Le jeudi 18 juin 2009, Patrice Karatchentzeff a écrit :
Quand bien même TeX serait parfait à la typo, il n'y aurait pas que
la typo à automatiser. Je n'ai jamais vu de gabarit réellement fixe.
Le maquettiste peut décider d'augmenter ou de diminuer la place
prise par la titraille ou les images pour équilibrer la page selon
le poids de noir. Il décide encore de l'emplacement des éventuelles
accroches, toujours sans modifier l'équilibre de la page. Il y a
beaucoup de paramètres à ajuster dans la mise en page selon
l'article à placer dans le gabarit. Ni TeX ni aucun autre programme
ne sait encore le faire automatiquement de manière décente, et c'est
bien pour ça que le métier de maquettiste ne consiste pas seulement
à concevoir la maquette mais aussi à l'«instancier». Même à ce
niveau assez technique, il s'agit d'être créatif, ce qu'un
algorithme ne sera jamais.
Le jeudi 18 juin 2009, Patrice Karatchentzeff a écrit :
Quand bien même TeX serait parfait à la typo, il n'y aurait pas que
la typo à automatiser. Je n'ai jamais vu de gabarit réellement fixe.
Le maquettiste peut décider d'augmenter ou de diminuer la place
prise par la titraille ou les images pour équilibrer la page selon
le poids de noir. Il décide encore de l'emplacement des éventuelles
accroches, toujours sans modifier l'équilibre de la page. Il y a
beaucoup de paramètres à ajuster dans la mise en page selon
l'article à placer dans le gabarit. Ni TeX ni aucun autre programme
ne sait encore le faire automatiquement de manière décente, et c'est
bien pour ça que le métier de maquettiste ne consiste pas seulement
à concevoir la maquette mais aussi à l'«instancier». Même à ce
niveau assez technique, il s'agit d'être créatif, ce qu'un
algorithme ne sera jamais.
Le jeudi 18 juin 2009, Patrice Karatchentzeff a écrit :
Quand bien même TeX serait parfait à la typo, il n'y aurait pas que
la typo à automatiser. Je n'ai jamais vu de gabarit réellement fixe.
Le maquettiste peut décider d'augmenter ou de diminuer la place
prise par la titraille ou les images pour équilibrer la page selon
le poids de noir. Il décide encore de l'emplacement des éventuelles
accroches, toujours sans modifier l'équilibre de la page. Il y a
beaucoup de paramètres à ajuster dans la mise en page selon
l'article à placer dans le gabarit. Ni TeX ni aucun autre programme
ne sait encore le faire automatiquement de manière décente, et c'est
bien pour ça que le métier de maquettiste ne consiste pas seulement
à concevoir la maquette mais aussi à l'«instancier». Même à ce
niveau assez technique, il s'agit d'être créatif, ce qu'un
algorithme ne sera jamais.
Je n'ai pas dit le contraire. Ceci dit, je suis allé voir ton canard
et je suis désolé mais AMHA, c'est plus proche du torchon illisible
que d'un journal... on n'a pas les mêmes références culturelles (je ne
parle que de la forme là !)
Pour n'importe quel journal - prenons même Linux Magazine si tu veux -
TeX s'en sortira aussi bien.
Je n'ai pas dit le contraire. Ceci dit, je suis allé voir ton canard
et je suis désolé mais AMHA, c'est plus proche du torchon illisible
que d'un journal... on n'a pas les mêmes références culturelles (je ne
parle que de la forme là !)
Pour n'importe quel journal - prenons même Linux Magazine si tu veux -
TeX s'en sortira aussi bien.
Je n'ai pas dit le contraire. Ceci dit, je suis allé voir ton canard
et je suis désolé mais AMHA, c'est plus proche du torchon illisible
que d'un journal... on n'a pas les mêmes références culturelles (je ne
parle que de la forme là !)
Pour n'importe quel journal - prenons même Linux Magazine si tu veux -
TeX s'en sortira aussi bien.
Le vendredi 19 juin 2009, Patrice Karatchentzeff a écrit :
Je m'y attendais à celle là. Je me doutais bien que soutenir TeX,
c'est évidemment ne pas prendre la créativité en compte. Je te
montre un magazine qui accorde de l'importance à la forme, prenant
le risque assumé de briser les règles (et seulement sur une minorité
de pages),
Pour n'importe quel journal - prenons même Linux Magazine si tu
veux - TeX s'en sortira aussi bien.
Alors prenons Linux Magazine. De la version de prévisualisation que
je consulte sur le site, la mise en page est techniquement mauvaise
sur plusieurs points.
Mais pour en revenir à TeX : comment penses-tu que le maquettiste de
Linux Magazine choisirait l'emplacement des boîtes flottantes (par
exemple les captures d'écran) ? Comment choisit-il la largeur de ces
boîtes qui parfois empiètent sur la colonne de texte voisine ?
Est-ce qu'il est tellement balèze qu'il trouve du premier coup tous
ces paramètres pour qu'un article tienne pile-poil dans les deux
pages qui lui sont imparties et que, du coup, tout marche si
facilement qu'il ne compile le document qu'une seule fois dans la
chaîne de production, juste avant le bouclage et l'envoi à
l'impression ?
Le vendredi 19 juin 2009, Patrice Karatchentzeff a écrit :
Je m'y attendais à celle là. Je me doutais bien que soutenir TeX,
c'est évidemment ne pas prendre la créativité en compte. Je te
montre un magazine qui accorde de l'importance à la forme, prenant
le risque assumé de briser les règles (et seulement sur une minorité
de pages),
Pour n'importe quel journal - prenons même Linux Magazine si tu
veux - TeX s'en sortira aussi bien.
Alors prenons Linux Magazine. De la version de prévisualisation que
je consulte sur le site, la mise en page est techniquement mauvaise
sur plusieurs points.
Mais pour en revenir à TeX : comment penses-tu que le maquettiste de
Linux Magazine choisirait l'emplacement des boîtes flottantes (par
exemple les captures d'écran) ? Comment choisit-il la largeur de ces
boîtes qui parfois empiètent sur la colonne de texte voisine ?
Est-ce qu'il est tellement balèze qu'il trouve du premier coup tous
ces paramètres pour qu'un article tienne pile-poil dans les deux
pages qui lui sont imparties et que, du coup, tout marche si
facilement qu'il ne compile le document qu'une seule fois dans la
chaîne de production, juste avant le bouclage et l'envoi à
l'impression ?
Le vendredi 19 juin 2009, Patrice Karatchentzeff a écrit :
Je m'y attendais à celle là. Je me doutais bien que soutenir TeX,
c'est évidemment ne pas prendre la créativité en compte. Je te
montre un magazine qui accorde de l'importance à la forme, prenant
le risque assumé de briser les règles (et seulement sur une minorité
de pages),
Pour n'importe quel journal - prenons même Linux Magazine si tu
veux - TeX s'en sortira aussi bien.
Alors prenons Linux Magazine. De la version de prévisualisation que
je consulte sur le site, la mise en page est techniquement mauvaise
sur plusieurs points.
Mais pour en revenir à TeX : comment penses-tu que le maquettiste de
Linux Magazine choisirait l'emplacement des boîtes flottantes (par
exemple les captures d'écran) ? Comment choisit-il la largeur de ces
boîtes qui parfois empiètent sur la colonne de texte voisine ?
Est-ce qu'il est tellement balèze qu'il trouve du premier coup tous
ces paramètres pour qu'un article tienne pile-poil dans les deux
pages qui lui sont imparties et que, du coup, tout marche si
facilement qu'il ne compile le document qu'une seule fois dans la
chaîne de production, juste avant le bouclage et l'envoi à
l'impression ?
désolé mais si la créativité se fait au détriment de la lisibilité, je
ne vois pas trop l'intérêt.
C'est le rôle du maquettiste, à partir d'un modèle prédéfini, de faire
entrer le tout correctement.
TeX n'enlève pas tout le boulot : il le facilite : c'est tout.
désolé mais si la créativité se fait au détriment de la lisibilité, je
ne vois pas trop l'intérêt.
C'est le rôle du maquettiste, à partir d'un modèle prédéfini, de faire
entrer le tout correctement.
TeX n'enlève pas tout le boulot : il le facilite : c'est tout.
désolé mais si la créativité se fait au détriment de la lisibilité, je
ne vois pas trop l'intérêt.
C'est le rôle du maquettiste, à partir d'un modèle prédéfini, de faire
entrer le tout correctement.
TeX n'enlève pas tout le boulot : il le facilite : c'est tout.
Le vendredi 19 juin 2009, Patrice Karatchentzeff a écrit :
Les règles de bon sens de la mise en page sont faites pour être
dépassées si on le fait en toute conscience et intelligemment.
Le travail que font les gens du Tigre est, au moins sur ce point,
remarquable.
Sachant qu'importer du texte dans un modèle scribus est aussi simple
que de changer le nom de fichier dans une macro TeX, quel est
l'avantage de TeX, mis à part le geste ?
Le vendredi 19 juin 2009, Patrice Karatchentzeff a écrit :
Les règles de bon sens de la mise en page sont faites pour être
dépassées si on le fait en toute conscience et intelligemment.
Le travail que font les gens du Tigre est, au moins sur ce point,
remarquable.
Sachant qu'importer du texte dans un modèle scribus est aussi simple
que de changer le nom de fichier dans une macro TeX, quel est
l'avantage de TeX, mis à part le geste ?
Le vendredi 19 juin 2009, Patrice Karatchentzeff a écrit :
Les règles de bon sens de la mise en page sont faites pour être
dépassées si on le fait en toute conscience et intelligemment.
Le travail que font les gens du Tigre est, au moins sur ce point,
remarquable.
Sachant qu'importer du texte dans un modèle scribus est aussi simple
que de changer le nom de fichier dans une macro TeX, quel est
l'avantage de TeX, mis à part le geste ?
Navré mais je ne suis pas d'accord... s'il y a des règles qui ont été
mises au point minutieusement pendant des *dizaines* d'années, c'est
que justement elles sont l'aboutissement d'un parfait équilibre entre
présentation et lisibilité.
Je suis très nul en Scribus... la dernière fois que j'ai essayé de
mettre du texte en forme dedans, il fallait tout se pogner et refaire
ce que fait TeX : du coup, l'intérêt du truc m'avait échappé.
Mais je te crois sur parole et si tu as un tuto un peu court de
présentation bien fait de cet outil dans ce cas, ça m'intéresse.
Navré mais je ne suis pas d'accord... s'il y a des règles qui ont été
mises au point minutieusement pendant des *dizaines* d'années, c'est
que justement elles sont l'aboutissement d'un parfait équilibre entre
présentation et lisibilité.
Je suis très nul en Scribus... la dernière fois que j'ai essayé de
mettre du texte en forme dedans, il fallait tout se pogner et refaire
ce que fait TeX : du coup, l'intérêt du truc m'avait échappé.
Mais je te crois sur parole et si tu as un tuto un peu court de
présentation bien fait de cet outil dans ce cas, ça m'intéresse.
Navré mais je ne suis pas d'accord... s'il y a des règles qui ont été
mises au point minutieusement pendant des *dizaines* d'années, c'est
que justement elles sont l'aboutissement d'un parfait équilibre entre
présentation et lisibilité.
Je suis très nul en Scribus... la dernière fois que j'ai essayé de
mettre du texte en forme dedans, il fallait tout se pogner et refaire
ce que fait TeX : du coup, l'intérêt du truc m'avait échappé.
Mais je te crois sur parole et si tu as un tuto un peu court de
présentation bien fait de cet outil dans ce cas, ça m'intéresse.
Le vendredi 19 juin 2009, Patrice Karatchentzeff a écrit :
Non, je n'ai pas de tuto. Le concept, c'est juste qu'il y a des
boîtes flottantes et que tu mets du contenu dedans. Il y a un tas de
fonctions pratiques pour placer/aligner les boîtes comme tu veux. À
l'intérieur des boîtes, la mise en forme du texte marche par style.
On peut importer un document OpenOffice (avec sa structure
sémantique) ou même des bouts
de LaTeX si tu as quelques formules.
Le seul problème de Scribus, c'est que tu as le choix entre la
version stable qui est vieille et pas si stable que ça, et la
version de développement qui possède plus de fonctions mais il faut
prier pour que les fonctions que tu utilises ne soient pas
plantogènes.
Malgré tous les bugs de Scribus, je n'aurais jamais imaginé pouvoir
faire mes premiers pas de maquettiste avec TeX, pour un tas de
raisons pratiques. Par exemple, je fais la mise en page d'un truc
d'étudiants qui s'appelle le Boson Libre
http://perso.orange.fr/kdntl/BL2.pdf (attention, gros fichier
rasterisé à 150dpi parce que le fichier vectoriel est encore plus
gros). Pourtant, la mise en page est basique et suit (essaye de
suivre) les règles d'usage. On voit dans ce fichier que le moteur de
césure est moins bon que celui de TeX. (En fait, j'ai un peu cherché
les problèmes : les colonnes sont étroites alors que la police
utilisée est large ; je ne suis pas sûr que TeX aurait fait mieux.)
Le vendredi 19 juin 2009, Patrice Karatchentzeff a écrit :
Non, je n'ai pas de tuto. Le concept, c'est juste qu'il y a des
boîtes flottantes et que tu mets du contenu dedans. Il y a un tas de
fonctions pratiques pour placer/aligner les boîtes comme tu veux. À
l'intérieur des boîtes, la mise en forme du texte marche par style.
On peut importer un document OpenOffice (avec sa structure
sémantique) ou même des bouts
de LaTeX si tu as quelques formules.
Le seul problème de Scribus, c'est que tu as le choix entre la
version stable qui est vieille et pas si stable que ça, et la
version de développement qui possède plus de fonctions mais il faut
prier pour que les fonctions que tu utilises ne soient pas
plantogènes.
Malgré tous les bugs de Scribus, je n'aurais jamais imaginé pouvoir
faire mes premiers pas de maquettiste avec TeX, pour un tas de
raisons pratiques. Par exemple, je fais la mise en page d'un truc
d'étudiants qui s'appelle le Boson Libre
http://perso.orange.fr/kdntl/BL2.pdf (attention, gros fichier
rasterisé à 150dpi parce que le fichier vectoriel est encore plus
gros). Pourtant, la mise en page est basique et suit (essaye de
suivre) les règles d'usage. On voit dans ce fichier que le moteur de
césure est moins bon que celui de TeX. (En fait, j'ai un peu cherché
les problèmes : les colonnes sont étroites alors que la police
utilisée est large ; je ne suis pas sûr que TeX aurait fait mieux.)
Le vendredi 19 juin 2009, Patrice Karatchentzeff a écrit :
Non, je n'ai pas de tuto. Le concept, c'est juste qu'il y a des
boîtes flottantes et que tu mets du contenu dedans. Il y a un tas de
fonctions pratiques pour placer/aligner les boîtes comme tu veux. À
l'intérieur des boîtes, la mise en forme du texte marche par style.
On peut importer un document OpenOffice (avec sa structure
sémantique) ou même des bouts
de LaTeX si tu as quelques formules.
Le seul problème de Scribus, c'est que tu as le choix entre la
version stable qui est vieille et pas si stable que ça, et la
version de développement qui possède plus de fonctions mais il faut
prier pour que les fonctions que tu utilises ne soient pas
plantogènes.
Malgré tous les bugs de Scribus, je n'aurais jamais imaginé pouvoir
faire mes premiers pas de maquettiste avec TeX, pour un tas de
raisons pratiques. Par exemple, je fais la mise en page d'un truc
d'étudiants qui s'appelle le Boson Libre
http://perso.orange.fr/kdntl/BL2.pdf (attention, gros fichier
rasterisé à 150dpi parce que le fichier vectoriel est encore plus
gros). Pourtant, la mise en page est basique et suit (essaye de
suivre) les règles d'usage. On voit dans ce fichier que le moteur de
césure est moins bon que celui de TeX. (En fait, j'ai un peu cherché
les problèmes : les colonnes sont étroites alors que la police
utilisée est large ; je ne suis pas sûr que TeX aurait fait mieux.)
Mais honnêtement, à la louche, je ne vois rien dans ton document qui
ne soit faisable en TeX relativement facilement (le relativement est
relatif à ton niveau actuel : il faut être un plain TeXnicien).
Mais honnêtement, à la louche, je ne vois rien dans ton document qui
ne soit faisable en TeX relativement facilement (le relativement est
relatif à ton niveau actuel : il faut être un plain TeXnicien).
Mais honnêtement, à la louche, je ne vois rien dans ton document qui
ne soit faisable en TeX relativement facilement (le relativement est
relatif à ton niveau actuel : il faut être un plain TeXnicien).
Patrice Karatchentzeff écrivait :Mais honnêtement, à la louche, je ne vois rien dans ton document qui
ne soit faisable en TeX relativement facilement (le relativement est
relatif à ton niveau actuel : il faut être un plain TeXnicien).
À propos de Tex : je n'en suis qu'un utilisateur relativement béotien :
jusqu'à présent, j'utilisais Kile pour éditer les quelques documents
dont j'avais besoin. Or ce matin, j'ai installé Lyx, pour voir.
À première vue, il ressemble au traitement de texte parfait, que je
pourrais recommander même à des non initiés. Les puristes de TeX ont-ils
quelque chose à lui reprocher ?
Patrice Karatchentzeff écrivait :
Mais honnêtement, à la louche, je ne vois rien dans ton document qui
ne soit faisable en TeX relativement facilement (le relativement est
relatif à ton niveau actuel : il faut être un plain TeXnicien).
À propos de Tex : je n'en suis qu'un utilisateur relativement béotien :
jusqu'à présent, j'utilisais Kile pour éditer les quelques documents
dont j'avais besoin. Or ce matin, j'ai installé Lyx, pour voir.
À première vue, il ressemble au traitement de texte parfait, que je
pourrais recommander même à des non initiés. Les puristes de TeX ont-ils
quelque chose à lui reprocher ?
Patrice Karatchentzeff écrivait :Mais honnêtement, à la louche, je ne vois rien dans ton document qui
ne soit faisable en TeX relativement facilement (le relativement est
relatif à ton niveau actuel : il faut être un plain TeXnicien).
À propos de Tex : je n'en suis qu'un utilisateur relativement béotien :
jusqu'à présent, j'utilisais Kile pour éditer les quelques documents
dont j'avais besoin. Or ce matin, j'ai installé Lyx, pour voir.
À première vue, il ressemble au traitement de texte parfait, que je
pourrais recommander même à des non initiés. Les puristes de TeX ont-ils
quelque chose à lui reprocher ?
À première vue, il ressemble au traitement de texte parfait, que je
pourrais recommander même à des non initiés. Les puristes de TeX
ont-ils quelque chose à lui reprocher ?
À première vue, il ressemble au traitement de texte parfait, que je
pourrais recommander même à des non initiés. Les puristes de TeX
ont-ils quelque chose à lui reprocher ?
À première vue, il ressemble au traitement de texte parfait, que je
pourrais recommander même à des non initiés. Les puristes de TeX
ont-ils quelque chose à lui reprocher ?