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test de niveau de connaissance C++

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Stan
Bonjour,

je cherche un QCM ou autre qui permettrait de d=E9terminer le niveau de
connaissance ( d=E9butant, confirm=E9, expert )
d'un d=E9veloppeur.


Auriez des liens =E0 me proposer ?

Merci.

--
-Stan

7 réponses

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Gabriel Dos Reis
Jean-Marc Bourguet writes:

| James Kanze writes:
|
| > En fait, je crois que la suggestion de Jean-Marc, c'était de les
| > embaucher directement, mais en leur avertissant dès le départ qu'il y
| > aurait un bon nombre qui seront lâché à la fin de l'essai.
|
| Je n'ai jamais suggéré de le faire. Juste poussé à l'absurde l'idée de
| période d'essai comme test. Moi aussi, je doute aussi de la légalité
| qu'aurait cet action -- et même de sa pertinence: l'employeur qui me ferait
| le coup peut être sûr que non seulement je contacte un avocat, mais que je
| chercherais activement à le quitter le plus tôt possible. Il risque de se
| retrouver avec le moins bon des candidats, les autres ayant de leur propre
| fait interrompu la période d'essai.

Dans certains endroits de ce côté-ci de l'Atlantique, un employé à
l'essaie, peut coûter environ $200K par an à l'employeur. L'employé
est au courant qu'à la fin, il y n'a aura pas de place pour tout le
monde. Lui ou son employeur doivent donner un préavis d'un an minimum
en cas de rupture de contrat. Visiblement, des endroits comme MIT
n'ont pas l'air de récupérer que les moins bons :-)
(C'est sûr cela peut créer une certaine réputation, mais je crois que
cela émule aussi)

-- Gaby
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James Kanze
On 19 avr, 19:30, Jean-Marc Bourguet wrote:
James Kanze writes:
En fait, je crois que la suggestion de Jean-Marc, c'était de les
embaucher directement, mais en leur avertissant dès le départ qu'il y
aurait un bon nombre qui seront lâché à la fin de l'essai.


Je n'ai jamais suggéré de le faire. Juste poussé à l'absurde
l'idée de période d'essai comme test. Moi aussi, je doute
aussi de la légalité qu'aurait cet action -- et même de sa
pertinence: l'employeur qui me ferait le coup peut être sûr
que non seulement je contacte un avocat, mais que je
chercherais activement à le quitter le plus tôt possible. Il
risque de se retrouver avec le moins bon des candidats, les
autres ayant de leur propre fait interrompu la période
d'essai.


En effet, si tu sais que tu n'as que 1 chance sur 10 à rester
après la période d'essai, tu continues tes recherches. Si elles
aboutissent, tu prends l'offre. Et plus tu es réelement
compétant, plus elles risquent d'aboutir.

Ce que font des sociétés, réelement, d'après ce que j'ai vu,
c'est de prendre les gens en indépendants (profession libre) ou
en temporaires. Ensuite, elles ont trois options : la plupart du
temps, elles les gardent autant qu'elles en a besoin, pour un
projet donné, et s'ils étaient moyennement compétants, elles
leur prennent en priorité pour des projets futurs. Mais si la
personne est réelement incompétante, on peut s'en débarasser
rapidement, et si elle s'avère nettement plus compétente que le
moyen, on peut essayer de l'embaucher en permanent. Dans ce
cas-là, il faut en général payer un plus que d'habitude, mais
pas forcément autant que ça. Il arrive un moment dans la vie de
la plupart des indépendants où ils veulent de la stabilité --
typiquement quand arrive les premiers enfants. (Les gens comme
moi, qui restent en indépendant jusqu'un âge avancé, sont plutôt
l'exception.)

Dans l'ensemble, ce schèma marche pas trop mal. Pour les
sociétés, les avantages sont clairs. Mais pour les candidats
aussi : en tant qu'indépendant, ils peuvent gagner nettement
plus pendant quelques années, et quand ils optent pour la
stabilité, ils connaissent la boîte où ils vont, et savent
qu'elle leur convient. (C'est un aspect que personne n'a cité
jusqu'ici, mais l'« essai », ça marche dans les deux sens. Et il
m'est déjà de quitter un contrat parce que la boîte ou le
travail ne me convenait pas.)

--
James Kanze (GABI Software) email:
Conseils en informatique orientée objet/
Beratung in objektorientierter Datenverarbeitung
9 place Sémard, 78210 St.-Cyr-l'École, France, +33 (0)1 30 23 00 34


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James Kanze
On 19 avr, 19:49, Gabriel Dos Reis wrote:
Jean-Marc Bourguet writes:

| James Kanze writes:

| > En fait, je crois que la suggestion de Jean-Marc, c'était de les
| > embaucher directement, mais en leur avertissant dès le départ qu'i l y
| > aurait un bon nombre qui seront lâché à la fin de l'essai.

| Je n'ai jamais suggéré de le faire. Juste poussé à
l'absurde l'idée de | période d'essai comme test. Moi aussi,
je doute aussi de la légalité | qu'aurait cet action -- et
même de sa pertinence: l'employeur qui me ferait | le coup
peut être sûr que non seulement je contacte un avocat, mais
que je | chercherais activement à le quitter le plus tôt
possible. Il risque de se | retrouver avec le moins bon des
candidats, les autres ayant de leur propre | fait interrompu
la période d'essai.

Dans certains endroits de ce côté-ci de l'Atlantique, un
employé à l'essaie, peut coûter environ $200K par an à
l'employeur.


C'est un cas exceptionnel, non ?

L'employé est au courant qu'à la fin, il y n'a
aura pas de place pour tout le monde. Lui ou son employeur
doivent donner un préavis d'un an minimum en cas de rupture de
contrat. Visiblement, des endroits comme MIT n'ont pas l'air
de récupérer que les moins bons :-)


Un préavis d'un an, ça ne ressemble pas à un contrat d'essai,
mais plutôt à un CDD.

Aussi, dans la plupart des états, au moins, c'est beaucoup plus
simple de licencier qu'ici. Ce qui veut dire qu'on n'a pas
réelement besoin d'une période d'essai ; si quelqu'un ne fait
pas l'affaire, on le vire, c'est tout. (Autant que je sache, il
y a très peu de législation dans la matière, et le contrat prime
avant tout. Fais inscrire dans le contrat qu'en cas de
licenciement, tu as une indemnité de cinq millions dollars, et
tu as une indemnité de cinq millions de dollars. S'il n'y a rien
sur les indemnités dans le contrat, en revanche, tu n'as rien.
Et la notion de licenciement abusif si répandue ici n'existe pas
là-bas.)

--
James Kanze (GABI Software) email:
Conseils en informatique orientée objet/
Beratung in objektorientierter Datenverarbeitung
9 place Sémard, 78210 St.-Cyr-l'École, France, +33 (0)1 30 23 00 34

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espie
In article <4809e109$0$23745$,
Arnaud Meurgues wrote:
Après, faut voir si on autorise le vote du public... ;-)


Ah ben non, si tu autorises le vote du public, tu vas te retrouver
avec le meilleur programmeur Java, ou VB.

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Gabriel Dos Reis
James Kanze writes:

[...]

| > Dans certains endroits de ce côté-ci de l'Atlantique, un
| > employé à l'essaie, peut coûter environ $200K par an à
| > l'employeur.
|
| C'est un cas exceptionnel, non ?

S'il n'y en avait qu'un: oui.

| > L'employé est au courant qu'à la fin, il y n'a
| > aura pas de place pour tout le monde. Lui ou son employeur
| > doivent donner un préavis d'un an minimum en cas de rupture de
| > contrat. Visiblement, des endroits comme MIT n'ont pas l'air
| > de récupérer que les moins bons :-)
|
| Un préavis d'un an, ça ne ressemble pas à un contrat d'essai,
| mais plutôt à un CDD.

Comment traduis-tu <« tenure track » en Gaulois ?

| Aussi, dans la plupart des états, au moins, c'est beaucoup plus
| simple de licencier qu'ici.

Je suppose que cela dépend aussi du niveau de compétence requis et de
quelle sorte de travail il s'agit.

| Ce qui veut dire qu'on n'a pas
| réelement besoin d'une période d'essai ; si quelqu'un ne fait
| pas l'affaire, on le vire, c'est tout. (Autant que je sache, il
| y a très peu de législation dans la matière, et le contrat prime
| avant tout. Fais inscrire dans le contrat qu'en cas de
| licenciement, tu as une indemnité de cinq millions dollars, et
| tu as une indemnité de cinq millions de dollars. S'il n'y a rien
| sur les indemnités dans le contrat, en revanche, tu n'as rien.

True.

| Et la notion de licenciement abusif si répandue ici n'existe pas
| là-bas.)


-- Gaby
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James Kanze
On Apr 20, 6:48 pm, Gabriel Dos Reis wrote:
James Kanze writes:

[...]

Dans certains endroits de ce côté-ci de l'Atlantique, un
employé à l'essaie, peut coûter environ $200K par an à
l'employeur.


C'est un cas exceptionnel, non ?


S'il n'y en avait qu'un: oui.


Alors, les salaires là-bas sont bien plus élevé que je ne le
croyais. Parce que les charges sociaux, là-bas, sont nettement
inférieur à ce qu'ils sont en France. Je pourrais me tromper,
mais je crois qu'un coût de $200K par an correspondrait à un
salaire de au moins $150K par an. Ce qui existe bien, en Silicon
Valley, mais qui autant que je sache n'est pas la norme.

L'employé est au courant qu'à la fin, il y n'a
aura pas de place pour tout le monde. Lui ou son employeur
doivent donner un préavis d'un an minimum en cas de rupture de
contrat. Visiblement, des endroits comme MIT n'ont pas l'air
de récupérer que les moins bons :-)


Un préavis d'un an, ça ne ressemble pas à un contrat
d'essai, mais plutôt à un CDD.


Comment traduis-tu <« tenure track » en Gaulois ?


« Titularisation » ? Ce n'est pas la même chose, mais l'effet
d'avoir « tenure » dans une université américaine ressemble un
peu, je crois, au fait d'être titularisé (c-à-d d'avoir le
status de fonctionnaire, si j'ai bien compris) dans une
université française. (Mais je parle ici de quelque chose que je
connais fort peu. Mes expériences professionnelles ont été
uniquement dans la privée.)

Aussi, dans la plupart des états, au moins, c'est beaucoup
plus simple de licencier qu'ici.


Je suppose que cela dépend aussi du niveau de compétence
requis et de quelle sorte de travail il s'agit.


Je ne crois pas. Je crois qu'en général, ça relève uniquement du
domaine contractuel, et qu'il n'y a aucune loi qui impose
quoique ce soi. Si tu es dans une position de force lorsque tu
négocies le contrat d'embauche, tu peux obtenir des garanties
importantes. Sinon, tant pis pour toi.

(Mais ça doit varier selon les états. Moi, je connais sûrtout la
Géorgie, qui fait partie des états les plus arrièré en matière
de législation sociale. Peut-être dans les états industriels du
nord, où les syndicats ont eu une influence importante sur la
politique, la situation est différente.)

--
James Kanze (GABI Software) email:
Conseils en informatique orientée objet/
Beratung in objektorientierter Datenverarbeitung
9 place Sémard, 78210 St.-Cyr-l'École, France, +33 (0)1 30 23 00 34



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Gabriel Dos Reis
James Kanze writes:

| On Apr 20, 6:48 pm, Gabriel Dos Reis wrote:
| > James Kanze writes:
|
| > [...]
|
| > > > Dans certains endroits de ce côté-ci de l'Atlantique, un
| > > > employé à l'essaie, peut coûter environ $200K par an à
| > > > l'employeur.
|
| > > C'est un cas exceptionnel, non ?
|
| > S'il n'y en avait qu'un: oui.
|
| Alors, les salaires là-bas sont bien plus élevé que je ne le
| croyais. Parce que les charges sociaux, là-bas, sont nettement
| inférieur à ce qu'ils sont en France. Je pourrais me tromper,

Cela dépend des endroits.
Une compagnie bien établie à Redmond, par exemple, prend en
charge entièrement ce qui correspondrait à la « sécurité sociale »
France (couverture médicale, etc.). Les congés maternité -- au moins 3
mois -- sont payés, ainsi que les frais d'accouchement (ce n'est pas
donné !). Mais pour les univeristés, c'est légèrement différent.
Comme tu le sais probablement, la couverture médicale n'est pas donnée
ici et cela est en général couvert par les universités. J'ai moins
d'info sur ce que fait une compagnie rivale en Californie, mais c'est
aussi bien attractif.

| mais je crois qu'un coût de $200K par an correspondrait à un
| salaire de au moins $150K par an. Ce qui existe bien, en Silicon
| Valley, mais qui autant que je sache n'est pas la norme.

Midwest, notheast, etc. Note bien que je parle du *coût* à l'employeur
-- pas juste du salaire.

| > > > L'employé est au courant qu'à la fin, il y n'a
| > > > aura pas de place pour tout le monde. Lui ou son employeur
| > > > doivent donner un préavis d'un an minimum en cas de rupture de
| > > > contrat. Visiblement, des endroits comme MIT n'ont pas l'air
| > > > de récupérer que les moins bons :-)
|
| > > Un préavis d'un an, ça ne ressemble pas à un contrat
| > > d'essai, mais plutôt à un CDD.
|
| > Comment traduis-tu <« tenure track » en Gaulois ?
|
| « Titularisation » ?

« tenure », c'est la titularisation ; « tenure track » correspond bien
à la période d'essai avant titularisation.

| Ce n'est pas la même chose, mais l'effet
| d'avoir « tenure » dans une université américaine ressemble un
| peu, je crois, au fait d'être titularisé (c-à-d d'avoir le
| status de fonctionnaire, si j'ai bien compris) dans une
| université française.

exact.

-- Gaby
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