Serie de noel

Ghost-Rider <Ghost-Rider@compuserve.com> wrote:

Le 29/12/2011 13:12, FiLH a écrit :
> Bonjour,
>
> Une « petite » série pour les fêtes :
>
> http://filh.free.fr/GinieBalad/
>
> Passer la souris sur une image pour avoir la sous-série, cliquer pour
> l'image en grand...

Ils ne sont pas très nombreux, ceux qui commentent cette série. Et
pourquoi donc ? Alors je m'y risque, ça nous changera des guêpabeilles.

D'abord on reconnait tout de suite le style de Filh. C'est bien mais on
voudrait qu'il cesse d'approfondir encore et encore ce style qui tourne
un peu au système.

Le flou ? La présentation ? Les filles nues ?

Ensuite : 1221 photos ! Record battu, et à une seconde par photo, il
faudrait 20 minutes pour tout voir,

Ce n'est pas vraiment le but de tout voir, finallement... mais quel
courage tu as eu.. (ou tu es vraiment curieux... mais de quoi ?)

mais la présentation est très
efficace : on fait tourner la roulette de la souris et comme par
miracle, les photos se transforment en bandes horizontales, ou non
d'ailleurs, c'est la surprise. Et c'est bien fait car ce n'est pas la
photo affichée au départ qui commence la série, mais une autre et on se
plait à la chercher. Petit truc pour conserver l'intérêt du spectateur.

Oui la photo du départ est aléatoire...

Enfin, le modèle, et là, on entre tout de suite dans le vif du sujet
(excusez-moi, il fallait bien que quelqu'un la dise, cette bêtise,
autant que ce soit moi). Donc, dès la deuxième image, on a droit à la
vision de la toute petite culotte du modèle et très rapidement, à ce
qu'elle contient à grand-peine.

Voire pas du tout :)

Après tout, pourquoi pas, car transcendé
par le flou, ces images passent très bien, et c'est tant mieux car une
forte proportion d'entre elles s'attardent sur cette partie de
l'anatomie du modèle et si elles étaient nettes, çà ne passerait pas
aussi bien.

Après... si on photographie des filles nues... (je n'allais pas dire à
poil là)...

Oui, mais justement il y en a qui sont nettes et effectivement, ça ne
passe pas car l'épilation n'est peut-être pas du jour, les petits
boutons deviennent visibles et on quitte le royaume de l'imaginaire pour
entrer dans celui de la réalité un peu trop crue.

Trop crue ? Heu cru je vois, cuit je vois, trop cuit je vois, c'est
carbonisé trop cru :)...

La série se décompose en de nombreuses sous-séries bien distinctes,
souvent de photos presque identiques ce qui facilite les commentaires,
alors, on y va !

Quel courage ! Allons y :)

Photos 1 à 189 : extérieur, lumière froide, garage, murs, pont,
glissière d'autoroute et modèle habillé d'une robe d'hiver mais qui
montre ses dessous avec insistance en dépit du froid. L'ensemble est
très inégal et la justification interne de cette mise en scène manque,
ce qui l'oriente vers un érotisme douteux.

Il faut toujours douter...

Photos 190 à 232 : intérieur, la lumière chaude fait remonter la
température, c'est mieux.
Photos 233 à 779 : chambre rouge à couvre-lit Buren, le modèle se dénude
complètement dans le flou mais quelques photos trop nettes viennent un
peu amoindrir la série.
Photo 780 à 865 : ambiance et lumière de salle de bain, de jolies
rondeurs mais l'ensemble est un peu inégal.
Photos 866 à 1075 : retour à une ambiance rouge très onirique. C'est la
sous-série la plus achevée, à mon avis, avec de très belles bandes.
Photos 1076 à 1192 : changement de lumière dans la chambre, une torche
vient faire des ronds blancs. C'est moins réussi et surtout les 1079 et
1080 nous montrent en gros plans bien nets tous les défauts de la peau
du modèle. C'est dommage.
Photos 1193 à 1211 : le lit et le modèle, debout de face, sont nets.
Intérêt réduit de cette partie car le modèle ne sait pas vraiment poser
et cela ressemble à des photos d'amateur.

Ça m'a bien amusé, c'était la première fois que je faisais des photos au
flash un petit côté snapshot oui...

Photos 1212 à 1221 : retour au style habituel de Filh mais avec des
formes curieusement carrées. C'est appréciable, sauf la dernière photo
ou un coup de flash de face expose crûment la vulve du modèle encadrée
d'un gant et d'une gaine noirs dans un style polaroïd.

Fallait bien finir par où ça commence :)

Comme souvent, Filh feint de tromper son monde. A-t-il par inadvertance
gardé des photos nettes qui corrompent la série ou bien est-ce voulu,
pour jouer sur la contradiction apparente entre l'imaginaire des photos
floues et la crudité de la réalité et pour rappeler ainsi à son public
que c'est lui qui y voit une contradiction ?

Intéressant l'idée de corruption... je crois que je n'ai pas trop
réfléchi à la chose, le flou n'est pas une exclusivité ni même le net
:)

En bref, veut-il montrer qu'il n'y a pas de différence de nature entre
érotisme et pornographie mais que tout se joue par la manipulation du
regard du spectateur ?

Je ne vais pas - je crois - jusqu'à la pornographie, pas loin... pas
loin... même son sexe reste très pudique... trop ?

Je ne sais pas si j'aurais pu faire une présentation « parfaite » en
enlevant peut-être les nettes, peut-êtres quelques unes du début
(beaucoup ?)...

Mais j'aime aussi qu'il y ait comme dans la vie... des hauts et des
bas...

Merci pour ton attention et de ta méticulosité !

FiLH



--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org

Le 02/01/2012 22:52, FiLH a écrit :

Ghost-Rider<Ghost-Rider@compuserve.com> wrote:

D'abord on reconnait tout de suite le style de Filh. C'est bien mais on
voudrait qu'il cesse d'approfondir encore et encore ce style qui tourne
un peu au système.

Le flou ? La présentation ? Les filles nues ?

Le flou.
La présentation progresse.
Les filles nues ne sont pas à négliger.
Et si tu nous faisais un jour une série d'un garçon nu ?

Ce n'est pas vraiment le but de tout voir, finallement... mais quel
courage tu as eu.. (ou tu es vraiment curieux... mais de quoi ?)

Quand je commente des photos, j'essaye d'aller au fond des choses, par
respect pour celui qui les a faites et présentées.

Trop crue ? Heu cru je vois, cuit je vois, trop cuit je vois, c'est
carbonisé trop cru :)...

Quoi qu'on pense, quoi qu'on fasse, quoi qu'on veuille penser, on reste
avec ses référents. Ce sont les structures de chaque civilisation, dont
parle Fernand Braudel.

Quel courage ! Allons y :)

Beaucoup moins de courage nécessaire que pour commenter les quelques
centaines de photos que d'autres nous montrent parfois ici.

Il faut toujours douter...

Ah ? moi, je ne doute de rien, hein !...

Fallait bien finir par où ça commence :)

L'origine du monde, on y revient toujours.

Intéressant l'idée de corruption... je crois que je n'ai pas trop
réfléchi à la chose, le flou n'est pas une exclusivité ni même le net
:)

Ou peut-être ressens-tu que le flou systématique travestit la réalité,
et le besoin de couvrir l'intégralité de ce que peut englober le regard
(le net) et la pensée (le flou).

Je ne vais pas - je crois - jusqu'à la pornographie, pas loin... pas
loin... même son sexe reste très pudique... trop ?

La pornographie, selon la définition occidentale, n'est pas très loin.
Selon d'autres référents, elle est bien là. Elle est relative.

Je ne sais pas si j'aurais pu faire une présentation « parfaite » en
enlevant peut-être les nettes, peut-êtres quelques unes du début
(beaucoup ?)...

L'accumulation des presque semblables et le hasard de la présentation
font varier la vision de chacun, qui recrée l'oeuvre en quelque sorte,
et toutes proportions gardées. C'est de l'art aléatoire, comme un mobile
de Calder.

Mais j'aime aussi qu'il y ait comme dans la vie... des hauts et des
bas...

Il faut juste ne pas descendre trop bas, là encore, question de
référents (voir Gilbert and George par exemple).

Merci pour ton attention et de ta méticulosité !

Pas de quoi.

--
Ghost Rider

Le 03/01/12 13:18, Ghost-Rider a écrit :

L'accumulation des presque semblables et le hasard de la présentation
font varier la vision de chacun, qui recrée l'oeuvre en quelque sorte,
et toutes proportions gardées. C'est de l'art aléatoire, comme un mobile
de Calder.

D'accord pour la variation, moins pour son caractère aléatoire qui est
quand très conditionné par le parcours du spectateur.
Et le fait est que ce qui est vu dépend du spectateur est une loi
générale, ici elle est bien mise en évidence.
La façon de parcourir, la façon de voir et d’interpréter.
Nous appartenons en gros au même ensemble de culture occidentale, mais
nous n'avons pas chacun la même culture. Par exemple la pornographie
visuelle est quelque chose dont j'ignore pratiquement tout ; les codes
j'en ai entendu parler ici mais en tant que tels, ça ne fait pas tilt
pour moi. Je vois simplement des images, avec une forme et des
constrastes (le vêtement blanc dans le soir) et un éventuel contenu
sexuel puisqu'on voit -un peu- un sexe.
Les flous me renvoient à une image en forme simplifiée, générale, une
icône en quelque sorte, tandis que les nettes sont plus pour moi de
l'ordre de l'anecdote personnelle.
La série des rouges sombres que je trouve aussi très belle est pour ma
façon de voir bien plus chargée de sexe que les photos de vulve.
C'est un corps qui brûle, un écorché, une martyre ou une sainte en
extase, c'est la chaleur interne du sang transposée en lumière.
C'est impersonnel das le bon sens du terme.

Noëlle Adam

On 30/12/2011 15:10, Octave wrote:

Le 30/12/2011 14:52, FiLH a écrit :

vincent<vincent.bach@gratuit.fr> wrote:

Cela ne fonctionne pas pour moi. Il manque quelque chose. Un texte
peut-être.

Peut-être... mais que dire de plus qui n'est pas dit dans les photos ?
Tu as une idée ?

Peut-être tout ce qui s'est dit pendant la séance!

Ben non. En fait, cela ne me dit rien. Je ne vois pas l'histoire.

--
vincent.

Ghost-Rider <Ghost-Rider@compuserve.com> wrote:

Le 02/01/2012 22:52, FiLH a écrit :
> Ghost-Rider<Ghost-Rider@compuserve.com> wrote:

>> D'abord on reconnait tout de suite le style de Filh. C'est bien mais on
>> voudrait qu'il cesse d'approfondir encore et encore ce style qui tourne
>> un peu au système.
>
> Le flou ? La présentation ? Les filles nues ?

Le flou.

Sytème, truc, style, patte, touche, répétition, procédé... que de mots
pour dire la même chose, l'un positif, l'autre négatif, suivant que l'on
aime ou pas.
Bien sûr celui qui fait du « classique » ne sera jamais accusé de faire
toujours pareil :)..

Le flou est pour moi comme une sorte de distillation où ne reste que
l'esprit (du vin) et où l'anecdotique est gommé...

La présentation progresse.

Peut-être qu'ici le style arrive à évoluer...

Les filles nues ne sont pas à négliger.
Et si tu nous faisais un jour une série d'un garçon nu ?

Il faut un peu de désir pour faire des photos...

> Trop crue ? Heu cru je vois, cuit je vois, trop cuit je vois, c'est
> carbonisé trop cru :)...

Quoi qu'on pense, quoi qu'on fasse, quoi qu'on veuille penser, on reste
avec ses référents. Ce sont les structures de chaque civilisation, dont
parle Fernand Braudel.

Je plaisantais, cette crudité je la revendique :) Bien sûr en complête
contradiction avec le flou qui abstrait et adouci comme tu le faisais
remarquer.

> Il faut toujours douter...

Ah ? moi, je ne doute de rien, hein !...

Erotisme douteux, pornographie, crudité, oui... j'aime aussi tous ces
codes, j'aime quand on fait dans le cliché parfois... comme disait
octave, racoleuse, oui...

En faisant ma cuisine je réflechissais à ce paradoxe toujours en oeuvre
dès que l'on veut sortir de la pornographie de base, à la fois être le
plus cru possible et y mettre une certaine distance. Alors on a le
choix, façon M6 ou Marc Dorcel, nous ajoutons « une touche de chic
» sous la forme d'un cortège de belles voitures, de villas de luxe de
fourure et de champagne (l'érotisme c'est le porno + une flûte de champ,
une fourrure et un feu de bois)...

D'autres le camouflerons avec un éclairage savant, une maîtrise de
l'artisanat photographique, une technique époustouflante, qui fait que
les amateurs du genre s'extasieront sur son niveau photographique...
tout en guêtant la foufoune qui ne saurait se masquer.

Voilà, moi je fais dans le flou... une technique en vaut une autre...
mon jugement de valeur fait que je trouve la première petite bourgeoise
au possible, l'argent remplaçant le goût, la seconde laborieuse, la seur
remplaçant le goût, la mienne je m'en foutiste...

> Fallait bien finir par où ça commence :)

L'origine du monde, on y revient toujours.

Merci :)

> Intéressant l'idée de corruption... je crois que je n'ai pas trop
> réfléchi à la chose, le flou n'est pas une exclusivité ni même le net
> :)

Ou peut-être ressens-tu que le flou systématique travestit la réalité,
et le besoin de couvrir l'intégralité de ce que peut englober le regard
(le net) et la pensée (le flou).

Pour moi il ne travesti pas ma réalité : j'ai parfois dit qu'il me
semblait voir avec une précision de scalpel mais que paradoxalement le
flou est ce qui rendait le mieux compte de ce que je voyais.

Je parlais de la corruption dans le sens où l'intrdoduction du net
corromp le flou... mais regard et pensée net et flou ? À voir...

> Je ne sais pas si j'aurais pu faire une présentation « parfaite » en
> enlevant peut-être les nettes, peut-êtres quelques unes du début
> (beaucoup ?)...

L'accumulation des presque semblables

J'ai déjà commenté cela... je m'abstiendrais donc de répéter...

et le hasard de la présentation
font varier la vision de chacun, qui recrée l'oeuvre en quelque sorte,
et toutes proportions gardées. C'est de l'art aléatoire, comme un mobile
de Calder.

Un peu oui, la comparaison est flatteuse, merci :)

> Mais j'aime aussi qu'il y ait comme dans la vie... des hauts et des
> bas...

Il faut juste ne pas descendre trop bas, là encore, question de
référents (voir Gilbert and George par exemple).

L'ivresse des profondeurs est inégalable...

FiLH


--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org

vincent <vincent.bach@gratuit.fr> wrote:

On 30/12/2011 15:10, Octave wrote:
> Le 30/12/2011 14:52, FiLH a écrit :
>> vincent<vincent.bach@gratuit.fr> wrote:
>
>
>>>
>>> Cela ne fonctionne pas pour moi. Il manque quelque chose. Un texte
>>> peut-être.
>>
>> Peut-être... mais que dire de plus qui n'est pas dit dans les photos ?
>> Tu as une idée ?
>>
>
>
> Peut-être tout ce qui s'est dit pendant la séance!
>
>
Ben non. En fait, cela ne me dit rien. Je ne vois pas l'histoire.

Ben on rencontre une fille un peu racoleuse,
On se balade dans les rues, histoire de faire connaissance
On finit à l'hôtel... allez savoir pour quoi faire...

FiLH


--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org

Le 03/01/2012 19:52, vincent a écrit :

On 30/12/2011 15:10, Octave wrote:

Le 30/12/2011 14:52, FiLH a écrit :

vincent<vincent.bach@gratuit.fr> wrote:

Cela ne fonctionne pas pour moi. Il manque quelque chose. Un texte
peut-être.

Peut-être... mais que dire de plus qui n'est pas dit dans les photos ?
Tu as une idée ?

Peut-être tout ce qui s'est dit pendant la séance!

Ben non. En fait, cela ne me dit rien. Je ne vois pas l'histoire.

Ah ben si, l'histoire est très claire : rencontre dans un parking, on va
chez l'un ou chez l'autre, déshabillage, action, passage à la salle de
bains, re-action, photos en pied de l'héroïne même pas fatiguée et
apothéose sur un gros plan du champ de manoeuvre.
Et au passage, beaucoup de superbes photos et pas mal de clins d'oeil.

--
Ghost Rider

On 03/01/2012 20:37, FiLH wrote:

vincent<vincent.bach@gratuit.fr> wrote:

On 30/12/2011 15:10, Octave wrote:

Le 30/12/2011 14:52, FiLH a écrit :

vincent<vincent.bach@gratuit.fr> wrote:

Cela ne fonctionne pas pour moi. Il manque quelque chose. Un texte
peut-être.

Peut-être... mais que dire de plus qui n'est pas dit dans les photos ?
Tu as une idée ?

Peut-être tout ce qui s'est dit pendant la séance!

Ben non. En fait, cela ne me dit rien. Je ne vois pas l'histoire.

Ben on rencontre une fille un peu racoleuse,
On se balade dans les rues, histoire de faire connaissance
On finit à l'hôtel... allez savoir pour quoi faire...

Faut que j'y retourne, car je ne me suis pas senti racolé !



--
vincent.

vincent <vincent.bach@gratuit.fr> wrote:

On 03/01/2012 20:37, FiLH wrote:
> vincent<vincent.bach@gratuit.fr> wrote:
>
>> On 30/12/2011 15:10, Octave wrote:
>>> Le 30/12/2011 14:52, FiLH a écrit :
>>>> vincent<vincent.bach@gratuit.fr> wrote:
>>>
>>>
>>>>>
>>>>> Cela ne fonctionne pas pour moi. Il manque quelque chose. Un texte
>>>>> peut-être.
>>>>
>>>> Peut-être... mais que dire de plus qui n'est pas dit dans les photos ?
>>>> Tu as une idée ?
>>>>
>>>
>>>
>>> Peut-être tout ce qui s'est dit pendant la séance!
>>>
>>>
>> Ben non. En fait, cela ne me dit rien. Je ne vois pas l'histoire.
>
> Ben on rencontre une fille un peu racoleuse,
> On se balade dans les rues, histoire de faire connaissance
> On finit à l'hôtel... allez savoir pour quoi faire...
>
Faut que j'y retourne, car je ne me suis pas senti racolé !

Chacun son imaginaire... peut-être tu préfères le style talons haut
fourrure... ou brésilienne du bois... qui sait...

FiLH


--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org

On 03/01/2012 21:19, FiLH wrote:

Chacun son imaginaire... peut-être tu préfères le style talons haut
fourrure... ou brésilienne du bois... qui sait...

C'est donc pour ça que cela ne fonctionne pas chez moi cette fois.
Je dois préférer les brunes

--
vincent.