Ca dépend si tu inclus l'écoute dans les raisons objectives ou pas.
Le problème vient simplement du fait que les mesures usuelles
(distorsion harmonique, intermodulation, rapport S/N, ...) quantifient
des phénomènes qui n'influent que partiellement l'écoute et qu'il
manque une batterie de mesures qui seraient beaucoup plus pertinentes.
En clair, on mesure des choses mais qui sont quelque peu à côté de ce
qui impacte réellement notre écoute.
Le corollaire est, qu'en absence de mesures exhaustives pouvant
qualifier un maillon, tu es obligé d'adjoindre l'écoute avec tout ce
qui sous-entend de subjectivité et là, ça ouvre la porte à tout et
n'importe quoi ...
Exemple, la distorsion harmonique, pourtant longtemps le seul chiffre
qui permettait de quantifier un maillon hi-fi (avec la puissance de
l'ampli), est probablement ce qui dérange le moins à l'écoute
simplement parce qu'elle en phase avec la musique, les harmoniques
sont des fréquences multiples du fondamental, elle va changer le
timbre d'un instrument mais ne va pas foncièrement le dénaturer.
De plus, on ne se préoccupe que d'un seul chiffre, le total. La
répartition de ces harmoniques (proportions pairs-impairs, rangs
élevés, forme du spectre) n'est jamais indiquée dans les specs alors
qu'elle a son importance.
Et à ne réduire la complexité qu'à quelques chiffres, on obtient des
effets pervers.
Pendant longtemps, les fabricants se sont battus sur un plan
commercial à celui qui avait le plus de chiffres après la virgule, ce
qui a impliqué notamment des taux de contre-réaction monstrueux que
permettent facilement le solid-state et une écoute catastrophique.
On est depuis revenu en arrière avec des taux de contre-réaction
beaucoup plus raisonnables et des distorsions mesurées plus élevées
mais bizarrement, ça sonne plus juste ...
Avec du tube, de tels taux de contre-réaction sont impossibles et,
quelque part, ça a servi de garde-fou en empêchant ces aberrations.
Autre point, toutes les mesures sont effectuées en régime stabilisé,
la plupart du temps en onde sinusoidale, parfois carrée.
Le problème est que la musique ne ressemble pas à ça, c'est
essentiellement du transitoire.
Quelles mesures avons-nous en régime transitoire ? Pas lourd ...
Ca dépend si tu inclus l'écoute dans les raisons objectives ou pas.
Le problème vient simplement du fait que les mesures usuelles
(distorsion harmonique, intermodulation, rapport S/N, ...) quantifient
des phénomènes qui n'influent que partiellement l'écoute et qu'il
manque une batterie de mesures qui seraient beaucoup plus pertinentes.
En clair, on mesure des choses mais qui sont quelque peu à côté de ce
qui impacte réellement notre écoute.
Le corollaire est, qu'en absence de mesures exhaustives pouvant
qualifier un maillon, tu es obligé d'adjoindre l'écoute avec tout ce
qui sous-entend de subjectivité et là, ça ouvre la porte à tout et
n'importe quoi ...
Exemple, la distorsion harmonique, pourtant longtemps le seul chiffre
qui permettait de quantifier un maillon hi-fi (avec la puissance de
l'ampli), est probablement ce qui dérange le moins à l'écoute
simplement parce qu'elle en phase avec la musique, les harmoniques
sont des fréquences multiples du fondamental, elle va changer le
timbre d'un instrument mais ne va pas foncièrement le dénaturer.
De plus, on ne se préoccupe que d'un seul chiffre, le total. La
répartition de ces harmoniques (proportions pairs-impairs, rangs
élevés, forme du spectre) n'est jamais indiquée dans les specs alors
qu'elle a son importance.
Et à ne réduire la complexité qu'à quelques chiffres, on obtient des
effets pervers.
Pendant longtemps, les fabricants se sont battus sur un plan
commercial à celui qui avait le plus de chiffres après la virgule, ce
qui a impliqué notamment des taux de contre-réaction monstrueux que
permettent facilement le solid-state et une écoute catastrophique.
On est depuis revenu en arrière avec des taux de contre-réaction
beaucoup plus raisonnables et des distorsions mesurées plus élevées
mais bizarrement, ça sonne plus juste ...
Avec du tube, de tels taux de contre-réaction sont impossibles et,
quelque part, ça a servi de garde-fou en empêchant ces aberrations.
Autre point, toutes les mesures sont effectuées en régime stabilisé,
la plupart du temps en onde sinusoidale, parfois carrée.
Le problème est que la musique ne ressemble pas à ça, c'est
essentiellement du transitoire.
Quelles mesures avons-nous en régime transitoire ? Pas lourd ...
Ca dépend si tu inclus l'écoute dans les raisons objectives ou pas.
Le problème vient simplement du fait que les mesures usuelles
(distorsion harmonique, intermodulation, rapport S/N, ...) quantifient
des phénomènes qui n'influent que partiellement l'écoute et qu'il
manque une batterie de mesures qui seraient beaucoup plus pertinentes.
En clair, on mesure des choses mais qui sont quelque peu à côté de ce
qui impacte réellement notre écoute.
Le corollaire est, qu'en absence de mesures exhaustives pouvant
qualifier un maillon, tu es obligé d'adjoindre l'écoute avec tout ce
qui sous-entend de subjectivité et là, ça ouvre la porte à tout et
n'importe quoi ...
Exemple, la distorsion harmonique, pourtant longtemps le seul chiffre
qui permettait de quantifier un maillon hi-fi (avec la puissance de
l'ampli), est probablement ce qui dérange le moins à l'écoute
simplement parce qu'elle en phase avec la musique, les harmoniques
sont des fréquences multiples du fondamental, elle va changer le
timbre d'un instrument mais ne va pas foncièrement le dénaturer.
De plus, on ne se préoccupe que d'un seul chiffre, le total. La
répartition de ces harmoniques (proportions pairs-impairs, rangs
élevés, forme du spectre) n'est jamais indiquée dans les specs alors
qu'elle a son importance.
Et à ne réduire la complexité qu'à quelques chiffres, on obtient des
effets pervers.
Pendant longtemps, les fabricants se sont battus sur un plan
commercial à celui qui avait le plus de chiffres après la virgule, ce
qui a impliqué notamment des taux de contre-réaction monstrueux que
permettent facilement le solid-state et une écoute catastrophique.
On est depuis revenu en arrière avec des taux de contre-réaction
beaucoup plus raisonnables et des distorsions mesurées plus élevées
mais bizarrement, ça sonne plus juste ...
Avec du tube, de tels taux de contre-réaction sont impossibles et,
quelque part, ça a servi de garde-fou en empêchant ces aberrations.
Autre point, toutes les mesures sont effectuées en régime stabilisé,
la plupart du temps en onde sinusoidale, parfois carrée.
Le problème est que la musique ne ressemble pas à ça, c'est
essentiellement du transitoire.
Quelles mesures avons-nous en régime transitoire ? Pas lourd ...
Si ça se trouve tous les amplis à semi-conducteurs (même ceux en
class H) sonnent très bien si on met un transfro entre eux et le HP.
Si ça se trouve tous les amplis à semi-conducteurs (même ceux en
class H) sonnent très bien si on met un transfro entre eux et le HP.
Si ça se trouve tous les amplis à semi-conducteurs (même ceux en
class H) sonnent très bien si on met un transfro entre eux et le HP.
Ce cher mammifère du nom de Ofnuts nous susurrait, le vendrediSi ça se trouve tous les amplis à semi-conducteurs (même ceux en class
H) sonnent très bien si on met un transfro entre eux et le HP.
Ce qui est en particulier le cas des *McIntosch* (même ceux à
transistors)...C'est bien connu...Ce sont par ailleurs les rarissimes
amplis à fonctionner en classe B...
Ce cher mammifère du nom de Ofnuts nous susurrait, le vendredi
Si ça se trouve tous les amplis à semi-conducteurs (même ceux en class
H) sonnent très bien si on met un transfro entre eux et le HP.
Ce qui est en particulier le cas des *McIntosch* (même ceux à
transistors)...C'est bien connu...Ce sont par ailleurs les rarissimes
amplis à fonctionner en classe B...
Ce cher mammifère du nom de Ofnuts nous susurrait, le vendrediSi ça se trouve tous les amplis à semi-conducteurs (même ceux en class
H) sonnent très bien si on met un transfro entre eux et le HP.
Ce qui est en particulier le cas des *McIntosch* (même ceux à
transistors)...C'est bien connu...Ce sont par ailleurs les rarissimes
amplis à fonctionner en classe B...
On 03/18/2011 02:57 PM, Claudio Bonavolta wrote:
> Ca d pend si tu inclus l' coute dans les raisons objectives ou pas.
> Le probl me vient simplement du fait que les mesures usuelles
> (distorsion harmonique, intermodulation, rapport S/N, ...) quantifient
> des ph nom nes qui n'influent que partiellement l' coute et qu'il
> manque une batterie de mesures qui seraient beaucoup plus pertinentes.
> En clair, on mesure des choses mais qui sont quelque peu c t de ce
> qui impacte r ellement notre coute.
> Le corollaire est, qu'en absence de mesures exhaustives pouvant
> qualifier un maillon, tu es oblig d'adjoindre l' coute avec tout ce
> qui sous-entend de subjectivit et l , a ouvre la porte tout et
> n'importe quoi ...
> Exemple, la distorsion harmonique, pourtant longtemps le seul chiffre
> qui permettait de quantifier un maillon hi-fi (avec la puissance de
> l'ampli), est probablement ce qui d range le moins l' coute
> simplement parce qu'elle en phase avec la musique, les harmoniques
> sont des fr quences multiples du fondamental, elle va changer le
> timbre d'un instrument mais ne va pas fonci rement le d naturer.
> De plus, on ne se pr occupe que d'un seul chiffre, le total. La
> r partition de ces harmoniques (proportions pairs-impairs, rangs
> lev s, forme du spectre) n'est jamais indiqu e dans les specs alors
> qu'elle a son importance.
> Et ne r duire la complexit qu' quelques chiffres, on obtient des
> effets pervers.
> Pendant longtemps, les fabricants se sont battus sur un plan
> commercial celui qui avait le plus de chiffres apr s la virgule, ce
> qui a impliqu notamment des taux de contre-r action monstrueux que
> permettent facilement le solid-state et une coute catastrophique.
> On est depuis revenu en arri re avec des taux de contre-r action
> beaucoup plus raisonnables et des distorsions mesur es plus lev es
> mais bizarrement, a sonne plus juste ...
> Avec du tube, de tels taux de contre-r action sont impossibles et,
> quelque part, a a servi de garde-fou en emp chant ces aberrations.
> Autre point, toutes les mesures sont effectu es en r gime stabilis ,
> la plupart du temps en onde sinusoidale, parfois carr e.
> Le probl me est que la musique ne ressemble pas a, c'est
> essentiellement du transitoire.
> Quelles mesures avons-nous en r gime transitoire ? Pas lourd ...
De toutes fa ons, si ma m moire est bonne un ampli tubes se termine
par un transfo qui lui seul concentre tous les probl mes de distorsion
et de r ponse en fr quence... Si a se trouve tous les amplis
semi-conducteurs (m me ceux en class H) sonnent tr s bien si on met un
transfro entre eux et le HP.
--
Bertrand
On 03/18/2011 02:57 PM, Claudio Bonavolta wrote:
> Ca d pend si tu inclus l' coute dans les raisons objectives ou pas.
> Le probl me vient simplement du fait que les mesures usuelles
> (distorsion harmonique, intermodulation, rapport S/N, ...) quantifient
> des ph nom nes qui n'influent que partiellement l' coute et qu'il
> manque une batterie de mesures qui seraient beaucoup plus pertinentes.
> En clair, on mesure des choses mais qui sont quelque peu c t de ce
> qui impacte r ellement notre coute.
> Le corollaire est, qu'en absence de mesures exhaustives pouvant
> qualifier un maillon, tu es oblig d'adjoindre l' coute avec tout ce
> qui sous-entend de subjectivit et l , a ouvre la porte tout et
> n'importe quoi ...
> Exemple, la distorsion harmonique, pourtant longtemps le seul chiffre
> qui permettait de quantifier un maillon hi-fi (avec la puissance de
> l'ampli), est probablement ce qui d range le moins l' coute
> simplement parce qu'elle en phase avec la musique, les harmoniques
> sont des fr quences multiples du fondamental, elle va changer le
> timbre d'un instrument mais ne va pas fonci rement le d naturer.
> De plus, on ne se pr occupe que d'un seul chiffre, le total. La
> r partition de ces harmoniques (proportions pairs-impairs, rangs
> lev s, forme du spectre) n'est jamais indiqu e dans les specs alors
> qu'elle a son importance.
> Et ne r duire la complexit qu' quelques chiffres, on obtient des
> effets pervers.
> Pendant longtemps, les fabricants se sont battus sur un plan
> commercial celui qui avait le plus de chiffres apr s la virgule, ce
> qui a impliqu notamment des taux de contre-r action monstrueux que
> permettent facilement le solid-state et une coute catastrophique.
> On est depuis revenu en arri re avec des taux de contre-r action
> beaucoup plus raisonnables et des distorsions mesur es plus lev es
> mais bizarrement, a sonne plus juste ...
> Avec du tube, de tels taux de contre-r action sont impossibles et,
> quelque part, a a servi de garde-fou en emp chant ces aberrations.
> Autre point, toutes les mesures sont effectu es en r gime stabilis ,
> la plupart du temps en onde sinusoidale, parfois carr e.
> Le probl me est que la musique ne ressemble pas a, c'est
> essentiellement du transitoire.
> Quelles mesures avons-nous en r gime transitoire ? Pas lourd ...
De toutes fa ons, si ma m moire est bonne un ampli tubes se termine
par un transfo qui lui seul concentre tous les probl mes de distorsion
et de r ponse en fr quence... Si a se trouve tous les amplis
semi-conducteurs (m me ceux en class H) sonnent tr s bien si on met un
transfro entre eux et le HP.
--
Bertrand
On 03/18/2011 02:57 PM, Claudio Bonavolta wrote:
> Ca d pend si tu inclus l' coute dans les raisons objectives ou pas.
> Le probl me vient simplement du fait que les mesures usuelles
> (distorsion harmonique, intermodulation, rapport S/N, ...) quantifient
> des ph nom nes qui n'influent que partiellement l' coute et qu'il
> manque une batterie de mesures qui seraient beaucoup plus pertinentes.
> En clair, on mesure des choses mais qui sont quelque peu c t de ce
> qui impacte r ellement notre coute.
> Le corollaire est, qu'en absence de mesures exhaustives pouvant
> qualifier un maillon, tu es oblig d'adjoindre l' coute avec tout ce
> qui sous-entend de subjectivit et l , a ouvre la porte tout et
> n'importe quoi ...
> Exemple, la distorsion harmonique, pourtant longtemps le seul chiffre
> qui permettait de quantifier un maillon hi-fi (avec la puissance de
> l'ampli), est probablement ce qui d range le moins l' coute
> simplement parce qu'elle en phase avec la musique, les harmoniques
> sont des fr quences multiples du fondamental, elle va changer le
> timbre d'un instrument mais ne va pas fonci rement le d naturer.
> De plus, on ne se pr occupe que d'un seul chiffre, le total. La
> r partition de ces harmoniques (proportions pairs-impairs, rangs
> lev s, forme du spectre) n'est jamais indiqu e dans les specs alors
> qu'elle a son importance.
> Et ne r duire la complexit qu' quelques chiffres, on obtient des
> effets pervers.
> Pendant longtemps, les fabricants se sont battus sur un plan
> commercial celui qui avait le plus de chiffres apr s la virgule, ce
> qui a impliqu notamment des taux de contre-r action monstrueux que
> permettent facilement le solid-state et une coute catastrophique.
> On est depuis revenu en arri re avec des taux de contre-r action
> beaucoup plus raisonnables et des distorsions mesur es plus lev es
> mais bizarrement, a sonne plus juste ...
> Avec du tube, de tels taux de contre-r action sont impossibles et,
> quelque part, a a servi de garde-fou en emp chant ces aberrations.
> Autre point, toutes les mesures sont effectu es en r gime stabilis ,
> la plupart du temps en onde sinusoidale, parfois carr e.
> Le probl me est que la musique ne ressemble pas a, c'est
> essentiellement du transitoire.
> Quelles mesures avons-nous en r gime transitoire ? Pas lourd ...
De toutes fa ons, si ma m moire est bonne un ampli tubes se termine
par un transfo qui lui seul concentre tous les probl mes de distorsion
et de r ponse en fr quence... Si a se trouve tous les amplis
semi-conducteurs (m me ceux en class H) sonnent tr s bien si on met un
transfro entre eux et le HP.
--
Bertrand
Le problème est que la musique ne ressemble pas à ça, c'est
essentiellement du transitoire.
Quelles mesures avons-nous en régime transitoire ? Pas lourd ...
Le problème est que la musique ne ressemble pas à ça, c'est
essentiellement du transitoire.
Quelles mesures avons-nous en régime transitoire ? Pas lourd ...
Le problème est que la musique ne ressemble pas à ça, c'est
essentiellement du transitoire.
Quelles mesures avons-nous en régime transitoire ? Pas lourd ...
Ces gens n'aiment _évidemment pas_ LA Musique, n'est-ce pas...
Ces gens n'aiment _évidemment pas_ LA Musique, n'est-ce pas...
Ces gens n'aiment _évidemment pas_ LA Musique, n'est-ce pas...
Le 18/03/2011 14:57, Claudio Bonavolta a écrit :
Le problème est que la musique ne ressemble pas à ça, c'est
essentiellement du transitoire.
Quelles mesures avons-nous en régime transitoire ? Pas lourd ...
ça n'a pas de sens, la musique serait donc un signal
spécial avec des informations spéciales?
la théorie du traitement du signal et ses mesures seraient
donc aptes à faire radar, sonar, antennes, telecom spatiale, etc
sans problème et sans "lacune" de mesure... et tout d'un coup en
musique
c'est pas assez bon?
hum hum...
un signal carré dont tu parles est par exemple un signal de
transitoire
parfait... et utilisé pour étudier la réponse dite... transitoire.
le problème de l'audiophile c'est l'ego, SON ampli et SA musique
c'est plus pointu que tout... même le système d'écoute d'un
sous-marin nucléaire c'est pas top à côté, ya pas de tube dedans.
Le 18/03/2011 14:57, Claudio Bonavolta a écrit :
Le problème est que la musique ne ressemble pas à ça, c'est
essentiellement du transitoire.
Quelles mesures avons-nous en régime transitoire ? Pas lourd ...
ça n'a pas de sens, la musique serait donc un signal
spécial avec des informations spéciales?
la théorie du traitement du signal et ses mesures seraient
donc aptes à faire radar, sonar, antennes, telecom spatiale, etc
sans problème et sans "lacune" de mesure... et tout d'un coup en
musique
c'est pas assez bon?
hum hum...
un signal carré dont tu parles est par exemple un signal de
transitoire
parfait... et utilisé pour étudier la réponse dite... transitoire.
le problème de l'audiophile c'est l'ego, SON ampli et SA musique
c'est plus pointu que tout... même le système d'écoute d'un
sous-marin nucléaire c'est pas top à côté, ya pas de tube dedans.
Le 18/03/2011 14:57, Claudio Bonavolta a écrit :
Le problème est que la musique ne ressemble pas à ça, c'est
essentiellement du transitoire.
Quelles mesures avons-nous en régime transitoire ? Pas lourd ...
ça n'a pas de sens, la musique serait donc un signal
spécial avec des informations spéciales?
la théorie du traitement du signal et ses mesures seraient
donc aptes à faire radar, sonar, antennes, telecom spatiale, etc
sans problème et sans "lacune" de mesure... et tout d'un coup en
musique
c'est pas assez bon?
hum hum...
un signal carré dont tu parles est par exemple un signal de
transitoire
parfait... et utilisé pour étudier la réponse dite... transitoire.
le problème de l'audiophile c'est l'ego, SON ampli et SA musique
c'est plus pointu que tout... même le système d'écoute d'un
sous-marin nucléaire c'est pas top à côté, ya pas de tube dedans.
ça n'a pas de sens, la musique serait donc un signal
spécial avec des informations spéciales?
ça n'a pas de sens, la musique serait donc un signal
spécial avec des informations spéciales?
ça n'a pas de sens, la musique serait donc un signal
spécial avec des informations spéciales?
Le problème est que la musique ne ressemble pas à ça, c'est
essentiellement du transitoire.
Quelles mesures avons-nous en régime transitoire ? Pas lourd ...
Faut se rendre compte que la haute-fidélité, qu'elle soit à
transistors ou à tubes, d'un point de vue commercial, est morte, elle
ne concerne plus qu'une niche d'allumés.
Au niveau de cette niche, plus tu montes en gamme, plus la proportion
de tubes prend de l'importance.
Le problème est que la musique ne ressemble pas à ça, c'est
essentiellement du transitoire.
Quelles mesures avons-nous en régime transitoire ? Pas lourd ...
Faut se rendre compte que la haute-fidélité, qu'elle soit à
transistors ou à tubes, d'un point de vue commercial, est morte, elle
ne concerne plus qu'une niche d'allumés.
Au niveau de cette niche, plus tu montes en gamme, plus la proportion
de tubes prend de l'importance.
Le problème est que la musique ne ressemble pas à ça, c'est
essentiellement du transitoire.
Quelles mesures avons-nous en régime transitoire ? Pas lourd ...
Faut se rendre compte que la haute-fidélité, qu'elle soit à
transistors ou à tubes, d'un point de vue commercial, est morte, elle
ne concerne plus qu'une niche d'allumés.
Au niveau de cette niche, plus tu montes en gamme, plus la proportion
de tubes prend de l'importance.
Le 18/03/2011 14:57, Claudio Bonavolta a écrit :
Le problème est que la musique ne ressemble pas à ça, c'est
essentiellement du transitoire.
Quelles mesures avons-nous en régime transitoire ? Pas lourd ...
ça n'a pas de sens, la musique serait donc un signal
spécial avec des informations spéciales?
la théorie du traitement du signal et ses mesures seraient
donc aptes à faire radar, sonar, antennes, telecom spatiale, etc
sans problème et sans "lacune" de mesure... et tout d'un coup en musique
c'est pas assez bon?
hum hum...
un signal carré dont tu parles est par exemple un signal de transitoire
parfait... et utilisé pour étudier la réponse dite... transitoire.
le problème de l'audiophile c'est l'ego, SON ampli et SA musique
c'est plus pointu que tout... même le système d'écoute d'un
sous-marin nucléaire c'est pas top à côté, ya pas de tube dedans.
Le 18/03/2011 14:57, Claudio Bonavolta a écrit :
Le problème est que la musique ne ressemble pas à ça, c'est
essentiellement du transitoire.
Quelles mesures avons-nous en régime transitoire ? Pas lourd ...
ça n'a pas de sens, la musique serait donc un signal
spécial avec des informations spéciales?
la théorie du traitement du signal et ses mesures seraient
donc aptes à faire radar, sonar, antennes, telecom spatiale, etc
sans problème et sans "lacune" de mesure... et tout d'un coup en musique
c'est pas assez bon?
hum hum...
un signal carré dont tu parles est par exemple un signal de transitoire
parfait... et utilisé pour étudier la réponse dite... transitoire.
le problème de l'audiophile c'est l'ego, SON ampli et SA musique
c'est plus pointu que tout... même le système d'écoute d'un
sous-marin nucléaire c'est pas top à côté, ya pas de tube dedans.
Le 18/03/2011 14:57, Claudio Bonavolta a écrit :
Le problème est que la musique ne ressemble pas à ça, c'est
essentiellement du transitoire.
Quelles mesures avons-nous en régime transitoire ? Pas lourd ...
ça n'a pas de sens, la musique serait donc un signal
spécial avec des informations spéciales?
la théorie du traitement du signal et ses mesures seraient
donc aptes à faire radar, sonar, antennes, telecom spatiale, etc
sans problème et sans "lacune" de mesure... et tout d'un coup en musique
c'est pas assez bon?
hum hum...
un signal carré dont tu parles est par exemple un signal de transitoire
parfait... et utilisé pour étudier la réponse dite... transitoire.
le problème de l'audiophile c'est l'ego, SON ampli et SA musique
c'est plus pointu que tout... même le système d'écoute d'un
sous-marin nucléaire c'est pas top à côté, ya pas de tube dedans.