La question de la consommation de drogues par Elon Musk pour tenir le rythme de la gestion de ses nombreuses entreprises à la pointe des technologies revient régulièrement sur le tapis pour interroger sa capacité à se maintenir à la tête des firmes et prendre les bonnes décisions.
Le milliardaire l'a confirmé en indiquant prendre régulièrement de la kétamine de façon contrôlée pour surmonter des épisodes dépressifs. Mais face à la multiplication des rôles, des prises de position et du soutien à Donald Trump, Elon Musk a-t-il lâché les vannes de la consommation de substances ?
Le New York Times a affirmé d'après plusieurs témoignages que l'homme d'affaires aurait augmenté sa consommation de kétamine à partir du moment où il a commencé à soutenir la campagne électorale de Donald Trump.
Une consommation massive de substances ces derniers mois ?
Cette consommation serait devenue quotidienne et massive, sans compter la prise d'ecstasy et de champignons hallucinogènes, selon le quotidien américain. Cela explique-t-il ses frasques, entre salut romain, démonstration à la tronçonneuse pour tailler dans les dépenses et déclarations hors sol ?
Et était-il en état de piloter ses entreprises dans cet état, ces drogues tendant à couper l'individu de la réalité, sans compter la problématique de cette consommation pour une personne accédant à des fonctions et informations importantes au coeur du gouvernement ?
L'intéressé a rapidement démenti les allégations du New York Times en affirmant sur son réseau social X : "pour être clair, ne ne prends pas de drogues" et accusant le journal de vouloir lui nuire.
L'homme d'affaires a souvent balayé cette question de la consommation de substances mais elle est pourtant régulièrement remise en avant lorsqu'il est question de son maintien à la tête du constructeur Tesla, l'un de ses fleurons technologiques.
Retour aux affaires
L'attitude du milliardaire lors de conférences de presse et de meetings pour soutenir Donald Trump, où il peut sembler sous l'influence de substances psychoactives, maintient le doute sur la réalité et l'intensité de sa consommation.
Elon Musk vient de mettre fin à sa présence active au sein du DOGE, le ministère chargé de la réduction des dépenses du gouvernement, pour se concentrer à plein temps sur la gestion de ses entreprises.
L'avenir de Tesla est particulièrement sous surveillance alors que les ventes de véhicules électriques s'affaiblissent tandis que les stratégies autour de la voiture autonome et des robots humanoïdes doivent encore prendre des tournures concrètes et chiffrées.