux bien... Mais j'ai pas compris l'utilite du troisieme fichier midi, la... mais j'avoue qu'en midi suis pas tres fortiche. Si tu pouvait parler avec un langage moins technique...
Le problème n'est en fait pas technique, il est historique en deux temps.
1/ création du standard MIDI en 1983. 3 points importants : a) séquences = même pas envisagées comme un futur lié au standard. Nada pour ce qui fait l'essentiel de ce que tu en utilises ! b) but = piloter un synthé d'une marque à partir d'un synthé d'une autre marque *sans risque* de griller l'électronique géniale de l'un par l'électronique décadente de l'autre et sans risque de bousiller le programme informatique génial de l'un par les bugs pourris de l'autre (et réciproquement). Conséquence : ce standard met beaucoup l'accent sur l'aspect hardware (voltage, connecteurs, protection etc.) d'une part et sur la capacité à IGNORER les messages non interprétés d'autre part. c) grosse influence des ingénieurs de l'Ircam, via Yamaha (et ses rapports avec eux à cause de la FM), sur *l'organisation* du standard et sur son ouverture. (Oui, je sais, c'est Roland qui a précédé, mais à Hammamatsu, il y a de la porosité entre les deux usines mitoyennes via les bars à karaoke le soir !) C'est de là que vient le caractère visionnaire et avantgardiste du standard et beaucoup de ses aspects intéressants au niveau de la recherche théorique.
2/ l'utilisation du MIDI dix ou quinze ans plus tard par le quidam moyen qui exploite une partie tout à fait latérale et minoritaire du standard et qui pense qu'il se limite à cela, et qui pose typiquement les mêmes questions revenant dix fois par semaine ici concernant les "sons" MIDI qui ne seraient pas bons ou la conversion de WAV en MIDI... Le problème est d'une part que les logiciels *masquent*le MIDI derrière leur propre ergonomie et leurs commandes, et d'autre part qu'ils y donneraient éventuellement accès par leur mode d'emploi... que de toutes façons les utilisateurs ne *lisent pas* entre autres parce qu'ils ne le possèdent souvent pas s'ils n'ont pas acheté légalement ledit soft.
Ce que je raconte n'est pas "technique". C'est parfaitement clair si on sait de quoi on parle, c'est-à-dire d'une Interface Numérique pour Instruments de Musique, (ou Musical Instrument Digital Interface abrégée en "MIDI"), sur le forum précis où, en gros, on ne devrait parler que de ça.
En résumé comme on dit : RTFM (Read The Fucking Manual) à savoir le mode d'emploi de ton logiciel MIDI (en totalité), la faq de ce forum, la littérature abondante aussi bien en librairie qu'en ligne (zikinf, MacMusic, Google etc.). Les cahiers de l'ACME, maintes fois cités, proposant aussi à vil prix tous les ouvrages d'initiation qu'il faut.
Parce que quelle que soit la détermination du professeur (et la mienne a-t-elle besoin de faire sa preuve ?), ce n'est pas lui qui *apprend* quoi que ce soit à l'élève ! C'est l'élève qui apprend *avec l'aide* du professeur. Ce n'est donc qu'une question de motivation, que d'ailleurs personne ne te reproche de ne pas avoir, mais il ne faut pas espérer, alors, avoir le beurre, l'argent du... et le cul de la crémière...
Voilou ! -- Gérald
ploµFy
Gerald a couché sur son écran :
Parce que quelle que soit la détermination du professeur (et la mienne a-t-elle besoin de faire sa preuve ?), ce n'est pas lui qui apprend quoi que ce soit à l'élève ! C'est l'élève qui apprend avec l'aide du professeur. Ce n'est donc qu'une question de motivation, que d'ailleurs personne ne te reproche de ne pas avoir, mais il ne faut pas espérer, alors, avoir le beurre, l'argent du... et le cul de la crémière...
ok, ok... je demandais juste a comprendre... promis, des que j'aurais le temps je me plongerai plus dans le midi. Pour le moment j'ai pas suffisement de temps pour faire tout ce qu'on me demande en musique live, alors je repousse, je repousse et je repousse...
-- ploµFy Ceci est une signature automatique de MesNews. Site : http://mesnews.no-ip.com
Gerald a couché sur son écran :
Parce que quelle que soit la détermination du professeur (et la mienne
a-t-elle besoin de faire sa preuve ?), ce n'est pas lui qui apprend
quoi que ce soit à l'élève ! C'est l'élève qui apprend avec l'aide du
professeur. Ce n'est donc qu'une question de motivation, que d'ailleurs
personne ne te reproche de ne pas avoir, mais il ne faut pas espérer,
alors, avoir le beurre, l'argent du... et le cul de la crémière...
ok, ok... je demandais juste a comprendre... promis, des que j'aurais
le temps je me plongerai plus dans le midi. Pour le moment j'ai pas
suffisement de temps pour faire tout ce qu'on me demande en musique
live, alors je repousse, je repousse et je repousse...
--
ploµFy
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Parce que quelle que soit la détermination du professeur (et la mienne a-t-elle besoin de faire sa preuve ?), ce n'est pas lui qui apprend quoi que ce soit à l'élève ! C'est l'élève qui apprend avec l'aide du professeur. Ce n'est donc qu'une question de motivation, que d'ailleurs personne ne te reproche de ne pas avoir, mais il ne faut pas espérer, alors, avoir le beurre, l'argent du... et le cul de la crémière...
ok, ok... je demandais juste a comprendre... promis, des que j'aurais le temps je me plongerai plus dans le midi. Pour le moment j'ai pas suffisement de temps pour faire tout ce qu'on me demande en musique live, alors je repousse, je repousse et je repousse...
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