Et alors ?... Il faudrait peut-être qu'un délinquant ne soit pas emprisonné du seul fait qu'il est noir ? Raciste !
jmh
jr vient de nous annoncer :
"Mara la Coquine" wrote:
"Anne G" a écrit dans le message de groupe de discussion :
Où ai-je lu que la moitié des prisonniers de la Terre sont aux EU ?
Dans un de vos délires?
Bof, il y a un peu moins de 2% de la population mâle en taule, et autant pour les y mettre et les surveiller. C'est 5 fois plus qu'en France. On arrive à des chiffres qui corrigent sévèrement ceux de l'emploi. Et comme tout le monde ne fait pas perpète, ça fait une proportion énorme de citoyens qui ont été ou iront en taule dans leur vie. Essentiellement des noirs, bien entendu.
"Mara la Coquine" <antispam.cool@gmail.com> wrote:
"Anne G" <ann.guille@gmail_anti-spam_.com.invalid> a écrit dans le
message de groupe de discussion : 5456ead2@ac-versailles.fr...
Où ai-je lu que la moitié des prisonniers de la Terre sont aux EU ?
Dans un de vos délires?
Bof, il y a un peu moins de 2% de la population mâle en taule, et autant
pour les y mettre et les surveiller. C'est 5 fois plus qu'en France. On
arrive à des chiffres qui corrigent sévèrement ceux de l'emploi.
Et comme tout le monde ne fait pas perpète, ça fait une proportion énorme
de citoyens qui ont été ou iront en taule dans leur vie. Essentiellement
des noirs, bien entendu.
"Anne G" a écrit dans le message de groupe de discussion :
Où ai-je lu que la moitié des prisonniers de la Terre sont aux EU ?
Dans un de vos délires?
Bof, il y a un peu moins de 2% de la population mâle en taule, et autant pour les y mettre et les surveiller. C'est 5 fois plus qu'en France. On arrive à des chiffres qui corrigent sévèrement ceux de l'emploi. Et comme tout le monde ne fait pas perpète, ça fait une proportion énorme de citoyens qui ont été ou iront en taule dans leur vie. Essentiellement des noirs, bien entendu.
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Dans un de vos délires?
Bof, il y a un peu moins de 2% de la population mâle en taule, et autant pour les y mettre et les surveiller. C'est 5 fois plus qu'en France. On arrive à des chiffres qui corrigent sévèrement ceux de l'emploi. Et comme tout le monde ne fait pas perpète, ça fait une proportion énorme de citoyens qui ont été ou iront en taule dans leur vie. Essentiellement des noirs, bien entendu.
Un noir innocent ca existe? S'il était innocent il ne serait pas noir!
-- Etre libre, c'est n'avoir rien à perdre
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"Anne G" <ann.guille@gmail_anti-spam_.com.invalid> a écrit dans le
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Où ai-je lu que la moitié des prisonniers de la Terre sont aux EU ?
Dans un de vos délires?
Bof, il y a un peu moins de 2% de la population mâle en taule, et autant
pour les y mettre et les surveiller. C'est 5 fois plus qu'en France. On
arrive à des chiffres qui corrigent sévèrement ceux de l'emploi. Et comme
tout le monde ne fait pas perpète, ça fait une proportion énorme
de citoyens qui ont été ou iront en taule dans leur vie. Essentiellement
des noirs, bien entendu.
"Anne G" a écrit dans le message de groupe de discussion :
Où ai-je lu que la moitié des prisonniers de la Terre sont aux EU ?
Dans un de vos délires?
Bof, il y a un peu moins de 2% de la population mâle en taule, et autant pour les y mettre et les surveiller. C'est 5 fois plus qu'en France. On arrive à des chiffres qui corrigent sévèrement ceux de l'emploi. Et comme tout le monde ne fait pas perpète, ça fait une proportion énorme de citoyens qui ont été ou iront en taule dans leur vie. Essentiellement des noirs, bien entendu.
Ça, c'est une interprétation tendancieuse, probablement issue de la sensiblerie d'une cervelle du "genre" (pour rester poli), qui se dissimule derrière un pseudo ambivalent...
M'étonne pas. Je n'écris que pour les esprits éclairés.
Le "genre" c'est, comme on dit dans la novlangue branchée, une personne "du sexe"... Mais ça, c'était avant.
Maintenant, ils disent : une meuf, une gonzesse, etc...
Ça, c'est une interprétation tendancieuse, probablement issue de la
sensiblerie d'une cervelle du "genre" (pour rester poli), qui se
dissimule derrière un pseudo ambivalent...
Ça, c'est une interprétation tendancieuse, probablement issue de la sensiblerie d'une cervelle du "genre" (pour rester poli), qui se dissimule derrière un pseudo ambivalent...
Alors que le mauvais policier américain, il voit un truc qui bouge, il tire : http://www.youtube.com/watch?v=QuGcoOJKXT8&t=3m0s
Pour expliquer cela, un texte merveilleux que je copie-colle sans scrupules:
"De Mario Cifali :
Que de guerres, que de jouissances morbides. Partout le même démon à l'œuvre. A croire que la Bête écarlate décrite par saint Jean dans l'apocalypse ne cesse de vociférer et de vomir du sang. Enclins à défendre l'avoir plus que l'Etre, les hommes sont prêts à n'importe quel massacre pour assurer leurs privilèges. Les privations et les blessures sont les dommages qui déclenchent leurs belligérances; et l'hostilité jalouse constitue la base de leurs conflits. Comment les hommes deviennent-ils bourreaux et victimes d'une entreprise guerrière? C'est la question arrimée aux cruautés et souffrances mésestimées par la plupart des politiques. Infatués par la suffisance de leur savoir, ils ignorent l'arme qui dégonde l'amour et le sens de la réciprocité.
«On nous a dit faites l'amour, pas la guerre, mais pourquoi donc l'amour nous fait-il la guerre?» Oui, pourquoi à t'on besoin de guerroyer pour affirmer non l'amour mais la puissance destructive? Comment cela a-t-il pris forme depuis le premier âge, se demande le psychanalyste?
Cette interrogation réclame une réponse. Dès lors que la fouille psychanalytique exhume les mobiles sacrificiels, elle fournit, c'est certain, une interprétation de l'intime jouissance à l'origine des monstruosités sadiques. Malgré l'interdit mosaïque du meurtre, la guerre n'est pas taboue. Plutôt un «art», voire une pulsion indéracinable disent certains. Même la lettre de Freud à Einstein en réponse à Pourquoi la guerre laisse perplexe. Freud invoque en effet une «dictature de la raison» pour neutraliser la guerre. Est-ce suffisant? Que non 1 les passions non moins que la raison froide, la ,foi fanatique, la science objective et les politiques barbares, poussent au crime de guerre .. On ne comprend rien à ce crime si l'on ne comprend pas qu'il est voulu par des pères jaloux, cupides et barbares, et ce depuis les temps primitifs de la horde patriarcale. Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la guerre et envoient les fils au casse-pipe, à croire qu'ils aiment massacrer et voir leur progéniture se faire massacrer. Soyons lucides à l'extrême! L'intelligence perverse du meurtre n'est simple affaire de politique policière. Elle résulte des conflits qui font rage depuis les couches profondes de l'inconscient inhumain, et ce en chaque individu. Il n'y a rien de plus assuré pour le psychanalyste aguerri. Deux textes notoires de l'humanité, l'Ancien Testament et le Mahabharatha, fournissent la preuve de cet état de fait. En l'un e l'autre, l'on y voit des hommes qui obéissent aux injonctions des démons ou à la volonté de Dieu pour s'entre-tuer.
«Le plus grand des crimes, c'est la guerre», disait Voltaire. la guerre, cette ruine commune, ce meurtre cher à tous les partisans du bain de sang a pour épicentre la tragédie du monde subjectif à l'origine de toutes les tragédies. Si l'on est conscient que la guerre
Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la guerre et envoient les fils au casse-pipe
est la folie de ceux qui manipulent les foules, mais encore des foules qui marchent dans la combine, une juste compréhension se fait jour. Encore faut-il être prêt à remuer les enfers en dévoilant les, perversions de l'idéalisme patriarcal. On ne gagne que des cadavres et dès tombes avec les guerres et, au bout du compte, des batailles perdues. A quoi cela rime-t-il, à quelle sordide exaltation létale? C'est la question que la découverte freudienne pose à chacun de nous. Pour éliminer ceux qu'elle combattait, la loi des peuples du désert, comme celle d'Athènes, pratiquait le meurtre. Au vu de la malédiction ancestrale qui criminalise l'humanité, •Freud observe que nous sommes une bande d'assassins et que l'Histoire racontée à nos enfants est une suite d'homicides (In Considérations actuelles sur la guerre et la mort, 1915.). De ce côté-ci d'une frontière, l'on est celui qui tue, de l'autre, l'adversaire à abattre, et inversement. le grand pervers qui ordonne la guerre, c'est celui qui dresse les humains les uns contre les autres et leur crie: bombardez-vous, souffrez, mourez. Funeste destin: les uns et les autres, tous fils et filles d'une servitude volontaire, s'écharpent tels des pantins envoûtés par un ordre hypnotique. . Je ferai mienne une parole révolutionnaire de Freud ,qui désarme les exploits de la Bête écarlate: <je suis un adversaire résolu du meurtre, que ce soit sous la forme d'un crime individuel ou d'Etat.» Génial déchiffreur d'énigmes, Freud abhorrait la conduite de tous les va-t'en guerre.
Mario Cifali Psychanalyste à Genève, directeur du Séminaire du Cercle Freudien" ___________ Et qui explique bien ce que j'ai en fond de moi sans toujours pouvoir l'expliquer
Le 01/11/2014 à 19:22, Khat Tsang Huit Phe Zho a écrit :
Alors que le mauvais policier américain, il voit un truc qui bouge, il
tire :
http://www.youtube.com/watch?v=QuGcoOJKXT8&t=3m0s
Pour expliquer cela, un texte merveilleux que je copie-colle sans
scrupules:
"De Mario Cifali :
Que de guerres, que de jouissances morbides. Partout le même démon à
l'œuvre. A croire que la Bête écarlate décrite par saint Jean dans
l'apocalypse ne cesse de vociférer et de vomir du sang.
Enclins à défendre l'avoir plus que l'Etre, les hommes sont prêts à
n'importe quel massacre pour assurer leurs privilèges. Les privations et
les blessures sont les dommages qui déclenchent leurs belligérances; et
l'hostilité jalouse constitue la base de leurs conflits.
Comment les hommes deviennent-ils bourreaux et victimes d'une entreprise
guerrière? C'est la question arrimée aux cruautés et souffrances
mésestimées par la plupart des politiques. Infatués par la suffisance de
leur savoir, ils ignorent l'arme qui dégonde l'amour et le sens de la
réciprocité.
«On nous a dit faites l'amour, pas la guerre, mais pourquoi donc l'amour
nous fait-il la guerre?»
Oui, pourquoi à t'on besoin de guerroyer pour affirmer non l'amour mais la
puissance destructive? Comment cela a-t-il pris forme depuis le premier
âge, se demande le psychanalyste?
Cette interrogation réclame une réponse. Dès lors que la fouille
psychanalytique exhume les mobiles sacrificiels, elle fournit, c'est
certain, une interprétation de l'intime jouissance à l'origine des
monstruosités sadiques.
Malgré l'interdit mosaïque du meurtre, la guerre n'est pas taboue.
Plutôt un «art», voire une pulsion indéracinable disent certains. Même
la lettre de Freud à Einstein en réponse à Pourquoi la guerre laisse
perplexe. Freud invoque en effet une «dictature de la raison» pour
neutraliser la guerre. Est-ce suffisant? Que non 1 les passions non moins
que la raison froide, la
,foi fanatique, la science objective et les politiques barbares, poussent
au crime de guerre ..
On ne comprend rien à ce crime si l'on ne comprend pas qu'il est voulu par
des pères jaloux, cupides et barbares, et ce depuis les temps primitifs de
la horde patriarcale. Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la
guerre et envoient les fils au casse-pipe, à croire qu'ils aiment
massacrer et voir leur progéniture se faire massacrer.
Soyons lucides à l'extrême! L'intelligence perverse du meurtre n'est
simple affaire de politique policière. Elle résulte des conflits qui font
rage depuis les couches profondes de l'inconscient inhumain, et ce en
chaque individu. Il n'y a rien de plus assuré pour le psychanalyste
aguerri.
Deux textes notoires de l'humanité, l'Ancien Testament et le Mahabharatha,
fournissent la preuve de cet état de fait. En l'un e l'autre, l'on y voit
des hommes qui obéissent aux injonctions des démons ou à la volonté de
Dieu pour s'entre-tuer.
«Le plus grand des crimes, c'est la guerre», disait Voltaire. la guerre,
cette ruine commune, ce meurtre cher à tous les partisans du bain de sang
a pour épicentre la tragédie du monde subjectif à l'origine de toutes
les tragédies.
Si l'on est conscient que la guerre
Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la guerre et envoient
les fils au casse-pipe
est la folie de ceux qui manipulent les foules, mais encore des foules qui
marchent dans la combine, une juste compréhension se fait jour. Encore
faut-il être prêt à remuer les enfers en dévoilant les, perversions de
l'idéalisme patriarcal.
On ne gagne que des cadavres et dès tombes avec les guerres et, au bout du
compte, des batailles perdues. A quoi cela rime-t-il, à quelle sordide
exaltation létale? C'est la question que la découverte freudienne pose à
chacun de nous.
Pour éliminer ceux qu'elle combattait, la loi des peuples du désert,
comme celle d'Athènes, pratiquait le meurtre. Au vu de la malédiction
ancestrale qui criminalise l'humanité, •Freud observe que nous sommes
une bande d'assassins et que l'Histoire racontée à nos enfants est une
suite d'homicides (In Considérations actuelles sur la guerre et la mort,
1915.).
De ce côté-ci d'une frontière, l'on est celui qui tue, de l'autre,
l'adversaire à abattre, et inversement. le grand pervers qui ordonne la
guerre, c'est celui qui dresse les humains les uns contre les autres et
leur crie: bombardez-vous, souffrez, mourez. Funeste destin: les uns et les
autres, tous fils et filles d'une servitude volontaire, s'écharpent tels
des pantins envoûtés par un ordre hypnotique. .
Je ferai mienne une parole révolutionnaire de Freud ,qui désarme les
exploits de la Bête écarlate: <je suis un adversaire résolu du meurtre,
que ce soit sous la forme d'un crime individuel ou d'Etat.» Génial
déchiffreur d'énigmes, Freud abhorrait la conduite de tous les va-t'en
guerre.
Mario Cifali
Psychanalyste à Genève, directeur du Séminaire du Cercle Freudien"
___________
Et qui explique bien ce que j'ai en fond de moi sans toujours pouvoir
l'expliquer
Alors que le mauvais policier américain, il voit un truc qui bouge, il tire : http://www.youtube.com/watch?v=QuGcoOJKXT8&t=3m0s
Pour expliquer cela, un texte merveilleux que je copie-colle sans scrupules:
"De Mario Cifali :
Que de guerres, que de jouissances morbides. Partout le même démon à l'œuvre. A croire que la Bête écarlate décrite par saint Jean dans l'apocalypse ne cesse de vociférer et de vomir du sang. Enclins à défendre l'avoir plus que l'Etre, les hommes sont prêts à n'importe quel massacre pour assurer leurs privilèges. Les privations et les blessures sont les dommages qui déclenchent leurs belligérances; et l'hostilité jalouse constitue la base de leurs conflits. Comment les hommes deviennent-ils bourreaux et victimes d'une entreprise guerrière? C'est la question arrimée aux cruautés et souffrances mésestimées par la plupart des politiques. Infatués par la suffisance de leur savoir, ils ignorent l'arme qui dégonde l'amour et le sens de la réciprocité.
«On nous a dit faites l'amour, pas la guerre, mais pourquoi donc l'amour nous fait-il la guerre?» Oui, pourquoi à t'on besoin de guerroyer pour affirmer non l'amour mais la puissance destructive? Comment cela a-t-il pris forme depuis le premier âge, se demande le psychanalyste?
Cette interrogation réclame une réponse. Dès lors que la fouille psychanalytique exhume les mobiles sacrificiels, elle fournit, c'est certain, une interprétation de l'intime jouissance à l'origine des monstruosités sadiques. Malgré l'interdit mosaïque du meurtre, la guerre n'est pas taboue. Plutôt un «art», voire une pulsion indéracinable disent certains. Même la lettre de Freud à Einstein en réponse à Pourquoi la guerre laisse perplexe. Freud invoque en effet une «dictature de la raison» pour neutraliser la guerre. Est-ce suffisant? Que non 1 les passions non moins que la raison froide, la ,foi fanatique, la science objective et les politiques barbares, poussent au crime de guerre .. On ne comprend rien à ce crime si l'on ne comprend pas qu'il est voulu par des pères jaloux, cupides et barbares, et ce depuis les temps primitifs de la horde patriarcale. Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la guerre et envoient les fils au casse-pipe, à croire qu'ils aiment massacrer et voir leur progéniture se faire massacrer. Soyons lucides à l'extrême! L'intelligence perverse du meurtre n'est simple affaire de politique policière. Elle résulte des conflits qui font rage depuis les couches profondes de l'inconscient inhumain, et ce en chaque individu. Il n'y a rien de plus assuré pour le psychanalyste aguerri. Deux textes notoires de l'humanité, l'Ancien Testament et le Mahabharatha, fournissent la preuve de cet état de fait. En l'un e l'autre, l'on y voit des hommes qui obéissent aux injonctions des démons ou à la volonté de Dieu pour s'entre-tuer.
«Le plus grand des crimes, c'est la guerre», disait Voltaire. la guerre, cette ruine commune, ce meurtre cher à tous les partisans du bain de sang a pour épicentre la tragédie du monde subjectif à l'origine de toutes les tragédies. Si l'on est conscient que la guerre
Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la guerre et envoient les fils au casse-pipe
est la folie de ceux qui manipulent les foules, mais encore des foules qui marchent dans la combine, une juste compréhension se fait jour. Encore faut-il être prêt à remuer les enfers en dévoilant les, perversions de l'idéalisme patriarcal. On ne gagne que des cadavres et dès tombes avec les guerres et, au bout du compte, des batailles perdues. A quoi cela rime-t-il, à quelle sordide exaltation létale? C'est la question que la découverte freudienne pose à chacun de nous. Pour éliminer ceux qu'elle combattait, la loi des peuples du désert, comme celle d'Athènes, pratiquait le meurtre. Au vu de la malédiction ancestrale qui criminalise l'humanité, •Freud observe que nous sommes une bande d'assassins et que l'Histoire racontée à nos enfants est une suite d'homicides (In Considérations actuelles sur la guerre et la mort, 1915.). De ce côté-ci d'une frontière, l'on est celui qui tue, de l'autre, l'adversaire à abattre, et inversement. le grand pervers qui ordonne la guerre, c'est celui qui dresse les humains les uns contre les autres et leur crie: bombardez-vous, souffrez, mourez. Funeste destin: les uns et les autres, tous fils et filles d'une servitude volontaire, s'écharpent tels des pantins envoûtés par un ordre hypnotique. . Je ferai mienne une parole révolutionnaire de Freud ,qui désarme les exploits de la Bête écarlate: <je suis un adversaire résolu du meurtre, que ce soit sous la forme d'un crime individuel ou d'Etat.» Génial déchiffreur d'énigmes, Freud abhorrait la conduite de tous les va-t'en guerre.
Mario Cifali Psychanalyste à Genève, directeur du Séminaire du Cercle Freudien" ___________ Et qui explique bien ce que j'ai en fond de moi sans toujours pouvoir l'expliquer
jr
Le 03/11/2014 12:08, Fulminator/ a écrit :
Le "genre" c'est, comme on dit dans la novlangue branchée, une personne "du sexe"...
C'est amusant, d'ailleurs, cette façon directe de réduire quelqu'un à son sexe et le sexe à une identité.
-- http://rouillard.org/bd.jpg
Le 03/11/2014 12:08, Fulminator/ a écrit :
Le "genre" c'est, comme on dit dans la novlangue branchée, une
personne "du sexe"...
C'est amusant, d'ailleurs, cette façon directe de réduire quelqu'un à
son sexe et le sexe à une identité.