Il y a un argument intéressant sur les raison du positionnement des
gros (hors Microsoft) sur le créneau du libre : le fait qu'ils se
positionnent sur les services, outre l'argument toujours ressassé que
c'est pour faire suer Microsoft.
Je suis également assez d'accord avec :
Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles acquièrent
une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels alors
qu'elles sont bien plus dépendantes des sociétés de services.
Une fois qu'un fournisseur de services aura entièrement organisé avec
ses outils maisons les ressources informatiques d'une administration,
la dépendance pourrait bien ne pas être beaucoup moins problématique
que la dépendance à l'égard d'un éditeur quand on utilise un logiciel
propriétaire.
Sinon dommage qu'il y ait des citations sans référence.
<<<<< L'activité de création des logiciels est fondée sur la recherche et peut donc être davantage «fixée» sur un territoire. L'activité des services informatiques peut être réalisée n'importe où, spécialement là où la main-d'oeuvre est moins coûteuse.
Je n'ai aucune idée sur cela.
C'est fondamentalement faux puisque: - la recherche *est* un service, puisqu'elle ne produit rien de matériel. Le seul frein est politique.
C'est un service au sens des trois types d'activité économique (primaire, secondaire, tertiaire), mais pas au sens où l'emploi l'auteur (service au sens de maintenance par opposition à édition de logiciel).
- même certaines des tâches les plus matérielles de la recherche sont de plus souvent délocalisées (en bio, les labos publics font faire leurs séquençages en Corée).
Oui, MT a le même genre d'idées je crois.
- des projets informatiques tels que ceux du ministère des finances impliquent sûrement des milliers d'heures de réunions entre les prestataires et les différents départements --> ce n'est pas si facilement délocalisable.
Aucune idée. On peut imaginer que le travail de packaging de distributions, de dépannage à distance, de hot line, etc., soit facilement délocalisable (c'est vérifié pour certains d'entre eux).
Ah, tiens, mes yeux tombent là-dessus:
<<<<< Nous devons aux citoyens la sécurité des échanges sur l'Internet. Cela exige des procédés de plus en plus sophistiqués, qui coûtent très chers, et ne peuvent être financés que par de vrais éditeurs qui savent ensuite les commercialiser au profit du plus grand nombre.
Les méthodes de crypto actuellement utilisées ont toutes été développées par ou pour des entités publiques. Peut-être ont-elles coûté cher, mais elles n'ont été mises au point que dans le but d'être publiées en même temps qu'utilisées.
C'est de très loin le point qui m'a le moins convaincu...
<<<<<
L'activité de création des logiciels est fondée sur la recherche et
peut donc être davantage «fixée» sur un territoire. L'activité des
services informatiques peut être réalisée n'importe où, spécialement là
où la main-d'oeuvre est moins coûteuse.
Je n'ai aucune idée sur cela.
C'est fondamentalement faux puisque:
- la recherche *est* un service, puisqu'elle ne produit rien de
matériel. Le seul frein est politique.
C'est un service au sens des trois types d'activité économique
(primaire, secondaire, tertiaire), mais pas au sens où l'emploi
l'auteur (service au sens de maintenance par opposition à édition de
logiciel).
- même certaines des tâches les plus matérielles de la recherche sont
de plus souvent délocalisées (en bio, les labos publics font faire
leurs séquençages en Corée).
Oui, MT a le même genre d'idées je crois.
- des projets informatiques tels que ceux du ministère des finances
impliquent sûrement des milliers d'heures de réunions entre les
prestataires et les différents départements --> ce n'est pas si
facilement délocalisable.
Aucune idée. On peut imaginer que le travail de packaging de
distributions, de dépannage à distance, de hot line, etc., soit
facilement délocalisable (c'est vérifié pour certains d'entre eux).
Ah, tiens, mes yeux tombent là-dessus:
<<<<<
Nous devons aux citoyens la sécurité des échanges sur l'Internet. Cela
exige des procédés de plus en plus sophistiqués, qui coûtent très
chers, et ne peuvent être financés que par de vrais éditeurs qui savent
ensuite les commercialiser au profit du plus grand nombre.
Les méthodes de crypto actuellement utilisées ont toutes été
développées par ou pour des entités publiques. Peut-être ont-elles
coûté cher, mais elles n'ont été mises au point que dans le but d'être
publiées en même temps qu'utilisées.
C'est de très loin le point qui m'a le moins convaincu...
<<<<< L'activité de création des logiciels est fondée sur la recherche et peut donc être davantage «fixée» sur un territoire. L'activité des services informatiques peut être réalisée n'importe où, spécialement là où la main-d'oeuvre est moins coûteuse.
Je n'ai aucune idée sur cela.
C'est fondamentalement faux puisque: - la recherche *est* un service, puisqu'elle ne produit rien de matériel. Le seul frein est politique.
C'est un service au sens des trois types d'activité économique (primaire, secondaire, tertiaire), mais pas au sens où l'emploi l'auteur (service au sens de maintenance par opposition à édition de logiciel).
- même certaines des tâches les plus matérielles de la recherche sont de plus souvent délocalisées (en bio, les labos publics font faire leurs séquençages en Corée).
Oui, MT a le même genre d'idées je crois.
- des projets informatiques tels que ceux du ministère des finances impliquent sûrement des milliers d'heures de réunions entre les prestataires et les différents départements --> ce n'est pas si facilement délocalisable.
Aucune idée. On peut imaginer que le travail de packaging de distributions, de dépannage à distance, de hot line, etc., soit facilement délocalisable (c'est vérifié pour certains d'entre eux).
Ah, tiens, mes yeux tombent là-dessus:
<<<<< Nous devons aux citoyens la sécurité des échanges sur l'Internet. Cela exige des procédés de plus en plus sophistiqués, qui coûtent très chers, et ne peuvent être financés que par de vrais éditeurs qui savent ensuite les commercialiser au profit du plus grand nombre.
Les méthodes de crypto actuellement utilisées ont toutes été développées par ou pour des entités publiques. Peut-être ont-elles coûté cher, mais elles n'ont été mises au point que dans le but d'être publiées en même temps qu'utilisées.
C'est de très loin le point qui m'a le moins convaincu...
Nicolas George
David MAREC , dans le message <e8joip$dbk$, a écrit :
Ce n'est pas ce que j'ai écrit; mais, vous avez déjà montré que vous ne saviez pas lire.
On remarque que je ne suis pas le seul à le lui reprocher...
David MAREC , dans le message <e8joip$dbk$1@news.davenulle.org>, a
écrit :
Ce n'est pas ce que j'ai écrit; mais, vous avez déjà montré que vous ne
saviez pas lire.
On remarque que je ne suis pas le seul à le lui reprocher...
David MAREC , dans le message <e8joip$dbk$, a écrit :
Ce n'est pas ce que j'ai écrit; mais, vous avez déjà montré que vous ne saviez pas lire.
On remarque que je ne suis pas le seul à le lui reprocher...
Jérémy JUST
Le Fri, 07 Jul 2006 00:28:07 +0200,
On peut imaginer que le travail de packaging de distributions, de dépannage à distance, de hot line, etc., soit facilement délocalisable (c'est vérifié pour certains d'entre eux).
Oui. Mais ces tâches-là sont exactement les mêmes pour du logiciel libre et du logiciel propriétaire.
Le « packaging de distributions », c'est comparable au développement d'un OS, et c'est déjà délocalisé (aux USA, pour Windows, par exemple). Quant au dépannage à distance et à la hot-line, pour les éditeurs que je connais, ils sont faits depuis l'Irlande ou le Maroc. Mais ce serait l'Inde, ça ne changerait pas grand chose, et ce serait Mandriva à la place de Microsoft ou Ioméga, ça ne changerait pas non plus grand chose.
-- Jérémy JUST
Le Fri, 07 Jul 2006 00:28:07 +0200,
On peut imaginer que le travail de packaging de distributions, de
dépannage à distance, de hot line, etc., soit facilement
délocalisable (c'est vérifié pour certains d'entre eux).
Oui. Mais ces tâches-là sont exactement les mêmes pour du logiciel
libre et du logiciel propriétaire.
Le « packaging de distributions », c'est comparable au développement
d'un OS, et c'est déjà délocalisé (aux USA, pour Windows, par exemple).
Quant au dépannage à distance et à la hot-line, pour les éditeurs que
je connais, ils sont faits depuis l'Irlande ou le Maroc. Mais ce serait
l'Inde, ça ne changerait pas grand chose, et ce serait Mandriva à la
place de Microsoft ou Ioméga, ça ne changerait pas non plus grand chose.
On peut imaginer que le travail de packaging de distributions, de dépannage à distance, de hot line, etc., soit facilement délocalisable (c'est vérifié pour certains d'entre eux).
Oui. Mais ces tâches-là sont exactement les mêmes pour du logiciel libre et du logiciel propriétaire.
Le « packaging de distributions », c'est comparable au développement d'un OS, et c'est déjà délocalisé (aux USA, pour Windows, par exemple). Quant au dépannage à distance et à la hot-line, pour les éditeurs que je connais, ils sont faits depuis l'Irlande ou le Maroc. Mais ce serait l'Inde, ça ne changerait pas grand chose, et ce serait Mandriva à la place de Microsoft ou Ioméga, ça ne changerait pas non plus grand chose.
-- Jérémy JUST
Miguel Moquillon
Bonjour,
Je prend le risque de participer un minimum à ce ... débat. L'article du monsieur en question est à la fois intéressant et à la fois un troll. Je m'explique : - il intéressant parce que finalement il met en lumière une chose évidente, à savoir une certaine dépendance d'une entreprise envers son prestataire dans l'industrie du logiciel et des services, et que cette dernière ne s'exclue pas non plus dans l'économie mettant en jeu des produits open-source. Toutefois, il ne va pas plus loin avec ce que modifie les produits open-source dans cette relation. - c'est un troll parce que les phrases sont construites sémantiquement à faire apparaître d'une part que l'industrie du logiciel propriétaire est la seule garantie de l'avenir de l'industrie logiciel en Europe et que d'autre part, par opposition au fait que le logiciel open-source soit disant lie d'avantage l'entreprise à son prestataire, implicitement elle l'est moins avec les logiciels propriétaires.
Maintenant, examinons un peu mieux les choses : - Dans toute relation de prestation en logiciels, de par une société de service ou d'un éditeur, il y a de toute façon une dépendance de l'entreprise avec ladite société. Reste maintenant à mieux mesurer le degré de cette dépendance. - Lorsque le produit vendu à l'entreprise cliente s'appuie sur des produits open-source, en quoi cela peut abaisser ce degré de dépendance ? => Une piste : le produit open-source est accessible non seulement au client s'il souhaite se passer du prestataire qu'à d'autres prestataires concurrents. Seule la partie du code, lui même en open-source, élaborée par le prestataire, et qui peut servir de glu entre les différents autres composants open-source accessibles eux sur le marché, peut devenir délicat à appréhender mais n'en est pas moins impossible. - AMHA, quant à l'histoire de délocalisation ou non des travaux dans l'industrie logicielle, quelle soit open-source ou non, n'a pas d'incidence sur la valeur ou non de l'open-source vs. propriétaire, parce que tout simplement cette question relève de la gestion des coûts/marges (mais aussi de la mode) et qu'elle s'applique aussi bien à l'un qu'à l'autre. En gros, AMHA, c'est un faux problème.
Miguel
Bonjour,
Je prend le risque de participer un minimum à ce ... débat.
L'article du monsieur en question est à la fois intéressant et à la fois un
troll. Je m'explique :
- il intéressant parce que finalement il met en lumière une chose évidente,
à savoir une certaine dépendance d'une entreprise envers son prestataire
dans l'industrie du logiciel et des services, et que cette dernière ne
s'exclue pas non plus dans l'économie mettant en jeu des produits
open-source. Toutefois, il ne va pas plus loin avec ce que modifie les
produits open-source dans cette relation.
- c'est un troll parce que les phrases sont construites sémantiquement à
faire apparaître d'une part que l'industrie du logiciel propriétaire est la
seule garantie de l'avenir de l'industrie logiciel en Europe et que d'autre
part, par opposition au fait que le logiciel open-source soit disant lie
d'avantage l'entreprise à son prestataire, implicitement elle l'est moins
avec les logiciels propriétaires.
Maintenant, examinons un peu mieux les choses :
- Dans toute relation de prestation en logiciels, de par une société de
service ou d'un éditeur, il y a de toute façon une dépendance de
l'entreprise avec ladite société. Reste maintenant à mieux mesurer le degré
de cette dépendance.
- Lorsque le produit vendu à l'entreprise cliente s'appuie sur des produits
open-source, en quoi cela peut abaisser ce degré de dépendance ?
=> Une piste : le produit open-source est accessible non seulement au client
s'il souhaite se passer du prestataire qu'à d'autres prestataires
concurrents. Seule la partie du code, lui même en open-source, élaborée par
le prestataire, et qui peut servir de glu entre les différents autres
composants open-source accessibles eux sur le marché, peut devenir délicat
à appréhender mais n'en est pas moins impossible.
- AMHA, quant à l'histoire de délocalisation ou non des travaux dans
l'industrie logicielle, quelle soit open-source ou non, n'a pas d'incidence
sur la valeur ou non de l'open-source vs. propriétaire, parce que tout
simplement cette question relève de la gestion des coûts/marges (mais aussi
de la mode) et qu'elle s'applique aussi bien à l'un qu'à l'autre. En gros,
AMHA, c'est un faux problème.
Je prend le risque de participer un minimum à ce ... débat. L'article du monsieur en question est à la fois intéressant et à la fois un troll. Je m'explique : - il intéressant parce que finalement il met en lumière une chose évidente, à savoir une certaine dépendance d'une entreprise envers son prestataire dans l'industrie du logiciel et des services, et que cette dernière ne s'exclue pas non plus dans l'économie mettant en jeu des produits open-source. Toutefois, il ne va pas plus loin avec ce que modifie les produits open-source dans cette relation. - c'est un troll parce que les phrases sont construites sémantiquement à faire apparaître d'une part que l'industrie du logiciel propriétaire est la seule garantie de l'avenir de l'industrie logiciel en Europe et que d'autre part, par opposition au fait que le logiciel open-source soit disant lie d'avantage l'entreprise à son prestataire, implicitement elle l'est moins avec les logiciels propriétaires.
Maintenant, examinons un peu mieux les choses : - Dans toute relation de prestation en logiciels, de par une société de service ou d'un éditeur, il y a de toute façon une dépendance de l'entreprise avec ladite société. Reste maintenant à mieux mesurer le degré de cette dépendance. - Lorsque le produit vendu à l'entreprise cliente s'appuie sur des produits open-source, en quoi cela peut abaisser ce degré de dépendance ? => Une piste : le produit open-source est accessible non seulement au client s'il souhaite se passer du prestataire qu'à d'autres prestataires concurrents. Seule la partie du code, lui même en open-source, élaborée par le prestataire, et qui peut servir de glu entre les différents autres composants open-source accessibles eux sur le marché, peut devenir délicat à appréhender mais n'en est pas moins impossible. - AMHA, quant à l'histoire de délocalisation ou non des travaux dans l'industrie logicielle, quelle soit open-source ou non, n'a pas d'incidence sur la valeur ou non de l'open-source vs. propriétaire, parce que tout simplement cette question relève de la gestion des coûts/marges (mais aussi de la mode) et qu'elle s'applique aussi bien à l'un qu'à l'autre. En gros, AMHA, c'est un faux problème.
Miguel
Jerome Lambert
D'après SL: (...)
risque d'y avoir dépendance à l'égard du prestataire juste au-dessus :
Poussé par les multinationales du service informatique, grandes consommatrices de crédits de maintenance et de développement, «l'open source» vise maintenant les administrations publiques, vaches à lait bien commodes dans un secteur où la concurrence est rude.
Il est pas impossible qu'on remplace les solutions maisons d'une multinationale éditrice par les solutions maisons d'une autre multinationale prestataire de service, non ?
Et alors, en quoi ça rend les administrations *plus* dépendantes qu'à l'égard des éditeurs ? Ou plutôt d' _un_ éditeur, d'ailleurs. C'est là son assertion, il conclue même : «d'une dépendance à l'autre, chacun choisira.»
Parce que rien n'empêche de créer la distribution "Jerome Linux", suffisamment éloignée des standards en vigueur pour que je sois le seul à pouvoir l'administrer efficacement, ou à tout le moins rendre très compliquée sa reprise en main par un autre prestataire. De ce fait, on serait plus dépendant de moi que si j'avais utilisé Windows, qui est suffisamment "standardisé" que pour être repris facilement en main par un autre prestataire.
Je crois que l'idée est là...
(...)
D'après SL:
(...)
risque d'y avoir dépendance à l'égard du prestataire juste au-dessus :
Poussé par les multinationales du service informatique, grandes
consommatrices de crédits de maintenance et de développement,
«l'open source» vise maintenant les administrations publiques,
vaches à lait bien commodes dans un secteur où la concurrence est
rude.
Il est pas impossible qu'on remplace les solutions maisons d'une
multinationale éditrice par les solutions maisons d'une autre
multinationale prestataire de service, non ?
Et alors, en quoi ça rend les administrations *plus* dépendantes qu'à
l'égard des éditeurs ? Ou plutôt d' _un_ éditeur, d'ailleurs.
C'est là son assertion, il conclue même :
«d'une dépendance à l'autre, chacun choisira.»
Parce que rien n'empêche de créer la distribution "Jerome Linux",
suffisamment éloignée des standards en vigueur pour que je sois le seul
à pouvoir l'administrer efficacement, ou à tout le moins rendre très
compliquée sa reprise en main par un autre prestataire.
De ce fait, on serait plus dépendant de moi que si j'avais utilisé
Windows, qui est suffisamment "standardisé" que pour être repris
facilement en main par un autre prestataire.
risque d'y avoir dépendance à l'égard du prestataire juste au-dessus :
Poussé par les multinationales du service informatique, grandes consommatrices de crédits de maintenance et de développement, «l'open source» vise maintenant les administrations publiques, vaches à lait bien commodes dans un secteur où la concurrence est rude.
Il est pas impossible qu'on remplace les solutions maisons d'une multinationale éditrice par les solutions maisons d'une autre multinationale prestataire de service, non ?
Et alors, en quoi ça rend les administrations *plus* dépendantes qu'à l'égard des éditeurs ? Ou plutôt d' _un_ éditeur, d'ailleurs. C'est là son assertion, il conclue même : «d'une dépendance à l'autre, chacun choisira.»
Parce que rien n'empêche de créer la distribution "Jerome Linux", suffisamment éloignée des standards en vigueur pour que je sois le seul à pouvoir l'administrer efficacement, ou à tout le moins rendre très compliquée sa reprise en main par un autre prestataire. De ce fait, on serait plus dépendant de moi que si j'avais utilisé Windows, qui est suffisamment "standardisé" que pour être repris facilement en main par un autre prestataire.
Ce qui est pas mal aussi ce sont les commentaires des lecteurs. Un concentré de toute la panoplie de conneries usuelles, depuis les spéculations sur des raisons inavouables profondes profondes de cet article (qui ont toutes à voir avec le fait que l'auteur ou le journal est à la solde de l'ennemi) :
Et dnas la réponse de l'auteur, on retrouve le schéma classique
"En dépit du flot d'injures dont m'assaille le troupeau de fanatiques boutonneux, permettez-moi d'ajouter que je suis d'accord avec moi-même."
Qu'on retrouve dans le célèbre article d'agoravox http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article70 de l'inénarrable Méric de Saint-Cyr, "végétariste (végétarien militant), écosophe, alter-mondialiste, alter-consommateur, décroissantiste, naturiste, libre-penseur, sain de corps et d'esprit". http://www.agoravox.fr/auteur.php3?id_auteurH52
Il fait peut être du bateau avec l'autre, va savoir.
MB
-- Michel BILLAUD LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792 351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud 33405 Talence (FRANCE)
Ce qui est pas mal aussi ce sont les commentaires des lecteurs. Un
concentré de toute la panoplie de conneries usuelles, depuis les
spéculations sur des raisons inavouables profondes profondes de cet
article (qui ont toutes à voir avec le fait que l'auteur ou le journal
est à la solde de l'ennemi) :
Et dnas la réponse de l'auteur, on retrouve le schéma classique
"En dépit du flot d'injures dont m'assaille le troupeau de fanatiques boutonneux,
permettez-moi d'ajouter que je suis d'accord avec moi-même."
Qu'on retrouve dans le célèbre article d'agoravox
http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article70 de l'inénarrable
Méric de Saint-Cyr, "végétariste (végétarien militant), écosophe,
alter-mondialiste, alter-consommateur, décroissantiste, naturiste,
libre-penseur, sain de corps et d'esprit".
http://www.agoravox.fr/auteur.php3?id_auteurH52
Il fait peut être du bateau avec l'autre, va savoir.
MB
--
Michel BILLAUD billaud@labri.fr
LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792
351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud
33405 Talence (FRANCE)
Ce qui est pas mal aussi ce sont les commentaires des lecteurs. Un concentré de toute la panoplie de conneries usuelles, depuis les spéculations sur des raisons inavouables profondes profondes de cet article (qui ont toutes à voir avec le fait que l'auteur ou le journal est à la solde de l'ennemi) :
Et dnas la réponse de l'auteur, on retrouve le schéma classique
"En dépit du flot d'injures dont m'assaille le troupeau de fanatiques boutonneux, permettez-moi d'ajouter que je suis d'accord avec moi-même."
Qu'on retrouve dans le célèbre article d'agoravox http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article70 de l'inénarrable Méric de Saint-Cyr, "végétariste (végétarien militant), écosophe, alter-mondialiste, alter-consommateur, décroissantiste, naturiste, libre-penseur, sain de corps et d'esprit". http://www.agoravox.fr/auteur.php3?id_auteurH52
Il fait peut être du bateau avec l'autre, va savoir.
MB
-- Michel BILLAUD LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792 351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud 33405 Talence (FRANCE)
Benjamin FRANCOIS
Jerome Lambert s'est exprimé en ces termes:
De ce fait, on serait plus dépendant de moi que si j'avais utilisé Windows, qui est suffisamment "standardisé" que pour être repris facilement en main par un autre prestataire.
De ce fait, le type qui décide de déployer une solution "Jérôme Linux" n'a qu'à en assumer les conséquences, exactement comme celui qui choisit une solution propriétaire développée par une société X, Y ou Z. La "standardisation" et la pérennité, ça n'existe pas que dans le propriétaire.
-- When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.
Jerome Lambert s'est exprimé en ces termes:
De ce fait, on serait plus dépendant de moi que si j'avais utilisé
Windows, qui est suffisamment "standardisé" que pour être repris
facilement en main par un autre prestataire.
De ce fait, le type qui décide de déployer une solution "Jérôme Linux"
n'a qu'à en assumer les conséquences, exactement comme celui qui choisit
une solution propriétaire développée par une société X, Y ou Z. La
"standardisation" et la pérennité, ça n'existe pas que dans le
propriétaire.
--
When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.
De ce fait, on serait plus dépendant de moi que si j'avais utilisé Windows, qui est suffisamment "standardisé" que pour être repris facilement en main par un autre prestataire.
De ce fait, le type qui décide de déployer une solution "Jérôme Linux" n'a qu'à en assumer les conséquences, exactement comme celui qui choisit une solution propriétaire développée par une société X, Y ou Z. La "standardisation" et la pérennité, ça n'existe pas que dans le propriétaire.
-- When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.
Benjamin FRANCOIS
Manuel Leclerc s'est exprimé en ces termes:
Comme par exemple "Cette question ne m'intéresse pas, moi je suis contre la société de marché", hein ?
C'est là : http://www.01net.com/article/167864.html?rub95
Et juste derrière, le gros barbu dit: "tant qu'on respecte les libertés des autres, on peut faire du commerce."
Quel anticapitaliste primaire, c'est honteux.
-- When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.
Manuel Leclerc s'est exprimé en ces termes:
Comme par exemple "Cette question ne m'intéresse pas, moi
je suis contre la société de marché", hein ?
C'est là : http://www.01net.com/article/167864.html?rub95
Et juste derrière, le gros barbu dit: "tant qu'on respecte les
libertés des autres, on peut faire du commerce."
Quel anticapitaliste primaire, c'est honteux.
--
When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.
Comme par exemple "Cette question ne m'intéresse pas, moi je suis contre la société de marché", hein ?
C'est là : http://www.01net.com/article/167864.html?rub95
Et juste derrière, le gros barbu dit: "tant qu'on respecte les libertés des autres, on peut faire du commerce."
Quel anticapitaliste primaire, c'est honteux.
-- When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.
talon
Laurent wrote:
Alors ces administrations n'ont qu'à embaucher de vrais informaticiens qui déploieront des solutions libres pérennes et reconnues comme il y en a tant, et se chargerons des développement internes nécessaires, et ça leur couterait certainement moins cher.
Ce que tu dis est une illusion. Si l'administration pouvait engager un informaticien pour disons 5 ans, pour qu'il développe une application, elle le ferait. Le problème est toujours le même, les postes sont jusqu'à la retraîte, qu'est-ce que tu vas lui donner à faire au bonhomme, aprés? l'expérience des informaticiens engagés dans la fonction publique est rarement concluante, d'où l'idée de faire appel à des prestataires extérieurs, même si ça coute au premier abord beaucoup plus cher. La dépense n'a qu'un temps limité.
--
Michel TALON
Laurent <laurent.bar@gmail.com> wrote:
Alors ces administrations n'ont qu'à embaucher de vrais informaticiens
qui déploieront des solutions libres pérennes et reconnues comme il y
en a tant, et se chargerons des développement internes nécessaires,
et ça leur couterait certainement moins cher.
Ce que tu dis est une illusion. Si l'administration pouvait engager un
informaticien pour disons 5 ans, pour qu'il développe une application, elle
le ferait. Le problème est toujours le même, les postes sont jusqu'à la
retraîte, qu'est-ce que tu vas lui donner à faire au bonhomme, aprés?
l'expérience des informaticiens engagés dans la fonction publique est rarement
concluante, d'où l'idée de faire appel à des prestataires extérieurs, même
si ça coute au premier abord beaucoup plus cher. La dépense n'a qu'un temps
limité.
Alors ces administrations n'ont qu'à embaucher de vrais informaticiens qui déploieront des solutions libres pérennes et reconnues comme il y en a tant, et se chargerons des développement internes nécessaires, et ça leur couterait certainement moins cher.
Ce que tu dis est une illusion. Si l'administration pouvait engager un informaticien pour disons 5 ans, pour qu'il développe une application, elle le ferait. Le problème est toujours le même, les postes sont jusqu'à la retraîte, qu'est-ce que tu vas lui donner à faire au bonhomme, aprés? l'expérience des informaticiens engagés dans la fonction publique est rarement concluante, d'où l'idée de faire appel à des prestataires extérieurs, même si ça coute au premier abord beaucoup plus cher. La dépense n'a qu'un temps limité.
--
Michel TALON
Stéphane Zuckerman
On Fri, 7 Jul 2006, Michel Talon wrote:
Laurent wrote:
Alors ces administrations n'ont qu'à embaucher de vrais informaticiens qui déploieront des solutions libres pérennes et reconnues comme il y en a tant, et se chargerons des développement internes nécessaires, et ça leur couterait certainement moins cher.
Ce que tu dis est une illusion. Si l'administration pouvait engager un informaticien pour disons 5 ans, pour qu'il développe une application, elle le ferait. Le problème est toujours le même, les postes sont jusqu'à la retraîte, qu'est-ce que tu vas lui donner à faire au bonhomme, aprés? l'expérience des informaticiens engagés dans la fonction publique est rarement concluante, d'où l'idée de faire appel à des prestataires extérieurs, même si ça coute au premier abord beaucoup plus cher. La dépense n'a qu'un temps limité.
Hum... Je connais plusieurs informaticiens qui sont sous des espèces de "contrats à durée déterminée de 5 ans renouvelables à l'infini", et qui resignent donc tous les cinq ans avec l'Etat. Entre autres pour éviter de créer un poste qu'on ne peut plus dissoudre facilement une fois l'employé parti à la retraite.
-- "Je deteste les ordinateurs : ils font toujours ce que je dis, jamais ce que je veux !" "The obvious mathematical breakthrough would be development of an easy way to factor large prime numbers." (Bill Gates, The Road Ahead)
On Fri, 7 Jul 2006, Michel Talon wrote:
Laurent <laurent.bar@gmail.com> wrote:
Alors ces administrations n'ont qu'à embaucher de vrais informaticiens
qui déploieront des solutions libres pérennes et reconnues comme il y
en a tant, et se chargerons des développement internes nécessaires,
et ça leur couterait certainement moins cher.
Ce que tu dis est une illusion. Si l'administration pouvait engager un
informaticien pour disons 5 ans, pour qu'il développe une application, elle
le ferait. Le problème est toujours le même, les postes sont jusqu'à la
retraîte, qu'est-ce que tu vas lui donner à faire au bonhomme, aprés?
l'expérience des informaticiens engagés dans la fonction publique est rarement
concluante, d'où l'idée de faire appel à des prestataires extérieurs, même
si ça coute au premier abord beaucoup plus cher. La dépense n'a qu'un temps
limité.
Hum... Je connais plusieurs informaticiens qui sont sous des espèces de
"contrats à durée déterminée de 5 ans renouvelables à l'infini", et qui
resignent donc tous les cinq ans avec l'Etat. Entre autres pour éviter de
créer un poste qu'on ne peut plus dissoudre facilement une fois l'employé
parti à la retraite.
--
"Je deteste les ordinateurs : ils font toujours ce que je dis, jamais ce
que je veux !"
"The obvious mathematical breakthrough would be development of an easy
way to factor large prime numbers." (Bill Gates, The Road Ahead)
Alors ces administrations n'ont qu'à embaucher de vrais informaticiens qui déploieront des solutions libres pérennes et reconnues comme il y en a tant, et se chargerons des développement internes nécessaires, et ça leur couterait certainement moins cher.
Ce que tu dis est une illusion. Si l'administration pouvait engager un informaticien pour disons 5 ans, pour qu'il développe une application, elle le ferait. Le problème est toujours le même, les postes sont jusqu'à la retraîte, qu'est-ce que tu vas lui donner à faire au bonhomme, aprés? l'expérience des informaticiens engagés dans la fonction publique est rarement concluante, d'où l'idée de faire appel à des prestataires extérieurs, même si ça coute au premier abord beaucoup plus cher. La dépense n'a qu'un temps limité.
Hum... Je connais plusieurs informaticiens qui sont sous des espèces de "contrats à durée déterminée de 5 ans renouvelables à l'infini", et qui resignent donc tous les cinq ans avec l'Etat. Entre autres pour éviter de créer un poste qu'on ne peut plus dissoudre facilement une fois l'employé parti à la retraite.
-- "Je deteste les ordinateurs : ils font toujours ce que je dis, jamais ce que je veux !" "The obvious mathematical breakthrough would be development of an easy way to factor large prime numbers." (Bill Gates, The Road Ahead)