Dominique de Corse a utilisé son clavier pour écrire : > Ricco wrote:
>> non, là, c'est toi qui te fais un film des années cinquante en N&B > > Ce quartier, j'y ai travaillé comme inspectrice des impôts, et je > taxais, entre autres "professions libérales", les putes, alors le revers > du décor, je connais, vois tu...
tu es en train de battre Birdy toi ! ben si c'est la cas, ce n'est plus le cas, ça a dû autant changer qu' Amiens le coup de " mâle lâché " dans Paris tout émoustillé qui croit séduire les prostituées, non, non, là, c'est vraiment une considération d'une autre époque, à une certaine époque ça a pu exister, mais là, non, ça me rappelle une scène d'un film où une prostitués faisait ses conclusions dans la rue, " de nos jours c'est plus pareil, avec la télé, ils ne sortent plus... " en N & B, je vais essayer se retrouver, mais ça doit bien dater de 50 ans.
Les Tontons Flingueurs, la scène de Madame Mado. J'ai mis le lien dans un autre message :-)
-- "Les hommes constituent, de par le monde, entre 90% et 100% des criminels, des pédophiles, des violeurs, des généraux, des chefs d'état et des grands leaders religieux."
Ricco <ricco@fring.fr> wrote:
Dominique de Corse a utilisé son clavier pour écrire :
> Ricco <ricco@fring.fr> wrote:
>> non, là, c'est toi qui te fais un film des années cinquante en N&B
>
> Ce quartier, j'y ai travaillé comme inspectrice des impôts, et je
> taxais, entre autres "professions libérales", les putes, alors le revers
> du décor, je connais, vois tu...
tu es en train de battre Birdy toi !
ben si c'est la cas, ce n'est plus le cas, ça a dû autant changer qu'
Amiens
le coup de " mâle lâché " dans Paris tout émoustillé qui croit séduire
les prostituées, non, non, là, c'est vraiment une considération d'une
autre époque, à une certaine époque ça a pu exister, mais là, non, ça
me rappelle une scène d'un film où une prostitués faisait ses
conclusions dans la rue, " de nos jours c'est plus pareil, avec la
télé, ils ne sortent plus... " en N & B, je vais essayer se retrouver,
mais ça doit bien dater de 50 ans.
Les Tontons Flingueurs, la scène de Madame Mado.
J'ai mis le lien dans un autre message :-)
--
"Les hommes constituent, de par le monde,
entre 90% et 100% des criminels, des pédophiles,
des violeurs, des généraux, des chefs d'état
et des grands leaders religieux."
Dominique de Corse a utilisé son clavier pour écrire : > Ricco wrote:
>> non, là, c'est toi qui te fais un film des années cinquante en N&B > > Ce quartier, j'y ai travaillé comme inspectrice des impôts, et je > taxais, entre autres "professions libérales", les putes, alors le revers > du décor, je connais, vois tu...
tu es en train de battre Birdy toi ! ben si c'est la cas, ce n'est plus le cas, ça a dû autant changer qu' Amiens le coup de " mâle lâché " dans Paris tout émoustillé qui croit séduire les prostituées, non, non, là, c'est vraiment une considération d'une autre époque, à une certaine époque ça a pu exister, mais là, non, ça me rappelle une scène d'un film où une prostitués faisait ses conclusions dans la rue, " de nos jours c'est plus pareil, avec la télé, ils ne sortent plus... " en N & B, je vais essayer se retrouver, mais ça doit bien dater de 50 ans.
Les Tontons Flingueurs, la scène de Madame Mado. J'ai mis le lien dans un autre message :-)
-- "Les hommes constituent, de par le monde, entre 90% et 100% des criminels, des pédophiles, des violeurs, des généraux, des chefs d'état et des grands leaders religieux."
Jean
"Dominique de Corse" a écrit dans le message de news: 1lsdes0.1w114hr6mxghnN%
J'ai eu les dernières putes du quartier dans mon bureau,
ça s'appelle du proxénétisme, la pouf !!!! Mais tout le monde sait que c'est du pipo pour te gonfler l'ego........
"Dominique de Corse" <dmkgbt@free.invalid> a écrit dans le message de news:
1lsdes0.1w114hr6mxghnN%dmkgbt@free.invalid...
J'ai eu les dernières putes du quartier dans mon bureau,
ça s'appelle du proxénétisme, la pouf !!!!
Mais tout le monde sait que c'est du pipo
pour te gonfler l'ego........
"Dominique de Corse" a écrit dans le message de news: 1lsdes0.1w114hr6mxghnN%
J'ai eu les dernières putes du quartier dans mon bureau,
ça s'appelle du proxénétisme, la pouf !!!! Mais tout le monde sait que c'est du pipo pour te gonfler l'ego........
Ricco
<http://www.kewego.fr/video/iLyROoafv7lf.html>
super, il me semblait bien que c'était dans les Tontons, mais pas retrouvé, merci, mort de rire !
J'ai eu les dernières putes du quartier dans mon bureau, début des années 80, celles qui se souvenaient d'avoir assuré jusqu'à 80 passes par jour dans des foyers d'ouvriers immigrés. Maintenant, c'est devenu propre et bobo. Et certains bordels ont été remplacés par les ateliers clandestins. Autre esclavage...
on appelait ça des maisons d'abattage si je me souviens bien, pour immigrés ? les julots, ils étaient convoqués aussi ?
Voilà, Internet a tué le sexe dans les rues. Je ne sais pas si c'est un bien, parce que les putes sont encore moins bien protégées maintenant :-(
difficile de savoir en fait, et ce ne sont pas les reportages d'envoyé spécial qui nous en disent plus long, par essence ce milieu est hérmétique, mieux, pire, j'en sais rien, en revanche plus personne sur les boulevards extérieurs.
-- ricco --
<http://www.kewego.fr/video/iLyROoafv7lf.html>
super, il me semblait bien que c'était dans les Tontons, mais pas
retrouvé, merci, mort de rire !
J'ai eu les dernières putes du quartier dans mon bureau, début des
années 80, celles qui se souvenaient d'avoir assuré jusqu'à 80 passes
par jour dans des foyers d'ouvriers immigrés.
Maintenant, c'est devenu propre et bobo.
Et certains bordels ont été remplacés par les ateliers clandestins.
Autre esclavage...
on appelait ça des maisons d'abattage si je me souviens bien, pour
immigrés ?
les julots, ils étaient convoqués aussi ?
Voilà, Internet a tué le sexe dans les rues.
Je ne sais pas si c'est un bien, parce que les putes sont encore moins
bien protégées maintenant :-(
difficile de savoir en fait, et ce ne sont pas les reportages d'envoyé
spécial qui nous en disent plus long, par essence ce milieu est
hérmétique, mieux, pire, j'en sais rien, en revanche plus personne sur
les boulevards extérieurs.
super, il me semblait bien que c'était dans les Tontons, mais pas retrouvé, merci, mort de rire !
J'ai eu les dernières putes du quartier dans mon bureau, début des années 80, celles qui se souvenaient d'avoir assuré jusqu'à 80 passes par jour dans des foyers d'ouvriers immigrés. Maintenant, c'est devenu propre et bobo. Et certains bordels ont été remplacés par les ateliers clandestins. Autre esclavage...
on appelait ça des maisons d'abattage si je me souviens bien, pour immigrés ? les julots, ils étaient convoqués aussi ?
Voilà, Internet a tué le sexe dans les rues. Je ne sais pas si c'est un bien, parce que les putes sont encore moins bien protégées maintenant :-(
difficile de savoir en fait, et ce ne sont pas les reportages d'envoyé spécial qui nous en disent plus long, par essence ce milieu est hérmétique, mieux, pire, j'en sais rien, en revanche plus personne sur les boulevards extérieurs.
-- ricco --
Birdy
Dominique de Corse a formulé :
Birdy wrote:
on ne photographie pas la misère pour s'amuser.
Ça c'est bien.
Mais il faut parfois témoigner et c'est là qu'on hésite. Entre témoignage et voyeurisme, la frontière est ténue.
Témoigner, témoigner auprès de qui ? Je ne suis plus aux affaires en matière de presse ou d'édition, je ne prévois pas de faire un livre de photos sur la misère, Qui l'éditerait d'ailleurs en tête de gondole à la place de Trieweiler ou des 500 bouquin sur Paris, Nothomb, les églises romanes, ou mieux en ce moment les livres sur le 6 juin 44 ? Témoigner c'est le boulot de spécalistes "reconnus"; et ce n'est pas moi.Quant aux "grands mouvements sociaux", c'est pour le salaire des pilotes d'Air France. Et sur le Net la somme de ce qui se fait rend les vrais problèmes invisibles pourle plus grand nombre. Voilà. le sujet est développé sur ce fil pour quelques personnes;..
Dominique de Corse <dmkgbt@free.invalid> a formulé :
Birdy <palmerclaude@wanadoo.fr> wrote:
on ne photographie pas la misère pour s'amuser.
Ça c'est bien.
Mais il faut parfois témoigner et c'est là qu'on hésite.
Entre témoignage et voyeurisme, la frontière est ténue.
Témoigner, témoigner auprès de qui ? Je ne suis plus aux affaires en
matière de presse ou d'édition, je ne prévois pas de faire un livre de
photos sur la misère, Qui l'éditerait d'ailleurs en tête de gondole à
la place de Trieweiler ou des 500 bouquin sur Paris, Nothomb, les
églises romanes, ou mieux en ce moment les livres sur le 6 juin 44 ?
Témoigner c'est le boulot de spécalistes "reconnus"; et ce n'est pas
moi.Quant aux "grands mouvements sociaux", c'est pour le salaire des
pilotes d'Air France. Et sur le Net la somme de ce qui se fait rend les
vrais problèmes invisibles pourle plus grand nombre.
Voilà. le sujet est développé sur ce fil pour quelques personnes;..
Mais il faut parfois témoigner et c'est là qu'on hésite. Entre témoignage et voyeurisme, la frontière est ténue.
Témoigner, témoigner auprès de qui ? Je ne suis plus aux affaires en matière de presse ou d'édition, je ne prévois pas de faire un livre de photos sur la misère, Qui l'éditerait d'ailleurs en tête de gondole à la place de Trieweiler ou des 500 bouquin sur Paris, Nothomb, les églises romanes, ou mieux en ce moment les livres sur le 6 juin 44 ? Témoigner c'est le boulot de spécalistes "reconnus"; et ce n'est pas moi.Quant aux "grands mouvements sociaux", c'est pour le salaire des pilotes d'Air France. Et sur le Net la somme de ce qui se fait rend les vrais problèmes invisibles pourle plus grand nombre. Voilà. le sujet est développé sur ce fil pour quelques personnes;..
Ricco
Les Tontons Flingueurs, la scène de Madame Mado. J'ai mis le lien dans un autre message :-)
oui, super ! merci c'était génial
-- ricco --
Les Tontons Flingueurs, la scène de Madame Mado.
J'ai mis le lien dans un autre message :-)
Les Tontons Flingueurs, la scène de Madame Mado. J'ai mis le lien dans un autre message :-)
oui, super ! merci c'était génial
-- ricco --
Ricco
Birdy avait prétendu :
Dominique de Corse a formulé :
Birdy wrote:
on ne photographie pas la misère pour s'amuser.
Ça c'est bien.
Mais il faut parfois témoigner et c'est là qu'on hésite. Entre témoignage et voyeurisme, la frontière est ténue.
Témoigner, témoigner auprès de qui ? Je ne suis plus aux affaires en matière de presse ou d'édition, je ne prévois pas de faire un livre de photos sur la misère, Qui l'éditerait d'ailleurs en tête de gondole à la place de Trieweiler ou des 500 bouquin sur Paris, Nothomb, les églises romanes, ou mieux en ce moment les livres sur le 6 juin 44 ?
oui
Témoigner c'est le boulot de spécalistes "reconnus"; et ce n'est pas moi.Quant aux "grands mouvements sociaux", c'est pour le salaire des pilotes d'Air France.
les pauvres gens !
Et sur le Net la somme de ce qui se fait rend les vrais
problèmes invisibles pourle plus grand nombre. Voilà. le sujet est développé sur ce fil pour quelques personnes;..
OK, noté pour le voyeurisme, le témoignage, moi j'ajouteerais " pour le fric " ça se vend bien tout ça en fait.
-- ricco --
Birdy avait prétendu :
Dominique de Corse <dmkgbt@free.invalid> a formulé :
Birdy <palmerclaude@wanadoo.fr> wrote:
on ne photographie pas la misère pour s'amuser.
Ça c'est bien.
Mais il faut parfois témoigner et c'est là qu'on hésite.
Entre témoignage et voyeurisme, la frontière est ténue.
Témoigner, témoigner auprès de qui ? Je ne suis plus aux affaires en matière
de presse ou d'édition, je ne prévois pas de faire un livre de photos sur la
misère, Qui l'éditerait d'ailleurs en tête de gondole à la place de
Trieweiler ou des 500 bouquin sur Paris, Nothomb, les églises romanes, ou
mieux en ce moment les livres sur le 6 juin 44 ?
oui
Témoigner c'est le boulot de spécalistes "reconnus"; et ce n'est pas
moi.Quant aux "grands mouvements sociaux", c'est pour le salaire des pilotes
d'Air France.
les pauvres gens !
Et sur le Net la somme de ce qui se fait rend les vrais
problèmes invisibles pourle plus grand nombre.
Voilà. le sujet est développé sur ce fil pour quelques personnes;..
OK, noté
pour le voyeurisme, le témoignage, moi j'ajouteerais " pour le fric "
ça se vend bien tout ça en fait.
Mais il faut parfois témoigner et c'est là qu'on hésite. Entre témoignage et voyeurisme, la frontière est ténue.
Témoigner, témoigner auprès de qui ? Je ne suis plus aux affaires en matière de presse ou d'édition, je ne prévois pas de faire un livre de photos sur la misère, Qui l'éditerait d'ailleurs en tête de gondole à la place de Trieweiler ou des 500 bouquin sur Paris, Nothomb, les églises romanes, ou mieux en ce moment les livres sur le 6 juin 44 ?
oui
Témoigner c'est le boulot de spécalistes "reconnus"; et ce n'est pas moi.Quant aux "grands mouvements sociaux", c'est pour le salaire des pilotes d'Air France.
les pauvres gens !
Et sur le Net la somme de ce qui se fait rend les vrais
problèmes invisibles pourle plus grand nombre. Voilà. le sujet est développé sur ce fil pour quelques personnes;..
OK, noté pour le voyeurisme, le témoignage, moi j'ajouteerais " pour le fric " ça se vend bien tout ça en fait.
-- ricco --
Ferdinand Maréchal.
"Dominique de Corse" a écrit dans le message de groupe de discussion : 1lsddxn.zq16f61ubj1fjN%
Ce quartier, j'y ai travaillé comme inspectrice des impôts,
super, il me semblait bien que c'était dans les Tontons, mais pas retrouvé, merci, mort de rire !
> J'ai eu les dernières putes du quartier dans mon bureau, début des > années 80, celles qui se souvenaient d'avoir assuré jusqu'à 80 passes > par jour dans des foyers d'ouvriers immigrés. > Maintenant, c'est devenu propre et bobo. > Et certains bordels ont été remplacés par les ateliers clandestins. > Autre esclavage...
on appelait ça des maisons d'abattage si je me souviens bien, pour immigrés ?
Oui. Et j'ai la chanson de Jacques Brel qui me revient en tête du coup : <https://www.youtube.com/watch?v=zXBPeQiYxeI>
les julots, ils étaient convoqués aussi ?
Par mon collègue qui faisait dans les impôts commerciaux. Mais c'était rare : elles prétendaient toujours être libres...
> Voilà, Internet a tué le sexe dans les rues. > Je ne sais pas si c'est un bien, parce que les putes sont encore moins > bien protégées maintenant :-(
difficile de savoir en fait, et ce ne sont pas les reportages d'envoyé spécial qui nous en disent plus long, par essence ce milieu est hérmétique, mieux, pire, j'en sais rien, en revanche plus personne sur les boulevards extérieurs.
A Amiens, les proxos faisaient venir des sans papiers africaines de Paris pour la journée : elles arrivaient en début de soirée et repartaient vers la Gare du Nord par le dernier train. Pas de chambre, pas d'hygiène, pas de préservatif, bien sûr :-(
-- "Les hommes constituent, de par le monde, entre 90% et 100% des criminels, des pédophiles, des violeurs, des généraux, des chefs d'état et des grands leaders religieux."
super, il me semblait bien que c'était dans les Tontons, mais pas
retrouvé, merci, mort de rire !
> J'ai eu les dernières putes du quartier dans mon bureau, début des
> années 80, celles qui se souvenaient d'avoir assuré jusqu'à 80 passes
> par jour dans des foyers d'ouvriers immigrés.
> Maintenant, c'est devenu propre et bobo.
> Et certains bordels ont été remplacés par les ateliers clandestins.
> Autre esclavage...
on appelait ça des maisons d'abattage si je me souviens bien, pour
immigrés ?
Oui.
Et j'ai la chanson de Jacques Brel qui me revient en tête du coup :
<https://www.youtube.com/watch?v=zXBPeQiYxeI>
les julots, ils étaient convoqués aussi ?
Par mon collègue qui faisait dans les impôts commerciaux.
Mais c'était rare : elles prétendaient toujours être libres...
> Voilà, Internet a tué le sexe dans les rues.
> Je ne sais pas si c'est un bien, parce que les putes sont encore moins
> bien protégées maintenant :-(
difficile de savoir en fait, et ce ne sont pas les reportages d'envoyé
spécial qui nous en disent plus long, par essence ce milieu est
hérmétique, mieux, pire, j'en sais rien, en revanche plus personne sur
les boulevards extérieurs.
A Amiens, les proxos faisaient venir des sans papiers africaines de
Paris pour la journée : elles arrivaient en début de soirée et
repartaient vers la Gare du Nord par le dernier train.
Pas de chambre, pas d'hygiène, pas de préservatif, bien sûr :-(
--
"Les hommes constituent, de par le monde,
entre 90% et 100% des criminels, des pédophiles,
des violeurs, des généraux, des chefs d'état
et des grands leaders religieux."
super, il me semblait bien que c'était dans les Tontons, mais pas retrouvé, merci, mort de rire !
> J'ai eu les dernières putes du quartier dans mon bureau, début des > années 80, celles qui se souvenaient d'avoir assuré jusqu'à 80 passes > par jour dans des foyers d'ouvriers immigrés. > Maintenant, c'est devenu propre et bobo. > Et certains bordels ont été remplacés par les ateliers clandestins. > Autre esclavage...
on appelait ça des maisons d'abattage si je me souviens bien, pour immigrés ?
Oui. Et j'ai la chanson de Jacques Brel qui me revient en tête du coup : <https://www.youtube.com/watch?v=zXBPeQiYxeI>
les julots, ils étaient convoqués aussi ?
Par mon collègue qui faisait dans les impôts commerciaux. Mais c'était rare : elles prétendaient toujours être libres...
> Voilà, Internet a tué le sexe dans les rues. > Je ne sais pas si c'est un bien, parce que les putes sont encore moins > bien protégées maintenant :-(
difficile de savoir en fait, et ce ne sont pas les reportages d'envoyé spécial qui nous en disent plus long, par essence ce milieu est hérmétique, mieux, pire, j'en sais rien, en revanche plus personne sur les boulevards extérieurs.
A Amiens, les proxos faisaient venir des sans papiers africaines de Paris pour la journée : elles arrivaient en début de soirée et repartaient vers la Gare du Nord par le dernier train. Pas de chambre, pas d'hygiène, pas de préservatif, bien sûr :-(
-- "Les hommes constituent, de par le monde, entre 90% et 100% des criminels, des pédophiles, des violeurs, des généraux, des chefs d'état et des grands leaders religieux."
dmkgbt
Birdy wrote:
Dominique de Corse a formulé : > Birdy wrote: > > >> on ne photographie pas la misère pour s'amuser. > > Ça c'est bien. > > Mais il faut parfois témoigner et c'est là qu'on hésite. > Entre témoignage et voyeurisme, la frontière est ténue.
Témoigner, témoigner auprès de qui ?
Sur Internet, bien sûr.
Je ne suis plus aux affaires en matière de presse ou d'édition, je ne prévois pas de faire un livre de photos sur la misère, Qui l'éditerait d'ailleurs en tête de gondole à la place de Trieweiler ou des 500 bouquin sur Paris, Nothomb, les églises romanes, ou mieux en ce moment les livres sur le 6 juin 44 ?
Et ce média que tu utilises juste pour poster tes photos, là. Internet remplace tous les journaux, toutes les radios, toutes les télévisions, tous les bouquins. C'est gratuit, c'est mondial, c'est facile.
Témoigner c'est le boulot de spécalistes "reconnus"; et ce n'est pas moi.
C'est comme ça qu'on laisse les autres témoigner d'une réalité qui n'est pas la notre. Témoin, c'est pas un travail, c'est un ressenti.
Quant aux "grands mouvements sociaux", c'est pour le salaire des pilotes d'Air France.
Plaît-il? Quel rapport entre témoigner sur ce qu'on voit tous les jours dans la rue et Air-France?
Et sur le Net la somme de ce qui se fait rend les vrais problèmes invisibles pourle plus grand nombre.
Quand on s'intéresse à ce qui se passe ailleurs, on trouve toujours sur Internet et on peut le partager avec les gens qu'on connaît... Tiens un exemple :
<http://tinyurl.com/l3y5d96>
<http://tinyurl.com/nyrq3zo>
Voilà. le sujet est développé sur ce fil pour quelques personnes;..
-- "Les hommes constituent, de par le monde, entre 90% et 100% des criminels, des pédophiles, des violeurs, des généraux, des chefs d'état et des grands leaders religieux."
Birdy <palmerclaude@wanadoo.fr> wrote:
Dominique de Corse <dmkgbt@free.invalid> a formulé :
> Birdy <palmerclaude@wanadoo.fr> wrote:
>
>
>> on ne photographie pas la misère pour s'amuser.
>
> Ça c'est bien.
>
> Mais il faut parfois témoigner et c'est là qu'on hésite.
> Entre témoignage et voyeurisme, la frontière est ténue.
Témoigner, témoigner auprès de qui ?
Sur Internet, bien sûr.
Je ne suis plus aux affaires en
matière de presse ou d'édition, je ne prévois pas de faire un livre de
photos sur la misère, Qui l'éditerait d'ailleurs en tête de gondole à
la place de Trieweiler ou des 500 bouquin sur Paris, Nothomb, les
églises romanes, ou mieux en ce moment les livres sur le 6 juin 44 ?
Et ce média que tu utilises juste pour poster tes photos, là.
Internet remplace tous les journaux, toutes les radios, toutes les
télévisions, tous les bouquins.
C'est gratuit, c'est mondial, c'est facile.
Témoigner c'est le boulot de spécalistes "reconnus"; et ce n'est pas
moi.
C'est comme ça qu'on laisse les autres témoigner d'une réalité qui n'est
pas la notre.
Témoin, c'est pas un travail, c'est un ressenti.
Quant aux "grands mouvements sociaux", c'est pour le salaire des
pilotes d'Air France.
Plaît-il?
Quel rapport entre témoigner sur ce qu'on voit tous les jours dans la
rue et Air-France?
Et sur le Net la somme de ce qui se fait rend les
vrais problèmes invisibles pourle plus grand nombre.
Quand on s'intéresse à ce qui se passe ailleurs, on trouve toujours sur
Internet et on peut le partager avec les gens qu'on connaît...
Tiens un exemple :
<http://tinyurl.com/l3y5d96>
<http://tinyurl.com/nyrq3zo>
Voilà. le sujet est développé sur ce fil pour quelques personnes;..
--
"Les hommes constituent, de par le monde,
entre 90% et 100% des criminels, des pédophiles,
des violeurs, des généraux, des chefs d'état
et des grands leaders religieux."
Dominique de Corse a formulé : > Birdy wrote: > > >> on ne photographie pas la misère pour s'amuser. > > Ça c'est bien. > > Mais il faut parfois témoigner et c'est là qu'on hésite. > Entre témoignage et voyeurisme, la frontière est ténue.
Témoigner, témoigner auprès de qui ?
Sur Internet, bien sûr.
Je ne suis plus aux affaires en matière de presse ou d'édition, je ne prévois pas de faire un livre de photos sur la misère, Qui l'éditerait d'ailleurs en tête de gondole à la place de Trieweiler ou des 500 bouquin sur Paris, Nothomb, les églises romanes, ou mieux en ce moment les livres sur le 6 juin 44 ?
Et ce média que tu utilises juste pour poster tes photos, là. Internet remplace tous les journaux, toutes les radios, toutes les télévisions, tous les bouquins. C'est gratuit, c'est mondial, c'est facile.
Témoigner c'est le boulot de spécalistes "reconnus"; et ce n'est pas moi.
C'est comme ça qu'on laisse les autres témoigner d'une réalité qui n'est pas la notre. Témoin, c'est pas un travail, c'est un ressenti.
Quant aux "grands mouvements sociaux", c'est pour le salaire des pilotes d'Air France.
Plaît-il? Quel rapport entre témoigner sur ce qu'on voit tous les jours dans la rue et Air-France?
Et sur le Net la somme de ce qui se fait rend les vrais problèmes invisibles pourle plus grand nombre.
Quand on s'intéresse à ce qui se passe ailleurs, on trouve toujours sur Internet et on peut le partager avec les gens qu'on connaît... Tiens un exemple :
<http://tinyurl.com/l3y5d96>
<http://tinyurl.com/nyrq3zo>
Voilà. le sujet est développé sur ce fil pour quelques personnes;..
-- "Les hommes constituent, de par le monde, entre 90% et 100% des criminels, des pédophiles, des violeurs, des généraux, des chefs d'état et des grands leaders religieux."
dmkgbt
Ferdinand Maréchal. wrote:
"Dominique de Corse" a écrit dans le message de groupe de discussion : 1lsddxn.zq16f61ubj1fjN%
Ce quartier, j'y ai travaillé comme inspectrice des impôts,
-- "Les hommes constituent, de par le monde, entre 90% et 100% des criminels, des pédophiles, des violeurs, des généraux, des chefs d'état et des grands leaders religieux."
Ferdinand Maréchal. <bu.jean-pierre@neuf.fr> wrote:
"Dominique de Corse" a écrit dans le message de groupe de discussion :
1lsddxn.zq16f61ubj1fjN%dmkgbt@free.invalid...
Ce quartier, j'y ai travaillé comme inspectrice des impôts,
--
"Les hommes constituent, de par le monde,
entre 90% et 100% des criminels, des pédophiles,
des violeurs, des généraux, des chefs d'état
et des grands leaders religieux."
-- "Les hommes constituent, de par le monde, entre 90% et 100% des criminels, des pédophiles, des violeurs, des généraux, des chefs d'état et des grands leaders religieux."
