"delestaque" a écritLa fidélité entre l'image obtenue et la façon qu'on a eu
d'interpréter la scène. Par ex, pour la saturation, en argentique
on jouait sur la sensiblité de l'émulsion. En numérique ça ne m'est
pas encore paru évident que 100 iso donne un résultat plus saturé
que 200.
Ce qui semble normal, le résultat doit être le même, c'est la base,
quelqu'un t'aurait dit que ça jouait sur la saturation ?
Non... je pensais que c'était pareil qu'en argentique.
Grâce à l'explication donnée dans le fil, j'ai compris
que ça n'avait rien à voir.
Ici, donc c'est un moyen de modifier le temps de pose
(si on s'est fixé une pdc, donc un diaph)... mais ça doit
être au détriment du bruit.
Mais bon, 100 ou 400 ça doit pas changer grand chose.
"delestaque" <r.delestaque@free.fr> a écrit
La fidélité entre l'image obtenue et la façon qu'on a eu
d'interpréter la scène. Par ex, pour la saturation, en argentique
on jouait sur la sensiblité de l'émulsion. En numérique ça ne m'est
pas encore paru évident que 100 iso donne un résultat plus saturé
que 200.
Ce qui semble normal, le résultat doit être le même, c'est la base,
quelqu'un t'aurait dit que ça jouait sur la saturation ?
Non... je pensais que c'était pareil qu'en argentique.
Grâce à l'explication donnée dans le fil, j'ai compris
que ça n'avait rien à voir.
Ici, donc c'est un moyen de modifier le temps de pose
(si on s'est fixé une pdc, donc un diaph)... mais ça doit
être au détriment du bruit.
Mais bon, 100 ou 400 ça doit pas changer grand chose.
"delestaque" a écritLa fidélité entre l'image obtenue et la façon qu'on a eu
d'interpréter la scène. Par ex, pour la saturation, en argentique
on jouait sur la sensiblité de l'émulsion. En numérique ça ne m'est
pas encore paru évident que 100 iso donne un résultat plus saturé
que 200.
Ce qui semble normal, le résultat doit être le même, c'est la base,
quelqu'un t'aurait dit que ça jouait sur la saturation ?
Non... je pensais que c'était pareil qu'en argentique.
Grâce à l'explication donnée dans le fil, j'ai compris
que ça n'avait rien à voir.
Ici, donc c'est un moyen de modifier le temps de pose
(si on s'est fixé une pdc, donc un diaph)... mais ça doit
être au détriment du bruit.
Mais bon, 100 ou 400 ça doit pas changer grand chose.
La lattitude de pose, c'est exact, mais si tu prends un film 100 iso nominal, que tu l'expose a 50
iso et le fait développer a moins un diaph, ca fonctionne très bien, la sensibilité réelle ,
d'ailleurs des films pro, etait indiquée dans la notice, tu pouvais avoir 90 ou 110 iso pour un
film 100 iso, mais le pb étant de savoir a quelle sensibilité réelle le traitement exploitait le
film, d'où le bazar permanent du contrôle et réglage de celui ci.
souvenirs , souvenirs, quelle époque, vivent les capteurs !
La lattitude de pose, c'est exact, mais si tu prends un film 100 iso nominal, que tu l'expose a 50
iso et le fait développer a moins un diaph, ca fonctionne très bien, la sensibilité réelle ,
d'ailleurs des films pro, etait indiquée dans la notice, tu pouvais avoir 90 ou 110 iso pour un
film 100 iso, mais le pb étant de savoir a quelle sensibilité réelle le traitement exploitait le
film, d'où le bazar permanent du contrôle et réglage de celui ci.
souvenirs , souvenirs, quelle époque, vivent les capteurs !
La lattitude de pose, c'est exact, mais si tu prends un film 100 iso nominal, que tu l'expose a 50
iso et le fait développer a moins un diaph, ca fonctionne très bien, la sensibilité réelle ,
d'ailleurs des films pro, etait indiquée dans la notice, tu pouvais avoir 90 ou 110 iso pour un
film 100 iso, mais le pb étant de savoir a quelle sensibilité réelle le traitement exploitait le
film, d'où le bazar permanent du contrôle et réglage de celui ci.
souvenirs , souvenirs, quelle époque, vivent les capteurs !
En argentique sur ta dernière remarque, je ne sais pas si tu veux parler de " pousser " c'est a
dire exploiter un film à une sensibilité plus élevée que nominale ou utiliser des films plus
sensibles, bien sûr comme tu le sais le résultat n'est pas du tout identique.
bon, ben tu nous diras ça, si t'as envie :=)
En argentique sur ta dernière remarque, je ne sais pas si tu veux parler de " pousser " c'est a
dire exploiter un film à une sensibilité plus élevée que nominale ou utiliser des films plus
sensibles, bien sûr comme tu le sais le résultat n'est pas du tout identique.
bon, ben tu nous diras ça, si t'as envie :=)
En argentique sur ta dernière remarque, je ne sais pas si tu veux parler de " pousser " c'est a
dire exploiter un film à une sensibilité plus élevée que nominale ou utiliser des films plus
sensibles, bien sûr comme tu le sais le résultat n'est pas du tout identique.
bon, ben tu nous diras ça, si t'as envie :=)
Sur ce plan, le numérique a un net avantage mais il me semble en lisant
les fils que ça suppose soit du travail à l'ordi après la prise de vue (je
me vois mal faire ça intensément...j'aimais mieux mes produits chimiques !)
soit d'anticiper avec des réglages sur l'appareil, ce qui me semble encore
plus dur pour un débutant. De toute façon, même en post-production,
il vaut mieux savoir à l'avance ce qui est possible et qu'on sait faire
avec un
programme avant de régler le boîtier n'importe comment.
Sur ce plan, le numérique a un net avantage mais il me semble en lisant
les fils que ça suppose soit du travail à l'ordi après la prise de vue (je
me vois mal faire ça intensément...j'aimais mieux mes produits chimiques !)
soit d'anticiper avec des réglages sur l'appareil, ce qui me semble encore
plus dur pour un débutant. De toute façon, même en post-production,
il vaut mieux savoir à l'avance ce qui est possible et qu'on sait faire
avec un
programme avant de régler le boîtier n'importe comment.
Sur ce plan, le numérique a un net avantage mais il me semble en lisant
les fils que ça suppose soit du travail à l'ordi après la prise de vue (je
me vois mal faire ça intensément...j'aimais mieux mes produits chimiques !)
soit d'anticiper avec des réglages sur l'appareil, ce qui me semble encore
plus dur pour un débutant. De toute façon, même en post-production,
il vaut mieux savoir à l'avance ce qui est possible et qu'on sait faire
avec un
programme avant de régler le boîtier n'importe comment.
La dia supportait mal la surexposition : le 100 iso exposé à 50 iso,
ça sortait souvent "granuleux". La sous-exposition passait bien mieux,
mais seulement dans certaines limites. A ce jeu, les films sensibles
(pas la dia, rien de très bon à 400 iso) s'en sortaient mieux, surtout en
n&b où la chimie du développement pouvait compenser la montée du
bruit...pardon, du grain ;-)
Ben les capteurs, je trouve ça plus dur à maîtriser, mais je débute,
j'ai espoir de progresser. Quant à l'argument qu'on peut visualiser
instantanément le résultat...c'est vrai mais allez y voir qq chose en
plein soleil !
La dia supportait mal la surexposition : le 100 iso exposé à 50 iso,
ça sortait souvent "granuleux". La sous-exposition passait bien mieux,
mais seulement dans certaines limites. A ce jeu, les films sensibles
(pas la dia, rien de très bon à 400 iso) s'en sortaient mieux, surtout en
n&b où la chimie du développement pouvait compenser la montée du
bruit...pardon, du grain ;-)
Ben les capteurs, je trouve ça plus dur à maîtriser, mais je débute,
j'ai espoir de progresser. Quant à l'argument qu'on peut visualiser
instantanément le résultat...c'est vrai mais allez y voir qq chose en
plein soleil !
La dia supportait mal la surexposition : le 100 iso exposé à 50 iso,
ça sortait souvent "granuleux". La sous-exposition passait bien mieux,
mais seulement dans certaines limites. A ce jeu, les films sensibles
(pas la dia, rien de très bon à 400 iso) s'en sortaient mieux, surtout en
n&b où la chimie du développement pouvait compenser la montée du
bruit...pardon, du grain ;-)
Ben les capteurs, je trouve ça plus dur à maîtriser, mais je débute,
j'ai espoir de progresser. Quant à l'argument qu'on peut visualiser
instantanément le résultat...c'est vrai mais allez y voir qq chose en
plein soleil !
"delestaque" a écritEn argentique sur ta dernière remarque, je ne sais pas si tu veux
parler de " pousser " c'est a dire exploiter un film à une
sensibilité plus élevée que nominale ou utiliser des films plus
sensibles, bien sûr comme tu le sais le résultat n'est pas du tout
identique. bon, ben tu nous diras ça, si t'as envie :=)
Vu qu'on avait des gammes de sensibilités, on n'avait pas
le réflexe d'emporter que du 100 iso pour l'exposer au
gré de l'envie entre 25 et 800 ! C'était 100 iso, parfois
-0.3 IL et puis basta. Si on voulait une autre sensibilité,
on emportait d'autres films (et accessoirement d'autres boîtiers).
Quand les négatifs couleur ont connu leur mue en grains de toutes
formes, on a retrouvé plus de souplesse.
Sur ce plan, le numérique a un net avantage mais il me semble en
lisant les fils que ça suppose soit du travail à l'ordi après la prise de
vue (je me vois mal faire ça intensément...j'aimais mieux mes produits
chimiques !) soit d'anticiper avec des réglages sur l'appareil, ce
qui me semble encore plus dur pour un débutant. De toute façon, même
en post-production, il vaut mieux savoir à l'avance ce qui est possible et
qu'on sait
faire avec un programme avant de régler le boîtier n'importe comment.
"delestaque" <r.delestaque@free.fr> a écrit
En argentique sur ta dernière remarque, je ne sais pas si tu veux
parler de " pousser " c'est a dire exploiter un film à une
sensibilité plus élevée que nominale ou utiliser des films plus
sensibles, bien sûr comme tu le sais le résultat n'est pas du tout
identique. bon, ben tu nous diras ça, si t'as envie :=)
Vu qu'on avait des gammes de sensibilités, on n'avait pas
le réflexe d'emporter que du 100 iso pour l'exposer au
gré de l'envie entre 25 et 800 ! C'était 100 iso, parfois
-0.3 IL et puis basta. Si on voulait une autre sensibilité,
on emportait d'autres films (et accessoirement d'autres boîtiers).
Quand les négatifs couleur ont connu leur mue en grains de toutes
formes, on a retrouvé plus de souplesse.
Sur ce plan, le numérique a un net avantage mais il me semble en
lisant les fils que ça suppose soit du travail à l'ordi après la prise de
vue (je me vois mal faire ça intensément...j'aimais mieux mes produits
chimiques !) soit d'anticiper avec des réglages sur l'appareil, ce
qui me semble encore plus dur pour un débutant. De toute façon, même
en post-production, il vaut mieux savoir à l'avance ce qui est possible et
qu'on sait
faire avec un programme avant de régler le boîtier n'importe comment.
"delestaque" a écritEn argentique sur ta dernière remarque, je ne sais pas si tu veux
parler de " pousser " c'est a dire exploiter un film à une
sensibilité plus élevée que nominale ou utiliser des films plus
sensibles, bien sûr comme tu le sais le résultat n'est pas du tout
identique. bon, ben tu nous diras ça, si t'as envie :=)
Vu qu'on avait des gammes de sensibilités, on n'avait pas
le réflexe d'emporter que du 100 iso pour l'exposer au
gré de l'envie entre 25 et 800 ! C'était 100 iso, parfois
-0.3 IL et puis basta. Si on voulait une autre sensibilité,
on emportait d'autres films (et accessoirement d'autres boîtiers).
Quand les négatifs couleur ont connu leur mue en grains de toutes
formes, on a retrouvé plus de souplesse.
Sur ce plan, le numérique a un net avantage mais il me semble en
lisant les fils que ça suppose soit du travail à l'ordi après la prise de
vue (je me vois mal faire ça intensément...j'aimais mieux mes produits
chimiques !) soit d'anticiper avec des réglages sur l'appareil, ce
qui me semble encore plus dur pour un débutant. De toute façon, même
en post-production, il vaut mieux savoir à l'avance ce qui est possible et
qu'on sait
faire avec un programme avant de régler le boîtier n'importe comment.
ludovic cruchot wrote:Sur ce plan, le numérique a un net avantage mais il me semble en
lisant les fils que ça suppose soit du travail à l'ordi après la
prise de vue (je me vois mal faire ça intensément...j'aimais mieux
mes produits chimiques !) soit d'anticiper avec des réglages sur
l'appareil, ce qui me semble encore plus dur pour un débutant. De
toute façon, même en post-production, il vaut mieux savoir à l'avance ce
qui est possible et qu'on sait
faire avec un
programme avant de régler le boîtier n'importe comment.
Dans la pratique le post-traitement se découpe en trois:
1) une partie assez technique (balance de blancs, débruitage,
luminosité/contraste) ce qui correspond, en gros, à refaire en plus
chiadé ce que fait l'appareil quand il sort du Jpeg.
2) une partie plus artistique (accentuation des couleurs, recadrage)
3) une partie "maquillage" (suppression de la cabane à frites dans le
fond)
Les habitués du numérique ont de toutes façons tendance à pratiquer 2
et 3, qui sont très faciles avec le logiciel idoine, donc rajouter le
1) au processus n'est pas un gros problème, surtout que faire 1 et 2
ensemble élargit les possibilités.
ludovic cruchot wrote:
Sur ce plan, le numérique a un net avantage mais il me semble en
lisant les fils que ça suppose soit du travail à l'ordi après la
prise de vue (je me vois mal faire ça intensément...j'aimais mieux
mes produits chimiques !) soit d'anticiper avec des réglages sur
l'appareil, ce qui me semble encore plus dur pour un débutant. De
toute façon, même en post-production, il vaut mieux savoir à l'avance ce
qui est possible et qu'on sait
faire avec un
programme avant de régler le boîtier n'importe comment.
Dans la pratique le post-traitement se découpe en trois:
1) une partie assez technique (balance de blancs, débruitage,
luminosité/contraste) ce qui correspond, en gros, à refaire en plus
chiadé ce que fait l'appareil quand il sort du Jpeg.
2) une partie plus artistique (accentuation des couleurs, recadrage)
3) une partie "maquillage" (suppression de la cabane à frites dans le
fond)
Les habitués du numérique ont de toutes façons tendance à pratiquer 2
et 3, qui sont très faciles avec le logiciel idoine, donc rajouter le
1) au processus n'est pas un gros problème, surtout que faire 1 et 2
ensemble élargit les possibilités.
ludovic cruchot wrote:Sur ce plan, le numérique a un net avantage mais il me semble en
lisant les fils que ça suppose soit du travail à l'ordi après la
prise de vue (je me vois mal faire ça intensément...j'aimais mieux
mes produits chimiques !) soit d'anticiper avec des réglages sur
l'appareil, ce qui me semble encore plus dur pour un débutant. De
toute façon, même en post-production, il vaut mieux savoir à l'avance ce
qui est possible et qu'on sait
faire avec un
programme avant de régler le boîtier n'importe comment.
Dans la pratique le post-traitement se découpe en trois:
1) une partie assez technique (balance de blancs, débruitage,
luminosité/contraste) ce qui correspond, en gros, à refaire en plus
chiadé ce que fait l'appareil quand il sort du Jpeg.
2) une partie plus artistique (accentuation des couleurs, recadrage)
3) une partie "maquillage" (suppression de la cabane à frites dans le
fond)
Les habitués du numérique ont de toutes façons tendance à pratiquer 2
et 3, qui sont très faciles avec le logiciel idoine, donc rajouter le
1) au processus n'est pas un gros problème, surtout que faire 1 et 2
ensemble élargit les possibilités.
Dans la pratique le post-traitement se découpe en trois:
1) une partie assez technique (balance de blancs, débruitage, luminosité/contraste) ce qui
correspond, en gros, à refaire en plus chiadé ce que fait l'appareil quand il sort du Jpeg.
2) une partie plus artistique (accentuation des couleurs, recadrage)
3) une partie "maquillage" (suppression de la cabane à frites dans le fond)
Les habitués du numérique ont de toutes façons tendance à pratiquer 2 et 3, qui sont très faciles
avec le logiciel idoine, donc rajouter le 1) au processus n'est pas un gros problème, surtout que
faire 1 et 2 ensemble élargit les possibilités.
Dans la pratique le post-traitement se découpe en trois:
1) une partie assez technique (balance de blancs, débruitage, luminosité/contraste) ce qui
correspond, en gros, à refaire en plus chiadé ce que fait l'appareil quand il sort du Jpeg.
2) une partie plus artistique (accentuation des couleurs, recadrage)
3) une partie "maquillage" (suppression de la cabane à frites dans le fond)
Les habitués du numérique ont de toutes façons tendance à pratiquer 2 et 3, qui sont très faciles
avec le logiciel idoine, donc rajouter le 1) au processus n'est pas un gros problème, surtout que
faire 1 et 2 ensemble élargit les possibilités.
Dans la pratique le post-traitement se découpe en trois:
1) une partie assez technique (balance de blancs, débruitage, luminosité/contraste) ce qui
correspond, en gros, à refaire en plus chiadé ce que fait l'appareil quand il sort du Jpeg.
2) une partie plus artistique (accentuation des couleurs, recadrage)
3) une partie "maquillage" (suppression de la cabane à frites dans le fond)
Les habitués du numérique ont de toutes façons tendance à pratiquer 2 et 3, qui sont très faciles
avec le logiciel idoine, donc rajouter le 1) au processus n'est pas un gros problème, surtout que
faire 1 et 2 ensemble élargit les possibilités.
ça sortait souvent "granuleux". La sous-exposition passait bien mieux,
mais seulement dans certaines limites. A ce jeu, les films sensibles
(pas la dia, rien de très bon à 400 iso) s'en sortaient mieux, surtout en
n&b où la chimie du développement pouvait compenser la montée du
bruit...pardon, du grain ;-)
la chimie ne compensait rien, tout ceci étant un traitement n&b classique , avec les réactions
clasiques d'un n&b , en revanche j'ai toujours été épaté par la finesse de premier révélateur E6
Ben les capteurs, je trouve ça plus dur à maîtriser, mais je débute,
j'ai espoir de progresser. Quant à l'argument qu'on peut visualiser
instantanément le résultat...c'est vrai mais allez y voir qq chose en
plein soleil !
C'est une adaptation, moi, si tu veux ça ne m'a jamais posé de gros pb, comme on le dit souvent
ici, tu imagines que tu bosses avec de la dia, si tu surexposes, tu crames, plus d'info, blanc
sans détails, irreversiblement, dans les noirs on arrive à trouver plus d'info.
l'avantage étant de pouvoir se permettre pas mal de photos sans te ruiner, disons qu'il faut que
tu t'étalonnes toi même par rapport au numérique et ton matériel, en général, ça prend pas des
années, je ne sais pas quel style de photos tu fais, mais dès que tu le peut, fais le " à la pro"
te prends pas trop le chou avec l'exposition, fais plusieurs vues, comme on ne pouvait jamais
vraiment savoir en pro en dia, on braquetais allègrement, mais bon, le prix et le traitement d'un
film n'avaient que très peu d'incidence sur le côut, pour le client, les frais techniques ne
représentaient pas grand chose.
Comment exploites tu tes photos numériques après prise de vue,quel logiciel , connaissance du
logiciel ?
parce que c'est aussi determinant que la prise de vue elle même, de plus ça t'échoie.
ça sortait souvent "granuleux". La sous-exposition passait bien mieux,
mais seulement dans certaines limites. A ce jeu, les films sensibles
(pas la dia, rien de très bon à 400 iso) s'en sortaient mieux, surtout en
n&b où la chimie du développement pouvait compenser la montée du
bruit...pardon, du grain ;-)
la chimie ne compensait rien, tout ceci étant un traitement n&b classique , avec les réactions
clasiques d'un n&b , en revanche j'ai toujours été épaté par la finesse de premier révélateur E6
Ben les capteurs, je trouve ça plus dur à maîtriser, mais je débute,
j'ai espoir de progresser. Quant à l'argument qu'on peut visualiser
instantanément le résultat...c'est vrai mais allez y voir qq chose en
plein soleil !
C'est une adaptation, moi, si tu veux ça ne m'a jamais posé de gros pb, comme on le dit souvent
ici, tu imagines que tu bosses avec de la dia, si tu surexposes, tu crames, plus d'info, blanc
sans détails, irreversiblement, dans les noirs on arrive à trouver plus d'info.
l'avantage étant de pouvoir se permettre pas mal de photos sans te ruiner, disons qu'il faut que
tu t'étalonnes toi même par rapport au numérique et ton matériel, en général, ça prend pas des
années, je ne sais pas quel style de photos tu fais, mais dès que tu le peut, fais le " à la pro"
te prends pas trop le chou avec l'exposition, fais plusieurs vues, comme on ne pouvait jamais
vraiment savoir en pro en dia, on braquetais allègrement, mais bon, le prix et le traitement d'un
film n'avaient que très peu d'incidence sur le côut, pour le client, les frais techniques ne
représentaient pas grand chose.
Comment exploites tu tes photos numériques après prise de vue,quel logiciel , connaissance du
logiciel ?
parce que c'est aussi determinant que la prise de vue elle même, de plus ça t'échoie.
ça sortait souvent "granuleux". La sous-exposition passait bien mieux,
mais seulement dans certaines limites. A ce jeu, les films sensibles
(pas la dia, rien de très bon à 400 iso) s'en sortaient mieux, surtout en
n&b où la chimie du développement pouvait compenser la montée du
bruit...pardon, du grain ;-)
la chimie ne compensait rien, tout ceci étant un traitement n&b classique , avec les réactions
clasiques d'un n&b , en revanche j'ai toujours été épaté par la finesse de premier révélateur E6
Ben les capteurs, je trouve ça plus dur à maîtriser, mais je débute,
j'ai espoir de progresser. Quant à l'argument qu'on peut visualiser
instantanément le résultat...c'est vrai mais allez y voir qq chose en
plein soleil !
C'est une adaptation, moi, si tu veux ça ne m'a jamais posé de gros pb, comme on le dit souvent
ici, tu imagines que tu bosses avec de la dia, si tu surexposes, tu crames, plus d'info, blanc
sans détails, irreversiblement, dans les noirs on arrive à trouver plus d'info.
l'avantage étant de pouvoir se permettre pas mal de photos sans te ruiner, disons qu'il faut que
tu t'étalonnes toi même par rapport au numérique et ton matériel, en général, ça prend pas des
années, je ne sais pas quel style de photos tu fais, mais dès que tu le peut, fais le " à la pro"
te prends pas trop le chou avec l'exposition, fais plusieurs vues, comme on ne pouvait jamais
vraiment savoir en pro en dia, on braquetais allègrement, mais bon, le prix et le traitement d'un
film n'avaient que très peu d'incidence sur le côut, pour le client, les frais techniques ne
représentaient pas grand chose.
Comment exploites tu tes photos numériques après prise de vue,quel logiciel , connaissance du
logiciel ?
parce que c'est aussi determinant que la prise de vue elle même, de plus ça t'échoie.
Et là, en plus de la maîtrise d'un programme, il faut ajouter une bonne
dose de mémoire : se rappeler quelle était la "blancheur" du "blanc le
plus blanc" de la scène photographiée...pas facile ça...
Diminuer le bruit, si ça peut se faire d'un click, alors ça m'ira :-)
Dur de me débarrasser de certaines habitudes : cadrer au mieux (ne
faisant pas de
labo couleur, j'avais pas droit aux recadrages) et s'il y a des éléments
parasites
dans le cadre non éliminables en se déplaçant, ne pas prendre la photo.
Et là, en plus de la maîtrise d'un programme, il faut ajouter une bonne
dose de mémoire : se rappeler quelle était la "blancheur" du "blanc le
plus blanc" de la scène photographiée...pas facile ça...
Diminuer le bruit, si ça peut se faire d'un click, alors ça m'ira :-)
Dur de me débarrasser de certaines habitudes : cadrer au mieux (ne
faisant pas de
labo couleur, j'avais pas droit aux recadrages) et s'il y a des éléments
parasites
dans le cadre non éliminables en se déplaçant, ne pas prendre la photo.
Et là, en plus de la maîtrise d'un programme, il faut ajouter une bonne
dose de mémoire : se rappeler quelle était la "blancheur" du "blanc le
plus blanc" de la scène photographiée...pas facile ça...
Diminuer le bruit, si ça peut se faire d'un click, alors ça m'ira :-)
Dur de me débarrasser de certaines habitudes : cadrer au mieux (ne
faisant pas de
labo couleur, j'avais pas droit aux recadrages) et s'il y a des éléments
parasites
dans le cadre non éliminables en se déplaçant, ne pas prendre la photo.