merci, très bon, visiblement tu en es l'heureux possesseur, et attention, brûle pas tes doigts !
-- -- Ricco
Ghost Rider
Les Olympus, dont le dernier est l'impérissable, l'irremplaçable, l'incomparable E10/E20.
mais pas inusable... ah, je suis une ordure, je le confesse et le reconnais
Tu as tout faux ;-) , il *sont* inusables. Ce sont des appareils increvables, bâtis comme des tanks, avec le poids qui va avec. Car comme ce sont des bridges-reflex à visée optique mais sans miroirs mobiles (il y a un prisme), la mécanique est très limitée: un obturateur central et un diaphragme de petites tailles , c'est tout. La mécanique du zoom (manuel) est interne : pas de pompavélo, pas de moteur sauf pour la MAP manuelle. Les compléments optiques sont tout verre-et-métal, ils pèsent aussi des tonnes, d'ailleurs. Tout ça explique leur longévité, je pense.
L'E10/E20, c'est la Land Rover de l'APN: pas très rapide, mais 30 ans après, ça roule toujours.
Ghost Rider
Les Olympus, dont le dernier est l'impérissable, l'irremplaçable,
l'incomparable E10/E20.
mais pas inusable...
ah, je suis une ordure, je le confesse et le reconnais
Tu as tout faux ;-) , il *sont* inusables.
Ce sont des appareils increvables, bâtis comme des tanks, avec le poids
qui va avec.
Car comme ce sont des bridges-reflex à visée optique mais sans miroirs
mobiles (il y a un prisme), la mécanique est très limitée: un obturateur
central et un diaphragme de petites tailles , c'est tout. La mécanique
du zoom (manuel) est interne : pas de pompavélo, pas de moteur sauf pour
la MAP manuelle. Les compléments optiques sont tout verre-et-métal, ils
pèsent aussi des tonnes, d'ailleurs.
Tout ça explique leur longévité, je pense.
L'E10/E20, c'est la Land Rover de l'APN: pas très rapide, mais 30 ans
après, ça roule toujours.
Les Olympus, dont le dernier est l'impérissable, l'irremplaçable, l'incomparable E10/E20.
mais pas inusable... ah, je suis une ordure, je le confesse et le reconnais
Tu as tout faux ;-) , il *sont* inusables. Ce sont des appareils increvables, bâtis comme des tanks, avec le poids qui va avec. Car comme ce sont des bridges-reflex à visée optique mais sans miroirs mobiles (il y a un prisme), la mécanique est très limitée: un obturateur central et un diaphragme de petites tailles , c'est tout. La mécanique du zoom (manuel) est interne : pas de pompavélo, pas de moteur sauf pour la MAP manuelle. Les compléments optiques sont tout verre-et-métal, ils pèsent aussi des tonnes, d'ailleurs. Tout ça explique leur longévité, je pense.
L'E10/E20, c'est la Land Rover de l'APN: pas très rapide, mais 30 ans après, ça roule toujours.
Ghost Rider
cf
Papy Bernard wrote:
Le nom provient de l'ère argentique, où étaient appelés "bridges" des appareils à visée réflexe, mono-objectifs à objectif non amovible. Ils faisaient en quelque sorte le "pont" (d'où leur nom) entre les compacts et les réflex à objectif interchangeable.
J'ignorais que mon bon vieux Focaflex (1959/60) était un "bridge".
J'avais rectifié, ou plutôt complété la description des bridges argentiques suite à une remarque analogue de Ricco : format 24x36 (n'inclut donc pas les MF genre Hasselblad et autres Bronica) et objectif à focale variable (zoom).
De mémoire, ces appareils hybrides et le nom qui va avec sont apparus dans les années 90, il faudrait regarder dans des revues ou des catalogues style Camara ou Foci de l'époque. Ils ont d'ailleurs été accueillis assez fraîchement par les revues spécialisées (notamment Chasseur d'Image) qui leur reprochaient (à juste titre ?) de cumuler les inconvénients des réflex (poids, volume) sans en avoir vraiment les avantages, notamment l'objectif interchangeable, et n'ont d'ailleurs pas non plus rencontré un franc succès auprès du grand public, sans doute pour les mêmes raisons.
Par contre, le terme "bridge" a lui connu une seconde jeunesse et la célébrité avec le numérique (à tel point qu'il semble que plus personne ne se souvienne qu'il est né avec l'argentique... ;-)
A++ -- Christian
Papy Bernard <lenichoir@aol.com> wrote:
Le nom provient de l'ère argentique, où étaient appelés "bridges" des
appareils à visée réflexe, mono-objectifs à objectif non amovible. Ils
faisaient en quelque sorte le "pont" (d'où leur nom) entre les
compacts et les réflex à objectif interchangeable.
J'ignorais que mon bon vieux Focaflex (1959/60) était un "bridge".
J'avais rectifié, ou plutôt complété la description des bridges
argentiques suite à une remarque analogue de Ricco : format 24x36
(n'inclut donc pas les MF genre Hasselblad et autres Bronica) et
objectif à focale variable (zoom).
De mémoire, ces appareils hybrides et le nom qui va avec sont apparus
dans les années 90, il faudrait regarder dans des revues ou des
catalogues style Camara ou Foci de l'époque. Ils ont d'ailleurs été
accueillis assez fraîchement par les revues spécialisées (notamment
Chasseur d'Image) qui leur reprochaient (à juste titre ?) de cumuler les
inconvénients des réflex (poids, volume) sans en avoir vraiment les
avantages, notamment l'objectif interchangeable, et n'ont d'ailleurs pas
non plus rencontré un franc succès auprès du grand public, sans doute
pour les mêmes raisons.
Par contre, le terme "bridge" a lui connu une seconde jeunesse et la
célébrité avec le numérique (à tel point qu'il semble que plus personne
ne se souvienne qu'il est né avec l'argentique... ;-)
Le nom provient de l'ère argentique, où étaient appelés "bridges" des appareils à visée réflexe, mono-objectifs à objectif non amovible. Ils faisaient en quelque sorte le "pont" (d'où leur nom) entre les compacts et les réflex à objectif interchangeable.
J'ignorais que mon bon vieux Focaflex (1959/60) était un "bridge".
J'avais rectifié, ou plutôt complété la description des bridges argentiques suite à une remarque analogue de Ricco : format 24x36 (n'inclut donc pas les MF genre Hasselblad et autres Bronica) et objectif à focale variable (zoom).
De mémoire, ces appareils hybrides et le nom qui va avec sont apparus dans les années 90, il faudrait regarder dans des revues ou des catalogues style Camara ou Foci de l'époque. Ils ont d'ailleurs été accueillis assez fraîchement par les revues spécialisées (notamment Chasseur d'Image) qui leur reprochaient (à juste titre ?) de cumuler les inconvénients des réflex (poids, volume) sans en avoir vraiment les avantages, notamment l'objectif interchangeable, et n'ont d'ailleurs pas non plus rencontré un franc succès auprès du grand public, sans doute pour les mêmes raisons.
Par contre, le terme "bridge" a lui connu une seconde jeunesse et la célébrité avec le numérique (à tel point qu'il semble que plus personne ne se souvienne qu'il est né avec l'argentique... ;-)
A++ -- Christian
Papy Bernard
Bonjour
De Ricco
merci, très bon, visiblement tu en es l'heureux possesseur, et attention, brûle pas tes doigts !
Tout aussi vite fait dans le genre vieilleries (de mes premières armes) :
http://cjoint.com/?kcpbwS7eBz
-- A+ Papy Bernard
Bonjour
De Ricco
merci, très bon, visiblement tu en es l'heureux possesseur, et
attention, brûle pas tes doigts !
Tout aussi vite fait dans le genre vieilleries (de mes premières armes) :