L'afnic n'est donc pas capable de gérer un afflux de commandes ? Ça fait des
années qu'ils nous les gonflent avec leur règles à la con, aujourd'hui ils
nous la mettent jusqu'au bout en défavorisant complètement les noms de fin
d'alphabet. Ils sont fonctionnaires ?
Tout dépend de la finalité du nom, mais l'exemple milka.fr indique qu'on ne peut pas donner de réponse universelle.
-- [David:moua]
bortzmeyer
In article , writes:
Bon maintenant, se faire répondre par un automate qu'on a 7700 demandes devant soi on peut difficilement appeler ça du temps réel...
[Depuis 18h00, le tampon est vide, donc toute requête n'a plus personne devant elle. C'est vers 12h, je crois, qu'il y avait effectivement des milliers de requêtes dans le tampon. C'est bien le rôle des tampons que de garder les requêtes en attente...]
L'AFNIC n'a jamais prétendu que son système était temps-réel. Au contraire, l'originalité du système utilisé est qu'il est asynchrone, aucun système synchrone ne pouvant encaisser la ruée qui se produit lors d'une libéralisation des règles.
In article <1150887305.769522.67720@p79g2000cwp.googlegroups.com>,
noemailplease@laposte.net writes:
Bon maintenant, se faire répondre par un automate qu'on a 7700
demandes devant soi on peut difficilement appeler ça du temps
réel...
[Depuis 18h00, le tampon est vide, donc toute requête n'a plus
personne devant elle. C'est vers 12h, je crois, qu'il y avait
effectivement des milliers de requêtes dans le tampon. C'est bien le
rôle des tampons que de garder les requêtes en attente...]
L'AFNIC n'a jamais prétendu que son système était temps-réel. Au
contraire, l'originalité du système utilisé est qu'il est asynchrone,
aucun système synchrone ne pouvant encaisser la ruée qui se produit
lors d'une libéralisation des règles.
Bon maintenant, se faire répondre par un automate qu'on a 7700 demandes devant soi on peut difficilement appeler ça du temps réel...
[Depuis 18h00, le tampon est vide, donc toute requête n'a plus personne devant elle. C'est vers 12h, je crois, qu'il y avait effectivement des milliers de requêtes dans le tampon. C'est bien le rôle des tampons que de garder les requêtes en attente...]
L'AFNIC n'a jamais prétendu que son système était temps-réel. Au contraire, l'originalité du système utilisé est qu'il est asynchrone, aucun système synchrone ne pouvant encaisser la ruée qui se produit lors d'une libéralisation des règles.
Patrick Mevzek
Comment est-ce possible :
- d'avoir des avis non convergents entre acteurs dits pros du secteur,
Il ne faut pas voir des pros partout : tout vendeur de téléphone portable n'est pas un professionnel de la téléphonie, par comparaison.
Pour commencer, fuyez comme la peste tous ceux qui s'autoproclament pro, expert, spécialistes, numéros 1. Bon ca ne doit plus laisser grand monde, mais c'est un premier filtrage indispensable je pense.
Votre interlocuteur normalement principal et unique c'est le prestataire qui dépose vos noms, que ce soit votre hébergeur ou non. Si vous n'estimez pas avoir une réponse pertinente de votre prestataire, ou si vous avez un doute, allez tout simplement voir ailleurs. Avec plus de 1000 bureaux membre AFNIC et tous les revendeurs, le choix ne manque pas.
N'oubliez pas que les bureaux d'enregistrement sont des sociétés et donc ont comme finalité de _vendre_ des noms de domaine. Il y a donc toujours un risque de vous «encourager» à acheter, en ne vous parlant des problèmes que plus tard...
- d'avoir aucune réponse claire à une question pourtant pas bien compliquée
La question n'est pas simple, en toute généralité. Pour y répondre correctement, il faut - des compétences techniques : quelles règles d'attribution, quelles limites techniques, etc... - des compétences juridiques : quelles sont les lois qui s'appliquent, etc...
Il est *rare* de trouver ces deux compétences réunies au même endroit, ce qui n'est rien d'autre que l'expérience que vous relatez.
Pour reprendre votre exemple, là c'est vrai que vous n'avez pas de bol, vos trois interlocuteurs ont faux, grosso modo :
1) «De toute façon si l'AFNIC valide votre enregistrement, c'est bon»
Non, puisque une procédure peut être entamée après à n'importe quel moment. D'ailleurs il ne pourrait en être autrement : difficile de porter plainte avant que le délit survienne ! Acheter un domaine n'est *pas* (jamais !) obtenir une propriété, et encore moins inaliénable, quoi qu'on essaye de vous faire croire. Vous faites un dépôt qui correspond grosso modo à une location temporaire d'une licence d'utilisation... qui peut sauter à tout moment si quelqu'un d'autre estime que vous n'avez pas le droit d'utiliser cette licence, et réussit à le «prouver» devant la justice ou les organismes idoines.
2) «tout au plus on pouvait être contraint de transmettre le nom de domaine à l'entreprise plaignante sans autre condamnation, pécuniaire notamment»
On ne peut présumer d'une décision de justice. On va certes perdre le domaine, mais s'il y a mauvaise foi, magouilles & co, rien ne dit que le juge ne puisse pas condamner au-délà du simple transfert. Par exemple si on estime que votre usage du domaine a fait du tord au plaignant (utilisation pour un site web qui dirige chez un concurrent, contient des propos diffamants, etc...), vous serez probablement condamné avec dommages & intérêts !
En tout cas il n'y a rien dans la *loi* qui disent le contraire.
Donc, non, certainement un blanc-seeing à faire «n'importe quoi» et à, «au pire» juste devoir transférer le domaine.
3) «conseiller de conclure en m'invitant à m'adresser au barreau de Paris pour avoir une réponse plus sûre»
On ne va pas dire que c'est faux, mais j'ai comme un doute violent que le barreau de Paris est un avis plus pertinent sur la question.
Clairement, une fois que se pose un problème de droit (droit des marques, etc...) un avocat ou conseil spécialisé en la matière semble être la meilleure piste, une fois que vous avez mis de côté les aspects purement techniques (comme souvent, la partie technique, qui paraît la plus complexe, est en réalité la plus simple). Mais bon ca semble souvent un peu «overkill», surtout pour un simple particulier :-)
Pour résumer votre situation : si votre nom de domaine est pile poil (ou presque) le nom d'une société ou d'une marque, oui, il y a un risque de conflit. Impossible à prévoir sur la survenue, ni sur le résultat. Cela va dépendre du nom en lui-même, du TLD, des dates, des acteurs, etc...
Mon conseil : ne tenter pas le diable et ne vous prenez pas la tête. Si vous savez d'avance qu'il y a un risque parce que vous savez pertinemment que le nom est utilisé par des sociétés (et même votre message dans ce groupe pourrait se retourner contre vous, en toute généralité, malgré l'absence de détails, car vous ne pourriez pas plaider que vous ne soupconniez pas la colision), tout simplement, trouvez un autre nom !
Ca paraît idiot (la charge émotive qu'on transfère au nom de son choix n'est pas toujours nulle), mais c'est vraiment le plus pragmatique.
-- Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France) <http://www.dotandco.net/> <http://www.dotandco.com/> <http://www.dotandco.net/ressources/icann_registrars/index>
Comment est-ce possible :
- d'avoir des avis non convergents entre acteurs dits pros du secteur,
Il ne faut pas voir des pros partout : tout vendeur de téléphone
portable n'est pas un professionnel de la téléphonie, par comparaison.
Pour commencer, fuyez comme la peste tous ceux qui s'autoproclament pro,
expert, spécialistes, numéros 1. Bon ca ne doit plus laisser grand
monde, mais c'est un premier filtrage indispensable je pense.
Votre interlocuteur normalement principal et unique c'est le prestataire
qui dépose vos noms, que ce soit votre hébergeur ou non. Si vous
n'estimez pas avoir une réponse pertinente de votre prestataire, ou si
vous avez un doute, allez tout simplement voir ailleurs. Avec plus de 1000
bureaux membre AFNIC et tous les revendeurs, le choix ne manque pas.
N'oubliez pas que les bureaux d'enregistrement sont des sociétés et donc
ont comme finalité de _vendre_ des noms de domaine. Il y a donc toujours
un risque de vous «encourager» à acheter, en ne vous parlant des
problèmes que plus tard...
- d'avoir aucune réponse claire à une question pourtant pas bien compliquée
La question n'est pas simple, en toute généralité.
Pour y répondre correctement, il faut
- des compétences techniques : quelles règles d'attribution, quelles
limites techniques, etc...
- des compétences juridiques : quelles sont les lois qui s'appliquent,
etc...
Il est *rare* de trouver ces deux compétences réunies au même endroit,
ce qui n'est rien d'autre que l'expérience que vous relatez.
Pour reprendre votre exemple, là c'est vrai que vous n'avez pas de bol,
vos trois interlocuteurs ont faux, grosso modo :
1) «De toute façon si l'AFNIC valide votre enregistrement, c'est bon»
Non, puisque une procédure peut être entamée après à n'importe quel
moment. D'ailleurs il ne pourrait en être autrement : difficile de porter
plainte avant que le délit survienne ! Acheter un domaine n'est *pas*
(jamais !) obtenir une propriété, et encore moins inaliénable, quoi
qu'on essaye de vous faire croire. Vous faites un dépôt qui correspond
grosso modo à une location temporaire d'une licence d'utilisation... qui
peut sauter à tout moment si quelqu'un d'autre estime que vous n'avez pas
le droit d'utiliser cette licence, et réussit à le «prouver» devant la
justice ou les organismes idoines.
2) «tout au plus on pouvait être contraint de transmettre le nom de
domaine à l'entreprise plaignante sans autre condamnation, pécuniaire
notamment»
On ne peut présumer d'une décision de justice. On va certes perdre le
domaine, mais s'il y a mauvaise foi, magouilles & co, rien ne dit que le
juge ne puisse pas condamner au-délà du simple transfert.
Par exemple si on estime que votre usage du domaine a fait du tord au
plaignant (utilisation pour un site web qui dirige chez un concurrent,
contient des propos diffamants, etc...), vous serez probablement condamné
avec dommages & intérêts !
En tout cas il n'y a rien dans la *loi* qui disent le contraire.
Donc, non, certainement un blanc-seeing à faire «n'importe quoi» et à,
«au pire» juste devoir transférer le domaine.
3) «conseiller de conclure en m'invitant à m'adresser au
barreau de Paris pour avoir une réponse plus sûre»
On ne va pas dire que c'est faux, mais j'ai comme un doute violent que le
barreau de Paris est un avis plus pertinent sur la question.
Clairement, une fois que se pose un problème de droit (droit des marques,
etc...) un avocat ou conseil spécialisé en la matière semble être la
meilleure piste, une fois que vous avez mis de côté les aspects purement
techniques (comme souvent, la partie technique, qui paraît la plus
complexe, est en réalité la plus simple).
Mais bon ca semble souvent un peu «overkill», surtout pour un simple
particulier :-)
Pour résumer votre situation : si votre nom de domaine est pile poil (ou
presque) le nom d'une société ou d'une marque, oui, il y a un risque de
conflit.
Impossible à prévoir sur la survenue, ni sur le résultat. Cela va
dépendre du nom en lui-même, du TLD, des dates, des acteurs, etc...
Mon conseil : ne tenter pas le diable et ne vous prenez pas la tête.
Si vous savez d'avance qu'il y a un risque parce que vous savez
pertinemment que le nom est utilisé par des sociétés (et même votre
message dans ce groupe pourrait se retourner contre vous, en toute
généralité, malgré l'absence de détails, car vous ne pourriez pas
plaider que vous ne soupconniez pas la colision), tout simplement,
trouvez un autre nom !
Ca paraît idiot (la charge émotive qu'on transfère au nom de son
choix n'est pas toujours nulle), mais c'est vraiment le plus pragmatique.
--
Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France)
<http://www.dotandco.net/> <http://www.dotandco.com/>
<http://www.dotandco.net/ressources/icann_registrars/index>
- d'avoir des avis non convergents entre acteurs dits pros du secteur,
Il ne faut pas voir des pros partout : tout vendeur de téléphone portable n'est pas un professionnel de la téléphonie, par comparaison.
Pour commencer, fuyez comme la peste tous ceux qui s'autoproclament pro, expert, spécialistes, numéros 1. Bon ca ne doit plus laisser grand monde, mais c'est un premier filtrage indispensable je pense.
Votre interlocuteur normalement principal et unique c'est le prestataire qui dépose vos noms, que ce soit votre hébergeur ou non. Si vous n'estimez pas avoir une réponse pertinente de votre prestataire, ou si vous avez un doute, allez tout simplement voir ailleurs. Avec plus de 1000 bureaux membre AFNIC et tous les revendeurs, le choix ne manque pas.
N'oubliez pas que les bureaux d'enregistrement sont des sociétés et donc ont comme finalité de _vendre_ des noms de domaine. Il y a donc toujours un risque de vous «encourager» à acheter, en ne vous parlant des problèmes que plus tard...
- d'avoir aucune réponse claire à une question pourtant pas bien compliquée
La question n'est pas simple, en toute généralité. Pour y répondre correctement, il faut - des compétences techniques : quelles règles d'attribution, quelles limites techniques, etc... - des compétences juridiques : quelles sont les lois qui s'appliquent, etc...
Il est *rare* de trouver ces deux compétences réunies au même endroit, ce qui n'est rien d'autre que l'expérience que vous relatez.
Pour reprendre votre exemple, là c'est vrai que vous n'avez pas de bol, vos trois interlocuteurs ont faux, grosso modo :
1) «De toute façon si l'AFNIC valide votre enregistrement, c'est bon»
Non, puisque une procédure peut être entamée après à n'importe quel moment. D'ailleurs il ne pourrait en être autrement : difficile de porter plainte avant que le délit survienne ! Acheter un domaine n'est *pas* (jamais !) obtenir une propriété, et encore moins inaliénable, quoi qu'on essaye de vous faire croire. Vous faites un dépôt qui correspond grosso modo à une location temporaire d'une licence d'utilisation... qui peut sauter à tout moment si quelqu'un d'autre estime que vous n'avez pas le droit d'utiliser cette licence, et réussit à le «prouver» devant la justice ou les organismes idoines.
2) «tout au plus on pouvait être contraint de transmettre le nom de domaine à l'entreprise plaignante sans autre condamnation, pécuniaire notamment»
On ne peut présumer d'une décision de justice. On va certes perdre le domaine, mais s'il y a mauvaise foi, magouilles & co, rien ne dit que le juge ne puisse pas condamner au-délà du simple transfert. Par exemple si on estime que votre usage du domaine a fait du tord au plaignant (utilisation pour un site web qui dirige chez un concurrent, contient des propos diffamants, etc...), vous serez probablement condamné avec dommages & intérêts !
En tout cas il n'y a rien dans la *loi* qui disent le contraire.
Donc, non, certainement un blanc-seeing à faire «n'importe quoi» et à, «au pire» juste devoir transférer le domaine.
3) «conseiller de conclure en m'invitant à m'adresser au barreau de Paris pour avoir une réponse plus sûre»
On ne va pas dire que c'est faux, mais j'ai comme un doute violent que le barreau de Paris est un avis plus pertinent sur la question.
Clairement, une fois que se pose un problème de droit (droit des marques, etc...) un avocat ou conseil spécialisé en la matière semble être la meilleure piste, une fois que vous avez mis de côté les aspects purement techniques (comme souvent, la partie technique, qui paraît la plus complexe, est en réalité la plus simple). Mais bon ca semble souvent un peu «overkill», surtout pour un simple particulier :-)
Pour résumer votre situation : si votre nom de domaine est pile poil (ou presque) le nom d'une société ou d'une marque, oui, il y a un risque de conflit. Impossible à prévoir sur la survenue, ni sur le résultat. Cela va dépendre du nom en lui-même, du TLD, des dates, des acteurs, etc...
Mon conseil : ne tenter pas le diable et ne vous prenez pas la tête. Si vous savez d'avance qu'il y a un risque parce que vous savez pertinemment que le nom est utilisé par des sociétés (et même votre message dans ce groupe pourrait se retourner contre vous, en toute généralité, malgré l'absence de détails, car vous ne pourriez pas plaider que vous ne soupconniez pas la colision), tout simplement, trouvez un autre nom !
Ca paraît idiot (la charge émotive qu'on transfère au nom de son choix n'est pas toujours nulle), mais c'est vraiment le plus pragmatique.
-- Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France) <http://www.dotandco.net/> <http://www.dotandco.com/> <http://www.dotandco.net/ressources/icann_registrars/index>
Eric Demeester
dans (in) fr.reseaux.internet.hebergement, DavidB ecrivait (wrote) :
Bonsoir,
Justement, c'est en faisant un whois sur mon nouveau domaine que j'ai ces coordonées.
Au temps pour moi. Je viens de vérifier et ces données sont masquées, même chez le prestataire auprès duquel vous avez réservé le domaine.
Je comprends ça comme une mesure de protection vis à vis des spammers et autres pénibles, ce qui est une bonne idée. Vos coordonnées réelles sont stockées dans la base de données de votre bureau d'enregistrement, mais elles sont masquées vis à vis des tiers.
Enfin bon, je n'ai peut-être pas tout compris :)
-- Eric Demeester - http://www.galacsys.net
dans (in) fr.reseaux.internet.hebergement, DavidB
<usenet@numea.com.N0SPAM> ecrivait (wrote) :
Bonsoir,
Justement, c'est en faisant un whois sur mon nouveau domaine que j'ai
ces coordonées.
Au temps pour moi. Je viens de vérifier et ces données sont masquées,
même chez le prestataire auprès duquel vous avez réservé le domaine.
Je comprends ça comme une mesure de protection vis à vis des spammers et
autres pénibles, ce qui est une bonne idée. Vos coordonnées réelles sont
stockées dans la base de données de votre bureau d'enregistrement, mais
elles sont masquées vis à vis des tiers.
dans (in) fr.reseaux.internet.hebergement, DavidB ecrivait (wrote) :
Bonsoir,
Justement, c'est en faisant un whois sur mon nouveau domaine que j'ai ces coordonées.
Au temps pour moi. Je viens de vérifier et ces données sont masquées, même chez le prestataire auprès duquel vous avez réservé le domaine.
Je comprends ça comme une mesure de protection vis à vis des spammers et autres pénibles, ce qui est une bonne idée. Vos coordonnées réelles sont stockées dans la base de données de votre bureau d'enregistrement, mais elles sont masquées vis à vis des tiers.
Enfin bon, je n'ai peut-être pas tout compris :)
-- Eric Demeester - http://www.galacsys.net
Patrick Mevzek
On peut dire au contraire que, contrairement à ce qui s'est produit dans la plupart des autres ccTLD, les deux ouvertures (2004 et 2006) se sont passés très cool. Pas de crash, pas de serveurs qui marchent une fois sur dix...
Il faudrait aussi comparer des flux comparables. 10000 requêtes en une journée...
Pour 2006, pas de mérite puisque la demande a été faible. En 2004, c'était moins évident. D'autres processus d'ouverture récents ailleurs en Europe montrent qu'une brusque ruée n'est pas triviale à gérer techniquement.
Cf plus haut : comparer des choses comparables.
Je ne jette pas la pierre aux collègues (c'est une tâche vraiment délicate), j'insiste juste que l'AFNIC s'est plutôt bien débrouillée.
Vu de l'intérieur, ca serait étonnant d'avoir un autre message...
Ça fait des années qu'ils nous les gonflent avec leur règles à la con,
Allons, allons, après cette ouverture, qu'est-ce qui reste de vraiment gênant ? Suggestions bienvenues :-)
Les fax ? Les procédures papier ? L'absence de banc test ? L'utilisation quasi exclusive du mail ? Les changements perpétuels, non prévus, non documentés ? Le développement de web services propriétaires alors que des standards existent, etc... etc...
Ils sont fonctionnaires ?
Deux employés de l'AFNIC sur 38. Ils serait intéressant d'étudier si leur travail est meilleur ou pire que celui des 36 autres :-)
Et au niveau des dirigeants ? Et du CA ?
-- Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France) <http://www.dotandco.net/> <http://www.dotandco.com/> <http://www.dotandco.net/ressources/icann_registrars/index>
On peut dire au contraire que, contrairement à ce qui s'est produit
dans la plupart des autres ccTLD, les deux ouvertures (2004 et 2006)
se sont passés très cool. Pas de crash, pas de serveurs qui marchent
une fois sur dix...
Il faudrait aussi comparer des flux comparables. 10000 requêtes en une
journée...
Pour 2006, pas de mérite puisque la demande a été faible. En 2004,
c'était moins évident. D'autres processus d'ouverture récents
ailleurs en Europe montrent qu'une brusque ruée n'est pas triviale à
gérer techniquement.
Cf plus haut : comparer des choses comparables.
Je ne jette pas la pierre aux collègues (c'est
une tâche vraiment délicate), j'insiste juste que l'AFNIC s'est
plutôt bien débrouillée.
Vu de l'intérieur, ca serait étonnant d'avoir un autre message...
Ça fait des années qu'ils nous les gonflent avec leur règles à la
con,
Allons, allons, après cette ouverture, qu'est-ce qui reste de vraiment
gênant ? Suggestions bienvenues :-)
Les fax ? Les procédures papier ?
L'absence de banc test ? L'utilisation quasi exclusive du mail ?
Les changements perpétuels, non prévus, non documentés ?
Le développement de web services propriétaires alors que des standards
existent, etc... etc...
Ils sont fonctionnaires ?
Deux employés de l'AFNIC sur 38. Ils serait intéressant d'étudier si
leur travail est meilleur ou pire que celui des 36 autres :-)
Et au niveau des dirigeants ? Et du CA ?
--
Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France)
<http://www.dotandco.net/> <http://www.dotandco.com/>
<http://www.dotandco.net/ressources/icann_registrars/index>
On peut dire au contraire que, contrairement à ce qui s'est produit dans la plupart des autres ccTLD, les deux ouvertures (2004 et 2006) se sont passés très cool. Pas de crash, pas de serveurs qui marchent une fois sur dix...
Il faudrait aussi comparer des flux comparables. 10000 requêtes en une journée...
Pour 2006, pas de mérite puisque la demande a été faible. En 2004, c'était moins évident. D'autres processus d'ouverture récents ailleurs en Europe montrent qu'une brusque ruée n'est pas triviale à gérer techniquement.
Cf plus haut : comparer des choses comparables.
Je ne jette pas la pierre aux collègues (c'est une tâche vraiment délicate), j'insiste juste que l'AFNIC s'est plutôt bien débrouillée.
Vu de l'intérieur, ca serait étonnant d'avoir un autre message...
Ça fait des années qu'ils nous les gonflent avec leur règles à la con,
Allons, allons, après cette ouverture, qu'est-ce qui reste de vraiment gênant ? Suggestions bienvenues :-)
Les fax ? Les procédures papier ? L'absence de banc test ? L'utilisation quasi exclusive du mail ? Les changements perpétuels, non prévus, non documentés ? Le développement de web services propriétaires alors que des standards existent, etc... etc...
Ils sont fonctionnaires ?
Deux employés de l'AFNIC sur 38. Ils serait intéressant d'étudier si leur travail est meilleur ou pire que celui des 36 autres :-)
Et au niveau des dirigeants ? Et du CA ?
-- Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France) <http://www.dotandco.net/> <http://www.dotandco.com/> <http://www.dotandco.net/ressources/icann_registrars/index>
DavidB
Au temps pour moi. Je viens de vérifier et ces données sont masquées, même chez le prestataire auprès duquel vous avez réservé le domaine.
Je me demande si c'est autorisé par l'afnic, étant donné que c'est apparement le seul prestataire a le proposer pour les .fr
Je comprends ça comme une mesure de protection vis à vis des spammers et autres pénibles, ce qui est une bonne idée.
Des redirections avec email temporaire ok, mais la même le nom est caché (je ne parle pas de l'addresse).
-- [David:moua]
Au temps pour moi. Je viens de vérifier et ces données sont masquées,
même chez le prestataire auprès duquel vous avez réservé le domaine.
Je me demande si c'est autorisé par l'afnic, étant donné que c'est
apparement le seul prestataire a le proposer pour les .fr
Je comprends ça comme une mesure de protection vis à vis des spammers et
autres pénibles, ce qui est une bonne idée.
Des redirections avec email temporaire ok, mais la même le nom est
caché (je ne parle pas de l'addresse).
Au temps pour moi. Je viens de vérifier et ces données sont masquées, même chez le prestataire auprès duquel vous avez réservé le domaine.
Je me demande si c'est autorisé par l'afnic, étant donné que c'est apparement le seul prestataire a le proposer pour les .fr
Je comprends ça comme une mesure de protection vis à vis des spammers et autres pénibles, ce qui est une bonne idée.
Des redirections avec email temporaire ok, mais la même le nom est caché (je ne parle pas de l'addresse).
-- [David:moua]
bortzmeyer
In article , DavidB writes:
Au temps pour moi. Je viens de vérifier et ces données sont masquées, même chez le prestataire auprès duquel vous avez réservé le domaine.
Je me demande si c'est autorisé par l'afnic, étant donné que c'est apparement le seul prestataire a le proposer pour les .fr
Mais non, bon sang ! C'est une mesure de l'AFNIC, proposée par l'AFNIC, c'est le whois de l'AFNIC qui la met en oeuvre (regardez bortzmeyer.fr, qui est chez Netaktiv).
In article <mn.ad5a7d666a8c0fef.43021@numea>,
DavidB <usenet@numea.com.N0SPAM> writes:
Au temps pour moi. Je viens de vérifier et ces données sont masquées,
même chez le prestataire auprès duquel vous avez réservé le domaine.
Je me demande si c'est autorisé par l'afnic, étant donné que c'est
apparement le seul prestataire a le proposer pour les .fr
Mais non, bon sang ! C'est une mesure de l'AFNIC, proposée par
l'AFNIC, c'est le whois de l'AFNIC qui la met en oeuvre (regardez
bortzmeyer.fr, qui est chez Netaktiv).
Au temps pour moi. Je viens de vérifier et ces données sont masquées, même chez le prestataire auprès duquel vous avez réservé le domaine.
Je me demande si c'est autorisé par l'afnic, étant donné que c'est apparement le seul prestataire a le proposer pour les .fr
Mais non, bon sang ! C'est une mesure de l'AFNIC, proposée par l'AFNIC, c'est le whois de l'AFNIC qui la met en oeuvre (regardez bortzmeyer.fr, qui est chez Netaktiv).
Patrick Mevzek
Mais non, bon sang ! C'est une mesure de l'AFNIC, proposée par l'AFNIC, c'est le whois de l'AFNIC qui la met en oeuvre (regardez bortzmeyer.fr, qui est chez Netaktiv).
Quelle horreur...
-- Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France) <http://www.dotandco.net/> <http://www.dotandco.com/> <http://www.dotandco.net/ressources/icann_registrars/index>
Mais non, bon sang ! C'est une mesure de l'AFNIC, proposée par
l'AFNIC, c'est le whois de l'AFNIC qui la met en oeuvre (regardez
bortzmeyer.fr, qui est chez Netaktiv).
Quelle horreur...
--
Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France)
<http://www.dotandco.net/> <http://www.dotandco.com/>
<http://www.dotandco.net/ressources/icann_registrars/index>
Mais non, bon sang ! C'est une mesure de l'AFNIC, proposée par l'AFNIC, c'est le whois de l'AFNIC qui la met en oeuvre (regardez bortzmeyer.fr, qui est chez Netaktiv).
Quelle horreur...
-- Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France) <http://www.dotandco.net/> <http://www.dotandco.com/> <http://www.dotandco.net/ressources/icann_registrars/index>
mento
Par hasard ce n'est pas l'option "liste rouge" ?
Mais non, bon sang ! C'est une mesure de l'AFNIC, proposée par l'AFNIC, c'est le whois de l'AFNIC qui la met en oeuvre (regardez bortzmeyer.fr, qui est chez Netaktiv).
Quelle horreur...
Par hasard ce n'est pas l'option "liste rouge" ?
Mais non, bon sang ! C'est une mesure de l'AFNIC, proposée par
l'AFNIC, c'est le whois de l'AFNIC qui la met en oeuvre (regardez
bortzmeyer.fr, qui est chez Netaktiv).
Mais non, bon sang ! C'est une mesure de l'AFNIC, proposée par l'AFNIC, c'est le whois de l'AFNIC qui la met en oeuvre (regardez bortzmeyer.fr, qui est chez Netaktiv).