Jacquouille14 wrote:mais je serai pour tant qu'il n'existera
Non, je suis fermement contre la peine de mort mais
Non, tu es pour.
Jacquouille14 <lameme@free.fr> wrote:
mais je serai pour tant qu'il n'existera
Non, je suis fermement contre la peine de mort mais
Non, tu es pour.
Jacquouille14 wrote:mais je serai pour tant qu'il n'existera
Non, je suis fermement contre la peine de mort mais
Non, tu es pour.
C'est un homicide volontaire et il a été placé en garde à vue de ce
chef.
Que cet homme ait été l'un des deux braqueurs à qui il venait de
remettre le contenu de son coffre n'est nullement constitutif de
l'excuse de légitime défense puisqu'il a tiré sur un homme qui
s'enfuyait et ne courait donc plus aucun danger :
<http://www.nicematin.com/nice/videos-un-bijoutier-tue-un-braqueur-a-nic
e.1431538.html>
La vengeance ne peut en aucun cas être assimilée à la légitime défense.
--
Dominique Gobeaut
dmkgbt(at)free(point)fr
C'est un homicide volontaire et il a été placé en garde à vue de ce
chef.
Que cet homme ait été l'un des deux braqueurs à qui il venait de
remettre le contenu de son coffre n'est nullement constitutif de
l'excuse de légitime défense puisqu'il a tiré sur un homme qui
s'enfuyait et ne courait donc plus aucun danger :
<http://www.nicematin.com/nice/videos-un-bijoutier-tue-un-braqueur-a-nic
e.1431538.html>
La vengeance ne peut en aucun cas être assimilée à la légitime défense.
--
Dominique Gobeaut
dmkgbt(at)free(point)fr
C'est un homicide volontaire et il a été placé en garde à vue de ce
chef.
Que cet homme ait été l'un des deux braqueurs à qui il venait de
remettre le contenu de son coffre n'est nullement constitutif de
l'excuse de légitime défense puisqu'il a tiré sur un homme qui
s'enfuyait et ne courait donc plus aucun danger :
<http://www.nicematin.com/nice/videos-un-bijoutier-tue-un-braqueur-a-nic
e.1431538.html>
La vengeance ne peut en aucun cas être assimilée à la légitime défense.
--
Dominique Gobeaut
dmkgbt(at)free(point)fr
Le 13/09/13 09:02, Sylvain a écrit :
> Le bijoutier c'est fait tabasser
Je n'en suis pas certain.
Et même si c'était le cas, il y a eu meurtre avec balle dans le dos d'un
côté, et vol de bijoux avec agression armée de l'autre.
Le 13/09/13 09:02, Sylvain a écrit :
> Le bijoutier c'est fait tabasser
Je n'en suis pas certain.
Et même si c'était le cas, il y a eu meurtre avec balle dans le dos d'un
côté, et vol de bijoux avec agression armée de l'autre.
Le 13/09/13 09:02, Sylvain a écrit :
> Le bijoutier c'est fait tabasser
Je n'en suis pas certain.
Et même si c'était le cas, il y a eu meurtre avec balle dans le dos d'un
côté, et vol de bijoux avec agression armée de l'autre.
Et toutes les manifestations de soutien sur les réseaux sociaux
n'empêcheront pas son renvoi aux assises où seul le jury pourra statuer
sur son sort.
Et toutes les manifestations de soutien sur les réseaux sociaux
n'empêcheront pas son renvoi aux assises où seul le jury pourra statuer
sur son sort.
Et toutes les manifestations de soutien sur les réseaux sociaux
n'empêcheront pas son renvoi aux assises où seul le jury pourra statuer
sur son sort.
et moi et moi et moi wrote:Le 13/09/13 09:02, Sylvain a écrit :Le bijoutier c'est fait tabasser
Je n'en suis pas certain.
Et même si c'était le cas, il y a eu meurtre avec balle dans le dos d'un
côté, et vol de bijoux avec agression armée de l'autre.
La justice a mis fin aux supputations, pour le moment :
"Vendredi soir, le bijoutier niçois a été mis en examen pour homicide
volontaire et assigné à résidence sous bracelet électronique. Le motif
de légitime défense n'a pas été retenu par le juge."
Et toutes les manifestations de soutien sur les réseaux sociaux
n'empêcheront pas son renvoi aux assises où seul le jury pourra statuer
sur son sort.
Qui va nier ça sur le plan du droit pénal et de la justice et qu'en
pense l'Institut pour la Justice?
"Normalement", tout le monde soutient les _victimes_ contre les
_assassins_
et moi et moi et moi <yeak@yahoo.fr> wrote:
Le 13/09/13 09:02, Sylvain a écrit :
Le bijoutier c'est fait tabasser
Je n'en suis pas certain.
Et même si c'était le cas, il y a eu meurtre avec balle dans le dos d'un
côté, et vol de bijoux avec agression armée de l'autre.
La justice a mis fin aux supputations, pour le moment :
"Vendredi soir, le bijoutier niçois a été mis en examen pour homicide
volontaire et assigné à résidence sous bracelet électronique. Le motif
de légitime défense n'a pas été retenu par le juge."
Et toutes les manifestations de soutien sur les réseaux sociaux
n'empêcheront pas son renvoi aux assises où seul le jury pourra statuer
sur son sort.
Qui va nier ça sur le plan du droit pénal et de la justice et qu'en
pense l'Institut pour la Justice?
"Normalement", tout le monde soutient les _victimes_ contre les
_assassins_
et moi et moi et moi wrote:Le 13/09/13 09:02, Sylvain a écrit :Le bijoutier c'est fait tabasser
Je n'en suis pas certain.
Et même si c'était le cas, il y a eu meurtre avec balle dans le dos d'un
côté, et vol de bijoux avec agression armée de l'autre.
La justice a mis fin aux supputations, pour le moment :
"Vendredi soir, le bijoutier niçois a été mis en examen pour homicide
volontaire et assigné à résidence sous bracelet électronique. Le motif
de légitime défense n'a pas été retenu par le juge."
Et toutes les manifestations de soutien sur les réseaux sociaux
n'empêcheront pas son renvoi aux assises où seul le jury pourra statuer
sur son sort.
Qui va nier ça sur le plan du droit pénal et de la justice et qu'en
pense l'Institut pour la Justice?
"Normalement", tout le monde soutient les _victimes_ contre les
_assassins_
Hello Dominique !
(Dominique) wrote:
> Et toutes les manifestations de soutien sur les réseaux sociaux
> n'empêcheront pas son renvoi aux assises où seul le jury pourra statuer
> sur son sort.
Ce serait préférable qu'un tel cas soit porté aux Assises, car un juge
professionnel sera ici encombré par sa propre notion de l'ordre public.
Lorsque l'on vit durablement dans un stress, on entre en burn-out;
c'est-à-dire que l'on craque. Le burn-out s'accompagne de l'apparition de
phobies, c'est-à-dire la crainte de voir se reproduire des situations que
l'on a vécues, sur la base d'un détail qui les rappelle.
Par exemple, dans l'excellent film anglais "Un mois à la campagne" qui
se situe en 1920, on voit l'acteur Kenneth Bragath qui ne peut dormir
qu'au fond d'un trou creusé dans le sol, car il a été soumis à
l'artillerie durant la Grande Guerre; l'autre acteur qui était aussi
mobilisé, ne peut plus entendre une détonation à proximité sans tomber à
genoux la tête dans les mains.
Quant on a atteint un burn-out, le fait d'être soumis à nouveau à des
faits qui rappellent ceux que l'on a connus, engendre des réactions qu'un
observateur extérieur trouvera aisément illogiques ou excessives, lui qui
n'a pas été soumis au même stress.
Hello Dominique !
dmkgbt@free.invalid (Dominique) wrote:
> Et toutes les manifestations de soutien sur les réseaux sociaux
> n'empêcheront pas son renvoi aux assises où seul le jury pourra statuer
> sur son sort.
Ce serait préférable qu'un tel cas soit porté aux Assises, car un juge
professionnel sera ici encombré par sa propre notion de l'ordre public.
Lorsque l'on vit durablement dans un stress, on entre en burn-out;
c'est-à-dire que l'on craque. Le burn-out s'accompagne de l'apparition de
phobies, c'est-à-dire la crainte de voir se reproduire des situations que
l'on a vécues, sur la base d'un détail qui les rappelle.
Par exemple, dans l'excellent film anglais "Un mois à la campagne" qui
se situe en 1920, on voit l'acteur Kenneth Bragath qui ne peut dormir
qu'au fond d'un trou creusé dans le sol, car il a été soumis à
l'artillerie durant la Grande Guerre; l'autre acteur qui était aussi
mobilisé, ne peut plus entendre une détonation à proximité sans tomber à
genoux la tête dans les mains.
Quant on a atteint un burn-out, le fait d'être soumis à nouveau à des
faits qui rappellent ceux que l'on a connus, engendre des réactions qu'un
observateur extérieur trouvera aisément illogiques ou excessives, lui qui
n'a pas été soumis au même stress.
Hello Dominique !
(Dominique) wrote:
> Et toutes les manifestations de soutien sur les réseaux sociaux
> n'empêcheront pas son renvoi aux assises où seul le jury pourra statuer
> sur son sort.
Ce serait préférable qu'un tel cas soit porté aux Assises, car un juge
professionnel sera ici encombré par sa propre notion de l'ordre public.
Lorsque l'on vit durablement dans un stress, on entre en burn-out;
c'est-à-dire que l'on craque. Le burn-out s'accompagne de l'apparition de
phobies, c'est-à-dire la crainte de voir se reproduire des situations que
l'on a vécues, sur la base d'un détail qui les rappelle.
Par exemple, dans l'excellent film anglais "Un mois à la campagne" qui
se situe en 1920, on voit l'acteur Kenneth Bragath qui ne peut dormir
qu'au fond d'un trou creusé dans le sol, car il a été soumis à
l'artillerie durant la Grande Guerre; l'autre acteur qui était aussi
mobilisé, ne peut plus entendre une détonation à proximité sans tomber à
genoux la tête dans les mains.
Quant on a atteint un burn-out, le fait d'être soumis à nouveau à des
faits qui rappellent ceux que l'on a connus, engendre des réactions qu'un
observateur extérieur trouvera aisément illogiques ou excessives, lui qui
n'a pas été soumis au même stress.
Ce serait préférable qu'un tel cas soit porté aux Assises, car un juge
professionnel sera ici encombré par sa propre notion de l'ordre public.
Pas encombré : plus serein, plus dans une logique juridique, moins
soumis à des émotions parasites, par contre.
Lorsque l'on vit durablement dans un stress, on entre en burn-out;
c'est-à-dire que l'on craque. Le burn-out s'accompagne de l'apparition de
phobies, c'est-à-dire la crainte de voir se reproduire des situations que
l'on a vécues, sur la base d'un détail qui les rappelle.
Par exemple, dans l'excellent film anglais "Un mois à la campagne" qui
se situe en 1920, on voit l'acteur Kenneth Bragath qui ne peut dormir
qu'au fond d'un trou creusé dans le sol, car il a été soumis à
l'artillerie durant la Grande Guerre; l'autre acteur qui était aussi
mobilisé, ne peut plus entendre une détonation à proximité sans tomber à
genoux la tête dans les mains.
Quant on a atteint un burn-out, le fait d'être soumis à nouveau à des
faits qui rappellent ceux que l'on a connus, engendre des réactions qu'un
observateur extérieur trouvera aisément illogiques ou excessives, lui qui
n'a pas été soumis au même stress.
C'est une bonne analyse du burn-out et il est possible que cet homme ait
effectivement "craqué" mais je vais vous paraître cynique, quand on a
subi un stress pareil en liaison avec la profession qu'on exerce, ne
vaut-il pas mieux cesser d'exercer ( ou vendre des objets à moins gros
potentiel d'intérêt) que risquer de tuer quelqu'un, y compris soi-même,
dans certains cas?
Je pense ici à tous ces gens qui ont une arme à disposition et se
suicident à cause de la pression de leur boulot : les policiers ou les
militaires...
Ce serait préférable qu'un tel cas soit porté aux Assises, car un juge
professionnel sera ici encombré par sa propre notion de l'ordre public.
Pas encombré : plus serein, plus dans une logique juridique, moins
soumis à des émotions parasites, par contre.
Lorsque l'on vit durablement dans un stress, on entre en burn-out;
c'est-à-dire que l'on craque. Le burn-out s'accompagne de l'apparition de
phobies, c'est-à-dire la crainte de voir se reproduire des situations que
l'on a vécues, sur la base d'un détail qui les rappelle.
Par exemple, dans l'excellent film anglais "Un mois à la campagne" qui
se situe en 1920, on voit l'acteur Kenneth Bragath qui ne peut dormir
qu'au fond d'un trou creusé dans le sol, car il a été soumis à
l'artillerie durant la Grande Guerre; l'autre acteur qui était aussi
mobilisé, ne peut plus entendre une détonation à proximité sans tomber à
genoux la tête dans les mains.
Quant on a atteint un burn-out, le fait d'être soumis à nouveau à des
faits qui rappellent ceux que l'on a connus, engendre des réactions qu'un
observateur extérieur trouvera aisément illogiques ou excessives, lui qui
n'a pas été soumis au même stress.
C'est une bonne analyse du burn-out et il est possible que cet homme ait
effectivement "craqué" mais je vais vous paraître cynique, quand on a
subi un stress pareil en liaison avec la profession qu'on exerce, ne
vaut-il pas mieux cesser d'exercer ( ou vendre des objets à moins gros
potentiel d'intérêt) que risquer de tuer quelqu'un, y compris soi-même,
dans certains cas?
Je pense ici à tous ces gens qui ont une arme à disposition et se
suicident à cause de la pression de leur boulot : les policiers ou les
militaires...
Ce serait préférable qu'un tel cas soit porté aux Assises, car un juge
professionnel sera ici encombré par sa propre notion de l'ordre public.
Pas encombré : plus serein, plus dans une logique juridique, moins
soumis à des émotions parasites, par contre.
Lorsque l'on vit durablement dans un stress, on entre en burn-out;
c'est-à-dire que l'on craque. Le burn-out s'accompagne de l'apparition de
phobies, c'est-à-dire la crainte de voir se reproduire des situations que
l'on a vécues, sur la base d'un détail qui les rappelle.
Par exemple, dans l'excellent film anglais "Un mois à la campagne" qui
se situe en 1920, on voit l'acteur Kenneth Bragath qui ne peut dormir
qu'au fond d'un trou creusé dans le sol, car il a été soumis à
l'artillerie durant la Grande Guerre; l'autre acteur qui était aussi
mobilisé, ne peut plus entendre une détonation à proximité sans tomber à
genoux la tête dans les mains.
Quant on a atteint un burn-out, le fait d'être soumis à nouveau à des
faits qui rappellent ceux que l'on a connus, engendre des réactions qu'un
observateur extérieur trouvera aisément illogiques ou excessives, lui qui
n'a pas été soumis au même stress.
C'est une bonne analyse du burn-out et il est possible que cet homme ait
effectivement "craqué" mais je vais vous paraître cynique, quand on a
subi un stress pareil en liaison avec la profession qu'on exerce, ne
vaut-il pas mieux cesser d'exercer ( ou vendre des objets à moins gros
potentiel d'intérêt) que risquer de tuer quelqu'un, y compris soi-même,
dans certains cas?
Je pense ici à tous ces gens qui ont une arme à disposition et se
suicident à cause de la pression de leur boulot : les policiers ou les
militaires...
C'est une bonne analyse du burn-out et il est possible que cet homme ait
effectivement "craqué" mais je vais vous paraître cynique,
subi un stress pareil en liaison avec la profession qu'on exerce,
vaut-il pas mieux cesser d'exercer ( ou vendre des objets à moins gros
potentiel d'intérêt) que risquer de tuer quelqu'un, y compris soi-même,
dans certains cas?
Je pense ici à tous ces gens qui ont une arme à disposition et se
suicident à cause de la pression de leur boulot : les policiers ou les
militaires...
C'est une bonne analyse du burn-out et il est possible que cet homme ait
effectivement "craqué" mais je vais vous paraître cynique,
subi un stress pareil en liaison avec la profession qu'on exerce,
vaut-il pas mieux cesser d'exercer ( ou vendre des objets à moins gros
potentiel d'intérêt) que risquer de tuer quelqu'un, y compris soi-même,
dans certains cas?
Je pense ici à tous ces gens qui ont une arme à disposition et se
suicident à cause de la pression de leur boulot : les policiers ou les
militaires...
C'est une bonne analyse du burn-out et il est possible que cet homme ait
effectivement "craqué" mais je vais vous paraître cynique,
subi un stress pareil en liaison avec la profession qu'on exerce,
vaut-il pas mieux cesser d'exercer ( ou vendre des objets à moins gros
potentiel d'intérêt) que risquer de tuer quelqu'un, y compris soi-même,
dans certains cas?
Je pense ici à tous ces gens qui ont une arme à disposition et se
suicident à cause de la pression de leur boulot : les policiers ou les
militaires...
...si. Mais alors il faut accepter l'idée d'être chassé potentiellement de
partout, et tout recommencer ailleurs. Chassé de sa maison par un voisinage haineux ou
hostile; chassé de son travail par les délinquants impunis.
...si. Mais alors il faut accepter l'idée d'être chassé potentiellement de
partout, et tout recommencer ailleurs. Chassé de sa maison par un voisinage haineux ou
hostile; chassé de son travail par les délinquants impunis.
...si. Mais alors il faut accepter l'idée d'être chassé potentiellement de
partout, et tout recommencer ailleurs. Chassé de sa maison par un voisinage haineux ou
hostile; chassé de son travail par les délinquants impunis.
popol wrote:Le 12/09/2013 20:43, Dominique a écrit :...
Oui mais là, c'est justement le problème que j'ai voulu aborder : tirer
sur des personnes en fuite, ce n'est pas interrompre un délit puisqu'il
est matériellement terminé et les moyens ne sont pas proportionnés.
...
Votre réponse pose questions.
Quand commence et quand fini un "délit" ?
Quand l'auteur s'enfuit me semble être une bonne réponse.
Le "matériellement terminé" ne
s'attache-t-il qu'à la partie visible de l'action (l'agression, les
faits violents ?). La préparation, le repérage, la fuite et le recel ne
feraient donc pas partie du délit ?
Vous mélangez des actes différents pour en faire un seul.
Le recel, par exemple, est parfaitement autonome par rapport au vol.
Quant à la préparation et le repérage, ce ne sont que des intentions et
non des délits s'il n'y a aucun élément matériel.
Votre réponse sur la peine de mort est aussi un peu courte. Ce qu'une
loi a fait une autre loi peut le défaire.
Pas cette loi là :-)
Parce que, grace à Badinter, la France a ratifié le 6e protocole de la
« Convention de sauvegarde des droits de l'homme » qui interdit le
recours à la peine de mort.
Mais aussi le 13e protocole à la Cour Européenne des Droits de l'Homme,
puis le 2e protocole au Pacte international sur les droits civils et
politiques de l'Onu.
Or, tous interdisent le recours à la peine de mort.
Enfin, l'abolition est inscrite dans la Constitution depuis 2007, à
l'initiative de Jacques Chirac.
De même qu'exiger que l'on n'évoque que le droit, comme vous le demandez
fréquemment sur ce forum, ne peut se cantonner aux écrits en vigueur à
l'heure où l'on s'exprime. Il me semble que ce forum peut aussi évoquer
le droit passé et les évolutions possibles et/ou souhaitées.
Absolument.
Si c'est pertinent.
popol <popol@pas.la> wrote:
Le 12/09/2013 20:43, Dominique a écrit :
...
Oui mais là, c'est justement le problème que j'ai voulu aborder : tirer
sur des personnes en fuite, ce n'est pas interrompre un délit puisqu'il
est matériellement terminé et les moyens ne sont pas proportionnés.
...
Votre réponse pose questions.
Quand commence et quand fini un "délit" ?
Quand l'auteur s'enfuit me semble être une bonne réponse.
Le "matériellement terminé" ne
s'attache-t-il qu'à la partie visible de l'action (l'agression, les
faits violents ?). La préparation, le repérage, la fuite et le recel ne
feraient donc pas partie du délit ?
Vous mélangez des actes différents pour en faire un seul.
Le recel, par exemple, est parfaitement autonome par rapport au vol.
Quant à la préparation et le repérage, ce ne sont que des intentions et
non des délits s'il n'y a aucun élément matériel.
Votre réponse sur la peine de mort est aussi un peu courte. Ce qu'une
loi a fait une autre loi peut le défaire.
Pas cette loi là :-)
Parce que, grace à Badinter, la France a ratifié le 6e protocole de la
« Convention de sauvegarde des droits de l'homme » qui interdit le
recours à la peine de mort.
Mais aussi le 13e protocole à la Cour Européenne des Droits de l'Homme,
puis le 2e protocole au Pacte international sur les droits civils et
politiques de l'Onu.
Or, tous interdisent le recours à la peine de mort.
Enfin, l'abolition est inscrite dans la Constitution depuis 2007, à
l'initiative de Jacques Chirac.
De même qu'exiger que l'on n'évoque que le droit, comme vous le demandez
fréquemment sur ce forum, ne peut se cantonner aux écrits en vigueur à
l'heure où l'on s'exprime. Il me semble que ce forum peut aussi évoquer
le droit passé et les évolutions possibles et/ou souhaitées.
Absolument.
Si c'est pertinent.
popol wrote:Le 12/09/2013 20:43, Dominique a écrit :...
Oui mais là, c'est justement le problème que j'ai voulu aborder : tirer
sur des personnes en fuite, ce n'est pas interrompre un délit puisqu'il
est matériellement terminé et les moyens ne sont pas proportionnés.
...
Votre réponse pose questions.
Quand commence et quand fini un "délit" ?
Quand l'auteur s'enfuit me semble être une bonne réponse.
Le "matériellement terminé" ne
s'attache-t-il qu'à la partie visible de l'action (l'agression, les
faits violents ?). La préparation, le repérage, la fuite et le recel ne
feraient donc pas partie du délit ?
Vous mélangez des actes différents pour en faire un seul.
Le recel, par exemple, est parfaitement autonome par rapport au vol.
Quant à la préparation et le repérage, ce ne sont que des intentions et
non des délits s'il n'y a aucun élément matériel.
Votre réponse sur la peine de mort est aussi un peu courte. Ce qu'une
loi a fait une autre loi peut le défaire.
Pas cette loi là :-)
Parce que, grace à Badinter, la France a ratifié le 6e protocole de la
« Convention de sauvegarde des droits de l'homme » qui interdit le
recours à la peine de mort.
Mais aussi le 13e protocole à la Cour Européenne des Droits de l'Homme,
puis le 2e protocole au Pacte international sur les droits civils et
politiques de l'Onu.
Or, tous interdisent le recours à la peine de mort.
Enfin, l'abolition est inscrite dans la Constitution depuis 2007, à
l'initiative de Jacques Chirac.
De même qu'exiger que l'on n'évoque que le droit, comme vous le demandez
fréquemment sur ce forum, ne peut se cantonner aux écrits en vigueur à
l'heure où l'on s'exprime. Il me semble que ce forum peut aussi évoquer
le droit passé et les évolutions possibles et/ou souhaitées.
Absolument.
Si c'est pertinent.