Le photographe de rue ne doit pas inventer des histoires ou projeter
ses fantasmes sur son sujet, mais juste le montrer.
Le photographe de rue ne doit pas inventer des histoires ou projeter
ses fantasmes sur son sujet, mais juste le montrer.
Le photographe de rue ne doit pas inventer des histoires ou projeter
ses fantasmes sur son sujet, mais juste le montrer.
Le 02/11/2011 09:33, Ghost-Rider a écrit :Le photographe de rue ne doit pas inventer des histoires ou projeter
ses fantasmes sur son sujet, mais juste le montrer.
tu expliquera ca au juge, il va bien rigoler :-)
Le 02/11/2011 09:33, Ghost-Rider a écrit :
Le photographe de rue ne doit pas inventer des histoires ou projeter
ses fantasmes sur son sujet, mais juste le montrer.
tu expliquera ca au juge, il va bien rigoler :-)
Le 02/11/2011 09:33, Ghost-Rider a écrit :Le photographe de rue ne doit pas inventer des histoires ou projeter
ses fantasmes sur son sujet, mais juste le montrer.
tu expliquera ca au juge, il va bien rigoler :-)
Le 01/11/11 23:00, Ghost-Rider a écrit :Qu'ils aillent se plaindre, il y a eu des procès pour ce genre de
clichés, diffusés d'ailleurs dans le grand public et non sur un obscur
forum usenet fréquenté par 12 retraités. La jurisprudence était stricte
mais elle a évolué. Il faut un réel préjudice pour obtenir quelque chose.
Faux. Elle a évolué dans le sens que tu dis pour les photos d'"objets",
pas pour les photos représentant des personnes.
Mais peu importe ce qu'ils faisaient, tu n'es pas censé diffuser
publiquement ce genre de cliché.
C'est le seul personnage sur la photo, et son élément principal. Ton
argumentation ne tiendrait pas une seconde devant un tribunal.
Là aussi peu importe. Tu te méprends dans ton interprétation de la loi
et de la jurisprudence.
à part le fait que c'est un homme habillé en femme, et là,
c'est lui le coupable.
"coupable" ? Mais de quoi ? Tu prends des photos pour désigner des
coupables ?
Mais comme tu y vas. On voit bien pire à la télé ou dans Paris-Match.
Et c'est une raison.
http://cjoint.com/11nv/AKbw1sCRKkF.htm
C'est différent: ça ressemble à une manif, et les textes aussi bien que
la jurisprudence tiennent compte de ce type de contexte où le droit à
l'image ne s'impose pas de la même manière.
A partir du moment où on s'affiche dans la rue dans une certaine tenue
ou en accomplissant certains gestes, c'est bien pour être vu.
Non : personnellement je ne sors pas dans la rue "pour être vu". Et ton
travelo de la photo 1 ne semblait pas non plus être dans la rue "pour
être vu".
Je ne publie jamais de photos de gens ordinaires.
Tu veux dire que les gens "pas ordinaires" ne méritent pas qu'on
respecte leur droit à l'image ?
Le 01/11/11 23:00, Ghost-Rider a écrit :
Qu'ils aillent se plaindre, il y a eu des procès pour ce genre de
clichés, diffusés d'ailleurs dans le grand public et non sur un obscur
forum usenet fréquenté par 12 retraités. La jurisprudence était stricte
mais elle a évolué. Il faut un réel préjudice pour obtenir quelque chose.
Faux. Elle a évolué dans le sens que tu dis pour les photos d'"objets",
pas pour les photos représentant des personnes.
Mais peu importe ce qu'ils faisaient, tu n'es pas censé diffuser
publiquement ce genre de cliché.
C'est le seul personnage sur la photo, et son élément principal. Ton
argumentation ne tiendrait pas une seconde devant un tribunal.
Là aussi peu importe. Tu te méprends dans ton interprétation de la loi
et de la jurisprudence.
à part le fait que c'est un homme habillé en femme, et là,
c'est lui le coupable.
"coupable" ? Mais de quoi ? Tu prends des photos pour désigner des
coupables ?
Mais comme tu y vas. On voit bien pire à la télé ou dans Paris-Match.
Et c'est une raison.
http://cjoint.com/11nv/AKbw1sCRKkF.htm
C'est différent: ça ressemble à une manif, et les textes aussi bien que
la jurisprudence tiennent compte de ce type de contexte où le droit à
l'image ne s'impose pas de la même manière.
A partir du moment où on s'affiche dans la rue dans une certaine tenue
ou en accomplissant certains gestes, c'est bien pour être vu.
Non : personnellement je ne sors pas dans la rue "pour être vu". Et ton
travelo de la photo 1 ne semblait pas non plus être dans la rue "pour
être vu".
Je ne publie jamais de photos de gens ordinaires.
Tu veux dire que les gens "pas ordinaires" ne méritent pas qu'on
respecte leur droit à l'image ?
Le 01/11/11 23:00, Ghost-Rider a écrit :Qu'ils aillent se plaindre, il y a eu des procès pour ce genre de
clichés, diffusés d'ailleurs dans le grand public et non sur un obscur
forum usenet fréquenté par 12 retraités. La jurisprudence était stricte
mais elle a évolué. Il faut un réel préjudice pour obtenir quelque chose.
Faux. Elle a évolué dans le sens que tu dis pour les photos d'"objets",
pas pour les photos représentant des personnes.
Mais peu importe ce qu'ils faisaient, tu n'es pas censé diffuser
publiquement ce genre de cliché.
C'est le seul personnage sur la photo, et son élément principal. Ton
argumentation ne tiendrait pas une seconde devant un tribunal.
Là aussi peu importe. Tu te méprends dans ton interprétation de la loi
et de la jurisprudence.
à part le fait que c'est un homme habillé en femme, et là,
c'est lui le coupable.
"coupable" ? Mais de quoi ? Tu prends des photos pour désigner des
coupables ?
Mais comme tu y vas. On voit bien pire à la télé ou dans Paris-Match.
Et c'est une raison.
http://cjoint.com/11nv/AKbw1sCRKkF.htm
C'est différent: ça ressemble à une manif, et les textes aussi bien que
la jurisprudence tiennent compte de ce type de contexte où le droit à
l'image ne s'impose pas de la même manière.
A partir du moment où on s'affiche dans la rue dans une certaine tenue
ou en accomplissant certains gestes, c'est bien pour être vu.
Non : personnellement je ne sors pas dans la rue "pour être vu". Et ton
travelo de la photo 1 ne semblait pas non plus être dans la rue "pour
être vu".
Je ne publie jamais de photos de gens ordinaires.
Tu veux dire que les gens "pas ordinaires" ne méritent pas qu'on
respecte leur droit à l'image ?
Atteinte à l'intimité de la vie *privée*, tout est là. Quand on se
fait faire une délicatesse en public, on n'est plus dans le cadre de
la vie privée.
Atteinte à l'intimité de la vie *privée*, tout est là. Quand on se
fait faire une délicatesse en public, on n'est plus dans le cadre de
la vie privée.
Atteinte à l'intimité de la vie *privée*, tout est là. Quand on se
fait faire une délicatesse en public, on n'est plus dans le cadre de
la vie privée.
En ce qui concerne les personnes, il y a eu, en France, deux exemples
assez récents.
Une petite fille dont la photo a été montrée je crois, dans une
exposition ou dans un magazine, je ne sais plus, sans autorisation.
Les parents ont réclamé des sommes folles. Déboutés pour absence de
préjudice.
Plus intéressant : une dame très bien sous tous rapports dont la phot o a
été incluse dans un livre sur les SDF (je rapporte de mémoire).
Procès. Elle a été déboutée car même si le livre était tr ès marqué
sociologiquement, sa photo n'attentait pas à sa dignité et elle ne
pouvait pas démontrer un préjudice, et a fortiori le quantifier.
La notion qu'on ne doit jamais oublier c'est que des dommages-intérêt s
trouvent leur source dans un préjudice *réel* qui doit être déter minable
et quantifiable.
> Mais peu importe ce qu'ils faisaient, tu n'es pas censé diffuser
> publiquement ce genre de cliché.
Ben si. C'est l'article 9 du code civil qui s'applique, et sa
jurisprudence, ce fameux article 9 qu'on nous envie partout.
Article 9 du CC:
"Chacun a droit au respect de sa vie privée.
Les juges peuvent, sans préjudice de la réparation du dommage subi,
prescrire toutes mesures, telles que séquestre, saisie et autres,
propres à empêcher ou faire cesser une atteinte à l'intimité de l a vie
privée : ces mesures peuvent, s'il y a urgence, être ordonnées en r éféré."
Atteinte à l'intimité de la vie *privée*, tout est là.
Quand on se fait
faire une délicatesse en public, on n'est plus dans le cadre de la vie
privée.
>>> C'est le seul personnage sur la photo, et son élément principal. Ton
>>> argumentation ne tiendrait pas une seconde devant un tribunal.
Aucune chance de me retrouver devant un tribunal, Cher Pehache... j'ai
fait du droit toute ma vie professionnelle.
>> à part le fait que c'est un homme habillé en femme, et là,
>> c'est lui le coupable.
> "coupable" ? Mais de quoi ? Tu prends des photos pour désigner des
> coupables ?
Évidemment non. Coupable dans ma phrase n'a pas une signification de
droit pénal.
Il y a un axiome de droit qui pourrait fort bien s'appliquer à cette
situation : "nul ne peut se prévaloir de sa propre immoralité."
>> Mais comme tu y vas. On voit bien pire à la télé ou dans Paris-M atch.
> Et c'est une raison.
Ce sont les limites que la société installe toute seule. C'est le
contrat social (qui évolue bien sûr).
> Non : personnellement je ne sors pas dans la rue "pour être vu". Et t on
> travelo de la photo 1 ne semblait pas non plus être dans la rue "pour
> être vu".
Si, j'ai répondu sur ce point. Il s'agit d'un comportement identitaire.
>> Je ne publie jamais de photos de gens ordinaires.
> Tu veux dire que les gens "pas ordinaires" ne méritent pas qu'on
> respecte leur droit à l'image ?
Le droit à l'image est devenu une notion de bloggueur inculte.
Il existe bien,
mais il trouve ses limites dans la notion juridique
d'abus de droit.
En ce qui concerne les personnes, il y a eu, en France, deux exemples
assez récents.
Une petite fille dont la photo a été montrée je crois, dans une
exposition ou dans un magazine, je ne sais plus, sans autorisation.
Les parents ont réclamé des sommes folles. Déboutés pour absence de
préjudice.
Plus intéressant : une dame très bien sous tous rapports dont la phot o a
été incluse dans un livre sur les SDF (je rapporte de mémoire).
Procès. Elle a été déboutée car même si le livre était tr ès marqué
sociologiquement, sa photo n'attentait pas à sa dignité et elle ne
pouvait pas démontrer un préjudice, et a fortiori le quantifier.
La notion qu'on ne doit jamais oublier c'est que des dommages-intérêt s
trouvent leur source dans un préjudice *réel* qui doit être déter minable
et quantifiable.
> Mais peu importe ce qu'ils faisaient, tu n'es pas censé diffuser
> publiquement ce genre de cliché.
Ben si. C'est l'article 9 du code civil qui s'applique, et sa
jurisprudence, ce fameux article 9 qu'on nous envie partout.
Article 9 du CC:
"Chacun a droit au respect de sa vie privée.
Les juges peuvent, sans préjudice de la réparation du dommage subi,
prescrire toutes mesures, telles que séquestre, saisie et autres,
propres à empêcher ou faire cesser une atteinte à l'intimité de l a vie
privée : ces mesures peuvent, s'il y a urgence, être ordonnées en r éféré."
Atteinte à l'intimité de la vie *privée*, tout est là.
Quand on se fait
faire une délicatesse en public, on n'est plus dans le cadre de la vie
privée.
>>> C'est le seul personnage sur la photo, et son élément principal. Ton
>>> argumentation ne tiendrait pas une seconde devant un tribunal.
Aucune chance de me retrouver devant un tribunal, Cher Pehache... j'ai
fait du droit toute ma vie professionnelle.
>> à part le fait que c'est un homme habillé en femme, et là,
>> c'est lui le coupable.
> "coupable" ? Mais de quoi ? Tu prends des photos pour désigner des
> coupables ?
Évidemment non. Coupable dans ma phrase n'a pas une signification de
droit pénal.
Il y a un axiome de droit qui pourrait fort bien s'appliquer à cette
situation : "nul ne peut se prévaloir de sa propre immoralité."
>> Mais comme tu y vas. On voit bien pire à la télé ou dans Paris-M atch.
> Et c'est une raison.
Ce sont les limites que la société installe toute seule. C'est le
contrat social (qui évolue bien sûr).
> Non : personnellement je ne sors pas dans la rue "pour être vu". Et t on
> travelo de la photo 1 ne semblait pas non plus être dans la rue "pour
> être vu".
Si, j'ai répondu sur ce point. Il s'agit d'un comportement identitaire.
>> Je ne publie jamais de photos de gens ordinaires.
> Tu veux dire que les gens "pas ordinaires" ne méritent pas qu'on
> respecte leur droit à l'image ?
Le droit à l'image est devenu une notion de bloggueur inculte.
Il existe bien,
mais il trouve ses limites dans la notion juridique
d'abus de droit.
En ce qui concerne les personnes, il y a eu, en France, deux exemples
assez récents.
Une petite fille dont la photo a été montrée je crois, dans une
exposition ou dans un magazine, je ne sais plus, sans autorisation.
Les parents ont réclamé des sommes folles. Déboutés pour absence de
préjudice.
Plus intéressant : une dame très bien sous tous rapports dont la phot o a
été incluse dans un livre sur les SDF (je rapporte de mémoire).
Procès. Elle a été déboutée car même si le livre était tr ès marqué
sociologiquement, sa photo n'attentait pas à sa dignité et elle ne
pouvait pas démontrer un préjudice, et a fortiori le quantifier.
La notion qu'on ne doit jamais oublier c'est que des dommages-intérêt s
trouvent leur source dans un préjudice *réel* qui doit être déter minable
et quantifiable.
> Mais peu importe ce qu'ils faisaient, tu n'es pas censé diffuser
> publiquement ce genre de cliché.
Ben si. C'est l'article 9 du code civil qui s'applique, et sa
jurisprudence, ce fameux article 9 qu'on nous envie partout.
Article 9 du CC:
"Chacun a droit au respect de sa vie privée.
Les juges peuvent, sans préjudice de la réparation du dommage subi,
prescrire toutes mesures, telles que séquestre, saisie et autres,
propres à empêcher ou faire cesser une atteinte à l'intimité de l a vie
privée : ces mesures peuvent, s'il y a urgence, être ordonnées en r éféré."
Atteinte à l'intimité de la vie *privée*, tout est là.
Quand on se fait
faire une délicatesse en public, on n'est plus dans le cadre de la vie
privée.
>>> C'est le seul personnage sur la photo, et son élément principal. Ton
>>> argumentation ne tiendrait pas une seconde devant un tribunal.
Aucune chance de me retrouver devant un tribunal, Cher Pehache... j'ai
fait du droit toute ma vie professionnelle.
>> à part le fait que c'est un homme habillé en femme, et là,
>> c'est lui le coupable.
> "coupable" ? Mais de quoi ? Tu prends des photos pour désigner des
> coupables ?
Évidemment non. Coupable dans ma phrase n'a pas une signification de
droit pénal.
Il y a un axiome de droit qui pourrait fort bien s'appliquer à cette
situation : "nul ne peut se prévaloir de sa propre immoralité."
>> Mais comme tu y vas. On voit bien pire à la télé ou dans Paris-M atch.
> Et c'est une raison.
Ce sont les limites que la société installe toute seule. C'est le
contrat social (qui évolue bien sûr).
> Non : personnellement je ne sors pas dans la rue "pour être vu". Et t on
> travelo de la photo 1 ne semblait pas non plus être dans la rue "pour
> être vu".
Si, j'ai répondu sur ce point. Il s'agit d'un comportement identitaire.
>> Je ne publie jamais de photos de gens ordinaires.
> Tu veux dire que les gens "pas ordinaires" ne méritent pas qu'on
> respecte leur droit à l'image ?
Le droit à l'image est devenu une notion de bloggueur inculte.
Il existe bien,
mais il trouve ses limites dans la notion juridique
d'abus de droit.
Moi, j'ai vu. La fille ne lui recousait pas un bouton.
Pas de préjudice, il n'est pas mis dans une situation où sa dignité est
atteinte, à part le fait que c'est un homme habillé en femme, et là,
c'est lui le coupable.
Moi, j'ai vu. La fille ne lui recousait pas un bouton.
Pas de préjudice, il n'est pas mis dans une situation où sa dignité est
atteinte, à part le fait que c'est un homme habillé en femme, et là,
c'est lui le coupable.
Moi, j'ai vu. La fille ne lui recousait pas un bouton.
Pas de préjudice, il n'est pas mis dans une situation où sa dignité est
atteinte, à part le fait que c'est un homme habillé en femme, et là,
c'est lui le coupable.
à part le fait que c'est un homme habillé en femme, et là,
c'est lui le coupable.
"coupable" ? Mais de quoi ? Tu prends des photos pour désigner des
coupables ?
Évidemment non. Coupable dans ma phrase n'a pas une signification de
droit pénal.
Il y a un axiome de droit qui pourrait fort bien s'appliquer à cette
situation : "nul ne peut se prévaloir de sa propre immoralité."
à part le fait que c'est un homme habillé en femme, et là,
c'est lui le coupable.
"coupable" ? Mais de quoi ? Tu prends des photos pour désigner des
coupables ?
Évidemment non. Coupable dans ma phrase n'a pas une signification de
droit pénal.
Il y a un axiome de droit qui pourrait fort bien s'appliquer à cette
situation : "nul ne peut se prévaloir de sa propre immoralité."
à part le fait que c'est un homme habillé en femme, et là,
c'est lui le coupable.
"coupable" ? Mais de quoi ? Tu prends des photos pour désigner des
coupables ?
Évidemment non. Coupable dans ma phrase n'a pas une signification de
droit pénal.
Il y a un axiome de droit qui pourrait fort bien s'appliquer à cette
situation : "nul ne peut se prévaloir de sa propre immoralité."
>> Une photo volée, c'est celle qu'on fait en violant sciemment l'intim ité
>> d'une personne, celle d'un couple qui fait l'amour,
> Oui, ou d'un couple en pleine branlette sur un banc.
La promenade des anglais n'est pas une chambre à coucher.
>> Mes photos publiées ici ne représentent que des gens qui s'affiche nt ou
>> s'exhibent, bien conscients d'être en public et d'être vus de tous .
> Donc pour toi "sortir dans la rue" c'est "s'afficher ou s'exhiber".
Mais non.
Madame Michu qui va faire son marché ne s'exhibe pas.
Ce travesti, ces transsexuels qui font la foire et ce couple très
occupé, le tout dans la rue, ils s'affichent bien et s'exhibent.
> Ca
> ne te vient pas à l'idée qu'on peut être travelo et vouloir sorti r dans
> la rue comme n'importe qui d'autre sans être considéré comme une bête de
> foire.
Ce n'est pas une bête de foire à mes yeux.
Il s'agit d'un document
sociologique : un travesti devant un bar homo.
Il faut bien voir que ce travesti et ces transsexuels s'affichent en
tant que tels, pour être *reconnus* et *distingués*.
Ils expriment ainsi leur appartenance à un groupe dissident, ils
expriment leur volonté d'exister au delà des schémas sociaux tradit ionnels.
Leur exhibition est une *quête* *identitaire*.
> Ca ne te vient pas à l'idée qu'un couple puisse s'amuser à des
> jeux sexuels avec le petit piment de risquer d'être vu, sans pour aut ant
> avoir envie de se faire tirer le portrait.
Avec le risque d'être découverts, et photographiés par les caméra s de
surveillance... Ils courent sciemment ce risque.
> Ca dépend. Si on imagine qu'ils sont en train de se raconter une
> histoire de cul, ça change pas mal la perception de la photo.
Le photographe de rue ne doit pas inventer des histoires ou projeter ses
fantasmes sur son sujet, mais juste le montrer.
>> Une photo volée, c'est celle qu'on fait en violant sciemment l'intim ité
>> d'une personne, celle d'un couple qui fait l'amour,
> Oui, ou d'un couple en pleine branlette sur un banc.
La promenade des anglais n'est pas une chambre à coucher.
>> Mes photos publiées ici ne représentent que des gens qui s'affiche nt ou
>> s'exhibent, bien conscients d'être en public et d'être vus de tous .
> Donc pour toi "sortir dans la rue" c'est "s'afficher ou s'exhiber".
Mais non.
Madame Michu qui va faire son marché ne s'exhibe pas.
Ce travesti, ces transsexuels qui font la foire et ce couple très
occupé, le tout dans la rue, ils s'affichent bien et s'exhibent.
> Ca
> ne te vient pas à l'idée qu'on peut être travelo et vouloir sorti r dans
> la rue comme n'importe qui d'autre sans être considéré comme une bête de
> foire.
Ce n'est pas une bête de foire à mes yeux.
Il s'agit d'un document
sociologique : un travesti devant un bar homo.
Il faut bien voir que ce travesti et ces transsexuels s'affichent en
tant que tels, pour être *reconnus* et *distingués*.
Ils expriment ainsi leur appartenance à un groupe dissident, ils
expriment leur volonté d'exister au delà des schémas sociaux tradit ionnels.
Leur exhibition est une *quête* *identitaire*.
> Ca ne te vient pas à l'idée qu'un couple puisse s'amuser à des
> jeux sexuels avec le petit piment de risquer d'être vu, sans pour aut ant
> avoir envie de se faire tirer le portrait.
Avec le risque d'être découverts, et photographiés par les caméra s de
surveillance... Ils courent sciemment ce risque.
> Ca dépend. Si on imagine qu'ils sont en train de se raconter une
> histoire de cul, ça change pas mal la perception de la photo.
Le photographe de rue ne doit pas inventer des histoires ou projeter ses
fantasmes sur son sujet, mais juste le montrer.
>> Une photo volée, c'est celle qu'on fait en violant sciemment l'intim ité
>> d'une personne, celle d'un couple qui fait l'amour,
> Oui, ou d'un couple en pleine branlette sur un banc.
La promenade des anglais n'est pas une chambre à coucher.
>> Mes photos publiées ici ne représentent que des gens qui s'affiche nt ou
>> s'exhibent, bien conscients d'être en public et d'être vus de tous .
> Donc pour toi "sortir dans la rue" c'est "s'afficher ou s'exhiber".
Mais non.
Madame Michu qui va faire son marché ne s'exhibe pas.
Ce travesti, ces transsexuels qui font la foire et ce couple très
occupé, le tout dans la rue, ils s'affichent bien et s'exhibent.
> Ca
> ne te vient pas à l'idée qu'on peut être travelo et vouloir sorti r dans
> la rue comme n'importe qui d'autre sans être considéré comme une bête de
> foire.
Ce n'est pas une bête de foire à mes yeux.
Il s'agit d'un document
sociologique : un travesti devant un bar homo.
Il faut bien voir que ce travesti et ces transsexuels s'affichent en
tant que tels, pour être *reconnus* et *distingués*.
Ils expriment ainsi leur appartenance à un groupe dissident, ils
expriment leur volonté d'exister au delà des schémas sociaux tradit ionnels.
Leur exhibition est une *quête* *identitaire*.
> Ca ne te vient pas à l'idée qu'un couple puisse s'amuser à des
> jeux sexuels avec le petit piment de risquer d'être vu, sans pour aut ant
> avoir envie de se faire tirer le portrait.
Avec le risque d'être découverts, et photographiés par les caméra s de
surveillance... Ils courent sciemment ce risque.
> Ca dépend. Si on imagine qu'ils sont en train de se raconter une
> histoire de cul, ça change pas mal la perception de la photo.
Le photographe de rue ne doit pas inventer des histoires ou projeter ses
fantasmes sur son sujet, mais juste le montrer.
Tu mélanges le droit ou pas de faire quelque chose, et les dommages et
intérêts que l'on peut en tirer quand le droit est transgressé.
Que les plaignants soient déboutés de leurs demandes de dommages et
intérêts exagérés, c'est une chose, et ça ne veut pas dire qu'ils le
sont sur le fond de l'affaire, ni que les personnes visées par les
plaintes étaient dans leur droit.
Si quelqu'un vient pisser contre ma porte d'entrée, je n'obtiendrai
vraisemblablement pas un million d'euros de dommages et intérêt, mais
ça ne veut pas dire qu'il a le droit de le faire.
privée : ces mesures peuvent, s'il y a urgence, être ordonnées en
référé."
Atteinte à l'intimité de la vie *privée*, tout est là.
Oui, et la vie dite "privée" dépasse largement le cadre du domicile.Quand on se fait
faire une délicatesse en public, on n'est plus dans le cadre de la
vie
privée.
Qu'on se fasse faire une délicatesse ou pas, on n'est pas censé
retrouver notre image diffusée publiquement.
>>> C'est le seul personnage sur la photo, et son élément principal.
>>> Ton
>>> argumentation ne tiendrait pas une seconde devant un tribunal.
Aucune chance de me retrouver devant un tribunal, Cher Pehache...
j'ai
fait du droit toute ma vie professionnelle.
On est au-dessus des lois quand on a fait du droit ?situation : "nul ne peut se prévaloir de sa propre immoralité."
Encore mieux, maintenant on passe au jugement moral. Donc chacun va
plaquer ses propres conceptions de la "bonne morale" pour juger si le
droit à l'image de la personne doit être respecté ou non.
n'est pas un comportement identitaire ? Je te connais pas, mais si je
voyais comment tu te sapes, je suis certain que je pourrais y trouver
des élément de comportement identitaire, comme pour pratiquement tout
le monde.
Que tu arrange à ta sauce.
Tu mélanges le droit ou pas de faire quelque chose, et les dommages et
intérêts que l'on peut en tirer quand le droit est transgressé.
Que les plaignants soient déboutés de leurs demandes de dommages et
intérêts exagérés, c'est une chose, et ça ne veut pas dire qu'ils le
sont sur le fond de l'affaire, ni que les personnes visées par les
plaintes étaient dans leur droit.
Si quelqu'un vient pisser contre ma porte d'entrée, je n'obtiendrai
vraisemblablement pas un million d'euros de dommages et intérêt, mais
ça ne veut pas dire qu'il a le droit de le faire.
privée : ces mesures peuvent, s'il y a urgence, être ordonnées en
référé."
Atteinte à l'intimité de la vie *privée*, tout est là.
Oui, et la vie dite "privée" dépasse largement le cadre du domicile.
Quand on se fait
faire une délicatesse en public, on n'est plus dans le cadre de la
vie
privée.
Qu'on se fasse faire une délicatesse ou pas, on n'est pas censé
retrouver notre image diffusée publiquement.
>>> C'est le seul personnage sur la photo, et son élément principal.
>>> Ton
>>> argumentation ne tiendrait pas une seconde devant un tribunal.
Aucune chance de me retrouver devant un tribunal, Cher Pehache...
j'ai
fait du droit toute ma vie professionnelle.
On est au-dessus des lois quand on a fait du droit ?
situation : "nul ne peut se prévaloir de sa propre immoralité."
Encore mieux, maintenant on passe au jugement moral. Donc chacun va
plaquer ses propres conceptions de la "bonne morale" pour juger si le
droit à l'image de la personne doit être respecté ou non.
n'est pas un comportement identitaire ? Je te connais pas, mais si je
voyais comment tu te sapes, je suis certain que je pourrais y trouver
des élément de comportement identitaire, comme pour pratiquement tout
le monde.
Que tu arrange à ta sauce.
Tu mélanges le droit ou pas de faire quelque chose, et les dommages et
intérêts que l'on peut en tirer quand le droit est transgressé.
Que les plaignants soient déboutés de leurs demandes de dommages et
intérêts exagérés, c'est une chose, et ça ne veut pas dire qu'ils le
sont sur le fond de l'affaire, ni que les personnes visées par les
plaintes étaient dans leur droit.
Si quelqu'un vient pisser contre ma porte d'entrée, je n'obtiendrai
vraisemblablement pas un million d'euros de dommages et intérêt, mais
ça ne veut pas dire qu'il a le droit de le faire.
privée : ces mesures peuvent, s'il y a urgence, être ordonnées en
référé."
Atteinte à l'intimité de la vie *privée*, tout est là.
Oui, et la vie dite "privée" dépasse largement le cadre du domicile.Quand on se fait
faire une délicatesse en public, on n'est plus dans le cadre de la
vie
privée.
Qu'on se fasse faire une délicatesse ou pas, on n'est pas censé
retrouver notre image diffusée publiquement.
>>> C'est le seul personnage sur la photo, et son élément principal.
>>> Ton
>>> argumentation ne tiendrait pas une seconde devant un tribunal.
Aucune chance de me retrouver devant un tribunal, Cher Pehache...
j'ai
fait du droit toute ma vie professionnelle.
On est au-dessus des lois quand on a fait du droit ?situation : "nul ne peut se prévaloir de sa propre immoralité."
Encore mieux, maintenant on passe au jugement moral. Donc chacun va
plaquer ses propres conceptions de la "bonne morale" pour juger si le
droit à l'image de la personne doit être respecté ou non.
n'est pas un comportement identitaire ? Je te connais pas, mais si je
voyais comment tu te sapes, je suis certain que je pourrais y trouver
des élément de comportement identitaire, comme pour pratiquement tout
le monde.
Que tu arrange à ta sauce.
Le 02/11/11 10:49, Ghost-Rider a écrit :
Je crois que tu te méprends sur le terme immoralité ; il s'agit dans
le contexte légal du respect des lois, et non du respect de ta morale
chrétienne qui interdit à un homme de montrer ses mollets en jupe ou
de ta morale musulmane qui interdit à une femme de montrer son visage
en public ou de toute autre morale que tu aimerais voir les autres
respecter.
Le 02/11/11 10:49, Ghost-Rider a écrit :
Je crois que tu te méprends sur le terme immoralité ; il s'agit dans
le contexte légal du respect des lois, et non du respect de ta morale
chrétienne qui interdit à un homme de montrer ses mollets en jupe ou
de ta morale musulmane qui interdit à une femme de montrer son visage
en public ou de toute autre morale que tu aimerais voir les autres
respecter.
Le 02/11/11 10:49, Ghost-Rider a écrit :
Je crois que tu te méprends sur le terme immoralité ; il s'agit dans
le contexte légal du respect des lois, et non du respect de ta morale
chrétienne qui interdit à un homme de montrer ses mollets en jupe ou
de ta morale musulmane qui interdit à une femme de montrer son visage
en public ou de toute autre morale que tu aimerais voir les autres
respecter.