J'ai récupéré le nouveau logiciel Mercury 1.8 et j'espérais enfin
pouvoir faire un videochat avec mes copains PCistes (j'ai pas dit
passéistes...) sur MSN et finalement cela ne marche toujours pas. Je
les vois, ils me voient mais on ne peut pas se parler.
Je suis allé sur la page Wiki de Mercury qui donne soi-disant des
explications, mais elles ne me paraissent pas complètes. On y dit que
pour Macintosh, les points 1 à 4 de la procédure ne sont pas
nécessaires et de démarrer au point 5... mais la description ne
comporte que 3 points...
Bref, si quelqu'un a réussi à se connecter et à faire un videochat, je
le remercie par avance de m'indiquer comment il procède !
Je te suis amplement. J'ai un ami d'enfance qui était, jusqu'à peu, officier de marine.
Et c'est reparti.
On a un ami qui a un exemple et on en déduit que c'est pareil pour tout le monde
Mais quand je fait pareil au sujet du privé je me voit taxé de mauvaise foi et de manque de respect...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Je te suis amplement. J'ai un ami d'enfance qui était, jusqu'à peu,
officier de marine.
Et c'est reparti.
On a un ami qui a un exemple et on en déduit que c'est pareil pour tout
le monde
Mais quand je fait pareil au sujet du privé je me voit taxé de mauvaise
foi et de manque de respect...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Je te suis amplement. J'ai un ami d'enfance qui était, jusqu'à peu, officier de marine.
Et c'est reparti.
On a un ami qui a un exemple et on en déduit que c'est pareil pour tout le monde
Mais quand je fait pareil au sujet du privé je me voit taxé de mauvaise foi et de manque de respect...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
François Jacquemin wrote:
confie sont responsables d'un tableau sur lequel j'ai un regard sans concessions.
Encore faudrait-il que tu aies un regard impartial et une vraie connaissance des choses.
Or de ce que je te lis dénoncer depuis des années ici même t'es plus dans le registre du cliché de bistro qu'autre chose.
Avant d'avoir un regard sans consession sur les autres, commence par l'avoir sur tes méthodes.
Le respect des autres c'est ça.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
François Jacquemin <francois.jacquemin@free.fr> wrote:
confie sont responsables d'un tableau sur lequel j'ai un regard sans
concessions.
Encore faudrait-il que tu aies un regard impartial et une vraie
connaissance des choses.
Or de ce que je te lis dénoncer depuis des années ici même t'es plus
dans le registre du cliché de bistro qu'autre chose.
Avant d'avoir un regard sans consession sur les autres, commence par
l'avoir sur tes méthodes.
Le respect des autres c'est ça.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
confie sont responsables d'un tableau sur lequel j'ai un regard sans concessions.
Encore faudrait-il que tu aies un regard impartial et une vraie connaissance des choses.
Or de ce que je te lis dénoncer depuis des années ici même t'es plus dans le registre du cliché de bistro qu'autre chose.
Avant d'avoir un regard sans consession sur les autres, commence par l'avoir sur tes méthodes.
Le respect des autres c'est ça.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
ludovic.cynomys
FiLH wrote:
Or de ce que je te lis dénoncer depuis des années ici même t'es plus dans le registre du cliché de bistro qu'autre chose.
c'est sûr qu'on avance à grand pas vers le Point Courteline ;-)
-- en quoi consisterait-il, d'ailleurs ?
FiLH <filh@filh.orgie> wrote:
Or de ce que je te lis dénoncer depuis des années ici même t'es plus
dans le registre du cliché de bistro qu'autre chose.
c'est sûr qu'on avance à grand pas vers le Point Courteline ;-)
j'utilise aMSN, qui ne pose pratiquement aucun problemes. mais bon, moins j'utilise le chat, mieux je me porte :-)
Heuuuh !... J'avais cru comprendre qu'on parlait de **video**chat. On peut faire avec aMsn ?..
JPaul.
-- /==/==- Jean-Paul BLANC / /--/--// quelque-part (somewhere) |/| L | en (in) /|| = ||| FRANCE
blanc
gilles wrote:
Pour discuter avec un correspondant je ne vois pas ou est le problème
Problème de sécurité. Si tu le lances, il est facile de vérifier avec Little Snitch qu'il se connecte sur plus d'une centaine de machines différentes !... Mais tu ne peux savoir ce qu'il fait dans ces connexions, puisqu'il est fermé. ;-(
JPaul. -- /==/==- Jean-Paul BLANC / /--/--// quelque-part (somewhere) |/| L | en (in) /|| = ||| FRANCE
gilles <gillesrobert@free.fr> wrote:
Pour discuter avec un correspondant je ne vois pas ou est le problème
Problème de sécurité. Si tu le lances, il est facile de vérifier avec
Little Snitch qu'il se connecte sur plus d'une centaine de machines
différentes !... Mais tu ne peux savoir ce qu'il fait dans ces
connexions, puisqu'il est fermé. ;-(
JPaul.
--
/==/==\- Jean-Paul BLANC
/ /--/--//\ quelque-part (somewhere)
|/| L |\ en (in)
/|| = |||\ FRANCE
Pour discuter avec un correspondant je ne vois pas ou est le problème
Problème de sécurité. Si tu le lances, il est facile de vérifier avec Little Snitch qu'il se connecte sur plus d'une centaine de machines différentes !... Mais tu ne peux savoir ce qu'il fait dans ces connexions, puisqu'il est fermé. ;-(
JPaul. -- /==/==- Jean-Paul BLANC / /--/--// quelque-part (somewhere) |/| L | en (in) /|| = ||| FRANCE
blanc
gilles wrote:
Et pourquoi ce serait à nous (Mac!) de le faire d'autant qu'avec Jabber il est possible de voir s'ils sont présents...
On peut faire du videochat avec Jabber ?... JPaul.
-- /==/==- Jean-Paul BLANC / /--/--// quelque-part (somewhere) |/| L | en (in) /|| = ||| FRANCE
gilles <gillesrobert@free.fr> wrote:
Et pourquoi ce serait à nous (Mac!) de le faire d'autant qu'avec Jabber
il est possible de voir s'ils sont présents...
On peut faire du videochat avec Jabber ?...
JPaul.
--
/==/==\- Jean-Paul BLANC
/ /--/--//\ quelque-part (somewhere)
|/| L |\ en (in)
/|| = |||\ FRANCE
Encore faudrait-il que tu aies un regard impartial et une vraie connaissance des choses.
Que penses-tu du tien ? Et de ta connaissance des choses ?
Or de ce que je te lis dénoncer depuis des années ici même t'es plus dans le registre du cliché de bistro qu'autre chose.
Vraiment ? C'est un argument, ou un irrespect ?
Avant d'avoir un regard sans consession sur les autres, commence par l'avoir sur tes méthodes.
Même remarque.
Le respect des autres c'est ça.
Tu me confortes dans ce que je crois à propos de toi et du respect.
-- F. Jacquemin
francois.jacquemin
FiLH wrote:
Mais quand je fait pareil au sujet du privé je me voit taxé de mauvaise foi et de manque de respect...
De mauvaise foi, c'est sans doute vrai, mais j'ai omis, ainsi que d'autres, de t'en taxer dans ce fil. Par contre, le manque de respect n'a rien à voir avec ce que tu dis du privé, mais avec ce que tu me dis, à moi, et ce que tu dis des gens, plutôt que des choses, dont tu laisses entendre pourtant que toi, tu en aurais la connaissance. -- F. Jacquemin
FiLH <filh@filh.orgie> wrote:
Mais quand je fait pareil au sujet du privé je me voit taxé de mauvaise
foi et de manque de respect...
De mauvaise foi, c'est sans doute vrai, mais j'ai omis, ainsi que
d'autres, de t'en taxer dans ce fil. Par contre, le manque de respect
n'a rien à voir avec ce que tu dis du privé, mais avec ce que tu me dis,
à moi, et ce que tu dis des gens, plutôt que des choses, dont tu laisses
entendre pourtant que toi, tu en aurais la connaissance.
--
F. Jacquemin
Mais quand je fait pareil au sujet du privé je me voit taxé de mauvaise foi et de manque de respect...
De mauvaise foi, c'est sans doute vrai, mais j'ai omis, ainsi que d'autres, de t'en taxer dans ce fil. Par contre, le manque de respect n'a rien à voir avec ce que tu dis du privé, mais avec ce que tu me dis, à moi, et ce que tu dis des gens, plutôt que des choses, dont tu laisses entendre pourtant que toi, tu en aurais la connaissance. -- F. Jacquemin
francois.jacquemin
Benoit Leraillez wrote:
Quand on parle de l'administration c'est... combien par enseignant ? Qui se disent de l'éducation nationale ? On part avec 1,3 millions de personnes et on a 0, 9 enseignants. Ce qui nous donne à peu près 1/3 d'administratifs sur le totale ou plus prosaiquement 1 administratif pour deux productif. Va faire ça dans une entreprise et dis-moi si tu arrives à survivre à la fin de ton exercice fiscal ;-)
Tout à fait vrai. Il n'y a aucune haine des fonctionnaires à constater un fait de cette nature. Dans les hôpitaux publics, il y a un administratif pour 1 soignant. Dans les cliniques privées, tu t'en doutes, beaucoup moins. C'est d'ailleurs là, tout le monde se plaît à le reconnaître, que se creuse le trop fameux « trou » de l'assurance maladie.
Il en va à l'avenant dans l'ensemble du secteur public géré par l'État, les fonctionnaires en souffrent au quotidien, le disent de toutes sortes de manières, y compris sous la forme de l'absentéisme, il suffit de regarder les chiffres. Mais, évidemment, ils redoutent, compte tenu de ce qu'ils savent de l'art de la réforme, celle qui viendrait mettre un terme à cette situation de moins en moins supportable. Ils se demandent lesquels seraient éliminés.
Alors, l'État prétend se réformer au fur et à mesure du non remplacement et des départs à le retraite ; malheureusement, il ne sait pas mettre en place une activité restructurée avec les effectifs conservés, finit par embaucher celui qui manque pour parfaire le fonctionnement à l'ancienne, mais comme contractuel, et l'on s'enfonce dans une spirale dont on comprend qu'il soit difficile de l'inverser. Elle devient kafkaïenne.
Mais je suppose que notre contradicteur va dire qu'il s'agit là d'une vision de café du commerce, enfin ce qu'il voudra. -- F. Jacquemin
Quand on parle de l'administration c'est... combien par enseignant ?
Qui se disent de l'éducation nationale ? On part avec 1,3 millions de
personnes et on a 0, 9 enseignants. Ce qui nous donne à peu près 1/3
d'administratifs sur le totale ou plus prosaiquement 1 administratif
pour deux productif. Va faire ça dans une entreprise et dis-moi si tu
arrives à survivre à la fin de ton exercice fiscal ;-)
Tout à fait vrai. Il n'y a aucune haine des fonctionnaires à constater
un fait de cette nature. Dans les hôpitaux publics, il y a un
administratif pour 1 soignant. Dans les cliniques privées, tu t'en
doutes, beaucoup moins. C'est d'ailleurs là, tout le monde se plaît à le
reconnaître, que se creuse le trop fameux « trou » de l'assurance
maladie.
Il en va à l'avenant dans l'ensemble du secteur public géré par l'État,
les fonctionnaires en souffrent au quotidien, le disent de toutes sortes
de manières, y compris sous la forme de l'absentéisme, il suffit de
regarder les chiffres. Mais, évidemment, ils redoutent, compte tenu de
ce qu'ils savent de l'art de la réforme, celle qui viendrait mettre un
terme à cette situation de moins en moins supportable. Ils se demandent
lesquels seraient éliminés.
Alors, l'État prétend se réformer au fur et à mesure du non remplacement
et des départs à le retraite ; malheureusement, il ne sait pas mettre en
place une activité restructurée avec les effectifs conservés, finit par
embaucher celui qui manque pour parfaire le fonctionnement à l'ancienne,
mais comme contractuel, et l'on s'enfonce dans une spirale dont on
comprend qu'il soit difficile de l'inverser. Elle devient kafkaïenne.
Mais je suppose que notre contradicteur va dire qu'il s'agit là d'une
vision de café du commerce, enfin ce qu'il voudra.
--
F. Jacquemin
Quand on parle de l'administration c'est... combien par enseignant ? Qui se disent de l'éducation nationale ? On part avec 1,3 millions de personnes et on a 0, 9 enseignants. Ce qui nous donne à peu près 1/3 d'administratifs sur le totale ou plus prosaiquement 1 administratif pour deux productif. Va faire ça dans une entreprise et dis-moi si tu arrives à survivre à la fin de ton exercice fiscal ;-)
Tout à fait vrai. Il n'y a aucune haine des fonctionnaires à constater un fait de cette nature. Dans les hôpitaux publics, il y a un administratif pour 1 soignant. Dans les cliniques privées, tu t'en doutes, beaucoup moins. C'est d'ailleurs là, tout le monde se plaît à le reconnaître, que se creuse le trop fameux « trou » de l'assurance maladie.
Il en va à l'avenant dans l'ensemble du secteur public géré par l'État, les fonctionnaires en souffrent au quotidien, le disent de toutes sortes de manières, y compris sous la forme de l'absentéisme, il suffit de regarder les chiffres. Mais, évidemment, ils redoutent, compte tenu de ce qu'ils savent de l'art de la réforme, celle qui viendrait mettre un terme à cette situation de moins en moins supportable. Ils se demandent lesquels seraient éliminés.
Alors, l'État prétend se réformer au fur et à mesure du non remplacement et des départs à le retraite ; malheureusement, il ne sait pas mettre en place une activité restructurée avec les effectifs conservés, finit par embaucher celui qui manque pour parfaire le fonctionnement à l'ancienne, mais comme contractuel, et l'on s'enfonce dans une spirale dont on comprend qu'il soit difficile de l'inverser. Elle devient kafkaïenne.
Mais je suppose que notre contradicteur va dire qu'il s'agit là d'une vision de café du commerce, enfin ce qu'il voudra. -- F. Jacquemin
francois.jacquemin
FiLH wrote:
En vrai français il y aurait un verbe dans la subordonnée.
pas utile. -- F. Jacquemin
FiLH <filh@filh.orgie> wrote:
En vrai français il y aurait un verbe dans la subordonnée.