remy ;> wrote:complètement d'accord l'apparence richesse que tu décris vient la
plupart du temps des retraités qui arrivent tout droit de la fonction
publique
N'importe quoi, c'est pas les retraîtés de la fonction publique qui ont
des bateaux à l'appontement, c'est toute la gentry locale, médecins,
notaires, patrons de PME de tout poil.
remy <remy@fctpas.fr;> wrote:
complètement d'accord l'apparence richesse que tu décris vient la
plupart du temps des retraités qui arrivent tout droit de la fonction
publique
N'importe quoi, c'est pas les retraîtés de la fonction publique qui ont
des bateaux à l'appontement, c'est toute la gentry locale, médecins,
notaires, patrons de PME de tout poil.
remy ;> wrote:complètement d'accord l'apparence richesse que tu décris vient la
plupart du temps des retraités qui arrivent tout droit de la fonction
publique
N'importe quoi, c'est pas les retraîtés de la fonction publique qui ont
des bateaux à l'appontement, c'est toute la gentry locale, médecins,
notaires, patrons de PME de tout poil.
> Mouais...
> Comme si en France les thésards n'étaient pas tenu par les couilles par les
> patrons de labos, auxquels ils doivent faire allégeance pour espére r avoir
> un poste par la suite.
Mais c'est quoi faire allégeance en l'occurrence ??? de quoi tu parles
???
> Celui qui ne connait pas les bonnes personnes n'a aucune chance.
> S'ensuit une consanguinité intellectuelle redoutable dans les labos,
Je ne connais pas la notion de "consanguinité intellectuelle" et je la
suspecte d'être vaseuse.
> avec des gens qui manquent totalement d'ouverture d'esprit parce qu'il
> ont passé leur temps à s'accrocher comme des moules à un endroit pour
> espérer y faire leur trou un jour, au lieu d'aller prendre l'air
> ailleurs.
C'est faux, la sédentarité est pratiquement rédibhitoire aujourd'hu i. Tu
ne connais rien de rien à la question.
> Il y a des exceptions bien sûr, mais la tendance générale c'est
> celle-là.
> Alors le système US n'est sans doute pas parfait du tout, mais je ne
> crois pas qu'en France on ait des leçons à leur donner sur ce sujet .
voilà : tu ne connais rien de rien à la question, ça ne t'empêche pas de
décréter "la tendance générale", et donc de dire que, puisqu'on e st en
dessous de tout, il faut rien dire du risque de prendre le système
américain comme modèle. Tu es la voie de ton maître, un haut parleu r qui
débite de l'imbécilité, l'absence de tout esprit critique, la haine
aigrie
> Mouais...
> Comme si en France les thésards n'étaient pas tenu par les couilles par les
> patrons de labos, auxquels ils doivent faire allégeance pour espére r avoir
> un poste par la suite.
Mais c'est quoi faire allégeance en l'occurrence ??? de quoi tu parles
???
> Celui qui ne connait pas les bonnes personnes n'a aucune chance.
> S'ensuit une consanguinité intellectuelle redoutable dans les labos,
Je ne connais pas la notion de "consanguinité intellectuelle" et je la
suspecte d'être vaseuse.
> avec des gens qui manquent totalement d'ouverture d'esprit parce qu'il
> ont passé leur temps à s'accrocher comme des moules à un endroit pour
> espérer y faire leur trou un jour, au lieu d'aller prendre l'air
> ailleurs.
C'est faux, la sédentarité est pratiquement rédibhitoire aujourd'hu i. Tu
ne connais rien de rien à la question.
> Il y a des exceptions bien sûr, mais la tendance générale c'est
> celle-là.
> Alors le système US n'est sans doute pas parfait du tout, mais je ne
> crois pas qu'en France on ait des leçons à leur donner sur ce sujet .
voilà : tu ne connais rien de rien à la question, ça ne t'empêche pas de
décréter "la tendance générale", et donc de dire que, puisqu'on e st en
dessous de tout, il faut rien dire du risque de prendre le système
américain comme modèle. Tu es la voie de ton maître, un haut parleu r qui
débite de l'imbécilité, l'absence de tout esprit critique, la haine
aigrie
> Mouais...
> Comme si en France les thésards n'étaient pas tenu par les couilles par les
> patrons de labos, auxquels ils doivent faire allégeance pour espére r avoir
> un poste par la suite.
Mais c'est quoi faire allégeance en l'occurrence ??? de quoi tu parles
???
> Celui qui ne connait pas les bonnes personnes n'a aucune chance.
> S'ensuit une consanguinité intellectuelle redoutable dans les labos,
Je ne connais pas la notion de "consanguinité intellectuelle" et je la
suspecte d'être vaseuse.
> avec des gens qui manquent totalement d'ouverture d'esprit parce qu'il
> ont passé leur temps à s'accrocher comme des moules à un endroit pour
> espérer y faire leur trou un jour, au lieu d'aller prendre l'air
> ailleurs.
C'est faux, la sédentarité est pratiquement rédibhitoire aujourd'hu i. Tu
ne connais rien de rien à la question.
> Il y a des exceptions bien sûr, mais la tendance générale c'est
> celle-là.
> Alors le système US n'est sans doute pas parfait du tout, mais je ne
> crois pas qu'en France on ait des leçons à leur donner sur ce sujet .
voilà : tu ne connais rien de rien à la question, ça ne t'empêche pas de
décréter "la tendance générale", et donc de dire que, puisqu'on e st en
dessous de tout, il faut rien dire du risque de prendre le système
américain comme modèle. Tu es la voie de ton maître, un haut parleu r qui
débite de l'imbécilité, l'absence de tout esprit critique, la haine
aigrie
pehache-tolai wrote:
> Comme si en France les postes en labo s'obtenaient autrement que par
> copinage. Celui qui ne connait pas les bonnes personnes n'a aucune chan ce.
> S'ensuit une consanguinité intellectuelle redoutable dans les labos, avec
> des gens qui manquent totalement d'ouverture d'esprit parce qu'il ont p assé
> leur temps à s'accrocher comme des moules à un endroit pour espér er y faire
> leur trou un jour, au lieu d'aller prendre l'air ailleurs. Partir faire un
> post-doc à l'étranger par exemple c'est prendre le risque de ne pas trouver
> de poste en revenant parce que tous ceux qui sont restés bien au chau d sur
> place vont passer devant.
J'ai l'impression que tu es, toi aussi complètement désinformé. Dan s ma
discipline, et je sais que c'est pareil en maths, il est de fait
impossible d'être recruté dans son université, et impossible d'êt re
recruté sans avoir fait au moins un et souvent plusieurs post-docs.
J'ai
fait partie de commissions de spécialistes à Montpellier, il n'y a
jamais eu de recrutement local, et on a toujours pris le candidat qui
nous paraissait le meilleur - évidemment dans la limite des candidats
qui s'étaient présentés, parce que le vrai problème c'est que les gens
de valeur se présentent de moins en moins en France. Au CNRS l'an
dernier il y a eu tellement de recrutement local que tous les entrants
sauf un étaient de nationalité étrangère (je parle de physique
théorique).
pehache-tolai <pehach...@gmail.com> wrote:
> Comme si en France les postes en labo s'obtenaient autrement que par
> copinage. Celui qui ne connait pas les bonnes personnes n'a aucune chan ce.
> S'ensuit une consanguinité intellectuelle redoutable dans les labos, avec
> des gens qui manquent totalement d'ouverture d'esprit parce qu'il ont p assé
> leur temps à s'accrocher comme des moules à un endroit pour espér er y faire
> leur trou un jour, au lieu d'aller prendre l'air ailleurs. Partir faire un
> post-doc à l'étranger par exemple c'est prendre le risque de ne pas trouver
> de poste en revenant parce que tous ceux qui sont restés bien au chau d sur
> place vont passer devant.
J'ai l'impression que tu es, toi aussi complètement désinformé. Dan s ma
discipline, et je sais que c'est pareil en maths, il est de fait
impossible d'être recruté dans son université, et impossible d'êt re
recruté sans avoir fait au moins un et souvent plusieurs post-docs.
J'ai
fait partie de commissions de spécialistes à Montpellier, il n'y a
jamais eu de recrutement local, et on a toujours pris le candidat qui
nous paraissait le meilleur - évidemment dans la limite des candidats
qui s'étaient présentés, parce que le vrai problème c'est que les gens
de valeur se présentent de moins en moins en France. Au CNRS l'an
dernier il y a eu tellement de recrutement local que tous les entrants
sauf un étaient de nationalité étrangère (je parle de physique
théorique).
pehache-tolai wrote:
> Comme si en France les postes en labo s'obtenaient autrement que par
> copinage. Celui qui ne connait pas les bonnes personnes n'a aucune chan ce.
> S'ensuit une consanguinité intellectuelle redoutable dans les labos, avec
> des gens qui manquent totalement d'ouverture d'esprit parce qu'il ont p assé
> leur temps à s'accrocher comme des moules à un endroit pour espér er y faire
> leur trou un jour, au lieu d'aller prendre l'air ailleurs. Partir faire un
> post-doc à l'étranger par exemple c'est prendre le risque de ne pas trouver
> de poste en revenant parce que tous ceux qui sont restés bien au chau d sur
> place vont passer devant.
J'ai l'impression que tu es, toi aussi complètement désinformé. Dan s ma
discipline, et je sais que c'est pareil en maths, il est de fait
impossible d'être recruté dans son université, et impossible d'êt re
recruté sans avoir fait au moins un et souvent plusieurs post-docs.
J'ai
fait partie de commissions de spécialistes à Montpellier, il n'y a
jamais eu de recrutement local, et on a toujours pris le candidat qui
nous paraissait le meilleur - évidemment dans la limite des candidats
qui s'étaient présentés, parce que le vrai problème c'est que les gens
de valeur se présentent de moins en moins en France. Au CNRS l'an
dernier il y a eu tellement de recrutement local que tous les entrants
sauf un étaient de nationalité étrangère (je parle de physique
théorique).
Le 26-01-2009, JKB a écrit :Le 26-01-2009, ? propos de
Re: W7: réponse à une andouille,
Doug713705 ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :J'ai passé plusieurs années dans des labos universitaires en tant que
chercheur (j'ai écrit quelques publications par-ci par-là pour ceux
qui veulent vérifier). J'étais même au conseil d'administration de
l'établissement en question (et je ne parlerai pas de ses finances ici
même s'il y aurait beaucoup à dire !). J'ai quitté l'université en
2002 non pour des histoires de salaire, mais parce qu'on ne pouvait
strictement rien y faire, que tout était sclérosé par un syndicalisme
foireux, et que tout était fait pour avantager les profs au détriment
de la qualité de l'enseignement dispensé. J'en ai aussi au marre
d'encadrer des étudiants qui bossaient au milieu de profs qui
passaient deux heures par semaine dans un labo à bosser sur un truc
qu'ils vendaient par ailleurs (donc pas sur leur projets de
recherche). J'en ai aussi eu marre de co-signer des papiers pour la
HDR du collègue. J'en ai aussi eu marre d'essayer de me battre pour
que les thésards et les étudiants ingénieurs passent à la cantine de
l'établissement en catégorie 1 parce qu'ils passaient en cat5, donc à
32,50 FF (à l'époque), ce qui était plus cher que ce que je payait
moi-même (alors qu'ils n'étaient pas salariés). J'en ai eu marre aussi
de pouvoir (et de devoir sous peine de ne plus avoir de crédit)
changer l'informatique du labo _tous_ les ans, alors que je ne pouvais
pas payer les stagiaires. J'en ai eu marre aussi de bosser au labo
entre 9h00 et 23h00 (oui, il y avait des cours du soir) en semaine et
de 9h00 à 13h00 le samedi alors que la grande majorité des collègues
n'en foutaient pas une. J'en ai eu marre de devoir me battre pour
acheter un PC de calcul ou une station alpha parce que le contrat
machin était exclusif avec Dell. Bref, j'en avais tellement marre que
j'ai démissionné en cours d'année. Je suis toujours en contact avec ce
labo et en dix ans, ça n'a pas changé.
Pourrait-on connaître le nom de cet enfer, afin de pouvoir l'éviter ? Et
avec quel statut tu y étais exactement ?
Le 26-01-2009, JKB <knatschke@koenigsberg.fr> a écrit :
Le 26-01-2009, ? propos de
Re: W7: réponse à une andouille,
Doug713705 ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
J'ai passé plusieurs années dans des labos universitaires en tant que
chercheur (j'ai écrit quelques publications par-ci par-là pour ceux
qui veulent vérifier). J'étais même au conseil d'administration de
l'établissement en question (et je ne parlerai pas de ses finances ici
même s'il y aurait beaucoup à dire !). J'ai quitté l'université en
2002 non pour des histoires de salaire, mais parce qu'on ne pouvait
strictement rien y faire, que tout était sclérosé par un syndicalisme
foireux, et que tout était fait pour avantager les profs au détriment
de la qualité de l'enseignement dispensé. J'en ai aussi au marre
d'encadrer des étudiants qui bossaient au milieu de profs qui
passaient deux heures par semaine dans un labo à bosser sur un truc
qu'ils vendaient par ailleurs (donc pas sur leur projets de
recherche). J'en ai aussi eu marre de co-signer des papiers pour la
HDR du collègue. J'en ai aussi eu marre d'essayer de me battre pour
que les thésards et les étudiants ingénieurs passent à la cantine de
l'établissement en catégorie 1 parce qu'ils passaient en cat5, donc à
32,50 FF (à l'époque), ce qui était plus cher que ce que je payait
moi-même (alors qu'ils n'étaient pas salariés). J'en ai eu marre aussi
de pouvoir (et de devoir sous peine de ne plus avoir de crédit)
changer l'informatique du labo _tous_ les ans, alors que je ne pouvais
pas payer les stagiaires. J'en ai eu marre aussi de bosser au labo
entre 9h00 et 23h00 (oui, il y avait des cours du soir) en semaine et
de 9h00 à 13h00 le samedi alors que la grande majorité des collègues
n'en foutaient pas une. J'en ai eu marre de devoir me battre pour
acheter un PC de calcul ou une station alpha parce que le contrat
machin était exclusif avec Dell. Bref, j'en avais tellement marre que
j'ai démissionné en cours d'année. Je suis toujours en contact avec ce
labo et en dix ans, ça n'a pas changé.
Pourrait-on connaître le nom de cet enfer, afin de pouvoir l'éviter ? Et
avec quel statut tu y étais exactement ?
Le 26-01-2009, JKB a écrit :Le 26-01-2009, ? propos de
Re: W7: réponse à une andouille,
Doug713705 ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :J'ai passé plusieurs années dans des labos universitaires en tant que
chercheur (j'ai écrit quelques publications par-ci par-là pour ceux
qui veulent vérifier). J'étais même au conseil d'administration de
l'établissement en question (et je ne parlerai pas de ses finances ici
même s'il y aurait beaucoup à dire !). J'ai quitté l'université en
2002 non pour des histoires de salaire, mais parce qu'on ne pouvait
strictement rien y faire, que tout était sclérosé par un syndicalisme
foireux, et que tout était fait pour avantager les profs au détriment
de la qualité de l'enseignement dispensé. J'en ai aussi au marre
d'encadrer des étudiants qui bossaient au milieu de profs qui
passaient deux heures par semaine dans un labo à bosser sur un truc
qu'ils vendaient par ailleurs (donc pas sur leur projets de
recherche). J'en ai aussi eu marre de co-signer des papiers pour la
HDR du collègue. J'en ai aussi eu marre d'essayer de me battre pour
que les thésards et les étudiants ingénieurs passent à la cantine de
l'établissement en catégorie 1 parce qu'ils passaient en cat5, donc à
32,50 FF (à l'époque), ce qui était plus cher que ce que je payait
moi-même (alors qu'ils n'étaient pas salariés). J'en ai eu marre aussi
de pouvoir (et de devoir sous peine de ne plus avoir de crédit)
changer l'informatique du labo _tous_ les ans, alors que je ne pouvais
pas payer les stagiaires. J'en ai eu marre aussi de bosser au labo
entre 9h00 et 23h00 (oui, il y avait des cours du soir) en semaine et
de 9h00 à 13h00 le samedi alors que la grande majorité des collègues
n'en foutaient pas une. J'en ai eu marre de devoir me battre pour
acheter un PC de calcul ou une station alpha parce que le contrat
machin était exclusif avec Dell. Bref, j'en avais tellement marre que
j'ai démissionné en cours d'année. Je suis toujours en contact avec ce
labo et en dix ans, ça n'a pas changé.
Pourrait-on connaître le nom de cet enfer, afin de pouvoir l'éviter ? Et
avec quel statut tu y étais exactement ?
pehache-tolai a écrit :
> Tu auras du mal à faire tourner ça sans électricité. Et il suff it
> d'ajouter un condensateur dans le boîtier pour sécuriser l'alimenta tion
> électrique du système pendant les quelques 1/10 de secondes néces ssaires.
Condensateur ou mini-accu relai que les constructeurs sont infoutus de
mettre pour garder en mémoire les données de l'ordinateur de bord ou de
l'autoradio en cas de déconnexion ou de décharge totale de la batteri e...
> Maintenant je constate que tu fais confiance à l'alimentation élect rique
> pour alimenter une direction non mécanique, mais pas pour un airbag. Va
> comprendre...
C'est très simple: la direction sert dans le fonctionnement normal du
véhicule, pas dans le cas où la batterie pourrait être arrachée s uite à
un choc.
> L'ABS ne peut pas se passer de la connaissance de la vitesse de la voit ure.
Un capteur par roue, ça suffit pas?
C'est con, ça simplifie grandement
le système, et par conséquent le rend plus fiable. Et pour savoir si le
véhicule est à l'arrêt ou si toutes les roues sont bloquées, comm e déjà
dit, il suffit de relâcher la pression de freinage sur une roue.
pehache-tolai a écrit :
> Tu auras du mal à faire tourner ça sans électricité. Et il suff it
> d'ajouter un condensateur dans le boîtier pour sécuriser l'alimenta tion
> électrique du système pendant les quelques 1/10 de secondes néces ssaires.
Condensateur ou mini-accu relai que les constructeurs sont infoutus de
mettre pour garder en mémoire les données de l'ordinateur de bord ou de
l'autoradio en cas de déconnexion ou de décharge totale de la batteri e...
> Maintenant je constate que tu fais confiance à l'alimentation élect rique
> pour alimenter une direction non mécanique, mais pas pour un airbag. Va
> comprendre...
C'est très simple: la direction sert dans le fonctionnement normal du
véhicule, pas dans le cas où la batterie pourrait être arrachée s uite à
un choc.
> L'ABS ne peut pas se passer de la connaissance de la vitesse de la voit ure.
Un capteur par roue, ça suffit pas?
C'est con, ça simplifie grandement
le système, et par conséquent le rend plus fiable. Et pour savoir si le
véhicule est à l'arrêt ou si toutes les roues sont bloquées, comm e déjà
dit, il suffit de relâcher la pression de freinage sur une roue.
pehache-tolai a écrit :
> Tu auras du mal à faire tourner ça sans électricité. Et il suff it
> d'ajouter un condensateur dans le boîtier pour sécuriser l'alimenta tion
> électrique du système pendant les quelques 1/10 de secondes néces ssaires.
Condensateur ou mini-accu relai que les constructeurs sont infoutus de
mettre pour garder en mémoire les données de l'ordinateur de bord ou de
l'autoradio en cas de déconnexion ou de décharge totale de la batteri e...
> Maintenant je constate que tu fais confiance à l'alimentation élect rique
> pour alimenter une direction non mécanique, mais pas pour un airbag. Va
> comprendre...
C'est très simple: la direction sert dans le fonctionnement normal du
véhicule, pas dans le cas où la batterie pourrait être arrachée s uite à
un choc.
> L'ABS ne peut pas se passer de la connaissance de la vitesse de la voit ure.
Un capteur par roue, ça suffit pas?
C'est con, ça simplifie grandement
le système, et par conséquent le rend plus fiable. Et pour savoir si le
véhicule est à l'arrêt ou si toutes les roues sont bloquées, comm e déjà
dit, il suffit de relâcher la pression de freinage sur une roue.
Le 26-01-2009, Doug713705 a écrit :Le Mon, 26 Jan 2009 23:04:33 +0000, SL a écrit dans
news: des mots en forme de phrase pour
nous dire :Et tu trouves que, devant ce tableau, s'en prendre aux fonctionnaires,
c'est uniquement se tromper de cible ?
Il doit probablement manquer des mots dans la question ou elle présente une
inversion de sens. Le mot 'uniquement' me parait mal à propos.
Oui bien sûr il manque une négation (tu trouves pas que, ...). désolé.Je trouve assez étrange que tu me poses cette question.
Et je n'ai rien contre les fonctionnaires en eux-même ou le
fonctionnariat.Qu'à la différence des marchants de canon ou de pétrole en tout
genre, les services publics sont utiles à leur société, quel qu'en
soit le prix ?
Pas quel qu'en soit le prix. Si le prix à payer ne vaux pas le
service rendu autant ne plus rendre le service. Point.
Mais pour ma part, avoir un service d'enseignement, santé, de justice,
de recherche, je trouve ça sans rpix.
On ne va ni faire travailler des esclaves comme fonctionnaires ni
ponctionner 99% du salaire d'un ouvrier du privé pour assurer un
service publique même d'excellente qualité.
C'est bien là notre différence de point de vue. Je borne le prix du
service publique, pas toi.
Si tu veux, sachant qu'avant d'atteindre les 99 % de "ponction", on a de
la marge. Ce qui caractérise un service public, c'est justement les
économies qu'ils permettent pour tout les monde, mais bon.
Le 26-01-2009, Doug713705 <doug.letough@free.fr> a écrit :
Le Mon, 26 Jan 2009 23:04:33 +0000, SL a écrit dans
news:slrngnseh7.nap.nospam@valla.limsi.fr des mots en forme de phrase pour
nous dire :
Et tu trouves que, devant ce tableau, s'en prendre aux fonctionnaires,
c'est uniquement se tromper de cible ?
Il doit probablement manquer des mots dans la question ou elle présente une
inversion de sens. Le mot 'uniquement' me parait mal à propos.
Oui bien sûr il manque une négation (tu trouves pas que, ...). désolé.
Je trouve assez étrange que tu me poses cette question.
Et je n'ai rien contre les fonctionnaires en eux-même ou le
fonctionnariat.
Qu'à la différence des marchants de canon ou de pétrole en tout
genre, les services publics sont utiles à leur société, quel qu'en
soit le prix ?
Pas quel qu'en soit le prix. Si le prix à payer ne vaux pas le
service rendu autant ne plus rendre le service. Point.
Mais pour ma part, avoir un service d'enseignement, santé, de justice,
de recherche, je trouve ça sans rpix.
On ne va ni faire travailler des esclaves comme fonctionnaires ni
ponctionner 99% du salaire d'un ouvrier du privé pour assurer un
service publique même d'excellente qualité.
C'est bien là notre différence de point de vue. Je borne le prix du
service publique, pas toi.
Si tu veux, sachant qu'avant d'atteindre les 99 % de "ponction", on a de
la marge. Ce qui caractérise un service public, c'est justement les
économies qu'ils permettent pour tout les monde, mais bon.
Le 26-01-2009, Doug713705 a écrit :Le Mon, 26 Jan 2009 23:04:33 +0000, SL a écrit dans
news: des mots en forme de phrase pour
nous dire :Et tu trouves que, devant ce tableau, s'en prendre aux fonctionnaires,
c'est uniquement se tromper de cible ?
Il doit probablement manquer des mots dans la question ou elle présente une
inversion de sens. Le mot 'uniquement' me parait mal à propos.
Oui bien sûr il manque une négation (tu trouves pas que, ...). désolé.Je trouve assez étrange que tu me poses cette question.
Et je n'ai rien contre les fonctionnaires en eux-même ou le
fonctionnariat.Qu'à la différence des marchants de canon ou de pétrole en tout
genre, les services publics sont utiles à leur société, quel qu'en
soit le prix ?
Pas quel qu'en soit le prix. Si le prix à payer ne vaux pas le
service rendu autant ne plus rendre le service. Point.
Mais pour ma part, avoir un service d'enseignement, santé, de justice,
de recherche, je trouve ça sans rpix.
On ne va ni faire travailler des esclaves comme fonctionnaires ni
ponctionner 99% du salaire d'un ouvrier du privé pour assurer un
service publique même d'excellente qualité.
C'est bien là notre différence de point de vue. Je borne le prix du
service publique, pas toi.
Si tu veux, sachant qu'avant d'atteindre les 99 % de "ponction", on a de
la marge. Ce qui caractérise un service public, c'est justement les
économies qu'ils permettent pour tout les monde, mais bon.
Le Mon, 26 Jan 2009 23:15:08 +0000, SL a écrit dans
news: des mots en forme de phrase pour
nous dire :Moi je n'ai jamais vu (dans le public) que des syndicats qui défendaient
leur personnel, leur institution, et l'intérêt général ; je n'ai pas
tellement vu d'effet pervers.
Regarde le cas Alitalia.
Il y en a d'autres.
Le Mon, 26 Jan 2009 23:15:08 +0000, SL a écrit dans
news:slrngnsf52.nap.nospam@valla.limsi.fr des mots en forme de phrase pour
nous dire :
Moi je n'ai jamais vu (dans le public) que des syndicats qui défendaient
leur personnel, leur institution, et l'intérêt général ; je n'ai pas
tellement vu d'effet pervers.
Regarde le cas Alitalia.
Il y en a d'autres.
Le Mon, 26 Jan 2009 23:15:08 +0000, SL a écrit dans
news: des mots en forme de phrase pour
nous dire :Moi je n'ai jamais vu (dans le public) que des syndicats qui défendaient
leur personnel, leur institution, et l'intérêt général ; je n'ai pas
tellement vu d'effet pervers.
Regarde le cas Alitalia.
Il y en a d'autres.
Et si demander à quelqu'un de faire juste le boulot pour lequel il
est payé est réactionnaire, oui, je suis réactionnaire.
C'est sous entendre qu'il ne font pas leur boulot le problème.
Et si demander à quelqu'un de faire juste le boulot pour lequel il
est payé est réactionnaire, oui, je suis réactionnaire.
C'est sous entendre qu'il ne font pas leur boulot le problème.
Et si demander à quelqu'un de faire juste le boulot pour lequel il
est payé est réactionnaire, oui, je suis réactionnaire.
C'est sous entendre qu'il ne font pas leur boulot le problème.
JKB a écrit :
Ce n'est _absolument_ pas crétin. Il y a des boîtes privées qui le
font, les profs servant à faire du soutien et _ça marche_.
Euh, avoir un bureau par prof pour qu'il puisse préparer ses cours et
corriger ses copies, à moi, ça me parait idiot. Déjà, faut les
construire, les entretenir... ça coute cher et ils font ça très bien
chez eux, notamment le week-end, et durant les périodes de congé scolaire.
Quant aux boites privées de soutien, quand on voit comment ils recrutent
leurs "profs", les prendre en exemple me parait déplacé.
Qu'il y ait des locaux permettant un meilleur suivi individualisé des
élèves, je suis pour. Mais un bureau par prof, ça sert à rien.
JKB a écrit :
Ce n'est _absolument_ pas crétin. Il y a des boîtes privées qui le
font, les profs servant à faire du soutien et _ça marche_.
Euh, avoir un bureau par prof pour qu'il puisse préparer ses cours et
corriger ses copies, à moi, ça me parait idiot. Déjà, faut les
construire, les entretenir... ça coute cher et ils font ça très bien
chez eux, notamment le week-end, et durant les périodes de congé scolaire.
Quant aux boites privées de soutien, quand on voit comment ils recrutent
leurs "profs", les prendre en exemple me parait déplacé.
Qu'il y ait des locaux permettant un meilleur suivi individualisé des
élèves, je suis pour. Mais un bureau par prof, ça sert à rien.
JKB a écrit :
Ce n'est _absolument_ pas crétin. Il y a des boîtes privées qui le
font, les profs servant à faire du soutien et _ça marche_.
Euh, avoir un bureau par prof pour qu'il puisse préparer ses cours et
corriger ses copies, à moi, ça me parait idiot. Déjà, faut les
construire, les entretenir... ça coute cher et ils font ça très bien
chez eux, notamment le week-end, et durant les périodes de congé scolaire.
Quant aux boites privées de soutien, quand on voit comment ils recrutent
leurs "profs", les prendre en exemple me parait déplacé.
Qu'il y ait des locaux permettant un meilleur suivi individualisé des
élèves, je suis pour. Mais un bureau par prof, ça sert à rien.
JKB a écrit :foutaient pas une. J'en ai eu marre de devoir me battre pour acheter un
PC de calcul ou une station alpha parce que le contrat machin était
exclusif avec Dell.
Ben ça fait un bail que je bosse dans le privé, toujours pour des grands
comptes (FT, SNCF, PSA, Auchan...) et c'est pareil. C'est pas une
différence public/privé, c'est juste une question de taille, qui fait
que les contrats sont signés par des comptables et des acheteurs qui
n'ont aucune idée du contenu réel des dits contrats.
JKB a écrit :
foutaient pas une. J'en ai eu marre de devoir me battre pour acheter un
PC de calcul ou une station alpha parce que le contrat machin était
exclusif avec Dell.
Ben ça fait un bail que je bosse dans le privé, toujours pour des grands
comptes (FT, SNCF, PSA, Auchan...) et c'est pareil. C'est pas une
différence public/privé, c'est juste une question de taille, qui fait
que les contrats sont signés par des comptables et des acheteurs qui
n'ont aucune idée du contenu réel des dits contrats.
JKB a écrit :foutaient pas une. J'en ai eu marre de devoir me battre pour acheter un
PC de calcul ou une station alpha parce que le contrat machin était
exclusif avec Dell.
Ben ça fait un bail que je bosse dans le privé, toujours pour des grands
comptes (FT, SNCF, PSA, Auchan...) et c'est pareil. C'est pas une
différence public/privé, c'est juste une question de taille, qui fait
que les contrats sont signés par des comptables et des acheteurs qui
n'ont aucune idée du contenu réel des dits contrats.