Bonjour,
je vois dans un fichier d'aide au sujet du bracketing la traduction
"prise de vues en fourchette"
Existe-t-il un terme français plus approprié ?
Non, car comme je le disais, ce mot ne respecte pas le génie (au sens premier) du français, et une génération n'a pas suffit. La résistance des locuteurs aux mots mal-formés ou inutiles est très forte. Ces mots disparaîssent d'ailleurs petit à petit, par une sorte de consensus.
Ca me fait penser à Smoking...
Tiens, c'est un bon exemple, un smoking, en anglais, c'est soit dinner-jacket, soit tuxedo. Le français courant est plein de mots anglais mal utilisés, mais enfin, bon, on ne va pas se pendre pour ça. Il y a quand même des mots qui disparaissent, insensiblement, tiens: spleen, presque plus utilisé en français alors qu'au début du 20ème siècle, on le rencontrait souvent. Tan-sad, side-car, folding, box (l'appareil photo), bow-window aussi me viennent à l'esprit, mais je reconnais que le processus est lent.
Ghost Rider
Non, car comme je le disais, ce mot ne respecte pas le génie (au sens
premier) du français, et une génération n'a pas suffit.
La résistance des locuteurs aux mots mal-formés ou inutiles est très
forte. Ces mots disparaîssent d'ailleurs petit à petit, par une sorte
de consensus.
Ca me fait penser à Smoking...
Tiens, c'est un bon exemple, un smoking, en anglais, c'est soit
dinner-jacket, soit tuxedo.
Le français courant est plein de mots anglais mal utilisés, mais enfin,
bon, on ne va pas se pendre pour ça.
Il y a quand même des mots qui disparaissent, insensiblement, tiens:
spleen, presque plus utilisé en français alors qu'au début du 20ème
siècle, on le rencontrait souvent.
Tan-sad, side-car, folding, box (l'appareil photo), bow-window aussi me
viennent à l'esprit, mais je reconnais que le processus est lent.
Non, car comme je le disais, ce mot ne respecte pas le génie (au sens premier) du français, et une génération n'a pas suffit. La résistance des locuteurs aux mots mal-formés ou inutiles est très forte. Ces mots disparaîssent d'ailleurs petit à petit, par une sorte de consensus.
Ca me fait penser à Smoking...
Tiens, c'est un bon exemple, un smoking, en anglais, c'est soit dinner-jacket, soit tuxedo. Le français courant est plein de mots anglais mal utilisés, mais enfin, bon, on ne va pas se pendre pour ça. Il y a quand même des mots qui disparaissent, insensiblement, tiens: spleen, presque plus utilisé en français alors qu'au début du 20ème siècle, on le rencontrait souvent. Tan-sad, side-car, folding, box (l'appareil photo), bow-window aussi me viennent à l'esprit, mais je reconnais que le processus est lent.
Ghost Rider
anneleguennec
Ghost-Rider wrote:
La proximité du Québec des Etats-Unis ne me semble pas être un critère de plus grande compétence, ou de plus faible compétence d'ailleurs, dans l'élaboration de nouveaux mots français, même si le besoin de résister à l'influence de l'anglais est évidemment plus grand qu'en France métropolitaine où l'utilisation, souvent abusive, de mots anglais, choquera moins. ;-)
tu oublies juste un détail : une loin, nettement plus contraignante que la loi Toubon, qui impose le français dans les actes de la vie publique. D'où la forte proprention à se creuser les neurones. De mon séjour d'un an là-bas, j'en ai rapporté pas mal d'expressions, parfois mal traduites, mais utilisées en français. N'ayant pas ce genre de besoin, la langue de ce côté de l'Atlantique est nettement plus paresseuse et geignarde.
Ghost-Rider <ghost-rider@in-the-sky.net> wrote:
La proximité du Québec des Etats-Unis ne me semble pas être un critère
de plus grande compétence, ou de plus faible compétence d'ailleurs, dans
l'élaboration de nouveaux mots français, même si le besoin de résister à
l'influence de l'anglais est évidemment plus grand qu'en France
métropolitaine où l'utilisation, souvent abusive, de mots anglais,
choquera moins. ;-)
tu oublies juste un détail : une loin, nettement plus contraignante que
la loi Toubon, qui impose le français dans les actes de la vie publique.
D'où la forte proprention à se creuser les neurones. De mon séjour d'un
an là-bas, j'en ai rapporté pas mal d'expressions, parfois mal
traduites, mais utilisées en français.
N'ayant pas ce genre de besoin, la langue de ce côté de l'Atlantique est
nettement plus paresseuse et geignarde.
La proximité du Québec des Etats-Unis ne me semble pas être un critère de plus grande compétence, ou de plus faible compétence d'ailleurs, dans l'élaboration de nouveaux mots français, même si le besoin de résister à l'influence de l'anglais est évidemment plus grand qu'en France métropolitaine où l'utilisation, souvent abusive, de mots anglais, choquera moins. ;-)
tu oublies juste un détail : une loin, nettement plus contraignante que la loi Toubon, qui impose le français dans les actes de la vie publique. D'où la forte proprention à se creuser les neurones. De mon séjour d'un an là-bas, j'en ai rapporté pas mal d'expressions, parfois mal traduites, mais utilisées en français. N'ayant pas ce genre de besoin, la langue de ce côté de l'Atlantique est nettement plus paresseuse et geignarde.
Ghost-Rider
Ghost-Rider wrote:
La proximité du Québec des Etats-Unis ne me semble pas être un critère de plus grande compétence, ou de plus faible compétence d'ailleurs, dans l'élaboration de nouveaux mots français, même si le besoin de résister à l'influence de l'anglais est évidemment plus grand qu'en France métropolitaine où l'utilisation, souvent abusive, de mots anglais, choquera moins. ;-)
tu oublies juste un détail : une loin, nettement plus contraignante que la loi Toubon, qui impose le français dans les actes de la vie publique. D'où la forte proprention à se creuser les neurones. De mon séjour d'un an là-bas, j'en ai rapporté pas mal d'expressions, parfois mal traduites, mais utilisées en français. N'ayant pas ce genre de besoin, la langue de ce côté de l'Atlantique est nettement plus paresseuse et geignarde.
Tu as raison, j'avais oublié, mais c'est vrai, les français sont paresseux sur ce point, ils n'ont pas le syndrôme de l'assiégé.
Ghost Rider
Ghost-Rider <ghost-rider@in-the-sky.net> wrote:
La proximité du Québec des Etats-Unis ne me semble pas être un critère
de plus grande compétence, ou de plus faible compétence d'ailleurs, dans
l'élaboration de nouveaux mots français, même si le besoin de résister à
l'influence de l'anglais est évidemment plus grand qu'en France
métropolitaine où l'utilisation, souvent abusive, de mots anglais,
choquera moins. ;-)
tu oublies juste un détail : une loin, nettement plus contraignante que
la loi Toubon, qui impose le français dans les actes de la vie publique.
D'où la forte proprention à se creuser les neurones. De mon séjour d'un
an là-bas, j'en ai rapporté pas mal d'expressions, parfois mal
traduites, mais utilisées en français.
N'ayant pas ce genre de besoin, la langue de ce côté de l'Atlantique est
nettement plus paresseuse et geignarde.
Tu as raison, j'avais oublié, mais c'est vrai, les français sont
paresseux sur ce point, ils n'ont pas le syndrôme de l'assiégé.
La proximité du Québec des Etats-Unis ne me semble pas être un critère de plus grande compétence, ou de plus faible compétence d'ailleurs, dans l'élaboration de nouveaux mots français, même si le besoin de résister à l'influence de l'anglais est évidemment plus grand qu'en France métropolitaine où l'utilisation, souvent abusive, de mots anglais, choquera moins. ;-)
tu oublies juste un détail : une loin, nettement plus contraignante que la loi Toubon, qui impose le français dans les actes de la vie publique. D'où la forte proprention à se creuser les neurones. De mon séjour d'un an là-bas, j'en ai rapporté pas mal d'expressions, parfois mal traduites, mais utilisées en français. N'ayant pas ce genre de besoin, la langue de ce côté de l'Atlantique est nettement plus paresseuse et geignarde.
Tu as raison, j'avais oublié, mais c'est vrai, les français sont paresseux sur ce point, ils n'ont pas le syndrôme de l'assiégé.
Ghost Rider
Papy Bernard
Bonjour
De Anne
publique. D'où la forte proprention à se creuser les neurones. De mon séjour d'un an là-bas, j'en ai rapporté pas mal d'expressions, parfois mal traduites, mais utilisées en français.
A en citer une, la plus savoureuse est : le "cul of sac" , non ?
-- A+ Papy Bernard
Bonjour
De Anne
publique. D'où la forte proprention à se creuser les neurones. De mon
séjour d'un an là-bas, j'en ai rapporté pas mal d'expressions,
parfois mal traduites, mais utilisées en français.
A en citer une, la plus savoureuse est : le "cul of sac" , non ?
publique. D'où la forte proprention à se creuser les neurones. De mon séjour d'un an là-bas, j'en ai rapporté pas mal d'expressions, parfois mal traduites, mais utilisées en français.
A en citer une, la plus savoureuse est : le "cul of sac" , non ?
-- A+ Papy Bernard
Ofnuts
Ghost-Rider wrote:
C'est pour cela que je propose braquettage, qui respecte le génie du français: un radical court, qui sonne bien, qui sonne "français", qui existe déjà d'ailleurs avec des sens voisins, et une désinence d'action immédiatement comprise.
Sauf que braquettage ne résiste pas au test du Louis. Le test consiste à choper un adolescent de passage et de lui demander à brûle-teeshirt: "braquettage, en photo, çà t'évoque quoi?" et de remarquer qu'il regarde suspicieusement la moquette pour voir si son paternel n'y aurait pas découpé un carré. Alors que si on lui pose la question pour la fourchette, il devine qu'il s'agit de réglages différents (bon, il croyait que c'était la focale...). Inventer les mots, c'est bien, mais si les gens peuvent en deviner/comprendre le sens sans sortir le dico, c'est mieux.
Je reconnais néanmoins qu'il faut aussi, dans la mesure du possible, trouver une traduction qui parle aussi à ceux qui déjà rencontré le concept dans sa version anglaise ou franco-angliciste.
Ghost-Rider wrote:
C'est pour cela que je propose braquettage, qui respecte le génie du
français: un radical court, qui sonne bien, qui sonne "français", qui
existe déjà d'ailleurs avec des sens voisins, et une désinence d'action
immédiatement comprise.
Sauf que braquettage ne résiste pas au test du Louis. Le test consiste à
choper un adolescent de passage et de lui demander à brûle-teeshirt:
"braquettage, en photo, çà t'évoque quoi?" et de remarquer qu'il regarde
suspicieusement la moquette pour voir si son paternel n'y aurait pas
découpé un carré. Alors que si on lui pose la question pour la
fourchette, il devine qu'il s'agit de réglages différents (bon, il
croyait que c'était la focale...). Inventer les mots, c'est bien, mais
si les gens peuvent en deviner/comprendre le sens sans sortir le dico,
c'est mieux.
Je reconnais néanmoins qu'il faut aussi, dans la mesure du possible,
trouver une traduction qui parle aussi à ceux qui déjà rencontré le
concept dans sa version anglaise ou franco-angliciste.
C'est pour cela que je propose braquettage, qui respecte le génie du français: un radical court, qui sonne bien, qui sonne "français", qui existe déjà d'ailleurs avec des sens voisins, et une désinence d'action immédiatement comprise.
Sauf que braquettage ne résiste pas au test du Louis. Le test consiste à choper un adolescent de passage et de lui demander à brûle-teeshirt: "braquettage, en photo, çà t'évoque quoi?" et de remarquer qu'il regarde suspicieusement la moquette pour voir si son paternel n'y aurait pas découpé un carré. Alors que si on lui pose la question pour la fourchette, il devine qu'il s'agit de réglages différents (bon, il croyait que c'était la focale...). Inventer les mots, c'est bien, mais si les gens peuvent en deviner/comprendre le sens sans sortir le dico, c'est mieux.
Je reconnais néanmoins qu'il faut aussi, dans la mesure du possible, trouver une traduction qui parle aussi à ceux qui déjà rencontré le concept dans sa version anglaise ou franco-angliciste.
Ofnuts
Ghost-Rider wrote:
Non, car comme je le disais, ce mot ne respecte pas le génie (au sens premier) du français, et une génération n'a pas suffit. La résistance des locuteurs aux mots mal-formés ou inutiles est très forte. Ces mots disparaîssent d'ailleurs petit à petit, par une sorte de consensus.
Ca me fait penser à Smoking...
Tiens, c'est un bon exemple, un smoking, en anglais, c'est soit dinner-jacket, soit tuxedo. Le français courant est plein de mots anglais mal utilisés, mais enfin, bon, on ne va pas se pendre pour ça. Il y a quand même des mots qui disparaissent, insensiblement, tiens: spleen, presque plus utilisé en français alors qu'au début du 20ème siècle, on le rencontrait souvent. Tan-sad, side-car, folding, box (l'appareil photo), bow-window aussi me viennent à l'esprit, mais je reconnais que le processus est lent.
Le "sleeping"...
Ghost-Rider wrote:
Non, car comme je le disais, ce mot ne respecte pas le génie (au sens
premier) du français, et une génération n'a pas suffit.
La résistance des locuteurs aux mots mal-formés ou inutiles est très
forte. Ces mots disparaîssent d'ailleurs petit à petit, par une sorte
de consensus.
Ca me fait penser à Smoking...
Tiens, c'est un bon exemple, un smoking, en anglais, c'est soit
dinner-jacket, soit tuxedo.
Le français courant est plein de mots anglais mal utilisés, mais enfin,
bon, on ne va pas se pendre pour ça.
Il y a quand même des mots qui disparaissent, insensiblement, tiens:
spleen, presque plus utilisé en français alors qu'au début du 20ème
siècle, on le rencontrait souvent.
Tan-sad, side-car, folding, box (l'appareil photo), bow-window aussi me
viennent à l'esprit, mais je reconnais que le processus est lent.
Non, car comme je le disais, ce mot ne respecte pas le génie (au sens premier) du français, et une génération n'a pas suffit. La résistance des locuteurs aux mots mal-formés ou inutiles est très forte. Ces mots disparaîssent d'ailleurs petit à petit, par une sorte de consensus.
Ca me fait penser à Smoking...
Tiens, c'est un bon exemple, un smoking, en anglais, c'est soit dinner-jacket, soit tuxedo. Le français courant est plein de mots anglais mal utilisés, mais enfin, bon, on ne va pas se pendre pour ça. Il y a quand même des mots qui disparaissent, insensiblement, tiens: spleen, presque plus utilisé en français alors qu'au début du 20ème siècle, on le rencontrait souvent. Tan-sad, side-car, folding, box (l'appareil photo), bow-window aussi me viennent à l'esprit, mais je reconnais que le processus est lent.
Le "sleeping"...
Ghost-Rider
Sauf que braquettage ne résiste pas au test du Louis. Le test consiste à choper un adolescent de passage et de lui demander à brûle-teeshirt: "braquettage, en photo, çà t'évoque quoi?" et de remarquer qu'il regarde suspicieusement la moquette pour voir si son paternel n'y aurait pas découpé un carré. Alors que si on lui pose la question pour la fourchette, il devine qu'il s'agit de réglages différents (bon, il croyait que c'était la focale...). Inventer les mots, c'est bien, mais si les gens peuvent en deviner/comprendre le sens sans sortir le dico, c'est mieux.
Je reconnais néanmoins qu'il faut aussi, dans la mesure du possible, trouver une traduction qui parle aussi à ceux qui déjà rencontré le concept dans sa version anglaise ou franco-angliciste.
Tu as raison en un sens, mais c'est un terme technique. Refais le test avec un photographe: il comprendra de suite. Quant à comprendre les termes immédiatement, à la première audition, ce qui est le plus souhaitable, ça fonctionne lorsque le radical est connu. S'il ne l'est pas, c'est raté. Ainsi, on peut décliner des familles de mots facilement compréhensibles sur des radicaux connus: fourche, fourchette, enfourcher etc.. La question, dans les langues indo-européennes au moins, c'est celle du radical, il faut le créer ex-nihilo à un moment ou à un autre si on ne trouve rien dans le latin ou le grec. C'est bien ce qu'ont fait les premiers hommes lorsqu'ils ont péniblement inventé le langage, il faut continuer.
Ghost Rider
Sauf que braquettage ne résiste pas au test du Louis. Le test consiste à
choper un adolescent de passage et de lui demander à brûle-teeshirt:
"braquettage, en photo, çà t'évoque quoi?" et de remarquer qu'il regarde
suspicieusement la moquette pour voir si son paternel n'y aurait pas
découpé un carré. Alors que si on lui pose la question pour la
fourchette, il devine qu'il s'agit de réglages différents (bon, il
croyait que c'était la focale...). Inventer les mots, c'est bien, mais
si les gens peuvent en deviner/comprendre le sens sans sortir le dico,
c'est mieux.
Je reconnais néanmoins qu'il faut aussi, dans la mesure du possible,
trouver une traduction qui parle aussi à ceux qui déjà rencontré le
concept dans sa version anglaise ou franco-angliciste.
Tu as raison en un sens, mais c'est un terme technique. Refais le test
avec un photographe: il comprendra de suite.
Quant à comprendre les termes immédiatement, à la première audition, ce
qui est le plus souhaitable, ça fonctionne lorsque le radical est connu.
S'il ne l'est pas, c'est raté.
Ainsi, on peut décliner des familles de mots facilement compréhensibles
sur des radicaux connus: fourche, fourchette, enfourcher etc..
La question, dans les langues indo-européennes au moins, c'est celle du
radical, il faut le créer ex-nihilo à un moment ou à un autre si on ne
trouve rien dans le latin ou le grec. C'est bien ce qu'ont fait les
premiers hommes lorsqu'ils ont péniblement inventé le langage, il faut
continuer.
Sauf que braquettage ne résiste pas au test du Louis. Le test consiste à choper un adolescent de passage et de lui demander à brûle-teeshirt: "braquettage, en photo, çà t'évoque quoi?" et de remarquer qu'il regarde suspicieusement la moquette pour voir si son paternel n'y aurait pas découpé un carré. Alors que si on lui pose la question pour la fourchette, il devine qu'il s'agit de réglages différents (bon, il croyait que c'était la focale...). Inventer les mots, c'est bien, mais si les gens peuvent en deviner/comprendre le sens sans sortir le dico, c'est mieux.
Je reconnais néanmoins qu'il faut aussi, dans la mesure du possible, trouver une traduction qui parle aussi à ceux qui déjà rencontré le concept dans sa version anglaise ou franco-angliciste.
Tu as raison en un sens, mais c'est un terme technique. Refais le test avec un photographe: il comprendra de suite. Quant à comprendre les termes immédiatement, à la première audition, ce qui est le plus souhaitable, ça fonctionne lorsque le radical est connu. S'il ne l'est pas, c'est raté. Ainsi, on peut décliner des familles de mots facilement compréhensibles sur des radicaux connus: fourche, fourchette, enfourcher etc.. La question, dans les langues indo-européennes au moins, c'est celle du radical, il faut le créer ex-nihilo à un moment ou à un autre si on ne trouve rien dans le latin ou le grec. C'est bien ce qu'ont fait les premiers hommes lorsqu'ils ont péniblement inventé le langage, il faut continuer.
Ghost Rider
Ghost-Rider
Le "sleeping"...
Exactement: un roman connu: "La madone des sleepings" (1925), qui associe l'italien à l'anglais, titre absolument incompréhensible pour ma fille de 20 ans.
Ghost Rider
Le "sleeping"...
Exactement: un roman connu: "La madone des sleepings" (1925), qui
associe l'italien à l'anglais, titre absolument incompréhensible pour ma
fille de 20 ans.
Exactement: un roman connu: "La madone des sleepings" (1925), qui associe l'italien à l'anglais, titre absolument incompréhensible pour ma fille de 20 ans.
Ghost Rider
l'abs
Ghost-Rider a écrit:
Oui, Information Technology est aussi couramment employé, et de plus en plus car son sens est moins restrictif: il n'est plus question d'électronique, mais de technologie, de traitement de données, mais d'informations.
Oui, depuis une quinzaine d'années la presse, les politiques et le grand public utilisent ces mots. Souvenez-vous des "autoroutes de l'information"
-- l'abs
Ghost-Rider <ghost-rider@in-the-sky.net> a écrit:
Oui, Information Technology est aussi couramment employé, et de plus en
plus car son sens est moins restrictif: il n'est plus question
d'électronique, mais de technologie, de traitement de données, mais
d'informations.
Oui, depuis une quinzaine d'années la presse, les politiques et le
grand public utilisent ces mots.
Souvenez-vous des "autoroutes de l'information"
Oui, Information Technology est aussi couramment employé, et de plus en plus car son sens est moins restrictif: il n'est plus question d'électronique, mais de technologie, de traitement de données, mais d'informations.
Oui, depuis une quinzaine d'années la presse, les politiques et le grand public utilisent ces mots. Souvenez-vous des "autoroutes de l'information"
-- l'abs
anneleguennec
Papy Bernard wrote:
publique. D'où la forte proprention à se creuser les neurones. De mon séjour d'un an là-bas, j'en ai rapporté pas mal d'expressions, parfois mal traduites, mais utilisées en français.
A en citer une, la plus savoureuse est : le "cul of sac" , non ?
t'as pas répondu à ma question sur les éthymologies...
Papy Bernard <lenichoir@aol.com> wrote:
publique. D'où la forte proprention à se creuser les neurones. De mon
séjour d'un an là-bas, j'en ai rapporté pas mal d'expressions,
parfois mal traduites, mais utilisées en français.
A en citer une, la plus savoureuse est : le "cul of sac" , non ?
t'as pas répondu à ma question sur les éthymologies...
publique. D'où la forte proprention à se creuser les neurones. De mon séjour d'un an là-bas, j'en ai rapporté pas mal d'expressions, parfois mal traduites, mais utilisées en français.
A en citer une, la plus savoureuse est : le "cul of sac" , non ?
t'as pas répondu à ma question sur les éthymologies...