Twitter iPhone pliant OnePlus 11 PS5 Disney+ Orange Livebox Windows 11

Recherche logiciel de comptabilité en partie double simple et gratuit

64 réponses
Avatar
Ghost-Raider
Bonjour,
Presque tout est dans le titre.
Dans le cadre de ma migration de Windows Í  Linux je recherche un
logiciel simple de comptabilité en partie double.
Je précise bien *en partie double*.
Ceci élimine d'entrée les logiciels de comptabilité ou de trésorerie
personnelle qui ne permettent pas la partie double mais seulement le
reclassement de dépenses.
Ce que je recherche, c'est un logiciel en partie double avec journal,
grand-livre, balance, bilan et compte de résultat avec plan comptable
modifiable au fil de l'eau.
Éventuellement, budgets et états financiers : plan de financement,
tableau de financement etc..
Je ne suis pas intéressé par la gestion de stock, gestion de produits,
gestion de clients, facturation, paie, gestion de portefeuille, ou même
ERP etc..
Donc un logiciel tout simple, en fait.
De préférence sous Linux ou Í  défaut sous Windows avec possibilité de
migration de Windows Í  Linux.
Merci d'avance...

--
Ils y reviendront, au cheval, ils y reviendront, et au galop !

10 réponses

Avatar
jp willm
Le 01/05/2022 Í  23:47, Nicolas George a écrit :
jp willm , dans le message <t4ml69$1249$, a écrit :
Un gaz hilarant peut-être ? :-D

Non, le gaz hilarant c'est Nâ‚‚O, pas GPL. D'ailleurs, G et L ne sont pas des
symboles atomiques.

Merci pour la précision.
--
jp willm
https://willms.pagesperso-orange.fr/
https://www.youtube.com/channel/UCJwHW5GwrK1fq16cxUoBOUw
Avatar
Nicolas George
Matthieu , dans le message <t4nucj$diq$, a écrit :
Je ne pense pas qu'ils soient vraiment objectifs.
GPLv2 c'est 8 pages A4 de clauses légales mentionnant les conditions
d'utilisation, les restrictions, les devoirs... GPLv3 en compte 12.
Le concept de liberté est très particulier chez la FSF.
En comparaison, la licence MIT tient sur 15 lignes et dit simplement
"tu fais ce que tu veux avec, faut juste pas dire que c'est toi qui a
inventé le truc et on est responsable de rien si tu as un problème".

La critique est aisée mais l'art est difficile.
Avant de débattre sur ce sujet avec toi, il me semblerait sain et
indispensable que tu partages ta définition, opérationnelle et précise, de
Logiciel Libre.
(Pour ma part, je me satisfais tout Í  fait de la définition par les quatre
libertés essentielles de la FSF ou des conditions de Debian ; les
différences entre les deux sont assez minuscules pour ne pas gêner le
débat.)
Xpost + fu2
Avatar
Marc SCHAEFER
Matthieu wrote:
Ce n'est pas exact. Un logiciel libre (par ex. MIT) ne peut pas être
"propriétarisé", puisqu'il est libre - justement. Ce qui peut être
propriétaire, ce sont les éventuels ajouts de tiers. En tant que
développeur, j'estime que cela ne me regarde pas qui donne quelle
licence Í  son code. Le mien reste ouvert en tout les cas, si quelqu'un
y ajoute une fonctionnalité et ne souhaite pas en publier le code,
libre Í  lui. C'est aussi cela, la liberté.

Cela signifie aussi que si une entreprise vit du service construit
autour d'un logiciel libre, un concurrent peut arriver, investir
fortement pour améliorer le logiciel, et la 1ère entreprise risque de
perdre son marché, et l'utilisateur final perdre l'avantage d'avoir
accès au code source des améliorations.
La GPLv3 (voire l'A-GPL) et toutes les licences véritablement copyleft
évitent ce cas de figure: la nouvelle entreprise peut gagner des parts
de marché, mais l'entreprise initiale bénéficie des améliorations, comme
l'utilisateur final d'ailleurs.
De même en cas de faillite de l'entreprise faisant la version améliorée,
on peut continuer Í  maintenir le logiciel bien amélioré.
Si les extensions ont été propriétarisées, on tombe dans pas mal de
soucis assez vite en cas de monopole ou de faillite.
Après, ce qui est important est de réfléchir Í  sa position (développeur
original, développeur contributeur, intégrateur, utilisateur final). Ils
n'ont pas les mêmes buts et donc pas le même besoin de droits et de
libertés.
Avatar
Matthieu
Le 02.05.2022 Í  08:20 Nicolas George a écrit:
Avant de débattre sur ce sujet avec toi

Débattre n'est pas volonté, j'ai mieux Í  faire. Je précisais simplement
que ta remarque (gnucash libre, pas "juste" open-source) est
fondamentalement naͯve.
indispensable que tu partages ta définition, opérationnelle et
précise, de Logiciel Libre.

Précisons déjÍ  que ce n'est pas le logiciel qui est libre, mais son code
source. Et un code source libre, c'est un code source que je peux
modifier pour ensuite redistribuer mes modifications sous mes termes.
Il s'agit, après tout, de mon travail.
Le GPL ne permet pas cela, puisqu'il impose sa propagation Í  tout
élément qui le touche. Il y a quelques années Ballmer avait comparé
cela Í  un cancer, et pour une fois il n'avait pas complètement tort
(même si la tournure qu'il avait utilisé était bien maladroite).
(Pour ma part, je me satisfais tout Í  fait de la définition par les
quatre libertés essentielles de la FSF

C'est ton droit. Il faut juste savoir que la quatrième "liberté" est
strictement encadrée dans le modèle GPL, ce qui la rend... assez peu
libre finalement. Mais chacun fait ce qu'il veut avec son code.
Matthieu
Avatar
Matthieu
Le 02.05.2022 Í  08:49 Marc SCHAEFER a écrit:
Matthieu wrote:
Ce n'est pas exact. Un logiciel libre (par ex. MIT) ne peut pas être
"propriétarisé", puisqu'il est libre - justement. Ce qui peut être
propriétaire, ce sont les éventuels ajouts de tiers. En tant que
développeur, j'estime que cela ne me regarde pas qui donne quelle
licence Í  son code. Le mien reste ouvert en tout les cas, si
quelqu'un y ajoute une fonctionnalité et ne souhaite pas en publier
le code, libre Í  lui. C'est aussi cela, la liberté.

Cela signifie aussi que si une entreprise vit du service construit
autour d'un logiciel libre, un concurrent peut arriver, investir
fortement pour améliorer le logiciel, et la 1ère entreprise risque de
perdre son marché

Ce qui est parfaitement normal. Maintenant, si l'entreprise "A" a
développé le logiciel elle-même et qu'elle veut le préserver comme un
avantage concurentiel, alors elle n'a qu'Í  pas le libérer. Et c'est ce
que permet le GPL: "tu peux regarder mais si tu touches, alors ton code
ne t'appartient pas".
et l'utilisateur final perdre l'avantage d'avoir
accès au code source des améliorations.

C'est contradictoire: si l'utilisateur avait un avantage Í  avoir le
code source, il n'aurait probablement pas besoin du service autour...
Les utilisateur qui payent n'ont pas besoin du code source, puisqu'ils
payent justement pour ne pas être emmerdés.
Le code source GPL (du point de vue de l'entreprise), c'est surtout pour
faire du buzz, et éventuellement récupérer quelques contributions (mais
ce dernier point est extrêmement rare en pratique).
La GPLv3 (voire l'A-GPL) et toutes les licences véritablement copyleft
évitent ce cas de figure

Je ne nie pas cela, je maintiens simplement qu’appeler le GPL une
licence "libre" est pour le moins capilotracté. C'est de l'open-source
avec une EULA de 12 pages.
Si les extensions ont été propriétarisées, on tombe dans pas mal de
soucis assez vite en cas de monopole ou de faillite.

Cela s’appelle le capitalisme. Une entreprise n'est pas un enfant de 3
ans (ou un cheval, pour revenir au leitmotiv de ce fil). A elle de
prendre ses décisions stratégique et de les assumer ensuite.
Après, ce qui est important est de réfléchir Í  sa position
(développeur original, développeur contributeur, intégrateur,
utilisateur final). Ils n'ont pas les mêmes buts et donc pas le même
besoin de droits et de libertés.

Précisément.
Matthieu
Avatar
Nicolas George
Matthieu , dans le message <t4o63m$1s6r$, a écrit :
Je précisais simplement que ta remarque (gnucash libre, pas "juste"
open-source) est fondamentalement naͯve.

Cependant, plus je creuse, et plus je constate que c'est ta conception de la
liberté qui est aussi naͯve que ton premier message le laissait penser, et Í 
laquelle j'ai répondu de manière humoristique.
Précisons déjÍ  que ce n'est pas le logiciel qui est libre
source.

Le logiciel est son code source.
C'est ton droit. Il faut juste savoir que la quatrième "liberté" est
strictement encadrée dans le modèle GPL, ce qui la rend... assez peu
libre finalement. Mais chacun fait ce qu'il veut avec son code.

Tu as cherché Í  esquiver la question, mais ça s'est vu :
Quelle est la définition de liberté pour du logiciel que toi tu emploies ?
Avatar
Nicolas George
Marc SCHAEFER , dans le message <t4o5ts$eip$, a
écrit :
Cela signifie aussi que si une entreprise vit du service construit
autour d'un logiciel libre, un concurrent peut arriver, investir
fortement pour améliorer le logiciel, et la 1ère entreprise risque de
perdre son marché, et l'utilisateur final perdre l'avantage d'avoir
accès au code source des améliorations.
La GPLv3 (voire l'A-GPL) et toutes les licences véritablement copyleft
évitent ce cas de figure

Les licences non libres évident ce cas de figure aussi. Tu es en train de te
tirer une balle dans le pied avec cet argument.
Avatar
Goldo raque
Le 02/05/2022 Í  10:49, Marc SCHAEFER a écrit :
Matthieu wrote:
Ce n'est pas exact. Un logiciel libre (par ex. MIT) ne peut pas être
"propriétarisé", puisqu'il est libre - justement. Ce qui peut être
propriétaire, ce sont les éventuels ajouts de tiers. En tant que
développeur, j'estime que cela ne me regarde pas qui donne quelle
licence Í  son code. Le mien reste ouvert en tout les cas, si quelqu'un
y ajoute une fonctionnalité et ne souhaite pas en publier le code,
libre Í  lui. C'est aussi cela, la liberté.

Cela signifie aussi que si une entreprise vit du service construit
autour d'un logiciel libre, un concurrent peut arriver, investir
fortement pour améliorer le logiciel, et la 1ère entreprise risque de
perdre son marché, et l'utilisateur final perdre l'avantage d'avoir
accès au code source des améliorations.
La GPLv3 (voire l'A-GPL) et toutes les licences véritablement copyleft
évitent ce cas de figure: la nouvelle entreprise peut gagner des parts
de marché, mais l'entreprise initiale bénéficie des améliorations, comme
l'utilisateur final d'ailleurs.
De même en cas de faillite de l'entreprise faisant la version améliorée,
on peut continuer Í  maintenir le logiciel bien amélioré.
Si les extensions ont été propriétarisées, on tombe dans pas mal de
soucis assez vite en cas de monopole ou de faillite.
Après, ce qui est important est de réfléchir Í  sa position (développeur
original, développeur contributeur, intégrateur, utilisateur final). Ils
n'ont pas les mêmes buts et donc pas le même besoin de droits et de
libertés.

schaefer est banquier - comptable, il sait compter le fric. Mais vous ne
nous apprnenez rien, que des banalités sur les principes connus et qui
coulent de source, monsieur fontaine.
--
Avatar
Matthieu
On 02 May 2022 10:11:30 GMT Nicolas George wrote:
Le logiciel est son code source.

C'était vrai il y a 30 ans (et encore), plus aujourd'hui.
Tu as cherché Í  esquiver la question, mais ça s'est vu :

Non, je n'esquive rien. J'ai pourtant cru être clair: je n'ai pas
l'intention de débattre de quoi que ce soit avec toi. J'ai rectifié
ton commentaire naif "non c'est pas open-source, c'est libre", je
n'irai pas plus loin. Tu trouves que le GPL donne sufissament de
liberté, alors utilises le pour les programmes que tu réalises, c'est
ton choix.
Matthieu
Avatar
Marc SCHAEFER
Nicolas George <nicolas$ wrote:
Les licences non libres évident ce cas de figure aussi. Tu es en train de te
tirer une balle dans le pied avec cet argument.

Les licences non libres ne reçoivent pas de contributions de la
communauté, me semble-t-il.