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Le bon policier américain, il voit un truc qui bouge, il tire

172 réponses
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Khat Tsang Huit Phe Zho
https://fr.news.yahoo.com/abri-abattu-6-policiers-46-balles-085717774.html

Alors que le mauvais policier américain, il voit un truc qui bouge, il
tire :
http://www.youtube.com/watch?v=QuGcoOJKXT8&t=3m0s


--
À qui Rodriguez téléphonait-il lorsque le requin est entré dans la cabine ?

10 réponses

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tintin
Le 04/11/2014 à 19:44, Cardinal de Hère a écrit :
Le 04/11/2014 13:47, tintin a écrit :
Le 04/11/2014 à 08:30, Cardinal de Hère a écrit :
La psychanalyse a perdu la partie.



La psychanalyse, ça fout surtout la trouille aux gens qui s'accrochent à
des croyances venant de derrière le cul des chameaux et qui n'osent pas
se
poser les vraies questions.

Faudrait d'ailleurs pas qu'ils se les posent d'après les canons et les
différends précepteurs des religions. Etre heureux comme un simple
d'esprit, vrai que c'est mieux pour se faire emmener à l'abattoir.
L'instruction est une chose (voir bourrage de crânes), l'intelligence
(voir lucidité et ouverture d'esprit) en sont une autre.



Je résume les thèses de Girard sur Freud. Freud a eu quelques bonnes
intuitions comme la structure triangulaire du désir mimétique ou le
meurtre comme fondateur de la civilisation. Hélas pour lui aussitôt
énoncée ses intuitions ont été recouvertes par le recourt au mythe.
C'est ainsi que sur le triangle du désir mimétique il a plaqué le mythe
d'Oedipe, faisant du père et de l'enfant des rivaux mimétiques, ce
qu'ils ne sont jamais. De même au lieu de reconnaître dans la figure du
lynché un bouc émissaire il a tenu à recourir au mythe de Cronos
assassiné par ses fils. Freud a frôlé le génie sans jamais l'atteindre.



Je répond à Rvg en même temps:
Il a écrit ce cifareli que je ne connais pas:
"«Le plus grand des crimes, c'est la guerre», disait Voltaire. la guerre,
cette ruine commune, ce meurtre cher à tous les partisans du bain de sang
a pour épicentre la tragédie du monde subjectif à l'origine de toutes
les tragédies. Si l'on est conscient que la guerre Toujours et encore, ce
sont ces pères qui veulent la guerre et envoient les fils au casse-pipe
est la folie de ceux qui manipulent les foules, mais encore des foules qui
marchent dans la combine, une juste compréhension se fait jour. Encore
faut-il être prêt à remuer les enfers en dévoilant les, perversions de
l'idéalisme patriarcal. On ne gagne que des cadavres et dès tombes avec
les guerres et, au bout du compte, des batailles perdues. A quoi cela
rime-t-il, à quelle sordide exaltation létale? C'est la question que la
découverte freudienne pose à chacun de nous. Pour éliminer ceux qu'elle
combattait, la loi des peuples du désert, comme celle d'Athènes,
pratiquait le meurtre. Au vu de la malédiction ancestrale qui criminalise
l'humanité, •Freud observe que nous sommes une bande d'assassins et que
l'Histoire racontée à nos enfants est une suite d'homicides (In
Considérations actuelles sur la guerre et la mort, 1915.). De ce côté-ci
d'une frontière, l'on est celui qui tue, de l'autre, l'adversaire à
abattre, et inversement. le grand pervers qui ordonne la guerre, c'est
celui qui dresse les humains les uns contre les autres et leur crie:
bombardez-vous, souffrez, mourez. Funeste destin: les uns et les autres,
tous fils et filles d'une servitude volontaire, s'écharpent tels des
pantins envoûtés par un ordre hypnotique. . Je ferai mienne une parole
révolutionnaire de Freud ,qui désarme les exploits de la Bête écarlate:
<je suis un adversaire résolu du meurtre, que ce soit sous la forme d'un
crime individuel ou d'Etat.» Génial déchiffreur d'énigmes, Freud
abhorrait la conduite de tous les va-t'en guerre. "
Maintenant si vous n'êtes pas d'accord avec ça c'est votre droit.
Cependant c'est ce texte que je mettais en avant.
Je me suis bien pensé qu vu qu'il y a le mot "psychanalyste" des personnes
allaient bien réussir à dévier le sens de ma démarche. C'est encore et
toujours une manière de descendre la baudet car ses arguments dérangent
et que l'on en a pas de valables soi-même.

Cependant, je tiens à préciser que je connais des psy qui ne font pas
payer a leur pauvres. S'ils font payer cher a certains snobs très riches
par compensation c'est qu'ils ont bien compris les tares de ce monde.
Voilà donc un grand sens de la justice.
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Cardinal de Hère
Le 04/11/2014 21:24, tintin a écrit :
Le 04/11/2014 à 19:44, Cardinal de Hère a écrit :
Je résume les thèses de Girard sur Freud. Freud a eu quelques bonnes
intuitions comme la structure triangulaire du désir mimétique ou le
meurtre comme fondateur de la civilisation. Hélas pour lui aussitôt
énoncée ses intuitions ont été recouvertes par le recourt au mythe.
C'est ainsi que sur le triangle du désir mimétique il a plaqué le mythe
d'Oedipe, faisant du père et de l'enfant des rivaux mimétiques, ce
qu'ils ne sont jamais. De même au lieu de reconnaître dans la figure du
lynché un bouc émissaire il a tenu à recourir au mythe de Cronos
assassiné par ses fils. Freud a frôlé le génie sans jamais l'atteindre.



Je répond à Rvg en même temps:
Il a écrit ce cifareli que je ne connais pas:
"«Le plus grand des crimes, c'est la guerre», disait Voltaire. la guerre,
cette ruine commune, ce meurtre cher à tous les partisans du bain de sang
a pour épicentre la tragédie du monde subjectif à l'origine de toutes
les tragédies. Si l'on est conscient que la guerre Toujours et encore, ce
sont ces pères qui veulent la guerre et envoient les fils au casse-pipe
est la folie de ceux qui manipulent les foules, mais encore des foules qui
marchent dans la combine, une juste compréhension se fait jour. Encore
faut-il être prêt à remuer les enfers en dévoilant les, perversions de
l'idéalisme patriarcal. On ne gagne que des cadavres et dès tombes avec
les guerres et, au bout du compte, des batailles perdues. A quoi cela
rime-t-il, à quelle sordide exaltation létale? C'est la question que la
découverte freudienne pose à chacun de nous. Pour éliminer ceux qu'elle
combattait, la loi des peuples du désert, comme celle d'Athènes,
pratiquait le meurtre. Au vu de la malédiction ancestrale qui criminalise
l'humanité, •Freud observe que nous sommes une bande d'assassins et que
l'Histoire racontée à nos enfants est une suite d'homicides (In
Considérations actuelles sur la guerre et la mort, 1915.). De ce côté-ci
d'une frontière, l'on est celui qui tue, de l'autre, l'adversaire à
abattre, et inversement. le grand pervers qui ordonne la guerre, c'est
celui qui dresse les humains les uns contre les autres et leur crie:
bombardez-vous, souffrez, mourez. Funeste destin: les uns et les autres,
tous fils et filles d'une servitude volontaire, s'écharpent tels des
pantins envoûtés par un ordre hypnotique. . Je ferai mienne une parole
révolutionnaire de Freud ,qui désarme les exploits de la Bête écarlate:
<je suis un adversaire résolu du meurtre, que ce soit sous la forme d'un
crime individuel ou d'Etat.» Génial déchiffreur d'énigmes, Freud
abhorrait la conduite de tous les va-t'en guerre. "
Maintenant si vous n'êtes pas d'accord avec ça c'est votre droit.
Cependant c'est ce texte que je mettais en avant.
Je me suis bien pensé qu vu qu'il y a le mot "psychanalyste" des personnes
allaient bien réussir à dévier le sens de ma démarche. C'est encore et
toujours une manière de descendre la baudet car ses arguments dérangent
et que l'on en a pas de valables soi-même.

Cependant, je tiens à préciser que je connais des psy qui ne font pas
payer a leur pauvres. S'ils font payer cher a certains snobs très riches
par compensation c'est qu'ils ont bien compris les tares de ce monde.
Voilà donc un grand sens de la justice.



Figure-toi que les gens n'ont pas attendu Freud pour se dire contre le
meurtre, le condamner, s'en déclarer les ennemis les plus résolus. Et
les plus bruyants dans la condamnation du meurtre sont souvent aussi les
plus meurtriers. Car c'est toujours pour mettre fin à une violence ou à
une injustice que l'on recourt à la violence et à l'injustice. Regarde
les Anglo-Saxons, depuis qu'ils ont mis le pied sur le sol américain ils
n'ont cessé de tuer, de massacrer et d'exterminer. Et toujours pour une
bonne raison, pour mettre fin à des razzias amérindiennes, pour punir
les crimes et les tortures perpétrés par des méchants, pour libérer les
esclaves, pour punir des rebelles, pour bombarder et atomiser des
génocidaires, pour libérer de la dictature communiste, pour combattre le
terrorisme... ils ont toujours une bonne excuse pour faire la guerre. Et
ce ne sont pas les seuls bien sûr, tous les hommes agissent ainsi : ils
tuent, assassinent et exterminent pour venger le mal qu'on leur a fait,
pour punir des méchants, pour éviter un bain de sang. Ceux qui se
hissent eux-mêmes sur un piédestal comme le fait Freud sont souvent les
derniers des salauds. Car le coeur de l'antagonisme entre les hommes
c'est toujours de rejeter la faute sur l'autre. Ce n'est *jamais* de ma
faute si j'ai fait ça, c'est de la faute à la société, aux patrons, aux
exploiteurs, au système. Freud et les psychanalystes vont même plus loin
: c'est la faute aux antiques Hébreux ou Grecs, c'est la faute aux
patriarches. Des personnes qui sont mortes il y a 3000 ans seraient
davantage responsables du mal qui est commis aujourd'hui que les propres
auteurs de ce mal ! Et que dire de la société mise en place par les
héritiers de Freud, ces grands libérateurs du genre humain qui sont
dressés comme des coqs de combat contre le meurtre ? N'ont-ils pas
édifié la société la plus criminelle de tous les temps, une société qui
depuis 40 années extermine tous les ans plus de cinquante millions
d'êtres en gestation dans le monde entier ? Deux milliard d'êtres en
gestation massacrés au nom de la libération de la femme, de libération
de la société, de la liberté de tout un chacun de vivre sa vie comme bon
lui semble, deux milliards d'êtres innocents et sans défense assassinés
par ces grands ennemis du meurtre !

Comment peut-on comprendre ce paradoxe ? Je l'ai expliqué brièvement
dans le fil, beaucoup plus longuement d'innombrables fois. L'homme qui
aliène son désir naturel de voir Dieu dans l'adoration de ce qui n'est
pas l'Absolu se condamne à la frustration puisqu'il se détourne
volontairement du seul Être qui puisse étancher son insatiable soif
d'absolu et de perfection. Ce désir frustré de voir Dieu est ce que l'on
appelle le désir mimétique ou désir envieux. Car l'homme frustré se met
à guetter chez ses congénères humains les signes de satisfaction qui
trahiraient la possession de cet absolu qui se dérobe à lui. Et l'envie
est une chose qui ne s'arrête qu'avec la fin de la frustration
c'est-à-dire la rencontre avec le Créateur. L'homme aliéné voit donc sa
frustration et son envie grandir, devenir rivalité puis conflictualité,
toujours pour la même raison pour cet absolu impossible à saisir, pour
ce désir d'absolu qui tenaille l'être. Si l'homme était raisonnable il
comprendrait qu'il est lui-même la source du mal. Que ce mal il a
commencé à le faire librement et délibérément en se détournant de Dieu.
Mais au lieu de préférer la vérité qui se confond avec le bien et et la
liberté il choisit de persévérer dans le mal. Et de même qu'il se trompe
en cherchant frénétiquement dans le monde l'Absolu qu'il a rejeté, il se
fourvoie également en rejetant la faute du mal sur l'autre. Les deux
mouvements n'en forment d'ailleurs qu'un seul : car en enviant l'autre
il le considère comme ayant quelque chose qui lui revient de droit et
c'est cette possession exclusive de l'Absolu qui est perçu par le sujet
comme la source du mal. Le mal c'est l'autre. Et ce n'est pas Freud qui
explique pourquoi l'homme aliéné pense ainsi mais les catholiques : moi
peut-être mais avant moi mes maîtres Claude Tresmontant et René Girard
et avant eux la tradition catholique et dans une certaine mesure aussi
orthodoxe. Freud est un imposteur, un bavard, un braillard, un
brouillon, une fausse valeur. D'ailleurs il est encensé par les pires
crapules de la terre, je ne parle pas de toi bien sûr, mais de ces Juifs
arrogants et donneurs de leçons qui au lieu de faire techouva pour leurs
crimes et manquements l'imposent aux autres !

L'intelligence, la vérité, la raison c'est au sein du christianisme
qu'on les trouve car ce sont des dons de Dieu et que Christ-Dieu vit
parmi les chrétiens - je ne parle pas de moi, je suis un très mauvais
chrétien, mais des vrais saints. Mon ami crois-moi, tu perds ton temps à
lire les psychanalystes car la psychanalyse est une escroquerie juive.
Cherche la vérité et l'amour là où ils sont : dans le coeur même du
Christ mort par nos crimes, mort pour nous sauver par nos crimes mêmes !
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tintin
Le 04/11/2014 à 23:00, Cardinal de Hère a écrit :
L'intelligence, la vérité, la raison c'est au sein du christianisme
qu'on les trouve car ce sont des dons de Dieu et que Christ-Dieu vit
parmi les chrétiens - je ne parle pas de moi, je suis un très mauvais



On a vu tout ça.
L'inquisition, les guerres de religions, le massacre des autochtones
considérés comme des bêtes.
si il n'y avait pas eu des grands humanistes non soumis au christianisme et
autres billevesées on y subirait encore.
D'ailleurs cela renait par la manipulation et la peur d'un autre de ces
tares bien encouragée par nos oligarques psychopates et malade du pouvoir.
Tu prêches pour quelle paroisse?
Nan? je me marre!
t'es donc aussi malade qu'eux.
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Gloops
Fulminator/ a écrit le 03/11/2014 18:06 :

"Gloops" a écrit :

Bon, en clair, je n'ai rien compris parce que je suis une gonzesse ?


_______________________________________________________________________ _

C'est toi qui l'as dit, ma cocotte.



Tu risques d'être déçu.

Comme gonzesse je ne suis pas sexy du tout, du tout.

;)
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Cardinal de Hère
Le 04/11/2014 23:06, tintin a écrit :
Le 04/11/2014 à 23:00, Cardinal de Hère a écrit :
L'intelligence, la vérité, la raison c'est au sein du christianisme
qu'on les trouve car ce sont des dons de Dieu et que Christ-Dieu vit
parmi les chrétiens - je ne parle pas de moi, je suis un très mauvais



On a vu tout ça.
L'inquisition, les guerres de religions, le massacre des autochtones
considérés comme des bêtes.
si il n'y avait pas eu des grands humanistes non soumis au christianisme et
autres billevesées on y subirait encore.
D'ailleurs cela renait par la manipulation et la peur d'un autre de ces
tares bien encouragée par nos oligarques psychopates et malade du pouvoir.
Tu prêches pour quelle paroisse?
Nan? je me marre!
t'es donc aussi malade qu'eux.



L'Inquisition fut une excellente chose, chargée d'endiguer la nocivité
des Juifs et des dualistes tapis au coeur de la société chrétienne pour
la pervertir. D'ailleurs notre histoire récente montre combien ceux qui
avaient instauré cet organisme de contrôle social des germes de
dissolution spirituelle et morale avaient raison.

Les guerres de religion n'avaient pas grand chose à voir avec la
religion mais bien plus avec la politique. C'étaient tout simplement des
rivalités sanglantes entre clans politiques qui se disputaient le
pouvoir. Et ça continue aujourd'hui encore sous d'autres masques :
islam, protestantisme, mondialisme...

Pour ce qui est du massacre des autochtones tu te trompes. L'Église a
toujours été du côté des Amérindiens, des Noirs, des esclaves, les
protégeant de la malfaisance des brutes mies par une avidité bien peu
chrétienne.
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Gloops
tintin a écrit le 03/11/2014 16:10 :
Le 01/11/2014 à 19:22, Khat Tsang Huit Phe Zho a écrit :

https://fr.news.yahoo.com/abri-abattu-6-policiers-46-balles-085717774. html

Alors que le mauvais policier américain, il voit un truc qui boug e, il
tire :
http://www.youtube.com/watch?v=QuGcoOJKXT8&t=3m0s





Pour expliquer cela, un texte merveilleux que je copie-colle sans
scrupules:
(...)
Mario Cifali
Psychanalyste à Genève, directeur du Séminaire du Cercle Freudien"
___________
Et qui explique bien ce que j'ai en fond de moi sans toujours pouvoir
l'expliquer




Ma parole il écrit bien, cet homme-là.

Et des choses fort sensées en plus.


--
Avatar
Gloops
Cardinal de Hère a écrit le 04/11/2014 23:32 :
L'Inquisition fut une excellente chose




Pour moi tu as quand même déjà dit des choses plus sensà ©es que celle-là.

Et je trouve cela d'autant plus préoccupant que je ne t'ai jamais vu
t'exprimer à la légère.
Avatar
Cardinal de Hère
Le 05/11/2014 00:06, Gloops a écrit :
Cardinal de Hère a écrit le 04/11/2014 23:32 :
L'Inquisition fut une excellente chose




Pour moi tu as quand même déjà dit des choses plus sensées que celle-là.

Et je trouve cela d'autant plus préoccupant que je ne t'ai jamais vu
t'exprimer à la légère.



Comment peut-on ne pas souhaiter une institution chargée de poursuivre
avec bonté et bienveillance les hérétiques afin d'éradiquer non
seulement les ferments d'hérésie mais aussi les dérèglements sociaux
graves qu'ils occasionnent comme l'usure, l'exploitation, l'escroquerie,
les malversations, la rapine protestante et libérale, la canaillerie
levantine, la fourberie génocidaire mondialiste ?
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tintin
Le 04/11/2014 à 23:52, Gloops a écrit :
tintin a écrit le 03/11/2014 16:10 :
Le 01/11/2014 à 19:22, Khat Tsang Huit Phe Zho a écrit :


https://fr.news.yahoo.com/abri-abattu-6-policiers-46-balles-085717774.html

Alors que le mauvais policier américain, il voit un truc qui bouge, il
tire :
http://www.youtube.com/watch?v=QuGcoOJKXT8&t=3m0s





Pour expliquer cela, un texte merveilleux que je copie-colle sans
scrupules:
(...)
Mario Cifali
Psychanalyste à Genève, directeur du Séminaire du Cercle Freudien"
___________
Et qui explique bien ce que j'ai en fond de moi sans toujours pouvoir
l'expliquer




Ma parole il écrit bien, cet homme-là.

Et des choses fort sensées en plus.





Oui, merci,
les rapports avec la psychanalyse on s'en tape. l'essentiel est ailleurs
dans son texte.
Il est ici:
"On ne comprend rien à ce crime si l'on ne comprend pas qu'il est voulu
par des pères jaloux, cupides et barbares, et ce depuis les temps
primitifs de la horde patriarcale. Toujours et encore, ce sont ces pères
qui veulent la guerre et envoient les fils au casse-pipe, à croire qu'ils
aiment massacrer et voir leur progéniture se faire massacrer. Soyons
lucides à l'extrême! L'intelligence perverse du meurtre n'est simple
affaire de politique policière. Elle résulte des conflits qui font rage
depuis les couches profondes de l'inconscient inhumain, et ce en chaque
individu."
La horde patriarcale. il parait qu'on va sur le lune, mais la horde, on
préfère de loin la maintenir. En fait on va sur la lune juste pour
renforcer les pouvoirs de la horde.
Triste.
Avatar
tintin
Le 04/11/2014 à 23:32, Cardinal de Hère a écrit :
Le 04/11/2014 23:06, tintin a écrit :
Le 04/11/2014 à 23:00, Cardinal de Hère a écrit :
L'intelligence, la vérité, la raison c'est au sein du christianisme
qu'on les trouve car ce sont des dons de Dieu et que Christ-Dieu vit
parmi les chrétiens - je ne parle pas de moi, je suis un très mauvais



On a vu tout ça.
L'inquisition, les guerres de religions, le massacre des autochtones
considérés comme des bêtes.
si il n'y avait pas eu des grands humanistes non soumis au christianisme
et
autres billevesées on y subirait encore.
D'ailleurs cela renait par la manipulation et la peur d'un autre de ces
tares bien encouragée par nos oligarques psychopates et malade du
pouvoir.
Tu prêches pour quelle paroisse?
Nan? je me marre!
t'es donc aussi malade qu'eux.



L'Inquisition fut une excellente chose, chargée d'endiguer la nocivité
des Juifs et des dualistes tapis au coeur de la société chrétienne pour
la pervertir. D'ailleurs notre histoire récente montre combien ceux qui
avaient instauré cet organisme de contrôle social des germes de
dissolution spirituelle et morale avaient raison.

Les guerres de religion n'avaient pas grand chose à voir avec la
religion mais bien plus avec la politique. C'étaient tout simplement des
rivalités sanglantes entre clans politiques qui se disputaient le
pouvoir. Et ça continue aujourd'hui encore sous d'autres masques :
islam, protestantisme, mondialisme...

Pour ce qui est du massacre des autochtones tu te trompes. L'Église a
toujours été du côté des Amérindiens, des Noirs, des esclaves, les
protégeant de la malfaisance des brutes mies par une avidité bien peu
chrétienne.




Excuse moi, mais je n'y crois pas du tout à ta version.
J'ai bien morflé dans le village très catholique de ma mère. J'étais le
diable parce que baptisé protestant. Et le diable pour les protestant car
mon père était athée. Pourquoi étais-je protestant? Le hasard des
délires d'un alcolo contrit d'avoir marié une catho et obligé de
baptiser son enfant dans la religion catho? sans doute. (ma mère était
entre la vie et la mort suite à l'accouchement. ce qui ne l'a jamais
excusée à mes yeux des ruses qu'elle utilisait pour me faire croire au
petit jésus. Le moyen âge j'en ai eu une version dans son village encore
dans les années 45-et plus. Les débiles ! affreux!
Et qui sait qui morflait? moi, un enfant.
Allez chier avec vos religions et fausse excuses pour les blanchir.