Le 01/11/2014 à 19:22, Khat Tsang Huit Phe Zho a écrit :
https://fr.news.yahoo.com/abri-abattu-6-policiers-46-balles-085717774.html
Alors que le mauvais policier américain, il voit un truc qui bouge, il
tire :
http://www.youtube.com/watch?v=QuGcoOJKXT8&t=3m0s
Pour expliquer cela, un texte merveilleux que je copie-colle sans scrupules:
"De Mario Cifali :
Que de guerres, que de jouissances morbides. Partout le même démon à
l'œuvre. A croire que la Bête écarlate décrite par saint Jean dans
l'apocalypse ne cesse de vociférer et de vomir du sang.
Enclins à défendre l'avoir plus que l'Etre, les hommes sont prêts à
n'importe quel massacre pour assurer leurs privilèges. Les privations et les
blessures sont les dommages qui déclenchent leurs belligérances; et l'hostilité
jalouse constitue la base de leurs conflits.
Comment les hommes deviennent-ils bourreaux et victimes d'une entreprise
guerrière? C'est la question arrimée aux cruautés et souffrances mésestimées
par la plupart des politiques. Infatués par la suffisance de leur savoir, ils
ignorent l'arme qui dégonde l'amour et le sens de la réciprocité.
«On nous a dit faites l'amour, pas la guerre, mais pourquoi donc l'amour nous
fait-il la guerre?»
Oui, pourquoi à t'on besoin de guerroyer pour affirmer non l'amour mais la
puissance destructive? Comment cela a-t-il pris forme depuis le premier âge, se
demande le psychanalyste?
Cette interrogation réclame une réponse. Dès lors que la fouille
psychanalytique exhume les mobiles sacrificiels, elle fournit, c'est certain, une
interprétation de l'intime jouissance à l'origine des monstruosités sadiques.
Malgré l'interdit mosaïque du meurtre, la guerre n'est pas taboue. Plutôt un
«art», voire une pulsion indéracinable disent certains. Même la lettre de
Freud à Einstein en réponse à Pourquoi la guerre laisse perplexe. Freud invoque
en effet une «dictature de la raison» pour neutraliser la guerre. Est-ce
suffisant? Que non 1 les passions non moins que la raison froide, la
,foi fanatique, la science objective et les politiques barbares, poussent au
crime de guerre ..
On ne comprend rien à ce crime si l'on ne comprend pas qu'il est voulu par des
pères jaloux, cupides et barbares, et ce depuis les temps primitifs de la horde
patriarcale. Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la guerre et
envoient les fils au casse-pipe, à croire qu'ils aiment massacrer et voir leur
progéniture se faire massacrer.
Soyons lucides à l'extrême! L'intelligence perverse du meurtre n'est simple
affaire de politique policière. Elle résulte des conflits qui font rage depuis
les couches profondes de l'inconscient inhumain, et ce en chaque individu. Il n'y
a rien de plus assuré pour le psychanalyste aguerri.
Deux textes notoires de l'humanité, l'Ancien Testament et le Mahabharatha,
fournissent la preuve de cet état de fait. En l'un e l'autre, l'on y voit des
hommes qui obéissent aux injonctions des démons ou à la volonté de Dieu pour
s'entre-tuer.
«Le plus grand des crimes, c'est la guerre», disait Voltaire. la guerre, cette
ruine commune, ce meurtre cher à tous les partisans du bain de sang a pour
épicentre la tragédie du monde subjectif à l'origine de toutes les tragédies.
Si l'on est conscient que la guerre
Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la guerre et envoient les
fils au casse-pipe
est la folie de ceux qui manipulent les foules, mais encore des foules qui
marchent dans la combine, une juste compréhension se fait jour. Encore faut-il
être prêt à remuer les enfers en dévoilant les, perversions de l'idéalisme
patriarcal.
On ne gagne que des cadavres et dès tombes avec les guerres et, au bout du
compte, des batailles perdues. A quoi cela rime-t-il, à quelle sordide exaltation
létale? C'est la question que la découverte freudienne pose à chacun de nous.
Pour éliminer ceux qu'elle combattait, la loi des peuples du désert, comme
celle d'Athènes, pratiquait le meurtre. Au vu de la malédiction ancestrale qui
criminalise l'humanité, •Freud observe que nous sommes une bande d'assassins et
que l'Histoire racontée à nos enfants est une suite d'homicides (In
Considérations actuelles sur la guerre et la mort, 1915.).
De ce côté-ci d'une frontière, l'on est celui qui tue, de l'autre,
l'adversaire à abattre, et inversement. le grand pervers qui ordonne la guerre,
c'est celui qui dresse les humains les uns contre les autres et leur crie:
bombardez-vous, souffrez, mourez. Funeste destin: les uns et les autres, tous fils
et filles d'une servitude volontaire, s'écharpent tels des pantins envoûtés par
un ordre hypnotique. .
Je ferai mienne une parole révolutionnaire de Freud ,qui désarme les exploits
de la Bête écarlate: <je suis un adversaire résolu du meurtre, que ce soit sous
la forme d'un crime individuel ou d'Etat.» Génial déchiffreur d'énigmes, Freud
abhorrait la conduite de tous les va-t'en guerre.
Mario Cifali
Psychanalyste à Genève, directeur du Séminaire du Cercle Freudien"
___________
Et qui explique bien ce que j'ai en fond de moi sans toujours pouvoir
l'expliquer
Le 01/11/2014 à 19:22, Khat Tsang Huit Phe Zho a écrit :
https://fr.news.yahoo.com/abri-abattu-6-policiers-46-balles-085717774.html
Alors que le mauvais policier américain, il voit un truc qui bouge, il
tire :
http://www.youtube.com/watch?v=QuGcoOJKXT8&t=3m0s
Pour expliquer cela, un texte merveilleux que je copie-colle sans scrupules:
"De Mario Cifali :
Que de guerres, que de jouissances morbides. Partout le même démon à
l'œuvre. A croire que la Bête écarlate décrite par saint Jean dans
l'apocalypse ne cesse de vociférer et de vomir du sang.
Enclins à défendre l'avoir plus que l'Etre, les hommes sont prêts à
n'importe quel massacre pour assurer leurs privilèges. Les privations et les
blessures sont les dommages qui déclenchent leurs belligérances; et l'hostilité
jalouse constitue la base de leurs conflits.
Comment les hommes deviennent-ils bourreaux et victimes d'une entreprise
guerrière? C'est la question arrimée aux cruautés et souffrances mésestimées
par la plupart des politiques. Infatués par la suffisance de leur savoir, ils
ignorent l'arme qui dégonde l'amour et le sens de la réciprocité.
«On nous a dit faites l'amour, pas la guerre, mais pourquoi donc l'amour nous
fait-il la guerre?»
Oui, pourquoi à t'on besoin de guerroyer pour affirmer non l'amour mais la
puissance destructive? Comment cela a-t-il pris forme depuis le premier âge, se
demande le psychanalyste?
Cette interrogation réclame une réponse. Dès lors que la fouille
psychanalytique exhume les mobiles sacrificiels, elle fournit, c'est certain, une
interprétation de l'intime jouissance à l'origine des monstruosités sadiques.
Malgré l'interdit mosaïque du meurtre, la guerre n'est pas taboue. Plutôt un
«art», voire une pulsion indéracinable disent certains. Même la lettre de
Freud à Einstein en réponse à Pourquoi la guerre laisse perplexe. Freud invoque
en effet une «dictature de la raison» pour neutraliser la guerre. Est-ce
suffisant? Que non 1 les passions non moins que la raison froide, la
,foi fanatique, la science objective et les politiques barbares, poussent au
crime de guerre ..
On ne comprend rien à ce crime si l'on ne comprend pas qu'il est voulu par des
pères jaloux, cupides et barbares, et ce depuis les temps primitifs de la horde
patriarcale. Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la guerre et
envoient les fils au casse-pipe, à croire qu'ils aiment massacrer et voir leur
progéniture se faire massacrer.
Soyons lucides à l'extrême! L'intelligence perverse du meurtre n'est simple
affaire de politique policière. Elle résulte des conflits qui font rage depuis
les couches profondes de l'inconscient inhumain, et ce en chaque individu. Il n'y
a rien de plus assuré pour le psychanalyste aguerri.
Deux textes notoires de l'humanité, l'Ancien Testament et le Mahabharatha,
fournissent la preuve de cet état de fait. En l'un e l'autre, l'on y voit des
hommes qui obéissent aux injonctions des démons ou à la volonté de Dieu pour
s'entre-tuer.
«Le plus grand des crimes, c'est la guerre», disait Voltaire. la guerre, cette
ruine commune, ce meurtre cher à tous les partisans du bain de sang a pour
épicentre la tragédie du monde subjectif à l'origine de toutes les tragédies.
Si l'on est conscient que la guerre
Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la guerre et envoient les
fils au casse-pipe
est la folie de ceux qui manipulent les foules, mais encore des foules qui
marchent dans la combine, une juste compréhension se fait jour. Encore faut-il
être prêt à remuer les enfers en dévoilant les, perversions de l'idéalisme
patriarcal.
On ne gagne que des cadavres et dès tombes avec les guerres et, au bout du
compte, des batailles perdues. A quoi cela rime-t-il, à quelle sordide exaltation
létale? C'est la question que la découverte freudienne pose à chacun de nous.
Pour éliminer ceux qu'elle combattait, la loi des peuples du désert, comme
celle d'Athènes, pratiquait le meurtre. Au vu de la malédiction ancestrale qui
criminalise l'humanité, •Freud observe que nous sommes une bande d'assassins et
que l'Histoire racontée à nos enfants est une suite d'homicides (In
Considérations actuelles sur la guerre et la mort, 1915.).
De ce côté-ci d'une frontière, l'on est celui qui tue, de l'autre,
l'adversaire à abattre, et inversement. le grand pervers qui ordonne la guerre,
c'est celui qui dresse les humains les uns contre les autres et leur crie:
bombardez-vous, souffrez, mourez. Funeste destin: les uns et les autres, tous fils
et filles d'une servitude volontaire, s'écharpent tels des pantins envoûtés par
un ordre hypnotique. .
Je ferai mienne une parole révolutionnaire de Freud ,qui désarme les exploits
de la Bête écarlate: <je suis un adversaire résolu du meurtre, que ce soit sous
la forme d'un crime individuel ou d'Etat.» Génial déchiffreur d'énigmes, Freud
abhorrait la conduite de tous les va-t'en guerre.
Mario Cifali
Psychanalyste à Genève, directeur du Séminaire du Cercle Freudien"
___________
Et qui explique bien ce que j'ai en fond de moi sans toujours pouvoir
l'expliquer
Le 01/11/2014 à 19:22, Khat Tsang Huit Phe Zho a écrit :
https://fr.news.yahoo.com/abri-abattu-6-policiers-46-balles-085717774.html
Alors que le mauvais policier américain, il voit un truc qui bouge, il
tire :
http://www.youtube.com/watch?v=QuGcoOJKXT8&t=3m0s
Pour expliquer cela, un texte merveilleux que je copie-colle sans scrupules:
"De Mario Cifali :
Que de guerres, que de jouissances morbides. Partout le même démon à
l'œuvre. A croire que la Bête écarlate décrite par saint Jean dans
l'apocalypse ne cesse de vociférer et de vomir du sang.
Enclins à défendre l'avoir plus que l'Etre, les hommes sont prêts à
n'importe quel massacre pour assurer leurs privilèges. Les privations et les
blessures sont les dommages qui déclenchent leurs belligérances; et l'hostilité
jalouse constitue la base de leurs conflits.
Comment les hommes deviennent-ils bourreaux et victimes d'une entreprise
guerrière? C'est la question arrimée aux cruautés et souffrances mésestimées
par la plupart des politiques. Infatués par la suffisance de leur savoir, ils
ignorent l'arme qui dégonde l'amour et le sens de la réciprocité.
«On nous a dit faites l'amour, pas la guerre, mais pourquoi donc l'amour nous
fait-il la guerre?»
Oui, pourquoi à t'on besoin de guerroyer pour affirmer non l'amour mais la
puissance destructive? Comment cela a-t-il pris forme depuis le premier âge, se
demande le psychanalyste?
Cette interrogation réclame une réponse. Dès lors que la fouille
psychanalytique exhume les mobiles sacrificiels, elle fournit, c'est certain, une
interprétation de l'intime jouissance à l'origine des monstruosités sadiques.
Malgré l'interdit mosaïque du meurtre, la guerre n'est pas taboue. Plutôt un
«art», voire une pulsion indéracinable disent certains. Même la lettre de
Freud à Einstein en réponse à Pourquoi la guerre laisse perplexe. Freud invoque
en effet une «dictature de la raison» pour neutraliser la guerre. Est-ce
suffisant? Que non 1 les passions non moins que la raison froide, la
,foi fanatique, la science objective et les politiques barbares, poussent au
crime de guerre ..
On ne comprend rien à ce crime si l'on ne comprend pas qu'il est voulu par des
pères jaloux, cupides et barbares, et ce depuis les temps primitifs de la horde
patriarcale. Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la guerre et
envoient les fils au casse-pipe, à croire qu'ils aiment massacrer et voir leur
progéniture se faire massacrer.
Soyons lucides à l'extrême! L'intelligence perverse du meurtre n'est simple
affaire de politique policière. Elle résulte des conflits qui font rage depuis
les couches profondes de l'inconscient inhumain, et ce en chaque individu. Il n'y
a rien de plus assuré pour le psychanalyste aguerri.
Deux textes notoires de l'humanité, l'Ancien Testament et le Mahabharatha,
fournissent la preuve de cet état de fait. En l'un e l'autre, l'on y voit des
hommes qui obéissent aux injonctions des démons ou à la volonté de Dieu pour
s'entre-tuer.
«Le plus grand des crimes, c'est la guerre», disait Voltaire. la guerre, cette
ruine commune, ce meurtre cher à tous les partisans du bain de sang a pour
épicentre la tragédie du monde subjectif à l'origine de toutes les tragédies.
Si l'on est conscient que la guerre
Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la guerre et envoient les
fils au casse-pipe
est la folie de ceux qui manipulent les foules, mais encore des foules qui
marchent dans la combine, une juste compréhension se fait jour. Encore faut-il
être prêt à remuer les enfers en dévoilant les, perversions de l'idéalisme
patriarcal.
On ne gagne que des cadavres et dès tombes avec les guerres et, au bout du
compte, des batailles perdues. A quoi cela rime-t-il, à quelle sordide exaltation
létale? C'est la question que la découverte freudienne pose à chacun de nous.
Pour éliminer ceux qu'elle combattait, la loi des peuples du désert, comme
celle d'Athènes, pratiquait le meurtre. Au vu de la malédiction ancestrale qui
criminalise l'humanité, •Freud observe que nous sommes une bande d'assassins et
que l'Histoire racontée à nos enfants est une suite d'homicides (In
Considérations actuelles sur la guerre et la mort, 1915.).
De ce côté-ci d'une frontière, l'on est celui qui tue, de l'autre,
l'adversaire à abattre, et inversement. le grand pervers qui ordonne la guerre,
c'est celui qui dresse les humains les uns contre les autres et leur crie:
bombardez-vous, souffrez, mourez. Funeste destin: les uns et les autres, tous fils
et filles d'une servitude volontaire, s'écharpent tels des pantins envoûtés par
un ordre hypnotique. .
Je ferai mienne une parole révolutionnaire de Freud ,qui désarme les exploits
de la Bête écarlate: <je suis un adversaire résolu du meurtre, que ce soit sous
la forme d'un crime individuel ou d'Etat.» Génial déchiffreur d'énigmes, Freud
abhorrait la conduite de tous les va-t'en guerre.
Mario Cifali
Psychanalyste à Genève, directeur du Séminaire du Cercle Freudien"
___________
Et qui explique bien ce que j'ai en fond de moi sans toujours pouvoir
l'expliquer
Le 01/11/2014 à 19:22, Khat Tsang Huit Phe Zho a écrit :
https://fr.news.yahoo.com/abri-abattu-6-policiers-46-balles-085717774.html
Alors que le mauvais policier américain, il voit un truc qui bouge, il
tire :
http://www.youtube.com/watch?v=QuGcoOJKXT8&t=3m0s
Pour expliquer cela, un texte merveilleux que je copie-colle sans
scrupules:
"De Mario Cifali :
Que de guerres, que de jouissances morbides. Partout le même démon à
l'œuvre. A croire que la Bête écarlate décrite par saint Jean dans
l'apocalypse ne cesse de vociférer et de vomir du sang.
Enclins à défendre l'avoir plus que l'Etre, les hommes sont prêts à
n'importe quel massacre pour assurer leurs privilèges. Les privations et
les blessures sont les dommages qui déclenchent leurs belligérances; et
l'hostilité jalouse constitue la base de leurs conflits.
Comment les hommes deviennent-ils bourreaux et victimes d'une entreprise
guerrière? C'est la question arrimée aux cruautés et souffrances
mésestimées par la plupart des politiques. Infatués par la suffisance de
leur savoir, ils ignorent l'arme qui dégonde l'amour et le sens de la
réciprocité.
«On nous a dit faites l'amour, pas la guerre, mais pourquoi donc l'amour
nous fait-il la guerre?»
Oui, pourquoi à t'on besoin de guerroyer pour affirmer non l'amour mais la
puissance destructive? Comment cela a-t-il pris forme depuis le premier
âge, se demande le psychanalyste?
Cette interrogation réclame une réponse. Dès lors que la fouille
psychanalytique exhume les mobiles sacrificiels, elle fournit, c'est
certain, une interprétation de l'intime jouissance à l'origine des
monstruosités sadiques.
Malgré l'interdit mosaïque du meurtre, la guerre n'est pas taboue.
Plutôt un «art», voire une pulsion indéracinable disent certains. Même
la lettre de Freud à Einstein en réponse à Pourquoi la guerre laisse
perplexe. Freud invoque en effet une «dictature de la raison» pour
neutraliser la guerre. Est-ce suffisant? Que non 1 les passions non moins
que la raison froide, la
,foi fanatique, la science objective et les politiques barbares, poussent
au crime de guerre ..
On ne comprend rien à ce crime si l'on ne comprend pas qu'il est voulu par
des pères jaloux, cupides et barbares, et ce depuis les temps primitifs de
la horde patriarcale. Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la
guerre et envoient les fils au casse-pipe, à croire qu'ils aiment
massacrer et voir leur progéniture se faire massacrer.
Soyons lucides à l'extrême! L'intelligence perverse du meurtre n'est
simple affaire de politique policière. Elle résulte des conflits qui font
rage depuis les couches profondes de l'inconscient inhumain, et ce en
chaque individu. Il n'y a rien de plus assuré pour le psychanalyste
aguerri.
Deux textes notoires de l'humanité, l'Ancien Testament et le Mahabharatha,
fournissent la preuve de cet état de fait. En l'un e l'autre, l'on y voit
des hommes qui obéissent aux injonctions des démons ou à la volonté de
Dieu pour s'entre-tuer.
«Le plus grand des crimes, c'est la guerre», disait Voltaire. la guerre,
cette ruine commune, ce meurtre cher à tous les partisans du bain de sang
a pour épicentre la tragédie du monde subjectif à l'origine de toutes
les tragédies.
Si l'on est conscient que la guerre
Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la guerre et envoient
les fils au casse-pipe
est la folie de ceux qui manipulent les foules, mais encore des foules qui
marchent dans la combine, une juste compréhension se fait jour. Encore
faut-il être prêt à remuer les enfers en dévoilant les, perversions de
l'idéalisme patriarcal.
On ne gagne que des cadavres et dès tombes avec les guerres et, au bout du
compte, des batailles perdues. A quoi cela rime-t-il, à quelle sordide
exaltation létale? C'est la question que la découverte freudienne pose à
chacun de nous.
Pour éliminer ceux qu'elle combattait, la loi des peuples du désert,
comme celle d'Athènes, pratiquait le meurtre. Au vu de la malédiction
ancestrale qui criminalise l'humanité, •Freud observe que nous sommes
une bande d'assassins et que l'Histoire racontée à nos enfants est une
suite d'homicides (In Considérations actuelles sur la guerre et la mort,
1915.).
De ce côté-ci d'une frontière, l'on est celui qui tue, de l'autre,
l'adversaire à abattre, et inversement. le grand pervers qui ordonne la
guerre, c'est celui qui dresse les humains les uns contre les autres et
leur crie: bombardez-vous, souffrez, mourez. Funeste destin: les uns et les
autres, tous fils et filles d'une servitude volontaire, s'écharpent tels
des pantins envoûtés par un ordre hypnotique. .
Je ferai mienne une parole révolutionnaire de Freud ,qui désarme les
exploits de la Bête écarlate:<je suis un adversaire résolu du meurtre,
que ce soit sous la forme d'un crime individuel ou d'Etat.» Génial
déchiffreur d'énigmes, Freud abhorrait la conduite de tous les va-t'en
guerre.
Mario Cifali
Psychanalyste à Genève, directeur du Séminaire du Cercle Freudien"
___________
Et qui explique bien ce que j'ai en fond de moi sans toujours pouvoir
l'expliquer
Le 01/11/2014 à 19:22, Khat Tsang Huit Phe Zho a écrit :
https://fr.news.yahoo.com/abri-abattu-6-policiers-46-balles-085717774.html
Alors que le mauvais policier américain, il voit un truc qui bouge, il
tire :
http://www.youtube.com/watch?v=QuGcoOJKXT8&t=3m0s
Pour expliquer cela, un texte merveilleux que je copie-colle sans
scrupules:
"De Mario Cifali :
Que de guerres, que de jouissances morbides. Partout le même démon à
l'œuvre. A croire que la Bête écarlate décrite par saint Jean dans
l'apocalypse ne cesse de vociférer et de vomir du sang.
Enclins à défendre l'avoir plus que l'Etre, les hommes sont prêts à
n'importe quel massacre pour assurer leurs privilèges. Les privations et
les blessures sont les dommages qui déclenchent leurs belligérances; et
l'hostilité jalouse constitue la base de leurs conflits.
Comment les hommes deviennent-ils bourreaux et victimes d'une entreprise
guerrière? C'est la question arrimée aux cruautés et souffrances
mésestimées par la plupart des politiques. Infatués par la suffisance de
leur savoir, ils ignorent l'arme qui dégonde l'amour et le sens de la
réciprocité.
«On nous a dit faites l'amour, pas la guerre, mais pourquoi donc l'amour
nous fait-il la guerre?»
Oui, pourquoi à t'on besoin de guerroyer pour affirmer non l'amour mais la
puissance destructive? Comment cela a-t-il pris forme depuis le premier
âge, se demande le psychanalyste?
Cette interrogation réclame une réponse. Dès lors que la fouille
psychanalytique exhume les mobiles sacrificiels, elle fournit, c'est
certain, une interprétation de l'intime jouissance à l'origine des
monstruosités sadiques.
Malgré l'interdit mosaïque du meurtre, la guerre n'est pas taboue.
Plutôt un «art», voire une pulsion indéracinable disent certains. Même
la lettre de Freud à Einstein en réponse à Pourquoi la guerre laisse
perplexe. Freud invoque en effet une «dictature de la raison» pour
neutraliser la guerre. Est-ce suffisant? Que non 1 les passions non moins
que la raison froide, la
,foi fanatique, la science objective et les politiques barbares, poussent
au crime de guerre ..
On ne comprend rien à ce crime si l'on ne comprend pas qu'il est voulu par
des pères jaloux, cupides et barbares, et ce depuis les temps primitifs de
la horde patriarcale. Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la
guerre et envoient les fils au casse-pipe, à croire qu'ils aiment
massacrer et voir leur progéniture se faire massacrer.
Soyons lucides à l'extrême! L'intelligence perverse du meurtre n'est
simple affaire de politique policière. Elle résulte des conflits qui font
rage depuis les couches profondes de l'inconscient inhumain, et ce en
chaque individu. Il n'y a rien de plus assuré pour le psychanalyste
aguerri.
Deux textes notoires de l'humanité, l'Ancien Testament et le Mahabharatha,
fournissent la preuve de cet état de fait. En l'un e l'autre, l'on y voit
des hommes qui obéissent aux injonctions des démons ou à la volonté de
Dieu pour s'entre-tuer.
«Le plus grand des crimes, c'est la guerre», disait Voltaire. la guerre,
cette ruine commune, ce meurtre cher à tous les partisans du bain de sang
a pour épicentre la tragédie du monde subjectif à l'origine de toutes
les tragédies.
Si l'on est conscient que la guerre
Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la guerre et envoient
les fils au casse-pipe
est la folie de ceux qui manipulent les foules, mais encore des foules qui
marchent dans la combine, une juste compréhension se fait jour. Encore
faut-il être prêt à remuer les enfers en dévoilant les, perversions de
l'idéalisme patriarcal.
On ne gagne que des cadavres et dès tombes avec les guerres et, au bout du
compte, des batailles perdues. A quoi cela rime-t-il, à quelle sordide
exaltation létale? C'est la question que la découverte freudienne pose à
chacun de nous.
Pour éliminer ceux qu'elle combattait, la loi des peuples du désert,
comme celle d'Athènes, pratiquait le meurtre. Au vu de la malédiction
ancestrale qui criminalise l'humanité, •Freud observe que nous sommes
une bande d'assassins et que l'Histoire racontée à nos enfants est une
suite d'homicides (In Considérations actuelles sur la guerre et la mort,
1915.).
De ce côté-ci d'une frontière, l'on est celui qui tue, de l'autre,
l'adversaire à abattre, et inversement. le grand pervers qui ordonne la
guerre, c'est celui qui dresse les humains les uns contre les autres et
leur crie: bombardez-vous, souffrez, mourez. Funeste destin: les uns et les
autres, tous fils et filles d'une servitude volontaire, s'écharpent tels
des pantins envoûtés par un ordre hypnotique. .
Je ferai mienne une parole révolutionnaire de Freud ,qui désarme les
exploits de la Bête écarlate:<je suis un adversaire résolu du meurtre,
que ce soit sous la forme d'un crime individuel ou d'Etat.» Génial
déchiffreur d'énigmes, Freud abhorrait la conduite de tous les va-t'en
guerre.
Mario Cifali
Psychanalyste à Genève, directeur du Séminaire du Cercle Freudien"
___________
Et qui explique bien ce que j'ai en fond de moi sans toujours pouvoir
l'expliquer
Le 01/11/2014 à 19:22, Khat Tsang Huit Phe Zho a écrit :
https://fr.news.yahoo.com/abri-abattu-6-policiers-46-balles-085717774.html
Alors que le mauvais policier américain, il voit un truc qui bouge, il
tire :
http://www.youtube.com/watch?v=QuGcoOJKXT8&t=3m0s
Pour expliquer cela, un texte merveilleux que je copie-colle sans
scrupules:
"De Mario Cifali :
Que de guerres, que de jouissances morbides. Partout le même démon à
l'œuvre. A croire que la Bête écarlate décrite par saint Jean dans
l'apocalypse ne cesse de vociférer et de vomir du sang.
Enclins à défendre l'avoir plus que l'Etre, les hommes sont prêts à
n'importe quel massacre pour assurer leurs privilèges. Les privations et
les blessures sont les dommages qui déclenchent leurs belligérances; et
l'hostilité jalouse constitue la base de leurs conflits.
Comment les hommes deviennent-ils bourreaux et victimes d'une entreprise
guerrière? C'est la question arrimée aux cruautés et souffrances
mésestimées par la plupart des politiques. Infatués par la suffisance de
leur savoir, ils ignorent l'arme qui dégonde l'amour et le sens de la
réciprocité.
«On nous a dit faites l'amour, pas la guerre, mais pourquoi donc l'amour
nous fait-il la guerre?»
Oui, pourquoi à t'on besoin de guerroyer pour affirmer non l'amour mais la
puissance destructive? Comment cela a-t-il pris forme depuis le premier
âge, se demande le psychanalyste?
Cette interrogation réclame une réponse. Dès lors que la fouille
psychanalytique exhume les mobiles sacrificiels, elle fournit, c'est
certain, une interprétation de l'intime jouissance à l'origine des
monstruosités sadiques.
Malgré l'interdit mosaïque du meurtre, la guerre n'est pas taboue.
Plutôt un «art», voire une pulsion indéracinable disent certains. Même
la lettre de Freud à Einstein en réponse à Pourquoi la guerre laisse
perplexe. Freud invoque en effet une «dictature de la raison» pour
neutraliser la guerre. Est-ce suffisant? Que non 1 les passions non moins
que la raison froide, la
,foi fanatique, la science objective et les politiques barbares, poussent
au crime de guerre ..
On ne comprend rien à ce crime si l'on ne comprend pas qu'il est voulu par
des pères jaloux, cupides et barbares, et ce depuis les temps primitifs de
la horde patriarcale. Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la
guerre et envoient les fils au casse-pipe, à croire qu'ils aiment
massacrer et voir leur progéniture se faire massacrer.
Soyons lucides à l'extrême! L'intelligence perverse du meurtre n'est
simple affaire de politique policière. Elle résulte des conflits qui font
rage depuis les couches profondes de l'inconscient inhumain, et ce en
chaque individu. Il n'y a rien de plus assuré pour le psychanalyste
aguerri.
Deux textes notoires de l'humanité, l'Ancien Testament et le Mahabharatha,
fournissent la preuve de cet état de fait. En l'un e l'autre, l'on y voit
des hommes qui obéissent aux injonctions des démons ou à la volonté de
Dieu pour s'entre-tuer.
«Le plus grand des crimes, c'est la guerre», disait Voltaire. la guerre,
cette ruine commune, ce meurtre cher à tous les partisans du bain de sang
a pour épicentre la tragédie du monde subjectif à l'origine de toutes
les tragédies.
Si l'on est conscient que la guerre
Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la guerre et envoient
les fils au casse-pipe
est la folie de ceux qui manipulent les foules, mais encore des foules qui
marchent dans la combine, une juste compréhension se fait jour. Encore
faut-il être prêt à remuer les enfers en dévoilant les, perversions de
l'idéalisme patriarcal.
On ne gagne que des cadavres et dès tombes avec les guerres et, au bout du
compte, des batailles perdues. A quoi cela rime-t-il, à quelle sordide
exaltation létale? C'est la question que la découverte freudienne pose à
chacun de nous.
Pour éliminer ceux qu'elle combattait, la loi des peuples du désert,
comme celle d'Athènes, pratiquait le meurtre. Au vu de la malédiction
ancestrale qui criminalise l'humanité, •Freud observe que nous sommes
une bande d'assassins et que l'Histoire racontée à nos enfants est une
suite d'homicides (In Considérations actuelles sur la guerre et la mort,
1915.).
De ce côté-ci d'une frontière, l'on est celui qui tue, de l'autre,
l'adversaire à abattre, et inversement. le grand pervers qui ordonne la
guerre, c'est celui qui dresse les humains les uns contre les autres et
leur crie: bombardez-vous, souffrez, mourez. Funeste destin: les uns et les
autres, tous fils et filles d'une servitude volontaire, s'écharpent tels
des pantins envoûtés par un ordre hypnotique. .
Je ferai mienne une parole révolutionnaire de Freud ,qui désarme les
exploits de la Bête écarlate:<je suis un adversaire résolu du meurtre,
que ce soit sous la forme d'un crime individuel ou d'Etat.» Génial
déchiffreur d'énigmes, Freud abhorrait la conduite de tous les va-t'en
guerre.
Mario Cifali
Psychanalyste à Genève, directeur du Séminaire du Cercle Freudien"
___________
Et qui explique bien ce que j'ai en fond de moi sans toujours pouvoir
l'expliquer
La psychanalyse a perdu la partie. Ses concepts sont inopérants pour
analyser le réel.
La psychanalyse a perdu la partie. Ses concepts sont inopérants pour
analyser le réel.
La psychanalyse a perdu la partie. Ses concepts sont inopérants pour
analyser le réel.
Le 03/11/2014 16:10, tintin a écrit :Le 01/11/2014 à 19:22, Khat Tsang Huit Phe Zho a écrit :
https://fr.news.yahoo.com/abri-abattu-6-policiers-46-balles-085717774.html
Alors que le mauvais policier américain, il voit un truc qui bouge, il
tire :
http://www.youtube.com/watch?v=QuGcoOJKXT8&t=3m0s
Pour expliquer cela, un texte merveilleux que je copie-colle sans
scrupules:
"De Mario Cifali :
Que de guerres, que de jouissances morbides. Partout le même démon à
l'œuvre. A croire que la Bête écarlate décrite par saint Jean dans
l'apocalypse ne cesse de vociférer et de vomir du sang.
Enclins à défendre l'avoir plus que l'Etre, les hommes sont prêts à
n'importe quel massacre pour assurer leurs privilèges. Les privations et
les blessures sont les dommages qui déclenchent leurs belligérances; et
l'hostilité jalouse constitue la base de leurs conflits.
Comment les hommes deviennent-ils bourreaux et victimes d'une entreprise
guerrière? C'est la question arrimée aux cruautés et souffrances
mésestimées par la plupart des politiques. Infatués par la suffisance
de
leur savoir, ils ignorent l'arme qui dégonde l'amour et le sens de la
réciprocité.
«On nous a dit faites l'amour, pas la guerre, mais pourquoi donc l'amour
nous fait-il la guerre?»
Oui, pourquoi à t'on besoin de guerroyer pour affirmer non l'amour mais
la
puissance destructive? Comment cela a-t-il pris forme depuis le premier
âge, se demande le psychanalyste?
Cette interrogation réclame une réponse. Dès lors que la fouille
psychanalytique exhume les mobiles sacrificiels, elle fournit, c'est
certain, une interprétation de l'intime jouissance à l'origine des
monstruosités sadiques.
Malgré l'interdit mosaïque du meurtre, la guerre n'est pas taboue.
Plutôt un «art», voire une pulsion indéracinable disent certains.
Même
la lettre de Freud à Einstein en réponse à Pourquoi la guerre laisse
perplexe. Freud invoque en effet une «dictature de la raison» pour
neutraliser la guerre. Est-ce suffisant? Que non 1 les passions non moins
que la raison froide, la
,foi fanatique, la science objective et les politiques barbares, poussent
au crime de guerre ..
On ne comprend rien à ce crime si l'on ne comprend pas qu'il est voulu
par
des pères jaloux, cupides et barbares, et ce depuis les temps primitifs
de
la horde patriarcale. Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent
la
guerre et envoient les fils au casse-pipe, à croire qu'ils aiment
massacrer et voir leur progéniture se faire massacrer.
Soyons lucides à l'extrême! L'intelligence perverse du meurtre n'est
simple affaire de politique policière. Elle résulte des conflits qui
font
rage depuis les couches profondes de l'inconscient inhumain, et ce en
chaque individu. Il n'y a rien de plus assuré pour le psychanalyste
aguerri.
Deux textes notoires de l'humanité, l'Ancien Testament et le
Mahabharatha,
fournissent la preuve de cet état de fait. En l'un e l'autre, l'on y voit
des hommes qui obéissent aux injonctions des démons ou à la volonté de
Dieu pour s'entre-tuer.
«Le plus grand des crimes, c'est la guerre», disait Voltaire. la guerre,
cette ruine commune, ce meurtre cher à tous les partisans du bain de sang
a pour épicentre la tragédie du monde subjectif à l'origine de toutes
les tragédies.
Si l'on est conscient que la guerre
Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la guerre et envoient
les fils au casse-pipe
est la folie de ceux qui manipulent les foules, mais encore des foules qui
marchent dans la combine, une juste compréhension se fait jour. Encore
faut-il être prêt à remuer les enfers en dévoilant les, perversions de
l'idéalisme patriarcal.
On ne gagne que des cadavres et dès tombes avec les guerres et, au bout
du
compte, des batailles perdues. A quoi cela rime-t-il, à quelle sordide
exaltation létale? C'est la question que la découverte freudienne pose
à
chacun de nous.
Pour éliminer ceux qu'elle combattait, la loi des peuples du désert,
comme celle d'Athènes, pratiquait le meurtre. Au vu de la malédiction
ancestrale qui criminalise l'humanité, •Freud observe que nous sommes
une bande d'assassins et que l'Histoire racontée à nos enfants est une
suite d'homicides (In Considérations actuelles sur la guerre et la mort,
1915.).
De ce côté-ci d'une frontière, l'on est celui qui tue, de l'autre,
l'adversaire à abattre, et inversement. le grand pervers qui ordonne la
guerre, c'est celui qui dresse les humains les uns contre les autres et
leur crie: bombardez-vous, souffrez, mourez. Funeste destin: les uns et
les
autres, tous fils et filles d'une servitude volontaire, s'écharpent tels
des pantins envoûtés par un ordre hypnotique. .
Je ferai mienne une parole révolutionnaire de Freud ,qui désarme les
exploits de la Bête écarlate:<je suis un adversaire résolu du meurtre,
que ce soit sous la forme d'un crime individuel ou d'Etat.» Génial
déchiffreur d'énigmes, Freud abhorrait la conduite de tous les va-t'en
guerre.
Mario Cifali
Psychanalyste à Genève, directeur du Séminaire du Cercle Freudien"
___________
Et qui explique bien ce que j'ai en fond de moi sans toujours pouvoir
l'expliquer
La psychanalyse a perdu la partie.
Le 03/11/2014 16:10, tintin a écrit :
Le 01/11/2014 à 19:22, Khat Tsang Huit Phe Zho a écrit :
https://fr.news.yahoo.com/abri-abattu-6-policiers-46-balles-085717774.html
Alors que le mauvais policier américain, il voit un truc qui bouge, il
tire :
http://www.youtube.com/watch?v=QuGcoOJKXT8&t=3m0s
Pour expliquer cela, un texte merveilleux que je copie-colle sans
scrupules:
"De Mario Cifali :
Que de guerres, que de jouissances morbides. Partout le même démon à
l'œuvre. A croire que la Bête écarlate décrite par saint Jean dans
l'apocalypse ne cesse de vociférer et de vomir du sang.
Enclins à défendre l'avoir plus que l'Etre, les hommes sont prêts à
n'importe quel massacre pour assurer leurs privilèges. Les privations et
les blessures sont les dommages qui déclenchent leurs belligérances; et
l'hostilité jalouse constitue la base de leurs conflits.
Comment les hommes deviennent-ils bourreaux et victimes d'une entreprise
guerrière? C'est la question arrimée aux cruautés et souffrances
mésestimées par la plupart des politiques. Infatués par la suffisance
de
leur savoir, ils ignorent l'arme qui dégonde l'amour et le sens de la
réciprocité.
«On nous a dit faites l'amour, pas la guerre, mais pourquoi donc l'amour
nous fait-il la guerre?»
Oui, pourquoi à t'on besoin de guerroyer pour affirmer non l'amour mais
la
puissance destructive? Comment cela a-t-il pris forme depuis le premier
âge, se demande le psychanalyste?
Cette interrogation réclame une réponse. Dès lors que la fouille
psychanalytique exhume les mobiles sacrificiels, elle fournit, c'est
certain, une interprétation de l'intime jouissance à l'origine des
monstruosités sadiques.
Malgré l'interdit mosaïque du meurtre, la guerre n'est pas taboue.
Plutôt un «art», voire une pulsion indéracinable disent certains.
Même
la lettre de Freud à Einstein en réponse à Pourquoi la guerre laisse
perplexe. Freud invoque en effet une «dictature de la raison» pour
neutraliser la guerre. Est-ce suffisant? Que non 1 les passions non moins
que la raison froide, la
,foi fanatique, la science objective et les politiques barbares, poussent
au crime de guerre ..
On ne comprend rien à ce crime si l'on ne comprend pas qu'il est voulu
par
des pères jaloux, cupides et barbares, et ce depuis les temps primitifs
de
la horde patriarcale. Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent
la
guerre et envoient les fils au casse-pipe, à croire qu'ils aiment
massacrer et voir leur progéniture se faire massacrer.
Soyons lucides à l'extrême! L'intelligence perverse du meurtre n'est
simple affaire de politique policière. Elle résulte des conflits qui
font
rage depuis les couches profondes de l'inconscient inhumain, et ce en
chaque individu. Il n'y a rien de plus assuré pour le psychanalyste
aguerri.
Deux textes notoires de l'humanité, l'Ancien Testament et le
Mahabharatha,
fournissent la preuve de cet état de fait. En l'un e l'autre, l'on y voit
des hommes qui obéissent aux injonctions des démons ou à la volonté de
Dieu pour s'entre-tuer.
«Le plus grand des crimes, c'est la guerre», disait Voltaire. la guerre,
cette ruine commune, ce meurtre cher à tous les partisans du bain de sang
a pour épicentre la tragédie du monde subjectif à l'origine de toutes
les tragédies.
Si l'on est conscient que la guerre
Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la guerre et envoient
les fils au casse-pipe
est la folie de ceux qui manipulent les foules, mais encore des foules qui
marchent dans la combine, une juste compréhension se fait jour. Encore
faut-il être prêt à remuer les enfers en dévoilant les, perversions de
l'idéalisme patriarcal.
On ne gagne que des cadavres et dès tombes avec les guerres et, au bout
du
compte, des batailles perdues. A quoi cela rime-t-il, à quelle sordide
exaltation létale? C'est la question que la découverte freudienne pose
à
chacun de nous.
Pour éliminer ceux qu'elle combattait, la loi des peuples du désert,
comme celle d'Athènes, pratiquait le meurtre. Au vu de la malédiction
ancestrale qui criminalise l'humanité, •Freud observe que nous sommes
une bande d'assassins et que l'Histoire racontée à nos enfants est une
suite d'homicides (In Considérations actuelles sur la guerre et la mort,
1915.).
De ce côté-ci d'une frontière, l'on est celui qui tue, de l'autre,
l'adversaire à abattre, et inversement. le grand pervers qui ordonne la
guerre, c'est celui qui dresse les humains les uns contre les autres et
leur crie: bombardez-vous, souffrez, mourez. Funeste destin: les uns et
les
autres, tous fils et filles d'une servitude volontaire, s'écharpent tels
des pantins envoûtés par un ordre hypnotique. .
Je ferai mienne une parole révolutionnaire de Freud ,qui désarme les
exploits de la Bête écarlate:<je suis un adversaire résolu du meurtre,
que ce soit sous la forme d'un crime individuel ou d'Etat.» Génial
déchiffreur d'énigmes, Freud abhorrait la conduite de tous les va-t'en
guerre.
Mario Cifali
Psychanalyste à Genève, directeur du Séminaire du Cercle Freudien"
___________
Et qui explique bien ce que j'ai en fond de moi sans toujours pouvoir
l'expliquer
La psychanalyse a perdu la partie.
Le 03/11/2014 16:10, tintin a écrit :Le 01/11/2014 à 19:22, Khat Tsang Huit Phe Zho a écrit :
https://fr.news.yahoo.com/abri-abattu-6-policiers-46-balles-085717774.html
Alors que le mauvais policier américain, il voit un truc qui bouge, il
tire :
http://www.youtube.com/watch?v=QuGcoOJKXT8&t=3m0s
Pour expliquer cela, un texte merveilleux que je copie-colle sans
scrupules:
"De Mario Cifali :
Que de guerres, que de jouissances morbides. Partout le même démon à
l'œuvre. A croire que la Bête écarlate décrite par saint Jean dans
l'apocalypse ne cesse de vociférer et de vomir du sang.
Enclins à défendre l'avoir plus que l'Etre, les hommes sont prêts à
n'importe quel massacre pour assurer leurs privilèges. Les privations et
les blessures sont les dommages qui déclenchent leurs belligérances; et
l'hostilité jalouse constitue la base de leurs conflits.
Comment les hommes deviennent-ils bourreaux et victimes d'une entreprise
guerrière? C'est la question arrimée aux cruautés et souffrances
mésestimées par la plupart des politiques. Infatués par la suffisance
de
leur savoir, ils ignorent l'arme qui dégonde l'amour et le sens de la
réciprocité.
«On nous a dit faites l'amour, pas la guerre, mais pourquoi donc l'amour
nous fait-il la guerre?»
Oui, pourquoi à t'on besoin de guerroyer pour affirmer non l'amour mais
la
puissance destructive? Comment cela a-t-il pris forme depuis le premier
âge, se demande le psychanalyste?
Cette interrogation réclame une réponse. Dès lors que la fouille
psychanalytique exhume les mobiles sacrificiels, elle fournit, c'est
certain, une interprétation de l'intime jouissance à l'origine des
monstruosités sadiques.
Malgré l'interdit mosaïque du meurtre, la guerre n'est pas taboue.
Plutôt un «art», voire une pulsion indéracinable disent certains.
Même
la lettre de Freud à Einstein en réponse à Pourquoi la guerre laisse
perplexe. Freud invoque en effet une «dictature de la raison» pour
neutraliser la guerre. Est-ce suffisant? Que non 1 les passions non moins
que la raison froide, la
,foi fanatique, la science objective et les politiques barbares, poussent
au crime de guerre ..
On ne comprend rien à ce crime si l'on ne comprend pas qu'il est voulu
par
des pères jaloux, cupides et barbares, et ce depuis les temps primitifs
de
la horde patriarcale. Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent
la
guerre et envoient les fils au casse-pipe, à croire qu'ils aiment
massacrer et voir leur progéniture se faire massacrer.
Soyons lucides à l'extrême! L'intelligence perverse du meurtre n'est
simple affaire de politique policière. Elle résulte des conflits qui
font
rage depuis les couches profondes de l'inconscient inhumain, et ce en
chaque individu. Il n'y a rien de plus assuré pour le psychanalyste
aguerri.
Deux textes notoires de l'humanité, l'Ancien Testament et le
Mahabharatha,
fournissent la preuve de cet état de fait. En l'un e l'autre, l'on y voit
des hommes qui obéissent aux injonctions des démons ou à la volonté de
Dieu pour s'entre-tuer.
«Le plus grand des crimes, c'est la guerre», disait Voltaire. la guerre,
cette ruine commune, ce meurtre cher à tous les partisans du bain de sang
a pour épicentre la tragédie du monde subjectif à l'origine de toutes
les tragédies.
Si l'on est conscient que la guerre
Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la guerre et envoient
les fils au casse-pipe
est la folie de ceux qui manipulent les foules, mais encore des foules qui
marchent dans la combine, une juste compréhension se fait jour. Encore
faut-il être prêt à remuer les enfers en dévoilant les, perversions de
l'idéalisme patriarcal.
On ne gagne que des cadavres et dès tombes avec les guerres et, au bout
du
compte, des batailles perdues. A quoi cela rime-t-il, à quelle sordide
exaltation létale? C'est la question que la découverte freudienne pose
à
chacun de nous.
Pour éliminer ceux qu'elle combattait, la loi des peuples du désert,
comme celle d'Athènes, pratiquait le meurtre. Au vu de la malédiction
ancestrale qui criminalise l'humanité, •Freud observe que nous sommes
une bande d'assassins et que l'Histoire racontée à nos enfants est une
suite d'homicides (In Considérations actuelles sur la guerre et la mort,
1915.).
De ce côté-ci d'une frontière, l'on est celui qui tue, de l'autre,
l'adversaire à abattre, et inversement. le grand pervers qui ordonne la
guerre, c'est celui qui dresse les humains les uns contre les autres et
leur crie: bombardez-vous, souffrez, mourez. Funeste destin: les uns et
les
autres, tous fils et filles d'une servitude volontaire, s'écharpent tels
des pantins envoûtés par un ordre hypnotique. .
Je ferai mienne une parole révolutionnaire de Freud ,qui désarme les
exploits de la Bête écarlate:<je suis un adversaire résolu du meurtre,
que ce soit sous la forme d'un crime individuel ou d'Etat.» Génial
déchiffreur d'énigmes, Freud abhorrait la conduite de tous les va-t'en
guerre.
Mario Cifali
Psychanalyste à Genève, directeur du Séminaire du Cercle Freudien"
___________
Et qui explique bien ce que j'ai en fond de moi sans toujours pouvoir
l'expliquer
La psychanalyse a perdu la partie.
Le 04/11/2014 à 08:30, Cardinal de Hère a écrit :Le 03/11/2014 16:10, tintin a écrit :Le 01/11/2014 à 19:22, Khat Tsang Huit Phe Zho a écrit :
https://fr.news.yahoo.com/abri-abattu-6-policiers-46-balles-085717774.html
tire : http://www.youtube.com/watch?v=QuGcoOJKXT8&t=3m0s
Pour expliquer cela, un texte merveilleux que je copie-colle
sans scrupules:
"De Mario Cifali :
Que de guerres, que de jouissances morbides. Partout le même
démon à l'œuvre. A croire que la Bête écarlate décrite par saint
Jean dans l'apocalypse ne cesse de vociférer et de vomir du
sang. Enclins à défendre l'avoir plus que l'Etre, les hommes sont
prêts à n'importe quel massacre pour assurer leurs privilèges.
Les privations et les blessures sont les dommages qui déclenchent
leurs belligérances; et l'hostilité jalouse constitue la base de
leurs conflits. Comment les hommes deviennent-ils bourreaux et
victimes d'une entreprise guerrière? C'est la question arrimée
aux cruautés et souffrances mésestimées par la plupart des
politiques. Infatués par la suffisance de leur savoir, ils
ignorent l'arme qui dégonde l'amour et le sens de la
réciprocité.
«On nous a dit faites l'amour, pas la guerre, mais pourquoi donc
l'amour nous fait-il la guerre?» Oui, pourquoi à t'on besoin de
guerroyer pour affirmer non l'amour mais la puissance
destructive? Comment cela a-t-il pris forme depuis le premier
âge, se demande le psychanalyste?
Cette interrogation réclame une réponse. Dès lors que la fouille
psychanalytique exhume les mobiles sacrificiels, elle fournit,
c'est certain, une interprétation de l'intime jouissance à
l'origine des monstruosités sadiques. Malgré l'interdit mosaïque
du meurtre, la guerre n'est pas taboue. Plutôt un «art», voire
une pulsion indéracinable disent certains. Même la lettre de
Freud à Einstein en réponse à Pourquoi la guerre laisse perplexe.
Freud invoque en effet une «dictature de la raison» pour
neutraliser la guerre. Est-ce suffisant? Que non 1 les passions
non moins que la raison froide, la ,foi fanatique, la science
objective et les politiques barbares, poussent au crime de guerre
.. On ne comprend rien à ce crime si l'on ne comprend pas qu'il
est voulu par des pères jaloux, cupides et barbares, et ce depuis
les temps primitifs de la horde patriarcale. Toujours et encore,
ce sont ces pères qui veulent la guerre et envoient les fils au
casse-pipe, à croire qu'ils aiment massacrer et voir leur
progéniture se faire massacrer. Soyons lucides à l'extrême!
L'intelligence perverse du meurtre n'est simple affaire de
politique policière. Elle résulte des conflits qui font rage
depuis les couches profondes de l'inconscient inhumain, et ce en
chaque individu. Il n'y a rien de plus assuré pour le
psychanalyste aguerri. Deux textes notoires de l'humanité,
l'Ancien Testament et le Mahabharatha, fournissent la preuve de
cet état de fait. En l'un e l'autre, l'on y voit des hommes qui
obéissent aux injonctions des démons ou à la volonté de Dieu pour
s'entre-tuer.
«Le plus grand des crimes, c'est la guerre», disait Voltaire. la
guerre, cette ruine commune, ce meurtre cher à tous les
partisans du bain de sang a pour épicentre la tragédie du monde
subjectif à l'origine de toutes les tragédies. Si l'on est
conscient que la guerre
Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la guerre et
envoient les fils au casse-pipe
est la folie de ceux qui manipulent les foules, mais encore des
foules qui marchent dans la combine, une juste compréhension se
fait jour. Encore faut-il être prêt à remuer les enfers en
dévoilant les, perversions de l'idéalisme patriarcal. On ne gagne
que des cadavres et dès tombes avec les guerres et, au bout du
compte, des batailles perdues. A quoi cela rime-t-il, à quelle
sordide exaltation létale? C'est la question que la découverte
freudienne pose à chacun de nous. Pour éliminer ceux qu'elle
combattait, la loi des peuples du désert, comme celle d'Athènes,
pratiquait le meurtre. Au vu de la malédiction ancestrale qui
criminalise l'humanité, •Freud observe que nous sommes une bande
d'assassins et que l'Histoire racontée à nos enfants est une
suite d'homicides (In Considérations actuelles sur la guerre et
la mort, 1915.). De ce côté-ci d'une frontière, l'on est celui
qui tue, de l'autre, l'adversaire à abattre, et inversement. le
grand pervers qui ordonne la guerre, c'est celui qui dresse les
humains les uns contre les autres et leur crie: bombardez-vous,
souffrez, mourez. Funeste destin: les uns et les autres, tous
fils et filles d'une servitude volontaire, s'écharpent tels des
pantins envoûtés par un ordre hypnotique. . Je ferai mienne une
parole révolutionnaire de Freud ,qui désarme les exploits de la
Bête écarlate:<je suis un adversaire résolu du meurtre, que ce
soit sous la forme d'un crime individuel ou d'Etat.» Génial
déchiffreur d'énigmes, Freud abhorrait la conduite de tous les
va-t'en guerre.
Mario Cifali Psychanalyste à Genève, directeur du Séminaire du
Cercle Freudien" ___________ Et qui explique bien ce que j'ai en
fond de moi sans toujours pouvoir l'expliquer
La psychanalyse a perdu la partie.
La psychanalyse, ça fout surtout la trouille aux gens qui
s'accrochent à des croyances venant de derrière le cul des chameaux
et qui n'osent pas se poser les vraies questions.
Faudrait d'ailleurs pas qu'ils se les posent d'après les canons et
les différends précepteurs des religions. Etre heureux comme un
simple d'esprit, vrai que c'est mieux pour se faire emmener à
l'abattoir. L'instruction est une chose (voir bourrage de crânes),
l'intelligence (voir lucidité et ouverture d'esprit) en sont une
autre.
Le 04/11/2014 à 08:30, Cardinal de Hère a écrit :
Le 03/11/2014 16:10, tintin a écrit :
Le 01/11/2014 à 19:22, Khat Tsang Huit Phe Zho a écrit :
https://fr.news.yahoo.com/abri-abattu-6-policiers-46-balles-085717774.html
tire : http://www.youtube.com/watch?v=QuGcoOJKXT8&t=3m0s
Pour expliquer cela, un texte merveilleux que je copie-colle
sans scrupules:
"De Mario Cifali :
Que de guerres, que de jouissances morbides. Partout le même
démon à l'œuvre. A croire que la Bête écarlate décrite par saint
Jean dans l'apocalypse ne cesse de vociférer et de vomir du
sang. Enclins à défendre l'avoir plus que l'Etre, les hommes sont
prêts à n'importe quel massacre pour assurer leurs privilèges.
Les privations et les blessures sont les dommages qui déclenchent
leurs belligérances; et l'hostilité jalouse constitue la base de
leurs conflits. Comment les hommes deviennent-ils bourreaux et
victimes d'une entreprise guerrière? C'est la question arrimée
aux cruautés et souffrances mésestimées par la plupart des
politiques. Infatués par la suffisance de leur savoir, ils
ignorent l'arme qui dégonde l'amour et le sens de la
réciprocité.
«On nous a dit faites l'amour, pas la guerre, mais pourquoi donc
l'amour nous fait-il la guerre?» Oui, pourquoi à t'on besoin de
guerroyer pour affirmer non l'amour mais la puissance
destructive? Comment cela a-t-il pris forme depuis le premier
âge, se demande le psychanalyste?
Cette interrogation réclame une réponse. Dès lors que la fouille
psychanalytique exhume les mobiles sacrificiels, elle fournit,
c'est certain, une interprétation de l'intime jouissance à
l'origine des monstruosités sadiques. Malgré l'interdit mosaïque
du meurtre, la guerre n'est pas taboue. Plutôt un «art», voire
une pulsion indéracinable disent certains. Même la lettre de
Freud à Einstein en réponse à Pourquoi la guerre laisse perplexe.
Freud invoque en effet une «dictature de la raison» pour
neutraliser la guerre. Est-ce suffisant? Que non 1 les passions
non moins que la raison froide, la ,foi fanatique, la science
objective et les politiques barbares, poussent au crime de guerre
.. On ne comprend rien à ce crime si l'on ne comprend pas qu'il
est voulu par des pères jaloux, cupides et barbares, et ce depuis
les temps primitifs de la horde patriarcale. Toujours et encore,
ce sont ces pères qui veulent la guerre et envoient les fils au
casse-pipe, à croire qu'ils aiment massacrer et voir leur
progéniture se faire massacrer. Soyons lucides à l'extrême!
L'intelligence perverse du meurtre n'est simple affaire de
politique policière. Elle résulte des conflits qui font rage
depuis les couches profondes de l'inconscient inhumain, et ce en
chaque individu. Il n'y a rien de plus assuré pour le
psychanalyste aguerri. Deux textes notoires de l'humanité,
l'Ancien Testament et le Mahabharatha, fournissent la preuve de
cet état de fait. En l'un e l'autre, l'on y voit des hommes qui
obéissent aux injonctions des démons ou à la volonté de Dieu pour
s'entre-tuer.
«Le plus grand des crimes, c'est la guerre», disait Voltaire. la
guerre, cette ruine commune, ce meurtre cher à tous les
partisans du bain de sang a pour épicentre la tragédie du monde
subjectif à l'origine de toutes les tragédies. Si l'on est
conscient que la guerre
Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la guerre et
envoient les fils au casse-pipe
est la folie de ceux qui manipulent les foules, mais encore des
foules qui marchent dans la combine, une juste compréhension se
fait jour. Encore faut-il être prêt à remuer les enfers en
dévoilant les, perversions de l'idéalisme patriarcal. On ne gagne
que des cadavres et dès tombes avec les guerres et, au bout du
compte, des batailles perdues. A quoi cela rime-t-il, à quelle
sordide exaltation létale? C'est la question que la découverte
freudienne pose à chacun de nous. Pour éliminer ceux qu'elle
combattait, la loi des peuples du désert, comme celle d'Athènes,
pratiquait le meurtre. Au vu de la malédiction ancestrale qui
criminalise l'humanité, •Freud observe que nous sommes une bande
d'assassins et que l'Histoire racontée à nos enfants est une
suite d'homicides (In Considérations actuelles sur la guerre et
la mort, 1915.). De ce côté-ci d'une frontière, l'on est celui
qui tue, de l'autre, l'adversaire à abattre, et inversement. le
grand pervers qui ordonne la guerre, c'est celui qui dresse les
humains les uns contre les autres et leur crie: bombardez-vous,
souffrez, mourez. Funeste destin: les uns et les autres, tous
fils et filles d'une servitude volontaire, s'écharpent tels des
pantins envoûtés par un ordre hypnotique. . Je ferai mienne une
parole révolutionnaire de Freud ,qui désarme les exploits de la
Bête écarlate:<je suis un adversaire résolu du meurtre, que ce
soit sous la forme d'un crime individuel ou d'Etat.» Génial
déchiffreur d'énigmes, Freud abhorrait la conduite de tous les
va-t'en guerre.
Mario Cifali Psychanalyste à Genève, directeur du Séminaire du
Cercle Freudien" ___________ Et qui explique bien ce que j'ai en
fond de moi sans toujours pouvoir l'expliquer
La psychanalyse a perdu la partie.
La psychanalyse, ça fout surtout la trouille aux gens qui
s'accrochent à des croyances venant de derrière le cul des chameaux
et qui n'osent pas se poser les vraies questions.
Faudrait d'ailleurs pas qu'ils se les posent d'après les canons et
les différends précepteurs des religions. Etre heureux comme un
simple d'esprit, vrai que c'est mieux pour se faire emmener à
l'abattoir. L'instruction est une chose (voir bourrage de crânes),
l'intelligence (voir lucidité et ouverture d'esprit) en sont une
autre.
Le 04/11/2014 à 08:30, Cardinal de Hère a écrit :Le 03/11/2014 16:10, tintin a écrit :Le 01/11/2014 à 19:22, Khat Tsang Huit Phe Zho a écrit :
https://fr.news.yahoo.com/abri-abattu-6-policiers-46-balles-085717774.html
tire : http://www.youtube.com/watch?v=QuGcoOJKXT8&t=3m0s
Pour expliquer cela, un texte merveilleux que je copie-colle
sans scrupules:
"De Mario Cifali :
Que de guerres, que de jouissances morbides. Partout le même
démon à l'œuvre. A croire que la Bête écarlate décrite par saint
Jean dans l'apocalypse ne cesse de vociférer et de vomir du
sang. Enclins à défendre l'avoir plus que l'Etre, les hommes sont
prêts à n'importe quel massacre pour assurer leurs privilèges.
Les privations et les blessures sont les dommages qui déclenchent
leurs belligérances; et l'hostilité jalouse constitue la base de
leurs conflits. Comment les hommes deviennent-ils bourreaux et
victimes d'une entreprise guerrière? C'est la question arrimée
aux cruautés et souffrances mésestimées par la plupart des
politiques. Infatués par la suffisance de leur savoir, ils
ignorent l'arme qui dégonde l'amour et le sens de la
réciprocité.
«On nous a dit faites l'amour, pas la guerre, mais pourquoi donc
l'amour nous fait-il la guerre?» Oui, pourquoi à t'on besoin de
guerroyer pour affirmer non l'amour mais la puissance
destructive? Comment cela a-t-il pris forme depuis le premier
âge, se demande le psychanalyste?
Cette interrogation réclame une réponse. Dès lors que la fouille
psychanalytique exhume les mobiles sacrificiels, elle fournit,
c'est certain, une interprétation de l'intime jouissance à
l'origine des monstruosités sadiques. Malgré l'interdit mosaïque
du meurtre, la guerre n'est pas taboue. Plutôt un «art», voire
une pulsion indéracinable disent certains. Même la lettre de
Freud à Einstein en réponse à Pourquoi la guerre laisse perplexe.
Freud invoque en effet une «dictature de la raison» pour
neutraliser la guerre. Est-ce suffisant? Que non 1 les passions
non moins que la raison froide, la ,foi fanatique, la science
objective et les politiques barbares, poussent au crime de guerre
.. On ne comprend rien à ce crime si l'on ne comprend pas qu'il
est voulu par des pères jaloux, cupides et barbares, et ce depuis
les temps primitifs de la horde patriarcale. Toujours et encore,
ce sont ces pères qui veulent la guerre et envoient les fils au
casse-pipe, à croire qu'ils aiment massacrer et voir leur
progéniture se faire massacrer. Soyons lucides à l'extrême!
L'intelligence perverse du meurtre n'est simple affaire de
politique policière. Elle résulte des conflits qui font rage
depuis les couches profondes de l'inconscient inhumain, et ce en
chaque individu. Il n'y a rien de plus assuré pour le
psychanalyste aguerri. Deux textes notoires de l'humanité,
l'Ancien Testament et le Mahabharatha, fournissent la preuve de
cet état de fait. En l'un e l'autre, l'on y voit des hommes qui
obéissent aux injonctions des démons ou à la volonté de Dieu pour
s'entre-tuer.
«Le plus grand des crimes, c'est la guerre», disait Voltaire. la
guerre, cette ruine commune, ce meurtre cher à tous les
partisans du bain de sang a pour épicentre la tragédie du monde
subjectif à l'origine de toutes les tragédies. Si l'on est
conscient que la guerre
Toujours et encore, ce sont ces pères qui veulent la guerre et
envoient les fils au casse-pipe
est la folie de ceux qui manipulent les foules, mais encore des
foules qui marchent dans la combine, une juste compréhension se
fait jour. Encore faut-il être prêt à remuer les enfers en
dévoilant les, perversions de l'idéalisme patriarcal. On ne gagne
que des cadavres et dès tombes avec les guerres et, au bout du
compte, des batailles perdues. A quoi cela rime-t-il, à quelle
sordide exaltation létale? C'est la question que la découverte
freudienne pose à chacun de nous. Pour éliminer ceux qu'elle
combattait, la loi des peuples du désert, comme celle d'Athènes,
pratiquait le meurtre. Au vu de la malédiction ancestrale qui
criminalise l'humanité, •Freud observe que nous sommes une bande
d'assassins et que l'Histoire racontée à nos enfants est une
suite d'homicides (In Considérations actuelles sur la guerre et
la mort, 1915.). De ce côté-ci d'une frontière, l'on est celui
qui tue, de l'autre, l'adversaire à abattre, et inversement. le
grand pervers qui ordonne la guerre, c'est celui qui dresse les
humains les uns contre les autres et leur crie: bombardez-vous,
souffrez, mourez. Funeste destin: les uns et les autres, tous
fils et filles d'une servitude volontaire, s'écharpent tels des
pantins envoûtés par un ordre hypnotique. . Je ferai mienne une
parole révolutionnaire de Freud ,qui désarme les exploits de la
Bête écarlate:<je suis un adversaire résolu du meurtre, que ce
soit sous la forme d'un crime individuel ou d'Etat.» Génial
déchiffreur d'énigmes, Freud abhorrait la conduite de tous les
va-t'en guerre.
Mario Cifali Psychanalyste à Genève, directeur du Séminaire du
Cercle Freudien" ___________ Et qui explique bien ce que j'ai en
fond de moi sans toujours pouvoir l'expliquer
La psychanalyse a perdu la partie.
La psychanalyse, ça fout surtout la trouille aux gens qui
s'accrochent à des croyances venant de derrière le cul des chameaux
et qui n'osent pas se poser les vraies questions.
Faudrait d'ailleurs pas qu'ils se les posent d'après les canons et
les différends précepteurs des religions. Etre heureux comme un
simple d'esprit, vrai que c'est mieux pour se faire emmener à
l'abattoir. L'instruction est une chose (voir bourrage de crânes),
l'intelligence (voir lucidité et ouverture d'esprit) en sont une
autre.
Le problème de la psychanalyse c'est qu'elle ne s'applique que dans le
modèle de la société bourgeoise occidentale et force le sens
interprétatif de toute énonciation de l'inconscient dans le sens de ce
modèle (celui de la famille nucléaire). A terme c'est ce qui la rend
incapable de décrire, tout comme le marxisme, les phénomènes délirants
conduisant au *choix* du fascisme à l'encontre de tout intérêt objectif
comme de toute structure bourgeoise.
Marx comme Freud ne permettent pas d'expliquer le pourquoi de l'accès de
Mussolini au pouvoir par le suffrage universel. L’œdipe de papa-maman,
ça ne marche tout simplement pas pour expliquer le schéma de ce délire
collectif furieux à l'échelle du monde.
Faudrait d'ailleurs pas qu'ils se les posent d'après les canons et
les différends précepteurs des religions. Etre heureux comme un
simple d'esprit, vrai que c'est mieux pour se faire emmener à
l'abattoir. L'instruction est une chose (voir bourrage de crânes),
l'intelligence (voir lucidité et ouverture d'esprit) en sont une
autre.
La psychanalyse a fabriqué tout le lexique symbolique de la société de
consommation, en matière de moutonnage, ça se pose aussi là.
Le problème de la psychanalyse c'est qu'elle ne s'applique que dans le
modèle de la société bourgeoise occidentale et force le sens
interprétatif de toute énonciation de l'inconscient dans le sens de ce
modèle (celui de la famille nucléaire). A terme c'est ce qui la rend
incapable de décrire, tout comme le marxisme, les phénomènes délirants
conduisant au *choix* du fascisme à l'encontre de tout intérêt objectif
comme de toute structure bourgeoise.
Marx comme Freud ne permettent pas d'expliquer le pourquoi de l'accès de
Mussolini au pouvoir par le suffrage universel. L’œdipe de papa-maman,
ça ne marche tout simplement pas pour expliquer le schéma de ce délire
collectif furieux à l'échelle du monde.
Faudrait d'ailleurs pas qu'ils se les posent d'après les canons et
les différends précepteurs des religions. Etre heureux comme un
simple d'esprit, vrai que c'est mieux pour se faire emmener à
l'abattoir. L'instruction est une chose (voir bourrage de crânes),
l'intelligence (voir lucidité et ouverture d'esprit) en sont une
autre.
La psychanalyse a fabriqué tout le lexique symbolique de la société de
consommation, en matière de moutonnage, ça se pose aussi là.
Le problème de la psychanalyse c'est qu'elle ne s'applique que dans le
modèle de la société bourgeoise occidentale et force le sens
interprétatif de toute énonciation de l'inconscient dans le sens de ce
modèle (celui de la famille nucléaire). A terme c'est ce qui la rend
incapable de décrire, tout comme le marxisme, les phénomènes délirants
conduisant au *choix* du fascisme à l'encontre de tout intérêt objectif
comme de toute structure bourgeoise.
Marx comme Freud ne permettent pas d'expliquer le pourquoi de l'accès de
Mussolini au pouvoir par le suffrage universel. L’œdipe de papa-maman,
ça ne marche tout simplement pas pour expliquer le schéma de ce délire
collectif furieux à l'échelle du monde.
Faudrait d'ailleurs pas qu'ils se les posent d'après les canons et
les différends précepteurs des religions. Etre heureux comme un
simple d'esprit, vrai que c'est mieux pour se faire emmener à
l'abattoir. L'instruction est une chose (voir bourrage de crânes),
l'intelligence (voir lucidité et ouverture d'esprit) en sont une
autre.
La psychanalyse a fabriqué tout le lexique symbolique de la société de
consommation, en matière de moutonnage, ça se pose aussi là.
Le problème de la psychanalyse c'est qu'elle ne s'applique que dans le
modèle de la société bourgeoise occidentale et force le sens
interprétatif de toute énonciation de l'inconscient dans le sens de ce
modèle (celui de la famille nucléaire). A terme c'est ce qui la rend
incapable de décrire, tout comme le marxisme, les phénomènes délirants
conduisant au *choix* du fascisme à l'encontre de tout intérêt objectif
comme de toute structure bourgeoise.
Marx comme Freud ne permettent pas d'expliquer le pourquoi de l'accès de
Mussolini au pouvoir par le suffrage universel. L’œdipe de papa-maman,
ça ne marche tout simplement pas pour expliquer le schéma de ce délire
collectif furieux à l'échelle du monde.
Faudrait d'ailleurs pas qu'ils se les posent d'après les canons et
les différends précepteurs des religions. Etre heureux comme un
simple d'esprit, vrai que c'est mieux pour se faire emmener à
l'abattoir. L'instruction est une chose (voir bourrage de crânes),
l'intelligence (voir lucidité et ouverture d'esprit) en sont une
autre.
La psychanalyse a fabriqué tout le lexique symbolique de la société de
consommation, en matière de moutonnage, ça se pose aussi là.
Le problème de la psychanalyse c'est qu'elle ne s'applique que dans le
modèle de la société bourgeoise occidentale et force le sens
interprétatif de toute énonciation de l'inconscient dans le sens de ce
modèle (celui de la famille nucléaire). A terme c'est ce qui la rend
incapable de décrire, tout comme le marxisme, les phénomènes délirants
conduisant au *choix* du fascisme à l'encontre de tout intérêt objectif
comme de toute structure bourgeoise.
Marx comme Freud ne permettent pas d'expliquer le pourquoi de l'accès de
Mussolini au pouvoir par le suffrage universel. L’œdipe de papa-maman,
ça ne marche tout simplement pas pour expliquer le schéma de ce délire
collectif furieux à l'échelle du monde.
Faudrait d'ailleurs pas qu'ils se les posent d'après les canons et
les différends précepteurs des religions. Etre heureux comme un
simple d'esprit, vrai que c'est mieux pour se faire emmener à
l'abattoir. L'instruction est une chose (voir bourrage de crânes),
l'intelligence (voir lucidité et ouverture d'esprit) en sont une
autre.
La psychanalyse a fabriqué tout le lexique symbolique de la société de
consommation, en matière de moutonnage, ça se pose aussi là.
Le problème de la psychanalyse c'est qu'elle ne s'applique que dans le
modèle de la société bourgeoise occidentale et force le sens
interprétatif de toute énonciation de l'inconscient dans le sens de ce
modèle (celui de la famille nucléaire). A terme c'est ce qui la rend
incapable de décrire, tout comme le marxisme, les phénomènes délirants
conduisant au *choix* du fascisme à l'encontre de tout intérêt objectif
comme de toute structure bourgeoise.
Marx comme Freud ne permettent pas d'expliquer le pourquoi de l'accès de
Mussolini au pouvoir par le suffrage universel. L’œdipe de papa-maman,
ça ne marche tout simplement pas pour expliquer le schéma de ce délire
collectif furieux à l'échelle du monde.
Faudrait d'ailleurs pas qu'ils se les posent d'après les canons et
les différends précepteurs des religions. Etre heureux comme un
simple d'esprit, vrai que c'est mieux pour se faire emmener à
l'abattoir. L'instruction est une chose (voir bourrage de crânes),
l'intelligence (voir lucidité et ouverture d'esprit) en sont une
autre.
La psychanalyse a fabriqué tout le lexique symbolique de la société de
consommation, en matière de moutonnage, ça se pose aussi là.
Le 04/11/2014 à 15:53, RVG a écrit :Le problème de la psychanalyse c'est qu'elle ne s'applique que dans
le modèle de la société bourgeoise occidentale et force le sens
interprétatif de toute énonciation de l'inconscient dans le sens de
ce modèle (celui de la famille nucléaire). A terme c'est ce qui la
rend incapable de décrire, tout comme le marxisme, les phénomènes
délirants conduisant au *choix* du fascisme à l'encontre de tout
intérêt objectif comme de toute structure bourgeoise. Marx comme
Freud ne permettent pas d'expliquer le pourquoi de l'accès de
Mussolini au pouvoir par le suffrage universel. L’œdipe de
papa-maman, ça ne marche tout simplement pas pour expliquer le
schéma de ce délire collectif furieux à l'échelle du monde.
Trop compliqué pour être honnête. a part ça je n'ai rien lu de Marx.
Le peu m'ayant gonflé au max. Donc je ne sais pas et m'en tape.
Quand à mussolini et hitler, simplement ils ont été mis au pouvoir
par le moutonage (que vous expliquez plus bas) dû au caractère tribal
et cavernicole qui reste dans l'inconscient face à une peur de
l'inconnu. L'inconnu étant toujours l'après de la mort. Et la mort
étant l'outil préféré des "chefaillons" en peine de pouvoir et de
leurs religieux de service.Faudrait d'ailleurs pas qu'ils se les posent d'après les canons
et les différends précepteurs des religions. Etre heureux comme
un simple d'esprit, vrai que c'est mieux pour se faire emmener à
l'abattoir. L'instruction est une chose (voir bourrage de
crânes), l'intelligence (voir lucidité et ouverture d'esprit) en
sont une autre.
La psychanalyse a fabriqué tout le lexique symbolique de la société
de consommation, en matière de moutonnage, ça se pose aussi là.
Navré, mais là vous piquez simplement cet outil aux religions.
Le 04/11/2014 à 15:53, RVG a écrit :
Le problème de la psychanalyse c'est qu'elle ne s'applique que dans
le modèle de la société bourgeoise occidentale et force le sens
interprétatif de toute énonciation de l'inconscient dans le sens de
ce modèle (celui de la famille nucléaire). A terme c'est ce qui la
rend incapable de décrire, tout comme le marxisme, les phénomènes
délirants conduisant au *choix* du fascisme à l'encontre de tout
intérêt objectif comme de toute structure bourgeoise. Marx comme
Freud ne permettent pas d'expliquer le pourquoi de l'accès de
Mussolini au pouvoir par le suffrage universel. L’œdipe de
papa-maman, ça ne marche tout simplement pas pour expliquer le
schéma de ce délire collectif furieux à l'échelle du monde.
Trop compliqué pour être honnête. a part ça je n'ai rien lu de Marx.
Le peu m'ayant gonflé au max. Donc je ne sais pas et m'en tape.
Quand à mussolini et hitler, simplement ils ont été mis au pouvoir
par le moutonage (que vous expliquez plus bas) dû au caractère tribal
et cavernicole qui reste dans l'inconscient face à une peur de
l'inconnu. L'inconnu étant toujours l'après de la mort. Et la mort
étant l'outil préféré des "chefaillons" en peine de pouvoir et de
leurs religieux de service.
Faudrait d'ailleurs pas qu'ils se les posent d'après les canons
et les différends précepteurs des religions. Etre heureux comme
un simple d'esprit, vrai que c'est mieux pour se faire emmener à
l'abattoir. L'instruction est une chose (voir bourrage de
crânes), l'intelligence (voir lucidité et ouverture d'esprit) en
sont une autre.
La psychanalyse a fabriqué tout le lexique symbolique de la société
de consommation, en matière de moutonnage, ça se pose aussi là.
Navré, mais là vous piquez simplement cet outil aux religions.
Le 04/11/2014 à 15:53, RVG a écrit :Le problème de la psychanalyse c'est qu'elle ne s'applique que dans
le modèle de la société bourgeoise occidentale et force le sens
interprétatif de toute énonciation de l'inconscient dans le sens de
ce modèle (celui de la famille nucléaire). A terme c'est ce qui la
rend incapable de décrire, tout comme le marxisme, les phénomènes
délirants conduisant au *choix* du fascisme à l'encontre de tout
intérêt objectif comme de toute structure bourgeoise. Marx comme
Freud ne permettent pas d'expliquer le pourquoi de l'accès de
Mussolini au pouvoir par le suffrage universel. L’œdipe de
papa-maman, ça ne marche tout simplement pas pour expliquer le
schéma de ce délire collectif furieux à l'échelle du monde.
Trop compliqué pour être honnête. a part ça je n'ai rien lu de Marx.
Le peu m'ayant gonflé au max. Donc je ne sais pas et m'en tape.
Quand à mussolini et hitler, simplement ils ont été mis au pouvoir
par le moutonage (que vous expliquez plus bas) dû au caractère tribal
et cavernicole qui reste dans l'inconscient face à une peur de
l'inconnu. L'inconnu étant toujours l'après de la mort. Et la mort
étant l'outil préféré des "chefaillons" en peine de pouvoir et de
leurs religieux de service.Faudrait d'ailleurs pas qu'ils se les posent d'après les canons
et les différends précepteurs des religions. Etre heureux comme
un simple d'esprit, vrai que c'est mieux pour se faire emmener à
l'abattoir. L'instruction est une chose (voir bourrage de
crânes), l'intelligence (voir lucidité et ouverture d'esprit) en
sont une autre.
La psychanalyse a fabriqué tout le lexique symbolique de la société
de consommation, en matière de moutonnage, ça se pose aussi là.
Navré, mais là vous piquez simplement cet outil aux religions.
jmh vient de nous annoncer :jr vient de nous annoncer :"Mara la Coquine" wrote:"Anne G" a écrit dans le
message de groupe de discussion :Où ai-je lu que la moitié des prisonniers de la Terre sont aux EU ?
Dans un de vos délires?
Bof, il y a un peu moins de 2% de la population mâle en taule, et autant
pour les y mettre et les surveiller. C'est 5 fois plus qu'en France. On
arrive à des chiffres qui corrigent sévèrement ceux de l'emploi. Et
comme tout le monde ne fait pas perpète, ça fait une proportion énorme
de citoyens qui ont été ou iront en taule dans leur vie. Essentiellement
des noirs, bien entendu.
vous avez oublié "innocents" ...des noirs innocents
Un noir innocent ca existe?
S'il était innocent il ne serait pas noir!
jmh vient de nous annoncer :
jr vient de nous annoncer :
"Mara la Coquine" <antispam.cool@gmail.com> wrote:
"Anne G" <ann.guille@gmail_anti-spam_.com.invalid> a écrit dans le
message de groupe de discussion : 5456ead2@ac-versailles.fr...
Où ai-je lu que la moitié des prisonniers de la Terre sont aux EU ?
Dans un de vos délires?
Bof, il y a un peu moins de 2% de la population mâle en taule, et autant
pour les y mettre et les surveiller. C'est 5 fois plus qu'en France. On
arrive à des chiffres qui corrigent sévèrement ceux de l'emploi. Et
comme tout le monde ne fait pas perpète, ça fait une proportion énorme
de citoyens qui ont été ou iront en taule dans leur vie. Essentiellement
des noirs, bien entendu.
vous avez oublié "innocents" ...des noirs innocents
Un noir innocent ca existe?
S'il était innocent il ne serait pas noir!
jmh vient de nous annoncer :jr vient de nous annoncer :"Mara la Coquine" wrote:"Anne G" a écrit dans le
message de groupe de discussion :Où ai-je lu que la moitié des prisonniers de la Terre sont aux EU ?
Dans un de vos délires?
Bof, il y a un peu moins de 2% de la population mâle en taule, et autant
pour les y mettre et les surveiller. C'est 5 fois plus qu'en France. On
arrive à des chiffres qui corrigent sévèrement ceux de l'emploi. Et
comme tout le monde ne fait pas perpète, ça fait une proportion énorme
de citoyens qui ont été ou iront en taule dans leur vie. Essentiellement
des noirs, bien entendu.
vous avez oublié "innocents" ...des noirs innocents
Un noir innocent ca existe?
S'il était innocent il ne serait pas noir!
Le 04/11/2014 à 08:30, Cardinal de Hère a écrit :La psychanalyse a perdu la partie.
La psychanalyse, ça fout surtout la trouille aux gens qui s'accrochent à
des croyances venant de derrière le cul des chameaux et qui n'osent pas se
poser les vraies questions.
Faudrait d'ailleurs pas qu'ils se les posent d'après les canons et les
différends précepteurs des religions. Etre heureux comme un simple
d'esprit, vrai que c'est mieux pour se faire emmener à l'abattoir.
L'instruction est une chose (voir bourrage de crânes), l'intelligence
(voir lucidité et ouverture d'esprit) en sont une autre.
Le 04/11/2014 à 08:30, Cardinal de Hère a écrit :
La psychanalyse a perdu la partie.
La psychanalyse, ça fout surtout la trouille aux gens qui s'accrochent à
des croyances venant de derrière le cul des chameaux et qui n'osent pas se
poser les vraies questions.
Faudrait d'ailleurs pas qu'ils se les posent d'après les canons et les
différends précepteurs des religions. Etre heureux comme un simple
d'esprit, vrai que c'est mieux pour se faire emmener à l'abattoir.
L'instruction est une chose (voir bourrage de crânes), l'intelligence
(voir lucidité et ouverture d'esprit) en sont une autre.
Le 04/11/2014 à 08:30, Cardinal de Hère a écrit :La psychanalyse a perdu la partie.
La psychanalyse, ça fout surtout la trouille aux gens qui s'accrochent à
des croyances venant de derrière le cul des chameaux et qui n'osent pas se
poser les vraies questions.
Faudrait d'ailleurs pas qu'ils se les posent d'après les canons et les
différends précepteurs des religions. Etre heureux comme un simple
d'esprit, vrai que c'est mieux pour se faire emmener à l'abattoir.
L'instruction est une chose (voir bourrage de crânes), l'intelligence
(voir lucidité et ouverture d'esprit) en sont une autre.