Pourtant il n'avait pas interdit la pratique:
http://www.afnic.fr/actu/nouvelles/nommage/NN20041001
mais à cause de litige ils ont pris les clients d'Eurodns en otage.
Et ils ont coupés apparement sans prévenir personne, ou lieu de laisser
les nom de domaine actif et de demander la récularisation (pourquoi les
couper d'ailleur ?)...
L'afnic avait montré sa compétence à plusieurs reprise ;) (l'ouverture à
5 ans de retard), et ils ne déméritent pas à leur réputation...
n'achetez pas des .fr, resté sur de .eu .net et .com, bien plus fiable,
et géré correctement.
Le Wed, 27 Oct 2004 13:34:24 +0200, julien a écrit :
L'afnic a recu des plaintes et intervient en bloquant tous les noms d'eurodns, alors que c'est normalement à un tribunal d'agir et d'effectué les sanctions...
Ca je l'avais deviné :-) C'était pas le sens de ma question.
-- Stephane Kanschine Amadouer l'anti-spam pour me répondre
Le Wed, 27 Oct 2004 13:34:24 +0200, julien a écrit :
L'afnic a recu des plaintes et intervient en bloquant tous les noms
d'eurodns, alors que c'est normalement à un tribunal d'agir et
d'effectué les sanctions...
Ca je l'avais deviné :-)
C'était pas le sens de ma question.
--
Stephane Kanschine
Amadouer l'anti-spam pour me répondre
Le Wed, 27 Oct 2004 13:34:24 +0200, julien a écrit :
L'afnic a recu des plaintes et intervient en bloquant tous les noms d'eurodns, alors que c'est normalement à un tribunal d'agir et d'effectué les sanctions...
Ca je l'avais deviné :-) C'était pas le sens de ma question.
-- Stephane Kanschine Amadouer l'anti-spam pour me répondre
Patrick Mevzek
Lycos n'est pas membre AFNIC, EuroDNS oui.
Excusez moi, mais il est bien stipulé sur la page ci dessous :
Particuliers et professionnels vos noms de domaines en .fr gratuits
Et alors ? Lycos n'est pas membre AFNIC, il utilise un intermédiaire pour déposer les domaines en .fr C'est la principale raison qui explique que finalement l'AFNIC ne fait rien au sujet de Lycos, si ce n'est leur demander de ne pas essayer de faire croire publiquement qu'ils ``contournent'' la charte AFNIC en permettant quelque chose (l'enregistrement aux particuliers) qui n'est en théorie prévu que pour 2005.
Vous pouvez faire une recherche par nom ici: http://www.afnic.fr/obtenir/prestataires/nom
Vous verrez bien que lycos n'y est pas.
-- Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France) <http://www.dotandco.net/> <http://www.dotandco.com/>
Lycos n'est pas membre AFNIC, EuroDNS oui.
Excusez moi, mais il est bien stipulé sur la page ci dessous :
Particuliers et professionnels vos noms de domaines en .fr gratuits
Et alors ?
Lycos n'est pas membre AFNIC, il utilise un intermédiaire pour déposer
les domaines en .fr
C'est la principale raison qui explique que finalement l'AFNIC ne fait
rien au sujet de Lycos, si ce n'est leur demander de ne pas essayer de
faire croire publiquement qu'ils ``contournent'' la charte AFNIC en
permettant quelque chose (l'enregistrement aux particuliers) qui n'est en
théorie prévu que pour 2005.
Vous pouvez faire une recherche par nom ici:
http://www.afnic.fr/obtenir/prestataires/nom
Vous verrez bien que lycos n'y est pas.
--
Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France)
<http://www.dotandco.net/> <http://www.dotandco.com/>
Particuliers et professionnels vos noms de domaines en .fr gratuits
Et alors ? Lycos n'est pas membre AFNIC, il utilise un intermédiaire pour déposer les domaines en .fr C'est la principale raison qui explique que finalement l'AFNIC ne fait rien au sujet de Lycos, si ce n'est leur demander de ne pas essayer de faire croire publiquement qu'ils ``contournent'' la charte AFNIC en permettant quelque chose (l'enregistrement aux particuliers) qui n'est en théorie prévu que pour 2005.
Vous pouvez faire une recherche par nom ici: http://www.afnic.fr/obtenir/prestataires/nom
Vous verrez bien que lycos n'y est pas.
-- Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France) <http://www.dotandco.net/> <http://www.dotandco.com/>
Manuel Guesdon
Bonjour,
On Wed, 27 Oct 2004 12:40:56 +0200, Patrick Mevzek wrote: [...]
Mais jusqu'à présent, 1) la grande majorité des prestataires, en option 2, n'ont rien à dire, puisque ne participant pas aux comités de ``concertation'' (ah ah) 2) les ``option 1'' (une centaine), ne se déplacent pas massivement: jamais plus de 20 (en comptant large) prestataires représentés en comité Et la liste de discussion (pour tout le monde), à part quelques flames de temps en temps, ne me parait pas être le siège d'une discussion justement. 3) le fonctionnement de l'AFNIC reste très secret et obscur: ainsi les prestataires n'ont pas le droit de voir le budget avant le vote du CA, seuls les 2 délégués l'ont (et après on trouve l'ICANN secret...) 4) ce qui est dit en comité ne semble pas vraiment entendu ni même écouté.
C'est la concertation made by afnic :-(
5) les prestataires semblent plutôt préoccupés de maintenir leur oligopole. Parmi les discussions totalement irréalistes on a eu droit à : faudrait pas virer les petits prestataires qui font moins de x domaines à l'année ?
Peut etre aussi qu'ils ont autre chose à faire que de se préoccuper de la vie de l'afnic. Deja qu'il faut payer une somme non négligeable pour avoir le droit d'enregistrer des .fr, que l'afnic veut edicter des regles sur la communication prestataire/clients,... Et j'en passe sur les "jeunes pousses" emanant de l'afnic, les campagnes de communication dont on peut discuter l'interet (et le cout),... Je ne crois pas qu'il y ait d'autre exemples par le monde d'un tel fonctionnement et pour une fois cette exception francaise me parait tres tres contestable (et contestée).
Manuel
Bonjour,
On Wed, 27 Oct 2004 12:40:56 +0200, Patrick Mevzek wrote:
[...]
Mais jusqu'à présent,
1) la grande majorité des prestataires, en option 2, n'ont rien à dire,
puisque ne participant pas aux comités de ``concertation'' (ah ah) 2) les
``option 1'' (une centaine), ne se déplacent pas massivement: jamais plus
de 20 (en comptant large) prestataires représentés en comité Et la
liste de discussion (pour tout le monde), à part quelques flames de temps
en temps, ne me parait pas être le siège d'une discussion justement. 3)
le fonctionnement de l'AFNIC reste très secret et obscur: ainsi les
prestataires n'ont pas le droit de voir le budget avant le vote du CA,
seuls les 2 délégués l'ont (et après on trouve l'ICANN secret...) 4)
ce qui est dit en comité ne semble pas vraiment entendu ni même
écouté.
C'est la concertation made by afnic :-(
5) les prestataires semblent plutôt préoccupés de maintenir leur
oligopole. Parmi les discussions totalement irréalistes on a eu droit à
: faudrait pas virer les petits prestataires qui font moins de x domaines
à l'année ?
Peut etre aussi qu'ils ont autre chose à faire que de se préoccuper
de la vie de l'afnic. Deja qu'il faut payer une somme non négligeable
pour avoir le droit d'enregistrer des .fr, que l'afnic veut edicter des
regles sur la communication prestataire/clients,... Et j'en passe sur les
"jeunes pousses" emanant de l'afnic, les campagnes de
communication dont on peut discuter l'interet (et le cout),...
Je ne crois pas qu'il y ait d'autre exemples par le monde d'un tel
fonctionnement et pour une fois cette exception francaise me parait tres
tres contestable (et contestée).
On Wed, 27 Oct 2004 12:40:56 +0200, Patrick Mevzek wrote: [...]
Mais jusqu'à présent, 1) la grande majorité des prestataires, en option 2, n'ont rien à dire, puisque ne participant pas aux comités de ``concertation'' (ah ah) 2) les ``option 1'' (une centaine), ne se déplacent pas massivement: jamais plus de 20 (en comptant large) prestataires représentés en comité Et la liste de discussion (pour tout le monde), à part quelques flames de temps en temps, ne me parait pas être le siège d'une discussion justement. 3) le fonctionnement de l'AFNIC reste très secret et obscur: ainsi les prestataires n'ont pas le droit de voir le budget avant le vote du CA, seuls les 2 délégués l'ont (et après on trouve l'ICANN secret...) 4) ce qui est dit en comité ne semble pas vraiment entendu ni même écouté.
C'est la concertation made by afnic :-(
5) les prestataires semblent plutôt préoccupés de maintenir leur oligopole. Parmi les discussions totalement irréalistes on a eu droit à : faudrait pas virer les petits prestataires qui font moins de x domaines à l'année ?
Peut etre aussi qu'ils ont autre chose à faire que de se préoccuper de la vie de l'afnic. Deja qu'il faut payer une somme non négligeable pour avoir le droit d'enregistrer des .fr, que l'afnic veut edicter des regles sur la communication prestataire/clients,... Et j'en passe sur les "jeunes pousses" emanant de l'afnic, les campagnes de communication dont on peut discuter l'interet (et le cout),... Je ne crois pas qu'il y ait d'autre exemples par le monde d'un tel fonctionnement et pour une fois cette exception francaise me parait tres tres contestable (et contestée).
Manuel
Patrick Mevzek
L'AFNIC s'érige donc ici et maintenant en juge, puisqu'elle décide qui a le droit d'utiliser quelle marque.
Je suis pas sur de comprendre.
Un exemple : wwwgoogle.fr
Que le déposant ne soit pas le propriétaire de la marque google, et que wwwgoogle.fr soit considéré comme du cybersquatting et aisément rétrocédé à Google (TM) (C) par tout comité d'arbitrage ou décision de justice, c'est très probable.
Cependant, si on a créé des procédures d'arbitrage, c'est bien pour que ce ne soit *pas* à un registre de trancher les histoires de possession de domaines.
L'argumentation de l'AFNIC est: le propriétaire du domaine en question est le prestataire AFNIC, et la charte AFNIC interdit à un prestataire de faire du cybersquatting. *Donc* on applique des sanctions.
Il y a cependant une faille logique sérieuse il me semble. Que A => B soit vrai avec A=le prestataire AFNIC fait du cybersquatting et B=le prestataire AFNIC viole la charte qui le lie à l'AFNIC nous sommes tout à fait d'accord. Cependant, pour avoir B vrai, il faudrait prouver que A le soit.
Et mon avis à ce sujet, c'est que seul un tribunal ou un comité d'arbitrage peut prouver A, et cela se passe partout comme ca dans le monde.
Ici, l'AFNIC a décidé elle-même que A était vrai, et a déroulé le reste. Et comme cela faisait longtemps que les prestataires AFNIC se bagarrent entre eux en s'accusant les uns les autres de ne pas respecter la charte d'être un gros méchant qui vend à perte, d'être un petit méchant qui vend rien, etc... c'est une occasion rêvée (?) pour l'AFNIC de donner l'impression qu'elle fait respecter sa charte et donc qu'elle met bon ordre (on se demande donc bien pourquoi d'autres prestataires sont dans le même cas de figure, mais on ne leur dit rien à eux...)
C'est une justice alternative (en gros maintenant suffit d'être un avocat pointilleux et de se plaindre lourdement à l'AFNIC que X utilise la marque Y est en théorie l'AFNIC *doit* intervenir, puisqu'ils viennent de le faire, et je vois mal comment ils pourront justifier deux niveaux différents de réponse), qui a des effets de bord : d'autres domaines sont bloqués car gérés par le même prestataire, même si ils ne sont pas litigieux ! Zataz utilise les services d'euroDNS par exemple...
Tout le monde s'est plaint des tentatives de loi où un prestataire d'hébergement devait rendre justice lui-même en virant un contenu soi-disant litigieux sur simple plainte (d'ailleurs ca marche très bien comme une étude récente l'a montré, même si la plainte est farfelue). On est exactement dans le même cas de figure, mais avec des domaines !
A un détail prêt: si un hébergeur X vous vire, vous partez voir Y, ce ne sont pas les hébergeurs qui manquent, ici et ailleurs. Si le registre R vous vire, vous ne pouvez qu'aller voir un autre registre... C'est un monopole.
-- Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France) <http://www.dotandco.net/> <http://www.dotandco.com/>
L'AFNIC s'érige donc ici et maintenant en juge, puisqu'elle décide qui
a le droit d'utiliser quelle marque.
Je suis pas sur de comprendre.
Un exemple : wwwgoogle.fr
Que le déposant ne soit pas le propriétaire de la marque google, et que
wwwgoogle.fr soit considéré comme du cybersquatting et aisément
rétrocédé à Google (TM) (C) par tout comité d'arbitrage ou décision de justice,
c'est très probable.
Cependant, si on a créé des procédures d'arbitrage, c'est bien pour que
ce ne soit *pas* à un registre de trancher les histoires de possession de
domaines.
L'argumentation de l'AFNIC est: le propriétaire du domaine en question
est le prestataire AFNIC, et la charte AFNIC interdit à un prestataire de
faire du cybersquatting. *Donc* on applique des sanctions.
Il y a cependant une faille logique sérieuse il me semble.
Que A => B soit vrai avec A=le prestataire AFNIC fait du cybersquatting
et B=le prestataire AFNIC viole la charte qui le lie à l'AFNIC
nous sommes tout à fait d'accord.
Cependant, pour avoir B vrai, il faudrait prouver que A le soit.
Et mon avis à ce sujet, c'est que seul un tribunal ou un comité
d'arbitrage peut prouver A, et cela se passe partout comme ca dans le
monde.
Ici, l'AFNIC a décidé elle-même que A était vrai, et a déroulé le reste.
Et comme cela faisait longtemps que les prestataires AFNIC se bagarrent
entre eux en s'accusant les uns les autres de ne pas respecter la charte
d'être un gros méchant qui vend à perte, d'être un petit méchant qui
vend rien, etc... c'est une occasion rêvée (?) pour l'AFNIC de donner
l'impression qu'elle fait respecter sa charte et donc qu'elle met bon
ordre (on se demande donc bien pourquoi d'autres prestataires sont dans
le même cas de figure, mais on ne leur dit rien à eux...)
C'est une justice alternative (en gros maintenant suffit d'être un avocat
pointilleux et de se plaindre lourdement à l'AFNIC que X utilise la
marque Y est en théorie l'AFNIC *doit* intervenir, puisqu'ils viennent de
le faire, et je vois mal comment ils pourront justifier deux niveaux
différents de réponse), qui a des effets de bord : d'autres domaines sont
bloqués car gérés par le même prestataire, même si ils ne sont pas
litigieux !
Zataz utilise les services d'euroDNS par exemple...
Tout le monde s'est plaint des tentatives de loi où un prestataire
d'hébergement devait rendre justice lui-même en virant un contenu
soi-disant litigieux sur simple plainte (d'ailleurs ca marche très bien
comme une étude récente l'a montré, même si la plainte est farfelue).
On est exactement dans le même cas de figure, mais avec des domaines !
A un détail prêt: si un hébergeur X vous vire, vous partez voir Y, ce ne
sont pas les hébergeurs qui manquent, ici et ailleurs.
Si le registre R vous vire, vous ne pouvez qu'aller voir un autre
registre... C'est un monopole.
--
Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France)
<http://www.dotandco.net/> <http://www.dotandco.com/>
L'AFNIC s'érige donc ici et maintenant en juge, puisqu'elle décide qui a le droit d'utiliser quelle marque.
Je suis pas sur de comprendre.
Un exemple : wwwgoogle.fr
Que le déposant ne soit pas le propriétaire de la marque google, et que wwwgoogle.fr soit considéré comme du cybersquatting et aisément rétrocédé à Google (TM) (C) par tout comité d'arbitrage ou décision de justice, c'est très probable.
Cependant, si on a créé des procédures d'arbitrage, c'est bien pour que ce ne soit *pas* à un registre de trancher les histoires de possession de domaines.
L'argumentation de l'AFNIC est: le propriétaire du domaine en question est le prestataire AFNIC, et la charte AFNIC interdit à un prestataire de faire du cybersquatting. *Donc* on applique des sanctions.
Il y a cependant une faille logique sérieuse il me semble. Que A => B soit vrai avec A=le prestataire AFNIC fait du cybersquatting et B=le prestataire AFNIC viole la charte qui le lie à l'AFNIC nous sommes tout à fait d'accord. Cependant, pour avoir B vrai, il faudrait prouver que A le soit.
Et mon avis à ce sujet, c'est que seul un tribunal ou un comité d'arbitrage peut prouver A, et cela se passe partout comme ca dans le monde.
Ici, l'AFNIC a décidé elle-même que A était vrai, et a déroulé le reste. Et comme cela faisait longtemps que les prestataires AFNIC se bagarrent entre eux en s'accusant les uns les autres de ne pas respecter la charte d'être un gros méchant qui vend à perte, d'être un petit méchant qui vend rien, etc... c'est une occasion rêvée (?) pour l'AFNIC de donner l'impression qu'elle fait respecter sa charte et donc qu'elle met bon ordre (on se demande donc bien pourquoi d'autres prestataires sont dans le même cas de figure, mais on ne leur dit rien à eux...)
C'est une justice alternative (en gros maintenant suffit d'être un avocat pointilleux et de se plaindre lourdement à l'AFNIC que X utilise la marque Y est en théorie l'AFNIC *doit* intervenir, puisqu'ils viennent de le faire, et je vois mal comment ils pourront justifier deux niveaux différents de réponse), qui a des effets de bord : d'autres domaines sont bloqués car gérés par le même prestataire, même si ils ne sont pas litigieux ! Zataz utilise les services d'euroDNS par exemple...
Tout le monde s'est plaint des tentatives de loi où un prestataire d'hébergement devait rendre justice lui-même en virant un contenu soi-disant litigieux sur simple plainte (d'ailleurs ca marche très bien comme une étude récente l'a montré, même si la plainte est farfelue). On est exactement dans le même cas de figure, mais avec des domaines !
A un détail prêt: si un hébergeur X vous vire, vous partez voir Y, ce ne sont pas les hébergeurs qui manquent, ici et ailleurs. Si le registre R vous vire, vous ne pouvez qu'aller voir un autre registre... C'est un monopole.
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Patrick Mevzek
regles sur la communication prestataire/clients,... Et j'en passe sur les "jeunes pousses" emanant de l'afnic, les campagnes de communication dont on peut discuter l'interet (et le cout),...
Question intérêt/coût, la dernière trouvaille (la ``qualification'' via un plugin pour IE) me paraît un très bon exemple de gachis phénoménal. Faut bien justifier 30 salariés d'un autre côté...
Je ne crois pas qu'il y ait d'autre exemples par le monde d'un tel fonctionnement et pour une fois cette exception francaise me parait tres tres contestable (et contestée).
Le décret qui doit stipuler qui est exactement registre du .FR, .RE, .TF et j'en passe des TLDs que personne connait ni utilise n'est pas encore paru. Y a peut-être moyen de faire que ce ne soit pas l'AFNIC qui apparaisse dedans :-) ?
-- Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France) <http://www.dotandco.net/> <http://www.dotandco.com/>
regles sur la communication prestataire/clients,... Et j'en passe sur
les "jeunes pousses" emanant de l'afnic, les campagnes de communication
dont on peut discuter l'interet (et le cout),...
Question intérêt/coût, la dernière trouvaille (la ``qualification'' via
un plugin pour IE) me paraît un très bon exemple de gachis phénoménal.
Faut bien justifier 30 salariés d'un autre côté...
Je ne crois pas qu'il y
ait d'autre exemples par le monde d'un tel fonctionnement et pour une
fois cette exception francaise me parait tres tres contestable (et
contestée).
Le décret qui doit stipuler qui est exactement registre du .FR, .RE, .TF
et j'en passe des TLDs que personne connait ni utilise n'est pas encore
paru.
Y a peut-être moyen de faire que ce ne soit pas l'AFNIC qui apparaisse
dedans :-) ?
--
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regles sur la communication prestataire/clients,... Et j'en passe sur les "jeunes pousses" emanant de l'afnic, les campagnes de communication dont on peut discuter l'interet (et le cout),...
Question intérêt/coût, la dernière trouvaille (la ``qualification'' via un plugin pour IE) me paraît un très bon exemple de gachis phénoménal. Faut bien justifier 30 salariés d'un autre côté...
Je ne crois pas qu'il y ait d'autre exemples par le monde d'un tel fonctionnement et pour une fois cette exception francaise me parait tres tres contestable (et contestée).
Le décret qui doit stipuler qui est exactement registre du .FR, .RE, .TF et j'en passe des TLDs que personne connait ni utilise n'est pas encore paru. Y a peut-être moyen de faire que ce ne soit pas l'AFNIC qui apparaisse dedans :-) ?
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Patrick Mevzek
Et alors ? Vous verrez bien que lycos n'y est pas.
Et alors, qu'il y soit ou pas il est dans la même situation qu'EuroDNS
Non, vous n'avez rien compris, il n'est justement *pas* dans la même situation. Relisez le thread à tête réposée.
il a permis aux particuliers de déposer un nom de domaine en Fr par son intermédiaire donc en toute logique son tour devrait venir à moins que
Non, son tour ne viendra pas. Il n'est pas interdit d'utiliser un mandataire, et il n'y a pas de litige sur la possession des domaines, pas de plainte auprès de l'AFNIC, et pas de ``nuisance à l'image de l'AFNIC'' (modulo la publicité que l'AFNIC a demandé de corriger). Les prestataires AFNIC ont un contrat avec l'AFNIC. Lycos n'est *PAS* prestataire, et donc n'a *AUCUNE* relation contractuelle avec l'AFNIC.
Ce sont deux cas très différents. Il y a cependant apparemment d'autres cas similaires à EuroDNS, mais là l'AFNIC n'en parle pas...
-- Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France) <http://www.dotandco.net/> <http://www.dotandco.com/>
Et alors ?
Vous verrez bien que lycos n'y est pas.
Et alors, qu'il y soit ou pas il est dans la même situation qu'EuroDNS
Non, vous n'avez rien compris, il n'est justement *pas* dans la même
situation. Relisez le thread à tête réposée.
il a permis aux particuliers de déposer un nom de domaine en Fr par son
intermédiaire donc en toute logique son tour devrait venir à moins que
Non, son tour ne viendra pas.
Il n'est pas interdit d'utiliser un mandataire, et il n'y a pas de litige
sur la possession des domaines, pas de plainte auprès de l'AFNIC, et pas
de ``nuisance à l'image de l'AFNIC'' (modulo la publicité que l'AFNIC a
demandé de corriger).
Les prestataires AFNIC ont un contrat avec l'AFNIC.
Lycos n'est *PAS* prestataire, et donc n'a *AUCUNE* relation
contractuelle avec l'AFNIC.
Ce sont deux cas très différents.
Il y a cependant apparemment d'autres cas similaires à EuroDNS, mais là
l'AFNIC n'en parle pas...
--
Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France)
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Et alors ? Vous verrez bien que lycos n'y est pas.
Et alors, qu'il y soit ou pas il est dans la même situation qu'EuroDNS
Non, vous n'avez rien compris, il n'est justement *pas* dans la même situation. Relisez le thread à tête réposée.
il a permis aux particuliers de déposer un nom de domaine en Fr par son intermédiaire donc en toute logique son tour devrait venir à moins que
Non, son tour ne viendra pas. Il n'est pas interdit d'utiliser un mandataire, et il n'y a pas de litige sur la possession des domaines, pas de plainte auprès de l'AFNIC, et pas de ``nuisance à l'image de l'AFNIC'' (modulo la publicité que l'AFNIC a demandé de corriger). Les prestataires AFNIC ont un contrat avec l'AFNIC. Lycos n'est *PAS* prestataire, et donc n'a *AUCUNE* relation contractuelle avec l'AFNIC.
Ce sont deux cas très différents. Il y a cependant apparemment d'autres cas similaires à EuroDNS, mais là l'AFNIC n'en parle pas...
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Patrick Mevzek
Cependant, si on a créé des procédures d'arbitrage, c'est bien pour que ce ne soit *pas* à un registre de trancher les histoires de possession de domaines.
Certes la question portait sur la propriété de la marque de EuroDNS ou le fait qu'il soit ou Laurent machin soit le président des assoc' et dirigeant des entreprises concernées ?
EuroDNS représenté par une personne (commerçant) en France a déposé X domaines en son nom propre (propriéraire=prestataire AFNIC). L'AFNIC estime que les noms sont litigieux car c'est du cyber/typo/whatever-squatting, d'où réaction. J'estime que ce n'est pas à l'AFNIC de se prononcer sur le caractère litigieux d'un nom. Et que l'AFNIC (et ses prestataires) n'a qu'a entériner le résultat d'une décision de justice. Le problème est qu'il n'y a à l'heure actuelle, malgré quelques plaintes certainement déposées ou en voie de l'être, aucune décision statuant sur ces domaines ``litigieux''.
Ici, l'AFNIC a décidé elle-même que A était vrai, et a déroulé le reste.
Peut être pas, elle a peut être consideré que contacté 4500 titulaires réels qui ne sont indiqués nulle part était très fastidieux et de punir aussi les pratiques douteuses d'un prestataire.
Personnellement, je ne vois même pas en quoi l'AFNIC aurait à contacter les titulaires. Ce n'est pas son problème ! Si Google (C) (TM) estime que wwwgoogle.fr n'a pas le bon propriétaire actuellement, il porte plainte ou entame un arbitrage, et au final si la décision va dans son sens, il fait appliquer le résultat, ce que et l'AFNIC et le prestataire concerné seront obligés d'appliquer. Cela a toujours fonctionné ainsi partout, et je ne vois pas de bonnes raisons de changer maintenant. En tout cas, certainement pas de la façon dont cette affaire est gérée.
-- Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France) <http://www.dotandco.net/> <http://www.dotandco.com/>
Cependant, si on a créé des procédures d'arbitrage, c'est bien pour que
ce ne soit *pas* à un registre de trancher les histoires de possession
de domaines.
Certes la question portait sur la propriété de la marque de EuroDNS ou
le fait qu'il soit ou Laurent machin soit le président des assoc' et
dirigeant des entreprises concernées ?
EuroDNS représenté par une personne (commerçant) en France a déposé X
domaines en son nom propre (propriéraire=prestataire AFNIC).
L'AFNIC estime que les noms sont litigieux car c'est du
cyber/typo/whatever-squatting, d'où réaction.
J'estime que ce n'est pas à l'AFNIC de se prononcer sur le caractère
litigieux d'un nom. Et que l'AFNIC (et ses prestataires) n'a qu'a
entériner le résultat d'une décision de justice. Le problème est qu'il
n'y a à l'heure actuelle, malgré quelques plaintes certainement déposées
ou en voie de l'être, aucune décision statuant sur ces domaines
``litigieux''.
Ici, l'AFNIC a décidé elle-même que A était vrai, et a déroulé le
reste.
Peut être pas, elle a peut être consideré que contacté 4500 titulaires
réels qui ne sont indiqués nulle part était très fastidieux et de punir
aussi les pratiques douteuses d'un prestataire.
Personnellement, je ne vois même pas en quoi l'AFNIC aurait à contacter
les titulaires. Ce n'est pas son problème !
Si Google (C) (TM) estime que wwwgoogle.fr n'a pas le bon propriétaire
actuellement, il porte plainte ou entame un arbitrage, et au final si la
décision va dans son sens, il fait appliquer le résultat, ce que et
l'AFNIC et le prestataire concerné seront obligés d'appliquer.
Cela a toujours fonctionné ainsi partout, et je ne vois pas de bonnes
raisons de changer maintenant.
En tout cas, certainement pas de la façon dont cette affaire est gérée.
--
Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France)
<http://www.dotandco.net/> <http://www.dotandco.com/>
Cependant, si on a créé des procédures d'arbitrage, c'est bien pour que ce ne soit *pas* à un registre de trancher les histoires de possession de domaines.
Certes la question portait sur la propriété de la marque de EuroDNS ou le fait qu'il soit ou Laurent machin soit le président des assoc' et dirigeant des entreprises concernées ?
EuroDNS représenté par une personne (commerçant) en France a déposé X domaines en son nom propre (propriéraire=prestataire AFNIC). L'AFNIC estime que les noms sont litigieux car c'est du cyber/typo/whatever-squatting, d'où réaction. J'estime que ce n'est pas à l'AFNIC de se prononcer sur le caractère litigieux d'un nom. Et que l'AFNIC (et ses prestataires) n'a qu'a entériner le résultat d'une décision de justice. Le problème est qu'il n'y a à l'heure actuelle, malgré quelques plaintes certainement déposées ou en voie de l'être, aucune décision statuant sur ces domaines ``litigieux''.
Ici, l'AFNIC a décidé elle-même que A était vrai, et a déroulé le reste.
Peut être pas, elle a peut être consideré que contacté 4500 titulaires réels qui ne sont indiqués nulle part était très fastidieux et de punir aussi les pratiques douteuses d'un prestataire.
Personnellement, je ne vois même pas en quoi l'AFNIC aurait à contacter les titulaires. Ce n'est pas son problème ! Si Google (C) (TM) estime que wwwgoogle.fr n'a pas le bon propriétaire actuellement, il porte plainte ou entame un arbitrage, et au final si la décision va dans son sens, il fait appliquer le résultat, ce que et l'AFNIC et le prestataire concerné seront obligés d'appliquer. Cela a toujours fonctionné ainsi partout, et je ne vois pas de bonnes raisons de changer maintenant. En tout cas, certainement pas de la façon dont cette affaire est gérée.
-- Patrick Mevzek . . . . . . Dot and Co (Paris, France) <http://www.dotandco.net/> <http://www.dotandco.com/>
Stephane Kanschine
Le Wed, 27 Oct 2004 14:25:17 +0200, Patrick Mevzek a écrit :
Cependant, si on a créé des procédures d'arbitrage, c'est bien pour que ce ne soit *pas* à un registre de trancher les histoires de possession de domaines.
Certes la question portait sur la propriété de la marque de EuroDNS ou le fait qu'il soit ou Laurent machin soit le président des assoc' et dirigeant des entreprises concernées ?
Pour le reste je connais le fonctionnement de la justice, la démocratisation de la justice privée, c'est juste un point sur lequel je questionnais.
Ici, l'AFNIC a décidé elle-même que A était vrai, et a déroulé le reste.
Peut être pas, elle a peut être consideré que contacté 4500 titulaires réels qui ne sont indiqués nulle part était très fastidieux et de punir aussi les pratiques douteuses d'un prestataire. Mais après tout j'en sais rien, ça reste des élucubrations autant que celles que j'ai pu entendre depuis ce matin (ex falsus quod libet).
-- Stephane Kanschine Amadouer l'anti-spam pour me répondre
Le Wed, 27 Oct 2004 14:25:17 +0200, Patrick Mevzek a écrit :
Cependant, si on a créé des procédures d'arbitrage, c'est bien pour
que ce ne soit *pas* à un registre de trancher les histoires de
possession de domaines.
Certes la question portait sur la propriété de la marque de EuroDNS ou
le fait qu'il soit ou Laurent machin soit le président des assoc' et
dirigeant des entreprises concernées ?
Pour le reste je connais le fonctionnement de la justice, la
démocratisation de la justice privée, c'est juste un point sur lequel je
questionnais.
Ici, l'AFNIC a décidé elle-même que A était vrai, et a déroulé le
reste.
Peut être pas, elle a peut être consideré que contacté 4500 titulaires
réels qui ne sont indiqués nulle part était très fastidieux et de
punir aussi les pratiques douteuses d'un prestataire. Mais après tout
j'en sais rien, ça reste des élucubrations autant que celles que j'ai pu
entendre depuis ce matin (ex falsus quod libet).
--
Stephane Kanschine
Amadouer l'anti-spam pour me répondre
Le Wed, 27 Oct 2004 14:25:17 +0200, Patrick Mevzek a écrit :
Cependant, si on a créé des procédures d'arbitrage, c'est bien pour que ce ne soit *pas* à un registre de trancher les histoires de possession de domaines.
Certes la question portait sur la propriété de la marque de EuroDNS ou le fait qu'il soit ou Laurent machin soit le président des assoc' et dirigeant des entreprises concernées ?
Pour le reste je connais le fonctionnement de la justice, la démocratisation de la justice privée, c'est juste un point sur lequel je questionnais.
Ici, l'AFNIC a décidé elle-même que A était vrai, et a déroulé le reste.
Peut être pas, elle a peut être consideré que contacté 4500 titulaires réels qui ne sont indiqués nulle part était très fastidieux et de punir aussi les pratiques douteuses d'un prestataire. Mais après tout j'en sais rien, ça reste des élucubrations autant que celles que j'ai pu entendre depuis ce matin (ex falsus quod libet).
-- Stephane Kanschine Amadouer l'anti-spam pour me répondre
nicolas vigier
On 2004-10-27, François Yves Le Gal wrote:
On Wed, 27 Oct 2004 07:30:57 +0000 (UTC), Raphael Bouaziz wrote:
Cela ne fait que cinq ans que je m'échine à le dire aux gens ... Les GTLD, c'est largement suffisant.
Pas trop d'accord : on peut choisir du .com plus du .fr, .it et autres dans pas mal de cas.
Par exemple, les TLD géo sont impecs pour des sociétés ayant des activités dans de multiples pays, en permettant ainsi un accès direct sur la bonne page maison dans la ou les bonnes langues.
Ou bien utiliser fr.domaine.com, it.domaine.com, etc ...
On 2004-10-27, François Yves Le Gal <flegal@aingeal.com> wrote:
On Wed, 27 Oct 2004 07:30:57 +0000 (UTC), Raphael Bouaziz
<bouaziz@nerim.net> wrote:
Cela ne fait que cinq ans que je m'échine à le dire aux gens ...
Les GTLD, c'est largement suffisant.
Pas trop d'accord : on peut choisir du .com plus du .fr, .it et autres dans
pas mal de cas.
Par exemple, les TLD géo sont impecs pour des sociétés ayant des activités
dans de multiples pays, en permettant ainsi un accès direct sur la bonne
page maison dans la ou les bonnes langues.
Ou bien utiliser fr.domaine.com, it.domaine.com, etc ...
On Wed, 27 Oct 2004 07:30:57 +0000 (UTC), Raphael Bouaziz wrote:
Cela ne fait que cinq ans que je m'échine à le dire aux gens ... Les GTLD, c'est largement suffisant.
Pas trop d'accord : on peut choisir du .com plus du .fr, .it et autres dans pas mal de cas.
Par exemple, les TLD géo sont impecs pour des sociétés ayant des activités dans de multiples pays, en permettant ainsi un accès direct sur la bonne page maison dans la ou les bonnes langues.
Ou bien utiliser fr.domaine.com, it.domaine.com, etc ...