Enfin l'insulte suprème : être abonné à Wanadoo ! Oh, le naze !
Mais sans doute cette fine distinction a-t-elle échappé à votre
comité Théodule de gérontocrates abonnés à Wanadoo.
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Cet article, je l'ai lu hier et il ne contient pas d'arguments. Pas
le moindre. Pour une raison simple : le technocrate qui l'a écrit
ne connais rien ni à l'industrie du logiciel ni à celui des services
informatiques.
Et les arguments, vous les avez enfin trouvés ?
Moi ? Mais oui, je les ai trouvés ! C'est vous qui ne les voyez
pas. J'en ai même cité un dans le premier mail.
C'est une plaisanterie ?
«Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles acquièrent
une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels alors qu'elles
sont bien plus dépendantes des sociétés de services.»
Où avez vous vu un argument qui explique pourquoi les
administrations sont plus dépendentes des société de service que des
éditeurs ?
Tout ce que je constate, c'est qu'elles sont trop promptes à payer
les services de consultants de son espèce, qui n'a jamais foutu les
pieds dans quelque industrie que ce soit.
Cet article, je l'ai lu hier et il ne contient pas d'arguments. Pas
le moindre. Pour une raison simple : le technocrate qui l'a écrit
ne connais rien ni à l'industrie du logiciel ni à celui des services
informatiques.
Et les arguments, vous les avez enfin trouvés ?
Moi ? Mais oui, je les ai trouvés ! C'est vous qui ne les voyez
pas. J'en ai même cité un dans le premier mail.
C'est une plaisanterie ?
«Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles acquièrent
une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels alors qu'elles
sont bien plus dépendantes des sociétés de services.»
Où avez vous vu un argument qui explique pourquoi les
administrations sont plus dépendentes des société de service que des
éditeurs ?
Tout ce que je constate, c'est qu'elles sont trop promptes à payer
les services de consultants de son espèce, qui n'a jamais foutu les
pieds dans quelque industrie que ce soit.
Cet article, je l'ai lu hier et il ne contient pas d'arguments. Pas
le moindre. Pour une raison simple : le technocrate qui l'a écrit
ne connais rien ni à l'industrie du logiciel ni à celui des services
informatiques.
Et les arguments, vous les avez enfin trouvés ?
Moi ? Mais oui, je les ai trouvés ! C'est vous qui ne les voyez
pas. J'en ai même cité un dans le premier mail.
C'est une plaisanterie ?
«Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles acquièrent
une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels alors qu'elles
sont bien plus dépendantes des sociétés de services.»
Où avez vous vu un argument qui explique pourquoi les
administrations sont plus dépendentes des société de service que des
éditeurs ?
Tout ce que je constate, c'est qu'elles sont trop promptes à payer
les services de consultants de son espèce, qui n'a jamais foutu les
pieds dans quelque industrie que ce soit.
SL wrote:Je suis également assez d'accord avec :
Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles
acquièrent une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels
alors qu'elles sont bien plus dépendantes des sociétés de services.
Puisque tu es d'accord, tu pourras nous expliquer en quoi il est
naïf de croire que les administrations sont dépendantes des éditeurs
de logiciel (c'est bien ce que signifie grammaticalement la phrase).
Il me semble que la phrase signifie qu'il est naïf de croire que les
administrations acquière une indépendance en [etc.] et non pas qu'il
est naïf de croire qu'elles sont dépendantes.
Tu pourras aussi nous montrer dans quelles proportions une
entreprise utilisant du logiciel libre sera « bien plus »
dépendantes des sociétés de services que des éditeurs de logiciel.
Personnellement j'ai écrit "pourrait bien ne pas être beaucoup moins
problématique", juste après avoir cité la phrase. C'est une pure
supposition, mais je ne vois pas pourquoi en effet la question ne se
pose pas, quand on parle de marché captif.
SL <nospam@nospam.com> wrote:
Je suis également assez d'accord avec :
Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles
acquièrent une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels
alors qu'elles sont bien plus dépendantes des sociétés de services.
Puisque tu es d'accord, tu pourras nous expliquer en quoi il est
naïf de croire que les administrations sont dépendantes des éditeurs
de logiciel (c'est bien ce que signifie grammaticalement la phrase).
Il me semble que la phrase signifie qu'il est naïf de croire que les
administrations acquière une indépendance en [etc.] et non pas qu'il
est naïf de croire qu'elles sont dépendantes.
Tu pourras aussi nous montrer dans quelles proportions une
entreprise utilisant du logiciel libre sera « bien plus »
dépendantes des sociétés de services que des éditeurs de logiciel.
Personnellement j'ai écrit "pourrait bien ne pas être beaucoup moins
problématique", juste après avoir cité la phrase. C'est une pure
supposition, mais je ne vois pas pourquoi en effet la question ne se
pose pas, quand on parle de marché captif.
SL wrote:Je suis également assez d'accord avec :
Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles
acquièrent une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels
alors qu'elles sont bien plus dépendantes des sociétés de services.
Puisque tu es d'accord, tu pourras nous expliquer en quoi il est
naïf de croire que les administrations sont dépendantes des éditeurs
de logiciel (c'est bien ce que signifie grammaticalement la phrase).
Il me semble que la phrase signifie qu'il est naïf de croire que les
administrations acquière une indépendance en [etc.] et non pas qu'il
est naïf de croire qu'elles sont dépendantes.
Tu pourras aussi nous montrer dans quelles proportions une
entreprise utilisant du logiciel libre sera « bien plus »
dépendantes des sociétés de services que des éditeurs de logiciel.
Personnellement j'ai écrit "pourrait bien ne pas être beaucoup moins
problématique", juste après avoir cité la phrase. C'est une pure
supposition, mais je ne vois pas pourquoi en effet la question ne se
pose pas, quand on parle de marché captif.
SL wrote:SL wrote:Je suis également assez d'accord avec :
Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles
acquièrent une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels
alors qu'elles sont bien plus dépendantes des sociétés de services.
Puisque tu es d'accord, tu pourras nous expliquer en quoi il est
naïf de croire que les administrations sont dépendantes des éditeurs
de logiciel (c'est bien ce que signifie grammaticalement la phrase).
Il me semble que la phrase signifie qu'il est naïf de croire que les
administrations acquière une indépendance en [etc.] et non pas qu'il
est naïf de croire qu'elles sont dépendantes.
Oui, je me suis planté. De toute façon, c'était de la mauvaise foi
exploitant une construction de phrase que je trouve bancale.
Normalement, on peut couper le « alors que... », ce qui donne alors
une affirmation ridiculement fausse.
Tu pourras aussi nous montrer dans quelles proportions une
entreprise utilisant du logiciel libre sera « bien plus »
dépendantes des sociétés de services que des éditeurs de
logiciel.
Personnellement j'ai écrit "pourrait bien ne pas être beaucoup
moins problématique", juste après avoir cité la phrase. C'est une
pure supposition, mais je ne vois pas pourquoi en effet la question
ne se pose pas, quand on parle de marché captif.
Ce que je dis, c'est que c'est enfoncer des portes ouvertes que
d'affirmer que de toute façon, une entreprise sera dépendante d'une
autre entreprise, qu'elle fasse appel à un éditeur de logiciel ou à
une entreprise de service.
Il est incongru de se demander lequel de ces deux types
d'entreprises donne plus d'indépendance, puisque le logiciel libre
_permet_ de s'en passer totalement.
SL <nospam@nospam.com> wrote:
SL <nospam@nospam.com> wrote:
Je suis également assez d'accord avec :
Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles
acquièrent une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels
alors qu'elles sont bien plus dépendantes des sociétés de services.
Puisque tu es d'accord, tu pourras nous expliquer en quoi il est
naïf de croire que les administrations sont dépendantes des éditeurs
de logiciel (c'est bien ce que signifie grammaticalement la phrase).
Il me semble que la phrase signifie qu'il est naïf de croire que les
administrations acquière une indépendance en [etc.] et non pas qu'il
est naïf de croire qu'elles sont dépendantes.
Oui, je me suis planté. De toute façon, c'était de la mauvaise foi
exploitant une construction de phrase que je trouve bancale.
Normalement, on peut couper le « alors que... », ce qui donne alors
une affirmation ridiculement fausse.
Tu pourras aussi nous montrer dans quelles proportions une
entreprise utilisant du logiciel libre sera « bien plus »
dépendantes des sociétés de services que des éditeurs de
logiciel.
Personnellement j'ai écrit "pourrait bien ne pas être beaucoup
moins problématique", juste après avoir cité la phrase. C'est une
pure supposition, mais je ne vois pas pourquoi en effet la question
ne se pose pas, quand on parle de marché captif.
Ce que je dis, c'est que c'est enfoncer des portes ouvertes que
d'affirmer que de toute façon, une entreprise sera dépendante d'une
autre entreprise, qu'elle fasse appel à un éditeur de logiciel ou à
une entreprise de service.
Il est incongru de se demander lequel de ces deux types
d'entreprises donne plus d'indépendance, puisque le logiciel libre
_permet_ de s'en passer totalement.
SL wrote:SL wrote:Je suis également assez d'accord avec :
Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles
acquièrent une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels
alors qu'elles sont bien plus dépendantes des sociétés de services.
Puisque tu es d'accord, tu pourras nous expliquer en quoi il est
naïf de croire que les administrations sont dépendantes des éditeurs
de logiciel (c'est bien ce que signifie grammaticalement la phrase).
Il me semble que la phrase signifie qu'il est naïf de croire que les
administrations acquière une indépendance en [etc.] et non pas qu'il
est naïf de croire qu'elles sont dépendantes.
Oui, je me suis planté. De toute façon, c'était de la mauvaise foi
exploitant une construction de phrase que je trouve bancale.
Normalement, on peut couper le « alors que... », ce qui donne alors
une affirmation ridiculement fausse.
Tu pourras aussi nous montrer dans quelles proportions une
entreprise utilisant du logiciel libre sera « bien plus »
dépendantes des sociétés de services que des éditeurs de
logiciel.
Personnellement j'ai écrit "pourrait bien ne pas être beaucoup
moins problématique", juste après avoir cité la phrase. C'est une
pure supposition, mais je ne vois pas pourquoi en effet la question
ne se pose pas, quand on parle de marché captif.
Ce que je dis, c'est que c'est enfoncer des portes ouvertes que
d'affirmer que de toute façon, une entreprise sera dépendante d'une
autre entreprise, qu'elle fasse appel à un éditeur de logiciel ou à
une entreprise de service.
Il est incongru de se demander lequel de ces deux types
d'entreprises donne plus d'indépendance, puisque le logiciel libre
_permet_ de s'en passer totalement.
Ah bon ??? Comment pensez-vous que le logiciel libre peut être
utilisé à grande échelle sans une solide armée d'intermédiaires pour
faire la maintenance et le service ? IBM, Novell, Red Hat, vous
croyez qu'ils bossent pour le plaisir ??? Ce sont les arguments de
l'article, au cas où vous ne les auriez pas vus. Et vous, c'est quoi
vos "argument" à l'appui de cette "assertion" si paradoxale,
d'ailleurs ?
Ah bon ??? Comment pensez-vous que le logiciel libre peut être
utilisé à grande échelle sans une solide armée d'intermédiaires pour
faire la maintenance et le service ? IBM, Novell, Red Hat, vous
croyez qu'ils bossent pour le plaisir ??? Ce sont les arguments de
l'article, au cas où vous ne les auriez pas vus. Et vous, c'est quoi
vos "argument" à l'appui de cette "assertion" si paradoxale,
d'ailleurs ?
Ah bon ??? Comment pensez-vous que le logiciel libre peut être
utilisé à grande échelle sans une solide armée d'intermédiaires pour
faire la maintenance et le service ? IBM, Novell, Red Hat, vous
croyez qu'ils bossent pour le plaisir ??? Ce sont les arguments de
l'article, au cas où vous ne les auriez pas vus. Et vous, c'est quoi
vos "argument" à l'appui de cette "assertion" si paradoxale,
d'ailleurs ?
Cet article, je l'ai lu hier et il ne contient pas d'arguments. Pas
le moindre. Pour une raison simple : le technocrate qui l'a écrit
ne connais rien ni à l'industrie du logiciel ni à celui des services
informatiques.
Ce n'est pas une raison de quoi que ce soit, c'est tout au plus une
attaque ad hominem.
Où avez vous vu un argument qui explique pourquoi les
administrations sont plus dépendentes des société de service que des
éditeurs ?
Eh bien il y a un petit début de quelque chose sur le fait qu'il
risque d'y avoir dépendance à l'égard du prestataire juste au-dessus :
Poussé par les multinationales du service informatique, grandes
consommatrices de crédits de maintenance et de développement,
«l'open source» vise maintenant les administrations publiques,
vaches à lait bien commodes dans un secteur où la concurrence est
rude.
Il est pas impossible qu'on remplace les solutions maisons d'une
multinationale éditrice par les solutions maisons d'une autre
multinationale prestataire de service, non ?
Tout ce que je constate, c'est qu'elles sont trop promptes à payer
les services de consultants de son espèce, qui n'a jamais foutu les
pieds dans quelque industrie que ce soit.
Je vous le disais bien qu'il était payé !
Cet article, je l'ai lu hier et il ne contient pas d'arguments. Pas
le moindre. Pour une raison simple : le technocrate qui l'a écrit
ne connais rien ni à l'industrie du logiciel ni à celui des services
informatiques.
Ce n'est pas une raison de quoi que ce soit, c'est tout au plus une
attaque ad hominem.
Où avez vous vu un argument qui explique pourquoi les
administrations sont plus dépendentes des société de service que des
éditeurs ?
Eh bien il y a un petit début de quelque chose sur le fait qu'il
risque d'y avoir dépendance à l'égard du prestataire juste au-dessus :
Poussé par les multinationales du service informatique, grandes
consommatrices de crédits de maintenance et de développement,
«l'open source» vise maintenant les administrations publiques,
vaches à lait bien commodes dans un secteur où la concurrence est
rude.
Il est pas impossible qu'on remplace les solutions maisons d'une
multinationale éditrice par les solutions maisons d'une autre
multinationale prestataire de service, non ?
Tout ce que je constate, c'est qu'elles sont trop promptes à payer
les services de consultants de son espèce, qui n'a jamais foutu les
pieds dans quelque industrie que ce soit.
Je vous le disais bien qu'il était payé !
Cet article, je l'ai lu hier et il ne contient pas d'arguments. Pas
le moindre. Pour une raison simple : le technocrate qui l'a écrit
ne connais rien ni à l'industrie du logiciel ni à celui des services
informatiques.
Ce n'est pas une raison de quoi que ce soit, c'est tout au plus une
attaque ad hominem.
Où avez vous vu un argument qui explique pourquoi les
administrations sont plus dépendentes des société de service que des
éditeurs ?
Eh bien il y a un petit début de quelque chose sur le fait qu'il
risque d'y avoir dépendance à l'égard du prestataire juste au-dessus :
Poussé par les multinationales du service informatique, grandes
consommatrices de crédits de maintenance et de développement,
«l'open source» vise maintenant les administrations publiques,
vaches à lait bien commodes dans un secteur où la concurrence est
rude.
Il est pas impossible qu'on remplace les solutions maisons d'une
multinationale éditrice par les solutions maisons d'une autre
multinationale prestataire de service, non ?
Tout ce que je constate, c'est qu'elles sont trop promptes à payer
les services de consultants de son espèce, qui n'a jamais foutu les
pieds dans quelque industrie que ce soit.
Je vous le disais bien qu'il était payé !
<http://www.liberation.fr/opinions/rebonds/191329.FR.php>
[...]
Une fois qu'un fournisseur de services aura entièrement
organisé avec ses outils maisons les ressources informatiques
d'une administration, la dépendance pourrait bien ne pas
être beaucoup moins problématique que la dépendance à
l'égard d'un éditeur quand on utilise un logiciel
propriétaire.
Sinon dommage qu'il y ait des citations sans référence.
<http://www.liberation.fr/opinions/rebonds/191329.FR.php>
[...]
Une fois qu'un fournisseur de services aura entièrement
organisé avec ses outils maisons les ressources informatiques
d'une administration, la dépendance pourrait bien ne pas
être beaucoup moins problématique que la dépendance à
l'égard d'un éditeur quand on utilise un logiciel
propriétaire.
Sinon dommage qu'il y ait des citations sans référence.
<http://www.liberation.fr/opinions/rebonds/191329.FR.php>
[...]
Une fois qu'un fournisseur de services aura entièrement
organisé avec ses outils maisons les ressources informatiques
d'une administration, la dépendance pourrait bien ne pas
être beaucoup moins problématique que la dépendance à
l'égard d'un éditeur quand on utilise un logiciel
propriétaire.
Sinon dommage qu'il y ait des citations sans référence.
<http://www.liberation.fr/opinions/rebonds/191329.FR.php>
<http://www.liberation.fr/opinions/rebonds/191329.FR.php>
<http://www.liberation.fr/opinions/rebonds/191329.FR.php>
Eh bien il y a un petit début de quelque chose sur le fait qu'il
Un «début de quelque chose» . <soupir>
risque d'y avoir dépendance à l'égard du prestataire juste au-dessus :
Poussé par les multinationales du service informatique, grandes
consommatrices de crédits de maintenance et de développement,
«l'open source» vise maintenant les administrations publiques,
vaches à lait bien commodes dans un secteur où la concurrence
est rude.
Il est pas impossible qu'on remplace les solutions maisons d'une
multinationale éditrice par les solutions maisons d'une autre
multinationale prestataire de service, non ?
Et alors, en quoi ça rend les administrations *plus* dépendantes
qu'à l'égard des éditeurs ? Ou plutôt d' _un_ éditeur, d'ailleurs.
C'est là son assertion, il conclue même : «d'une dépendance à
l'autre, chacun choisira.»
De plus seulement sous-entend que lorsqu'elle choisissent une
solution propriétaire, les administrations ne sont pas dépendantes
d'une société de service.
Tout ce que je constate, c'est qu'elles sont trop promptes à payer
les services de consultants de son espèce, qui n'a jamais foutu
les pieds dans quelque industrie que ce soit.
Je vous le disais bien qu'il était payé !
Oui, par moi, entre autres; par vous aussi, peut-être.
Eh bien il y a un petit début de quelque chose sur le fait qu'il
Un «début de quelque chose» . <soupir>
risque d'y avoir dépendance à l'égard du prestataire juste au-dessus :
Poussé par les multinationales du service informatique, grandes
consommatrices de crédits de maintenance et de développement,
«l'open source» vise maintenant les administrations publiques,
vaches à lait bien commodes dans un secteur où la concurrence
est rude.
Il est pas impossible qu'on remplace les solutions maisons d'une
multinationale éditrice par les solutions maisons d'une autre
multinationale prestataire de service, non ?
Et alors, en quoi ça rend les administrations *plus* dépendantes
qu'à l'égard des éditeurs ? Ou plutôt d' _un_ éditeur, d'ailleurs.
C'est là son assertion, il conclue même : «d'une dépendance à
l'autre, chacun choisira.»
De plus seulement sous-entend que lorsqu'elle choisissent une
solution propriétaire, les administrations ne sont pas dépendantes
d'une société de service.
Tout ce que je constate, c'est qu'elles sont trop promptes à payer
les services de consultants de son espèce, qui n'a jamais foutu
les pieds dans quelque industrie que ce soit.
Je vous le disais bien qu'il était payé !
Oui, par moi, entre autres; par vous aussi, peut-être.
Eh bien il y a un petit début de quelque chose sur le fait qu'il
Un «début de quelque chose» . <soupir>
risque d'y avoir dépendance à l'égard du prestataire juste au-dessus :
Poussé par les multinationales du service informatique, grandes
consommatrices de crédits de maintenance et de développement,
«l'open source» vise maintenant les administrations publiques,
vaches à lait bien commodes dans un secteur où la concurrence
est rude.
Il est pas impossible qu'on remplace les solutions maisons d'une
multinationale éditrice par les solutions maisons d'une autre
multinationale prestataire de service, non ?
Et alors, en quoi ça rend les administrations *plus* dépendantes
qu'à l'égard des éditeurs ? Ou plutôt d' _un_ éditeur, d'ailleurs.
C'est là son assertion, il conclue même : «d'une dépendance à
l'autre, chacun choisira.»
De plus seulement sous-entend que lorsqu'elle choisissent une
solution propriétaire, les administrations ne sont pas dépendantes
d'une société de service.
Tout ce que je constate, c'est qu'elles sont trop promptes à payer
les services de consultants de son espèce, qui n'a jamais foutu
les pieds dans quelque industrie que ce soit.
Je vous le disais bien qu'il était payé !
Oui, par moi, entre autres; par vous aussi, peut-être.
Voilà au fond le seul truc passionnant dans cette histoire de
logiciel libre : assister en direct live, et suivre sur plusieurs
années, l'évolution des "certitudes" et des "évidences".
Voilà au fond le seul truc passionnant dans cette histoire de
logiciel libre : assister en direct live, et suivre sur plusieurs
années, l'évolution des "certitudes" et des "évidences".
Voilà au fond le seul truc passionnant dans cette histoire de
logiciel libre : assister en direct live, et suivre sur plusieurs
années, l'évolution des "certitudes" et des "évidences".