En effet, je ne vous ai pas encore parlé de ce qui a été pour moi le
clou du salon High-Fidelity de Chicago, salon que j'ai pu visiter, il y
a quinze jours maintenant, lors de ma tournée aux States où j'ai été
ovationné, mais je vous l'ai déjà dit déjà, je crois, comme jamais
encore au cours de ma longue carrière et tout particulièrement pour
l'interprétation des "Quatre derniers Lieder" de Richard Strauss (avec
Elisabeth Thaitenouard qui se révèle comme la soprano montante
d'aujourd'hui).
Mais revenons au salon: un stand présentait en effet une platine disque
noir au fonctionnement très particulier. La cellule est en effet
remplacée par une mini caméra dont l'extrémité est plus fine qu'un
cheveu et qui se positionne très près du sillon (sans le toucher): elle
voit toutes les infractuosités du sillon, en envoie une image
extrêmement précise à un système informatique qui décode cette image en
la transformant en signal numérique.
Le disque noir est ainsi lu sans contact (et sans usure par conséquent)
et l'ensemble sort un signal numérique qui est ensuite classiquement
amplifié.
La platine ne ressemble guère à une platine classique: on introduit le
disque noir verticalement, un peu comme dans un mange-disque, il rentre
dans la machine (on ne voit même plus la tranche) et l'éjection se fait
par un tiroir coulissant ( comme dans un lecteur CD mais vertical).
Le produit est réellement impressionnant car il il constitue en quelque
sorte le mariage de l'analogique et du numérique; mais pour la qualité
musicale, je ne peux donner un avis pour l'instant car je n'ai pu
écouter cette platine que dans un environnement un peu bruyant(à cause
des autres stands à côté). Toutefois, j'ai pris rendez-vous avec le
concepteur (Phil Murray) pour une écoute sérieuse lors de mon prochain
voyage outre-Atlantique.
Bébert le Chef d'orchestre, le 24/04/2008 a écrit :
On ne vous dit pas tout...
En effet, je ne vous ai pas encore parlé de ce qui a été pour moi le clou du salon High-Fidelity de Chicago, salon que j'ai pu visiter, il y a quinze jours maintenant, lors de ma tournée aux States où j'ai été ovationné, mais je vous l'ai déjà dit déjà, je crois, comme jamais encore au cours de ma longue carrière et tout particulièrement pour l'interprétation des "Quatre derniers Lieder" de Richard Strauss (avec Elisabeth Thaitenouard qui se révèle comme la soprano montante d'aujourd'hui).
Mais revenons au salon: un stand présentait en effet une platine disque noir au fonctionnement très particulier. La cellule est en effet remplacée par une mini caméra dont l'extrémité est plus fine qu'un cheveu et qui se positionne très près du sillon (sans le toucher): elle voit toutes les infractuosités du sillon, en envoie une image extrêmement précise à un système informatique qui décode cette image en la transformant en signal numérique.
Le disque noir est ainsi lu sans contact (et sans usure par conséquent) et l'ensemble sort un signal numérique qui est ensuite classiquement amplifié.
La platine ne ressemble guère à une platine classique: on introduit le disque noir verticalement, un peu comme dans un mange-disque, il rentre dans la machine (on ne voit même plus la tranche) et l'éjection se fait par un tiroir coulissant ( comme dans un lecteur CD mais vertical).
Le produit est réellement impressionnant car il il constitue en quelque sorte le mariage de l'analogique et du numérique; mais pour la qualité musicale, je ne peux donner un avis pour l'instant car je n'ai pu écouter cette platine que dans un environnement un peu bruyant(à cause des autres stands à côté). Toutefois, j'ai pris rendez-vous avec le concepteur (Phil Murray) pour une écoute sérieuse lors de mon prochain voyage outre-Atlantique.
Passons sur la question troll - je l'espère pour vous - ou mytho, peu importe. Ce système n'est pas si révolutionnaire que ça. Tout a plus ou moins été tenté. Lecture verticale et tiroir n'ont rien de révolutionnaire. Et n'a rien à voir avec le reste. Tout comme la lecture sans contact d'un vinyle, optique à priori, qui donne dans un premier temps un signal analogique, fut tentée sans succès commercial. Et la numérisation de ce signal est indépendante du fait qu'il ait été capté de façon optique ou électromécanique. Il est néanmoins vrai que le traitement de signal, particulièrement en 3D, a fait d'énormes progrès.
Ce qui n'est pas précisé, c'est s'il s'agit d'un dispositif d'écoute en temps réel ou d'un appareillage de numérisation, éventuellement asynchrone. Plaçons-nous dans la première hypothèse, puisque c'est celle à laquelle vous semblez croire. Le tiroir servirait à approcher les conditions d'une salle blanche, la lecture optique étant peut-être plus sensible aux micro-poussières.
Et c'est là que ça devient marrant. Puisqu'en mettant à chaque écoute la galette dans le bouzin, on entend "très bien" le mariage de l'analogique et du numérique. Alors que si après une première lecture on recrachait le flux numérique mis en mémoire, on n'entendrait plus que l'infâme successions de bits. A moins qu'on ne recrachât le flux mémorisé mais discrètement, en ayant préalablement introduit la luisante galette dans la fente accueillante. Alors là, je suis convaincu que l'analogique apporterait toute sa chaleur, toute son humanité. Et ce sincèrement. On entendrait réellement quelque chose de plus chaleureux...
-- Pierre Maurette
Bébert le Chef d'orchestre, le 24/04/2008 a écrit :
On ne vous dit pas tout...
En effet, je ne vous ai pas encore parlé de ce qui a été pour moi le clou du
salon High-Fidelity de Chicago, salon que j'ai pu visiter, il y a quinze
jours maintenant, lors de ma tournée aux States où j'ai été ovationné, mais
je vous l'ai déjà dit déjà, je crois, comme jamais encore au cours de ma
longue carrière et tout particulièrement pour l'interprétation des "Quatre
derniers Lieder" de Richard Strauss (avec Elisabeth Thaitenouard qui se
révèle comme la soprano montante d'aujourd'hui).
Mais revenons au salon: un stand présentait en effet une platine disque noir
au fonctionnement très particulier. La cellule est en effet remplacée par une
mini caméra dont l'extrémité est plus fine qu'un cheveu et qui se positionne
très près du sillon (sans le toucher): elle voit toutes les infractuosités du
sillon, en envoie une image extrêmement précise à un système informatique qui
décode cette image en la transformant en signal numérique.
Le disque noir est ainsi lu sans contact (et sans usure par conséquent) et
l'ensemble sort un signal numérique qui est ensuite classiquement amplifié.
La platine ne ressemble guère à une platine classique: on introduit le disque
noir verticalement, un peu comme dans un mange-disque, il rentre dans la
machine (on ne voit même plus la tranche) et l'éjection se fait par un tiroir
coulissant ( comme dans un lecteur CD mais vertical).
Le produit est réellement impressionnant car il il constitue en quelque sorte
le mariage de l'analogique et du numérique; mais pour la qualité musicale, je
ne peux donner un avis pour l'instant car je n'ai pu écouter cette platine
que dans un environnement un peu bruyant(à cause des autres stands à côté).
Toutefois, j'ai pris rendez-vous avec le concepteur (Phil Murray) pour une
écoute sérieuse lors de mon prochain voyage outre-Atlantique.
Passons sur la question troll - je l'espère pour vous - ou mytho, peu
importe.
Ce système n'est pas si révolutionnaire que ça. Tout a plus ou moins
été tenté. Lecture verticale et tiroir n'ont rien de révolutionnaire.
Et n'a rien à voir avec le reste. Tout comme la lecture sans contact
d'un vinyle, optique à priori, qui donne dans un premier temps un
signal analogique, fut tentée sans succès commercial. Et la
numérisation de ce signal est indépendante du fait qu'il ait été capté
de façon optique ou électromécanique. Il est néanmoins vrai que le
traitement de signal, particulièrement en 3D, a fait d'énormes progrès.
Ce qui n'est pas précisé, c'est s'il s'agit d'un dispositif d'écoute en
temps réel ou d'un appareillage de numérisation, éventuellement
asynchrone. Plaçons-nous dans la première hypothèse, puisque c'est
celle à laquelle vous semblez croire. Le tiroir servirait à approcher
les conditions d'une salle blanche, la lecture optique étant peut-être
plus sensible aux micro-poussières.
Et c'est là que ça devient marrant. Puisqu'en mettant à chaque écoute
la galette dans le bouzin, on entend "très bien" le mariage de
l'analogique et du numérique. Alors que si après une première lecture
on recrachait le flux numérique mis en mémoire, on n'entendrait plus
que l'infâme successions de bits. A moins qu'on ne recrachât le flux
mémorisé mais discrètement, en ayant préalablement introduit la
luisante galette dans la fente accueillante. Alors là, je suis
convaincu que l'analogique apporterait toute sa chaleur, toute son
humanité. Et ce sincèrement. On entendrait réellement quelque chose de
plus chaleureux...
Bébert le Chef d'orchestre, le 24/04/2008 a écrit :
On ne vous dit pas tout...
En effet, je ne vous ai pas encore parlé de ce qui a été pour moi le clou du salon High-Fidelity de Chicago, salon que j'ai pu visiter, il y a quinze jours maintenant, lors de ma tournée aux States où j'ai été ovationné, mais je vous l'ai déjà dit déjà, je crois, comme jamais encore au cours de ma longue carrière et tout particulièrement pour l'interprétation des "Quatre derniers Lieder" de Richard Strauss (avec Elisabeth Thaitenouard qui se révèle comme la soprano montante d'aujourd'hui).
Mais revenons au salon: un stand présentait en effet une platine disque noir au fonctionnement très particulier. La cellule est en effet remplacée par une mini caméra dont l'extrémité est plus fine qu'un cheveu et qui se positionne très près du sillon (sans le toucher): elle voit toutes les infractuosités du sillon, en envoie une image extrêmement précise à un système informatique qui décode cette image en la transformant en signal numérique.
Le disque noir est ainsi lu sans contact (et sans usure par conséquent) et l'ensemble sort un signal numérique qui est ensuite classiquement amplifié.
La platine ne ressemble guère à une platine classique: on introduit le disque noir verticalement, un peu comme dans un mange-disque, il rentre dans la machine (on ne voit même plus la tranche) et l'éjection se fait par un tiroir coulissant ( comme dans un lecteur CD mais vertical).
Le produit est réellement impressionnant car il il constitue en quelque sorte le mariage de l'analogique et du numérique; mais pour la qualité musicale, je ne peux donner un avis pour l'instant car je n'ai pu écouter cette platine que dans un environnement un peu bruyant(à cause des autres stands à côté). Toutefois, j'ai pris rendez-vous avec le concepteur (Phil Murray) pour une écoute sérieuse lors de mon prochain voyage outre-Atlantique.
Passons sur la question troll - je l'espère pour vous - ou mytho, peu importe. Ce système n'est pas si révolutionnaire que ça. Tout a plus ou moins été tenté. Lecture verticale et tiroir n'ont rien de révolutionnaire. Et n'a rien à voir avec le reste. Tout comme la lecture sans contact d'un vinyle, optique à priori, qui donne dans un premier temps un signal analogique, fut tentée sans succès commercial. Et la numérisation de ce signal est indépendante du fait qu'il ait été capté de façon optique ou électromécanique. Il est néanmoins vrai que le traitement de signal, particulièrement en 3D, a fait d'énormes progrès.
Ce qui n'est pas précisé, c'est s'il s'agit d'un dispositif d'écoute en temps réel ou d'un appareillage de numérisation, éventuellement asynchrone. Plaçons-nous dans la première hypothèse, puisque c'est celle à laquelle vous semblez croire. Le tiroir servirait à approcher les conditions d'une salle blanche, la lecture optique étant peut-être plus sensible aux micro-poussières.
Et c'est là que ça devient marrant. Puisqu'en mettant à chaque écoute la galette dans le bouzin, on entend "très bien" le mariage de l'analogique et du numérique. Alors que si après une première lecture on recrachait le flux numérique mis en mémoire, on n'entendrait plus que l'infâme successions de bits. A moins qu'on ne recrachât le flux mémorisé mais discrètement, en ayant préalablement introduit la luisante galette dans la fente accueillante. Alors là, je suis convaincu que l'analogique apporterait toute sa chaleur, toute son humanité. Et ce sincèrement. On entendrait réellement quelque chose de plus chaleureux...
Bébert le Chef d'orchestre écrivait news:IzVPj.4$Kr6.22 @nntpserver.swip.net:
On ne vous dit pas tout...
En effet, je ne vous ai pas encore parlé de ce qui a été pour moi le clou du salon High-Fidelity de Chicago, salon que j'ai pu visiter, il y a quinze jours maintenant, lors de ma tournée aux States où j'ai été ovationné, mais je vous l'ai déjà dit déjà, je crois, comme jamais encore au cours de ma longue carrière et tout particulièrement pour l'interprétation des "Quatre derniers Lieder" de Richard Strauss (avec Elisabeth Thaitenouard qui se révèle comme la soprano montante d'aujourd'hui).
ça va les chevilles ? Pas encore craqué les élastiques des chaussettes ??
Bébert le Chef d'orchestre <Bebert@ph.org> écrivait news:IzVPj.4$Kr6.22
@nntpserver.swip.net:
On ne vous dit pas tout...
En effet, je ne vous ai pas encore parlé de ce qui a été pour moi le
clou du salon High-Fidelity de Chicago, salon que j'ai pu visiter, il y
a quinze jours maintenant, lors de ma tournée aux States où j'ai été
ovationné, mais je vous l'ai déjà dit déjà, je crois, comme jamais
encore au cours de ma longue carrière et tout particulièrement pour
l'interprétation des "Quatre derniers Lieder" de Richard Strauss (avec
Elisabeth Thaitenouard qui se révèle comme la soprano montante
d'aujourd'hui).
ça va les chevilles ? Pas encore craqué les élastiques des chaussettes ??
Bébert le Chef d'orchestre écrivait news:IzVPj.4$Kr6.22 @nntpserver.swip.net:
On ne vous dit pas tout...
En effet, je ne vous ai pas encore parlé de ce qui a été pour moi le clou du salon High-Fidelity de Chicago, salon que j'ai pu visiter, il y a quinze jours maintenant, lors de ma tournée aux States où j'ai été ovationné, mais je vous l'ai déjà dit déjà, je crois, comme jamais encore au cours de ma longue carrière et tout particulièrement pour l'interprétation des "Quatre derniers Lieder" de Richard Strauss (avec Elisabeth Thaitenouard qui se révèle comme la soprano montante d'aujourd'hui).
ça va les chevilles ? Pas encore craqué les élastiques des chaussettes ??
oragoun
Bébert le Chef d'orchestre écrivait news:IzVPj.4$Kr6.22 @nntpserver.swip.net:
Mais revenons au salon: un stand présentait en effet une platine disque noir au fonctionnement très particulier. La cellule est en effet remplacée par une mini caméra dont l'extrémité est plus fine qu'un cheveu et qui se positionne très près du sillon (sans le toucher): elle voit toutes les infractuosités du sillon, en envoie une image extrêmement précise à un système informatique qui décode cette image en la transformant en signal numérique.
Le disque noir est ainsi lu sans contact (et sans usure par conséquent) et l'ensemble sort un signal numérique qui est ensuite classiquement amplifié.
La platine ne ressemble guère à une platine classique: on introduit le disque noir verticalement, un peu comme dans un mange-disque, il rentre dans la machine (on ne voit même plus la tranche) et l'éjection se fait par un tiroir coulissant ( comme dans un lecteur CD mais vertical).
Mon dieu mon dieu, quelqu'un a trouvé comment faire cracher encore plus d'argent aux pigeons (oups audiophiles)
C'est qui ? Je veux m'associer avec lui !! Leurs disques ne s'usent pas, donc filon ataeternam, j'en veux !!!!
Bébert, le Chef d'orchestre. KAS Bébert le Pigeon
oragoun
Bébert le Chef d'orchestre <Bebert@ph.org> écrivait news:IzVPj.4$Kr6.22
@nntpserver.swip.net:
Mais revenons au salon: un stand présentait en effet une platine disque
noir au fonctionnement très particulier. La cellule est en effet
remplacée par une mini caméra dont l'extrémité est plus fine qu'un
cheveu et qui se positionne très près du sillon (sans le toucher): elle
voit toutes les infractuosités du sillon, en envoie une image
extrêmement précise à un système informatique qui décode cette image en
la transformant en signal numérique.
Le disque noir est ainsi lu sans contact (et sans usure par conséquent)
et l'ensemble sort un signal numérique qui est ensuite classiquement
amplifié.
La platine ne ressemble guère à une platine classique: on introduit le
disque noir verticalement, un peu comme dans un mange-disque, il rentre
dans la machine (on ne voit même plus la tranche) et l'éjection se fait
par un tiroir coulissant ( comme dans un lecteur CD mais vertical).
Mon dieu mon dieu, quelqu'un a trouvé comment faire cracher encore plus
d'argent aux pigeons (oups audiophiles)
C'est qui ? Je veux m'associer avec lui !! Leurs disques ne s'usent pas,
donc filon ataeternam, j'en veux !!!!
Bébert le Chef d'orchestre écrivait news:IzVPj.4$Kr6.22 @nntpserver.swip.net:
Mais revenons au salon: un stand présentait en effet une platine disque noir au fonctionnement très particulier. La cellule est en effet remplacée par une mini caméra dont l'extrémité est plus fine qu'un cheveu et qui se positionne très près du sillon (sans le toucher): elle voit toutes les infractuosités du sillon, en envoie une image extrêmement précise à un système informatique qui décode cette image en la transformant en signal numérique.
Le disque noir est ainsi lu sans contact (et sans usure par conséquent) et l'ensemble sort un signal numérique qui est ensuite classiquement amplifié.
La platine ne ressemble guère à une platine classique: on introduit le disque noir verticalement, un peu comme dans un mange-disque, il rentre dans la machine (on ne voit même plus la tranche) et l'éjection se fait par un tiroir coulissant ( comme dans un lecteur CD mais vertical).
Mon dieu mon dieu, quelqu'un a trouvé comment faire cracher encore plus d'argent aux pigeons (oups audiophiles)
C'est qui ? Je veux m'associer avec lui !! Leurs disques ne s'usent pas, donc filon ataeternam, j'en veux !!!!
Bébert, le Chef d'orchestre. KAS Bébert le Pigeon
oragoun
oragoun
"Fernand Naudin" écrivait news:fuprhh$qgl$:
Après tout rien n'empêche d'améliorer les techniques de gravure analogique. Mais compte tenu de la "dématérialisation" de la musique aucune recherche ne sera faite en ce sens. Merci les pirates-mptroisistes.
Mouarf...
Sais-tu que depuis la fin des années 70 pour le top50 et le milieu des années 80 pour tout le monde les masters sortent de studio en numérique ?
Et qu'ensuite on les masterise : - soit en vinyl (pour ceux qui ont en encore, et c'est fait en Pologne par des ouvriers qui n'ont en rien à f*utre de ta musique. Ce sont de bons ouvriers donc le soin apporté au burin dépend de la qualité de ton master...numérique. Il ne restait qu'un seul studio de mastering vinyl en France en 1995. Mais il a fermé en 1996.) - soit en CD (ça encore c'est fait en France par de vrais studios de mastering) - soit en K7 (à 4.5cm/s de défilement) ?
A partir du moment ou le master ne peut être que numérique (oui je sais on utilise de temps en temps des magnétos multipistes analogiques pour la compression qu'ils peuvent apporter, ça m'arrive aussi), et que la retranscription ne peut pas dépasser les 96dB de S/B du 44.1KHz du master, quel intérêt d'avoir un système qui coute la peau non pas du cul mais carrément des couilles pour avoir un S/B meilleur que celui de la source originale ?
Après tout rien n'empêche d'améliorer les techniques de
gravure analogique.
Mais compte tenu de la "dématérialisation" de la musique
aucune recherche ne sera faite en ce sens.
Merci les pirates-mptroisistes.
Mouarf...
Sais-tu que depuis la fin des années 70 pour le top50 et le milieu des
années 80 pour tout le monde les masters sortent de studio en numérique ?
Et qu'ensuite on les masterise :
- soit en vinyl (pour ceux qui ont en encore, et c'est fait en Pologne
par des ouvriers qui n'ont en rien à f*utre de ta musique. Ce sont de
bons ouvriers donc le soin apporté au burin dépend de la qualité de ton
master...numérique. Il ne restait qu'un seul studio de mastering vinyl en
France en 1995. Mais il a fermé en 1996.)
- soit en CD (ça encore c'est fait en France par de vrais studios de
mastering)
- soit en K7 (à 4.5cm/s de défilement) ?
A partir du moment ou le master ne peut être que numérique (oui je sais
on utilise de temps en temps des magnétos multipistes analogiques pour la
compression qu'ils peuvent apporter, ça m'arrive aussi), et que la
retranscription ne peut pas dépasser les 96dB de S/B du 44.1KHz du
master, quel intérêt d'avoir un système qui coute la peau non pas du cul
mais carrément des couilles pour avoir un S/B meilleur que celui de la
source originale ?
Après tout rien n'empêche d'améliorer les techniques de gravure analogique. Mais compte tenu de la "dématérialisation" de la musique aucune recherche ne sera faite en ce sens. Merci les pirates-mptroisistes.
Mouarf...
Sais-tu que depuis la fin des années 70 pour le top50 et le milieu des années 80 pour tout le monde les masters sortent de studio en numérique ?
Et qu'ensuite on les masterise : - soit en vinyl (pour ceux qui ont en encore, et c'est fait en Pologne par des ouvriers qui n'ont en rien à f*utre de ta musique. Ce sont de bons ouvriers donc le soin apporté au burin dépend de la qualité de ton master...numérique. Il ne restait qu'un seul studio de mastering vinyl en France en 1995. Mais il a fermé en 1996.) - soit en CD (ça encore c'est fait en France par de vrais studios de mastering) - soit en K7 (à 4.5cm/s de défilement) ?
A partir du moment ou le master ne peut être que numérique (oui je sais on utilise de temps en temps des magnétos multipistes analogiques pour la compression qu'ils peuvent apporter, ça m'arrive aussi), et que la retranscription ne peut pas dépasser les 96dB de S/B du 44.1KHz du master, quel intérêt d'avoir un système qui coute la peau non pas du cul mais carrément des couilles pour avoir un S/B meilleur que celui de la source originale ?
vanité quand tu nous tiens...
oragoun
oragoun
(FiLH) écrivait news:1ifwt4d.1k60p2s1kibp21N% :
La doxa de fr.rec.son-image.hifi dit que le vynil est bien supérieur au CD...
Vous n'allez pas remettre ça en question !
Si le vinyl est tiré d'un master 44.1KHz, si. Je le remet en question !!!!
Bébert le Chef d'orchestre écrivait news:TYeQj.12$:
Bébert le chef d'orchestre AKA Bébert le pigeon
oragoun
Jean-Pierre Roche écrivait news:furum8$1u4t$:
Mon cher Bébert, selon moi, CD ou vinyle ne sont que des moyens de *reproduction* mais ça n'a (hélas) rien de sexuel et donc il ne saurait y être question d'amour !
JP, ne soit pas aussi gentil, il encourage le pigeonnage. Faudrait mieux qu'il consacre ses tunes à ses gosses plutôt qu'à ses (très) chères platines et disques noirs.
Mon cher Bébert, selon moi, CD ou vinyle ne sont que des
moyens de *reproduction* mais ça n'a (hélas) rien de sexuel
et donc il ne saurait y être question d'amour !
JP, ne soit pas aussi gentil, il encourage le pigeonnage. Faudrait mieux
qu'il consacre ses tunes à ses gosses plutôt qu'à ses (très) chères
platines et disques noirs.
Mon cher Bébert, selon moi, CD ou vinyle ne sont que des moyens de *reproduction* mais ça n'a (hélas) rien de sexuel et donc il ne saurait y être question d'amour !
JP, ne soit pas aussi gentil, il encourage le pigeonnage. Faudrait mieux qu'il consacre ses tunes à ses gosses plutôt qu'à ses (très) chères platines et disques noirs.
oragoun
sebastienmarty
oragoun wrote:
Jean-Pierre Roche écrivait news:furum8$1u4t$:
> Mon cher Bébert, selon moi, CD ou vinyle ne sont que des > moyens de *reproduction* mais ça n'a (hélas) rien de sexuel > et donc il ne saurait y être question d'amour !
JP, ne soit pas aussi gentil, il encourage le pigeonnage. Faudrait mieux qu'il consacre ses tunes à ses gosses plutôt qu'à ses (très) chères platines et disques noirs.
Encore un qui n'a pas compris que ce n'était que de /l'humour/... Affligeant...
-- [SbM] <http://sebastienmarty.free.fr> - <http://tradintosh.free.fr> <http://sbm.ordinotheque.free.fr> - <http://palmiciel.free.fr> "If the French were really intelligent, they'd speak English" (W. Sheed)
> Mon cher Bébert, selon moi, CD ou vinyle ne sont que des
> moyens de *reproduction* mais ça n'a (hélas) rien de sexuel
> et donc il ne saurait y être question d'amour !
JP, ne soit pas aussi gentil, il encourage le pigeonnage. Faudrait mieux
qu'il consacre ses tunes à ses gosses plutôt qu'à ses (très) chères
platines et disques noirs.
Encore un qui n'a pas compris que ce n'était que de /l'humour/...
Affligeant...
--
[SbM]
<http://sebastienmarty.free.fr> - <http://tradintosh.free.fr>
<http://sbm.ordinotheque.free.fr> - <http://palmiciel.free.fr>
"If the French were really intelligent, they'd speak English" (W. Sheed)
> Mon cher Bébert, selon moi, CD ou vinyle ne sont que des > moyens de *reproduction* mais ça n'a (hélas) rien de sexuel > et donc il ne saurait y être question d'amour !
JP, ne soit pas aussi gentil, il encourage le pigeonnage. Faudrait mieux qu'il consacre ses tunes à ses gosses plutôt qu'à ses (très) chères platines et disques noirs.
Encore un qui n'a pas compris que ce n'était que de /l'humour/... Affligeant...
-- [SbM] <http://sebastienmarty.free.fr> - <http://tradintosh.free.fr> <http://sbm.ordinotheque.free.fr> - <http://palmiciel.free.fr> "If the French were really intelligent, they'd speak English" (W. Sheed)
oragoun
(SbM) écrivait news:1ihcghz.1t88j7d1kf2yf6N% :
oragoun wrote:
Jean-Pierre Roche écrivait news:furum8$1u4t$:
> Mon cher Bébert, selon moi, CD ou vinyle ne sont que des > moyens de *reproduction* mais ça n'a (hélas) rien de sexuel et donc > il ne saurait y être question d'amour !
JP, ne soit pas aussi gentil, il encourage le pigeonnage. Faudrait mieux qu'il consacre ses tunes à ses gosses plutôt qu'à ses (très) chères platines et disques noirs.
Encore un qui n'a pas compris que ce n'était que de /l'humour/... Affligeant...
Vu la (re)production dudit Bébert sur ce NG, ce que j'ai produit n'était qu'une mesure de prophylaxie nécessaire.
> Mon cher Bébert, selon moi, CD ou vinyle ne sont que des
> moyens de *reproduction* mais ça n'a (hélas) rien de sexuel et donc
> il ne saurait y être question d'amour !
JP, ne soit pas aussi gentil, il encourage le pigeonnage. Faudrait mieux
qu'il consacre ses tunes à ses gosses plutôt qu'à ses (très) chères
platines et disques noirs.
Encore un qui n'a pas compris que ce n'était que de /l'humour/...
Affligeant...
Vu la (re)production dudit Bébert sur ce NG, ce que j'ai produit n'était
qu'une mesure de prophylaxie nécessaire.
> Mon cher Bébert, selon moi, CD ou vinyle ne sont que des > moyens de *reproduction* mais ça n'a (hélas) rien de sexuel et donc > il ne saurait y être question d'amour !
JP, ne soit pas aussi gentil, il encourage le pigeonnage. Faudrait mieux qu'il consacre ses tunes à ses gosses plutôt qu'à ses (très) chères platines et disques noirs.
Encore un qui n'a pas compris que ce n'était que de /l'humour/... Affligeant...
Vu la (re)production dudit Bébert sur ce NG, ce que j'ai produit n'était qu'une mesure de prophylaxie nécessaire.
