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[BILAN & AAD2] réorganisation de la hiérarchie fr.rec.photo

67 réponses
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Erwan David
Suite à la discussion du premier AAD (qui ne portait que sur la
suppression de fr.rec.photo.numerique pour le fondre dans fr.rec.photo,
il apparaît que cette proposition ne convainc presonne en l'état.

On trouve deux types de réponse :

1) non, par principe, pour "emmerder le
proposant" (sic), ou pour ne pas casser les groupes de personnes.

Les deux premières raisons n'appellent à mon avis aucun commentaire, la
dernière montre une incompréhension du caractère thématique de usenet,
et de plus rien n'empêche de se retrouver sur fr.rec.phtoto au lieu de fr.rec.photo.numerique

2) proposition de complètement réorganiser la hiérarchie.
La raison de cette réorganisation est l'évolution des techniques : si en
1999, la photo numérique était l'exception, maintenant la photo est
numérique, sauf exception. Il faudrait donc adapter les groupes à cette
évolution des techniques.

Le présent AAD suit ces propositions.

Les groupes actuels sont :

fr.rec.photo
fr.rec.photo.labo (peu fréquenté)
fr.rec.photo.labo.numerique
fr.rec.photo.materiel
fr.rec.photo.numerique
fr.rec.photo.pratique (peu fréquenté)


Les proprositions de réorganisations vont d'un seul groupe fr.rec.photo,
à 3 ou 4 groupes

fr.rec.photo, un groupe généraliste
fr.rec.photo.materiel : pour discuter du matériel, qu'il soit argentique
ou nulérique
fr.rec.photo.labo, ou fr.rec.photo.(post-)traitement pourt discuter du
labo, du développement et du tirage par des procédés optiques ou
numériques.

Une autre proposition est de faire 2 groupes
fr.rec.photo.concept
fr.rec.photo.application

Mais je n'ai pas saisi ce que le proposant vouliat dire par là, aussi je
l'invite, s'il continue à proposer cela, à expliquer ce découpage.


Ma préférence personnelle va à 3 groupes :
fr.rec.photo, fr.rec.photo.materiel et fr.rec.photo.labo

Suite de la discussion sur fr.usenet.forums.evolution
--
Le travail n'est pas une bonne chose. Si ça l'était,
les riches l'auraient accaparé

10 réponses

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jean-daniel dodin
Le 02/11/2011 09:33, Ghost-Rider a écrit :

Le photographe de rue ne doit pas inventer des histoires ou projeter
ses fantasmes sur son sujet, mais juste le montrer.



tu expliquera ca au juge, il va bien rigoler :-)

jdd

--
http://www.dodin.net
Le wiki des forums son-image français:
http://dodin.org/frsv/
Pizzéria Plaisance du touch http://pizzanetti.fr
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Ghost-Rider
Le 02/11/2011 10:03, jean-daniel dodin a écrit :
Le 02/11/2011 09:33, Ghost-Rider a écrit :

Le photographe de rue ne doit pas inventer des histoires ou projeter
ses fantasmes sur son sujet, mais juste le montrer.



tu expliquera ca au juge, il va bien rigoler :-)



Là-dessus, je vais répondre à Pehache, si tu veux bien t'y reporter.

--
Ghost Rider
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Ghost-Rider
Le 01/11/2011 23:57, pehache a écrit :
Le 01/11/11 23:00, Ghost-Rider a écrit :

Qu'ils aillent se plaindre, il y a eu des procès pour ce genre de
clichés, diffusés d'ailleurs dans le grand public et non sur un obscur
forum usenet fréquenté par 12 retraités. La jurisprudence était stricte
mais elle a évolué. Il faut un réel préjudice pour obtenir quelque chose.



Faux. Elle a évolué dans le sens que tu dis pour les photos d'"objets",
pas pour les photos représentant des personnes.



Tu parles de la jurisprudence sur les propriétés privées dont les images
sont diffusées sur des cartes postales ou ailleurs.
C'est exact. Les plaignants se sont fait renvoyer dans les cordes.

En ce qui concerne les personnes, il y a eu, en France, deux exemples
assez récents.
Une petite fille dont la photo a été montrée je crois, dans une
exposition ou dans un magazine, je ne sais plus, sans autorisation.
Les parents ont réclamé des sommes folles. Déboutés pour absence de
préjudice.
Plus intéressant : une dame très bien sous tous rapports dont la photo a
été incluse dans un livre sur les SDF (je rapporte de mémoire).
Procès. Elle a été déboutée car même si le livre était très marqué
sociologiquement, sa photo n'attentait pas à sa dignité et elle ne
pouvait pas démontrer un préjudice, et a fortiori le quantifier.

La notion qu'on ne doit jamais oublier c'est que des dommages-intérêts
trouvent leur source dans un préjudice *réel* qui doit être déterminable
et quantifiable.

Mais peu importe ce qu'ils faisaient, tu n'es pas censé diffuser
publiquement ce genre de cliché.



Ben si. C'est l'article 9 du code civil qui s'applique, et sa
jurisprudence, ce fameux article 9 qu'on nous envie partout.
Article 9 du CC:
"Chacun a droit au respect de sa vie privée.
Les juges peuvent, sans préjudice de la réparation du dommage subi,
prescrire toutes mesures, telles que séquestre, saisie et autres,
propres à empêcher ou faire cesser une atteinte à l'intimité de la vie
privée : ces mesures peuvent, s'il y a urgence, être ordonnées en référé."
Atteinte à l'intimité de la vie *privée*, tout est là. Quand on se fait
faire une délicatesse en public, on n'est plus dans le cadre de la vie
privée.

C'est le seul personnage sur la photo, et son élément principal. Ton
argumentation ne tiendrait pas une seconde devant un tribunal.







Aucune chance de me retrouver devant un tribunal, Cher Pehache... j'ai
fait du droit toute ma vie professionnelle.

Là aussi peu importe. Tu te méprends dans ton interprétation de la loi
et de la jurisprudence.



Non, non, non... Voir les exemples plus haut.

à part le fait que c'est un homme habillé en femme, et là,
c'est lui le coupable.



"coupable" ? Mais de quoi ? Tu prends des photos pour désigner des
coupables ?



Évidemment non. Coupable dans ma phrase n'a pas une signification de
droit pénal.
Il y a un axiome de droit qui pourrait fort bien s'appliquer à cette
situation : "nul ne peut se prévaloir de sa propre immoralité."

Mais comme tu y vas. On voit bien pire à la télé ou dans Paris-Match.



Et c'est une raison.



Ce sont les limites que la société installe toute seule. C'est le
contrat social (qui évolue bien sûr).

http://cjoint.com/11nv/AKbw1sCRKkF.htm



C'est différent: ça ressemble à une manif, et les textes aussi bien que
la jurisprudence tiennent compte de ce type de contexte où le droit à
l'image ne s'impose pas de la même manière.



Enfin des paroles raisonnables.

A partir du moment où on s'affiche dans la rue dans une certaine tenue
ou en accomplissant certains gestes, c'est bien pour être vu.



Non : personnellement je ne sors pas dans la rue "pour être vu". Et ton
travelo de la photo 1 ne semblait pas non plus être dans la rue "pour
être vu".



Si, j'ai répondu sur ce point. Il s'agit d'un comportement identitaire.

Je ne publie jamais de photos de gens ordinaires.



Tu veux dire que les gens "pas ordinaires" ne méritent pas qu'on
respecte leur droit à l'image ?



Le droit à l'image est devenu une notion de bloggueur inculte.
Il existe bien, mais il trouve ses limites dans la notion juridique
d'abus de droit.

--
Ghost Rider
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jean-daniel dodin
Le 02/11/2011 10:49, Ghost-Rider a écrit :

Atteinte à l'intimité de la vie *privée*, tout est là. Quand on se
fait faire une délicatesse en public, on n'est plus dans le cadre de
la vie privée.



sauf que, justement, ta photo ne montre rien d'indécent et qu'on peut
assez facilement attester que le commentaire est infamant et constitue
une mise en cause diffamatoire

certes, la publication sur un forum confidentiel n'entraine pas de
gros risque.

Ca pourrait changer avec des applications comme celle de Facebook, qui
reconnait automatiquement les visages et le signale à la personne
concernée...

jdd


--
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pehache
On Nov 2, 10:49 am, Ghost-Rider wrote:

En ce qui concerne les personnes, il y a eu, en France, deux exemples
assez récents.



Quelques liens, peut-être ?

Une petite fille dont la photo a été montrée je crois, dans une
exposition ou dans un magazine, je ne sais plus, sans autorisation.
Les parents ont réclamé des sommes folles. Déboutés pour absence de
préjudice.
Plus intéressant : une dame très bien sous tous rapports dont la phot o a
été incluse dans un livre sur les SDF (je rapporte de mémoire).
Procès. Elle a été déboutée car même si le livre était tr ès marqué
sociologiquement, sa photo n'attentait pas à sa dignité et elle ne
pouvait pas démontrer un préjudice, et a fortiori le quantifier.

La notion qu'on ne doit jamais oublier c'est que des dommages-intérêt s
trouvent leur source dans un préjudice *réel* qui doit être déter minable
et quantifiable.



Tu mélanges le droit ou pas de faire quelque chose, et les dommages et
intérêts que l'on peut en tirer quand le droit est transgressé.

Que les plaignants soient déboutés de leurs demandes de dommages et
intérêts exagérés, c'est une chose, et ça ne veut pas dire qu'ils le
sont sur le fond de l'affaire, ni que les personnes visées par les
plaintes étaient dans leur droit.

Si quelqu'un vient pisser contre ma porte d'entrée, je n'obtiendrai
vraisemblablement pas un million d'euros de dommages et intérêt, mais
ça ne veut pas dire qu'il a le droit de le faire.

> Mais peu importe ce qu'ils faisaient, tu n'es pas censé diffuser
> publiquement ce genre de cliché.

Ben si. C'est l'article 9 du code civil qui s'applique, et sa
jurisprudence, ce fameux article 9 qu'on nous envie partout.
Article 9 du CC:
"Chacun a droit au respect de sa vie privée.
Les juges peuvent, sans préjudice de la réparation du dommage subi,
prescrire toutes mesures, telles que séquestre, saisie et autres,
propres à empêcher ou faire cesser une atteinte à l'intimité de l a vie
privée : ces mesures peuvent, s'il y a urgence, être ordonnées en r éféré."
Atteinte à l'intimité de la vie *privée*, tout est là.



Oui, et la vie dite "privée" dépasse largement le cadre du domicile.

Quand on se fait
faire une délicatesse en public, on n'est plus dans le cadre de la vie
privée.



Qu'on se fasse faire une délicatesse ou pas, on n'est pas censé
retrouver notre image diffusée publiquement.


>>> C'est le seul personnage sur la photo, et son élément principal. Ton
>>> argumentation ne tiendrait pas une seconde devant un tribunal.

Aucune chance de me retrouver devant un tribunal, Cher Pehache... j'ai
fait du droit toute ma vie professionnelle.



On est au-dessus des lois quand on a fait du droit ?


>> à part le fait que c'est un homme habillé en femme, et là,
>> c'est lui le coupable.

> "coupable" ? Mais de quoi ? Tu prends des photos pour désigner des
> coupables ?

Évidemment non. Coupable dans ma phrase n'a pas une signification de
droit pénal.
Il y a un axiome de droit qui pourrait fort bien s'appliquer à cette
situation : "nul ne peut se prévaloir de sa propre immoralité."



Encore mieux, maintenant on passe au jugement moral. Donc chacun va
plaquer ses propres conceptions de la "bonne morale" pour juger si le
droit à l'image de la personne doit être respecté ou non.



>> Mais comme tu y vas. On voit bien pire à la télé ou dans Paris-M atch.

> Et c'est une raison.

Ce sont les limites que la société installe toute seule. C'est le
contrat social (qui évolue bien sûr).



Je ne vois pas le rapport entre TF1 et le contrat social.



> Non : personnellement je ne sors pas dans la rue "pour être vu". Et t on
> travelo de la photo 1 ne semblait pas non plus être dans la rue "pour
> être vu".

Si, j'ai répondu sur ce point. Il s'agit d'un comportement identitaire.



Bien sûr, et alors ?? Identitaire ne veut pas dire exhibitionniste. Un
travelo c'est à la base et en général un homme qui ressent que sa
profonde identité est féminine, et qui se comporte en conséquence. Le s
travelos veulent plus que tout qu'on les prenne pour des femmes, donc
qu'ils passent inaperçus quand ils s'habillent en femme.

Là ta photo c'est : "je t'ai reconnu, j'ai bien vu que tu étais un
vilain travelo avec de la barbe qui pique". Zéro empathie.

Et le cadre supérieur qui s'habille en cadre supérieur, ce n'est pas
un comportement identitaire ? Et le geek qui se laisse pousser la
barbe et qui met un teeshirt Linux, ce n'est pas un comportement
identitaire ? Et la bourgeoise qui a son passe dans les cheveux ce
n'est pas un comportement identitaire ? Je te connais pas, mais si je
voyais comment tu te sapes, je suis certain que je pourrais y trouver
des élément de comportement identitaire, comme pour pratiquement tout
le monde.


>> Je ne publie jamais de photos de gens ordinaires.

> Tu veux dire que les gens "pas ordinaires" ne méritent pas qu'on
> respecte leur droit à l'image ?

Le droit à l'image est devenu une notion de bloggueur inculte.
Il existe bien,



Il faudrait savoir.

mais il trouve ses limites dans la notion juridique
d'abus de droit.



Que tu arrange à ta sauce.

--
pehache
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YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 01/11/11 23:00, Ghost-Rider a écrit :

Moi, j'ai vu. La fille ne lui recousait pas un bouton.


C'est ton commentaire ici qui pose problème, pas la photo dans un lieu
public.

Pas de préjudice, il n'est pas mis dans une situation où sa dignité est
atteinte, à part le fait que c'est un homme habillé en femme, et là,
c'est lui le coupable.



? Je ne vois pas la culpabilité là-dedans.
Un passante ou un passante sans interêt, sinon le fait d'avoir des
ballons au dessus de la tête.
Si GR nous affirme que c'est un homme en vêtement féminins ok, je ne
suis pas allée lui soulever la jupe, mais ce n'est quoi que ce soit de
répréhensible à ma connaissance. Et ça ne le rend pas passionnant pour
autant.
Il y aurait un délit de la part de GR si il publiait la photo dans des
conditions portant atteinte à l'honneur ou la réputation de la personne.

Par contre l'interêt que GR semble éprouver pour la sexualité des
inconnus me semble sinon réprehensible, du moins d'un goût douteux et en
tous cas, peu conforme au respect social des autres, ce qui n'est pas
tout à fait aussi simple que le respect de la loi.
Et personne n'aime être considéré comme une bête curieuse.

Noëlle Adam
Avatar
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 02/11/11 10:49, Ghost-Rider a écrit :

à part le fait que c'est un homme habillé en femme, et là,
c'est lui le coupable.



"coupable" ? Mais de quoi ? Tu prends des photos pour désigner des
coupables ?



Évidemment non. Coupable dans ma phrase n'a pas une signification de
droit pénal.
Il y a un axiome de droit qui pourrait fort bien s'appliquer à cette
situation : "nul ne peut se prévaloir de sa propre immoralité."



Je crois que tu te méprends sur le terme immoralité ; il s'agit dans le
contexte légal du respect des lois, et non du respect de ta morale
chrétienne qui interdit à un homme de montrer ses mollets en jupe ou de
ta morale musulmane qui interdit à une femme de montrer son visage en
public ou de toute autre morale que tu aimerais voir les autres respecter.

Noëlle Adam
Avatar
pehache
On Nov 2, 9:33 am, Ghost-Rider wrote:

>> Une photo volée, c'est celle qu'on fait en violant sciemment l'intim ité
>> d'une personne, celle d'un couple qui fait l'amour,

> Oui, ou d'un couple en pleine branlette sur un banc.

La promenade des anglais n'est pas une chambre à coucher.



Et ?

Au pire ça pourrait valoir un attentat à la pudeur si ils étaient un
peu trop démonstratifs, mais ça ne t'autorise pas à en diffuser
l'image.


>> Mes photos publiées ici ne représentent que des gens qui s'affiche nt ou
>> s'exhibent, bien conscients d'être en public et d'être vus de tous .

> Donc pour toi "sortir dans la rue" c'est "s'afficher ou s'exhiber".

Mais non.
Madame Michu qui va faire son marché ne s'exhibe pas.
Ce travesti, ces transsexuels qui font la foire et ce couple très
occupé, le tout dans la rue, ils s'affichent bien et s'exhibent.



Apparemment pour toi, dès qu'on sort de la "norme" on s'exhibe. Pour
la photo des transexuels on ne connait pas trop le contexte, mais il
semble qu'il s'agissait d'une "action démonstrative, donc OK. Pour le
travelo par contre, je ne vois qu'une personne qui passe son chemin
comme n'importe qui, comme Mme Michu irait au marché.

les vilains travelos devraient rester cachés chez eux, ou alors se
renier.


> Ca
> ne te vient pas à l'idée qu'on peut être travelo et vouloir sorti r dans
> la rue comme n'importe qui d'autre sans être considéré comme une bête de
> foire.

Ce n'est pas une bête de foire à mes yeux.



Ben si, puisque tu as décrété qu'il s'exhibait.

Il s'agit d'un document
sociologique : un travesti devant un bar homo.



Peut-être, mais ce ne te donne pas le droit de diffuser cette image.

Il faut bien voir que ce travesti et ces transsexuels s'affichent en
tant que tels, pour être *reconnus* et *distingués*.
Ils expriment ainsi leur appartenance à un groupe dissident, ils
expriment leur volonté d'exister au delà des schémas sociaux tradit ionnels.
Leur exhibition est une *quête* *identitaire*.



C'est toi qui plaque tes à priori sur la réalité partielle que tu
vois. La plupart veulent simplement vivre leur truc et qu'on leur
foute la paix, et qu'on ne les considère pas différemment de n'importe
qui d'autre. Tu véhicules là des clichés genre gay-pride, qui ne sont
pas forcément réprésentatif de la réalité des milieux homo/travel os/
trans

Je suis certain que le travelo de la photo 1 n'était pas dans un état
d'esprit d'affichage.

Encore une fois tu confonds quête identitaire et exhibitionnisme.


> Ca ne te vient pas à l'idée qu'un couple puisse s'amuser à des
> jeux sexuels avec le petit piment de risquer d'être vu, sans pour aut ant
> avoir envie de se faire tirer le portrait.

Avec le risque d'être découverts, et photographiés par les caméra s de
surveillance... Ils courent sciemment ce risque.



Les images prises par les caméras de surveillance sont sévèrement
règlementées et en aucun cas ne peuvent faire l'objet de diffusions
publiques.


> Ca dépend. Si on imagine qu'ils sont en train de se raconter une
> histoire de cul, ça change pas mal la perception de la photo.

Le photographe de rue ne doit pas inventer des histoires ou projeter ses
fantasmes sur son sujet, mais juste le montrer.



Désolé, mais quand tu associes "le temps qui passe et la mort
inéluctable" à la photo des deux vieux, c'est pourtant exactement ce
que tu fais : tu projettes tes fantasmes sur cette scène. Si ça trouve
les deux vieux étaient à 100.000 lieues de ce genre de pensées.

--
pehache
Avatar
£g
"pehache" a écrit dans le message de news:

On Nov 2, 10:49 am, Ghost-Rider wrote:




Tu mélanges le droit ou pas de faire quelque chose, et les dommages et
intérêts que l'on peut en tirer quand le droit est transgressé.

Que les plaignants soient déboutés de leurs demandes de dommages et
intérêts exagérés, c'est une chose, et ça ne veut pas dire qu'ils le
sont sur le fond de l'affaire, ni que les personnes visées par les
plaintes étaient dans leur droit.

Si quelqu'un vient pisser contre ma porte d'entrée, je n'obtiendrai
vraisemblablement pas un million d'euros de dommages et intérêt, mais
ça ne veut pas dire qu'il a le droit de le faire.



Juste une obligation de ré-assainir le lieu. Et encore, un autre procès
pour le rendre exécutoire.

privée : ces mesures peuvent, s'il y a urgence, être ordonnées en
référé."
Atteinte à l'intimité de la vie *privée*, tout est là.



Oui, et la vie dite "privée" dépasse largement le cadre du domicile.

Quand on se fait
faire une délicatesse en public, on n'est plus dans le cadre de la
vie
privée.



Qu'on se fasse faire une délicatesse ou pas, on n'est pas censé
retrouver notre image diffusée publiquement.



(Dupont Dupont) je dirais même plus, c'est toi qui viole leur vie privée
en immisçant dans leurs "affaires" privées


>>> C'est le seul personnage sur la photo, et son élément principal.
>>> Ton
>>> argumentation ne tiendrait pas une seconde devant un tribunal.

Aucune chance de me retrouver devant un tribunal, Cher Pehache...
j'ai
fait du droit toute ma vie professionnelle.





Essaie la gauche. {|);-)

On est au-dessus des lois quand on a fait du droit ?


situation : "nul ne peut se prévaloir de sa propre immoralité."



Encore mieux, maintenant on passe au jugement moral. Donc chacun va
plaquer ses propres conceptions de la "bonne morale" pour juger si le
droit à l'image de la personne doit être respecté ou non.


n'est pas un comportement identitaire ? Je te connais pas, mais si je
voyais comment tu te sapes, je suis certain que je pourrais y trouver
des élément de comportement identitaire, comme pour pratiquement tout
le monde.



La cravache et la bombe, sont des éléments identitaires, si si.

Que tu arrange à ta sauce.



Ah la la, mon povr GR, la sauce tourne au vinaigre.


Stop, y a troll


--
£g
Avatar
£g
"YouDontNeedToKnowButItsNoëlle" a écrit dans
le message de news: j8rbpv$fcr$
Le 02/11/11 10:49, Ghost-Rider a écrit :



Je crois que tu te méprends sur le terme immoralité ; il s'agit dans
le contexte légal du respect des lois, et non du respect de ta morale
chrétienne qui interdit à un homme de montrer ses mollets en jupe ou
de ta morale musulmane qui interdit à une femme de montrer son visage
en public ou de toute autre morale que tu aimerais voir les autres
respecter.




La loi/morale musulmane (Coran) ne dit pas que les femmes doivent être
voilée ni porter un tchador, elle dit juste " tu ne t"habillera pas de
manière à provoquer le regard/désir chez autrui".
Ceci est aussi valable pour les hommes, mais comme c'est eux qui font
appliquer ces lois et réécrivent le Coran en l'interprétant a leur idée
du moment, pour le besoin du pouvoir. Quand ils auront séparé le pouvoir
du religieux le monde ira mieux aussi.

--
£g
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