Octave wrote:
En reregardant, le défilement vertical dans la longueur est bien, mais
j'aurais aimé avoir toutes les photos développées directement. Ça aurait
donné plus d'ampleur, d'envergure (dans son sens premier aussi,
d'ailleurs).
Peut-être mais comme on me reproche souvent de trop en montrer à la
fois...
Mais sinon, montrer la totalité est bien vu, pour moi, bien
sûr.
Ya pas tout hein... j'en ai enlevé la majorité :)
Octave<octavpas-spam@octav.fr> wrote:
En reregardant, le défilement vertical dans la longueur est bien, mais
j'aurais aimé avoir toutes les photos développées directement. Ça aurait
donné plus d'ampleur, d'envergure (dans son sens premier aussi,
d'ailleurs).
Peut-être mais comme on me reproche souvent de trop en montrer à la
fois...
Mais sinon, montrer la totalité est bien vu, pour moi, bien
sûr.
Ya pas tout hein... j'en ai enlevé la majorité :)
Octave wrote:
En reregardant, le défilement vertical dans la longueur est bien, mais
j'aurais aimé avoir toutes les photos développées directement. Ça aurait
donné plus d'ampleur, d'envergure (dans son sens premier aussi,
d'ailleurs).
Peut-être mais comme on me reproche souvent de trop en montrer à la
fois...
Mais sinon, montrer la totalité est bien vu, pour moi, bien
sûr.
Ya pas tout hein... j'en ai enlevé la majorité :)
>
> Ya pas tout hein... j'en ai enlevé la majorité :)
>
Ah bon! Mais tu as fait combien de photos, et en combien de temps ???
>
> Ya pas tout hein... j'en ai enlevé la majorité :)
>
Ah bon! Mais tu as fait combien de photos, et en combien de temps ???
>
> Ya pas tout hein... j'en ai enlevé la majorité :)
>
Ah bon! Mais tu as fait combien de photos, et en combien de temps ???
Octave wrote:
Ya pas tout hein... j'en ai enlevé la majorité :)
Ah bon! Mais tu as fait combien de photos, et en combien de temps ???
Beaucoup... beaucoup trop...
FiLH
Octave<octavpas-spam@octav.fr> wrote:
Ya pas tout hein... j'en ai enlevé la majorité :)
Ah bon! Mais tu as fait combien de photos, et en combien de temps ???
Beaucoup... beaucoup trop...
FiLH
Octave wrote:
Ya pas tout hein... j'en ai enlevé la majorité :)
Ah bon! Mais tu as fait combien de photos, et en combien de temps ???
Beaucoup... beaucoup trop...
FiLH
En reregardant, le défilement vertical dans la longueur est bien, mais
j'aurais aimé avoir toutes les photos développées directement. Ça aurait
donné plus d'ampleur, d'envergure (dans son sens premier aussi,
d'ailleurs).
Peut-être mais comme on me reproche souvent de trop en montrer à la
fois...
En reregardant, le défilement vertical dans la longueur est bien, mais
j'aurais aimé avoir toutes les photos développées directement. Ça aurait
donné plus d'ampleur, d'envergure (dans son sens premier aussi,
d'ailleurs).
Peut-être mais comme on me reproche souvent de trop en montrer à la
fois...
En reregardant, le défilement vertical dans la longueur est bien, mais
j'aurais aimé avoir toutes les photos développées directement. Ça aurait
donné plus d'ampleur, d'envergure (dans son sens premier aussi,
d'ailleurs).
Peut-être mais comme on me reproche souvent de trop en montrer à la
fois...
Bonjour Frédéric et bonne année,
"FiLH" a écrit, et > Octave wrote :En reregardant, le défilement vertical dans la longueur est bien, mais
j'aurais aimé avoir toutes les photos développées directement. Ça aurait
donné plus d'ampleur, d'envergure (dans son sens premier aussi,
d'ailleurs).
Peut-être mais comme on me reproche souvent de trop en montrer à la
fois...
Mais non, c'est parfait ainsi. Moi je dirais : Bon sang, ca c'est du
cinéma ! Le nouveau cinéma se fait sans projecteur et à la roulette
(russe), on scrolle à toute vitesse, sa défile, la fille s'anime. Paf !
On appuie sur la gachette. Des fois ca tue, des fois ca fait rien, et on
recommence.
Je lis en ce moment un roman assez étonnant. Un thriller de Theodore
Roszak dont le titre original est "Flicker". C'est l'histoire d'un jeune
universitaire qui fait des recherches pour sa thèse sur un cinéaste
maudit des années trente. Le cinéaste est fictif, la trame du roman est
glauque à souhait, mais Roszak y développe une analyse intéressante sur
l'évolution de notre société actuelle à travers le cinéma.
Je cite des bribes significatives :
" - Vous croyez que les films sont une forme d'hypnose ?
- La forme la plus élevée de l'hypnose, c'est une évidence..."
"Pour chaque classe sociale il y a un taux d'imprégnation optimal. C'est
une fonction de notre faculté de concentration, qui est le produit du
conditionnement social..."
"Dans la société capitaliste, il y a, à chaque génération, une tendance
inhérente à voir régresser le temps de concentration à mesure
qu'augmente la durée de son aliénation,..."
"Cette mutilation psychique avait d'ores et déjà un effet culturel
visible. De nouvelles formes de cinéma et de musique pulvérisaient tout
contenu en fragments plus infimes, plus sensationnels. Dans les films
destinés aux adolescents, les réalisateurs limiteraient bientôt chaque
prise de vues à cinq secondes maximum, puis réduiraient à partir de là.
les paroles des chansons deviendraient vite des phrases inarticulées,
répétées à l'infini,..."
"Au rythme accéléré que connaissait actuellement la réduction de la
perception, la génération qui parviendrait à l'adolescence en l'an 2000
n'aurait plus aucune faculté de concentration. Même les gags en une
phrase et la grosse farce leur deviendraient incompréhensibles. Si, par
exemple, on leur montraient une scène classique de tarte à la crème
extraite d'un des premiers films muets, ils ne seraient plus capables de
se rappeler, quand la tarte atteindrait la cible, d'où elle venait..."
Bonjour Frédéric et bonne année,
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit, et > Octave wrote :
En reregardant, le défilement vertical dans la longueur est bien, mais
j'aurais aimé avoir toutes les photos développées directement. Ça aurait
donné plus d'ampleur, d'envergure (dans son sens premier aussi,
d'ailleurs).
Peut-être mais comme on me reproche souvent de trop en montrer à la
fois...
Mais non, c'est parfait ainsi. Moi je dirais : Bon sang, ca c'est du
cinéma ! Le nouveau cinéma se fait sans projecteur et à la roulette
(russe), on scrolle à toute vitesse, sa défile, la fille s'anime. Paf !
On appuie sur la gachette. Des fois ca tue, des fois ca fait rien, et on
recommence.
Je lis en ce moment un roman assez étonnant. Un thriller de Theodore
Roszak dont le titre original est "Flicker". C'est l'histoire d'un jeune
universitaire qui fait des recherches pour sa thèse sur un cinéaste
maudit des années trente. Le cinéaste est fictif, la trame du roman est
glauque à souhait, mais Roszak y développe une analyse intéressante sur
l'évolution de notre société actuelle à travers le cinéma.
Je cite des bribes significatives :
" - Vous croyez que les films sont une forme d'hypnose ?
- La forme la plus élevée de l'hypnose, c'est une évidence..."
"Pour chaque classe sociale il y a un taux d'imprégnation optimal. C'est
une fonction de notre faculté de concentration, qui est le produit du
conditionnement social..."
"Dans la société capitaliste, il y a, à chaque génération, une tendance
inhérente à voir régresser le temps de concentration à mesure
qu'augmente la durée de son aliénation,..."
"Cette mutilation psychique avait d'ores et déjà un effet culturel
visible. De nouvelles formes de cinéma et de musique pulvérisaient tout
contenu en fragments plus infimes, plus sensationnels. Dans les films
destinés aux adolescents, les réalisateurs limiteraient bientôt chaque
prise de vues à cinq secondes maximum, puis réduiraient à partir de là.
les paroles des chansons deviendraient vite des phrases inarticulées,
répétées à l'infini,..."
"Au rythme accéléré que connaissait actuellement la réduction de la
perception, la génération qui parviendrait à l'adolescence en l'an 2000
n'aurait plus aucune faculté de concentration. Même les gags en une
phrase et la grosse farce leur deviendraient incompréhensibles. Si, par
exemple, on leur montraient une scène classique de tarte à la crème
extraite d'un des premiers films muets, ils ne seraient plus capables de
se rappeler, quand la tarte atteindrait la cible, d'où elle venait..."
Bonjour Frédéric et bonne année,
"FiLH" a écrit, et > Octave wrote :En reregardant, le défilement vertical dans la longueur est bien, mais
j'aurais aimé avoir toutes les photos développées directement. Ça aurait
donné plus d'ampleur, d'envergure (dans son sens premier aussi,
d'ailleurs).
Peut-être mais comme on me reproche souvent de trop en montrer à la
fois...
Mais non, c'est parfait ainsi. Moi je dirais : Bon sang, ca c'est du
cinéma ! Le nouveau cinéma se fait sans projecteur et à la roulette
(russe), on scrolle à toute vitesse, sa défile, la fille s'anime. Paf !
On appuie sur la gachette. Des fois ca tue, des fois ca fait rien, et on
recommence.
Je lis en ce moment un roman assez étonnant. Un thriller de Theodore
Roszak dont le titre original est "Flicker". C'est l'histoire d'un jeune
universitaire qui fait des recherches pour sa thèse sur un cinéaste
maudit des années trente. Le cinéaste est fictif, la trame du roman est
glauque à souhait, mais Roszak y développe une analyse intéressante sur
l'évolution de notre société actuelle à travers le cinéma.
Je cite des bribes significatives :
" - Vous croyez que les films sont une forme d'hypnose ?
- La forme la plus élevée de l'hypnose, c'est une évidence..."
"Pour chaque classe sociale il y a un taux d'imprégnation optimal. C'est
une fonction de notre faculté de concentration, qui est le produit du
conditionnement social..."
"Dans la société capitaliste, il y a, à chaque génération, une tendance
inhérente à voir régresser le temps de concentration à mesure
qu'augmente la durée de son aliénation,..."
"Cette mutilation psychique avait d'ores et déjà un effet culturel
visible. De nouvelles formes de cinéma et de musique pulvérisaient tout
contenu en fragments plus infimes, plus sensationnels. Dans les films
destinés aux adolescents, les réalisateurs limiteraient bientôt chaque
prise de vues à cinq secondes maximum, puis réduiraient à partir de là.
les paroles des chansons deviendraient vite des phrases inarticulées,
répétées à l'infini,..."
"Au rythme accéléré que connaissait actuellement la réduction de la
perception, la génération qui parviendrait à l'adolescence en l'an 2000
n'aurait plus aucune faculté de concentration. Même les gags en une
phrase et la grosse farce leur deviendraient incompréhensibles. Si, par
exemple, on leur montraient une scène classique de tarte à la crème
extraite d'un des premiers films muets, ils ne seraient plus capables de
se rappeler, quand la tarte atteindrait la cible, d'où elle venait..."
Bonjour Frédéric et bonne année,
"FiLH" a écrit, et > Octave wrote :
>> En reregardant, le défilement vertical dans la longueur est bien, mais
>> j'aurais aimé avoir toutes les photos développées directement. Ça aurait
>> donné plus d'ampleur, d'envergure (dans son sens premier aussi,
>> d'ailleurs).
>
> Peut-être mais comme on me reproche souvent de trop en montrer à la
> fois...
Mais non, c'est parfait ainsi. Moi je dirais : Bon sang, ca c'est du
cinéma ! Le nouveau cinéma se fait sans projecteur et à la roulette (russe),
on scrolle à toute vitesse, sa défile, la fille s'anime. Paf ! On appuie sur
la gachette. Des fois ca tue, des fois ca fait rien, et on recommence.
Je lis en ce moment un roman assez étonnant. Un thriller de Theodore
Roszak dont le titre original est "Flicker". C'est l'histoire d'un jeune
universitaire qui fait des recherches pour sa thèse sur un cinéaste maudit
des années trente. Le cinéaste est fictif, la trame du roman est glauque à
souhait, mais Roszak y développe une analyse intéressante sur l'évolution de
notre société actuelle à travers le cinéma.
Je cite des bribes significatives :
Bonjour Frédéric et bonne année,
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit, et > Octave wrote :
>> En reregardant, le défilement vertical dans la longueur est bien, mais
>> j'aurais aimé avoir toutes les photos développées directement. Ça aurait
>> donné plus d'ampleur, d'envergure (dans son sens premier aussi,
>> d'ailleurs).
>
> Peut-être mais comme on me reproche souvent de trop en montrer à la
> fois...
Mais non, c'est parfait ainsi. Moi je dirais : Bon sang, ca c'est du
cinéma ! Le nouveau cinéma se fait sans projecteur et à la roulette (russe),
on scrolle à toute vitesse, sa défile, la fille s'anime. Paf ! On appuie sur
la gachette. Des fois ca tue, des fois ca fait rien, et on recommence.
Je lis en ce moment un roman assez étonnant. Un thriller de Theodore
Roszak dont le titre original est "Flicker". C'est l'histoire d'un jeune
universitaire qui fait des recherches pour sa thèse sur un cinéaste maudit
des années trente. Le cinéaste est fictif, la trame du roman est glauque à
souhait, mais Roszak y développe une analyse intéressante sur l'évolution de
notre société actuelle à travers le cinéma.
Je cite des bribes significatives :
Bonjour Frédéric et bonne année,
"FiLH" a écrit, et > Octave wrote :
>> En reregardant, le défilement vertical dans la longueur est bien, mais
>> j'aurais aimé avoir toutes les photos développées directement. Ça aurait
>> donné plus d'ampleur, d'envergure (dans son sens premier aussi,
>> d'ailleurs).
>
> Peut-être mais comme on me reproche souvent de trop en montrer à la
> fois...
Mais non, c'est parfait ainsi. Moi je dirais : Bon sang, ca c'est du
cinéma ! Le nouveau cinéma se fait sans projecteur et à la roulette (russe),
on scrolle à toute vitesse, sa défile, la fille s'anime. Paf ! On appuie sur
la gachette. Des fois ca tue, des fois ca fait rien, et on recommence.
Je lis en ce moment un roman assez étonnant. Un thriller de Theodore
Roszak dont le titre original est "Flicker". C'est l'histoire d'un jeune
universitaire qui fait des recherches pour sa thèse sur un cinéaste maudit
des années trente. Le cinéaste est fictif, la trame du roman est glauque à
souhait, mais Roszak y développe une analyse intéressante sur l'évolution de
notre société actuelle à travers le cinéma.
Je cite des bribes significatives :
Et puis j'ai lu les citations derrière et je me suis dit que ce n'était
peut-être pas si positif...
d'instants que l'on peut apprécier, qu'on ne peut pas en profiter de
tous..."
Mais j'ai un peu l'idée de cette série, et d'autres, qu'il y a plein
d'instants que l'on peut apprécier, qu'on ne peut pas en profiter de
tous... est-ce que l'un est vraiment meilleur que l'autre ? Pourquoi
décider absolument, pourquoi ne pas laisser la providence faire son
oeuvre... paf on appuie... parfois ça tue, parfois ça arrête en plein
vol comme dans Matrix...
Et puis j'ai lu les citations derrière et je me suis dit que ce n'était
peut-être pas si positif...
d'instants que l'on peut apprécier, qu'on ne peut pas en profiter de
tous..."
Mais j'ai un peu l'idée de cette série, et d'autres, qu'il y a plein
d'instants que l'on peut apprécier, qu'on ne peut pas en profiter de
tous... est-ce que l'un est vraiment meilleur que l'autre ? Pourquoi
décider absolument, pourquoi ne pas laisser la providence faire son
oeuvre... paf on appuie... parfois ça tue, parfois ça arrête en plein
vol comme dans Matrix...
Et puis j'ai lu les citations derrière et je me suis dit que ce n'était
peut-être pas si positif...
d'instants que l'on peut apprécier, qu'on ne peut pas en profiter de
tous..."
Mais j'ai un peu l'idée de cette série, et d'autres, qu'il y a plein
d'instants que l'on peut apprécier, qu'on ne peut pas en profiter de
tous... est-ce que l'un est vraiment meilleur que l'autre ? Pourquoi
décider absolument, pourquoi ne pas laisser la providence faire son
oeuvre... paf on appuie... parfois ça tue, parfois ça arrête en plein
vol comme dans Matrix...
"FiLH" a écrit :
> Et puis j'ai lu les citations derrière et je me suis dit que ce n'était
> peut-être pas si positif...
Pas si positif effectivement, et plutôt pas du tout, et même très
négatif. Mais tu n'es pas concerné, en tout cas pas dans l'essence de ton
travail que je connais suffisamment pour savoir l'apprécier. Ta
responsabilité n'est plus engagée dès lors que tu
dis :
"...qu'il y a plein
> d'instants que l'on peut apprécier, qu'on ne peut pas en profiter de
> tous..."
Alors il faut, je sais bien mais quand même, faire quelque chose. Il
quelque chose.
On va dire, pour plagier ton mentor, que ta responsabilité est comme une
vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Comme ta
série, elle a une valeur qui va s'arrêter sur l'ordre arbitraire de celui
qui la fait défiler. Comme tes images, elles ont une valeur qui va
s'arrêter sur l'ordre arbitraire de celui qui les voit.
De ce fait, je n'ai pas de jugement sur ces photographies. Je ne sais
pas quoi en dire. Je sens seulement que tes images, comme les miennes
d'ailleurs, et comme toutes les autres, sont en danger. Les images en
elles mêmes ne me semblent pas concernées. C'est la façon de les voir qui
pose problème.
L'ensemble du medium audiovisuel est responsable d'un phénomène de
consommation qui devient une abomination.. Les plateformes, les portails,
les magasins virtuels d'images gratuites, de vidéo jetables me font vomir.
C'est ceux là, accompagnés par les Face book, Twitter, et autres machines
à hacher menu la pensée qui tôt ou tard vont détruire l'imaginaire et
toutes les images.
Tiens ! Je lis cela dans Twitter :
"Envoyez votre premier Tweet !"
"Dites au monde ce qui se passe en 140 caractères ou moins."
Comme si le monde en avait quelque chose à foutre ! Effarant, n'est-ce
moins" me ferait presque claquer des dents.
Excuse-moi si je t'ai paru tout à l'heure trop critique, en fait pas
du tout, je voulais seulement t'exprimer le danger que courent tes images
à être montrées ainsi.
De mon coté je ne sais plus comment faire. Ma dernière expérience avec
le "Arte creative" (mauvais jeu de mots) fut édifiante, une vraie danse
macabre. Peut-être qu'il reste à prendre le maquis...
Amitiés,
albert
----------------------------------------------------------
Photographies imaginaires
http://photo.imaginaire.free.fr
----------------------------------------------------------
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit :
> Et puis j'ai lu les citations derrière et je me suis dit que ce n'était
> peut-être pas si positif...
Pas si positif effectivement, et plutôt pas du tout, et même très
négatif. Mais tu n'es pas concerné, en tout cas pas dans l'essence de ton
travail que je connais suffisamment pour savoir l'apprécier. Ta
responsabilité n'est plus engagée dès lors que tu
dis :
"...qu'il y a plein
> d'instants que l'on peut apprécier, qu'on ne peut pas en profiter de
> tous..."
Alors il faut, je sais bien mais quand même, faire quelque chose. Il
quelque chose.
On va dire, pour plagier ton mentor, que ta responsabilité est comme une
vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Comme ta
série, elle a une valeur qui va s'arrêter sur l'ordre arbitraire de celui
qui la fait défiler. Comme tes images, elles ont une valeur qui va
s'arrêter sur l'ordre arbitraire de celui qui les voit.
De ce fait, je n'ai pas de jugement sur ces photographies. Je ne sais
pas quoi en dire. Je sens seulement que tes images, comme les miennes
d'ailleurs, et comme toutes les autres, sont en danger. Les images en
elles mêmes ne me semblent pas concernées. C'est la façon de les voir qui
pose problème.
L'ensemble du medium audiovisuel est responsable d'un phénomène de
consommation qui devient une abomination.. Les plateformes, les portails,
les magasins virtuels d'images gratuites, de vidéo jetables me font vomir.
C'est ceux là, accompagnés par les Face book, Twitter, et autres machines
à hacher menu la pensée qui tôt ou tard vont détruire l'imaginaire et
toutes les images.
Tiens ! Je lis cela dans Twitter :
"Envoyez votre premier Tweet !"
"Dites au monde ce qui se passe en 140 caractères ou moins."
Comme si le monde en avait quelque chose à foutre ! Effarant, n'est-ce
moins" me ferait presque claquer des dents.
Excuse-moi si je t'ai paru tout à l'heure trop critique, en fait pas
du tout, je voulais seulement t'exprimer le danger que courent tes images
à être montrées ainsi.
De mon coté je ne sais plus comment faire. Ma dernière expérience avec
le "Arte creative" (mauvais jeu de mots) fut édifiante, une vraie danse
macabre. Peut-être qu'il reste à prendre le maquis...
Amitiés,
albert
----------------------------------------------------------
Photographies imaginaires
http://photo.imaginaire.free.fr
----------------------------------------------------------
"FiLH" a écrit :
> Et puis j'ai lu les citations derrière et je me suis dit que ce n'était
> peut-être pas si positif...
Pas si positif effectivement, et plutôt pas du tout, et même très
négatif. Mais tu n'es pas concerné, en tout cas pas dans l'essence de ton
travail que je connais suffisamment pour savoir l'apprécier. Ta
responsabilité n'est plus engagée dès lors que tu
dis :
"...qu'il y a plein
> d'instants que l'on peut apprécier, qu'on ne peut pas en profiter de
> tous..."
Alors il faut, je sais bien mais quand même, faire quelque chose. Il
quelque chose.
On va dire, pour plagier ton mentor, que ta responsabilité est comme une
vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Comme ta
série, elle a une valeur qui va s'arrêter sur l'ordre arbitraire de celui
qui la fait défiler. Comme tes images, elles ont une valeur qui va
s'arrêter sur l'ordre arbitraire de celui qui les voit.
De ce fait, je n'ai pas de jugement sur ces photographies. Je ne sais
pas quoi en dire. Je sens seulement que tes images, comme les miennes
d'ailleurs, et comme toutes les autres, sont en danger. Les images en
elles mêmes ne me semblent pas concernées. C'est la façon de les voir qui
pose problème.
L'ensemble du medium audiovisuel est responsable d'un phénomène de
consommation qui devient une abomination.. Les plateformes, les portails,
les magasins virtuels d'images gratuites, de vidéo jetables me font vomir.
C'est ceux là, accompagnés par les Face book, Twitter, et autres machines
à hacher menu la pensée qui tôt ou tard vont détruire l'imaginaire et
toutes les images.
Tiens ! Je lis cela dans Twitter :
"Envoyez votre premier Tweet !"
"Dites au monde ce qui se passe en 140 caractères ou moins."
Comme si le monde en avait quelque chose à foutre ! Effarant, n'est-ce
moins" me ferait presque claquer des dents.
Excuse-moi si je t'ai paru tout à l'heure trop critique, en fait pas
du tout, je voulais seulement t'exprimer le danger que courent tes images
à être montrées ainsi.
De mon coté je ne sais plus comment faire. Ma dernière expérience avec
le "Arte creative" (mauvais jeu de mots) fut édifiante, une vraie danse
macabre. Peut-être qu'il reste à prendre le maquis...
Amitiés,
albert
----------------------------------------------------------
Photographies imaginaires
http://photo.imaginaire.free.fr
----------------------------------------------------------
Bonjour,
Une « petite » série pour les fêtes :
http://filh.free.fr/GinieBalad/
Passer la souris sur une image pour avoir la sous-série, cliquer pour
l'image en grand...
Bonjour,
Une « petite » série pour les fêtes :
http://filh.free.fr/GinieBalad/
Passer la souris sur une image pour avoir la sous-série, cliquer pour
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Bonjour,
Une « petite » série pour les fêtes :
http://filh.free.fr/GinieBalad/
Passer la souris sur une image pour avoir la sous-série, cliquer pour
l'image en grand...