Cette technique me semble dépassée et obsolète. Il est vrai qu'il y a
des cas où un mot venu d'une langue X pose des problèmes de
prononciation dans une langue Y et où il faut obligatoirement adapter.
Sinon je suis un citoyen du monde, la tour de Babel et l'incompréhension
des peuples on a déjà donné, je suis pour un usage unique des nouveaux
mots, si le nouveaux mot, qui désigne une nouvelle chose ou une nouvelle
pratique, vient de Norvège on l'utilise tous, s'il vient d'Agentine
pareil, s'il vient d'Iran pareil et ainsi de suite.
Cela jetterait de minuscules ponts entre les langues, pont qui
s'agrandirait lentement mais surement. C'est évidemment une vue très
théorique, le protectionnisme n'est pas mort.
Je tiens le même raisonnement pour les noms de villes, on ne change pas
le nom de famille d'une personne lorsqu'il franchit une frontière et ce
devrait être pareil avec les noms de villes. Je plains le Français
rentrant en Belgique par la Flandre et désireux de se rendre à Mons en
Wallonie, faut vraiment savoir qu'il doit suivre les panneaux Bergen. Et
pour repartir de Flandre vers Lille, là aussi faut savoir que c'est
Rijsel qui faut suivre.
Oui, c'est même un peu ridicule, trompeur, et cela peut engendrer des
Cette technique me semble dépassée et obsolète. Il est vrai qu'il y a
des cas où un mot venu d'une langue X pose des problèmes de
prononciation dans une langue Y et où il faut obligatoirement adapter.
Sinon je suis un citoyen du monde, la tour de Babel et l'incompréhension
des peuples on a déjà donné, je suis pour un usage unique des nouveaux
mots, si le nouveaux mot, qui désigne une nouvelle chose ou une nouvelle
pratique, vient de Norvège on l'utilise tous, s'il vient d'Agentine
pareil, s'il vient d'Iran pareil et ainsi de suite.
Cela jetterait de minuscules ponts entre les langues, pont qui
s'agrandirait lentement mais surement. C'est évidemment une vue très
théorique, le protectionnisme n'est pas mort.
Je tiens le même raisonnement pour les noms de villes, on ne change pas
le nom de famille d'une personne lorsqu'il franchit une frontière et ce
devrait être pareil avec les noms de villes. Je plains le Français
rentrant en Belgique par la Flandre et désireux de se rendre à Mons en
Wallonie, faut vraiment savoir qu'il doit suivre les panneaux Bergen. Et
pour repartir de Flandre vers Lille, là aussi faut savoir que c'est
Rijsel qui faut suivre.
Oui, c'est même un peu ridicule, trompeur, et cela peut engendrer des
Cette technique me semble dépassée et obsolète. Il est vrai qu'il y a
des cas où un mot venu d'une langue X pose des problèmes de
prononciation dans une langue Y et où il faut obligatoirement adapter.
Sinon je suis un citoyen du monde, la tour de Babel et l'incompréhension
des peuples on a déjà donné, je suis pour un usage unique des nouveaux
mots, si le nouveaux mot, qui désigne une nouvelle chose ou une nouvelle
pratique, vient de Norvège on l'utilise tous, s'il vient d'Agentine
pareil, s'il vient d'Iran pareil et ainsi de suite.
Cela jetterait de minuscules ponts entre les langues, pont qui
s'agrandirait lentement mais surement. C'est évidemment une vue très
théorique, le protectionnisme n'est pas mort.
Je tiens le même raisonnement pour les noms de villes, on ne change pas
le nom de famille d'une personne lorsqu'il franchit une frontière et ce
devrait être pareil avec les noms de villes. Je plains le Français
rentrant en Belgique par la Flandre et désireux de se rendre à Mons en
Wallonie, faut vraiment savoir qu'il doit suivre les panneaux Bergen. Et
pour repartir de Flandre vers Lille, là aussi faut savoir que c'est
Rijsel qui faut suivre.
Oui, c'est même un peu ridicule, trompeur, et cela peut engendrer des
Papy Bernard wrote:braquet
n. masc. Rapport de multiplication entre le nombre de dents du
pédalier et celui du pignon arrière d'un cycle. / Par ext. Pignon
arrière d'une roue de cycle, comportant une ou plusieurs dentures.
© Hachette Livre, 1998
et ça a la même éthymologie que le bracket anglais ?
Papy Bernard <lenichoir@aol.com> wrote:
braquet
n. masc. Rapport de multiplication entre le nombre de dents du
pédalier et celui du pignon arrière d'un cycle. / Par ext. Pignon
arrière d'une roue de cycle, comportant une ou plusieurs dentures.
© Hachette Livre, 1998
et ça a la même éthymologie que le bracket anglais ?
Papy Bernard wrote:braquet
n. masc. Rapport de multiplication entre le nombre de dents du
pédalier et celui du pignon arrière d'un cycle. / Par ext. Pignon
arrière d'une roue de cycle, comportant une ou plusieurs dentures.
© Hachette Livre, 1998
et ça a la même éthymologie que le bracket anglais ?
Je ne suis pas vraiment d'accord: il semble manquer un mot en
français, alors créons-le, à partir de l'anglais, pourquoi pas, mais
en le francisant, par exemple: braquettage, où on utilise le radical
anglais et la désinence française.
Cette technique me semble dépassée et obsolète. Il est vrai qu'il y a des
cas où un mot venu d'une langue X pose des problèmes de prononciation dans
une langue Y et où il faut obligatoirement adapter. Sinon je suis un
citoyen du monde, la tour de Babel et l'incompréhension des peuples on a
déjà donné, je suis pour un usage unique des nouveaux mots, si le nouveaux
mot, qui désigne une nouvelle chose ou une nouvelle pratique, vient de
Norvège on l'utilise tous, s'il vient d'Agentine pareil, s'il vient d'Iran
pareil et ainsi de suite.
Cela jetterait de minuscules ponts entre les langues, pont qui
s'agrandirait lentement mais surement. C'est évidemment une vue très
théorique, le protectionnisme n'est pas mort.
Je tiens le même raisonnement pour les noms de villes, on ne change pas le
nom de famille d'une personne lorsqu'il franchit une frontière et ce
devrait être pareil avec les noms de villes. Je plains le Français
rentrant en Belgique par la Flandre et désireux de se rendre à Mons en
Wallonie, faut vraiment savoir qu'il doit suivre les panneaux Bergen. Et
pour repartir de Flandre vers Lille, là aussi faut savoir que c'est Rijsel
qui faut suivre.
--
Jean-Claude Ghislain
www.grimart.com
Je ne suis pas vraiment d'accord: il semble manquer un mot en
français, alors créons-le, à partir de l'anglais, pourquoi pas, mais
en le francisant, par exemple: braquettage, où on utilise le radical
anglais et la désinence française.
Cette technique me semble dépassée et obsolète. Il est vrai qu'il y a des
cas où un mot venu d'une langue X pose des problèmes de prononciation dans
une langue Y et où il faut obligatoirement adapter. Sinon je suis un
citoyen du monde, la tour de Babel et l'incompréhension des peuples on a
déjà donné, je suis pour un usage unique des nouveaux mots, si le nouveaux
mot, qui désigne une nouvelle chose ou une nouvelle pratique, vient de
Norvège on l'utilise tous, s'il vient d'Agentine pareil, s'il vient d'Iran
pareil et ainsi de suite.
Cela jetterait de minuscules ponts entre les langues, pont qui
s'agrandirait lentement mais surement. C'est évidemment une vue très
théorique, le protectionnisme n'est pas mort.
Je tiens le même raisonnement pour les noms de villes, on ne change pas le
nom de famille d'une personne lorsqu'il franchit une frontière et ce
devrait être pareil avec les noms de villes. Je plains le Français
rentrant en Belgique par la Flandre et désireux de se rendre à Mons en
Wallonie, faut vraiment savoir qu'il doit suivre les panneaux Bergen. Et
pour repartir de Flandre vers Lille, là aussi faut savoir que c'est Rijsel
qui faut suivre.
--
Jean-Claude Ghislain
www.grimart.com
Je ne suis pas vraiment d'accord: il semble manquer un mot en
français, alors créons-le, à partir de l'anglais, pourquoi pas, mais
en le francisant, par exemple: braquettage, où on utilise le radical
anglais et la désinence française.
Cette technique me semble dépassée et obsolète. Il est vrai qu'il y a des
cas où un mot venu d'une langue X pose des problèmes de prononciation dans
une langue Y et où il faut obligatoirement adapter. Sinon je suis un
citoyen du monde, la tour de Babel et l'incompréhension des peuples on a
déjà donné, je suis pour un usage unique des nouveaux mots, si le nouveaux
mot, qui désigne une nouvelle chose ou une nouvelle pratique, vient de
Norvège on l'utilise tous, s'il vient d'Agentine pareil, s'il vient d'Iran
pareil et ainsi de suite.
Cela jetterait de minuscules ponts entre les langues, pont qui
s'agrandirait lentement mais surement. C'est évidemment une vue très
théorique, le protectionnisme n'est pas mort.
Je tiens le même raisonnement pour les noms de villes, on ne change pas le
nom de famille d'une personne lorsqu'il franchit une frontière et ce
devrait être pareil avec les noms de villes. Je plains le Français
rentrant en Belgique par la Flandre et désireux de se rendre à Mons en
Wallonie, faut vraiment savoir qu'il doit suivre les panneaux Bergen. Et
pour repartir de Flandre vers Lille, là aussi faut savoir que c'est Rijsel
qui faut suivre.
--
Jean-Claude Ghislain
www.grimart.com
Puisqu'on est dans le discours sur la nécessité de creer ou pas des
mots francais, vous savez que le francais est la seule langue qui a
créé les mots : informatique et ordinateur qui ont d'ailleurs été
repris dans d'autres langues.
Computer et Data Processing ne sont que des dérivés de mots anglais.
Allez traduire "informaticien" en anglais et vous verrez.
Puisqu'on est dans le discours sur la nécessité de creer ou pas des
mots francais, vous savez que le francais est la seule langue qui a
créé les mots : informatique et ordinateur qui ont d'ailleurs été
repris dans d'autres langues.
Computer et Data Processing ne sont que des dérivés de mots anglais.
Allez traduire "informaticien" en anglais et vous verrez.
Puisqu'on est dans le discours sur la nécessité de creer ou pas des
mots francais, vous savez que le francais est la seule langue qui a
créé les mots : informatique et ordinateur qui ont d'ailleurs été
repris dans d'autres langues.
Computer et Data Processing ne sont que des dérivés de mots anglais.
Allez traduire "informaticien" en anglais et vous verrez.
Toutes les langues se nourrissent les unes des autres, c'est même pour
certaines une condition de leur survie. L'anglais, par exemple, n'est
si riche que parce qu'il accepte, et c'est son génie propre, à peu
près tous les apports externes et les digère sans problème.
Les langues romanes, dont le français, acceptent ces apports mais avec
plus de résistance, et c'est aussi leur génie propre.
Toutes les langues se nourrissent les unes des autres, c'est même pour
certaines une condition de leur survie. L'anglais, par exemple, n'est
si riche que parce qu'il accepte, et c'est son génie propre, à peu
près tous les apports externes et les digère sans problème.
Les langues romanes, dont le français, acceptent ces apports mais avec
plus de résistance, et c'est aussi leur génie propre.
Toutes les langues se nourrissent les unes des autres, c'est même pour
certaines une condition de leur survie. L'anglais, par exemple, n'est
si riche que parce qu'il accepte, et c'est son génie propre, à peu
près tous les apports externes et les digère sans problème.
Les langues romanes, dont le français, acceptent ces apports mais avec
plus de résistance, et c'est aussi leur génie propre.
Je ne sais pas lesquelles, car souvent les termes anglais ont prévalu.
En italien par exemple, on dit souvent computer.
Computer et Data Processing ne sont que des dérivés de mots anglais.
Ils sont anglais.
Oui, parce que le français théorise plus que l'anglais, qui décrit
plutôt l'acte ou la fonction.
et on dit EDP Manager, par exemple.
Je ne sais pas lesquelles, car souvent les termes anglais ont prévalu.
En italien par exemple, on dit souvent computer.
Computer et Data Processing ne sont que des dérivés de mots anglais.
Ils sont anglais.
Oui, parce que le français théorise plus que l'anglais, qui décrit
plutôt l'acte ou la fonction.
et on dit EDP Manager, par exemple.
Je ne sais pas lesquelles, car souvent les termes anglais ont prévalu.
En italien par exemple, on dit souvent computer.
Computer et Data Processing ne sont que des dérivés de mots anglais.
Ils sont anglais.
Oui, parce que le français théorise plus que l'anglais, qui décrit
plutôt l'acte ou la fonction.
et on dit EDP Manager, par exemple.
Ghost-Rider a écrit:Je ne sais pas lesquelles, car souvent les termes anglais ont prévalu.
En italien par exemple, on dit souvent computer.
En espagnol et en arabe il me semble
Computer et Data Processing ne sont que des dérivés de mots anglais.
Ils sont anglais.
certes, mais ce sont des mots existants qui sont utilisés pour définir
des technologies nouvelles. C'est dans ce sens que j'utilisais le mot
"dérivés"
Oui, parce que le français théorise plus que l'anglais, qui décrit
plutôt l'acte ou la fonction.
Oui, c'est vrai. Le francais est la langue de la diplomatie car les
nuances y sont trés importanteset on dit EDP Manager, par exemple.
Vraiment tres peu utilisé ou alors récemment (je suis ingénieur
informaticien depuis 1981 et je parle et travaille en anglais et je ne
crois pas avoir rencontré souvent ce terme).
Ghost-Rider <ghost-rider@in-the-sky.net> a écrit:
Je ne sais pas lesquelles, car souvent les termes anglais ont prévalu.
En italien par exemple, on dit souvent computer.
En espagnol et en arabe il me semble
Computer et Data Processing ne sont que des dérivés de mots anglais.
Ils sont anglais.
certes, mais ce sont des mots existants qui sont utilisés pour définir
des technologies nouvelles. C'est dans ce sens que j'utilisais le mot
"dérivés"
Oui, parce que le français théorise plus que l'anglais, qui décrit
plutôt l'acte ou la fonction.
Oui, c'est vrai. Le francais est la langue de la diplomatie car les
nuances y sont trés importantes
et on dit EDP Manager, par exemple.
Vraiment tres peu utilisé ou alors récemment (je suis ingénieur
informaticien depuis 1981 et je parle et travaille en anglais et je ne
crois pas avoir rencontré souvent ce terme).
Ghost-Rider a écrit:Je ne sais pas lesquelles, car souvent les termes anglais ont prévalu.
En italien par exemple, on dit souvent computer.
En espagnol et en arabe il me semble
Computer et Data Processing ne sont que des dérivés de mots anglais.
Ils sont anglais.
certes, mais ce sont des mots existants qui sont utilisés pour définir
des technologies nouvelles. C'est dans ce sens que j'utilisais le mot
"dérivés"
Oui, parce que le français théorise plus que l'anglais, qui décrit
plutôt l'acte ou la fonction.
Oui, c'est vrai. Le francais est la langue de la diplomatie car les
nuances y sont trés importanteset on dit EDP Manager, par exemple.
Vraiment tres peu utilisé ou alors récemment (je suis ingénieur
informaticien depuis 1981 et je parle et travaille en anglais et je ne
crois pas avoir rencontré souvent ce terme).
et ça a la même éthymologie que le bracket anglais ?
Dans le Webster (américain)
et ça a la même éthymologie que le bracket anglais ?
Dans le Webster (américain)
et ça a la même éthymologie que le bracket anglais ?
Dans le Webster (américain)
Je ne sais pas lesquelles, car souvent les termes anglais ont prévalu.
En italien par exemple, on dit souvent computer.
Je ne sais pas lesquelles, car souvent les termes anglais ont prévalu.
En italien par exemple, on dit souvent computer.
Je ne sais pas lesquelles, car souvent les termes anglais ont prévalu.
En italien par exemple, on dit souvent computer.