Je lis à: http://www.comdesfemmes.com/sommaire.php# :
«Les femmes sont statistiquement moins d'accidents graves que les
hommes, pourquoi paieraient-elles leur assurance auto le même prix
?»
Existe-t-il effectivement des tarifs préférentiels pour les
femmes ? De telles pratiques ne constituent-elles pas une
discrimination au sens de l'article 225-1 NCP (mais l'art. 225-2
réprime uniquement les discriminations conduisant à refuser la
fourniture d'un bien ou d'un service, ce qui n'est pas exactement le
cas ici)? Les compagnies modulent-elles également leurs tarifs
selon d'autres critères tels que l'ethnie ?
fu2
--
« Mê nun peri sauton ille tên gnômên aei, all' apokhala tên phrontid'
eis ton aera linodeton ôsper mêlolonthên tou podos » ARISTOPHANE
________________________________________________________
Chou blanc avec Google ? Essayer: http://www.infora.org/
L'arrangement était avec le ministère des affaires étrangères, si ma mémoire me sert. Ou un autre ministère peut-être mais je ne crois pas, en tout cas celui qui gérait ce procès. Rien à voir avec les co-héritiers.
J'ignorais cette péripétie. En fait, elle est due au conservatisme de la Cour de cassation, qui aurait pu désamorcer l'affaire (avant le recours à la CEDH).
La cour de cass n'est pas censée juger le fond, n'est-ce pas. En tout cas je trouve incroyable que l'Etat en tant que tel cherche un "arrangement" financier avec un justiciable dans une affaire (civile! Et s'adressant à des particuliers) où il finit par faire une loi, rien que ça, lui donnant raison, et où l'arrangement était destiné à éviter cette horreur. C'est le procureur payant la partie civile pour qu'elle se barre et pour pouvoir dormir tranquille.
J'attends avec impatience qu'une religieuse brandisse le Code pénal contre l'archevêque de Paris ou le Pape, pour refus d'admission au séminaire et à la prêtrise.
L'épiscopat a toujours cherché à éviter le statut de salarié pour ses consacrés (en tant que tels, là-dessus ils peuvent être salariés pour un boulot), sauf évidemment en Alsace/Moselle mais le processus de désignation est tel que jamais il n'y a une concurrence entre homme et femme personnes physiques. Il a même fallu violer l'épiscopat pour qu'ils cotisent à la sécu, dans les années 70.
Mais soyez sûr qu'au fond de l'archévêché de Paris il y a une étude sur la question, et qu'ils sont à peu près bordés. Pour qu'ils aient vraiment des ennuis, il faudrait qu'un prête perde un vrai boulot salarié et sans contrepartie pour cause de mariage, par exemple, et qu'il porte le pet. Ou qu'un prêtre révèle qu'il est une femme et en subisse des conséquences matérielles. Or ils s'arrangent pour que ce gag n'arrive pas en recyclant les brebis galeuses. Mais ne désespérons, pas, un jour un évêque fâché et distrait va bien faire une connerie.
-- jr Les mûres ont des oreilles.
chevalier b. :
"jr"
L'arrangement était avec le ministère des affaires étrangères, si ma
mémoire me sert. Ou un autre ministère peut-être mais je ne crois pas,
en tout cas celui qui gérait ce procès. Rien à voir avec les
co-héritiers.
J'ignorais cette péripétie. En fait, elle est due au conservatisme de la
Cour de cassation, qui aurait pu désamorcer l'affaire (avant le recours
à la CEDH).
La cour de cass n'est pas censée juger le fond, n'est-ce pas. En tout cas
je trouve incroyable que l'Etat en tant que tel cherche un "arrangement"
financier avec un justiciable dans une affaire (civile! Et s'adressant à
des particuliers) où il finit par faire une loi, rien que ça, lui donnant
raison, et où l'arrangement était destiné à éviter cette horreur. C'est le
procureur payant la partie civile pour qu'elle se barre et pour pouvoir
dormir tranquille.
J'attends avec impatience qu'une religieuse brandisse le Code pénal
contre l'archevêque de Paris ou le Pape, pour refus d'admission au
séminaire et à la prêtrise.
L'épiscopat a toujours cherché à éviter le statut de salarié pour ses
consacrés (en tant que tels, là-dessus ils peuvent être salariés pour un
boulot), sauf évidemment en Alsace/Moselle mais le processus de désignation
est tel que jamais il n'y a une concurrence entre homme et femme personnes
physiques. Il a même fallu violer l'épiscopat pour qu'ils cotisent à la
sécu, dans les années 70.
Mais soyez sûr qu'au fond de l'archévêché de Paris il y a une étude sur la
question, et qu'ils sont à peu près bordés. Pour qu'ils aient vraiment des
ennuis, il faudrait qu'un prête perde un vrai boulot salarié et sans
contrepartie pour cause de mariage, par exemple, et qu'il porte le pet. Ou
qu'un prêtre révèle qu'il est une femme et en subisse des conséquences
matérielles. Or ils s'arrangent pour que ce gag n'arrive pas en recyclant
les brebis galeuses. Mais ne désespérons, pas, un jour un évêque fâché et
distrait va bien faire une connerie.
L'arrangement était avec le ministère des affaires étrangères, si ma mémoire me sert. Ou un autre ministère peut-être mais je ne crois pas, en tout cas celui qui gérait ce procès. Rien à voir avec les co-héritiers.
J'ignorais cette péripétie. En fait, elle est due au conservatisme de la Cour de cassation, qui aurait pu désamorcer l'affaire (avant le recours à la CEDH).
La cour de cass n'est pas censée juger le fond, n'est-ce pas. En tout cas je trouve incroyable que l'Etat en tant que tel cherche un "arrangement" financier avec un justiciable dans une affaire (civile! Et s'adressant à des particuliers) où il finit par faire une loi, rien que ça, lui donnant raison, et où l'arrangement était destiné à éviter cette horreur. C'est le procureur payant la partie civile pour qu'elle se barre et pour pouvoir dormir tranquille.
J'attends avec impatience qu'une religieuse brandisse le Code pénal contre l'archevêque de Paris ou le Pape, pour refus d'admission au séminaire et à la prêtrise.
L'épiscopat a toujours cherché à éviter le statut de salarié pour ses consacrés (en tant que tels, là-dessus ils peuvent être salariés pour un boulot), sauf évidemment en Alsace/Moselle mais le processus de désignation est tel que jamais il n'y a une concurrence entre homme et femme personnes physiques. Il a même fallu violer l'épiscopat pour qu'ils cotisent à la sécu, dans les années 70.
Mais soyez sûr qu'au fond de l'archévêché de Paris il y a une étude sur la question, et qu'ils sont à peu près bordés. Pour qu'ils aient vraiment des ennuis, il faudrait qu'un prête perde un vrai boulot salarié et sans contrepartie pour cause de mariage, par exemple, et qu'il porte le pet. Ou qu'un prêtre révèle qu'il est une femme et en subisse des conséquences matérielles. Or ils s'arrangent pour que ce gag n'arrive pas en recyclant les brebis galeuses. Mais ne désespérons, pas, un jour un évêque fâché et distrait va bien faire une connerie.
-- jr Les mûres ont des oreilles.
jr
chevalier b. :
"Apokrif"
Griesmar est magistrat, ce qui explique peut-être sa persévérance.
Pas de pire procédurier que le magistrat en retraite. Tous les syndics de copropriété vous le diront.
..et les coproprios. Mais ça finit par mourir, tout de même, et on peut se venger sur la veuve.
-- jr Les mûres ont des oreilles.
chevalier b. :
"Apokrif"
Griesmar est
magistrat, ce qui explique peut-être sa persévérance.
Pas de pire procédurier que le magistrat en retraite. Tous les syndics
de copropriété vous le diront.
..et les coproprios. Mais ça finit par mourir, tout de même, et on peut se
venger sur la veuve.
Griesmar est magistrat, ce qui explique peut-être sa persévérance.
Pas de pire procédurier que le magistrat en retraite. Tous les syndics de copropriété vous le diront.
..et les coproprios. Mais ça finit par mourir, tout de même, et on peut se venger sur la veuve.
-- jr Les mûres ont des oreilles.
chevalier b.
"jr"
La cour de cass n'est pas censée juger le fond, n'est-ce pas.
Si vous la connaissez un peu, par ses arrêts, vous savez qu'elle a les moyens d'infléchir son rôle, de "sauver" des pourvois. Elle a d'ailleurs changé rapidement sa jurisprudence (avant l'entrée en vigueur de la loi) et ce revirement est bien l'aveu d'une erreur. C'est ce que j'aime chez elle.
Mais soyez sûr qu'au fond de l'archévêché de Paris il y a une étude
sur la
question, et qu'ils sont à peu près bordés.
Oui, je leur fais confiance, ils ont d'excellents juristes.
Pour qu'ils aient vraiment des ennuis, il faudrait qu'un prêtre perde un vrai boulot salarié et sans contrepartie pour cause de mariage, par exemple, et qu'il porte le
pet.
Pour le moment, on n'a que l'affaire du sacristain homosexuel. Je crois d'ailleurs que son licenciement a été validé.
Ou qu'un prêtre révèle qu'il est une femme et en subisse des conséquences matérielles.
Après tout, pourquoi le transsexualisme les épargnerait-il ?
Or ils s'arrangent pour que ce gag n'arrive pas en recyclant les brebis galeuses.
Pas toujours, si on lit les nombreux livres des prêtres défroqués. Ils sont souvent sans pitié (et les anciens prêtres n'ont plus que cette littérature pour vivre).
Mais ne désespérons, pas, un jour un évêque fâché et distrait va bien faire une connerie.
Gardons espoir !
"jr"
La cour de cass n'est pas censée juger le fond, n'est-ce pas.
Si vous la connaissez un peu, par ses arrêts, vous savez qu'elle a les
moyens d'infléchir son rôle, de "sauver" des pourvois. Elle a d'ailleurs
changé rapidement sa jurisprudence (avant l'entrée en vigueur de la loi)
et ce revirement est bien l'aveu d'une erreur. C'est ce que j'aime chez
elle.
Mais soyez sûr qu'au fond de l'archévêché de Paris il y a une étude
sur la
question, et qu'ils sont à peu près bordés.
Oui, je leur fais confiance, ils ont d'excellents juristes.
Pour qu'ils aient vraiment des
ennuis, il faudrait qu'un prêtre perde un vrai boulot salarié et sans
contrepartie pour cause de mariage, par exemple, et qu'il porte le
pet.
Pour le moment, on n'a que l'affaire du sacristain homosexuel. Je crois
d'ailleurs que son licenciement a été validé.
Ou
qu'un prêtre révèle qu'il est une femme et en subisse des conséquences
matérielles.
Après tout, pourquoi le transsexualisme les épargnerait-il ?
Or ils s'arrangent pour que ce gag n'arrive pas en recyclant
les brebis galeuses.
Pas toujours, si on lit les nombreux livres des prêtres défroqués. Ils
sont souvent sans pitié (et les anciens prêtres n'ont plus que cette
littérature pour vivre).
Mais ne désespérons, pas, un jour un évêque fâché et
distrait va bien faire une connerie.
La cour de cass n'est pas censée juger le fond, n'est-ce pas.
Si vous la connaissez un peu, par ses arrêts, vous savez qu'elle a les moyens d'infléchir son rôle, de "sauver" des pourvois. Elle a d'ailleurs changé rapidement sa jurisprudence (avant l'entrée en vigueur de la loi) et ce revirement est bien l'aveu d'une erreur. C'est ce que j'aime chez elle.
Mais soyez sûr qu'au fond de l'archévêché de Paris il y a une étude
sur la
question, et qu'ils sont à peu près bordés.
Oui, je leur fais confiance, ils ont d'excellents juristes.
Pour qu'ils aient vraiment des ennuis, il faudrait qu'un prêtre perde un vrai boulot salarié et sans contrepartie pour cause de mariage, par exemple, et qu'il porte le
pet.
Pour le moment, on n'a que l'affaire du sacristain homosexuel. Je crois d'ailleurs que son licenciement a été validé.
Ou qu'un prêtre révèle qu'il est une femme et en subisse des conséquences matérielles.
Après tout, pourquoi le transsexualisme les épargnerait-il ?
Or ils s'arrangent pour que ce gag n'arrive pas en recyclant les brebis galeuses.
Pas toujours, si on lit les nombreux livres des prêtres défroqués. Ils sont souvent sans pitié (et les anciens prêtres n'ont plus que cette littérature pour vivre).
Mais ne désespérons, pas, un jour un évêque fâché et distrait va bien faire une connerie.
Gardons espoir !
chevalier b.
"jr"
..et les coproprios. Mais ça finit par mourir, tout de même, et on
peut se
venger sur la veuve.
Attention cependant. La veuve peut en être un aussi. Exemple vécu d'une copropriété avec un éminent professeur de droit en retraite, marié à une ancienne présidente de chambre de la cour d'appel. Ca vous dévalue un immeuble parisien !
"jr"
..et les coproprios. Mais ça finit par mourir, tout de même, et on
peut se
venger sur la veuve.
Attention cependant. La veuve peut en être un aussi. Exemple vécu d'une
copropriété avec un éminent professeur de droit en retraite, marié à une
ancienne présidente de chambre de la cour d'appel. Ca vous dévalue un
immeuble parisien !
..et les coproprios. Mais ça finit par mourir, tout de même, et on
peut se
venger sur la veuve.
Attention cependant. La veuve peut en être un aussi. Exemple vécu d'une copropriété avec un éminent professeur de droit en retraite, marié à une ancienne présidente de chambre de la cour d'appel. Ca vous dévalue un immeuble parisien !
jr
chevalier b. :
Si vous la connaissez un peu, par ses arrêts, vous savez qu'elle a les moyens d'infléchir son rôle, de "sauver" des pourvois. Elle a d'ailleurs changé rapidement sa jurisprudence (avant l'entrée en vigueur de la loi) et ce revirement est bien l'aveu d'une erreur. C'est ce que j'aime chez elle.
On a les amours qu'on peut:)
Pour qu'ils aient vraiment des ennuis, il faudrait qu'un prêtre perde un vrai boulot salarié et sans contrepartie pour cause de mariage, par exemple, et qu'il porte le pet.
Pour le moment, on n'a que l'affaire du sacristain homosexuel. Je crois d'ailleurs que son licenciement a été validé.
Non. Cour de cass, que vous aimez bien: "Il est interdit à un employeur de congédier un salarié pour le seul motif tiré de ses moeurs". Cela dit, la fonction publique ou les ordres ont fait pareil bien des fois, par exemple l'affaire du juge maqué avec une ex-prostituée ou l'avocate qui jouait de l'accordéon dans la rue.
Et je demande à voir ce que donnerait un recours CEDH pour un cas de mariage (qui est explicitement mentionné dans la DUDH, une erreur à mon avis mais bon). Il y a eu une histoire d'enseignante divorcée remariée et licenciée de ce fait, et une autre affaire de médecin viré d'un hosto catholique pour cause de remariage, mais je ne sais pas les conclusions.
Ou qu'un prêtre révèle qu'il est une femme et en subisse des conséquences matérielles.
Après tout, pourquoi le transsexualisme les épargnerait-il ?
Une ex-nageuse RDA ayant la vocation. Sans aller jusque là, ça m'étonnerait qu'on les mette sur une chaise percée pour vérifier bene pendentes.
Or ils s'arrangent pour que ce gag n'arrive pas en recyclant les brebis galeuses.
Pas toujours, si on lit les nombreux livres des prêtres défroqués. Ils sont souvent sans pitié (et les anciens prêtres n'ont plus que cette littérature pour vivre).
C'est d'avant les cotisations justement. Même aujourd'hui, l'ECR complète les retraites des prêtres, les défroqués ne touchent que la part sécu qui est très peu dans leur régime.
Mais ne désespérons, pas, un jour un évêque fâché et distrait va bien faire une connerie.
Gardons espoir !
L'espérance est une vertu cardinale.
-- jr
chevalier b. :
Si vous la connaissez un peu, par ses arrêts, vous savez qu'elle a les
moyens d'infléchir son rôle, de "sauver" des pourvois. Elle a d'ailleurs
changé rapidement sa jurisprudence (avant l'entrée en vigueur de la loi)
et ce revirement est bien l'aveu d'une erreur. C'est ce que j'aime chez
elle.
On a les amours qu'on peut:)
Pour qu'ils aient vraiment des
ennuis, il faudrait qu'un prêtre perde un vrai boulot salarié et sans
contrepartie pour cause de mariage, par exemple, et qu'il porte le
pet.
Pour le moment, on n'a que l'affaire du sacristain homosexuel. Je crois
d'ailleurs que son licenciement a été validé.
Non. Cour de cass, que vous aimez bien: "Il est interdit à un employeur de
congédier un salarié pour le seul motif tiré de ses moeurs". Cela dit, la
fonction publique ou les ordres ont fait pareil bien des fois, par exemple
l'affaire du juge maqué avec une ex-prostituée ou l'avocate qui jouait de
l'accordéon dans la rue.
Et je demande à voir ce que donnerait un recours CEDH pour un cas de
mariage (qui est explicitement mentionné dans la DUDH, une erreur à mon
avis mais bon). Il y a eu une histoire d'enseignante divorcée remariée et
licenciée de ce fait, et une autre affaire de médecin viré d'un hosto
catholique pour cause de remariage, mais je ne sais pas les conclusions.
Ou
qu'un prêtre révèle qu'il est une femme et en subisse des conséquences
matérielles.
Après tout, pourquoi le transsexualisme les épargnerait-il ?
Une ex-nageuse RDA ayant la vocation. Sans aller jusque là, ça m'étonnerait
qu'on les mette sur une chaise percée pour vérifier bene pendentes.
Or ils s'arrangent pour que ce gag n'arrive pas en recyclant
les brebis galeuses.
Pas toujours, si on lit les nombreux livres des prêtres défroqués. Ils
sont souvent sans pitié (et les anciens prêtres n'ont plus que cette
littérature pour vivre).
C'est d'avant les cotisations justement. Même aujourd'hui, l'ECR complète
les retraites des prêtres, les défroqués ne touchent que la part sécu qui
est très peu dans leur régime.
Mais ne désespérons, pas, un jour un évêque fâché et
distrait va bien faire une connerie.
Si vous la connaissez un peu, par ses arrêts, vous savez qu'elle a les moyens d'infléchir son rôle, de "sauver" des pourvois. Elle a d'ailleurs changé rapidement sa jurisprudence (avant l'entrée en vigueur de la loi) et ce revirement est bien l'aveu d'une erreur. C'est ce que j'aime chez elle.
On a les amours qu'on peut:)
Pour qu'ils aient vraiment des ennuis, il faudrait qu'un prêtre perde un vrai boulot salarié et sans contrepartie pour cause de mariage, par exemple, et qu'il porte le pet.
Pour le moment, on n'a que l'affaire du sacristain homosexuel. Je crois d'ailleurs que son licenciement a été validé.
Non. Cour de cass, que vous aimez bien: "Il est interdit à un employeur de congédier un salarié pour le seul motif tiré de ses moeurs". Cela dit, la fonction publique ou les ordres ont fait pareil bien des fois, par exemple l'affaire du juge maqué avec une ex-prostituée ou l'avocate qui jouait de l'accordéon dans la rue.
Et je demande à voir ce que donnerait un recours CEDH pour un cas de mariage (qui est explicitement mentionné dans la DUDH, une erreur à mon avis mais bon). Il y a eu une histoire d'enseignante divorcée remariée et licenciée de ce fait, et une autre affaire de médecin viré d'un hosto catholique pour cause de remariage, mais je ne sais pas les conclusions.
Ou qu'un prêtre révèle qu'il est une femme et en subisse des conséquences matérielles.
Après tout, pourquoi le transsexualisme les épargnerait-il ?
Une ex-nageuse RDA ayant la vocation. Sans aller jusque là, ça m'étonnerait qu'on les mette sur une chaise percée pour vérifier bene pendentes.
Or ils s'arrangent pour que ce gag n'arrive pas en recyclant les brebis galeuses.
Pas toujours, si on lit les nombreux livres des prêtres défroqués. Ils sont souvent sans pitié (et les anciens prêtres n'ont plus que cette littérature pour vivre).
C'est d'avant les cotisations justement. Même aujourd'hui, l'ECR complète les retraites des prêtres, les défroqués ne touchent que la part sécu qui est très peu dans leur régime.
Mais ne désespérons, pas, un jour un évêque fâché et distrait va bien faire une connerie.
Gardons espoir !
L'espérance est une vertu cardinale.
-- jr
Adrien Frey
"jr" a utilisé son clavier pour écrire :
JustMe a écrit :
Gé wrote:
Et entre blanc de souche et arabe immigré, vous voyez quoi? Vous êtes bien certain que les juifs polonais ont la même conduite que les portugais de la deuxième génération? Où sont les statistiques? Pourquoi diable personne ne s'aventure-t-il là dedans?
Peut-être parce que la différence n'existe pas ??? Mais je suis sûrement trop con.
ou peut etre parce qu'elle est politiquement incorrecte ?
Ah, la mention du politiquement incorrect, la mesure certaine de la beauferie contemporaine.
Au passage : quelqu'un peut il me citer un champion de natation noir ?
Pas de champion de golf ni de F1 non plus, ça vous étonne? Par contre dans les sports où il suffit de ses pieds, il y en a. Quele surprise.
Je suis raciste en constatant cela ?
Oui.
Ben voyons encore un gauchiste qui voit des racistes partout.
Avant de voir le brin de paille dans l'oeil du voisin, enlevez donc la poutre qui est dans le vôtre.
"jr" a utilisé son clavier pour écrire :
JustMe a écrit :
Gé wrote:
Et entre blanc de souche et arabe immigré, vous voyez quoi? Vous êtes
bien certain que les juifs polonais ont la même conduite que les
portugais de la deuxième génération? Où sont les statistiques?
Pourquoi diable personne ne s'aventure-t-il là dedans?
Peut-être parce que la différence n'existe pas ??? Mais je suis sûrement
trop
con.
ou peut etre parce qu'elle est politiquement incorrecte ?
Ah, la mention du politiquement incorrect, la mesure certaine de la
beauferie contemporaine.
Au passage : quelqu'un peut il me citer un champion de natation noir ?
Pas de champion de golf ni de F1 non plus, ça vous étonne? Par contre
dans les sports où il suffit de ses pieds, il y en a. Quele surprise.
Je suis raciste en constatant cela ?
Oui.
Ben voyons encore un gauchiste qui voit des racistes partout.
Avant de voir le brin de paille dans l'oeil du voisin, enlevez donc la
poutre qui est dans le vôtre.
Et entre blanc de souche et arabe immigré, vous voyez quoi? Vous êtes bien certain que les juifs polonais ont la même conduite que les portugais de la deuxième génération? Où sont les statistiques? Pourquoi diable personne ne s'aventure-t-il là dedans?
Peut-être parce que la différence n'existe pas ??? Mais je suis sûrement trop con.
ou peut etre parce qu'elle est politiquement incorrecte ?
Ah, la mention du politiquement incorrect, la mesure certaine de la beauferie contemporaine.
Au passage : quelqu'un peut il me citer un champion de natation noir ?
Pas de champion de golf ni de F1 non plus, ça vous étonne? Par contre dans les sports où il suffit de ses pieds, il y en a. Quele surprise.
Je suis raciste en constatant cela ?
Oui.
Ben voyons encore un gauchiste qui voit des racistes partout.
Avant de voir le brin de paille dans l'oeil du voisin, enlevez donc la poutre qui est dans le vôtre.
Adrien Frey
"Gé" a présenté l'énoncé suivant :
Bonjour,
"jr" a écrit :
Il n'y a donc pas de tarifs "préférentiels", mais seulement des tarifs logiques, calculés statistiquement d'après les risques pris par chacun.
Non. Le simple fait d'être femme ne préjuge en rien des risques pris.
Je vous conseille vivement de faire un tour sur :
(bla)
Vous y verrez, notamment, que les femmes (par rapport aux hommes) : - ont plus d'accidents (en nombre), - ont des accidents qui coûtent moins chers, donc moins graves, - ne représentent que 25% des tués de la route, - circulent plus en ville, - effectuent moins de kilomètres, - etc...
Certes. C'est bien parce qu'on peut faire des corrélations *objectives* (et non pas des causalités)
L'objectivité des faits... Raisonnement un peu bancal à mon avis.
Pouvez tourner autour du pot, il s'agit clairement d'un service conditionné par le sexe de la personne.
Je n'ai jamais "tourné autour du pot", puisque j'ai donné des liens qui justifient la différence des tarifs entre hommes et femmes.
À conduite, domicile, âge et historique égal, l'homme n'a *pas* à payer plus cher que la femme.
Le principe même d'une assurance auto : à risques différents, tarifs différents.
Une agence bancaire s'est fait remonter les bretelles pour avoir refusé des noirs, après une opération de testing en bonne et due forme. Pas de surprise, la défense spontanée a été que ces gens là ont statistiquement plus de problèmes, et c'est probablement exact. Qui approuvez-vous? La banque ou ceux qui ont râlé?
Je ne vois pas le rapport entre une banque qui refuse un client et une assurance qui fait payer en fonction des risques réels.
Et pourtant, c'est exactement pareil. Vous parlez dev risques réels, masi la banque s'est basée sur des statistiques exactement comme le font les asurances.
Si la ségrégation sexuelle est autorisé dans les assurances, ça veut dire que même la constitution n'est pas respectée, si les lois ne se respectent plus, je ne vois pas de raison pour nous de les respecter.
"Gé" a présenté l'énoncé suivant :
Bonjour,
"jr" a écrit :
Il n'y a donc pas de tarifs "préférentiels",
mais seulement des tarifs logiques, calculés statistiquement
d'après les risques pris par chacun.
Non. Le simple fait d'être femme ne préjuge en rien des risques pris.
Je vous conseille vivement de faire un tour sur :
(bla)
Vous y verrez, notamment, que les femmes (par rapport aux hommes) :
- ont plus d'accidents (en nombre),
- ont des accidents qui coûtent moins chers, donc moins graves,
- ne représentent que 25% des tués de la route,
- circulent plus en ville,
- effectuent moins de kilomètres,
- etc...
Certes. C'est bien parce qu'on peut faire des corrélations *objectives*
(et non pas des causalités)
L'objectivité des faits... Raisonnement un peu bancal à mon avis.
Pouvez tourner autour du pot, il
s'agit clairement d'un service conditionné par le sexe de la personne.
Je n'ai jamais "tourné autour du pot", puisque j'ai donné des liens qui
justifient la différence des tarifs entre hommes et femmes.
À conduite, domicile, âge et historique égal, l'homme n'a *pas* à
payer plus cher que la femme.
Le principe même d'une assurance auto : à risques différents, tarifs
différents.
Une agence bancaire s'est fait remonter les bretelles pour avoir refusé
des noirs, après une opération de testing en bonne et due forme. Pas de
surprise, la défense spontanée a été que ces gens là ont statistiquement
plus de problèmes, et c'est probablement exact. Qui approuvez-vous? La
banque ou ceux qui ont râlé?
Je ne vois pas le rapport entre une banque qui refuse un client et une
assurance
qui fait payer en fonction des risques réels.
Et pourtant, c'est exactement pareil. Vous parlez dev risques réels,
masi la banque s'est basée sur des statistiques exactement comme le
font les asurances.
Si la ségrégation sexuelle est autorisé dans les assurances, ça veut
dire que même la constitution n'est pas respectée, si les lois ne se
respectent plus, je ne vois pas de raison pour nous de les respecter.
Il n'y a donc pas de tarifs "préférentiels", mais seulement des tarifs logiques, calculés statistiquement d'après les risques pris par chacun.
Non. Le simple fait d'être femme ne préjuge en rien des risques pris.
Je vous conseille vivement de faire un tour sur :
(bla)
Vous y verrez, notamment, que les femmes (par rapport aux hommes) : - ont plus d'accidents (en nombre), - ont des accidents qui coûtent moins chers, donc moins graves, - ne représentent que 25% des tués de la route, - circulent plus en ville, - effectuent moins de kilomètres, - etc...
Certes. C'est bien parce qu'on peut faire des corrélations *objectives* (et non pas des causalités)
L'objectivité des faits... Raisonnement un peu bancal à mon avis.
Pouvez tourner autour du pot, il s'agit clairement d'un service conditionné par le sexe de la personne.
Je n'ai jamais "tourné autour du pot", puisque j'ai donné des liens qui justifient la différence des tarifs entre hommes et femmes.
À conduite, domicile, âge et historique égal, l'homme n'a *pas* à payer plus cher que la femme.
Le principe même d'une assurance auto : à risques différents, tarifs différents.
Une agence bancaire s'est fait remonter les bretelles pour avoir refusé des noirs, après une opération de testing en bonne et due forme. Pas de surprise, la défense spontanée a été que ces gens là ont statistiquement plus de problèmes, et c'est probablement exact. Qui approuvez-vous? La banque ou ceux qui ont râlé?
Je ne vois pas le rapport entre une banque qui refuse un client et une assurance qui fait payer en fonction des risques réels.
Et pourtant, c'est exactement pareil. Vous parlez dev risques réels, masi la banque s'est basée sur des statistiques exactement comme le font les asurances.
Si la ségrégation sexuelle est autorisé dans les assurances, ça veut dire que même la constitution n'est pas respectée, si les lois ne se respectent plus, je ne vois pas de raison pour nous de les respecter.
Claude BRUN
Bonsoir,
"Brina" a écrit dans le message de news:
Dans l'article , Adrien Frey nous disait ... > Je ne vois pas pourquoi on pourrait discriminer en assurance et en même > temps forcer les entreprises à considérer un employé pour ses capacité > et pas son sexe.
Parce que la loi le dit.
> Si les femmes sont différentes des hommes, alors elle le sont PARTOUT > ou NUL PART ! > En ce qui me concerne, j'irais bien volontiers en parler à un > association de consommateur.
Les assurances ne sont pas un bien de consommation.
Et le "sexisme" non plus !
-- Claude BRUN
Bonsoir,
"Brina" <brina@alussinan.org> a écrit dans le message de
news:MPG.197e5f4632a00d34991ab7@brina.bj...
Dans l'article <mesnews.7cc67d37.3068212a.128.451@free.fr>, Adrien Frey
<adrien.frey@free.fr> nous disait ...
> Je ne vois pas pourquoi on pourrait discriminer en assurance et en même
> temps forcer les entreprises à considérer un employé pour ses capacité
> et pas son sexe.
Parce que la loi le dit.
> Si les femmes sont différentes des hommes, alors elle le sont PARTOUT
> ou NUL PART !
> En ce qui me concerne, j'irais bien volontiers en parler à un
> association de consommateur.
Les assurances ne sont pas un bien de consommation.
Dans l'article , Adrien Frey nous disait ... > Je ne vois pas pourquoi on pourrait discriminer en assurance et en même > temps forcer les entreprises à considérer un employé pour ses capacité > et pas son sexe.
Parce que la loi le dit.
> Si les femmes sont différentes des hommes, alors elle le sont PARTOUT > ou NUL PART ! > En ce qui me concerne, j'irais bien volontiers en parler à un > association de consommateur.
Les assurances ne sont pas un bien de consommation.
Et le "sexisme" non plus !
-- Claude BRUN
Apokrif
Brina :
> En ce qui me concerne, j'irais bien volontiers en parler à un > association de consommateur.
Les assurances ne sont pas un bien de consommation.
Dans les faits, les associations de consommateurs s'intéressent aux sociétés d'assurance. -- « Mê nun peri sauton ille tên gnômên aei, all' apokhala tên phrontid' eis ton aera linodeton ôsper mêlolonthên tou podos » ARISTOPHANE _______________________________________________________________ Vous cherchez les archives du forum ? http://groups.google.com/
Brina <brina@alussinan.org> :
> En ce qui me concerne, j'irais bien volontiers en parler à un
> association de consommateur.
Les assurances ne sont pas un bien de consommation.
Dans les faits, les associations de consommateurs s'intéressent aux
sociétés d'assurance.
--
« Mê nun peri sauton ille tên gnômên aei, all' apokhala tên phrontid'
eis ton aera linodeton ôsper mêlolonthên tou podos » ARISTOPHANE
_______________________________________________________________
Vous cherchez les archives du forum ? http://groups.google.com/
> En ce qui me concerne, j'irais bien volontiers en parler à un > association de consommateur.
Les assurances ne sont pas un bien de consommation.
Dans les faits, les associations de consommateurs s'intéressent aux sociétés d'assurance. -- « Mê nun peri sauton ille tên gnômên aei, all' apokhala tên phrontid' eis ton aera linodeton ôsper mêlolonthên tou podos » ARISTOPHANE _______________________________________________________________ Vous cherchez les archives du forum ? http://groups.google.com/