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Raw ou pas raw ???

61 réponses
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ludovic cruchot
Bonjour,

Je viens de mettre au numérique; après avoir débuté avec un compact, je viens de m'équiper d'un
reflex et je découvre par la même occasion le raw (en l'occurence nef). Il m'a fallu peu de temps
pour m'habituer aux réglages du boîtier mais mon (petit) souci est le choix du format à la prise de
vue. Raw, donc, ou jpeg : le poids n'est pas le même. J'ai fait des vues en raw+jpeg fine et sur
l'écran de l'ordi, je ne vois aucune différence...mais j'ai lu qu'il y en a une considérable, que le
raw est le véritable original, que les amateurs "éclairés" ne font que ça, etc...

J'ai utilisé une version démo pour lire le raw (et je sais qu'il y a au moins 2 autres programmes
leaders pour traiter de tels fichiers) et un gratuiciel pour les jpg. Les réglages de base faisables
sur le jpeg et dont je vois les effets à l'écran on peut les faire identiquement sur le raw, donc ce
n'est pas cet aspect-là du jpeg qui est limitant.
Je vais très bientôt faire un voyage lointain (raison principale de mon achat) et j'emporte environ
40 Go de cartes mémoire (donc du simple au triple de photos selon le format).

Mon idée actuelle est la suivante : pour les photos de famille (qui feront plaisir pour dire "j'y
étais") du jpeg fine ou normal et dans le cas où je sens que j'ai une belle scène devant moi, une
lumière magique, du raw (pour éventuellement l'exploiter plus tard, quand j'aurai plus appris).

Voilà, je demande votre avis là-dessus. Dans quel(s) cas le raw est-il vraiment irremplaçable ?

Merci infiniment d'avoir eu la patience de me lire.

Marcel

10 réponses

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delestaque
ludovic cruchot wrote:
"delestaque" a écrit

La fidélité entre l'image obtenue et la façon qu'on a eu
d'interpréter la scène. Par ex, pour la saturation, en argentique
on jouait sur la sensiblité de l'émulsion. En numérique ça ne m'est
pas encore paru évident que 100 iso donne un résultat plus saturé
que 200.



Ce qui semble normal, le résultat doit être le même, c'est la base,
quelqu'un t'aurait dit que ça jouait sur la saturation ?



Non... je pensais que c'était pareil qu'en argentique.
Grâce à l'explication donnée dans le fil, j'ai compris
que ça n'avait rien à voir.
Ici, donc c'est un moyen de modifier le temps de pose
(si on s'est fixé une pdc, donc un diaph)... mais ça doit
être au détriment du bruit.
Mais bon, 100 ou 400 ça doit pas changer grand chose.


.

Quand même , dans une certaine plage d'utilisation, on a des résultats très
acceptables et des softs qui font des merveilles, voire des miracles, ce qui
m'épate toujours, pour moi, bon je sais bien que c'est du calcul, mais ayant
vécu une carrière argentique, je peux t'assurer que ça bluffe !

" En argentique, cette différence était considérable."

En argentique sur ta dernière remarque, je ne sais pas si tu veux parler de
" pousser " c'est a dire exploiter un film à une sensibilité plus élevée que
nominale ou utiliser des films plus sensibles, bien sûr comme tu le sais le
résultat n'est pas du tout identique.
bon, ben tu nous diras ça, si t'as envie :=)

ricco
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ludovic cruchot
"delestaque" a écrit

La lattitude de pose, c'est exact, mais si tu prends un film 100 iso nominal, que tu l'expose a 50
iso et le fait développer a moins un diaph, ca fonctionne très bien, la sensibilité réelle ,
d'ailleurs des films pro, etait indiquée dans la notice, tu pouvais avoir 90 ou 110 iso pour un
film 100 iso, mais le pb étant de savoir a quelle sensibilité réelle le traitement exploitait le
film, d'où le bazar permanent du contrôle et réglage de celui ci.
souvenirs , souvenirs, quelle époque, vivent les capteurs !



La dia supportait mal la surexposition : le 100 iso exposé à 50 iso,
ça sortait souvent "granuleux". La sous-exposition passait bien mieux,
mais seulement dans certaines limites. A ce jeu, les films sensibles (pas
la dia, rien de très bon à 400 iso) s'en sortaient mieux, surtout en n&b
où la chimie du développement pouvait compenser la montée du bruit...pardon,
du grain ;-)
Ben les capteurs, je trouve ça plus dur à maîtriser, mais je débute, j'ai
espoir de progresser. Quant à l'argument qu'on peut visualiser instantanément
le résultat...c'est vrai mais allez y voir qq chose en plein soleil !

MC
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ludovic cruchot
"delestaque" a écrit

En argentique sur ta dernière remarque, je ne sais pas si tu veux parler de " pousser " c'est a
dire exploiter un film à une sensibilité plus élevée que nominale ou utiliser des films plus
sensibles, bien sûr comme tu le sais le résultat n'est pas du tout identique.
bon, ben tu nous diras ça, si t'as envie :=)



Vu qu'on avait des gammes de sensibilités, on n'avait pas
le réflexe d'emporter que du 100 iso pour l'exposer au
gré de l'envie entre 25 et 800 ! C'était 100 iso, parfois
-0.3 IL et puis basta. Si on voulait une autre sensibilité,
on emportait d'autres films (et accessoirement d'autres boîtiers).
Quand les négatifs couleur ont connu leur mue en grains de toutes formes,
on a retrouvé plus de souplesse.
Sur ce plan, le numérique a un net avantage mais il me semble en lisant
les fils que ça suppose soit du travail à l'ordi après la prise de vue (je
me vois mal faire ça intensément...j'aimais mieux mes produits chimiques !)
soit d'anticiper avec des réglages sur l'appareil, ce qui me semble encore
plus dur pour un débutant. De toute façon, même en post-production,
il vaut mieux savoir à l'avance ce qui est possible et qu'on sait faire avec un
programme avant de régler le boîtier n'importe comment.
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Ofnuts
ludovic cruchot wrote:

Sur ce plan, le numérique a un net avantage mais il me semble en lisant
les fils que ça suppose soit du travail à l'ordi après la prise de vue (je
me vois mal faire ça intensément...j'aimais mieux mes produits chimiques !)
soit d'anticiper avec des réglages sur l'appareil, ce qui me semble encore
plus dur pour un débutant. De toute façon, même en post-production,
il vaut mieux savoir à l'avance ce qui est possible et qu'on sait faire
avec un
programme avant de régler le boîtier n'importe comment.



Dans la pratique le post-traitement se découpe en trois:

1) une partie assez technique (balance de blancs, débruitage,
luminosité/contraste) ce qui correspond, en gros, à refaire en plus
chiadé ce que fait l'appareil quand il sort du Jpeg.

2) une partie plus artistique (accentuation des couleurs, recadrage)

3) une partie "maquillage" (suppression de la cabane à frites dans le fond)

Les habitués du numérique ont de toutes façons tendance à pratiquer 2 et
3, qui sont très faciles avec le logiciel idoine, donc rajouter le 1)
au processus n'est pas un gros problème, surtout que faire 1 et 2
ensemble élargit les possibilités.

--
Bertrand
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delestaque
ludovic cruchot wrote:

La dia supportait mal la surexposition : le 100 iso exposé à 50 iso,



On ne peut pas dire ça, c'était vraiment pratique courante parce que ça
fonctionnait bien, étant donné qu'on ne travaillait que la partie n&b du
film, on avait du grain comme tout film poussé, tu passais un 400 en 1600 ,
ce qui était assez fréquent, + 2 diaph, ça supportait très bien, "retenir "
le film a toujours été plus hasardeux, on le faisait rarement, sauf en pro
avec les plan film, les 120 , mais les corrections, c'était un tiers, un
quart, un demi diaphragme pour tout ajuster, exploitation sensibilité du
film et du traitement, test et suites développées au plus vite, un
traitement E6 ça évolue rapidement ( mais en restant cependant dans les
normes )
Tout ça se passait bien, le négatif couleur ne permettant pas ces
acrobaties, mais en revanche il est devenu tellement " souple " avec des
lattitudes de poses invraisemblables, d'où d'ailleurs les jetables qui ont
eu tant de succès



ça sortait souvent "granuleux". La sous-exposition passait bien mieux,
mais seulement dans certaines limites. A ce jeu, les films sensibles
(pas la dia, rien de très bon à 400 iso) s'en sortaient mieux, surtout en
n&b où la chimie du développement pouvait compenser la montée du
bruit...pardon, du grain ;-)



la chimie ne compensait rien, tout ceci étant un traitement n&b classique ,
avec les réactions clasiques d'un n&b , en revanche j'ai toujours été épaté
par la finesse de premier révélateur E6

Ben les capteurs, je trouve ça plus dur à maîtriser, mais je débute,
j'ai espoir de progresser. Quant à l'argument qu'on peut visualiser
instantanément le résultat...c'est vrai mais allez y voir qq chose en
plein soleil !



C'est une adaptation, moi, si tu veux ça ne m'a jamais posé de gros pb,
comme on le dit souvent ici, tu imagines que tu bosses avec de la dia, si tu
surexposes, tu crames, plus d'info, blanc sans détails, irreversiblement,
dans les noirs on arrive à trouver plus d'info.
l'avantage étant de pouvoir se permettre pas mal de photos sans te ruiner,
disons qu'il faut que tu t'étalonnes toi même par rapport au numérique et
ton matériel, en général, ça prend pas des années, je ne sais pas quel style
de photos tu fais, mais dès que tu le peut, fais le " à la pro" te prends
pas trop le chou avec l'exposition, fais plusieurs vues, comme on ne pouvait
jamais vraiment savoir en pro en dia, on braquetais allègrement, mais bon,
le prix et le traitement d'un film n'avaient que très peu d'incidence sur le
côut, pour le client, les frais techniques ne représentaient pas grand
chose.
Comment exploites tu tes photos numériques après prise de vue,quel logiciel
, connaissance du logiciel ?
parce que c'est aussi determinant que la prise de vue elle même, de plus ça
t'échoie.

Ricco
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delestaque
ludovic cruchot wrote:
"delestaque" a écrit

En argentique sur ta dernière remarque, je ne sais pas si tu veux
parler de " pousser " c'est a dire exploiter un film à une
sensibilité plus élevée que nominale ou utiliser des films plus
sensibles, bien sûr comme tu le sais le résultat n'est pas du tout
identique. bon, ben tu nous diras ça, si t'as envie :=)



Vu qu'on avait des gammes de sensibilités, on n'avait pas
le réflexe d'emporter que du 100 iso pour l'exposer au
gré de l'envie entre 25 et 800 ! C'était 100 iso, parfois
-0.3 IL et puis basta. Si on voulait une autre sensibilité,
on emportait d'autres films (et accessoirement d'autres boîtiers).
Quand les négatifs couleur ont connu leur mue en grains de toutes
formes, on a retrouvé plus de souplesse.
Sur ce plan, le numérique a un net avantage mais il me semble en
lisant les fils que ça suppose soit du travail à l'ordi après la prise de
vue (je me vois mal faire ça intensément...j'aimais mieux mes produits
chimiques !) soit d'anticiper avec des réglages sur l'appareil, ce
qui me semble encore plus dur pour un débutant. De toute façon, même
en post-production, il vaut mieux savoir à l'avance ce qui est possible et
qu'on sait
faire avec un programme avant de régler le boîtier n'importe comment.



en fait, n'ayant pas lu ce post, dans ma réponse précedente, j'avais un peu
anticipé sur toi :=)
C'est d'ailleurs assez marrant de finalement se retrouver, je pense
notamment à la " souplesse " due aux progrès des négas couleur

ric
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delestaque
Ofnuts wrote:
ludovic cruchot wrote:

Sur ce plan, le numérique a un net avantage mais il me semble en
lisant les fils que ça suppose soit du travail à l'ordi après la
prise de vue (je me vois mal faire ça intensément...j'aimais mieux
mes produits chimiques !) soit d'anticiper avec des réglages sur
l'appareil, ce qui me semble encore plus dur pour un débutant. De
toute façon, même en post-production, il vaut mieux savoir à l'avance ce
qui est possible et qu'on sait
faire avec un
programme avant de régler le boîtier n'importe comment.



Dans la pratique le post-traitement se découpe en trois:

1) une partie assez technique (balance de blancs, débruitage,
luminosité/contraste) ce qui correspond, en gros, à refaire en plus
chiadé ce que fait l'appareil quand il sort du Jpeg.



on peut même dire que c'est la partie " labo traditionnelle," certains
disent même le développement numérique !
pourquoi pas, au moins la terminologie est simple et connue, évocatrice "

2) une partie plus artistique (accentuation des couleurs, recadrage)



oui, on peut dire ça

3) une partie "maquillage" (suppression de la cabane à frites dans le
fond)



je dirais plutot " photomontage " pour la barraque à frites , parce qu'en
argentique, on en était vraiment là, impossible en amateur, d'ailleurs, j'ai
fait ça en pro, ciel, quel travail, que de temps , de difficultés, d'essais
et réglages, d'hamonisation des couleurs, maintenant tu fais "
correspondance de la couleur et tu adaptes une vue de neige avec
...n'importe quoi !
et ça ne se voit même pas, avant, les détourages, les masques, les contre
masques, les retouches des filets de détourage, au pinceau, c'était pas
triste.

Les habitués du numérique ont de toutes façons tendance à pratiquer 2
et 3, qui sont très faciles avec le logiciel idoine, donc rajouter le
1) au processus n'est pas un gros problème, surtout que faire 1 et 2
ensemble élargit les possibilités.



même en fait, tu fais les niveaux soigneusement et ça a une incidence sur
l'équilibre couleur.
parfois, il n'y a rien a revoir après.

ricco
Avatar
ludovic cruchot
"Ofnuts" a écrit

Dans la pratique le post-traitement se découpe en trois:

1) une partie assez technique (balance de blancs, débruitage, luminosité/contraste) ce qui
correspond, en gros, à refaire en plus chiadé ce que fait l'appareil quand il sort du Jpeg.



Et là, en plus de la maîtrise d'un programme, il faut ajouter une bonne
dose de mémoire : se rappeler quelle était la "blancheur" du "blanc le
plus blanc" de la scène photographiée...pas facile ça...
Diminuer le bruit, si ça peut se faire d'un click, alors ça m'ira :-)

2) une partie plus artistique (accentuation des couleurs, recadrage)

3) une partie "maquillage" (suppression de la cabane à frites dans le fond)

Les habitués du numérique ont de toutes façons tendance à pratiquer 2 et 3, qui sont très faciles
avec le logiciel idoine, donc rajouter le 1) au processus n'est pas un gros problème, surtout que
faire 1 et 2 ensemble élargit les possibilités.



Dur de me débarrasser de certaines habitudes : cadrer au mieux (ne faisant pas de
labo couleur, j'avais pas droit aux recadrages) et s'il y a des éléments parasites
dans le cadre non éliminables en se déplaçant, ne pas prendre la photo.

MC
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ludovic cruchot
"delestaque" a écrit

ça sortait souvent "granuleux". La sous-exposition passait bien mieux,
mais seulement dans certaines limites. A ce jeu, les films sensibles
(pas la dia, rien de très bon à 400 iso) s'en sortaient mieux, surtout en
n&b où la chimie du développement pouvait compenser la montée du
bruit...pardon, du grain ;-)



la chimie ne compensait rien, tout ceci étant un traitement n&b classique , avec les réactions
clasiques d'un n&b , en revanche j'ai toujours été épaté par la finesse de premier révélateur E6



En adaptant les produits et la méthode de développement n&b, on pouvait
diminuer le grain apparent du négatif, je pense aux traitements en 2 bains.
Mais c'est vrai qu'après c'était une question d'habileté au tirage pour avoir
les meilleurs résultats.
Si me bruit est l'équivalent moderne du grain, on dirait qu'il est toujours à
combattre alors que le second était parfois recherché à des fins d'expression.

Ben les capteurs, je trouve ça plus dur à maîtriser, mais je débute,
j'ai espoir de progresser. Quant à l'argument qu'on peut visualiser
instantanément le résultat...c'est vrai mais allez y voir qq chose en
plein soleil !



C'est une adaptation, moi, si tu veux ça ne m'a jamais posé de gros pb, comme on le dit souvent
ici, tu imagines que tu bosses avec de la dia, si tu surexposes, tu crames, plus d'info, blanc
sans détails, irreversiblement, dans les noirs on arrive à trouver plus d'info.



J'ai pratiqué 2 ans avec un compact et j'ai bien compris qu'il fallait exposer
(donc choisir) comme avec de la dia. Avec la mesure spot j'y arrivais tant bien
que mal.

l'avantage étant de pouvoir se permettre pas mal de photos sans te ruiner, disons qu'il faut que
tu t'étalonnes toi même par rapport au numérique et ton matériel, en général, ça prend pas des
années, je ne sais pas quel style de photos tu fais, mais dès que tu le peut, fais le " à la pro"
te prends pas trop le chou avec l'exposition, fais plusieurs vues, comme on ne pouvait jamais
vraiment savoir en pro en dia, on braquetais allègrement, mais bon, le prix et le traitement d'un
film n'avaient que très peu d'incidence sur le côut, pour le client, les frais techniques ne
représentaient pas grand chose.



Le fait de devoir multiplier les expositions différentes d'un même sujet pour
ensuite choisir à tête reposée a été l'objet intial de mon post (quel poids pour
chaque fichier ? jpeg ou raw systématique ?). En fait je dois calculer combien
de mémoire je dois emporter pour mon voyage. J'irai peut être dans des lieux
où j'aurai du mal à me réapprovisionner en cas de panne sèche et je n'ai pas
de petit ordi à emporter.

Comment exploites tu tes photos numériques après prise de vue,quel logiciel , connaissance du
logiciel ?
parce que c'est aussi determinant que la prise de vue elle même, de plus ça t'échoie.



Pour l'instant je n'ai rien commencé au niveau post-production puisque j'ai le reflex
depuis 15 jours et je pars dans 10 jours. J'ai une version d'essai fournie de capture nx2
et j'ai pu me rendre compte de l'étendue de ce qu'on peut faire avec. Je sens bien qu'il
me faudra du temps et c'est pourquoi je serais rassuré si j'étais sûr que les raw "de base"
fournis par le reflex seront les meilleurs possibles et que de retour, la balle sera dans
mon camp pour les traiter, avec droit à recommencer plusieurs fois :-)

Merci encore pour les conseils

MC
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Jean-Pierre Roche
ludovic cruchot a écrit :

Et là, en plus de la maîtrise d'un programme, il faut ajouter une bonne
dose de mémoire : se rappeler quelle était la "blancheur" du "blanc le
plus blanc" de la scène photographiée...pas facile ça...



Oula... Tu as énormément de choses à apprendre car ce genre
de truc se fait d'un seul clic... Et avec l'habitude sans
une once de réflexion.

Diminuer le bruit, si ça peut se faire d'un click, alors ça m'ira :-)



Là par contre non... Le traitement du bruit (sur les photos
qui en ont !) est un gros boulot (si on veut faire au mieux)
et une opération lourde (PC puissant recommandé).

Dur de me débarrasser de certaines habitudes : cadrer au mieux (ne
faisant pas de
labo couleur, j'avais pas droit aux recadrages) et s'il y a des éléments
parasites
dans le cadre non éliminables en se déplaçant, ne pas prendre la photo.



Ca c'est le plus simple. On s'y fait vite. En revanche,
savoir jongler des infinies possibilités de la retouche
numérique pour tirer le meilleur parti d'une prise de vue
c'est un apprentissage permanent. D'où d'ailleurs l'intérêt
du raw puisqu'on peut revenir à l'infini sur les corrections
effectuées dans des logiciels comme Nikon Capture NX2 (pour
Nikon) ou Lightroom 2 (pour à peu près tous appareils qui
font du raw).


--
Jean-Pierre Roche

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