Bonjour
pour une raison que j'ignore, j'ai accès via iTunes à de la musique
partagée par mes voisins. Mais je n'arrive pas à la copier sur mon disque.
Comment faire ?
Merci
À (at) Wed, 21 Dec 2011 01:18:56 +0100 (CET), Matt écrivait (wrote):
On Mar 20 décembre 2011 à 15:17, Paul Gaborit wrote:
Formellement, ce n'est pas du vol. C'est peut-être de la copie illég ale.
Je ne suis pas sûr que les auteurs des ½uvres perçoivent cette nuan ce.
En général, ce ne sont pas les auteurs, compositeurs ou interprètes q ui se battent contre la copie illégale mais plutôt les producteurs et surtout les éditeurs, les distributeurs et autres sociétés de percept ion de droits. Et la nuance, ils l'ont parfaitement comprise même s'ils font tout pour qu'on l'oublie.
Ça reste du vol si notre posteur initial anonyme a toutes ses faculté s mentales, auquel cas tu as raison je l'avoue.
Je n'ai sans doute pas toutes mes facultés mentales car je n'ai pas compris cette phrase...
-- Paul Gaborit - <http://perso.mines-albi.fr/~gaborit/>
À (at) Wed, 21 Dec 2011 01:18:56 +0100 (CET),
Matt <hfrarg@syrius.org.invalid> écrivait (wrote):
On Mar 20 décembre 2011 à 15:17,
Paul Gaborit <Paul.Gaborit@invalid.invalid> wrote:
Formellement, ce n'est pas du vol. C'est peut-être de la copie illég ale.
Je ne suis pas sûr que les auteurs des ½uvres perçoivent cette nuan ce.
En général, ce ne sont pas les auteurs, compositeurs ou interprètes q ui
se battent contre la copie illégale mais plutôt les producteurs et
surtout les éditeurs, les distributeurs et autres sociétés de percept ion
de droits. Et la nuance, ils l'ont parfaitement comprise même s'ils font
tout pour qu'on l'oublie.
Ça reste du vol si notre posteur initial anonyme a toutes ses faculté s
mentales, auquel cas tu as raison je l'avoue.
Je n'ai sans doute pas toutes mes facultés mentales car je n'ai pas
compris cette phrase...
--
Paul Gaborit - <http://perso.mines-albi.fr/~gaborit/>
À (at) Wed, 21 Dec 2011 01:18:56 +0100 (CET), Matt écrivait (wrote):
On Mar 20 décembre 2011 à 15:17, Paul Gaborit wrote:
Formellement, ce n'est pas du vol. C'est peut-être de la copie illég ale.
Je ne suis pas sûr que les auteurs des ½uvres perçoivent cette nuan ce.
En général, ce ne sont pas les auteurs, compositeurs ou interprètes q ui se battent contre la copie illégale mais plutôt les producteurs et surtout les éditeurs, les distributeurs et autres sociétés de percept ion de droits. Et la nuance, ils l'ont parfaitement comprise même s'ils font tout pour qu'on l'oublie.
Ça reste du vol si notre posteur initial anonyme a toutes ses faculté s mentales, auquel cas tu as raison je l'avoue.
Je n'ai sans doute pas toutes mes facultés mentales car je n'ai pas compris cette phrase...
-- Paul Gaborit - <http://perso.mines-albi.fr/~gaborit/>
pdorange
Paul Gaborit wrote:
>> Formellement, ce n'est pas du vol. C'est peut-être de la copie illégale. > > Je ne suis pas sûr que les auteurs des ½uvres perçoivent cette nuance.
En général, ce ne sont pas les auteurs, compositeurs ou interprètes qui se battent contre la copie illégale mais plutôt les producteurs et surtout les éditeurs, les distributeurs et autres sociétés de perception de droits. Et la nuance, ils l'ont parfaitement comprise même s'ils font tout pour qu'on l'oublie.
C'est un peu plsu complexe. Ce sont les sociétés de gestion de droit (type SACEM) qui se battent surtout (poussé par les éditeurs notamment). Les auteurs n'interviennent en effet pas ou peu... Du moins en apparence, car en fait tous ces acteurs confient la gestion des droits a des sociétés tierces (de gestion de droits), c'est bien plus confortable pour eux. Mais aussi bien plus rigide.
Par exemple certains auteurs désirent mettre en libre certains aspects de leurs ½uvres ou un morceau de musique (ou un album). Des le système actuel classique, impossible, les sociétés de gestion de droits ne connaissent pas et ne gèrent pas (ne veulent pas gérer serait plus exact) les licences Creative Commons par exemple. Elles préfèrent se concentrer sur les licences payantes qui leurs rapport (ainsi que par retombée aux ayants droits).
L'auteur (ou même éditeur) qui serait dans cette démarche (de vouloir libérer un aspect ou une seule ½uvre) se heurte a se problème et n'a pas souvent les moyens (c'est du moins le message qu'entretiennent les société de gestion des droits) de gérer lui même ces droits...
C'est un système auto-entretenu en boucle...
Il semble toutefois que certaines société de gestion des droits commencent a étudier sérieusement les licences de type Creative Commons pour les intégrer a leur système afin de répondre a des demandes d'éditeurs notamment qui souhaitent les utiliser notamment pour faire du marketing... Peut être une lueur d'espoir à moyen terme.
Ce message est sous licence Creative Commons "by-nc-sa-2.0" <http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.0/fr/>
Paul Gaborit <Paul.Gaborit@invalid.invalid> wrote:
>> Formellement, ce n'est pas du vol. C'est peut-être de la copie illégale.
>
> Je ne suis pas sûr que les auteurs des ½uvres perçoivent cette nuance.
En général, ce ne sont pas les auteurs, compositeurs ou interprètes qui
se battent contre la copie illégale mais plutôt les producteurs et
surtout les éditeurs, les distributeurs et autres sociétés de perception
de droits. Et la nuance, ils l'ont parfaitement comprise même s'ils font
tout pour qu'on l'oublie.
C'est un peu plsu complexe. Ce sont les sociétés de gestion de droit
(type SACEM) qui se battent surtout (poussé par les éditeurs notamment).
Les auteurs n'interviennent en effet pas ou peu... Du moins en
apparence, car en fait tous ces acteurs confient la gestion des droits a
des sociétés tierces (de gestion de droits), c'est bien plus confortable
pour eux. Mais aussi bien plus rigide.
Par exemple certains auteurs désirent mettre en libre certains aspects
de leurs ½uvres ou un morceau de musique (ou un album). Des le système
actuel classique, impossible, les sociétés de gestion de droits ne
connaissent pas et ne gèrent pas (ne veulent pas gérer serait plus
exact) les licences Creative Commons par exemple. Elles préfèrent se
concentrer sur les licences payantes qui leurs rapport (ainsi que par
retombée aux ayants droits).
L'auteur (ou même éditeur) qui serait dans cette démarche (de vouloir
libérer un aspect ou une seule ½uvre) se heurte a se problème et n'a pas
souvent les moyens (c'est du moins le message qu'entretiennent les
société de gestion des droits) de gérer lui même ces droits...
C'est un système auto-entretenu en boucle...
Il semble toutefois que certaines société de gestion des droits
commencent a étudier sérieusement les licences de type Creative Commons
pour les intégrer a leur système afin de répondre a des demandes
d'éditeurs notamment qui souhaitent les utiliser notamment pour faire du
marketing... Peut être une lueur d'espoir à moyen terme.
>> Formellement, ce n'est pas du vol. C'est peut-être de la copie illégale. > > Je ne suis pas sûr que les auteurs des ½uvres perçoivent cette nuance.
En général, ce ne sont pas les auteurs, compositeurs ou interprètes qui se battent contre la copie illégale mais plutôt les producteurs et surtout les éditeurs, les distributeurs et autres sociétés de perception de droits. Et la nuance, ils l'ont parfaitement comprise même s'ils font tout pour qu'on l'oublie.
C'est un peu plsu complexe. Ce sont les sociétés de gestion de droit (type SACEM) qui se battent surtout (poussé par les éditeurs notamment). Les auteurs n'interviennent en effet pas ou peu... Du moins en apparence, car en fait tous ces acteurs confient la gestion des droits a des sociétés tierces (de gestion de droits), c'est bien plus confortable pour eux. Mais aussi bien plus rigide.
Par exemple certains auteurs désirent mettre en libre certains aspects de leurs ½uvres ou un morceau de musique (ou un album). Des le système actuel classique, impossible, les sociétés de gestion de droits ne connaissent pas et ne gèrent pas (ne veulent pas gérer serait plus exact) les licences Creative Commons par exemple. Elles préfèrent se concentrer sur les licences payantes qui leurs rapport (ainsi que par retombée aux ayants droits).
L'auteur (ou même éditeur) qui serait dans cette démarche (de vouloir libérer un aspect ou une seule ½uvre) se heurte a se problème et n'a pas souvent les moyens (c'est du moins le message qu'entretiennent les société de gestion des droits) de gérer lui même ces droits...
C'est un système auto-entretenu en boucle...
Il semble toutefois que certaines société de gestion des droits commencent a étudier sérieusement les licences de type Creative Commons pour les intégrer a leur système afin de répondre a des demandes d'éditeurs notamment qui souhaitent les utiliser notamment pour faire du marketing... Peut être une lueur d'espoir à moyen terme.
Ce message est sous licence Creative Commons "by-nc-sa-2.0" <http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.0/fr/>
Matt
On Mer 21 décembre 2011 à 10:43, Paul Gaborit wrote:
En général, ce ne sont pas les auteurs, compositeurs ou interprètes qui se battent contre la copie illégale mais plutôt les producteurs et surtout les éditeurs, les distributeurs et autres sociétés de perception de droits. Et la nuance, ils l'ont parfaitement comprise même s'ils font tout pour qu'on l'oublie.
Le « en général » est basé sur des vérités ou c'est juste d'après toi ? Parce que je doute que beaucoup d'artistes ne vivent comme au temps de la Bohème... (je sais de quoi je parle, travaillant justement dans le monde du spectacle).
Aussi c'est bien beau de taper sur tout ce beau monde mais sans ces méchants éditeurs, producteurs et distributeurs, beaucoup d'œuvres n'auraient jamais eu l'impact qu'elles ont eu.
Je n'ai sans doute pas toutes mes facultés mentales car je n'ai pas compris cette phrase...
Mince, c'est bien dommage. Reprendre peut-être des cours de Français ?
-- Mozart : Célèbre compositeur que l'on écoute le plus souvent dans les pizzerias car on sent bien que mozzarella
On Mer 21 décembre 2011 à 10:43,
Paul Gaborit <Paul.Gaborit@invalid.invalid> wrote:
En général, ce ne sont pas les auteurs, compositeurs ou interprètes qui
se battent contre la copie illégale mais plutôt les producteurs et
surtout les éditeurs, les distributeurs et autres sociétés de perception
de droits. Et la nuance, ils l'ont parfaitement comprise même s'ils font
tout pour qu'on l'oublie.
Le « en général » est basé sur des vérités ou c'est juste d'après toi ?
Parce que je doute que beaucoup d'artistes ne vivent comme au temps de
la Bohème... (je sais de quoi je parle, travaillant justement dans le
monde du spectacle).
Aussi c'est bien beau de taper sur tout ce beau monde mais sans ces
méchants éditeurs, producteurs et distributeurs, beaucoup d'œuvres
n'auraient jamais eu l'impact qu'elles ont eu.
Je n'ai sans doute pas toutes mes facultés mentales car je n'ai pas
compris cette phrase...
Mince, c'est bien dommage.
Reprendre peut-être des cours de Français ?
--
Mozart : Célèbre compositeur que l'on écoute le plus souvent dans les
pizzerias car on sent bien que mozzarella
On Mer 21 décembre 2011 à 10:43, Paul Gaborit wrote:
En général, ce ne sont pas les auteurs, compositeurs ou interprètes qui se battent contre la copie illégale mais plutôt les producteurs et surtout les éditeurs, les distributeurs et autres sociétés de perception de droits. Et la nuance, ils l'ont parfaitement comprise même s'ils font tout pour qu'on l'oublie.
Le « en général » est basé sur des vérités ou c'est juste d'après toi ? Parce que je doute que beaucoup d'artistes ne vivent comme au temps de la Bohème... (je sais de quoi je parle, travaillant justement dans le monde du spectacle).
Aussi c'est bien beau de taper sur tout ce beau monde mais sans ces méchants éditeurs, producteurs et distributeurs, beaucoup d'œuvres n'auraient jamais eu l'impact qu'elles ont eu.
Je n'ai sans doute pas toutes mes facultés mentales car je n'ai pas compris cette phrase...
Mince, c'est bien dommage. Reprendre peut-être des cours de Français ?
-- Mozart : Célèbre compositeur que l'on écoute le plus souvent dans les pizzerias car on sent bien que mozzarella
Matt
On Mer 21 décembre 2011 à 10:38, Pierre-Alain Dorange wrote:
Dérivé un flux de données qui ne t'appartiens pas me semble considérer comme du vol...
Ben c'est la mentalité du libriste vulgus, distordre la réalité afin qu'elle soit en adéquation avec sa perception.
-- Pharmacie : Confiserie pour vieux
On Mer 21 décembre 2011 à 10:38,
Pierre-Alain Dorange <pdorange@pas-de-pub-merci.mac.com> wrote:
Dérivé un flux de données qui ne t'appartiens pas me semble considérer
comme du vol...
Ben c'est la mentalité du libriste vulgus, distordre la réalité afin
qu'elle soit en adéquation avec sa perception.
On Mer 21 décembre 2011 à 13:56, Pierre-Alain Dorange wrote:
Lapin compris (1)...
Appeler un vol une copie illégale n'est pas la réalité.
(1) http://dai.ly/2yMdDM
:)
-- La beauté intérieure : Concept inventé par les moches pour pouvoir se reproduire
unbewusst.sein
Matt wrote:
Aussi c'est bien beau de taper sur tout ce beau monde mais sans ces méchants éditeurs, producteurs et distributeurs, beaucoup d'½uvres n'auraient jamais eu l'impact qu'elles ont eu.
C'est vrai, la "légende" veut que pour faire monter les prix de ses tableaux, le galériste de Giacometi l'aurait fait trucidé par des malfrats car il est bien connu que les ½uvres d'un artiste mort se vendent plus cher...
-- « Au temps, c'est l'amour impossible qui résiste le mieux. » (Monique Dussaussois)
Matt <hfrarg@syrius.org.invalid> wrote:
Aussi c'est bien beau de taper sur tout ce beau monde mais sans ces
méchants éditeurs, producteurs et distributeurs, beaucoup d'½uvres
n'auraient jamais eu l'impact qu'elles ont eu.
C'est vrai, la "légende" veut que pour faire monter les prix de ses
tableaux, le galériste de Giacometi l'aurait fait trucidé par des
malfrats car il est bien connu que les ½uvres d'un artiste mort se
vendent plus cher...
--
« Au temps, c'est l'amour impossible qui résiste le mieux. »
(Monique Dussaussois)
Aussi c'est bien beau de taper sur tout ce beau monde mais sans ces méchants éditeurs, producteurs et distributeurs, beaucoup d'½uvres n'auraient jamais eu l'impact qu'elles ont eu.
C'est vrai, la "légende" veut que pour faire monter les prix de ses tableaux, le galériste de Giacometi l'aurait fait trucidé par des malfrats car il est bien connu que les ½uvres d'un artiste mort se vendent plus cher...
-- « Au temps, c'est l'amour impossible qui résiste le mieux. » (Monique Dussaussois)
unbewusst.sein
Pierre-Alain Dorange wrote:
C'est un système auto-entretenu en boucle...
Comme quasiment tous les "systèmes institutionnels"...
-- « Au temps, c'est l'amour impossible qui résiste le mieux. » (Monique Dussaussois)
Comme quasiment tous les "systèmes institutionnels"...
-- « Au temps, c'est l'amour impossible qui résiste le mieux. » (Monique Dussaussois)
pdorange
Matt wrote:
> Lapin compris (1)...
Appeler un vol une copie illégale n'est pas la réalité.
Bien sur. Mais le détournement d'un flux de données (je parle pas de la copie des données sous droit d'auteur) mais bien d'un flux de données privées qu'il s'agit de détourner. Car dans le cadre de l'enfilade le flux de données est issut de chez le voisin et c'est son détournement qui est illégal (et peut être assimilable a du vol, je suis juriste) sans le consentement du voisin...
La copie des données en elle même est soumise au droit d'auteur et c'est pas du vol bien sur mais une copie illégale.
Ce message est sous licence Creative Commons "by-nc-sa-2.0" <http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.0/fr/>
Matt <hfrarg@syrius.org.invalid> wrote:
> Lapin compris (1)...
Appeler un vol une copie illégale n'est pas la réalité.
Bien sur.
Mais le détournement d'un flux de données (je parle pas de la copie des
données sous droit d'auteur) mais bien d'un flux de données privées
qu'il s'agit de détourner. Car dans le cadre de l'enfilade le flux de
données est issut de chez le voisin et c'est son détournement qui est
illégal (et peut être assimilable a du vol, je suis juriste) sans le
consentement du voisin...
La copie des données en elle même est soumise au droit d'auteur et c'est
pas du vol bien sur mais une copie illégale.
Appeler un vol une copie illégale n'est pas la réalité.
Bien sur. Mais le détournement d'un flux de données (je parle pas de la copie des données sous droit d'auteur) mais bien d'un flux de données privées qu'il s'agit de détourner. Car dans le cadre de l'enfilade le flux de données est issut de chez le voisin et c'est son détournement qui est illégal (et peut être assimilable a du vol, je suis juriste) sans le consentement du voisin...
La copie des données en elle même est soumise au droit d'auteur et c'est pas du vol bien sur mais une copie illégale.
Ce message est sous licence Creative Commons "by-nc-sa-2.0" <http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.0/fr/>
Paul Gaborit
À (at) Wed, 21 Dec 2011 14:45:12 +0100, (Pierre-Alain Dorange) écrivait (wrote):
Mais le détournement d'un flux de données (je parle pas de la copie des données sous droit d'auteur) mais bien d'un flux de données privées qu'il s'agit de détourner. Car dans le cadre de l'enfilade le flux de données est issut de chez le voisin et c'est son détournement qui est illégal (et peut être assimilable a du vol, je suis juriste) sans le consentement du voisin...
Juridiquement, se connecter au réseau (wifi, j'imagine) du voisin sans son accord et recopier les données qui y circulent ce n'est pas du vol. Tout juste un accès frauduleux à un système de traitement automatisé de données.
-- Paul Gaborit - <http://perso.mines-albi.fr/~gaborit/>
À (at) Wed, 21 Dec 2011 14:45:12 +0100,
pdorange@pas-de-pub-merci.mac.com (Pierre-Alain Dorange) écrivait (wrote):
Mais le détournement d'un flux de données (je parle pas de la copie des
données sous droit d'auteur) mais bien d'un flux de données privées
qu'il s'agit de détourner. Car dans le cadre de l'enfilade le flux de
données est issut de chez le voisin et c'est son détournement qui est
illégal (et peut être assimilable a du vol, je suis juriste) sans le
consentement du voisin...
Juridiquement, se connecter au réseau (wifi, j'imagine) du voisin sans
son accord et recopier les données qui y circulent ce n'est pas du
vol. Tout juste un accès frauduleux à un système de traitement
automatisé de données.
--
Paul Gaborit - <http://perso.mines-albi.fr/~gaborit/>
À (at) Wed, 21 Dec 2011 14:45:12 +0100, (Pierre-Alain Dorange) écrivait (wrote):
Mais le détournement d'un flux de données (je parle pas de la copie des données sous droit d'auteur) mais bien d'un flux de données privées qu'il s'agit de détourner. Car dans le cadre de l'enfilade le flux de données est issut de chez le voisin et c'est son détournement qui est illégal (et peut être assimilable a du vol, je suis juriste) sans le consentement du voisin...
Juridiquement, se connecter au réseau (wifi, j'imagine) du voisin sans son accord et recopier les données qui y circulent ce n'est pas du vol. Tout juste un accès frauduleux à un système de traitement automatisé de données.
-- Paul Gaborit - <http://perso.mines-albi.fr/~gaborit/>