Soit tu es de mauvaise foi, soit ta connaissance de la
littérature est assez limitée :
Ou la tienne : tu prends la « légende » qu'on se transmet sans savoir
avec la réalité.
trois noms par exemple,Baudelaire, Rimbaud, Verlaine. Rien que ça...
Baudelaire n'est pas en rupture sociale. En gros c'est un fils de
bourgeois qui a une excellente éducation (on n'écrit pas du Baudelaire
sans une culture excellente). Il va même être candidat à l'Académie
Française, on sent le rebelle à fond.
À peu d'exception près les artistes « révolutionnaire » dans leur art
sont des enfants de bourgeois qui se réinstallent dans la bourgeoisie
dès qu'il le peuvent.
Tu peux y ajouter Victor Hugo qui n'est devenu ce qu'on
connait qu'après avoir été un proscrit.
Le père Hugo a vécu en bon bourgeois dans le confort dès qu'il a pu.
(Et tu confonds proscrit pour raison politique et rupture sociale)
Soit tu es de mauvaise foi, soit ta connaissance de la
littérature est assez limitée :
Ou la tienne : tu prends la « légende » qu'on se transmet sans savoir
avec la réalité.
trois noms par exemple,
Baudelaire, Rimbaud, Verlaine. Rien que ça...
Baudelaire n'est pas en rupture sociale. En gros c'est un fils de
bourgeois qui a une excellente éducation (on n'écrit pas du Baudelaire
sans une culture excellente). Il va même être candidat à l'Académie
Française, on sent le rebelle à fond.
À peu d'exception près les artistes « révolutionnaire » dans leur art
sont des enfants de bourgeois qui se réinstallent dans la bourgeoisie
dès qu'il le peuvent.
Tu peux y ajouter Victor Hugo qui n'est devenu ce qu'on
connait qu'après avoir été un proscrit.
Le père Hugo a vécu en bon bourgeois dans le confort dès qu'il a pu.
(Et tu confonds proscrit pour raison politique et rupture sociale)
Soit tu es de mauvaise foi, soit ta connaissance de la
littérature est assez limitée :
Ou la tienne : tu prends la « légende » qu'on se transmet sans savoir
avec la réalité.
trois noms par exemple,Baudelaire, Rimbaud, Verlaine. Rien que ça...
Baudelaire n'est pas en rupture sociale. En gros c'est un fils de
bourgeois qui a une excellente éducation (on n'écrit pas du Baudelaire
sans une culture excellente). Il va même être candidat à l'Académie
Française, on sent le rebelle à fond.
À peu d'exception près les artistes « révolutionnaire » dans leur art
sont des enfants de bourgeois qui se réinstallent dans la bourgeoisie
dès qu'il le peuvent.
Tu peux y ajouter Victor Hugo qui n'est devenu ce qu'on
connait qu'après avoir été un proscrit.
Le père Hugo a vécu en bon bourgeois dans le confort dès qu'il a pu.
(Et tu confonds proscrit pour raison politique et rupture sociale)
Le 14/04/2011 18:04, FiLH a écrit :
>> Soit tu es de mauvaise foi, soit ta connaissance de la
>> littérature est assez limitée :
>
> Ou la tienne : tu prends la « légende » qu'on se transmet sans savoir
> avec la réalité.
C'est cela oui, j'ai trouvé ma licence de lettres dans une
pochette surprise.
On est
vraiment loin de la littérature bourgeoise...
> À peu d'exception près les artistes « révolutionnaire » dans leur art
> sont des enfants de bourgeois qui se réinstallent dans la bourgeoisie
> dès qu'il le peuvent.
Sauf qu'ils sont allés trop loin et ne le peuvent pas...
>> Tu peux y ajouter Victor Hugo qui n'est devenu ce qu'on
>> connait qu'après avoir été un proscrit.
>
> Le père Hugo a vécu en bon bourgeois dans le confort dès qu'il a pu.
> (Et tu confonds proscrit pour raison politique et rupture sociale)
Je n'ai pas dit que Victor Hugo, ni les autres d'ailleurs,
était un zonard. En revanche l'exil, même matériellement
confortable, pendant plus de 20 ans c'est pas typique du bon
bourgeois. D'autant moins que rien, vraiment rien, ne
l'obligeait à prendre les positions qu'il a prises. C'est
toi qui arrange les choses comme elles te conviennent...
Le 14/04/2011 18:04, FiLH a écrit :
>> Soit tu es de mauvaise foi, soit ta connaissance de la
>> littérature est assez limitée :
>
> Ou la tienne : tu prends la « légende » qu'on se transmet sans savoir
> avec la réalité.
C'est cela oui, j'ai trouvé ma licence de lettres dans une
pochette surprise.
On est
vraiment loin de la littérature bourgeoise...
> À peu d'exception près les artistes « révolutionnaire » dans leur art
> sont des enfants de bourgeois qui se réinstallent dans la bourgeoisie
> dès qu'il le peuvent.
Sauf qu'ils sont allés trop loin et ne le peuvent pas...
>> Tu peux y ajouter Victor Hugo qui n'est devenu ce qu'on
>> connait qu'après avoir été un proscrit.
>
> Le père Hugo a vécu en bon bourgeois dans le confort dès qu'il a pu.
> (Et tu confonds proscrit pour raison politique et rupture sociale)
Je n'ai pas dit que Victor Hugo, ni les autres d'ailleurs,
était un zonard. En revanche l'exil, même matériellement
confortable, pendant plus de 20 ans c'est pas typique du bon
bourgeois. D'autant moins que rien, vraiment rien, ne
l'obligeait à prendre les positions qu'il a prises. C'est
toi qui arrange les choses comme elles te conviennent...
Le 14/04/2011 18:04, FiLH a écrit :
>> Soit tu es de mauvaise foi, soit ta connaissance de la
>> littérature est assez limitée :
>
> Ou la tienne : tu prends la « légende » qu'on se transmet sans savoir
> avec la réalité.
C'est cela oui, j'ai trouvé ma licence de lettres dans une
pochette surprise.
On est
vraiment loin de la littérature bourgeoise...
> À peu d'exception près les artistes « révolutionnaire » dans leur art
> sont des enfants de bourgeois qui se réinstallent dans la bourgeoisie
> dès qu'il le peuvent.
Sauf qu'ils sont allés trop loin et ne le peuvent pas...
>> Tu peux y ajouter Victor Hugo qui n'est devenu ce qu'on
>> connait qu'après avoir été un proscrit.
>
> Le père Hugo a vécu en bon bourgeois dans le confort dès qu'il a pu.
> (Et tu confonds proscrit pour raison politique et rupture sociale)
Je n'ai pas dit que Victor Hugo, ni les autres d'ailleurs,
était un zonard. En revanche l'exil, même matériellement
confortable, pendant plus de 20 ans c'est pas typique du bon
bourgeois. D'autant moins que rien, vraiment rien, ne
l'obligeait à prendre les positions qu'il a prises. C'est
toi qui arrange les choses comme elles te conviennent...
Une licence n'est qu'une licence hein... quand je vois le niveau de pas
mal de bac+3, en gros c'est juste un début.
Un diplôme n'est jamais que l'attestation d'avoir su répondre aux
questions de l'examen, pas d'un savoir universel dans la matière.
On parlait d'intégration sociale, pas du côté novateur de la
littérature.
Une fois de plus tu te livres à ton sport favori qui consiste à changer
de sujet post après post.
Sauf qu'ils sont allés trop loin et ne le peuvent pas...
Il s'agit là de cas exceptionels comme je le disais.
Le père Hugo a vécu en bon bourgeois dans le confort dès qu'il a pu.
(Et tu confonds proscrit pour raison politique et rupture sociale)
Je n'ai pas dit que Victor Hugo, ni les autres d'ailleurs,
était un zonard. En revanche l'exil, même matériellement
confortable, pendant plus de 20 ans c'est pas typique du bon
bourgeois. D'autant moins que rien, vraiment rien, ne
l'obligeait à prendre les positions qu'il a prises. C'est
toi qui arrange les choses comme elles te conviennent...
Cf remarque ci-dessus, je n'ai pas dit qu'ils avaient des idées non
révolutionnaire, j'ai juste dit qu'il n'étaient pas socialement en
rupture, et la preuve, Hugo que tu citais a réintégré vite fait la bonne
vie bourgeoise.
Une licence n'est qu'une licence hein... quand je vois le niveau de pas
mal de bac+3, en gros c'est juste un début.
Un diplôme n'est jamais que l'attestation d'avoir su répondre aux
questions de l'examen, pas d'un savoir universel dans la matière.
On parlait d'intégration sociale, pas du côté novateur de la
littérature.
Une fois de plus tu te livres à ton sport favori qui consiste à changer
de sujet post après post.
Sauf qu'ils sont allés trop loin et ne le peuvent pas...
Il s'agit là de cas exceptionels comme je le disais.
Le père Hugo a vécu en bon bourgeois dans le confort dès qu'il a pu.
(Et tu confonds proscrit pour raison politique et rupture sociale)
Je n'ai pas dit que Victor Hugo, ni les autres d'ailleurs,
était un zonard. En revanche l'exil, même matériellement
confortable, pendant plus de 20 ans c'est pas typique du bon
bourgeois. D'autant moins que rien, vraiment rien, ne
l'obligeait à prendre les positions qu'il a prises. C'est
toi qui arrange les choses comme elles te conviennent...
Cf remarque ci-dessus, je n'ai pas dit qu'ils avaient des idées non
révolutionnaire, j'ai juste dit qu'il n'étaient pas socialement en
rupture, et la preuve, Hugo que tu citais a réintégré vite fait la bonne
vie bourgeoise.
Une licence n'est qu'une licence hein... quand je vois le niveau de pas
mal de bac+3, en gros c'est juste un début.
Un diplôme n'est jamais que l'attestation d'avoir su répondre aux
questions de l'examen, pas d'un savoir universel dans la matière.
On parlait d'intégration sociale, pas du côté novateur de la
littérature.
Une fois de plus tu te livres à ton sport favori qui consiste à changer
de sujet post après post.
Sauf qu'ils sont allés trop loin et ne le peuvent pas...
Il s'agit là de cas exceptionels comme je le disais.
Le père Hugo a vécu en bon bourgeois dans le confort dès qu'il a pu.
(Et tu confonds proscrit pour raison politique et rupture sociale)
Je n'ai pas dit que Victor Hugo, ni les autres d'ailleurs,
était un zonard. En revanche l'exil, même matériellement
confortable, pendant plus de 20 ans c'est pas typique du bon
bourgeois. D'autant moins que rien, vraiment rien, ne
l'obligeait à prendre les positions qu'il a prises. C'est
toi qui arrange les choses comme elles te conviennent...
Cf remarque ci-dessus, je n'ai pas dit qu'ils avaient des idées non
révolutionnaire, j'ai juste dit qu'il n'étaient pas socialement en
rupture, et la preuve, Hugo que tu citais a réintégré vite fait la bonne
vie bourgeoise.
Le 14/04/2011 21:16, FiLH a écrit :
> Une licence n'est qu'une licence hein... quand je vois le niveau de pas
> mal de bac+3, en gros c'est juste un début.
A l'époque, c'était loin d'être nul...
> Un diplôme n'est jamais que l'attestation d'avoir su répondre aux
> questions de l'examen, pas d'un savoir universel dans la matière.
Bah oui mais enfin je ne vois pas bien pourquoi tu serais
plus légitime que moi pour parler de poésie du XIXeme.
Alors parlons d'intégration sociale : envoyé au loin par son
beau-père
pour cause de vie dissolue, placé sous tutelle
judiciaire, doit s'exiler en Belgique pour cause de dettes,
mort de la syphilis. Pas mal comme palmarès de vie bourgeoise...
Ben non pas vraiment. Il n'est rentré en France qu'après la
guerre de 70 et la chute de Napoléon III et a mené une vie
plutôt militante... Le militantisme progressiste est-il
l'apanage de la bonne vie bourgeoise ?
Le 14/04/2011 21:16, FiLH a écrit :
> Une licence n'est qu'une licence hein... quand je vois le niveau de pas
> mal de bac+3, en gros c'est juste un début.
A l'époque, c'était loin d'être nul...
> Un diplôme n'est jamais que l'attestation d'avoir su répondre aux
> questions de l'examen, pas d'un savoir universel dans la matière.
Bah oui mais enfin je ne vois pas bien pourquoi tu serais
plus légitime que moi pour parler de poésie du XIXeme.
Alors parlons d'intégration sociale : envoyé au loin par son
beau-père
pour cause de vie dissolue, placé sous tutelle
judiciaire, doit s'exiler en Belgique pour cause de dettes,
mort de la syphilis. Pas mal comme palmarès de vie bourgeoise...
Ben non pas vraiment. Il n'est rentré en France qu'après la
guerre de 70 et la chute de Napoléon III et a mené une vie
plutôt militante... Le militantisme progressiste est-il
l'apanage de la bonne vie bourgeoise ?
Le 14/04/2011 21:16, FiLH a écrit :
> Une licence n'est qu'une licence hein... quand je vois le niveau de pas
> mal de bac+3, en gros c'est juste un début.
A l'époque, c'était loin d'être nul...
> Un diplôme n'est jamais que l'attestation d'avoir su répondre aux
> questions de l'examen, pas d'un savoir universel dans la matière.
Bah oui mais enfin je ne vois pas bien pourquoi tu serais
plus légitime que moi pour parler de poésie du XIXeme.
Alors parlons d'intégration sociale : envoyé au loin par son
beau-père
pour cause de vie dissolue, placé sous tutelle
judiciaire, doit s'exiler en Belgique pour cause de dettes,
mort de la syphilis. Pas mal comme palmarès de vie bourgeoise...
Ben non pas vraiment. Il n'est rentré en France qu'après la
guerre de 70 et la chute de Napoléon III et a mené une vie
plutôt militante... Le militantisme progressiste est-il
l'apanage de la bonne vie bourgeoise ?
Pourquoi ? Je trouve tes textes très bons car ils ne s'inquiètent pas
d'être poétiques, seulement de poser la question : qu'est-ce que
l'interprétation d'une photographie ?
Je pense qu'il est inutile de les mouliner, cela ne sert à rien et c'est
gratuit. Que je sache, en rapport avec la photographie, rien dans la
photographie n'est gratuit.
Tu poses donc la question de l'interprétation, et non pas de la
traduction. A la fois celle du photographe qui interprète le monde dans son
image et du spectateur qui interprète cette image. Le parallèle est
intéressant et bien connu. A voir...
Pourquoi ? Je trouve tes textes très bons car ils ne s'inquiètent pas
d'être poétiques, seulement de poser la question : qu'est-ce que
l'interprétation d'une photographie ?
Je pense qu'il est inutile de les mouliner, cela ne sert à rien et c'est
gratuit. Que je sache, en rapport avec la photographie, rien dans la
photographie n'est gratuit.
Tu poses donc la question de l'interprétation, et non pas de la
traduction. A la fois celle du photographe qui interprète le monde dans son
image et du spectateur qui interprète cette image. Le parallèle est
intéressant et bien connu. A voir...
Pourquoi ? Je trouve tes textes très bons car ils ne s'inquiètent pas
d'être poétiques, seulement de poser la question : qu'est-ce que
l'interprétation d'une photographie ?
Je pense qu'il est inutile de les mouliner, cela ne sert à rien et c'est
gratuit. Que je sache, en rapport avec la photographie, rien dans la
photographie n'est gratuit.
Tu poses donc la question de l'interprétation, et non pas de la
traduction. A la fois celle du photographe qui interprète le monde dans son
image et du spectateur qui interprète cette image. Le parallèle est
intéressant et bien connu. A voir...
Bah oui mais enfin je ne vois pas bien pourquoi tu serais
plus légitime que moi pour parler de poésie du XIXeme.
Ben... cite des sources, donne les biographies, cite les événements...
Alors parlons d'intégration sociale : envoyé au loin par son
beau-père
C'est vrai que tous les ouvriers se faisaient payer un voyage aux
indes:)pour cause de vie dissolue, placé sous tutelle
judiciaire, doit s'exiler en Belgique pour cause de dettes,
mort de la syphilis. Pas mal comme palmarès de vie bourgeoise...
Ben l'exil pour cause de dette c'était pas trop un truc d'ouvriers non
plus. Et la syphilis... ben tout le monde l'avait.
Donc toujours pas d'argument
Ben non pas vraiment. Il n'est rentré en France qu'après la
guerre de 70 et la chute de Napoléon III et a mené une vie
plutôt militante... Le militantisme progressiste est-il
l'apanage de la bonne vie bourgeoise ?
Ben oui, parce que pour avoir les moyens intellectuel du militantisme
progressiste il faut un bon niveau d'éducation et des moyens, et ça
c'est l'appanage d'une classe sociale d'un certain niveau.
Là encore, il faut casser la légende, ce ne sont jamais les ouvriers qui
ont formé le fer de lance intellectuel du progrés social.
Bah oui mais enfin je ne vois pas bien pourquoi tu serais
plus légitime que moi pour parler de poésie du XIXeme.
Ben... cite des sources, donne les biographies, cite les événements...
Alors parlons d'intégration sociale : envoyé au loin par son
beau-père
C'est vrai que tous les ouvriers se faisaient payer un voyage aux
indes:)
pour cause de vie dissolue, placé sous tutelle
judiciaire, doit s'exiler en Belgique pour cause de dettes,
mort de la syphilis. Pas mal comme palmarès de vie bourgeoise...
Ben l'exil pour cause de dette c'était pas trop un truc d'ouvriers non
plus. Et la syphilis... ben tout le monde l'avait.
Donc toujours pas d'argument
Ben non pas vraiment. Il n'est rentré en France qu'après la
guerre de 70 et la chute de Napoléon III et a mené une vie
plutôt militante... Le militantisme progressiste est-il
l'apanage de la bonne vie bourgeoise ?
Ben oui, parce que pour avoir les moyens intellectuel du militantisme
progressiste il faut un bon niveau d'éducation et des moyens, et ça
c'est l'appanage d'une classe sociale d'un certain niveau.
Là encore, il faut casser la légende, ce ne sont jamais les ouvriers qui
ont formé le fer de lance intellectuel du progrés social.
Bah oui mais enfin je ne vois pas bien pourquoi tu serais
plus légitime que moi pour parler de poésie du XIXeme.
Ben... cite des sources, donne les biographies, cite les événements...
Alors parlons d'intégration sociale : envoyé au loin par son
beau-père
C'est vrai que tous les ouvriers se faisaient payer un voyage aux
indes:)pour cause de vie dissolue, placé sous tutelle
judiciaire, doit s'exiler en Belgique pour cause de dettes,
mort de la syphilis. Pas mal comme palmarès de vie bourgeoise...
Ben l'exil pour cause de dette c'était pas trop un truc d'ouvriers non
plus. Et la syphilis... ben tout le monde l'avait.
Donc toujours pas d'argument
Ben non pas vraiment. Il n'est rentré en France qu'après la
guerre de 70 et la chute de Napoléon III et a mené une vie
plutôt militante... Le militantisme progressiste est-il
l'apanage de la bonne vie bourgeoise ?
Ben oui, parce que pour avoir les moyens intellectuel du militantisme
progressiste il faut un bon niveau d'éducation et des moyens, et ça
c'est l'appanage d'une classe sociale d'un certain niveau.
Là encore, il faut casser la légende, ce ne sont jamais les ouvriers qui
ont formé le fer de lance intellectuel du progrés social.
Qui a parlé d'ouvriers sinon toi ?
Qui a parlé d'ouvriers sinon toi ?
Qui a parlé d'ouvriers sinon toi ?
Je n'ai pour Ma part _jamais_ compris comment tu pouvais
polémiquer ad nauseam avec des incultes et autres NPC-like,
comme tu te complais à le faire si souvent
!...Franchement...N'as-tu pas autre chose à foutre ?...
Jeposelaquestion©...
Je n'ai pour Ma part _jamais_ compris comment tu pouvais
polémiquer ad nauseam avec des incultes et autres NPC-like,
comme tu te complais à le faire si souvent
!...Franchement...N'as-tu pas autre chose à foutre ?...
Jeposelaquestion©...
Je n'ai pour Ma part _jamais_ compris comment tu pouvais
polémiquer ad nauseam avec des incultes et autres NPC-like,
comme tu te complais à le faire si souvent
!...Franchement...N'as-tu pas autre chose à foutre ?...
Jeposelaquestion©...
Le 14/04/2011 08:40, FiLH a écrit :La rupture poétique n'implique pas une rupture sociale hein...
Comme si son activité artistique (et ce qu'elle produit)
était indépendante de son milieu et de la vie qu'on y mène ?
Et pourquoi serait-elle dépendante ?
MDR ! Tu devrais relire la citation que tu mets en signature. Ou la
supprimer car elle est en totale contradiction avec tes propos...
L'homme est quand même un animal social. Et si on prend l'époque en
question les grands poètes, ceux qui survivent à leur époque, ont
pratiquement tous été en rupture avec leur milieu.
Le 14/04/2011 08:40, FiLH a écrit :
La rupture poétique n'implique pas une rupture sociale hein...
Comme si son activité artistique (et ce qu'elle produit)
était indépendante de son milieu et de la vie qu'on y mène ?
Et pourquoi serait-elle dépendante ?
MDR ! Tu devrais relire la citation que tu mets en signature. Ou la
supprimer car elle est en totale contradiction avec tes propos...
L'homme est quand même un animal social. Et si on prend l'époque en
question les grands poètes, ceux qui survivent à leur époque, ont
pratiquement tous été en rupture avec leur milieu.
Le 14/04/2011 08:40, FiLH a écrit :La rupture poétique n'implique pas une rupture sociale hein...
Comme si son activité artistique (et ce qu'elle produit)
était indépendante de son milieu et de la vie qu'on y mène ?
Et pourquoi serait-elle dépendante ?
MDR ! Tu devrais relire la citation que tu mets en signature. Ou la
supprimer car elle est en totale contradiction avec tes propos...
L'homme est quand même un animal social. Et si on prend l'époque en
question les grands poètes, ceux qui survivent à leur époque, ont
pratiquement tous été en rupture avec leur milieu.
Le 15/04/2011 08:40, FiLH a écrit :Bah oui mais enfin je ne vois pas bien pourquoi tu serais
plus légitime que moi pour parler de poésie du XIXeme.
Ben... cite des sources, donne les biographies, cite les événements...
? jusqu'ici c'est moi qui ait cité des noms, des ½uvres, des éléments
biographiques...Alors parlons d'intégration sociale : envoyé au loin par son
beau-père
C'est vrai que tous les ouvriers se faisaient payer un voyage aux
indes:)pour cause de vie dissolue, placé sous tutelle
judiciaire, doit s'exiler en Belgique pour cause de dettes,
mort de la syphilis. Pas mal comme palmarès de vie bourgeoise...
Ben l'exil pour cause de dette c'était pas trop un truc d'ouvriers non
plus. Et la syphilis... ben tout le monde l'avait.
??? j'ai dit que Baudelaire était ouvrier ??? J'ai dit qu'il était en rupture
sociale ce qui n'a rien à voir.Donc toujours pas d'argument
Selon toi hein.Ben non pas vraiment. Il n'est rentré en France qu'après la
guerre de 70 et la chute de Napoléon III et a mené une vie
plutôt militante... Le militantisme progressiste est-il
l'apanage de la bonne vie bourgeoise ?
Ben oui, parce que pour avoir les moyens intellectuel du militantisme
progressiste il faut un bon niveau d'éducation et des moyens, et ça
c'est l'appanage d'une classe sociale d'un certain niveau.
Quelle vision simpliste du monde et de l'histoire...Là encore, il faut casser la légende, ce ne sont jamais les ouvriers qui
ont formé le fer de lance intellectuel du progrés social.
Qui a parlé d'ouvriers sinon toi ?
--
Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
Le 15/04/2011 08:40, FiLH a écrit :
Bah oui mais enfin je ne vois pas bien pourquoi tu serais
plus légitime que moi pour parler de poésie du XIXeme.
Ben... cite des sources, donne les biographies, cite les événements...
? jusqu'ici c'est moi qui ait cité des noms, des ½uvres, des éléments
biographiques...
Alors parlons d'intégration sociale : envoyé au loin par son
beau-père
C'est vrai que tous les ouvriers se faisaient payer un voyage aux
indes:)
pour cause de vie dissolue, placé sous tutelle
judiciaire, doit s'exiler en Belgique pour cause de dettes,
mort de la syphilis. Pas mal comme palmarès de vie bourgeoise...
Ben l'exil pour cause de dette c'était pas trop un truc d'ouvriers non
plus. Et la syphilis... ben tout le monde l'avait.
??? j'ai dit que Baudelaire était ouvrier ??? J'ai dit qu'il était en rupture
sociale ce qui n'a rien à voir.
Donc toujours pas d'argument
Selon toi hein.
Ben non pas vraiment. Il n'est rentré en France qu'après la
guerre de 70 et la chute de Napoléon III et a mené une vie
plutôt militante... Le militantisme progressiste est-il
l'apanage de la bonne vie bourgeoise ?
Ben oui, parce que pour avoir les moyens intellectuel du militantisme
progressiste il faut un bon niveau d'éducation et des moyens, et ça
c'est l'appanage d'une classe sociale d'un certain niveau.
Quelle vision simpliste du monde et de l'histoire...
Là encore, il faut casser la légende, ce ne sont jamais les ouvriers qui
ont formé le fer de lance intellectuel du progrés social.
Qui a parlé d'ouvriers sinon toi ?
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
enlever sanspub pour m'écrire...
Le 15/04/2011 08:40, FiLH a écrit :Bah oui mais enfin je ne vois pas bien pourquoi tu serais
plus légitime que moi pour parler de poésie du XIXeme.
Ben... cite des sources, donne les biographies, cite les événements...
? jusqu'ici c'est moi qui ait cité des noms, des ½uvres, des éléments
biographiques...Alors parlons d'intégration sociale : envoyé au loin par son
beau-père
C'est vrai que tous les ouvriers se faisaient payer un voyage aux
indes:)pour cause de vie dissolue, placé sous tutelle
judiciaire, doit s'exiler en Belgique pour cause de dettes,
mort de la syphilis. Pas mal comme palmarès de vie bourgeoise...
Ben l'exil pour cause de dette c'était pas trop un truc d'ouvriers non
plus. Et la syphilis... ben tout le monde l'avait.
??? j'ai dit que Baudelaire était ouvrier ??? J'ai dit qu'il était en rupture
sociale ce qui n'a rien à voir.Donc toujours pas d'argument
Selon toi hein.Ben non pas vraiment. Il n'est rentré en France qu'après la
guerre de 70 et la chute de Napoléon III et a mené une vie
plutôt militante... Le militantisme progressiste est-il
l'apanage de la bonne vie bourgeoise ?
Ben oui, parce que pour avoir les moyens intellectuel du militantisme
progressiste il faut un bon niveau d'éducation et des moyens, et ça
c'est l'appanage d'une classe sociale d'un certain niveau.
Quelle vision simpliste du monde et de l'histoire...Là encore, il faut casser la légende, ce ne sont jamais les ouvriers qui
ont formé le fer de lance intellectuel du progrés social.
Qui a parlé d'ouvriers sinon toi ?
--
Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...