> Tu confonds les autorisations Wi-FI et la notion de FAI.
En l'occurence les deux m'interessent .. :)
> Tu confonds les autorisations Wi-FI et la notion de FAI.
En l'occurence les deux m'interessent .. :)
> Tu confonds les autorisations Wi-FI et la notion de FAI.
En l'occurence les deux m'interessent .. :)
Donc si j'ai une association qui par le biais d'autre personnes morale
veut fournir de l'accès sans fil a des particuliers je dois faire en
sorte que ces particuliers deviennent un GFU ?
Mais alors auront ils accès au net en tant que GFU ?
Ou dois-je pour l'accès au net devenir FAI ?
Si je veux simplement ouvrir plein de hotspots accessibles au public sous
reserve d'abonnement je peux le faire comme ca maintenant ?
Donc si j'ai une association qui par le biais d'autre personnes morale
veut fournir de l'accès sans fil a des particuliers je dois faire en
sorte que ces particuliers deviennent un GFU ?
Mais alors auront ils accès au net en tant que GFU ?
Ou dois-je pour l'accès au net devenir FAI ?
Si je veux simplement ouvrir plein de hotspots accessibles au public sous
reserve d'abonnement je peux le faire comme ca maintenant ?
Donc si j'ai une association qui par le biais d'autre personnes morale
veut fournir de l'accès sans fil a des particuliers je dois faire en
sorte que ces particuliers deviennent un GFU ?
Mais alors auront ils accès au net en tant que GFU ?
Ou dois-je pour l'accès au net devenir FAI ?
Si je veux simplement ouvrir plein de hotspots accessibles au public sous
reserve d'abonnement je peux le faire comme ca maintenant ?
OK donc un accès Internet depuis une entreprise c'est pas un GFU ... ?
OK donc un accès Internet depuis une entreprise c'est pas un GFU ... ?
OK donc un accès Internet depuis une entreprise c'est pas un GFU ... ?
Non. Un FAI relève (en ce qui concerne l'ART) de l'article L.34-2 du code
des P&T, et n'a besoin de faire aucune déclaration ou demande
d'autorisation (pour une stricte activité de FAI, sans la partie
"établissement de réseau"). Pour l'anecdote, il est intéressant de noter
que les évolutions prévues du code (qui suppriment les demandes
d'autorisation pour les opérateurs de réseau et les fournisseurs de
téléphonique) introduisent une obligation de déclaration qui risque d'en
surprendre plus d'un!
Et si tu parles d'un FAI Wi-Fi (que d'autres appeleraient un WISP), il n'a
besoin d'une autorisation spécifique de l'ART (license expérimentale) que
pour créer un réseau de plusieurs points reliés entre eux en Wi-Fi, pas
pour faire un hot-spot (c'est bizarre mais c'est comme ça).
Mais, comme un FAI "classique" (accès dialup) qui a l'obligation (même si
elle est implicite et *très* mal connue) de pouvoir retracer qui était
connecté avec quelle IP à quel moment (ce qui en général est ensuite
rebasculé sur l'opérateur L.33-1 qui va pouvoir convertir un numéro en un
nom et une adresse), un FAI "sans-fil", qu'il soit gratuit ou payant,
personne morale ou privée, qu'il l'ait fait exprès ou non, doit pouvoir
dire qui était connecté avec quelle IP à quel moment.
Au fait, ce serait sympa que vous preniez le temps de lire le code de P&T
avant de lancer des allégations fantaisistes :-)
Non. Un FAI relève (en ce qui concerne l'ART) de l'article L.34-2 du code
des P&T, et n'a besoin de faire aucune déclaration ou demande
d'autorisation (pour une stricte activité de FAI, sans la partie
"établissement de réseau"). Pour l'anecdote, il est intéressant de noter
que les évolutions prévues du code (qui suppriment les demandes
d'autorisation pour les opérateurs de réseau et les fournisseurs de
téléphonique) introduisent une obligation de déclaration qui risque d'en
surprendre plus d'un!
Et si tu parles d'un FAI Wi-Fi (que d'autres appeleraient un WISP), il n'a
besoin d'une autorisation spécifique de l'ART (license expérimentale) que
pour créer un réseau de plusieurs points reliés entre eux en Wi-Fi, pas
pour faire un hot-spot (c'est bizarre mais c'est comme ça).
Mais, comme un FAI "classique" (accès dialup) qui a l'obligation (même si
elle est implicite et *très* mal connue) de pouvoir retracer qui était
connecté avec quelle IP à quel moment (ce qui en général est ensuite
rebasculé sur l'opérateur L.33-1 qui va pouvoir convertir un numéro en un
nom et une adresse), un FAI "sans-fil", qu'il soit gratuit ou payant,
personne morale ou privée, qu'il l'ait fait exprès ou non, doit pouvoir
dire qui était connecté avec quelle IP à quel moment.
Au fait, ce serait sympa que vous preniez le temps de lire le code de P&T
avant de lancer des allégations fantaisistes :-)
Non. Un FAI relève (en ce qui concerne l'ART) de l'article L.34-2 du code
des P&T, et n'a besoin de faire aucune déclaration ou demande
d'autorisation (pour une stricte activité de FAI, sans la partie
"établissement de réseau"). Pour l'anecdote, il est intéressant de noter
que les évolutions prévues du code (qui suppriment les demandes
d'autorisation pour les opérateurs de réseau et les fournisseurs de
téléphonique) introduisent une obligation de déclaration qui risque d'en
surprendre plus d'un!
Et si tu parles d'un FAI Wi-Fi (que d'autres appeleraient un WISP), il n'a
besoin d'une autorisation spécifique de l'ART (license expérimentale) que
pour créer un réseau de plusieurs points reliés entre eux en Wi-Fi, pas
pour faire un hot-spot (c'est bizarre mais c'est comme ça).
Mais, comme un FAI "classique" (accès dialup) qui a l'obligation (même si
elle est implicite et *très* mal connue) de pouvoir retracer qui était
connecté avec quelle IP à quel moment (ce qui en général est ensuite
rebasculé sur l'opérateur L.33-1 qui va pouvoir convertir un numéro en un
nom et une adresse), un FAI "sans-fil", qu'il soit gratuit ou payant,
personne morale ou privée, qu'il l'ait fait exprès ou non, doit pouvoir
dire qui était connecté avec quelle IP à quel moment.
Au fait, ce serait sympa que vous preniez le temps de lire le code de P&T
avant de lancer des allégations fantaisistes :-)
"Jacques Caron" a écrit dans le message de
news:
Et si tu parles d'un FAI Wi-Fi (que d'autres appeleraient un WISP), il
n'a
besoin d'une autorisation spécifique de l'ART (license expérimentale)
que
pour créer un réseau de plusieurs points reliés entre eux en Wi-Fi, pas
pour faire un hot-spot (c'est bizarre mais c'est comme ça).
Si le hot-spot est en intérieur (note que je vais qd même vérifier ce
point
car je n'en crois rien:-) Dès qu'il y a une antenne dans la rue (ou dans
un
lieu public vs lieu privatif ?) c'est fini, il faut une autorisation...
Et de ne pas confondre un Fai avec un particulier;-)
Merci aussi de
distinguer ce qui est dans du privatif, du public, de l'intérieur et de
l'extérieur...
L'article L. 33-2 du code des P&T interdit, enfin, explicitement la
transformation, qui peut être réalisée par un démarchage systématique
d'un
quartier ou d'un bourg, d'un réseau indépendant en un réseau ouvert sans
autorisation préalable délivrée conformément à l'article L. 33-1.
Note qu'avec 100mw en intérieur on est très loin de ton interprétention
fantaisiste;-) Mouarf, un quartier ou bourg;-)
Allez zou un copié-collé du L 32, note qu'on est soit dans un réseau
indépendant soit dans un réseau interne, dans le cas d'un particulier
(plutôt interne d'ailleurs)
"Jacques Caron" <jc@imfeurope.com> a écrit dans le message de
news:oprrwd1je1q1hokb@news.free.fr...
Et si tu parles d'un FAI Wi-Fi (que d'autres appeleraient un WISP), il
n'a
besoin d'une autorisation spécifique de l'ART (license expérimentale)
que
pour créer un réseau de plusieurs points reliés entre eux en Wi-Fi, pas
pour faire un hot-spot (c'est bizarre mais c'est comme ça).
Si le hot-spot est en intérieur (note que je vais qd même vérifier ce
point
car je n'en crois rien:-) Dès qu'il y a une antenne dans la rue (ou dans
un
lieu public vs lieu privatif ?) c'est fini, il faut une autorisation...
Et de ne pas confondre un Fai avec un particulier;-)
Merci aussi de
distinguer ce qui est dans du privatif, du public, de l'intérieur et de
l'extérieur...
L'article L. 33-2 du code des P&T interdit, enfin, explicitement la
transformation, qui peut être réalisée par un démarchage systématique
d'un
quartier ou d'un bourg, d'un réseau indépendant en un réseau ouvert sans
autorisation préalable délivrée conformément à l'article L. 33-1.
Note qu'avec 100mw en intérieur on est très loin de ton interprétention
fantaisiste;-) Mouarf, un quartier ou bourg;-)
Allez zou un copié-collé du L 32, note qu'on est soit dans un réseau
indépendant soit dans un réseau interne, dans le cas d'un particulier
(plutôt interne d'ailleurs)
"Jacques Caron" a écrit dans le message de
news:
Et si tu parles d'un FAI Wi-Fi (que d'autres appeleraient un WISP), il
n'a
besoin d'une autorisation spécifique de l'ART (license expérimentale)
que
pour créer un réseau de plusieurs points reliés entre eux en Wi-Fi, pas
pour faire un hot-spot (c'est bizarre mais c'est comme ça).
Si le hot-spot est en intérieur (note que je vais qd même vérifier ce
point
car je n'en crois rien:-) Dès qu'il y a une antenne dans la rue (ou dans
un
lieu public vs lieu privatif ?) c'est fini, il faut une autorisation...
Et de ne pas confondre un Fai avec un particulier;-)
Merci aussi de
distinguer ce qui est dans du privatif, du public, de l'intérieur et de
l'extérieur...
L'article L. 33-2 du code des P&T interdit, enfin, explicitement la
transformation, qui peut être réalisée par un démarchage systématique
d'un
quartier ou d'un bourg, d'un réseau indépendant en un réseau ouvert sans
autorisation préalable délivrée conformément à l'article L. 33-1.
Note qu'avec 100mw en intérieur on est très loin de ton interprétention
fantaisiste;-) Mouarf, un quartier ou bourg;-)
Allez zou un copié-collé du L 32, note qu'on est soit dans un réseau
indépendant soit dans un réseau interne, dans le cas d'un particulier
(plutôt interne d'ailleurs)
Ces appareils ne seraient ils pas par hasard codés tel un système
d'alarme
de manière à ce que
le voisin ne puisse pas éteindre l'alarme de l'autre voisin ?
Je pense bien que si.
Trois solutions :
1) Vos émetteurs et récepteurs sont codés et vous ne divulguez le code a
personne, tout va bien ;)
3) Votre voisin a connaissance du code car vous lui avez communiqué et
dans
ce cas vous êtes complice !
Ces appareils ne seraient ils pas par hasard codés tel un système
d'alarme
de manière à ce que
le voisin ne puisse pas éteindre l'alarme de l'autre voisin ?
Je pense bien que si.
Trois solutions :
1) Vos émetteurs et récepteurs sont codés et vous ne divulguez le code a
personne, tout va bien ;)
3) Votre voisin a connaissance du code car vous lui avez communiqué et
dans
ce cas vous êtes complice !
Ces appareils ne seraient ils pas par hasard codés tel un système
d'alarme
de manière à ce que
le voisin ne puisse pas éteindre l'alarme de l'autre voisin ?
Je pense bien que si.
Trois solutions :
1) Vos émetteurs et récepteurs sont codés et vous ne divulguez le code a
personne, tout va bien ;)
3) Votre voisin a connaissance du code car vous lui avez communiqué et
dans
ce cas vous êtes complice !
On Sun, 06 Jul 2003 18:37:25 +0200, Eriam Schaffter
wrote:OK donc un accès Internet depuis une entreprise c'est pas un GFU ... ?
Non. En fait dans ce cas-là, l'entreprise doit être considérée comme un
FAI, je pense. Mais il faudrait que je relise un peu tout ça pour être
sûr. Et c'est probablement plus une question de jurisprudence que de
réglementation, je ne crois pas que le cas avait été envisagé :-/
Jacques.
On Sun, 06 Jul 2003 18:37:25 +0200, Eriam Schaffter <eriam@belette.biz>
wrote:
OK donc un accès Internet depuis une entreprise c'est pas un GFU ... ?
Non. En fait dans ce cas-là, l'entreprise doit être considérée comme un
FAI, je pense. Mais il faudrait que je relise un peu tout ça pour être
sûr. Et c'est probablement plus une question de jurisprudence que de
réglementation, je ne crois pas que le cas avait été envisagé :-/
Jacques.
On Sun, 06 Jul 2003 18:37:25 +0200, Eriam Schaffter
wrote:OK donc un accès Internet depuis une entreprise c'est pas un GFU ... ?
Non. En fait dans ce cas-là, l'entreprise doit être considérée comme un
FAI, je pense. Mais il faudrait que je relise un peu tout ça pour être
sûr. Et c'est probablement plus une question de jurisprudence que de
réglementation, je ne crois pas que le cas avait été envisagé :-/
Jacques.
Jacques Caron wrote:Non. En fait dans ce cas-là, l'entreprise doit être considérée comme un
FAI, je pense. Mais il faudrait que je relise un peu tout ça pour être
sûr. Et c'est probablement plus une question de jurisprudence que de
réglementation, je ne crois pas que le cas avait été envisagé :-/
De plus comment conserver les logs techniquement si l'accès se fait par
NAT et sans proxy ?
Jacques Caron wrote:
Non. En fait dans ce cas-là, l'entreprise doit être considérée comme un
FAI, je pense. Mais il faudrait que je relise un peu tout ça pour être
sûr. Et c'est probablement plus une question de jurisprudence que de
réglementation, je ne crois pas que le cas avait été envisagé :-/
De plus comment conserver les logs techniquement si l'accès se fait par
NAT et sans proxy ?
Jacques Caron wrote:Non. En fait dans ce cas-là, l'entreprise doit être considérée comme un
FAI, je pense. Mais il faudrait que je relise un peu tout ça pour être
sûr. Et c'est probablement plus une question de jurisprudence que de
réglementation, je ne crois pas que le cas avait été envisagé :-/
De plus comment conserver les logs techniquement si l'accès se fait par
NAT et sans proxy ?
On Mon, 07 Jul 2003 10:27:35 +0200, Eriam Schaffter
wrote:Jacques Caron wrote:Non. En fait dans ce cas-là, l'entreprise doit être considérée comme
un FAI, je pense. Mais il faudrait que je relise un peu tout ça pour
être sûr. Et c'est probablement plus une question de jurisprudence
que de réglementation, je ne crois pas que le cas avait été envisagé :-/
De plus comment conserver les logs techniquement si l'accès se fait
par NAT et sans proxy ?
C'est clair que ça devient (très) difficile dans ce cas. En va peut-être
en conclure que le NAT est illégal? ;->
Dans le cas d'une entreprise, le problème reste limité: on ne sait pas
exactement qui a fait quoi, mais on sait que c'est quelque part dans
l'entreprise, donc d'autres éléments peuvent permettre à une enquête de
police d'aboutir (inspection des contenus des disques par exemple).
Dans le cas du Wi-Fi avec accès ouvert à tous, pour se retrouver dans
une situation comparable, il faudrait au minimum savoir qui était
connecté à quelle heure. Evidemment, sans NAT, avec des adresses IP
publiques pour chaque utilisateur, c'est mieux, mais même avec, on a au
moins un nombre relativement limité de personnes potentiellement
suspectes (je considère que le NAT ne sera utilisé qu'à petite échelle
par monsieur tout le monde qui ouvre ou laisse ouvert son AP avec du
NAT, ou à la limite par des hotspots individuels, pas par l'ensemble
d'un réseau de hotspots).
Jacques.
On Mon, 07 Jul 2003 10:27:35 +0200, Eriam Schaffter <eriam@belette.biz>
wrote:
Jacques Caron wrote:
Non. En fait dans ce cas-là, l'entreprise doit être considérée comme
un FAI, je pense. Mais il faudrait que je relise un peu tout ça pour
être sûr. Et c'est probablement plus une question de jurisprudence
que de réglementation, je ne crois pas que le cas avait été envisagé :-/
De plus comment conserver les logs techniquement si l'accès se fait
par NAT et sans proxy ?
C'est clair que ça devient (très) difficile dans ce cas. En va peut-être
en conclure que le NAT est illégal? ;->
Dans le cas d'une entreprise, le problème reste limité: on ne sait pas
exactement qui a fait quoi, mais on sait que c'est quelque part dans
l'entreprise, donc d'autres éléments peuvent permettre à une enquête de
police d'aboutir (inspection des contenus des disques par exemple).
Dans le cas du Wi-Fi avec accès ouvert à tous, pour se retrouver dans
une situation comparable, il faudrait au minimum savoir qui était
connecté à quelle heure. Evidemment, sans NAT, avec des adresses IP
publiques pour chaque utilisateur, c'est mieux, mais même avec, on a au
moins un nombre relativement limité de personnes potentiellement
suspectes (je considère que le NAT ne sera utilisé qu'à petite échelle
par monsieur tout le monde qui ouvre ou laisse ouvert son AP avec du
NAT, ou à la limite par des hotspots individuels, pas par l'ensemble
d'un réseau de hotspots).
Jacques.
On Mon, 07 Jul 2003 10:27:35 +0200, Eriam Schaffter
wrote:Jacques Caron wrote:Non. En fait dans ce cas-là, l'entreprise doit être considérée comme
un FAI, je pense. Mais il faudrait que je relise un peu tout ça pour
être sûr. Et c'est probablement plus une question de jurisprudence
que de réglementation, je ne crois pas que le cas avait été envisagé :-/
De plus comment conserver les logs techniquement si l'accès se fait
par NAT et sans proxy ?
C'est clair que ça devient (très) difficile dans ce cas. En va peut-être
en conclure que le NAT est illégal? ;->
Dans le cas d'une entreprise, le problème reste limité: on ne sait pas
exactement qui a fait quoi, mais on sait que c'est quelque part dans
l'entreprise, donc d'autres éléments peuvent permettre à une enquête de
police d'aboutir (inspection des contenus des disques par exemple).
Dans le cas du Wi-Fi avec accès ouvert à tous, pour se retrouver dans
une situation comparable, il faudrait au minimum savoir qui était
connecté à quelle heure. Evidemment, sans NAT, avec des adresses IP
publiques pour chaque utilisateur, c'est mieux, mais même avec, on a au
moins un nombre relativement limité de personnes potentiellement
suspectes (je considère que le NAT ne sera utilisé qu'à petite échelle
par monsieur tout le monde qui ouvre ou laisse ouvert son AP avec du
NAT, ou à la limite par des hotspots individuels, pas par l'ensemble
d'un réseau de hotspots).
Jacques.