Bonjour
un instituteur me rappelle qu'il existe une loi ancienne mais jamais
appliquée
qui stipule qu'il est interdit de donner des travaux écrits aux enfants a
réaliser a leur domicile après les cours.
Qu'en pensez vous?
Merci
Est-ce une bonne idée de ne pas habituer progressivement les élèves à ce qui les attend?
Avant le collège, les élèves n'ont qu'un seul intelocuteur enseignant, et un seul lieu principal d'enseignement.
Quand ils passent au collège, X profs et Y classes.
N'y a-t'il pas là une rupture plus grande que celles des devoirs faits ou non à la maison ?
Si certainement et c'est pour ça que je me pose la question de savoir si c'est le meilleur moment pour découvrir le travail écrit à la maison.
Youri Ligotmi
Gérard a écrit :
Du travail, si ! Apprentissage de leçons, recherche, lecture,... Mais pas de travail écrit !
L'arrivée du medium internet peut-elle changer celà ?
Tous les élèves n'ont pas accès à l'internet, dans certains quartiers c'est l'exception et n'oublions pas que certaines provinces n'ont toujours pas accès au haut débit, naviguer en 56k quand toutes les pages sont prévues pour du haut débit c'est sportif.
Gérard a écrit :
Du travail, si !
Apprentissage de leçons, recherche, lecture,...
Mais pas de travail écrit !
L'arrivée du medium internet peut-elle changer celà ?
Tous les élèves n'ont pas accès à l'internet, dans certains quartiers
c'est l'exception et n'oublions pas que certaines provinces n'ont
toujours pas accès au haut débit, naviguer en 56k quand toutes les pages
sont prévues pour du haut débit c'est sportif.
Du travail, si ! Apprentissage de leçons, recherche, lecture,... Mais pas de travail écrit !
L'arrivée du medium internet peut-elle changer celà ?
Tous les élèves n'ont pas accès à l'internet, dans certains quartiers c'est l'exception et n'oublions pas que certaines provinces n'ont toujours pas accès au haut débit, naviguer en 56k quand toutes les pages sont prévues pour du haut débit c'est sportif.
Gérard
"Youri Ligotmi" a écrit dans le message de news: 45f046a9$0$2426$
Gérard a écrit :
Du travail, si ! Apprentissage de leçons, recherche, lecture,... Mais pas de travail écrit !
L'arrivée du medium internet peut-elle changer celà ?
Tous les élèves n'ont pas accès à l'internet, dans certains quartiers c'est l'exception et n'oublions pas que certaines provinces n'ont toujours pas accès au haut débit, naviguer en 56k quand toutes les pages sont prévues pour du haut débit c'est sportif.
Mille excuses, je n'ai pas correctement exprimé le fond de ma pensée.
La recherche qui pourrait être demandée à domicile aux élèves, notamment par internet, vu les situations/schémas/scripts où celà entraine une saisie de données importante, ne peut-elle être considérée comme un travail écrit ? (je sais bien, je pousse la m..... au fond )
Gérard.
"Youri Ligotmi" <yl@free.fr.invalid> a écrit dans le message de news:
45f046a9$0$2426$426a74cc@news.free.fr...
Gérard a écrit :
Du travail, si !
Apprentissage de leçons, recherche, lecture,...
Mais pas de travail écrit !
L'arrivée du medium internet peut-elle changer celà ?
Tous les élèves n'ont pas accès à l'internet, dans certains quartiers
c'est l'exception et n'oublions pas que certaines provinces n'ont toujours
pas accès au haut débit, naviguer en 56k quand toutes les pages sont
prévues pour du haut débit c'est sportif.
Mille excuses, je n'ai pas correctement exprimé le fond de ma pensée.
La recherche qui pourrait être demandée à domicile aux élèves, notamment par
internet, vu les situations/schémas/scripts où celà entraine une saisie de
données importante,
ne peut-elle être considérée comme un travail écrit ?
(je sais bien, je pousse la m..... au fond )
"Youri Ligotmi" a écrit dans le message de news: 45f046a9$0$2426$
Gérard a écrit :
Du travail, si ! Apprentissage de leçons, recherche, lecture,... Mais pas de travail écrit !
L'arrivée du medium internet peut-elle changer celà ?
Tous les élèves n'ont pas accès à l'internet, dans certains quartiers c'est l'exception et n'oublions pas que certaines provinces n'ont toujours pas accès au haut débit, naviguer en 56k quand toutes les pages sont prévues pour du haut débit c'est sportif.
Mille excuses, je n'ai pas correctement exprimé le fond de ma pensée.
La recherche qui pourrait être demandée à domicile aux élèves, notamment par internet, vu les situations/schémas/scripts où celà entraine une saisie de données importante, ne peut-elle être considérée comme un travail écrit ? (je sais bien, je pousse la m..... au fond )
Gérard.
Gérard
"Youri Ligotmi" a écrit dans le message de news: 45f0451d$0$2426$
Gérard a écrit :
Est-ce une bonne idée de ne pas habituer progressivement les élèves à ce qui les attend?
Avant le collège, les élèves n'ont qu'un seul intelocuteur enseignant, et un seul lieu principal d'enseignement.
Quand ils passent au collège, X profs et Y classes.
N'y a-t'il pas là une rupture plus grande que celles des devoirs faits ou non à la maison ?
Si certainement et c'est pour ça que je me pose la question de savoir si c'est le meilleur moment pour découvrir le travail écrit à la maison.
A mon avis le véritable problème se situe au niveau de la façon dont en envisage et dont on enseigne les choses.
L'écrit n'est pas un travail en soi, c'est un moyen supplémentaire de découverte des choses.
Il peut y avoir des travaux liés à l'acquisition (et/ou des méthodes d'acquisition) de l'écrit, mais en aucun cas l'écrit en lui-même ne doit représenter un travail pour l'enfant.
Donc le problème pédagogique restant est celui des autres connaissances qu'on peut acquérir grâce à l'écrit.
En quoi les applications de plus en plus extensives de l'écrit deviennent-elles un travail (au sens du vécu de l'enfant) si ce n'est par les impératifs sociétaux fixés par les parents ?
Gérard (anar à ses heures)
"Youri Ligotmi" <yl@free.fr.invalid> a écrit dans le message de news:
45f0451d$0$2426$426a74cc@news.free.fr...
Gérard a écrit :
Est-ce une bonne idée de ne pas habituer progressivement les élèves à ce
qui les attend?
Avant le collège, les élèves n'ont qu'un seul intelocuteur enseignant, et
un seul lieu principal d'enseignement.
Quand ils passent au collège, X profs et Y classes.
N'y a-t'il pas là une rupture plus grande que celles des devoirs faits ou
non à la maison ?
Si certainement et c'est pour ça que je me pose la question de savoir si
c'est le meilleur moment pour découvrir le travail écrit à la maison.
A mon avis le véritable problème se situe au niveau de la façon dont en
envisage et dont on enseigne les choses.
L'écrit n'est pas un travail en soi, c'est un moyen supplémentaire de
découverte des choses.
Il peut y avoir des travaux liés à l'acquisition (et/ou des méthodes
d'acquisition) de l'écrit, mais en aucun cas l'écrit en lui-même ne doit
représenter un travail pour l'enfant.
Donc le problème pédagogique restant est celui des autres connaissances
qu'on peut acquérir grâce à l'écrit.
En quoi les applications de plus en plus extensives de l'écrit
deviennent-elles un travail (au sens du vécu de l'enfant) si ce n'est par
les impératifs sociétaux fixés par les parents ?
"Youri Ligotmi" a écrit dans le message de news: 45f0451d$0$2426$
Gérard a écrit :
Est-ce une bonne idée de ne pas habituer progressivement les élèves à ce qui les attend?
Avant le collège, les élèves n'ont qu'un seul intelocuteur enseignant, et un seul lieu principal d'enseignement.
Quand ils passent au collège, X profs et Y classes.
N'y a-t'il pas là une rupture plus grande que celles des devoirs faits ou non à la maison ?
Si certainement et c'est pour ça que je me pose la question de savoir si c'est le meilleur moment pour découvrir le travail écrit à la maison.
A mon avis le véritable problème se situe au niveau de la façon dont en envisage et dont on enseigne les choses.
L'écrit n'est pas un travail en soi, c'est un moyen supplémentaire de découverte des choses.
Il peut y avoir des travaux liés à l'acquisition (et/ou des méthodes d'acquisition) de l'écrit, mais en aucun cas l'écrit en lui-même ne doit représenter un travail pour l'enfant.
Donc le problème pédagogique restant est celui des autres connaissances qu'on peut acquérir grâce à l'écrit.
En quoi les applications de plus en plus extensives de l'écrit deviennent-elles un travail (au sens du vécu de l'enfant) si ce n'est par les impératifs sociétaux fixés par les parents ?
Gérard (anar à ses heures)
cet
"Gérard" a écrit dans le message de news: 45f05347$0$27402$
"Youri Ligotmi" a écrit dans le message de news: 45f0451d$0$2426$
Gérard a écrit :
Est-ce une bonne idée de ne pas habituer progressivement les élèves à ce qui les attend?
Avant le collège, les élèves n'ont qu'un seul intelocuteur enseignant, et un seul lieu principal d'enseignement.
Quand ils passent au collège, X profs et Y classes.
N'y a-t'il pas là une rupture plus grande que celles des devoirs faits ou non à la maison ?
Si certainement et c'est pour ça que je me pose la question de savoir si c'est le meilleur moment pour découvrir le travail écrit à la maison.
A mon avis le véritable problème se situe au niveau de la façon dont en envisage et dont on enseigne les choses.
L'écrit n'est pas un travail en soi, c'est un moyen supplémentaire de découverte des choses.
Il peut y avoir des travaux liés à l'acquisition (et/ou des méthodes d'acquisition) de l'écrit, mais en aucun cas l'écrit en lui-même ne doit représenter un travail pour l'enfant.
Donc le problème pédagogique restant est celui des autres connaissances qu'on peut acquérir grâce à l'écrit.
En quoi les applications de plus en plus extensives de l'écrit deviennent-elles un travail (au sens du vécu de l'enfant) si ce n'est par les impératifs sociétaux fixés par les parents ?
Gérard (anar à ses heures)
Je suppose qu'ils n'ont pas plus le droit de s'instruire devant la télé ???
"Gérard" <g-lochon@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
45f05347$0$27402$ba4acef3@news.orange.fr...
"Youri Ligotmi" <yl@free.fr.invalid> a écrit dans le message de news:
45f0451d$0$2426$426a74cc@news.free.fr...
Gérard a écrit :
Est-ce une bonne idée de ne pas habituer progressivement les élèves à
ce qui les attend?
Avant le collège, les élèves n'ont qu'un seul intelocuteur enseignant,
et un seul lieu principal d'enseignement.
Quand ils passent au collège, X profs et Y classes.
N'y a-t'il pas là une rupture plus grande que celles des devoirs faits
ou non à la maison ?
Si certainement et c'est pour ça que je me pose la question de savoir si
c'est le meilleur moment pour découvrir le travail écrit à la maison.
A mon avis le véritable problème se situe au niveau de la façon dont en
envisage et dont on enseigne les choses.
L'écrit n'est pas un travail en soi, c'est un moyen supplémentaire de
découverte des choses.
Il peut y avoir des travaux liés à l'acquisition (et/ou des méthodes
d'acquisition) de l'écrit, mais en aucun cas l'écrit en lui-même ne doit
représenter un travail pour l'enfant.
Donc le problème pédagogique restant est celui des autres connaissances
qu'on peut acquérir grâce à l'écrit.
En quoi les applications de plus en plus extensives de l'écrit
deviennent-elles un travail (au sens du vécu de l'enfant) si ce n'est par
les impératifs sociétaux fixés par les parents ?
Gérard (anar à ses heures)
Je suppose qu'ils n'ont pas plus le droit de s'instruire devant la télé ???
"Gérard" a écrit dans le message de news: 45f05347$0$27402$
"Youri Ligotmi" a écrit dans le message de news: 45f0451d$0$2426$
Gérard a écrit :
Est-ce une bonne idée de ne pas habituer progressivement les élèves à ce qui les attend?
Avant le collège, les élèves n'ont qu'un seul intelocuteur enseignant, et un seul lieu principal d'enseignement.
Quand ils passent au collège, X profs et Y classes.
N'y a-t'il pas là une rupture plus grande que celles des devoirs faits ou non à la maison ?
Si certainement et c'est pour ça que je me pose la question de savoir si c'est le meilleur moment pour découvrir le travail écrit à la maison.
A mon avis le véritable problème se situe au niveau de la façon dont en envisage et dont on enseigne les choses.
L'écrit n'est pas un travail en soi, c'est un moyen supplémentaire de découverte des choses.
Il peut y avoir des travaux liés à l'acquisition (et/ou des méthodes d'acquisition) de l'écrit, mais en aucun cas l'écrit en lui-même ne doit représenter un travail pour l'enfant.
Donc le problème pédagogique restant est celui des autres connaissances qu'on peut acquérir grâce à l'écrit.
En quoi les applications de plus en plus extensives de l'écrit deviennent-elles un travail (au sens du vécu de l'enfant) si ce n'est par les impératifs sociétaux fixés par les parents ?
Gérard (anar à ses heures)
Je suppose qu'ils n'ont pas plus le droit de s'instruire devant la télé ???
Youri Ligotmi
Gérard a écrit :
"Youri Ligotmi" a écrit dans le message de news: 45f0451d$0$2426$
Gérard a écrit :
Est-ce une bonne idée de ne pas habituer progressivement les élèves à ce qui les attend?
Avant le collège, les élèves n'ont qu'un seul intelocuteur enseignant, et un seul lieu principal d'enseignement.
Quand ils passent au collège, X profs et Y classes.
N'y a-t'il pas là une rupture plus grande que celles des devoirs faits ou non à la maison ?
Si certainement et c'est pour ça que je me pose la question de savoir si c'est le meilleur moment pour découvrir le travail écrit à la maison.
A mon avis le véritable problème se situe au niveau de la façon dont en envisage et dont on enseigne les choses.
L'écrit n'est pas un travail en soi, c'est un moyen supplémentaire de découverte des choses.
Il peut y avoir des travaux liés à l'acquisition (et/ou des méthodes d'acquisition) de l'écrit, mais en aucun cas l'écrit en lui-même ne doit représenter un travail pour l'enfant.
Donc le problème pédagogique restant est celui des autres connaissances qu'on peut acquérir grâce à l'écrit.
En quoi les applications de plus en plus extensives de l'écrit deviennent-elles un travail (au sens du vécu de l'enfant) si ce n'est par les impératifs sociétaux fixés par les parents ?
Gérard (anar à ses heures)
Je suis bien d'accord avec vous.
Phil (de plus en plus anar en vieillissant)
Gérard a écrit :
"Youri Ligotmi" <yl@free.fr.invalid> a écrit dans le message de news:
45f0451d$0$2426$426a74cc@news.free.fr...
Gérard a écrit :
Est-ce une bonne idée de ne pas habituer progressivement les élèves
à ce qui les attend?
Avant le collège, les élèves n'ont qu'un seul intelocuteur
enseignant, et un seul lieu principal d'enseignement.
Quand ils passent au collège, X profs et Y classes.
N'y a-t'il pas là une rupture plus grande que celles des devoirs
faits ou non à la maison ?
Si certainement et c'est pour ça que je me pose la question de savoir
si c'est le meilleur moment pour découvrir le travail écrit à la maison.
A mon avis le véritable problème se situe au niveau de la façon dont en
envisage et dont on enseigne les choses.
L'écrit n'est pas un travail en soi, c'est un moyen supplémentaire de
découverte des choses.
Il peut y avoir des travaux liés à l'acquisition (et/ou des méthodes
d'acquisition) de l'écrit, mais en aucun cas l'écrit en lui-même ne doit
représenter un travail pour l'enfant.
Donc le problème pédagogique restant est celui des autres connaissances
qu'on peut acquérir grâce à l'écrit.
En quoi les applications de plus en plus extensives de l'écrit
deviennent-elles un travail (au sens du vécu de l'enfant) si ce n'est
par les impératifs sociétaux fixés par les parents ?
"Youri Ligotmi" a écrit dans le message de news: 45f0451d$0$2426$
Gérard a écrit :
Est-ce une bonne idée de ne pas habituer progressivement les élèves à ce qui les attend?
Avant le collège, les élèves n'ont qu'un seul intelocuteur enseignant, et un seul lieu principal d'enseignement.
Quand ils passent au collège, X profs et Y classes.
N'y a-t'il pas là une rupture plus grande que celles des devoirs faits ou non à la maison ?
Si certainement et c'est pour ça que je me pose la question de savoir si c'est le meilleur moment pour découvrir le travail écrit à la maison.
A mon avis le véritable problème se situe au niveau de la façon dont en envisage et dont on enseigne les choses.
L'écrit n'est pas un travail en soi, c'est un moyen supplémentaire de découverte des choses.
Il peut y avoir des travaux liés à l'acquisition (et/ou des méthodes d'acquisition) de l'écrit, mais en aucun cas l'écrit en lui-même ne doit représenter un travail pour l'enfant.
Donc le problème pédagogique restant est celui des autres connaissances qu'on peut acquérir grâce à l'écrit.
En quoi les applications de plus en plus extensives de l'écrit deviennent-elles un travail (au sens du vécu de l'enfant) si ce n'est par les impératifs sociétaux fixés par les parents ?
Gérard (anar à ses heures)
Je suis bien d'accord avec vous.
Phil (de plus en plus anar en vieillissant)
anneleguennec
"Ariel DAHAN" wrote:
Ou pourquoi pas au Lycée, ou même après bac, à l'université, la grande école... ou jamais ?
Le laxisme ne passera pas !
Je ne suis pas d'accord. Les gniards commencent l'école à deux ans pour environ la moitié d'entre eux. C''est un scandale absolu qu'ils n'aient pas au moins deux heures de travail écrit chaque jour. Et puis d'abord, comme ça, ils ne regarderont pas la télé.
Riddikulus, tiens. Et pfuit...
"Ariel DAHAN" <cats@ddb> wrote:
Ou pourquoi pas au Lycée, ou même après bac, à l'université, la grande
école... ou jamais ?
Le laxisme ne passera pas !
Je ne suis pas d'accord. Les gniards commencent l'école à deux ans pour
environ la moitié d'entre eux. C''est un scandale absolu qu'ils n'aient
pas au moins deux heures de travail écrit chaque jour. Et puis d'abord,
comme ça, ils ne regarderont pas la télé.
Ou pourquoi pas au Lycée, ou même après bac, à l'université, la grande école... ou jamais ?
Le laxisme ne passera pas !
Je ne suis pas d'accord. Les gniards commencent l'école à deux ans pour environ la moitié d'entre eux. C''est un scandale absolu qu'ils n'aient pas au moins deux heures de travail écrit chaque jour. Et puis d'abord, comme ça, ils ne regarderont pas la télé.
Riddikulus, tiens. Et pfuit...
anneleguennec
"Ariel DAHAN" wrote:
C'est hélas une circulaire qui remonte à 5 ou 6 ans... Stupéfait j'ai été de constater que les professeurs ne pouvaient plus donner de travail aux enfants...
Qui elle même est une reprise d'une circulaire datant, si mes souvenirs sont bons de 1926 et régulièrement remise au goût du jour.
"Ariel DAHAN" <cats@ddb> wrote:
C'est hélas une circulaire qui remonte à 5 ou 6 ans...
Stupéfait j'ai été de constater que les professeurs ne pouvaient plus donner
de travail aux enfants...
Qui elle même est une reprise d'une circulaire datant, si mes souvenirs
sont bons de 1926 et régulièrement remise au goût du jour.
C'est hélas une circulaire qui remonte à 5 ou 6 ans... Stupéfait j'ai été de constater que les professeurs ne pouvaient plus donner de travail aux enfants...
Qui elle même est une reprise d'une circulaire datant, si mes souvenirs sont bons de 1926 et régulièrement remise au goût du jour.
Gérard
> Je ne suis pas d'accord. Les gniards commencent l'école à deux ans pour environ la moitié d'entre eux. C''est un scandale absolu qu'ils n'aient pas au moins deux heures de travail écrit chaque jour. Et puis d'abord, comme ça, ils ne regarderont pas la télé.
Riddikulus, tiens. Et pfuit...
Pff , c'est des mauvais en maths çà !
Moi, mon père m'a appris à intégrer bien avant la naissance ...
> Je ne suis pas d'accord. Les gniards commencent l'école à deux ans pour
environ la moitié d'entre eux. C''est un scandale absolu qu'ils n'aient
pas au moins deux heures de travail écrit chaque jour. Et puis d'abord,
comme ça, ils ne regarderont pas la télé.
Riddikulus, tiens. Et pfuit...
Pff , c'est des mauvais en maths çà !
Moi, mon père m'a appris à intégrer bien avant la naissance ...
> Je ne suis pas d'accord. Les gniards commencent l'école à deux ans pour environ la moitié d'entre eux. C''est un scandale absolu qu'ils n'aient pas au moins deux heures de travail écrit chaque jour. Et puis d'abord, comme ça, ils ne regarderont pas la télé.
Riddikulus, tiens. Et pfuit...
Pff , c'est des mauvais en maths çà !
Moi, mon père m'a appris à intégrer bien avant la naissance ...