Voilà un pano de rue fait à l'arrache :
http://cjoint.com/data/0Fvdqa11Mfz_CIMG6779a82_pano_Abbesses.JPG
J'aime quand il y a des morceaux de gens dedans.
Là pour une fois c'est des morceaux entiers.
Métro Abbesses, histoire d'essayer mon nouveau compact.
"Stephane Legras-Decussy" a écrit dans le message de groupe de discussion : 4e10c01f$0$31289$
Le 03/07/2011 19:34, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 28/06/11 15:35, Ghost-Rider a écrit :
Moi je me contente d'enlever les fils électriques et autres pétouilles. Pour le reste, je n'essaye pas, je risquerais de saccager mes photos.
Je me contente de photographier les fils électriques. Parfois les pylônes avec.
ouais un pylone electrique avec le mont blanc derrière.
mais c'est tout aussi chiant de gommer le mont blanc.
facile avec la " gomme Elephant " Elle te gomme un Tadj Mahal en trois coups de cuillère à pots.
-- Ricco
Alf92
"delestaque" a écrit
Ce qui nous permet de nous faire une idée du monde à cette époque maintenant, aujourd'hui, la Place des Abbesses, qui je le concède ne manque pas d'un certain charme , inventoriée par Alf en juin 2011 sera certainement versée à l'Inventaire des Monuments Historiques, je n'en doute pas.
j'ai jamais prétendu inventorier quoi que ce soi. tu te montes le bourrichon tout seul.
Il semble suffisant de photographier l'existant pour que ça nous produise une photo sur laquelle discuter des heures.
c'est toi qui discutailles des heures...
mais non, t'as pas compris, c'était de l'humour !
ha ok... c'est possible que je me trompe, je ne suis pas très assidu sur les newsgroup.
-- Alf92
"delestaque" <r.delestaque@free.fr.nospam> a écrit
Ce qui nous permet de nous faire une idée du monde à cette époque
maintenant, aujourd'hui, la Place des Abbesses, qui je le concède ne
manque pas d'un certain charme , inventoriée par Alf en juin 2011 sera
certainement versée à l'Inventaire des Monuments Historiques, je n'en
doute pas.
j'ai jamais prétendu inventorier quoi que ce soi.
tu te montes le bourrichon tout seul.
Il semble suffisant de photographier l'existant pour que ça nous
produise une photo sur laquelle discuter des heures.
c'est toi qui discutailles des heures...
mais non, t'as pas compris, c'était de l'humour !
ha ok...
c'est possible que je me trompe, je ne suis pas très assidu sur les
newsgroup.
Ce qui nous permet de nous faire une idée du monde à cette époque maintenant, aujourd'hui, la Place des Abbesses, qui je le concède ne manque pas d'un certain charme , inventoriée par Alf en juin 2011 sera certainement versée à l'Inventaire des Monuments Historiques, je n'en doute pas.
j'ai jamais prétendu inventorier quoi que ce soi. tu te montes le bourrichon tout seul.
Il semble suffisant de photographier l'existant pour que ça nous produise une photo sur laquelle discuter des heures.
c'est toi qui discutailles des heures...
mais non, t'as pas compris, c'était de l'humour !
ha ok... c'est possible que je me trompe, je ne suis pas très assidu sur les newsgroup.
-- Alf92
Alf92
"delestaque" a écrit
Je pense que cet impérissable document devrait être versé à " l'inventaire de la planète " au Musée Albert Kahn, un peu tardivement, certes, mais bon, personne n'a dit que la collection est terminée. Tu es tout près, demande le leur, il y a de plus une expo sur le voyage au Japon, et un film en relief pris sur place en 1906. je crois que tu es également un passionné de relief ? d'appareil, de logiciels, de relief, na nti de tout ces avantages tu devrais y arriver un jour, enfin, je te le souhaites, mais bon, des gens contents de leurs photos ici, il y en a pas mal.
j'ai visité à plusieurs reprises (dont une fois avec toi si j'ai bonne mémoire) les expos Albert Kahn (c'est à 200m de la maison). j'adore.
-- Alf92
"delestaque" <r.delestaque@free.fr.nospam> a écrit
Je pense que cet impérissable document devrait être versé à "
l'inventaire de la planète " au Musée Albert Kahn, un peu tardivement,
certes, mais bon, personne n'a dit que la collection est terminée.
Tu es tout près, demande le leur, il y a de plus une expo sur le voyage au
Japon, et un film en relief pris sur place en 1906.
je crois que tu es également un passionné de relief ?
d'appareil, de logiciels,
de relief,
na nti de tout ces avantages tu devrais y arriver un jour, enfin, je te
le souhaites, mais bon, des gens contents de leurs photos ici, il y en a
pas mal.
j'ai visité à plusieurs reprises (dont une fois avec toi si j'ai bonne
mémoire) les expos Albert Kahn (c'est à 200m de la maison).
j'adore.
Je pense que cet impérissable document devrait être versé à " l'inventaire de la planète " au Musée Albert Kahn, un peu tardivement, certes, mais bon, personne n'a dit que la collection est terminée. Tu es tout près, demande le leur, il y a de plus une expo sur le voyage au Japon, et un film en relief pris sur place en 1906. je crois que tu es également un passionné de relief ? d'appareil, de logiciels, de relief, na nti de tout ces avantages tu devrais y arriver un jour, enfin, je te le souhaites, mais bon, des gens contents de leurs photos ici, il y en a pas mal.
j'ai visité à plusieurs reprises (dont une fois avec toi si j'ai bonne mémoire) les expos Albert Kahn (c'est à 200m de la maison). j'adore.
-- Alf92
albert
Ricco a écrit :
" on sait que ce qui sera vu dans la photographie c'est l'objet, pas le photographe"
un peu comme en peinture, là, l'investissement personnel du peintre apparait ...ou pas,
On pourrait l'exprimer autrement, et de dire que la grande galipette intellectuelle pour le peintre de l'art contemporain, est de s"être rendu compte que le véritable sujet de la peinture est la peinture elle même.
A mon tour, sans prétention aucune ni saut périlleux (seulement conceptuel)(: en tant que photographe le véritable sujet de la photographie est le photographe lui même. Ce glissement de sens par rapport à la peinture ancre la photographie contemporaine dans la réalité, qu'elle n'a jamais quitté. C'est la réalité du point de vue unique de "l'oeil du Prince'.
Ne tiens pas compte de mes bavardages, seulement pour être en accord avec ta pensée et te rejoindre sur le thème de la banalité ou du "nivellement pas le bas" comme tu l'exprimes si bien, la banalité ne dépend que du photographe, et de plus en plus, effectivement le "Prince" a l'oeil crevé.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------
Ricco a écrit :
" on sait que ce qui sera vu dans la photographie c'est l'objet, pas le
photographe"
un peu comme en peinture, là, l'investissement personnel du peintre
apparait ...ou pas,
On pourrait l'exprimer autrement, et de dire que la grande galipette
intellectuelle pour le peintre de l'art contemporain, est de s"être rendu
compte que le véritable sujet de la peinture est la peinture elle même.
A mon tour, sans prétention aucune ni saut périlleux (seulement
conceptuel)(: en tant que photographe le véritable sujet de la photographie
est le photographe lui même. Ce glissement de sens par rapport à la peinture
ancre la photographie contemporaine dans la réalité, qu'elle n'a jamais
quitté. C'est la réalité du point de vue unique de "l'oeil du Prince'.
Ne tiens pas compte de mes bavardages, seulement pour être en accord
avec ta pensée et te rejoindre sur le thème de la banalité ou du
"nivellement pas le bas" comme tu l'exprimes si bien, la banalité ne dépend
que du photographe, et de plus en plus, effectivement le "Prince" a l'oeil
crevé.
Amitiés,
albert
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Photographies imaginaires
http://photo.imaginaire.free.fr
----------------------------------------------------------
" on sait que ce qui sera vu dans la photographie c'est l'objet, pas le photographe"
un peu comme en peinture, là, l'investissement personnel du peintre apparait ...ou pas,
On pourrait l'exprimer autrement, et de dire que la grande galipette intellectuelle pour le peintre de l'art contemporain, est de s"être rendu compte que le véritable sujet de la peinture est la peinture elle même.
A mon tour, sans prétention aucune ni saut périlleux (seulement conceptuel)(: en tant que photographe le véritable sujet de la photographie est le photographe lui même. Ce glissement de sens par rapport à la peinture ancre la photographie contemporaine dans la réalité, qu'elle n'a jamais quitté. C'est la réalité du point de vue unique de "l'oeil du Prince'.
Ne tiens pas compte de mes bavardages, seulement pour être en accord avec ta pensée et te rejoindre sur le thème de la banalité ou du "nivellement pas le bas" comme tu l'exprimes si bien, la banalité ne dépend que du photographe, et de plus en plus, effectivement le "Prince" a l'oeil crevé.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------
albert
"Octave" a écrit : , albert a écrit :
C'est ce qui fait toute la différence entre tes photographies et les miennes.
Le poétique ? www.octav.fr
Le poétique ?? Le rêve n'en a rien a faire de la poésie. Le rêve est toujours l'expression d'un désir sexuel. Tu n'as jamais appris ça ?
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------
"Octave" a écrit :
, albert a écrit :
C'est ce qui fait toute la différence entre tes photographies et les
miennes.
Le poétique ?
www.octav.fr
Le poétique ?? Le rêve n'en a rien a faire de la poésie. Le rêve est
toujours l'expression d'un désir sexuel. Tu n'as jamais appris ça ?
Amitiés,
albert
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Photographies imaginaires
http://photo.imaginaire.free.fr
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C'est ce qui fait toute la différence entre tes photographies et les miennes.
Le rêve est toujours l'expression d'un désir sexuel. Tu n'as jamais appris ça ?
Donc, d'après cela, on pourrait dire que ta photo sent le sexe, et que la mienne sent la terre ?!
-- www.octav.fr
Octave
Le 04/07/2011 07:12, albert a écrit :
Ricco a écrit :
" on sait que ce qui sera vu dans la photographie c'est l'objet, pas le photographe"
un peu comme en peinture, là, l'investissement personnel du peintre apparait ...ou pas,
On pourrait l'exprimer autrement, et de dire que la grande galipette intellectuelle pour le peintre de l'art contemporain, est de s"être rendu compte que le véritable sujet de la peinture est la peinture elle même.
En peinture aussi (et même en art contemporain), le véritable sujet est "l'artiste". En partant de Vélasquez et même des mains négatives dans les grottes.
Ne tiens pas compte de mes bavardages, seulement pour être en accord avec ta pensée et te rejoindre sur le thème de la banalité ou du "nivellement pas le bas" comme tu l'exprimes si bien, la banalité ne dépend que du photographe, et de plus en plus, effectivement le "Prince" a l'oeil crevé.
Que veux-tu dire par là: "le 'Prince' a l'oeil crevé" ? Si tu veux dire que "c'était mieux avant", je ne suis pas d'accord.
-- www.octav.fr
Le 04/07/2011 07:12, albert a écrit :
Ricco a écrit :
" on sait que ce qui sera vu dans la photographie c'est l'objet, pas
le photographe"
un peu comme en peinture, là, l'investissement personnel du peintre
apparait ...ou pas,
On pourrait l'exprimer autrement, et de dire que la grande galipette
intellectuelle pour le peintre de l'art contemporain, est de s"être
rendu compte que le véritable sujet de la peinture est la peinture elle
même.
En peinture aussi (et même en art contemporain), le véritable sujet est
"l'artiste". En partant de Vélasquez et même des mains négatives dans
les grottes.
Ne tiens pas compte de mes bavardages, seulement pour être en accord
avec ta pensée et te rejoindre sur le thème de la banalité ou du
"nivellement pas le bas" comme tu l'exprimes si bien, la banalité ne
dépend que du photographe, et de plus en plus, effectivement le "Prince"
a l'oeil crevé.
Que veux-tu dire par là: "le 'Prince' a l'oeil crevé" ?
Si tu veux dire que "c'était mieux avant", je ne suis pas d'accord.
" on sait que ce qui sera vu dans la photographie c'est l'objet, pas le photographe"
un peu comme en peinture, là, l'investissement personnel du peintre apparait ...ou pas,
On pourrait l'exprimer autrement, et de dire que la grande galipette intellectuelle pour le peintre de l'art contemporain, est de s"être rendu compte que le véritable sujet de la peinture est la peinture elle même.
En peinture aussi (et même en art contemporain), le véritable sujet est "l'artiste". En partant de Vélasquez et même des mains négatives dans les grottes.
Ne tiens pas compte de mes bavardages, seulement pour être en accord avec ta pensée et te rejoindre sur le thème de la banalité ou du "nivellement pas le bas" comme tu l'exprimes si bien, la banalité ne dépend que du photographe, et de plus en plus, effectivement le "Prince" a l'oeil crevé.
Que veux-tu dire par là: "le 'Prince' a l'oeil crevé" ? Si tu veux dire que "c'était mieux avant", je ne suis pas d'accord.
-- www.octav.fr
delestaque
"albert" a écrit dans le message de groupe de discussion : 4e114bcc$0$30778$
Ricco a écrit :
" on sait que ce qui sera vu dans la photographie c'est l'objet, pas le photographe"
un peu comme en peinture, là, l'investissement personnel du peintre apparait ...ou pas,
On pourrait l'exprimer autrement, et de dire que la grande galipette intellectuelle pour le peintre de l'art contemporain, est de s"être rendu compte que le véritable sujet de la peinture est la peinture elle même.
A mon tour, sans prétention aucune ni saut périlleux (seulement conceptuel)(: en tant que photographe le véritable sujet de la photographie est le photographe lui même. Ce glissement de sens par rapport à la peinture ancre la photographie contemporaine dans la réalité, qu'elle n'a jamais quitté. C'est la réalité du point de vue unique de "l'oeil du Prince'.
Ne tiens pas compte de mes bavardages, seulement pour être en accord avec ta pensée et te rejoindre sur le thème de la banalité ou du "nivellement pas le bas" comme tu l'exprimes si bien, la banalité ne dépend que du photographe, et de plus en plus, effectivement le "Prince" a l'oeil crevé.
Il se trouve que je tiens compte de tes bavardages, justement si. Je fais ce saut périlleux en ta compagnie. Saut risqué, en contradiction avec ce que je disais, " si une photo est ratée, ça ne veut pas dire que le photographe qui l'a faite est un raté " , mais non, en fait, je ne parle que du photographe et de ses photos, c'est certainement un photographe raté quelque part. mais il n'y a pas que ça dans la vie, ça n'implique pas plus que le constat, pas bon dans le domaine de la photo, pas plus, je me sens obligé d'insister lourdement, parce que je connais la suite, la hallali va sonner à mes oreilles, propos insultants, pourrissement du news, sombres attaques à la personne, Attaques dont ne s'est pas privé Denis Jeant à mon encontre, mais qui n'ont pas soulevé de protestations ? A+
-- Ricco
"albert" <albertlemoine.nospam@wanadoo.fr> a écrit dans le message de groupe de
discussion : 4e114bcc$0$30778$ba4acef3@reader.news.orange.fr...
Ricco a écrit :
" on sait que ce qui sera vu dans la photographie c'est l'objet, pas le
photographe"
un peu comme en peinture, là, l'investissement personnel du peintre apparait
...ou pas,
On pourrait l'exprimer autrement, et de dire que la grande galipette
intellectuelle pour le peintre de l'art contemporain, est de s"être rendu
compte que le véritable sujet de la peinture est la peinture elle même.
A mon tour, sans prétention aucune ni saut périlleux (seulement
conceptuel)(: en tant que photographe le véritable sujet de la photographie
est le photographe lui même. Ce glissement de sens par rapport à la peinture
ancre la photographie contemporaine dans la réalité, qu'elle n'a jamais
quitté. C'est la réalité du point de vue unique de "l'oeil du Prince'.
Ne tiens pas compte de mes bavardages, seulement pour être en accord avec
ta pensée et te rejoindre sur le thème de la banalité ou du "nivellement pas
le bas" comme tu l'exprimes si bien, la banalité ne dépend que du photographe,
et de plus en plus, effectivement le "Prince" a l'oeil crevé.
Il se trouve que je tiens compte de tes bavardages, justement si.
Je fais ce saut périlleux en ta compagnie.
Saut risqué, en contradiction avec ce que je disais, " si une photo est ratée,
ça ne veut pas dire que le photographe qui l'a faite est un raté " , mais non,
en fait, je ne parle que du photographe et de ses photos, c'est certainement un
photographe raté quelque part.
mais il n'y a pas que ça dans la vie, ça n'implique pas plus que le constat, pas
bon dans le domaine de la photo, pas plus, je me sens obligé d'insister
lourdement, parce que je connais la suite, la hallali va sonner à mes oreilles,
propos insultants, pourrissement du news, sombres attaques à la personne,
Attaques dont ne s'est pas privé Denis Jeant à mon encontre, mais qui n'ont pas
soulevé de protestations ?
A+
"albert" a écrit dans le message de groupe de discussion : 4e114bcc$0$30778$
Ricco a écrit :
" on sait que ce qui sera vu dans la photographie c'est l'objet, pas le photographe"
un peu comme en peinture, là, l'investissement personnel du peintre apparait ...ou pas,
On pourrait l'exprimer autrement, et de dire que la grande galipette intellectuelle pour le peintre de l'art contemporain, est de s"être rendu compte que le véritable sujet de la peinture est la peinture elle même.
A mon tour, sans prétention aucune ni saut périlleux (seulement conceptuel)(: en tant que photographe le véritable sujet de la photographie est le photographe lui même. Ce glissement de sens par rapport à la peinture ancre la photographie contemporaine dans la réalité, qu'elle n'a jamais quitté. C'est la réalité du point de vue unique de "l'oeil du Prince'.
Ne tiens pas compte de mes bavardages, seulement pour être en accord avec ta pensée et te rejoindre sur le thème de la banalité ou du "nivellement pas le bas" comme tu l'exprimes si bien, la banalité ne dépend que du photographe, et de plus en plus, effectivement le "Prince" a l'oeil crevé.
Il se trouve que je tiens compte de tes bavardages, justement si. Je fais ce saut périlleux en ta compagnie. Saut risqué, en contradiction avec ce que je disais, " si une photo est ratée, ça ne veut pas dire que le photographe qui l'a faite est un raté " , mais non, en fait, je ne parle que du photographe et de ses photos, c'est certainement un photographe raté quelque part. mais il n'y a pas que ça dans la vie, ça n'implique pas plus que le constat, pas bon dans le domaine de la photo, pas plus, je me sens obligé d'insister lourdement, parce que je connais la suite, la hallali va sonner à mes oreilles, propos insultants, pourrissement du news, sombres attaques à la personne, Attaques dont ne s'est pas privé Denis Jeant à mon encontre, mais qui n'ont pas soulevé de protestations ? A+
-- Ricco
delestaque
"Octave" a écrit dans le message de groupe de discussion : 4e11566c$0$1554$
Le 04/07/2011 07:21, albert a écrit :
"Octave" a écrit : , albert a écrit :
C'est ce qui fait toute la différence entre tes photographies et les miennes.
Le rêve est toujours l'expression d'un désir sexuel. Tu n'as jamais appris ça ?
Donc, d'après cela, on pourrait dire que ta photo sent le sexe, et que la mienne sent la terre ?!
-- www.octav.fr
certains disent aussi que le zob sens l'essence... je sors !
-- Ricco
"Octave" <octavpas-spam@octav.fr> a écrit dans le message de groupe de
discussion : 4e11566c$0$1554$426a74cc@news.free.fr...
Le 04/07/2011 07:21, albert a écrit :
"Octave" a écrit :
, albert a écrit :
C'est ce qui fait toute la différence entre tes photographies et les
miennes.
Le rêve est toujours l'expression d'un désir sexuel. Tu n'as jamais appris ça
?
Donc, d'après cela, on pourrait dire que ta photo sent le sexe, et que la
mienne sent la terre ?!
--
www.octav.fr
certains disent aussi que le zob sens l'essence...
je sors !
