Le Fri, 06 Sep 2013 19:16:54 +0200
Ghost-Rider a écrit :Le 06/09/2013 18:33, birdy a écrit :Oui et bien sans jamais me droguer, j'ai subi un traitement anti
douleur au sulfate de morphine pendant trois mois, et il m'a fallu
deux mois de plus pour me sevrer en réduisant les doses de Skenan,
je crois. Voulant arrêter brutalement, j'ai amorcé une dépression.
Bonjour la drogue !
Et bien voilà ! Même quand on est un roc, la drogue a le dessus.
Juste que là on parle d'alternatives aux morphiniques. Moi aussi j'ai
eu droit à des mois de traitement, avec maigrissement, nausées
permanentes, difficultés de concentration (euphémisme), et en plus une
analgésie imparfaite.
Pour le coup on parle juste de remplacer une drogue-médicament très
nocive par une autre qui ne l'est pas.
Le Fri, 06 Sep 2013 19:16:54 +0200
Ghost-Rider <Ghost-Rider@compuserve.com> a écrit :
Le 06/09/2013 18:33, birdy a écrit :
Oui et bien sans jamais me droguer, j'ai subi un traitement anti
douleur au sulfate de morphine pendant trois mois, et il m'a fallu
deux mois de plus pour me sevrer en réduisant les doses de Skenan,
je crois. Voulant arrêter brutalement, j'ai amorcé une dépression.
Bonjour la drogue !
Et bien voilà ! Même quand on est un roc, la drogue a le dessus.
Juste que là on parle d'alternatives aux morphiniques. Moi aussi j'ai
eu droit à des mois de traitement, avec maigrissement, nausées
permanentes, difficultés de concentration (euphémisme), et en plus une
analgésie imparfaite.
Pour le coup on parle juste de remplacer une drogue-médicament très
nocive par une autre qui ne l'est pas.
Le Fri, 06 Sep 2013 19:16:54 +0200
Ghost-Rider a écrit :Le 06/09/2013 18:33, birdy a écrit :Oui et bien sans jamais me droguer, j'ai subi un traitement anti
douleur au sulfate de morphine pendant trois mois, et il m'a fallu
deux mois de plus pour me sevrer en réduisant les doses de Skenan,
je crois. Voulant arrêter brutalement, j'ai amorcé une dépression.
Bonjour la drogue !
Et bien voilà ! Même quand on est un roc, la drogue a le dessus.
Juste que là on parle d'alternatives aux morphiniques. Moi aussi j'ai
eu droit à des mois de traitement, avec maigrissement, nausées
permanentes, difficultés de concentration (euphémisme), et en plus une
analgésie imparfaite.
Pour le coup on parle juste de remplacer une drogue-médicament très
nocive par une autre qui ne l'est pas.
Le 07/09/2013 11:14, LeLapin a écrit :
> Le Fri, 06 Sep 2013 19:16:54 +0200
> Ghost-Rider a écrit :
>
>> Le 06/09/2013 18:33, birdy a écrit :
>>
>>> Oui et bien sans jamais me droguer, j'ai subi un traitement
>>> anti douleur au sulfate de morphine pendant trois mois, et il m'a
>>> fallu deux mois de plus pour me sevrer en réduisant les doses de
>>> Skenan, je crois. Voulant arrêter brutalement, j'ai amorcé une
>>> dépression. Bonjour la drogue !
>>
>> Et bien voilà ! Même quand on est un roc, la drogue a le des sus.
>
> Juste que là on parle d'alternatives aux morphiniques. Moi aussi
> j'ai eu droit à des mois de traitement, avec maigrissement, naus ées
> permanentes, difficultés de concentration (euphémisme), et en plus
> une analgésie imparfaite.
>
> Pour le coup on parle juste de remplacer une drogue-médicament tr ès
> nocive par une autre qui ne l'est pas.
>
Juste pour remettre les choses en place
ne pas confondre traitement médical et drogue
le passage à la toxicomanie liée à un traitement correctem ent conduit
est très marginal, inférieur a 1 personne sur mille
les indications du cannabis médical sont très différentes des
morphiniques, entre autres son usage sur la douleur n'a pas les même
indications que celle de la morphine. La douleur n'est pas une entità ©
univoque,
c'est comme parler du cancer
Le 07/09/2013 11:14, LeLapin a écrit :
> Le Fri, 06 Sep 2013 19:16:54 +0200
> Ghost-Rider <Ghost-Rider@compuserve.com> a écrit :
>
>> Le 06/09/2013 18:33, birdy a écrit :
>>
>>> Oui et bien sans jamais me droguer, j'ai subi un traitement
>>> anti douleur au sulfate de morphine pendant trois mois, et il m'a
>>> fallu deux mois de plus pour me sevrer en réduisant les doses de
>>> Skenan, je crois. Voulant arrêter brutalement, j'ai amorcé une
>>> dépression. Bonjour la drogue !
>>
>> Et bien voilà ! Même quand on est un roc, la drogue a le des sus.
>
> Juste que là on parle d'alternatives aux morphiniques. Moi aussi
> j'ai eu droit à des mois de traitement, avec maigrissement, naus ées
> permanentes, difficultés de concentration (euphémisme), et en plus
> une analgésie imparfaite.
>
> Pour le coup on parle juste de remplacer une drogue-médicament tr ès
> nocive par une autre qui ne l'est pas.
>
Juste pour remettre les choses en place
ne pas confondre traitement médical et drogue
le passage à la toxicomanie liée à un traitement correctem ent conduit
est très marginal, inférieur a 1 personne sur mille
les indications du cannabis médical sont très différentes des
morphiniques, entre autres son usage sur la douleur n'a pas les même
indications que celle de la morphine. La douleur n'est pas une entità ©
univoque,
c'est comme parler du cancer
Le 07/09/2013 11:14, LeLapin a écrit :
> Le Fri, 06 Sep 2013 19:16:54 +0200
> Ghost-Rider a écrit :
>
>> Le 06/09/2013 18:33, birdy a écrit :
>>
>>> Oui et bien sans jamais me droguer, j'ai subi un traitement
>>> anti douleur au sulfate de morphine pendant trois mois, et il m'a
>>> fallu deux mois de plus pour me sevrer en réduisant les doses de
>>> Skenan, je crois. Voulant arrêter brutalement, j'ai amorcé une
>>> dépression. Bonjour la drogue !
>>
>> Et bien voilà ! Même quand on est un roc, la drogue a le des sus.
>
> Juste que là on parle d'alternatives aux morphiniques. Moi aussi
> j'ai eu droit à des mois de traitement, avec maigrissement, naus ées
> permanentes, difficultés de concentration (euphémisme), et en plus
> une analgésie imparfaite.
>
> Pour le coup on parle juste de remplacer une drogue-médicament tr ès
> nocive par une autre qui ne l'est pas.
>
Juste pour remettre les choses en place
ne pas confondre traitement médical et drogue
le passage à la toxicomanie liée à un traitement correctem ent conduit
est très marginal, inférieur a 1 personne sur mille
les indications du cannabis médical sont très différentes des
morphiniques, entre autres son usage sur la douleur n'a pas les même
indications que celle de la morphine. La douleur n'est pas une entità ©
univoque,
c'est comme parler du cancer
Le Sat, 07 Sep 2013 16:33:26 +0200
jean jacques a écrit :
Juste pour remettre les choses en place
ne pas confondre traitement médical et drogue
Dans beaucoup de langues ces mots sont synonymes, ce qui peut
rafraîchir la mémoire de ceux qui ont oublié les origines de nos
pharmacopées.
Dans le milieu médical, en anesthésie notamment, on utilise toujours le
mot "drogue" pour parler d'un produit.
le passage à la toxicomanie liée à un traitement correctement conduit
est très marginal, inférieur a 1 personne sur mille
On parlait bien plus effets secondaires qu'addiction.
d'ailleurs même pas mentionné les risques d'addiction aux morphiniques
parce que par le plus grand des hasards je n'en ai aucune.
Pour autant, j'ai suivi les tentatives de décrochage de deux de mes
amis, et j'ai bien compris comme ça peut être parfois très
problématique (encore un euphémisme, désolé).
les indications du cannabis médical sont très différentes des
morphiniques, entre autres son usage sur la douleur n'a pas les même
indications que celle de la morphine. La douleur n'est pas une entité
univoque,
La douleur n'est surtout qu'un symptôme, pas une pathologie.
de très près (car j'étais en activité en presse médicale à l'époque)
l'émergence des premières initiatives isolées en péri-hospitalier (il
n'y avait *RIEN* en intra), notamment avec un anesthésiste très
avant-gardiste du CHU de Nantes.
pharmacopée disponible, du manque de formation des médecins (à l'époque
quasiment rien en fac de médecine, on y disait même encore que les
nouveaux-nés ne ressentaient pas la douleur à cause de leur absence de
gaine de myéline, alors que le mythe de la douleur transitant
exclusivement par ce canal était battu en brèche depuis des lustres),
ce qui entraînait des approximations graves dans les traitements, bien
loin des considérations que tu cites plus haut.
médecins, sauf des spécialistes, ou dans l'hospitalier, n'ont pas été
"mis à jour". ET quand on sait à quel point ils font leur FMC n'importe
comment pour la plupart, c'est pas étonnant qu'un médecin de ville soit
un peu désarmé.
Ne parlons même pas des douleurs neurogènes et autres "douleurs du
membre fantôme" !
À l'époque, ne souffrant pas moi-même de douleurs chroniques, je
n'avais même pas envisagé le cannabis dans ce genre de pharmacopée
d'ailleurs. Et quand j'ai constaté son efficacité par hasard, cette
dernière décennie, il y avait encore très peu de papiers sérieux sur le
sujet.
c'est comme parler du cancer
Le cancer est un processus. Quelque-part, il y a des points communs, au
moins sur les pistes (des erreurs de transcription) génétiques. Un
mécanisme réactivant le(s) gènes d'autolyse des cellules atteintes
serait une panacée. Dans les douleurs, ça n'est même pas envisageable
sauf à éteindre tout le SNC. Et à part mourir, je ne vois pas trop
comment on ferait ça. ;)
Le Sat, 07 Sep 2013 16:33:26 +0200
jean jacques <infirmier@wanadoo.fr> a écrit :
Juste pour remettre les choses en place
ne pas confondre traitement médical et drogue
Dans beaucoup de langues ces mots sont synonymes, ce qui peut
rafraîchir la mémoire de ceux qui ont oublié les origines de nos
pharmacopées.
Dans le milieu médical, en anesthésie notamment, on utilise toujours le
mot "drogue" pour parler d'un produit.
le passage à la toxicomanie liée à un traitement correctement conduit
est très marginal, inférieur a 1 personne sur mille
On parlait bien plus effets secondaires qu'addiction.
d'ailleurs même pas mentionné les risques d'addiction aux morphiniques
parce que par le plus grand des hasards je n'en ai aucune.
Pour autant, j'ai suivi les tentatives de décrochage de deux de mes
amis, et j'ai bien compris comme ça peut être parfois très
problématique (encore un euphémisme, désolé).
les indications du cannabis médical sont très différentes des
morphiniques, entre autres son usage sur la douleur n'a pas les même
indications que celle de la morphine. La douleur n'est pas une entité
univoque,
La douleur n'est surtout qu'un symptôme, pas une pathologie.
de très près (car j'étais en activité en presse médicale à l'époque)
l'émergence des premières initiatives isolées en péri-hospitalier (il
n'y avait *RIEN* en intra), notamment avec un anesthésiste très
avant-gardiste du CHU de Nantes.
pharmacopée disponible, du manque de formation des médecins (à l'époque
quasiment rien en fac de médecine, on y disait même encore que les
nouveaux-nés ne ressentaient pas la douleur à cause de leur absence de
gaine de myéline, alors que le mythe de la douleur transitant
exclusivement par ce canal était battu en brèche depuis des lustres),
ce qui entraînait des approximations graves dans les traitements, bien
loin des considérations que tu cites plus haut.
médecins, sauf des spécialistes, ou dans l'hospitalier, n'ont pas été
"mis à jour". ET quand on sait à quel point ils font leur FMC n'importe
comment pour la plupart, c'est pas étonnant qu'un médecin de ville soit
un peu désarmé.
Ne parlons même pas des douleurs neurogènes et autres "douleurs du
membre fantôme" !
À l'époque, ne souffrant pas moi-même de douleurs chroniques, je
n'avais même pas envisagé le cannabis dans ce genre de pharmacopée
d'ailleurs. Et quand j'ai constaté son efficacité par hasard, cette
dernière décennie, il y avait encore très peu de papiers sérieux sur le
sujet.
c'est comme parler du cancer
Le cancer est un processus. Quelque-part, il y a des points communs, au
moins sur les pistes (des erreurs de transcription) génétiques. Un
mécanisme réactivant le(s) gènes d'autolyse des cellules atteintes
serait une panacée. Dans les douleurs, ça n'est même pas envisageable
sauf à éteindre tout le SNC. Et à part mourir, je ne vois pas trop
comment on ferait ça. ;)
Le Sat, 07 Sep 2013 16:33:26 +0200
jean jacques a écrit :
Juste pour remettre les choses en place
ne pas confondre traitement médical et drogue
Dans beaucoup de langues ces mots sont synonymes, ce qui peut
rafraîchir la mémoire de ceux qui ont oublié les origines de nos
pharmacopées.
Dans le milieu médical, en anesthésie notamment, on utilise toujours le
mot "drogue" pour parler d'un produit.
le passage à la toxicomanie liée à un traitement correctement conduit
est très marginal, inférieur a 1 personne sur mille
On parlait bien plus effets secondaires qu'addiction.
d'ailleurs même pas mentionné les risques d'addiction aux morphiniques
parce que par le plus grand des hasards je n'en ai aucune.
Pour autant, j'ai suivi les tentatives de décrochage de deux de mes
amis, et j'ai bien compris comme ça peut être parfois très
problématique (encore un euphémisme, désolé).
les indications du cannabis médical sont très différentes des
morphiniques, entre autres son usage sur la douleur n'a pas les même
indications que celle de la morphine. La douleur n'est pas une entité
univoque,
La douleur n'est surtout qu'un symptôme, pas une pathologie.
de très près (car j'étais en activité en presse médicale à l'époque)
l'émergence des premières initiatives isolées en péri-hospitalier (il
n'y avait *RIEN* en intra), notamment avec un anesthésiste très
avant-gardiste du CHU de Nantes.
pharmacopée disponible, du manque de formation des médecins (à l'époque
quasiment rien en fac de médecine, on y disait même encore que les
nouveaux-nés ne ressentaient pas la douleur à cause de leur absence de
gaine de myéline, alors que le mythe de la douleur transitant
exclusivement par ce canal était battu en brèche depuis des lustres),
ce qui entraînait des approximations graves dans les traitements, bien
loin des considérations que tu cites plus haut.
médecins, sauf des spécialistes, ou dans l'hospitalier, n'ont pas été
"mis à jour". ET quand on sait à quel point ils font leur FMC n'importe
comment pour la plupart, c'est pas étonnant qu'un médecin de ville soit
un peu désarmé.
Ne parlons même pas des douleurs neurogènes et autres "douleurs du
membre fantôme" !
À l'époque, ne souffrant pas moi-même de douleurs chroniques, je
n'avais même pas envisagé le cannabis dans ce genre de pharmacopée
d'ailleurs. Et quand j'ai constaté son efficacité par hasard, cette
dernière décennie, il y avait encore très peu de papiers sérieux sur le
sujet.
c'est comme parler du cancer
Le cancer est un processus. Quelque-part, il y a des points communs, au
moins sur les pistes (des erreurs de transcription) génétiques. Un
mécanisme réactivant le(s) gènes d'autolyse des cellules atteintes
serait une panacée. Dans les douleurs, ça n'est même pas envisageable
sauf à éteindre tout le SNC. Et à part mourir, je ne vois pas trop
comment on ferait ça. ;)
Le 07/09/2013 02:14, Markorki a écrit :birdy a écrit :
ur la route.
D'expérience dans mon environnement depuis de années, l'usage quotidien
développe des instabilités d'humeur et des comportements schizoïdes.D'expérience, le chocolat a le même effet sur des tas de nanas
("argg, je peux pas m'empécher, mais après ça me tombe là et je veux
mourir, bouhouhou")
Qu'attend-on pour enfermer les dangereux traficants Nestlé, Suchard,
Martougin, Kohler, etc...
Dans le chocolat, il y a de la théobromine, mais il faut en manger des
kilos pour ingurgiter une dose qui pourrait avoir des effets négatifs.
Donc la prohibition du chocolat ne se justifie pas.
Le 07/09/2013 02:14, Markorki a écrit :
birdy a écrit :
ur la route.
D'expérience dans mon environnement depuis de années, l'usage quotidien
développe des instabilités d'humeur et des comportements schizoïdes.
D'expérience, le chocolat a le même effet sur des tas de nanas
("argg, je peux pas m'empécher, mais après ça me tombe là et je veux
mourir, bouhouhou")
Qu'attend-on pour enfermer les dangereux traficants Nestlé, Suchard,
Martougin, Kohler, etc...
Dans le chocolat, il y a de la théobromine, mais il faut en manger des
kilos pour ingurgiter une dose qui pourrait avoir des effets négatifs.
Donc la prohibition du chocolat ne se justifie pas.
Le 07/09/2013 02:14, Markorki a écrit :birdy a écrit :
ur la route.
D'expérience dans mon environnement depuis de années, l'usage quotidien
développe des instabilités d'humeur et des comportements schizoïdes.D'expérience, le chocolat a le même effet sur des tas de nanas
("argg, je peux pas m'empécher, mais après ça me tombe là et je veux
mourir, bouhouhou")
Qu'attend-on pour enfermer les dangereux traficants Nestlé, Suchard,
Martougin, Kohler, etc...
Dans le chocolat, il y a de la théobromine, mais il faut en manger des
kilos pour ingurgiter une dose qui pourrait avoir des effets négatifs.
Donc la prohibition du chocolat ne se justifie pas.
C'est si beau, une fleur virginale !
http://cjoint.com/13sp/CIfmAkJGzvO_p2172899.jpg
C'est si beau, une fleur virginale !
http://cjoint.com/13sp/CIfmAkJGzvO_p2172899.jpg
C'est si beau, une fleur virginale !
http://cjoint.com/13sp/CIfmAkJGzvO_p2172899.jpg
On 09/07/2013 11:06 AM, LeLapin wrote:Et je trouve que
0,5g, chez certaines personnes, c'est encore bien trop pour l'alcool.
certains pays appliquent Zéro g.
c'est beaucoup plus simple que de se demander si tu as
trop bu ou pas.
On 09/07/2013 11:06 AM, LeLapin wrote:
Et je trouve que
0,5g, chez certaines personnes, c'est encore bien trop pour l'alcool.
certains pays appliquent Zéro g.
c'est beaucoup plus simple que de se demander si tu as
trop bu ou pas.
On 09/07/2013 11:06 AM, LeLapin wrote:Et je trouve que
0,5g, chez certaines personnes, c'est encore bien trop pour l'alcool.
certains pays appliquent Zéro g.
c'est beaucoup plus simple que de se demander si tu as
trop bu ou pas.
Le 07/09/2013 17:05, LeLapin a écrit :
> Le Sat, 07 Sep 2013 16:33:26 +0200
> jean jacques a écrit :
>
> On parlait bien plus effets secondaires qu'addiction.
Alors si vous parliez d'effets secondaires, vous en oubliez une
palanqué
Je n'ai
> d'ailleurs même pas mentionné les risques d'addiction aux
> morphiniques parce que par le plus grand des hasards je n'en ai
> aucune.
Aucun hasard la dedans, après vérification, le chiffre est de 3 ,8 sur
10 000 pour le passage à l'addiction
> Pour autant, j'ai suivi les tentatives de décrochage de deux de mes
> amis, et j'ai bien compris comme ça peut être parfois trà ¨s
> problématique (encore un euphémisme, désolé).
Les morphiniques ne sont pas les seuls traitements dont lâarrà ªt peut
se révéler très compliqué à l'instar de tous les psychotropes ou dans
un tout autre domaine les corticoïdes. Enfin 2 n'est pas un
echantillon représentatif
>> les indications du cannabis médical sont très différent es des
>> morphiniques, entre autres son usage sur la douleur n'a pas les
>> même indications que celle de la morphine. La douleur n'est pas
>> une entité univoque,
>
> La douleur n'est surtout qu'un symptôme, pas une pathologie.
Pas dit le contraire, je reste juste dans le langage courant
J'ai suivi
> de très près (car j'étais en activité en presse m édicale à l'époque)
> l'émergence des premières initiatives isolées en pé ri-hospitalier
> (il n'y avait *RIEN* en intra), notamment avec un anesthésiste tr ès
> avant-gardiste du CHU de Nantes.
Je ne sais pas de qu'elle époque tu parles, mais au passage, Nantes
n'est pas la France et certainement pas le seul endroit ou de telles
études avaient lieu
On avait longuement parlé de la
> pharmacopée disponible, du manque de formation des médecins ( Ã
> l'époque quasiment rien en fac de médecine, on y disait mà ªme encore
> que les nouveaux-nés ne ressentaient pas la douleur à cause d e leur
> absence de gaine de myéline, alors que le mythe de la douleur
> transitant exclusivement par ce canal était battu en brèche d epuis
> des lustres), ce qui entraînait des approximations graves dans les
> traitements, bien loin des considérations que tu cites plus haut.
Quelles considérations ?
La plupart des
> médecins, sauf des spécialistes, ou dans l'hospitalier, n'ont pas
> été "mis à jour". ET quand on sait à quel point ils font leur FMC
> n'importe comment pour la plupart, c'est pas étonnant qu'un mà ©decin
> de ville soit un peu désarmé.
Les choses ont un peu évolué
> à l'époque, ne souffrant pas moi-même de douleurs chroni ques, je
> n'avais même pas envisagé le cannabis dans ce genre de pharma copée
> d'ailleurs. Et quand j'ai constaté son efficacité par hasard, cette
> dernière décennie, il y avait encore très peu de papiers sérieux
> sur le sujet.
Sur la dernière décennie quelques millier de papiers, une petit e
recherche sur le CIS ou le MESH donne une idée
Le 07/09/2013 17:05, LeLapin a écrit :
> Le Sat, 07 Sep 2013 16:33:26 +0200
> jean jacques <infirmier@wanadoo.fr> a écrit :
>
> On parlait bien plus effets secondaires qu'addiction.
Alors si vous parliez d'effets secondaires, vous en oubliez une
palanqué
Je n'ai
> d'ailleurs même pas mentionné les risques d'addiction aux
> morphiniques parce que par le plus grand des hasards je n'en ai
> aucune.
Aucun hasard la dedans, après vérification, le chiffre est de 3 ,8 sur
10 000 pour le passage à l'addiction
> Pour autant, j'ai suivi les tentatives de décrochage de deux de mes
> amis, et j'ai bien compris comme ça peut être parfois trà ¨s
> problématique (encore un euphémisme, désolé).
Les morphiniques ne sont pas les seuls traitements dont lâarrà ªt peut
se révéler très compliqué à l'instar de tous les psychotropes ou dans
un tout autre domaine les corticoïdes. Enfin 2 n'est pas un
echantillon représentatif
>> les indications du cannabis médical sont très différent es des
>> morphiniques, entre autres son usage sur la douleur n'a pas les
>> même indications que celle de la morphine. La douleur n'est pas
>> une entité univoque,
>
> La douleur n'est surtout qu'un symptôme, pas une pathologie.
Pas dit le contraire, je reste juste dans le langage courant
J'ai suivi
> de très près (car j'étais en activité en presse m édicale à l'époque)
> l'émergence des premières initiatives isolées en pé ri-hospitalier
> (il n'y avait *RIEN* en intra), notamment avec un anesthésiste tr ès
> avant-gardiste du CHU de Nantes.
Je ne sais pas de qu'elle époque tu parles, mais au passage, Nantes
n'est pas la France et certainement pas le seul endroit ou de telles
études avaient lieu
On avait longuement parlé de la
> pharmacopée disponible, du manque de formation des médecins ( Ã
> l'époque quasiment rien en fac de médecine, on y disait mà ªme encore
> que les nouveaux-nés ne ressentaient pas la douleur à cause d e leur
> absence de gaine de myéline, alors que le mythe de la douleur
> transitant exclusivement par ce canal était battu en brèche d epuis
> des lustres), ce qui entraînait des approximations graves dans les
> traitements, bien loin des considérations que tu cites plus haut.
Quelles considérations ?
La plupart des
> médecins, sauf des spécialistes, ou dans l'hospitalier, n'ont pas
> été "mis à jour". ET quand on sait à quel point ils font leur FMC
> n'importe comment pour la plupart, c'est pas étonnant qu'un mà ©decin
> de ville soit un peu désarmé.
Les choses ont un peu évolué
> à l'époque, ne souffrant pas moi-même de douleurs chroni ques, je
> n'avais même pas envisagé le cannabis dans ce genre de pharma copée
> d'ailleurs. Et quand j'ai constaté son efficacité par hasard, cette
> dernière décennie, il y avait encore très peu de papiers sérieux
> sur le sujet.
Sur la dernière décennie quelques millier de papiers, une petit e
recherche sur le CIS ou le MESH donne une idée
Le 07/09/2013 17:05, LeLapin a écrit :
> Le Sat, 07 Sep 2013 16:33:26 +0200
> jean jacques a écrit :
>
> On parlait bien plus effets secondaires qu'addiction.
Alors si vous parliez d'effets secondaires, vous en oubliez une
palanqué
Je n'ai
> d'ailleurs même pas mentionné les risques d'addiction aux
> morphiniques parce que par le plus grand des hasards je n'en ai
> aucune.
Aucun hasard la dedans, après vérification, le chiffre est de 3 ,8 sur
10 000 pour le passage à l'addiction
> Pour autant, j'ai suivi les tentatives de décrochage de deux de mes
> amis, et j'ai bien compris comme ça peut être parfois trà ¨s
> problématique (encore un euphémisme, désolé).
Les morphiniques ne sont pas les seuls traitements dont lâarrà ªt peut
se révéler très compliqué à l'instar de tous les psychotropes ou dans
un tout autre domaine les corticoïdes. Enfin 2 n'est pas un
echantillon représentatif
>> les indications du cannabis médical sont très différent es des
>> morphiniques, entre autres son usage sur la douleur n'a pas les
>> même indications que celle de la morphine. La douleur n'est pas
>> une entité univoque,
>
> La douleur n'est surtout qu'un symptôme, pas une pathologie.
Pas dit le contraire, je reste juste dans le langage courant
J'ai suivi
> de très près (car j'étais en activité en presse m édicale à l'époque)
> l'émergence des premières initiatives isolées en pé ri-hospitalier
> (il n'y avait *RIEN* en intra), notamment avec un anesthésiste tr ès
> avant-gardiste du CHU de Nantes.
Je ne sais pas de qu'elle époque tu parles, mais au passage, Nantes
n'est pas la France et certainement pas le seul endroit ou de telles
études avaient lieu
On avait longuement parlé de la
> pharmacopée disponible, du manque de formation des médecins ( Ã
> l'époque quasiment rien en fac de médecine, on y disait mà ªme encore
> que les nouveaux-nés ne ressentaient pas la douleur à cause d e leur
> absence de gaine de myéline, alors que le mythe de la douleur
> transitant exclusivement par ce canal était battu en brèche d epuis
> des lustres), ce qui entraînait des approximations graves dans les
> traitements, bien loin des considérations que tu cites plus haut.
Quelles considérations ?
La plupart des
> médecins, sauf des spécialistes, ou dans l'hospitalier, n'ont pas
> été "mis à jour". ET quand on sait à quel point ils font leur FMC
> n'importe comment pour la plupart, c'est pas étonnant qu'un mà ©decin
> de ville soit un peu désarmé.
Les choses ont un peu évolué
> à l'époque, ne souffrant pas moi-même de douleurs chroni ques, je
> n'avais même pas envisagé le cannabis dans ce genre de pharma copée
> d'ailleurs. Et quand j'ai constaté son efficacité par hasard, cette
> dernière décennie, il y avait encore très peu de papiers sérieux
> sur le sujet.
Sur la dernière décennie quelques millier de papiers, une petit e
recherche sur le CIS ou le MESH donne une idée
Quant à la possibilité qu'un médecin de ville puisse faire du
double-aveugle, et sur un seul patient, je crois que tu devrais vraiment
te renseigner sur ce que c'est ! :D
Quant à la possibilité qu'un médecin de ville puisse faire du
double-aveugle, et sur un seul patient, je crois que tu devrais vraiment
te renseigner sur ce que c'est ! :D
Quant à la possibilité qu'un médecin de ville puisse faire du
double-aveugle, et sur un seul patient, je crois que tu devrais vraiment
te renseigner sur ce que c'est ! :D
Le Sat, 07 Sep 2013 12:28:33 +0200
Ghost-Rider a écrit :Mouarff... S'accrocher à des dogmes... Surtout ceux qu'on construit
soi-même autour de son nombril.
Et tu parles d'expérience ! ;)
Ça me rappelle quelqu'un qui a des problèmes d'autofocus avec son D60
60D. Fais gaffe, des fois ton gâtisme se voit. ;)
et qui veut absolument récrire le firmware, seul contre tous !
Tiens parlons-en. Selon toi, en tout automatique, il choisit le(s)
collimateur(s) qui correspond au plus près.
J'ai essayé hier, sur un rond-point vide. La scène : la chaussée qui va
de mes pieds au rond point, la très dense végétation dudit, et le ciel.
Proportions (à la louche) 25/50/25%.
Premier appui... il prend le collimateur en haut, qui est au dessus de
tout en plein ciel !!! :D
Par la suite, sans bouger l'appareil et sans que ne passe un véhicule
ou obstacle, c'était très aléatoire. Plusieurs fois le ciel, le reste
réparti sur différents points de la végétation.
Qu'en dit le dogme de ton nombril de grand connaisseur ? :p
A ce propos, et parce qu'on est sur un forum photo, je signale que
"Réponses Photo" vient de sortir un article sur le D70 où ils parlent
de son évolution par rapport au D60, en particulier de l'augmentation
du nombre de collimateurs : 21 maintenant.
C'est bien, je suis content de savoir que les Nikon sont de bons
appareils. :)
Le Sat, 07 Sep 2013 12:28:33 +0200
Ghost-Rider <Ghost-Rider@compuserve.com> a écrit :
Mouarff... S'accrocher à des dogmes... Surtout ceux qu'on construit
soi-même autour de son nombril.
Et tu parles d'expérience ! ;)
Ça me rappelle quelqu'un qui a des problèmes d'autofocus avec son D60
60D. Fais gaffe, des fois ton gâtisme se voit. ;)
et qui veut absolument récrire le firmware, seul contre tous !
Tiens parlons-en. Selon toi, en tout automatique, il choisit le(s)
collimateur(s) qui correspond au plus près.
J'ai essayé hier, sur un rond-point vide. La scène : la chaussée qui va
de mes pieds au rond point, la très dense végétation dudit, et le ciel.
Proportions (à la louche) 25/50/25%.
Premier appui... il prend le collimateur en haut, qui est au dessus de
tout en plein ciel !!! :D
Par la suite, sans bouger l'appareil et sans que ne passe un véhicule
ou obstacle, c'était très aléatoire. Plusieurs fois le ciel, le reste
réparti sur différents points de la végétation.
Qu'en dit le dogme de ton nombril de grand connaisseur ? :p
A ce propos, et parce qu'on est sur un forum photo, je signale que
"Réponses Photo" vient de sortir un article sur le D70 où ils parlent
de son évolution par rapport au D60, en particulier de l'augmentation
du nombre de collimateurs : 21 maintenant.
C'est bien, je suis content de savoir que les Nikon sont de bons
appareils. :)
Le Sat, 07 Sep 2013 12:28:33 +0200
Ghost-Rider a écrit :Mouarff... S'accrocher à des dogmes... Surtout ceux qu'on construit
soi-même autour de son nombril.
Et tu parles d'expérience ! ;)
Ça me rappelle quelqu'un qui a des problèmes d'autofocus avec son D60
60D. Fais gaffe, des fois ton gâtisme se voit. ;)
et qui veut absolument récrire le firmware, seul contre tous !
Tiens parlons-en. Selon toi, en tout automatique, il choisit le(s)
collimateur(s) qui correspond au plus près.
J'ai essayé hier, sur un rond-point vide. La scène : la chaussée qui va
de mes pieds au rond point, la très dense végétation dudit, et le ciel.
Proportions (à la louche) 25/50/25%.
Premier appui... il prend le collimateur en haut, qui est au dessus de
tout en plein ciel !!! :D
Par la suite, sans bouger l'appareil et sans que ne passe un véhicule
ou obstacle, c'était très aléatoire. Plusieurs fois le ciel, le reste
réparti sur différents points de la végétation.
Qu'en dit le dogme de ton nombril de grand connaisseur ? :p
A ce propos, et parce qu'on est sur un forum photo, je signale que
"Réponses Photo" vient de sortir un article sur le D70 où ils parlent
de son évolution par rapport au D60, en particulier de l'augmentation
du nombre de collimateurs : 21 maintenant.
C'est bien, je suis content de savoir que les Nikon sont de bons
appareils. :)
Le 07/09/2013 12:34, LeLapin a écrit :
> Quant à la possibilité qu'un médecin de ville puisse fai re du
> double-aveugle, et sur un seul patient, je crois que tu devrais
> vraiment te renseigner sur ce que c'est ! :D
>
donc il ferait mieux de se taire au lieu d'affirmer une efficacité
(ou absence d'efficacité)
je ne dis rien de plus
Le 07/09/2013 12:34, LeLapin a écrit :
> Quant à la possibilité qu'un médecin de ville puisse fai re du
> double-aveugle, et sur un seul patient, je crois que tu devrais
> vraiment te renseigner sur ce que c'est ! :D
>
donc il ferait mieux de se taire au lieu d'affirmer une efficacité
(ou absence d'efficacité)
je ne dis rien de plus
Le 07/09/2013 12:34, LeLapin a écrit :
> Quant à la possibilité qu'un médecin de ville puisse fai re du
> double-aveugle, et sur un seul patient, je crois que tu devrais
> vraiment te renseigner sur ce que c'est ! :D
>
donc il ferait mieux de se taire au lieu d'affirmer une efficacité
(ou absence d'efficacité)
je ne dis rien de plus