"Emma"/"Ricazerty "relisez les statuts de la vôtre.La question ne se poserait évidemment pas si les statuts
prévoyaient explicitement la confidentialité des comptes
mais elle reste posée si ce n'est pas le cas.mais vous ne donnez aucune information sur les statuts de
cette association juste vos lectures sous vos interprétations.
Si le statuts sont muets sur la confidentialité ou la
possibilité de communication des comptes, un début de
réponse peut se trouver dans les modalités de gestion, les
responsabilités, qui est responsable, qui rend des comptes
et à qui, qui doit assumer ...?
Bien que ma question soit inspirée d'une situation réelle
concernant un Office du Tourisme particulier, j'aurais aimé
qu'elle soit traitée de manière générale, persuadé qu'elle
soulève le problème fondamental de savoir si oui ou non
le droit de regard sur la comptabilité d'une association fait
partie des prérogatives de ses adhérents à jour de cotisation.
Autrement dit, pour rejoindre votre approche, si la gestion
d'une association fait partie des moyens mis en oeuvre pour
en atteindre les objectifs sachant que dans l'affirmative elle
se verrait inclue dans les connaissances et activités réputées
mises en commun par l'article 1.
"Emma"/"Ricazerty "
relisez les statuts de la vôtre.
La question ne se poserait évidemment pas si les statuts
prévoyaient explicitement la confidentialité des comptes
mais elle reste posée si ce n'est pas le cas.
mais vous ne donnez aucune information sur les statuts de
cette association juste vos lectures sous vos interprétations.
Si le statuts sont muets sur la confidentialité ou la
possibilité de communication des comptes, un début de
réponse peut se trouver dans les modalités de gestion, les
responsabilités, qui est responsable, qui rend des comptes
et à qui, qui doit assumer ...?
Bien que ma question soit inspirée d'une situation réelle
concernant un Office du Tourisme particulier, j'aurais aimé
qu'elle soit traitée de manière générale, persuadé qu'elle
soulève le problème fondamental de savoir si oui ou non
le droit de regard sur la comptabilité d'une association fait
partie des prérogatives de ses adhérents à jour de cotisation.
Autrement dit, pour rejoindre votre approche, si la gestion
d'une association fait partie des moyens mis en oeuvre pour
en atteindre les objectifs sachant que dans l'affirmative elle
se verrait inclue dans les connaissances et activités réputées
mises en commun par l'article 1.
"Emma"/"Ricazerty "relisez les statuts de la vôtre.La question ne se poserait évidemment pas si les statuts
prévoyaient explicitement la confidentialité des comptes
mais elle reste posée si ce n'est pas le cas.mais vous ne donnez aucune information sur les statuts de
cette association juste vos lectures sous vos interprétations.
Si le statuts sont muets sur la confidentialité ou la
possibilité de communication des comptes, un début de
réponse peut se trouver dans les modalités de gestion, les
responsabilités, qui est responsable, qui rend des comptes
et à qui, qui doit assumer ...?
Bien que ma question soit inspirée d'une situation réelle
concernant un Office du Tourisme particulier, j'aurais aimé
qu'elle soit traitée de manière générale, persuadé qu'elle
soulève le problème fondamental de savoir si oui ou non
le droit de regard sur la comptabilité d'une association fait
partie des prérogatives de ses adhérents à jour de cotisation.
Autrement dit, pour rejoindre votre approche, si la gestion
d'une association fait partie des moyens mis en oeuvre pour
en atteindre les objectifs sachant que dans l'affirmative elle
se verrait inclue dans les connaissances et activités réputées
mises en commun par l'article 1.
Autrement dit, pour rejoindre votre approche, si la gestion
d'une association fait partie des moyens mis en oeuvre pour
en atteindre les objectifs sachant que dans l'affirmative elle
se verrait inclue dans les connaissances et activités réputées
mises en commun par l'article 1.
Autrement dit, pour rejoindre votre approche, si la gestion
d'une association fait partie des moyens mis en oeuvre pour
en atteindre les objectifs sachant que dans l'affirmative elle
se verrait inclue dans les connaissances et activités réputées
mises en commun par l'article 1.
Autrement dit, pour rejoindre votre approche, si la gestion
d'une association fait partie des moyens mis en oeuvre pour
en atteindre les objectifs sachant que dans l'affirmative elle
se verrait inclue dans les connaissances et activités réputées
mises en commun par l'article 1.
"Patrick V"/"Ricazerty"
..................................
Tu me dis plus haut que je prends le problème à l'envers,
qu'ils ont l'information et que s'ils ne veulent pas la donner
aucun texte ne peut les y obliger. Mais cette information
n'est la propriété de personne en particulier, elle est confiée
par les adhérents à tel ou tel pour la gérer, non pour se
l'approprier. La rétention de cette information ne
peut donc logiquement être envisagée si ce n'est pas
précisément stipulé dans les statuts.
"Patrick V"/"Ricazerty"
..................................
Tu me dis plus haut que je prends le problème à l'envers,
qu'ils ont l'information et que s'ils ne veulent pas la donner
aucun texte ne peut les y obliger. Mais cette information
n'est la propriété de personne en particulier, elle est confiée
par les adhérents à tel ou tel pour la gérer, non pour se
l'approprier. La rétention de cette information ne
peut donc logiquement être envisagée si ce n'est pas
précisément stipulé dans les statuts.
"Patrick V"/"Ricazerty"
..................................
Tu me dis plus haut que je prends le problème à l'envers,
qu'ils ont l'information et que s'ils ne veulent pas la donner
aucun texte ne peut les y obliger. Mais cette information
n'est la propriété de personne en particulier, elle est confiée
par les adhérents à tel ou tel pour la gérer, non pour se
l'approprier. La rétention de cette information ne
peut donc logiquement être envisagée si ce n'est pas
précisément stipulé dans les statuts.
"Emma"/"Ricazerty "
La question ne se poserait évidemment pas si les statuts
prévoyaient explicitement la confidentialité des comptes
mais elle reste posée si ce n'est pas le cas.
"Emma"/"Ricazerty "
La question ne se poserait évidemment pas si les statuts
prévoyaient explicitement la confidentialité des comptes
mais elle reste posée si ce n'est pas le cas.
"Emma"/"Ricazerty "
La question ne se poserait évidemment pas si les statuts
prévoyaient explicitement la confidentialité des comptes
mais elle reste posée si ce n'est pas le cas.
Contente aussi de vous lire M'sieur Haveur.
Et puisque de passage vous êtes, et simplement de passage, ce qui nous
manque ce sont les bonnes références, les bonnes lectures.
Soupir ....
Ah! qu'il était confortable d'attendre la réponse de M'sieur Haveur sur
le sujet des assos.
Pouvons-nous carresser l'espoir d'avoir quelques pistes pour parfaire
nos connaissances : revues auxquelles s'abonner, livres indispensables
dans une bonne bibliothèque d'asso à partir desquels avoir des liens
pour chercher le texte-ki-va-bien...
Contente aussi de vous lire M'sieur Haveur.
Et puisque de passage vous êtes, et simplement de passage, ce qui nous
manque ce sont les bonnes références, les bonnes lectures.
Soupir ....
Ah! qu'il était confortable d'attendre la réponse de M'sieur Haveur sur
le sujet des assos.
Pouvons-nous carresser l'espoir d'avoir quelques pistes pour parfaire
nos connaissances : revues auxquelles s'abonner, livres indispensables
dans une bonne bibliothèque d'asso à partir desquels avoir des liens
pour chercher le texte-ki-va-bien...
Contente aussi de vous lire M'sieur Haveur.
Et puisque de passage vous êtes, et simplement de passage, ce qui nous
manque ce sont les bonnes références, les bonnes lectures.
Soupir ....
Ah! qu'il était confortable d'attendre la réponse de M'sieur Haveur sur
le sujet des assos.
Pouvons-nous carresser l'espoir d'avoir quelques pistes pour parfaire
nos connaissances : revues auxquelles s'abonner, livres indispensables
dans une bonne bibliothèque d'asso à partir desquels avoir des liens
pour chercher le texte-ki-va-bien...
Sur fr.rec.plongee quelqu'un a aussi déploré ton absence...
J'espère que ton "passage" sera long ;-)
Sur fr.rec.plongee quelqu'un a aussi déploré ton absence...
J'espère que ton "passage" sera long ;-)
Sur fr.rec.plongee quelqu'un a aussi déploré ton absence...
J'espère que ton "passage" sera long ;-)
Il y a quelques éditeurs juridiques spécialisés pour les associations
n'est évidemment ce n'est pas donné car il y a les revues spécialisées
et assez rapidement lorsque l'on veut approfondir il existe :
- la revue Associations Mode d'Emploi, mensuelle, peu coûteuse (de
l'ordre de quelques dizaines d'euros à l'année), s'efforçant de
simplifier et de vulgariser les notions de base;
- les éditions Lamy avec des revues ou ouvrages sur CD (l'abonnement
annuel des CD devrait être aux environs de 600 ou 700 euros)
- Les éditions Francis Lefebvre, des ouvrages spécialisés et est un même
mémento généraliste paraissant tous les deux ans (très bien fait) ne
coûtant actuellement dans les 80 à 90 €
- les éditions du Juris Associations (Fililae de Dalloz depuis 3 ou 4
ans)de Lyon, éditant de nombreux ouvrages et une revue bimensuelle
(abonnement annuel de l'ordre de 200 euros)
*- les ouvrages spécialisés sur les cinq aspects du droit applicable aux
associations et en particulier sur la responsabilité civile de la
personne morale et des dirigeants de droit ou de fait ;
* les recherches sur Internet qui permette maintenant de consulter dans
le texte les lois et dispositions applicables actuellement;
La question est intéressante et j'ai souvent pensé qu'il serait
intéressant que chaque bibliothèque ou médiathèque communale s'abonne à
de telles revues et ouvrages. Cela permettrait en mutualisant les coûts
d'offrir à tous les membres dirigeants associatifs de la commune la
possibilité d'étudier les aspects juridiques associatifs. Cela éviterait
surtout que chacun de son côté soit freiné par le coût de ces revues et
ouvrages. Accessoirement cela peut durer peut-être permettre les comités
de lecture et de débats entre grandes associations différents...
Il y a quelques éditeurs juridiques spécialisés pour les associations
n'est évidemment ce n'est pas donné car il y a les revues spécialisées
et assez rapidement lorsque l'on veut approfondir il existe :
- la revue Associations Mode d'Emploi, mensuelle, peu coûteuse (de
l'ordre de quelques dizaines d'euros à l'année), s'efforçant de
simplifier et de vulgariser les notions de base;
- les éditions Lamy avec des revues ou ouvrages sur CD (l'abonnement
annuel des CD devrait être aux environs de 600 ou 700 euros)
- Les éditions Francis Lefebvre, des ouvrages spécialisés et est un même
mémento généraliste paraissant tous les deux ans (très bien fait) ne
coûtant actuellement dans les 80 à 90 €
- les éditions du Juris Associations (Fililae de Dalloz depuis 3 ou 4
ans)de Lyon, éditant de nombreux ouvrages et une revue bimensuelle
(abonnement annuel de l'ordre de 200 euros)
*- les ouvrages spécialisés sur les cinq aspects du droit applicable aux
associations et en particulier sur la responsabilité civile de la
personne morale et des dirigeants de droit ou de fait ;
* les recherches sur Internet qui permette maintenant de consulter dans
le texte les lois et dispositions applicables actuellement;
La question est intéressante et j'ai souvent pensé qu'il serait
intéressant que chaque bibliothèque ou médiathèque communale s'abonne à
de telles revues et ouvrages. Cela permettrait en mutualisant les coûts
d'offrir à tous les membres dirigeants associatifs de la commune la
possibilité d'étudier les aspects juridiques associatifs. Cela éviterait
surtout que chacun de son côté soit freiné par le coût de ces revues et
ouvrages. Accessoirement cela peut durer peut-être permettre les comités
de lecture et de débats entre grandes associations différents...
Il y a quelques éditeurs juridiques spécialisés pour les associations
n'est évidemment ce n'est pas donné car il y a les revues spécialisées
et assez rapidement lorsque l'on veut approfondir il existe :
- la revue Associations Mode d'Emploi, mensuelle, peu coûteuse (de
l'ordre de quelques dizaines d'euros à l'année), s'efforçant de
simplifier et de vulgariser les notions de base;
- les éditions Lamy avec des revues ou ouvrages sur CD (l'abonnement
annuel des CD devrait être aux environs de 600 ou 700 euros)
- Les éditions Francis Lefebvre, des ouvrages spécialisés et est un même
mémento généraliste paraissant tous les deux ans (très bien fait) ne
coûtant actuellement dans les 80 à 90 €
- les éditions du Juris Associations (Fililae de Dalloz depuis 3 ou 4
ans)de Lyon, éditant de nombreux ouvrages et une revue bimensuelle
(abonnement annuel de l'ordre de 200 euros)
*- les ouvrages spécialisés sur les cinq aspects du droit applicable aux
associations et en particulier sur la responsabilité civile de la
personne morale et des dirigeants de droit ou de fait ;
* les recherches sur Internet qui permette maintenant de consulter dans
le texte les lois et dispositions applicables actuellement;
La question est intéressante et j'ai souvent pensé qu'il serait
intéressant que chaque bibliothèque ou médiathèque communale s'abonne à
de telles revues et ouvrages. Cela permettrait en mutualisant les coûts
d'offrir à tous les membres dirigeants associatifs de la commune la
possibilité d'étudier les aspects juridiques associatifs. Cela éviterait
surtout que chacun de son côté soit freiné par le coût de ces revues et
ouvrages. Accessoirement cela peut durer peut-être permettre les comités
de lecture et de débats entre grandes associations différents...
..................................
Tu me dis plus haut que je prends le problème à l'envers,
qu'ils ont l'information et que s'ils ne veulent pas la donner
aucun texte ne peut les y obliger. Mais cette information
n'est la propriété de personne en particulier, elle est confiée
par les adhérents à tel ou tel pour la gérer, non pour se
l'approprier. La rétention de cette information ne
peut donc logiquement être envisagée si ce n'est pas
précisément stipulé dans les statuts.
La question de la possibilité de consultation des documents
comptables par les membres de l'association a fait l'objet
de nombreuses décisions judiciaires. La jurisprudence
actuelle considère que cette consultation doit être autorisée
(et si possible organisée) par une disposition statutaire
sinon elle n'est pas possible dans le cadre d'une démarche
individuelle d'un membre.
A remarquer de nombreuses associations (de nombreux
membres et dirigeants) ignorent la différence juridique
existante entre les dispositions statutaires ou les articles
d'un règlement intérieur. La consultation des documents
comptables par chaque membre est une disposition
suffisamment importante pour qu'elles figurent
impérativement dans les statuts. Car la transgression de
sa disposition statutaire par un dirigeant (par exemple s'il
refuse ou s'il tergiverse et repousse indéfiniment la
demande) est constitutive d'une faute de gestion pouvant
entraîner la mise en cause de sa responsabilité civile
personnelle dans une action devant le tribunal de grande
instance par le membre demandeur. Par contre créer une
disposition de consultation dans le cadre d'un règlement
intérieur de l'association peut diminuer la gravité de la
faute.
..................................
Tu me dis plus haut que je prends le problème à l'envers,
qu'ils ont l'information et que s'ils ne veulent pas la donner
aucun texte ne peut les y obliger. Mais cette information
n'est la propriété de personne en particulier, elle est confiée
par les adhérents à tel ou tel pour la gérer, non pour se
l'approprier. La rétention de cette information ne
peut donc logiquement être envisagée si ce n'est pas
précisément stipulé dans les statuts.
La question de la possibilité de consultation des documents
comptables par les membres de l'association a fait l'objet
de nombreuses décisions judiciaires. La jurisprudence
actuelle considère que cette consultation doit être autorisée
(et si possible organisée) par une disposition statutaire
sinon elle n'est pas possible dans le cadre d'une démarche
individuelle d'un membre.
A remarquer de nombreuses associations (de nombreux
membres et dirigeants) ignorent la différence juridique
existante entre les dispositions statutaires ou les articles
d'un règlement intérieur. La consultation des documents
comptables par chaque membre est une disposition
suffisamment importante pour qu'elles figurent
impérativement dans les statuts. Car la transgression de
sa disposition statutaire par un dirigeant (par exemple s'il
refuse ou s'il tergiverse et repousse indéfiniment la
demande) est constitutive d'une faute de gestion pouvant
entraîner la mise en cause de sa responsabilité civile
personnelle dans une action devant le tribunal de grande
instance par le membre demandeur. Par contre créer une
disposition de consultation dans le cadre d'un règlement
intérieur de l'association peut diminuer la gravité de la
faute.
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Tu me dis plus haut que je prends le problème à l'envers,
qu'ils ont l'information et que s'ils ne veulent pas la donner
aucun texte ne peut les y obliger. Mais cette information
n'est la propriété de personne en particulier, elle est confiée
par les adhérents à tel ou tel pour la gérer, non pour se
l'approprier. La rétention de cette information ne
peut donc logiquement être envisagée si ce n'est pas
précisément stipulé dans les statuts.
La question de la possibilité de consultation des documents
comptables par les membres de l'association a fait l'objet
de nombreuses décisions judiciaires. La jurisprudence
actuelle considère que cette consultation doit être autorisée
(et si possible organisée) par une disposition statutaire
sinon elle n'est pas possible dans le cadre d'une démarche
individuelle d'un membre.
A remarquer de nombreuses associations (de nombreux
membres et dirigeants) ignorent la différence juridique
existante entre les dispositions statutaires ou les articles
d'un règlement intérieur. La consultation des documents
comptables par chaque membre est une disposition
suffisamment importante pour qu'elles figurent
impérativement dans les statuts. Car la transgression de
sa disposition statutaire par un dirigeant (par exemple s'il
refuse ou s'il tergiverse et repousse indéfiniment la
demande) est constitutive d'une faute de gestion pouvant
entraîner la mise en cause de sa responsabilité civile
personnelle dans une action devant le tribunal de grande
instance par le membre demandeur. Par contre créer une
disposition de consultation dans le cadre d'un règlement
intérieur de l'association peut diminuer la gravité de la
faute.
Autrement dit, pour rejoindre votre approche, si la gestion
d'une association fait partie des moyens mis en oeuvre pour
en atteindre les objectifs sachant que dans l'affirmative elle
se verrait inclue dans les connaissances et activités réputées
mises en commun par l'article 1.
Je crois qu'il y a quelque chose que tu n'as pas compris
dans cet article : ce qui est mis en commun et la manière
de le gérer est exclusivement du ressort du contrat associatif.
Autrement dit, des statuts.
Comme nous le disions précédemment, il est évident que
tout n'est pas mis en commun. Donc comment savoir ce
qui est commun ou pas ? Les statuts.
Autrement dit, pour rejoindre votre approche, si la gestion
d'une association fait partie des moyens mis en oeuvre pour
en atteindre les objectifs sachant que dans l'affirmative elle
se verrait inclue dans les connaissances et activités réputées
mises en commun par l'article 1.
Je crois qu'il y a quelque chose que tu n'as pas compris
dans cet article : ce qui est mis en commun et la manière
de le gérer est exclusivement du ressort du contrat associatif.
Autrement dit, des statuts.
Comme nous le disions précédemment, il est évident que
tout n'est pas mis en commun. Donc comment savoir ce
qui est commun ou pas ? Les statuts.
Autrement dit, pour rejoindre votre approche, si la gestion
d'une association fait partie des moyens mis en oeuvre pour
en atteindre les objectifs sachant que dans l'affirmative elle
se verrait inclue dans les connaissances et activités réputées
mises en commun par l'article 1.
Je crois qu'il y a quelque chose que tu n'as pas compris
dans cet article : ce qui est mis en commun et la manière
de le gérer est exclusivement du ressort du contrat associatif.
Autrement dit, des statuts.
Comme nous le disions précédemment, il est évident que
tout n'est pas mis en commun. Donc comment savoir ce
qui est commun ou pas ? Les statuts.
Je crois qu'il y a quelque chose que tu n'as pas compris
dans cet article : ce qui est mis en commun et la manière
de le gérer est exclusivement du ressort du contrat associatif.
Autrement dit, des statuts.
Tu mélanges deux choses bien distinctes, l'objet de l'association
qui évidemment est précisé d'entrée dans les statuts, et la gestion
dont la seule allusion dans les modèles de statuts, donc dans la
plupart de ceux-ci, concerne le rapport financier en AG qui ne
revêt aucun caractère restrictif.
Donc le problème qui nous occupe, à savoir la transparence
de la gestion par rapport aux adhérents, n'est absolument pas
abordé dans la toute grande majorité des statuts. Même si tu
soutiens mordicus que la manière de gérer est du ressort des
statuts, s'il n'y est pas fait mention il faut bien se reporter
sur quelque chose, en l'occurrence la loi.
Je crois qu'il y a quelque chose que tu n'as pas compris
dans cet article : ce qui est mis en commun et la manière
de le gérer est exclusivement du ressort du contrat associatif.
Autrement dit, des statuts.
Tu mélanges deux choses bien distinctes, l'objet de l'association
qui évidemment est précisé d'entrée dans les statuts, et la gestion
dont la seule allusion dans les modèles de statuts, donc dans la
plupart de ceux-ci, concerne le rapport financier en AG qui ne
revêt aucun caractère restrictif.
Donc le problème qui nous occupe, à savoir la transparence
de la gestion par rapport aux adhérents, n'est absolument pas
abordé dans la toute grande majorité des statuts. Même si tu
soutiens mordicus que la manière de gérer est du ressort des
statuts, s'il n'y est pas fait mention il faut bien se reporter
sur quelque chose, en l'occurrence la loi.
Je crois qu'il y a quelque chose que tu n'as pas compris
dans cet article : ce qui est mis en commun et la manière
de le gérer est exclusivement du ressort du contrat associatif.
Autrement dit, des statuts.
Tu mélanges deux choses bien distinctes, l'objet de l'association
qui évidemment est précisé d'entrée dans les statuts, et la gestion
dont la seule allusion dans les modèles de statuts, donc dans la
plupart de ceux-ci, concerne le rapport financier en AG qui ne
revêt aucun caractère restrictif.
Donc le problème qui nous occupe, à savoir la transparence
de la gestion par rapport aux adhérents, n'est absolument pas
abordé dans la toute grande majorité des statuts. Même si tu
soutiens mordicus que la manière de gérer est du ressort des
statuts, s'il n'y est pas fait mention il faut bien se reporter
sur quelque chose, en l'occurrence la loi.