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Questionnaire synthetique sur l'art(iste), le gout, l'elitisme etc.

181 réponses
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Alban Taraire
albert wrote:

> "Alban Taraire" <zarma@toto.com> a écrit :
>
> ----------------etc..
>
> Oui, mais je ne vois pas trop ou tu veux en venir. Il y a des trucs
> intéressants et qui m'interpellent dans ton discours, mais il est trop axé
> sur ta polémique personnelle avec Bour-Brown. Un peu comme si tu faisais
> une photo-souvenir de Bour-Brown devant le Fuji-Yama, après un bon repas
> de nouilles, et que tu la publies pour tout le monde (-:
>
> Tu ne voudrais pas être un peu plus concis et faire un effort de
> synthèse. C'est vachement fatiguant à la lecture pour les autres les : "Je
> te reprend point par point".

Rondudju, faut faire un effort, tout de même !

Bon. Alors. Synthétisons.

Globalement, tout tourne une fois de plus sur les questions éternelles de
frp :

1 - qu'est-ce qu'un artiste ?
2 - un artiste, parce qu'il est artiste, est-il supérieur à l'ensemble de la
population non-artiste ?
3 - l'art est-il élitiste ?
4 - si oui, est-ce que ça répond à la question 2 ?
5 - si non, est-ce que cela signifie que toutes choses sont égales entre
elles et juste "une question de goût" ?
6 - qu'est-ce qu'un BON artiste ? (ce qui implique qu'il y ait de mauvais
artistes et donc commence à infirmer la question 2)
7 - y a-t-il une vie après frp ?
8 - est-ce que j'existe ?


Globalement, mes reponses :

1 - quelqu'un qui fait (dans le cas de frp) des photos artistiques, c'est à
dire conçues et produites dans le but d'être partagées sans spécialement
vouloir véhiculer un souvenir partagé (le sourire bavant du petit dernier)
ou une information (le tremblement de terre en haïti par exemple). Comme
aussi dit plus haut, ce ne sont pas des catégories étanches mais plutôt une
échelle, un contiuum entre deux points, avec tout un tas de valeurs
intermédiaires. On pourrait par exemple se demander si Sentimental Journey
et Winter Journey de Araki sont plus proches de l'art ou du reportage ?
En tous cas, dans mon optique, des gens comme toi, Noëlle, Filh, et même ce
bon gros BB sont des artistes, au moins a temps partiel, puisque tous font
des photos concues dès l'origine pour être montrées.

2 - évidement non, car le fait de faire de la photo "artistique" n'indique
en rien la qualité de la-dite oeuvre, qui peut être très mauvaise, pourquoi
pas ? Il n'y a donc aucun jugement de valeur en qualifiant quelqu'un
d'artiste. Par contre, on peut en effet faire une distinction entre
l'artiste et le non-artiste, dans la volonté de faire quelque chose pour le
montrer. Mais différence n'est pas hiérarchie. D'autant que encore une fois
les catégories ne sont pas étanches mais plutôt des gradations.

3 - Comme dit dans 2, il y a sans doute différence entre les personnes, et
dans tout ensemble qui se regroupe autour d'affinités, il y a un
communautarisme plus ou moins marqué, qu'il soit culturel, linguistique (y
compris jargon), référentiel, etc. Quand il y a communautarisme, il y a
nécessairement exclusion, soit volontaire soit de fait, par un manque de
références communes par exemple. Cette exclusion même involontaire est
souvent perçue à tort pour de l'élitisme.
Évidement, il y a aussi des cas d'élitisme pur, mais bon, il y a des cons
partout.

4 - on vient d'établir qu'il ne s'agit en général pas d'élitisme mais plus
de l'exclusion de fait qui apparaît lorsqu'un groupe se forme, même avec
toute la bonne volonté et l'ouverture qui soit.

5 - Toutes choses ne sont clairement pas égales, mais tout dépend en effet
du référentiel de départ. Dans le cas de l'art, il y a un historique, un
ensemble de consensus ou de règles, de coutûmes, d'habitudes, de courants de
pensée, pas du tout universel d'ailleurs, mais par simplification on a
tendance sur frp à tout rapporter à la culture occidentale et à l'état de
l'art actuel, tel que décrit par tout un tas d'experts, de philosophes,
d'artistes, de courants de pensée etc.
Pour en tirer la substantifique moëlle, il y a un sacré boulot à faire.
Récement justement je lisais un truc dans lequel l'auteur tente d'expliquer
la différence entre une opinion d'expert et une opinion de profane, en
faisant une analogie cullinaire, entre l'avis du client de base et l'avis du
critique professionel de restaurant. C'est ici
http://aseigo.blogspot.com/2010/01/we-do-it-to-ourselves.html et c'est pas
mal vu (en Anglais).

6 - C'est une très bonne question, et pas évidente du tout à répondre sans
être expert (cf juste au dessus). Une chose est sûre, il est crucial de
faire la distinction entre la qualité et le goût qu'on peut avoir de quelque
chose. Ce sont deux notions complètement différentes, faiblement corelées,
mais qui sont très largement confondues. Le goût étant personel, ça dégénère
en querelles de personnes (cf les très nombreuses attaques contre Filh), et
on a tendance à associer "j'aime pas" avec "c'est de la merde", et "j'aime
bien" avec "ce type est un génie".

7 - et avant, et même pendant !

8 - moi oui, tout le reste, vous tous compris, n'est que le produit de mon
imagination.

Si ça l'intéresse, j'encourage BB ou tout autre personne, ou toi-même Albert
à répondre aussi à ce questionnaire synthétique, qui sait, ça éclaircira
peut-être les choses ?
Si j'ai oublié des questions essentielles, merci de les rajouter, je
complèterai !

A+

--
Alban

10 réponses

Avatar
Kojak
Le Wed, 27 Jan 2010 16:59:30 +0100,
"Jacques" a écrit :

toi tu t'en fout que tes enfants(si tu en as!)
puissent tomber sur des merdes de photos de ce style



Oui ! Ça te va comme réponse ?

sans être prévenu avant d'entrer sur son site, qu'il y a



Mort de rire ! Et tu crois sincèrement qu'en mettant un encart dans
le style : «Attention, ici photos pornos», tes gamins vont s'ar rêter
là ? T'es bien naïf, mon pauvre.

des photos choquantes à caractère pornographique et
surtout sans intérêts à part pour sa gueule(son ego)



Ne t'en déplaise, un gamin, ça s'éduque ! À 5 ans, il n'a absolument
aucun besoin d'avoir accès à Internet. Plus tard, ou tu filtres, ou tu
assumes son éducation, point. Tout le reste n'est que de la
«gomorrhisation de diptères».

--
Jacques.
Avatar
MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de jpw nous susurrait, le lundi 25/01/2010,
dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et
dans le message <4b5ddb59$0$12214$, les doux
mélismes suivants :

tu achêtes un piano
tu achête un appareil photo



quand peut tu te prévaloir d'être un artiste ?



Pour le piano, quand tu es capable de très bien jouer les Goldberg de
papa Bach ou les Préludes de Debussy...
Pour la foto, quand tu peux faire des fotos de chiottes aussi belles
que les Miennes...

Jaiparlé©...

--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Avatar
MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de jpw nous susurrait, le lundi 25/01/2010,
dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et
dans le message <4b5dd65d$0$10135$, les doux
mélismes suivants :

je suis un médiocre photographe du dimanche



Je confirme...

--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Avatar
filh
Kojak wrote:


> sans être prévenu avant d'entrer sur son site, qu'il y a

Mort de rire ! Et tu crois sincèrement qu'en mettant un encart dans
le style : «Attention, ici photos pornos», tes gamins vont s'arrêter
là ? T'es bien naïf, mon pauvre.



Sauf que *justement* il y a un message d'avertissement.

Et que en plus les photos où il y a des mecs ne sont pas pornos : que je
sache un nu frontal sans activité sexuelle n'est pas porno. Ou alors le
Louvre est porno, le jardin du Luxembourg et ses statues est porno .

Une fois de plus, les connards ralent non pas contre ce qui est, mais
contre ce qu'ils fantasment.

Mais bon le connard toulousain vient pendant quelques jours vomir sa
petite haine, et puis il disparait. Mais bon qu'est-ce que j'en ai à
foutre de ce genre d'olibrius ? Rien de ce qu'il dit n'est pertinent.

FiLH


--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
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Kojak
Le Wed, 27 Jan 2010 19:01:11 +0100,
"Jacques" a écrit :

Voilà la réponse d'un con 1 kapable tousseul



Commence par apprendre à t'exprimer correctement. Et ça dit avoi r des
enfants ! Les pauvres, comme je les plains. Bref, encore une nouvelle
génération de jean-foutre en perspective. On est pas rendu ! :-(

--
Jacques.
Avatar
Denis Cil
"Alban Taraire" a écrit dans le message de
news:hjplsd$fu1$
albert wrote:

Salut Albert,

Désolé je réponds tardivement, je me suis une fois de plus
laissé distraire
par mes amis non-comprenants. Je te réponds rapidement avant de
me lancer
dans une étude de faisabilité pour dispenser des cours de sudoku
aux
déficients, comme oeuvre charitative.



C'est mal, pour que cela advienne comme de l'art la condition, la
seule, l'unique, est que ce soit une oeuvre décharitative.

A mon avis tu aurais dû inverser ces deux locutions. Une
fois la
réponse
donnée à la question "est-ce que j'existe ?", les réponses
suivantes en
découlent naturellement. Arrivé à la question 8 on se dirait
finalement
que cela n'a pas beaucoup d'importance.



Pas nécessairement ! On dit par exemple : "Dieu existe, je l'ai
rencontré".
Bon. Ça doit arriver, après tout, Dieu doit bien serrer quelques
paluches de
temps en temps, j'ai moi-même taillé le bout de gras avec
certains de ses
représentants sur Terre, comme Chirac ou Giscard.



Bah, les prêtres sont parti mais le temple reste.

Donc, dans l'introspection, on se demande "Pour exister, je dois
me
rencontrer". Et finalement, où se rencontre-t-on mieux que dans
ses
créations, les plus personnelles, artistiques ?



C'est beau comme du Manset. Non, sans blague, ce qui sort à notre
insu ce sont les autres qui lui donne un sens, mais l'important
n'est-ce pas dans cette confrontation d'avec le sens des autres
que nous trouvons le notre pour que cela fasse retour [RENTRE] et
nous appartienne ?


D'où il découle que l'acte artistique est l'acte fondateur de
l'existence,
et non l'inverse : rencontre-toi, et tu existeras !



L'acte artistique, celui qui fonde notre existence, se
pourrait-il que ce soit du sang, de la merde, de la morve, des
larmes ? Du viscéral, de la tripaille quoi.
L'Incarnation, Louis Calaferte, ISBN 2.207.23403.7


A moins que, si j'en juge par ta réponse à cette fameuse
question 8 -
"est-ce que j'existe ?" qui est la définition du SOLIPSISME
(c'est aussi
un des trois titres sur mon site, quel hasard !), si tu réponds
en
solipsiste à cette question, les autres questions n'ont pas
lieu d'être,
n'est-ce pas ? Je ne devrais même pas t'interroger puisque tu
n'existe
pas.



Ah, oui, le solipsime. Sais-tu que, au risque de faire bondir
dans les
chaumières, la vérité vraie est que j'ai moi-même
personnellement inventé le
solipsisme il y a de celà moins d'une vingtaine d'années ? Eh
oui, le
solipsisme est mon invention personnelle ! Je me suis
malheureusement rendu
compte quelques années plus tard que j'avais quelques milliers
d'années de
retard, ce qui quelque part n'est pas très solipsiste, mais bon
en même
temps c'est peut-être juste une blague que je me fais à moi-même
pour passer
le temps.



Tu as raison le temps est relatif, relativisons. Tu as mis ton
beau pull rouge ?

Une base du solipsisme est le sens, et son ambigüité. Le sens
est à la fois
ce qui nous joint au monde, notre plus direct lien avec
l'extérieur, et par
là même ce qui nous en sépare, la barrière, le filtre en lequel
nous ne
pouvons même pas avoir une confiance absolue, car si facilement
abusé.
Tout le réel, finalement, n'est qu'une question de confiance en
des sens que
l'on sait pertinement faibles.



Et oui, tout dispositif de mesure est aveugle dans la zone qu'il
occupe.

Même la science n'apporte guère de réponses, malgré les
promesses
originelles. La matière, puis les molécules avec du vide autour,
puis les
atomes avec encore plus de vide autour et dedans, puis les
particules avec
encore plus de vide et de moins en moins de certitudes, puis les
particules
élémentaires, de plus en plus élusives, et enfin, des
statistiques, des
maths, du concept. Et encore plus de vide.

Nous vivons en un tas de peut-être, de x% de chances que...



Rien n'est moins sur.

Ce qui est drôle, c'est que les machines, que tu sembles
redouter, avec la
virtualisation de la nature, des hommes, ces machines même, si
froides et
terribles, sont les premières à se faire virtualiser, à
fonctionner sur ce
qu'elles supposent être du bon gros hardware des familles, du
silicium pur
grain, alors qu'en fait elles ne tournent que sur des systèmes
spécialisés
qui leur font croire que... et qui entassent 2, 3, 4 systèmes
indépendants
surla même machine. Pire, si l'une de ces machines est elle-même
hôte d'une
machine virtuelle, il y a lieu de se dire que l'univers est
porté par 4
éléphants qui tiennent sur une colonne infinie de tortues.

N'est-ce pas d'une ironie extrême ?



Complètement, je fais tourner Seven dans une VM sous XP, et XP
dans Seven, c'est fou, non ?

Quant à Facebook, et à la solitude, n'est-elle pas évidente ?
Comme
extention, aussi virtuelle qu'une autre, d'un cri dans le vide
dans l'espoir
d'un echo ? Ou est-ce juste une évolution naturelle, qui passe
de l'Homme au
groupe, à la ruche ?



Il y a du Munch et du Herbert la dedans.

Finalement, l'individualisme est quelque chose de relativement
récent, et
n'a peut-être été qu'une passade. La vie privée n'est jamais
vraiment allé
de soi, et n'a peut-être déjà plus sa place.



Certainement, moins on en a plus on s'en prive.

Je suis toujours très étonné par Twitter par exemple, car c'est
un service
qui semble passionner des millions de gens, et je n'y vois
vraiment vraiment
aucun intérêt. Et quelque part ça m'inquiète, je dois louper
quelque chose,
mais quoi ?



#Le panurgisme humain ?

Finalement, tu as sans doute raison. Le futur, c'est le
solipsisme... de
groupe.



Ayé, il a créé sa secte.

--
Denis
Avatar
filh
Denis Cil wrote:

"Alban Taraire" a écrit dans le message de


> Donc, dans l'introspection, on se demande "Pour exister, je dois
> me
> rencontrer". Et finalement, où se rencontre-t-on mieux que dans
> ses
> créations, les plus personnelles, artistiques ?

C'est beau comme du Manset. Non, sans blague, ce qui sort à notre
insu ce sont les autres qui lui donne un sens, mais l'important
n'est-ce pas dans cette confrontation d'avec le sens des autres
que nous trouvons le notre pour que cela fasse retour [RENTRE] et
nous appartienne ?



:) C'est là le mouvement le plus complexe à accepter. Beaucoup refusent
qu'on (un autre) donne un sens (à ce qu'ils font/disent) qu'ils
n'auraient pas mis (illusion du contrôle), mais souvent les mêmes
imposent un sens aux productions des autres.

Accepter ce don du sens est difficile. Mais on n'est pas obligé de le
prendre pour soi. On peut accepter qu'il existe sans pour autant le
faire sien. Voilà tu mets cela dans ce que j'ai fait, mais c'est
peut-être ton sens à toi, où ce sens que tu donnes c'est peut-être autre
chose que cela veut dire (retour à l'envoyeur - difficile encore à
appréhender cet allez retour infini de deux miroirs déformants qui
manque de la stabilité rassurante...)




> D'où il découle que l'acte artistique est l'acte fondateur de
> l'existence,
> et non l'inverse : rencontre-toi, et tu existeras !

L'acte artistique, celui qui fonde notre existence, se
pourrait-il que ce soit du sang, de la merde, de la morve, des
larmes ? Du viscéral, de la tripaille quoi.
L'Incarnation, Louis Calaferte, ISBN 2.207.23403.7



Est-elle jamais autre chose ?

FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Avatar
Bour-Brown
Alban Taraire a écrit
( news:hjo3mt$71q$ )

Bah tu vas peut-être nous dire ce qu'il en est, histoire qu'on sache un
oeu de quoi tu parles



Si tu n'as toujours pas compris ce dont je parlais quand je parlais d'art,
ce n'est pas quelques lignes qui changeront quelques chose.

Une précision toutefois.

Croire qu'il y aurait une définition consensuelle de l'art, c'est déjà pour
le moins naïf, mais penser que n'importe qui peut faire de l'art en faisant
n'importe quoi, sans rien y connaître bien sûr, au seul motif des
prétentions, là ce n'est plus de la naïveté, c'est carrément de la bêtise.


Remarque t'as raison, c'est tellement plus facile de pas se mouiller et de
cracher à droite à gauche...



Tu parles, c'est tout l'inverse. Je n'ai jamais hésité à faire part de mes
convictions et à m'engager sur les positions qui étaient les miennes.

Maintenant si c'est pour enfiler des périphrases affligeantes de vacuité ou
pour pondre des sortes d'aphorismes fumeux au dernier degré, non merci,
j'ai l'impression qu'on a déjà tout ce qu'il faut sur ce forum.
Avatar
laurent B
"FiLH" a écrit dans le message de news:
1jcy2rc.1ijwsi71dx3eecN%
laurent B wrote:

"FiLH" a écrit dans le message de news:

> Alban Taraire




Je ne vois là aucune insulte, et pas d'agressivité, juste la
constatation des faits.



aucune insulte, pas d'agressivité ?????

je te cite juste sur ce fil :

- "Mais bon le connard toulousain vient pendant ......"
- "Trop magique le legras."
- "Maintenant faudrait arrêter de prendre ta nullité pour une généralité"
- "Décidément de plus en plus désopilant le « naïf » de sercice."
- "Ah ce legras... quel homme, il est même nul en réthorique..."

et je n'ai pas encore tout lu


Ce qui est plus amusant c'est qu'on ne te lis guère réagir quand ce sont
tes petits potes qui agressent...

Deux poids deux mesures ?




mes potes ????

tu lis 1 posts sur combien en ce moment ?????

--

laurent B
Avatar
Alban Taraire
jpw wrote:

je suis un médiocre



Je confirme !

--
Alban