Un jeu :
des photos avec mise au point laissée au minimum à 25 cm (sauf pour les
autoportraits où la distance est sur l'infini), et ouverture la plus
petite à f22, donc avec vitesse plutôt lente.
Résultat étonnant, à vous de juger!
le 08/10/2007 09:33, jean-daniel dodin écrivit de sa plume alerte :
jpw wrote:
c'est bien par hasard que les soeurs tatins ont découvert la tarte qui porte leur nom
mais elle savaient faire les tartes
ben non, puisqu'elles se sont gravement planté :-))
Pas vraiment :
- elles maitrisaient la cuisson - elles choisissaient les bons ingrédients - elles ont su tirer l'enseignement de leur erreur
Tout ça semble un peu loin de ce que nous fourni notre ami Octave...
Moii je ne trouve pas : Octave cherche à faire un certain genre de photos et arrive parfaitement à ses fins.
Que ces fins ne correspondent pas au pitoresque habituellement requis c'est vrai.
Les âmes vulgaire cèdent à la facilité du pitoresque, le sage sait que c'est dans une certaine fadeur que l'on trouve la plus grande richesse...
La notion de fadeur, "dan", est connoté dans l'esprit occidental de manière très négative. Mais changez de lieu, déportez-vous vers l'Est et la Chine et vous découvrirez une toute autre vision de cette fadeur, symbolisant plus la sagesse que la médiocrité. François Jullien nous invite à participer à un voyage initiatique à travers la philosophie, la calligraphie, la poésie et la peinture chinoise qui ne nous laisse à aucun moment indifférent. Les passionnés de philosophie retrouveront les grands penseurs : Confucius, Lao-tseu/Tchouang-tseu... Malgré leurs divergences, ces deux courants se rejoignent pour cet "éloge" de la fadeur : simplicité naturelle et naïve, dénuée de toute complexité née de la technique et de la civilisation, disponibilité vis-à-vis du monde, sagesse... Après lecture et analyse du texte de l'auteur, il est certain que le lecteur fera changer de signe à la fadeur.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
le 08/10/2007 09:33, jean-daniel dodin écrivit de sa plume alerte :
jpw wrote:
c'est bien par hasard que les soeurs tatins ont découvert la tarte qui
porte leur nom
mais elle savaient faire les tartes
ben non, puisqu'elles se sont gravement planté :-))
Pas vraiment :
- elles maitrisaient la cuisson
- elles choisissaient les bons ingrédients
- elles ont su tirer l'enseignement de leur erreur
Tout ça semble un peu loin de ce que nous fourni notre ami Octave...
Moii je ne trouve pas : Octave cherche à faire un certain genre de
photos et arrive parfaitement à ses fins.
Que ces fins ne correspondent pas au pitoresque habituellement requis
c'est vrai.
Les âmes vulgaire cèdent à la facilité du pitoresque, le sage sait que
c'est dans une certaine fadeur que l'on trouve la plus grande
richesse...
La notion de fadeur, "dan", est connoté dans l'esprit occidental de
manière très négative. Mais changez de lieu, déportez-vous vers l'Est et
la Chine et vous découvrirez une toute autre vision de cette fadeur,
symbolisant plus la sagesse que la médiocrité. François Jullien nous
invite à participer à un voyage initiatique à travers la philosophie, la
calligraphie, la poésie et la peinture chinoise qui ne nous laisse à
aucun moment indifférent.
Les passionnés de philosophie retrouveront les grands penseurs :
Confucius, Lao-tseu/Tchouang-tseu... Malgré leurs divergences, ces deux
courants se rejoignent pour cet "éloge" de la fadeur : simplicité
naturelle et naïve, dénuée de toute complexité née de la technique et de
la civilisation, disponibilité vis-à-vis du monde, sagesse...
Après lecture et analyse du texte de l'auteur, il est certain que le
lecteur fera changer de signe à la fadeur.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
le 08/10/2007 09:33, jean-daniel dodin écrivit de sa plume alerte :
jpw wrote:
c'est bien par hasard que les soeurs tatins ont découvert la tarte qui porte leur nom
mais elle savaient faire les tartes
ben non, puisqu'elles se sont gravement planté :-))
Pas vraiment :
- elles maitrisaient la cuisson - elles choisissaient les bons ingrédients - elles ont su tirer l'enseignement de leur erreur
Tout ça semble un peu loin de ce que nous fourni notre ami Octave...
Moii je ne trouve pas : Octave cherche à faire un certain genre de photos et arrive parfaitement à ses fins.
Que ces fins ne correspondent pas au pitoresque habituellement requis c'est vrai.
Les âmes vulgaire cèdent à la facilité du pitoresque, le sage sait que c'est dans une certaine fadeur que l'on trouve la plus grande richesse...
La notion de fadeur, "dan", est connoté dans l'esprit occidental de manière très négative. Mais changez de lieu, déportez-vous vers l'Est et la Chine et vous découvrirez une toute autre vision de cette fadeur, symbolisant plus la sagesse que la médiocrité. François Jullien nous invite à participer à un voyage initiatique à travers la philosophie, la calligraphie, la poésie et la peinture chinoise qui ne nous laisse à aucun moment indifférent. Les passionnés de philosophie retrouveront les grands penseurs : Confucius, Lao-tseu/Tchouang-tseu... Malgré leurs divergences, ces deux courants se rejoignent pour cet "éloge" de la fadeur : simplicité naturelle et naïve, dénuée de toute complexité née de la technique et de la civilisation, disponibilité vis-à-vis du monde, sagesse... Après lecture et analyse du texte de l'auteur, il est certain que le lecteur fera changer de signe à la fadeur.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
jpw
"FiLH" a écrit dans le message de news: 1i5oixt.sqa8volp6753N%
Florent Gilles <florent+ wrote:
le 08/10/2007 09:33, jean-daniel dodin écrivit de sa plume alerte :
jpw wrote:
c'est bien par hasard que les soeurs tatins ont découvert la tarte qui porte leur nom
mais elle savaient faire les tartes
ben non, puisqu'elles se sont gravement planté :-))
Pas vraiment :
- elles maitrisaient la cuisson - elles choisissaient les bons ingrédients - elles ont su tirer l'enseignement de leur erreur
Tout ça semble un peu loin de ce que nous fourni notre ami Octave...
Moii je ne trouve pas : Octave cherche à faire un certain genre de photos et arrive parfaitement à ses fins.
Que ces fins ne correspondent pas au pitoresque habituellement requis c'est vrai.
Les âmes vulgaire cèdent à la facilité du pitoresque, le sage sait que c'est dans une certaine fadeur que l'on trouve la plus grande richesse...
La notion de fadeur, "dan", est connoté dans l'esprit occidental de manière très négative. Mais changez de lieu, déportez-vous vers l'Est et la Chine et vous découvrirez une toute autre vision de cette fadeur, symbolisant plus la sagesse que la médiocrité. François Jullien nous invite à participer à un voyage initiatique à travers la philosophie, la calligraphie, la poésie et la peinture chinoise qui ne nous laisse à aucun moment indifférent. Les passionnés de philosophie retrouveront les grands penseurs : Confucius, Lao-tseu/Tchouang-tseu... Malgré leurs divergences, ces deux courants se rejoignent pour cet "éloge" de la fadeur : simplicité naturelle et naïve, dénuée de toute complexité née de la technique et de la civilisation, disponibilité vis-à-vis du monde, sagesse... Après lecture et analyse du texte de l'auteur, il est certain que le lecteur fera changer de signe à la fadeur.
branlette cacahouette
jpw
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit dans le message de news:
1i5oixt.sqa8volp6753N%filh@filh.orgie...
le 08/10/2007 09:33, jean-daniel dodin écrivit de sa plume alerte :
jpw wrote:
c'est bien par hasard que les soeurs tatins ont découvert la tarte qui
porte leur nom
mais elle savaient faire les tartes
ben non, puisqu'elles se sont gravement planté :-))
Pas vraiment :
- elles maitrisaient la cuisson
- elles choisissaient les bons ingrédients
- elles ont su tirer l'enseignement de leur erreur
Tout ça semble un peu loin de ce que nous fourni notre ami Octave...
Moii je ne trouve pas : Octave cherche à faire un certain genre de
photos et arrive parfaitement à ses fins.
Que ces fins ne correspondent pas au pitoresque habituellement requis
c'est vrai.
Les âmes vulgaire cèdent à la facilité du pitoresque, le sage sait que
c'est dans une certaine fadeur que l'on trouve la plus grande
richesse...
La notion de fadeur, "dan", est connoté dans l'esprit occidental de
manière très négative. Mais changez de lieu, déportez-vous vers l'Est et
la Chine et vous découvrirez une toute autre vision de cette fadeur,
symbolisant plus la sagesse que la médiocrité. François Jullien nous
invite à participer à un voyage initiatique à travers la philosophie, la
calligraphie, la poésie et la peinture chinoise qui ne nous laisse à
aucun moment indifférent.
Les passionnés de philosophie retrouveront les grands penseurs :
Confucius, Lao-tseu/Tchouang-tseu... Malgré leurs divergences, ces deux
courants se rejoignent pour cet "éloge" de la fadeur : simplicité
naturelle et naïve, dénuée de toute complexité née de la technique et de
la civilisation, disponibilité vis-à-vis du monde, sagesse...
Après lecture et analyse du texte de l'auteur, il est certain que le
lecteur fera changer de signe à la fadeur.
"FiLH" a écrit dans le message de news: 1i5oixt.sqa8volp6753N%
Florent Gilles <florent+ wrote:
le 08/10/2007 09:33, jean-daniel dodin écrivit de sa plume alerte :
jpw wrote:
c'est bien par hasard que les soeurs tatins ont découvert la tarte qui porte leur nom
mais elle savaient faire les tartes
ben non, puisqu'elles se sont gravement planté :-))
Pas vraiment :
- elles maitrisaient la cuisson - elles choisissaient les bons ingrédients - elles ont su tirer l'enseignement de leur erreur
Tout ça semble un peu loin de ce que nous fourni notre ami Octave...
Moii je ne trouve pas : Octave cherche à faire un certain genre de photos et arrive parfaitement à ses fins.
Que ces fins ne correspondent pas au pitoresque habituellement requis c'est vrai.
Les âmes vulgaire cèdent à la facilité du pitoresque, le sage sait que c'est dans une certaine fadeur que l'on trouve la plus grande richesse...
La notion de fadeur, "dan", est connoté dans l'esprit occidental de manière très négative. Mais changez de lieu, déportez-vous vers l'Est et la Chine et vous découvrirez une toute autre vision de cette fadeur, symbolisant plus la sagesse que la médiocrité. François Jullien nous invite à participer à un voyage initiatique à travers la philosophie, la calligraphie, la poésie et la peinture chinoise qui ne nous laisse à aucun moment indifférent. Les passionnés de philosophie retrouveront les grands penseurs : Confucius, Lao-tseu/Tchouang-tseu... Malgré leurs divergences, ces deux courants se rejoignent pour cet "éloge" de la fadeur : simplicité naturelle et naïve, dénuée de toute complexité née de la technique et de la civilisation, disponibilité vis-à-vis du monde, sagesse... Après lecture et analyse du texte de l'auteur, il est certain que le lecteur fera changer de signe à la fadeur.
branlette cacahouette
jpw
Ricco
FiLH wrote:
Florent Gilles <florent+ wrote:
le 08/10/2007 09:33, jean-daniel dodin écrivit de sa plume alerte :
jpw wrote:
c'est bien par hasard que les soeurs tatins ont découvert la tarte qui porte leur nom
mais elle savaient faire les tartes
ben non, puisqu'elles se sont gravement planté :-))
Pas vraiment :
- elles maitrisaient la cuisson - elles choisissaient les bons ingrédients - elles ont su tirer l'enseignement de leur erreur
Tout ça semble un peu loin de ce que nous fourni notre ami Octave...
Moii je ne trouve pas : Octave cherche à faire un certain genre de photos et arrive parfaitement à ses fins.
Que ces fins ne correspondent pas au pitoresque habituellement requis c'est vrai.
Les âmes vulgaire cèdent à la facilité du pitoresque, le sage sait que c'est dans une certaine fadeur que l'on trouve la plus grande richesse...
La notion de fadeur, "dan", est connoté dans l'esprit occidental de manière très négative. Mais changez de lieu, déportez-vous vers l'Est et la Chine et vous découvrirez une toute autre vision de cette fadeur, symbolisant plus la sagesse que la médiocrité. François Jullien nous invite à participer à un voyage initiatique à travers la philosophie, la calligraphie, la poésie et la peinture chinoise qui ne nous laisse à aucun moment indifférent. Les passionnés de philosophie retrouveront les grands penseurs : Confucius, Lao-tseu/Tchouang-tseu... Malgré leurs divergences, ces deux courants se rejoignent pour cet "éloge" de la fadeur : simplicité naturelle et naïve, dénuée de toute complexité née de la technique et de la civilisation, disponibilité vis-à-vis du monde, sagesse... Après lecture et analyse du texte de l'auteur, il est certain que le lecteur fera changer de signe à la fadeur.
le 08/10/2007 09:33, jean-daniel dodin écrivit de sa plume alerte :
jpw wrote:
c'est bien par hasard que les soeurs tatins ont découvert la tarte
qui porte leur nom
mais elle savaient faire les tartes
ben non, puisqu'elles se sont gravement planté :-))
Pas vraiment :
- elles maitrisaient la cuisson
- elles choisissaient les bons ingrédients
- elles ont su tirer l'enseignement de leur erreur
Tout ça semble un peu loin de ce que nous fourni notre ami Octave...
Moii je ne trouve pas : Octave cherche à faire un certain genre de
photos et arrive parfaitement à ses fins.
Que ces fins ne correspondent pas au pitoresque habituellement requis
c'est vrai.
Les âmes vulgaire cèdent à la facilité du pitoresque, le sage sait que
c'est dans une certaine fadeur que l'on trouve la plus grande
richesse...
La notion de fadeur, "dan", est connoté dans l'esprit occidental de
manière très négative. Mais changez de lieu, déportez-vous vers l'Est
et la Chine et vous découvrirez une toute autre vision de cette
fadeur, symbolisant plus la sagesse que la médiocrité. François
Jullien nous invite à participer à un voyage initiatique à travers la
philosophie, la calligraphie, la poésie et la peinture chinoise qui
ne nous laisse à aucun moment indifférent.
Les passionnés de philosophie retrouveront les grands penseurs :
Confucius, Lao-tseu/Tchouang-tseu... Malgré leurs divergences, ces
deux courants se rejoignent pour cet "éloge" de la fadeur : simplicité
naturelle et naïve, dénuée de toute complexité née de la technique et
de la civilisation, disponibilité vis-à-vis du monde, sagesse...
Après lecture et analyse du texte de l'auteur, il est certain que le
lecteur fera changer de signe à la fadeur.
le 08/10/2007 09:33, jean-daniel dodin écrivit de sa plume alerte :
jpw wrote:
c'est bien par hasard que les soeurs tatins ont découvert la tarte qui porte leur nom
mais elle savaient faire les tartes
ben non, puisqu'elles se sont gravement planté :-))
Pas vraiment :
- elles maitrisaient la cuisson - elles choisissaient les bons ingrédients - elles ont su tirer l'enseignement de leur erreur
Tout ça semble un peu loin de ce que nous fourni notre ami Octave...
Moii je ne trouve pas : Octave cherche à faire un certain genre de photos et arrive parfaitement à ses fins.
Que ces fins ne correspondent pas au pitoresque habituellement requis c'est vrai.
Les âmes vulgaire cèdent à la facilité du pitoresque, le sage sait que c'est dans une certaine fadeur que l'on trouve la plus grande richesse...
La notion de fadeur, "dan", est connoté dans l'esprit occidental de manière très négative. Mais changez de lieu, déportez-vous vers l'Est et la Chine et vous découvrirez une toute autre vision de cette fadeur, symbolisant plus la sagesse que la médiocrité. François Jullien nous invite à participer à un voyage initiatique à travers la philosophie, la calligraphie, la poésie et la peinture chinoise qui ne nous laisse à aucun moment indifférent. Les passionnés de philosophie retrouveront les grands penseurs : Confucius, Lao-tseu/Tchouang-tseu... Malgré leurs divergences, ces deux courants se rejoignent pour cet "éloge" de la fadeur : simplicité naturelle et naïve, dénuée de toute complexité née de la technique et de la civilisation, disponibilité vis-à-vis du monde, sagesse... Après lecture et analyse du texte de l'auteur, il est certain que le lecteur fera changer de signe à la fadeur.
comme la confiture, la culture. -- Ricco
Ricco
jpw wrote:
branlette cacahouette
un peu plus synthétique que ce que j'en disais, mais , dans un sens.... -- Ricco
jpw wrote:
branlette cacahouette
un peu plus synthétique que ce que j'en disais, mais , dans un sens....
--
Ricco
"Ricco" <d.francoise32[NO-pourriel ]@aliceadsl.fr> a écrit dans le message de news: fedr8s$epj$
jpw wrote:
branlette cacahouette
un peu plus synthétique que ce que j'en disais, mais , dans un sens.... --
oui mais là y'a pas de smiley subliminos
tout est dans la nuance
jpw
ps : tu vois là j'y tiens à ma vulgarité
car face à cette suffisance, l'expression "c'est de la merde" résume tout et si y'avait le son sur le news j'ajouterais un prout bien sonore
albert
Bonjour Octave,
Je ne réalise pas les tenants et aboutissants de la démarche. Pourquoi est-ce un jeu ? Je pense à l'appareil photographique comme à un prolongement du corps, et à l'aide de cet oeil rudimentaire, je veux redécouvrir le monde. Car le véritable intérêt est que ce n'est pas seulement un instrument de perception, il permet aussi de créer et d'enregistrer des images.
Qu'on se donne des contraintes par jeu en restreignant la perception photographique à f22 et 25 cm, c'est comme de déclencher uniquement avec le coude ou en faisant des pointes au bord du chemin. Est-ce là le moteur de la création ? Que donne-t-on à voir à partir de cela ?
En quel sens une réflexion sur la méthodologie et ses contraintes devient une démarche artistique ? Quel est le lien entre la méthode et le résultat qui est une image détachée de tout protocole. A moins que ce soit la démarche elle même comme un projet artistique ?
Voici une petite anecdote à propos d'un tableau de Salvador Dali. Il représente un paysage avec un plan d'eau. Celui-ci est dessiné comme un grand poisson dont les écailles sont comme les reflets sur l'eau. Quand je me promène au bord d'un lac, je regarde les reflets et cela me fait penser au grand poisson de Dali. Quand je fais des photographies, je pense souvent à cette histoire. Donner à voir quelque chose qu'on reconnaîtrait.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://perso.orange.fr/albert.lemoine ----------------------------------------------------------
Bonjour Octave,
Je ne réalise pas les tenants et aboutissants de la démarche. Pourquoi
est-ce un jeu ? Je pense à l'appareil photographique comme à un prolongement
du corps, et à l'aide de cet oeil rudimentaire, je veux redécouvrir le
monde. Car le véritable intérêt est que ce n'est pas seulement un
instrument de perception, il permet aussi de créer et d'enregistrer des
images.
Qu'on se donne des contraintes par jeu en restreignant la perception
photographique à f22 et 25 cm, c'est comme de déclencher uniquement
avec le coude ou en faisant des pointes au bord du chemin. Est-ce là
le moteur de la création ? Que donne-t-on à voir à partir de cela ?
En quel sens une réflexion sur la méthodologie et ses contraintes
devient une démarche artistique ? Quel est le lien entre la méthode et le
résultat qui est une image détachée de tout protocole. A moins que ce soit
la démarche elle même comme un projet artistique ?
Voici une petite anecdote à propos d'un tableau de Salvador Dali. Il
représente un paysage avec un plan d'eau. Celui-ci est dessiné comme un
grand poisson dont les écailles sont comme les reflets sur l'eau. Quand je
me promène au bord d'un lac, je regarde les reflets et cela me fait penser
au grand poisson de Dali. Quand je fais des photographies, je pense souvent
à cette histoire. Donner à voir quelque chose qu'on reconnaîtrait.
Amitiés,
albert
----------------------------------------------------------
Photographies imaginaires
http://perso.orange.fr/albert.lemoine
----------------------------------------------------------
Je ne réalise pas les tenants et aboutissants de la démarche. Pourquoi est-ce un jeu ? Je pense à l'appareil photographique comme à un prolongement du corps, et à l'aide de cet oeil rudimentaire, je veux redécouvrir le monde. Car le véritable intérêt est que ce n'est pas seulement un instrument de perception, il permet aussi de créer et d'enregistrer des images.
Qu'on se donne des contraintes par jeu en restreignant la perception photographique à f22 et 25 cm, c'est comme de déclencher uniquement avec le coude ou en faisant des pointes au bord du chemin. Est-ce là le moteur de la création ? Que donne-t-on à voir à partir de cela ?
En quel sens une réflexion sur la méthodologie et ses contraintes devient une démarche artistique ? Quel est le lien entre la méthode et le résultat qui est une image détachée de tout protocole. A moins que ce soit la démarche elle même comme un projet artistique ?
Voici une petite anecdote à propos d'un tableau de Salvador Dali. Il représente un paysage avec un plan d'eau. Celui-ci est dessiné comme un grand poisson dont les écailles sont comme les reflets sur l'eau. Quand je me promène au bord d'un lac, je regarde les reflets et cela me fait penser au grand poisson de Dali. Quand je fais des photographies, je pense souvent à cette histoire. Donner à voir quelque chose qu'on reconnaîtrait.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://perso.orange.fr/albert.lemoine ----------------------------------------------------------
"Ricco" <d.francoise32[NO-pourriel ]@aliceadsl.fr> a écrit dans le message de news: fedr8s$epj$
jpw wrote:
branlette cacahouette
un peu plus synthétique que ce que j'en disais, mais , dans un sens.... --
oui mais là y'a pas de smiley subliminos
tout est dans la nuance
jpw
ps : tu vois là j'y tiens à ma vulgarité
car face à cette suffisance, l'expression "c'est de la merde" résume tout et si y'avait le son sur le news j'ajouterais un prout bien sonore
mets un lien en AVI !
-- -- Ricco
Ricco
Octave wrote:
FiLH a exprimé avec précision :
François Jullien
Peux-tu donner une référence ?
laisse lui juste le temps de chercher sur internet, s il est de service ce soir, sinon, tu attendras, je crois qu il a pas le net à la maison, tu as vu " qu il a pas le net "
-- -- Ricco
Octave wrote:
FiLH a exprimé avec précision :
François Jullien
Peux-tu donner une référence ?
laisse lui juste le temps de chercher sur internet, s il est de service ce
soir, sinon, tu attendras, je crois qu il a pas le net à la maison, tu as vu
" qu il a pas le net "
laisse lui juste le temps de chercher sur internet, s il est de service ce soir, sinon, tu attendras, je crois qu il a pas le net à la maison, tu as vu " qu il a pas le net "
-- -- Ricco
Octave
Ricco avait énoncé :
si tu le dis et que ça te plait, tant mieux, mais cette histoire de " non - photo " à la filh ou à la file , franchement , après, que d'explications pour des " non - photo "
Je n'ai jamais approuvé cette expression. Je fais de la photo.
Ricco avait énoncé :
si tu le dis et que ça te plait, tant mieux, mais cette histoire de " non -
photo " à la filh ou à la file , franchement , après, que d'explications
pour des " non - photo "
Je n'ai jamais approuvé cette expression. Je fais de la photo.
si tu le dis et que ça te plait, tant mieux, mais cette histoire de " non - photo " à la filh ou à la file , franchement , après, que d'explications pour des " non - photo "
Je n'ai jamais approuvé cette expression. Je fais de la photo.