L'actualité de la semaine précédente a principalement tourné autour de la loi Hadopi, celle devant sanctionner les internautes téléchargeant illégalement. On peut ainsi citer la critique de l'Hadopi par les services de renseignement américains qui dénoncent un Internet qui va devenir de plus en plus chiffré en France, la rébellion de Free qui n'a comme à son habitude pas manqué de mettre son grain de sel et la promesse par le PS de l'abrogation de l'Hadopi s'il arrive au pouvoir en 2012.

Sans oublier d'évoquer la prison ferme pour un jeune conducteur de 19 ans qui a insulté les forces de l'ordre via Facebook, et la colère au sein de la communauté musulmane suite à la publication d'une vidéo où le Coran est brûlé.

Sur ce, bonne lecture et bon début de semaine sur GNT.


Prison ferme pour avoir insulté les gendarmes sur Facebook : un jeune homme de 19 ans a été condamné à de la prison ferme et à 1 200 euros de dommages-intérêts pour insultes envers les forces de l'ordre via le réseau social Facebook.


Les renseignements français engueulés à cause d'Hadopi : les services de renseignement français ont été pointés du doigt par la NSA en raison d'un effet pervers de la loi dite Hadopi qui pousse les utilisateurs vers le recours à des solutions chiffrées.


Free dit respecter la loi Hadopi et n'envoie pas d'e-mails : alors que les fournisseurs d'accès à Internet français ont envoyé les premiers e-mails d'avertissement aux abonnés Internet repérés pour du téléchargement illégal, Free, fidèle à son image de trublion, a refusé de faire comme ses camarades.


Colère chez les musulmans pour la vidéo d'un Coran brûlé : un homme d'une trentaine d'années a provoqué la colère au sein de la communauté musulmane en postant une vidéo sur le Web où il utilise de l'alcool à brûler pour enflammer le Coran puis urine dessus pour éteindre les cendres.


Le PS veut abroger Hadopi... en 2012 : le débat autour de la loi dite Hadopi entre à nouveau dans l'arène politique. En cas d'alternance du gouvernement lors des prochaines élections présidentielles qui auront lieu en 2012, le Parti socialiste promet de l'abroger.