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Octave
Si vous avez des commentaires, ça m'intéresse.


Un jour, ça a été fini, plus envie de faire de trace, plus envie de
dessiner une tête :


http://www.octav.fr/quotidien/10-10-31/05.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-11-01/04.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-11-10/06.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-11-11/08.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-11-13/09.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-11-14/03.html
http://www.octav.fr/quotidien/10-12-18/07.html



Photo-texte :
Là, je n'ai plus besoin de faire de photo, en reprenant et en faisant un
choix dans les photos passées.

Il fallait qu'avec les mots interviennent le hasard, de la même façon
qu'avec les photos. J'ai commencé à passer le texte dans un traducteur
automatique plein de fois pour brouiller le sens, aussi pour en amener
d'autres, pour amener des surprises :

http://www.octav.fr/quotidien/11-02-28/01.html
http://www.octav.fr/quotidien/11-03-02/01.html
http://www.octav.fr/quotidien/11-03-02/04.html
http://www.octav.fr/quotidien/11-03-04/01.html
http://www.octav.fr/quotidien/11-03-06/03.html
http://www.octav.fr/quotidien/11-03-06/04.html
http://www.octav.fr/quotidien/11-03-10/05.html
http://www.octav.fr/quotidien/11-03-13/05.html
http://www.octav.fr/quotidien/11-03-13/09.html
http://www.octav.fr/quotidien/11-03-14/01.html
http://www.octav.fr/quotidien/11-03-14/03.html
http://www.octav.fr/quotidien/11-03-15/03.html
http://www.octav.fr/quotidien/11-03-15/10.html
http://www.octav.fr/quotidien/11-03-16/03.html
http://www.octav.fr/quotidien/11-03-27/02.html
http://www.octav.fr/quotidien/11-03-27/03.html

C'est un exercice, il faudra faire les photos et les textes dans
l'avenir, en direct et sur place, si possible.

Je ne sais pas si ça peut être bien perçu, ces rapports photo-texte, le
texte étant toujours un commentaire direct de la photo.
Qu'en pensez-vous ?








--
www.octav.fr

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Jean-Pierre Roche
Le 14/04/2011 18:04, FiLH a écrit :

Soit tu es de mauvaise foi, soit ta connaissance de la
littérature est assez limitée :



Ou la tienne : tu prends la « légende » qu'on se transmet sans savoir
avec la réalité.



C'est cela oui, j'ai trouvé ma licence de lettres dans une
pochette surprise.

trois noms par exemple,
Baudelaire, Rimbaud, Verlaine. Rien que ça...



Baudelaire n'est pas en rupture sociale. En gros c'est un fils de
bourgeois qui a une excellente éducation (on n'écrit pas du Baudelaire
sans une culture excellente). Il va même être candidat à l'Académie
Française, on sent le rebelle à fond.



Bof l'épisode "Académie Française" ça reste un épisode, être
poursuivi pour outrage à la morale et aux bonnes moeurs
c'est sans doute un signe d'intégration dans la bourgeoisie
dans ton esprit... On dirait bien que tu n'as lu que les
extraits scolaires de Baudelaire. Lis donc "Pauvre Belgique"
pour voir si Baudelaire n'était pas en rupture. On est
vraiment loin de la littérature bourgeoise...

À peu d'exception près les artistes « révolutionnaire » dans leur art
sont des enfants de bourgeois qui se réinstallent dans la bourgeoisie
dès qu'il le peuvent.



Sauf qu'ils sont allés trop loin et ne le peuvent pas...

Tu peux y ajouter Victor Hugo qui n'est devenu ce qu'on
connait qu'après avoir été un proscrit.



Le père Hugo a vécu en bon bourgeois dans le confort dès qu'il a pu.
(Et tu confonds proscrit pour raison politique et rupture sociale)



Je n'ai pas dit que Victor Hugo, ni les autres d'ailleurs,
était un zonard. En revanche l'exil, même matériellement
confortable, pendant plus de 20 ans c'est pas typique du bon
bourgeois. D'autant moins que rien, vraiment rien, ne
l'obligeait à prendre les positions qu'il a prises. C'est
toi qui arrange les choses comme elles te conviennent...

--
Jean-Pierre Roche

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filh
Jean-Pierre Roche wrote:

Le 14/04/2011 18:04, FiLH a écrit :

>> Soit tu es de mauvaise foi, soit ta connaissance de la
>> littérature est assez limitée :
>
> Ou la tienne : tu prends la « légende » qu'on se transmet sans savoir
> avec la réalité.

C'est cela oui, j'ai trouvé ma licence de lettres dans une
pochette surprise.



Une licence n'est qu'une licence hein... quand je vois le niveau de pas
mal de bac+3, en gros c'est juste un début.
Un diplôme n'est jamais que l'attestation d'avoir su répondre aux
questions de l'examen, pas d'un savoir universel dans la matière.

On est
vraiment loin de la littérature bourgeoise...



On parlait d'intégration sociale, pas du côté novateur de la
littérature.
Une fois de plus tu te livres à ton sport favori qui consiste à changer
de sujet post après post.


> À peu d'exception près les artistes « révolutionnaire » dans leur art
> sont des enfants de bourgeois qui se réinstallent dans la bourgeoisie
> dès qu'il le peuvent.

Sauf qu'ils sont allés trop loin et ne le peuvent pas...



Il s'agit là de cas exceptionels comme je le disais.



>> Tu peux y ajouter Victor Hugo qui n'est devenu ce qu'on
>> connait qu'après avoir été un proscrit.
>
> Le père Hugo a vécu en bon bourgeois dans le confort dès qu'il a pu.
> (Et tu confonds proscrit pour raison politique et rupture sociale)

Je n'ai pas dit que Victor Hugo, ni les autres d'ailleurs,
était un zonard. En revanche l'exil, même matériellement
confortable, pendant plus de 20 ans c'est pas typique du bon
bourgeois. D'autant moins que rien, vraiment rien, ne
l'obligeait à prendre les positions qu'il a prises. C'est
toi qui arrange les choses comme elles te conviennent...



Cf remarque ci-dessus, je n'ai pas dit qu'ils avaient des idées non
révolutionnaire, j'ai juste dit qu'il n'étaient pas socialement en
rupture, et la preuve, Hugo que tu citais a réintégré vite fait la bonne
vie bourgeoise.

FiLH

--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
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Jean-Pierre Roche
Le 14/04/2011 21:16, FiLH a écrit :

Une licence n'est qu'une licence hein... quand je vois le niveau de pas
mal de bac+3, en gros c'est juste un début.



A l'époque, c'était loin d'être nul...

Un diplôme n'est jamais que l'attestation d'avoir su répondre aux
questions de l'examen, pas d'un savoir universel dans la matière.



Bah oui mais enfin je ne vois pas bien pourquoi tu serais
plus légitime que moi pour parler de poésie du XIXeme.
Surtout que bon nombre des auteurs dont on parle étaient
justement au programme de dernière année de licence... Et
donc que j'ai pas mal travaillé dessus.

On parlait d'intégration sociale, pas du côté novateur de la
littérature.
Une fois de plus tu te livres à ton sport favori qui consiste à changer
de sujet post après post.



Alors parlons d'intégration sociale : envoyé au loin par son
beau-père pour cause de vie dissolue, placé sous tutelle
judiciaire, doit s'exiler en Belgique pour cause de dettes,
mort de la syphilis. Pas mal comme palmarès de vie bourgeoise...

Sauf qu'ils sont allés trop loin et ne le peuvent pas...



Il s'agit là de cas exceptionels comme je le disais.



Sauf que ce sont bien les poètes qui sont vraiment passés à
la postérité et qu'on lit encore aujourd'hui.

Le père Hugo a vécu en bon bourgeois dans le confort dès qu'il a pu.
(Et tu confonds proscrit pour raison politique et rupture sociale)



Je n'ai pas dit que Victor Hugo, ni les autres d'ailleurs,
était un zonard. En revanche l'exil, même matériellement
confortable, pendant plus de 20 ans c'est pas typique du bon
bourgeois. D'autant moins que rien, vraiment rien, ne
l'obligeait à prendre les positions qu'il a prises. C'est
toi qui arrange les choses comme elles te conviennent...



Cf remarque ci-dessus, je n'ai pas dit qu'ils avaient des idées non
révolutionnaire, j'ai juste dit qu'il n'étaient pas socialement en
rupture, et la preuve, Hugo que tu citais a réintégré vite fait la bonne
vie bourgeoise.



Ben non pas vraiment. Il n'est rentré en France qu'après la
guerre de 70 et la chute de Napoléon III et a mené une vie
plutôt militante... Le militantisme progressiste est-il
l'apanage de la bonne vie bourgeoise ?

--
Jean-Pierre Roche

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filh
Jean-Pierre Roche wrote:

Le 14/04/2011 21:16, FiLH a écrit :

> Une licence n'est qu'une licence hein... quand je vois le niveau de pas
> mal de bac+3, en gros c'est juste un début.

A l'époque, c'était loin d'être nul...

> Un diplôme n'est jamais que l'attestation d'avoir su répondre aux
> questions de l'examen, pas d'un savoir universel dans la matière.

Bah oui mais enfin je ne vois pas bien pourquoi tu serais
plus légitime que moi pour parler de poésie du XIXeme.



Ben... cite des sources, donne les biographies, cite les événements...



Alors parlons d'intégration sociale : envoyé au loin par son
beau-père



C'est vrai que tous les ouvriers se faisaient payer un voyage aux
indes:)


pour cause de vie dissolue, placé sous tutelle
judiciaire, doit s'exiler en Belgique pour cause de dettes,
mort de la syphilis. Pas mal comme palmarès de vie bourgeoise...



Ben l'exil pour cause de dette c'était pas trop un truc d'ouvriers non
plus. Et la syphilis... ben tout le monde l'avait.

Donc toujours pas d'argument

Ben non pas vraiment. Il n'est rentré en France qu'après la
guerre de 70 et la chute de Napoléon III et a mené une vie
plutôt militante... Le militantisme progressiste est-il
l'apanage de la bonne vie bourgeoise ?



Ben oui, parce que pour avoir les moyens intellectuel du militantisme
progressiste il faut un bon niveau d'éducation et des moyens, et ça
c'est l'appanage d'une classe sociale d'un certain niveau.

Là encore, il faut casser la légende, ce ne sont jamais les ouvriers qui
ont formé le fer de lance intellectuel du progrés social.

FiLH


--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
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Octave
Le 08/04/2011 15:35, albert a écrit :



Pourquoi ? Je trouve tes textes très bons car ils ne s'inquiètent pas
d'être poétiques, seulement de poser la question : qu'est-ce que
l'interprétation d'une photographie ?

Je pense qu'il est inutile de les mouliner, cela ne sert à rien et c'est
gratuit. Que je sache, en rapport avec la photographie, rien dans la
photographie n'est gratuit.

Tu poses donc la question de l'interprétation, et non pas de la
traduction. A la fois celle du photographe qui interprète le monde dans son
image et du spectateur qui interprète cette image. Le parallèle est
intéressant et bien connu. A voir...



J'ai repris tous les textes avec la version d'origine, non mouliné.
Effectivement, ça me paraît maintenant plus honnête, plus direct,
montrant les défauts et les qualités de ce que j'écris. Il y a surtout
les limites de l'exercice, ce qui est le meilleur moyen d'avancer. Là,
c'est un vrai face à face photo-texte.

J'ai déjà refait du 28 février au 06 mars 2011, là :

www.octav.fr/quotidien/elementb.html



--
www.octav.fr
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Jean-Pierre Roche
Le 15/04/2011 08:40, FiLH a écrit :

Bah oui mais enfin je ne vois pas bien pourquoi tu serais
plus légitime que moi pour parler de poésie du XIXeme.



Ben... cite des sources, donne les biographies, cite les événements...



? jusqu'ici c'est moi qui ait cité des noms, des ½uvres, des
éléments biographiques...

Alors parlons d'intégration sociale : envoyé au loin par son
beau-père



C'est vrai que tous les ouvriers se faisaient payer un voyage aux
indes:)

pour cause de vie dissolue, placé sous tutelle
judiciaire, doit s'exiler en Belgique pour cause de dettes,
mort de la syphilis. Pas mal comme palmarès de vie bourgeoise...



Ben l'exil pour cause de dette c'était pas trop un truc d'ouvriers non
plus. Et la syphilis... ben tout le monde l'avait.



??? j'ai dit que Baudelaire était ouvrier ??? J'ai dit qu'il
était en rupture sociale ce qui n'a rien à voir.

Donc toujours pas d'argument



Selon toi hein.

Ben non pas vraiment. Il n'est rentré en France qu'après la
guerre de 70 et la chute de Napoléon III et a mené une vie
plutôt militante... Le militantisme progressiste est-il
l'apanage de la bonne vie bourgeoise ?



Ben oui, parce que pour avoir les moyens intellectuel du militantisme
progressiste il faut un bon niveau d'éducation et des moyens, et ça
c'est l'appanage d'une classe sociale d'un certain niveau.



Quelle vision simpliste du monde et de l'histoire...

Là encore, il faut casser la légende, ce ne sont jamais les ouvriers qui
ont formé le fer de lance intellectuel du progrés social.



Qui a parlé d'ouvriers sinon toi ?


--
Jean-Pierre Roche

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MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de Jean-Pierre Roche nous susurrait, le
vendredi 15/04/2011, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu
sales tout de même, et dans le message
<io8s98$1pi3$, les doux mélismes suivants :

Qui a parlé d'ouvriers sinon toi ?



Je n'ai pour Ma part _jamais_ compris comment tu pouvais polémiquer ad
nauseam avec des incultes et autres NPC-like, comme tu te complais à le
faire si souvent !...Franchement...N'as-tu pas autre chose à foutre
?...
Jeposelaquestion©...

--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
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Jean-Pierre Roche
Le 15/04/2011 09:38, MELMOTH a écrit :

Je n'ai pour Ma part _jamais_ compris comment tu pouvais
polémiquer ad nauseam avec des incultes et autres NPC-like,
comme tu te complais à le faire si souvent
!...Franchement...N'as-tu pas autre chose à foutre ?...
Jeposelaquestion©...




De temps à autre, ça m'amuse !

--
Jean-Pierre Roche

enlever sanspub pour m'écrire...
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Ghost-Rider
Le 14/04/2011 09:25, Jean-Pierre Roche a écrit :
Le 14/04/2011 08:40, FiLH a écrit :

La rupture poétique n'implique pas une rupture sociale hein...



Comme si son activité artistique (et ce qu'elle produit)
était indépendante de son milieu et de la vie qu'on y mène ?



Et pourquoi serait-elle dépendante ?



MDR ! Tu devrais relire la citation que tu mets en signature. Ou la
supprimer car elle est en totale contradiction avec tes propos...
L'homme est quand même un animal social. Et si on prend l'époque en
question les grands poètes, ceux qui survivent à leur époque, ont
pratiquement tous été en rupture avec leur milieu.




Pour bien comprendre cette citation, il faudrait, je pense, au moins
relire le chapitre de "Mythologies" dont elle est tirée.
Barthes constate que le mythe petit-bourgeois se traduit par 7 figures
de rhétorique :
- la vaccine
- la privation d'histoire
- l'identification
- la tautologie
- le ninisme
- la quantification de la qualité
et enfin :
- le constat.
C'est à l'issue de cet exposé sur le constat que se trouve la citation :
" Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle."

Ce qui est plaisant c'est que justement, Barthes fait là un constat à
valeur de maxime.
http://cjoint.com/11av/ADpkpqOXvBW.htm

--
Ghost Rider

"Aimez-vous les uns les autres".
Jésus-Christ
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delestaque
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message de groupe
de discussion : io8s98$1pi3$
Le 15/04/2011 08:40, FiLH a écrit :

Bah oui mais enfin je ne vois pas bien pourquoi tu serais
plus légitime que moi pour parler de poésie du XIXeme.



Ben... cite des sources, donne les biographies, cite les événements...



? jusqu'ici c'est moi qui ait cité des noms, des ½uvres, des éléments
biographiques...

Alors parlons d'intégration sociale : envoyé au loin par son
beau-père



C'est vrai que tous les ouvriers se faisaient payer un voyage aux
indes:)

pour cause de vie dissolue, placé sous tutelle
judiciaire, doit s'exiler en Belgique pour cause de dettes,
mort de la syphilis. Pas mal comme palmarès de vie bourgeoise...



Ben l'exil pour cause de dette c'était pas trop un truc d'ouvriers non
plus. Et la syphilis... ben tout le monde l'avait.



??? j'ai dit que Baudelaire était ouvrier ??? J'ai dit qu'il était en rupture
sociale ce qui n'a rien à voir.

Donc toujours pas d'argument



Selon toi hein.

Ben non pas vraiment. Il n'est rentré en France qu'après la
guerre de 70 et la chute de Napoléon III et a mené une vie
plutôt militante... Le militantisme progressiste est-il
l'apanage de la bonne vie bourgeoise ?



Ben oui, parce que pour avoir les moyens intellectuel du militantisme
progressiste il faut un bon niveau d'éducation et des moyens, et ça
c'est l'appanage d'une classe sociale d'un certain niveau.



Quelle vision simpliste du monde et de l'histoire...

Là encore, il faut casser la légende, ce ne sont jamais les ouvriers qui
ont formé le fer de lance intellectuel du progrés social.



Qui a parlé d'ouvriers sinon toi ?


--
Jean-Pierre Roche

enlever sanspub pour m'écrire...




Je suis étonné que tu rentres dans ce jeu bien connu, pourtant, tu connais la
musique, les méthodes, les trucs, machins et combines, les ruses et incohérences
utilisées, bien rôdées, participant d'une démarche aux fins obscures.
Parfois, cela semble se rapprocher de ce que nous propose Octave avec ses essais
sur les phrases remaniées par la machine.
Là en revanche, on sait que l'on n'en sortira jamais, une spirale de mots, de
rebondissements d'un post à l'autre, un peu comme un interrogatoire chez les
flics, des propos destinés à déstabiliser l'autre, lui faire perdre pied,
l'entrainer, le promener, ce doit être l'ultime but, si je n'en vois ni
l'intérêt ni la finalité, ça semble en revanche beaucoup amuser l'auteur.
mais je n'imaginais pas que tu allais mordre à l'hameçon, là, vraiment je suis
étonné.

--
Ricco