Bonjour,
J'ai reçu un 55mm pour mon C330f
La bague de diaph est très dure à tourner.
Cela vient je suppose non pas du diaph proprement dit mais de la bague
crantée comportant l'échelle.
Est ce que je peux mettre de l'huile et où?
Merci
dans ce cas, je suppose que tu ne l'as pa payé très cher? c'est un produit rare (=a-t-il une valeur, même non monétaire)?
Je ne sais pas ce qu'est très cher. Je l'ai payé plus de 2 fois moins cher que le même vu à la foire de Gometz, le vendeur me disant que c'était le prix (# 270euros à Gometz)
il n'y avait sans doute personne qui ai la réponse :-(
Certainement, ce n'est pas une critique négative.
tout ça suppose une certaine valeur marchande.
Je n'ai pas pour objectif (!) de revendre, simplement de pouvoir m'en servir. Sauf que là je ne peux pas.
dans ce cas, je suppose que tu ne l'as pa payé très cher? c'est un
produit rare (=a-t-il une valeur, même non monétaire)?
Je ne sais pas ce qu'est très cher.
Je l'ai payé plus de 2 fois moins cher que le même vu à la foire de
Gometz, le vendeur me disant que c'était le prix (# 270euros à Gometz)
il n'y avait sans doute personne qui ai la réponse :-(
Certainement, ce n'est pas une critique négative.
tout ça suppose une certaine valeur marchande.
Je n'ai pas pour objectif (!) de revendre, simplement de pouvoir m'en
servir.
Sauf que là je ne peux pas.
dans ce cas, je suppose que tu ne l'as pa payé très cher? c'est un produit rare (=a-t-il une valeur, même non monétaire)?
Je ne sais pas ce qu'est très cher. Je l'ai payé plus de 2 fois moins cher que le même vu à la foire de Gometz, le vendeur me disant que c'était le prix (# 270euros à Gometz)
il n'y avait sans doute personne qui ai la réponse :-(
Certainement, ce n'est pas une critique négative.
tout ça suppose une certaine valeur marchande.
Je n'ai pas pour objectif (!) de revendre, simplement de pouvoir m'en servir. Sauf que là je ne peux pas.
Emmanuel
Dans votre cas, vous ne pourrez sans doute même pas avoir l'histoire vraie de l'appareil, et en particulier savoir s'il a pu subir une tentative de réparation, c'est pourtant fondamental.
La damen question m'avait dit qu'elle s'était fait voler son Mamiya et que c'était un crève coeur de vendre l'objectif. Entretemps une réponse qui peut confirmer: "Cet objectif est resté longtemps orphelin donc inutilisé. Mais lorsque j'avais le boitier il fonctionnait parfaitement, alors effectivement un petit dépoussiérage lui ferait peut-être du bien. "
Vous pouvez tenter une réparation vous-même, il suffit de savoir s'arrêter avant l'irréparable. Recherche de documentation, d'abord. Pas trop dur, vous pouvez commencer par /exploded mamiya c330 lens/ dans Google Images. Vous arrivez immédiatement à: <URL: http://tlrgraphy.com/tag/guide/> <URL: http://tlr-mamiya-c.blogspot.sg/search?updated-max 08-02-13T16:44:00%2B01:00&max-results%>
<URL: http://tlr-mamiya-c.blogspot.sg/> Vous avez également des documents à télécharger ici: <URL: http://www.surleplateau.com/wordpress/le-musee-argentique/mamiyac330/>
J'avais trouvé ces liens
Les outils, c'est un ou deux petits tournevis, des godets et boites à oeufs récupérés en cuisine pour ranger les pièces, une brucelle, brosse à dents usagée, pinceaux, etc. Il est bon de s'organiser pour pouvoir s'arrêter et reprendre plus tard. Prévoir un APN tout bête pour mitrailler à chaque étape. La poire pour souffler sur les objectifs sera utile. Le spécifique, c'est selon ce que vous découvrez, un truc bricolé qui ressemblera à un compas pointes sèches (wrench spanner) peut-être, un bout de caoutchouc genre bouchon d'évier pour dévisser un anneau frontal. IMPORTANT: il est très fréquent que, même en faisant attention, on perde une petite bille qui, poussée par un ressort, matérialise les crans du diaphragme. Cette bille n'a rien de rare, mais quand même. Pour stocker ce genre de petite pièce, entre deux bandes de ruban adhésif, c'est chiant à récupérer, mais ça évite de perdre. Vous allez essayer de piger la mécanique du diaph, surtout de situer l'origine du problème. Il est possible que ça coince simplement au niveau de la transmissions entre les deux objectifs (je ne fais que supposer que les diaphs sont couplées, dans mon idée l'objectif de visée est muni d'un diaphragme, mais je peux me tromper). Essayez de temporairement désolidariser les deux objectifs. Les causes de votre problème peuvent être multiples, et certainement cantonnées à la périphérie, évitant un démontage en profondeur. Une cause peut avoir un effet inverse à ce que la logique prévoit. La petite bille sortie de son logement devrait faire que ça tourne librement, en général en fait ça bloque. Idem pour de petits ressorts. Pour ce qui est du lubrifiant, normalement, il n'en faut pas, les métaux sont choisis en conséquence. Il s'agit plutôt d'en enlever que d'en mettre. Ôter tout reste de truc genre vieille graisse durcie et amalgamée à plein de cochonneries, quelle qu'en soit l'origine. Il est plus confortable de nettoyer une pièce démontée, surtout éviter toute migration de solvant vers l'intérieur. Disons que si vous utilisez de l'essence à briquet, essence F ou H, je ne sais plus, la plus ordinaire est un peu plus grasse, vous pièces essuyées seront correctement lubrifiées.
Que de conseils intéressants, merci.
Dans votre cas, vous ne pourrez sans doute même pas avoir l'histoire
vraie de l'appareil, et en particulier savoir s'il a pu subir une
tentative de réparation, c'est pourtant fondamental.
La damen question m'avait dit qu'elle s'était fait voler son Mamiya et
que c'était un crève coeur de vendre l'objectif.
Entretemps une réponse qui peut confirmer:
"Cet objectif est resté longtemps orphelin donc inutilisé. Mais lorsque
j'avais le boitier il fonctionnait parfaitement, alors effectivement un
petit dépoussiérage lui ferait peut-être du bien. "
Vous pouvez tenter une réparation vous-même, il suffit de savoir
s'arrêter avant l'irréparable. Recherche de documentation, d'abord. Pas
trop dur, vous pouvez commencer par /exploded mamiya c330 lens/ dans
Google Images. Vous arrivez immédiatement à:
<URL: http://tlrgraphy.com/tag/guide/>
<URL:
http://tlr-mamiya-c.blogspot.sg/search?updated-max 08-02-13T16:44:00%2B01:00&max-results%>
<URL: http://tlr-mamiya-c.blogspot.sg/>
Vous avez également des documents à télécharger ici:
<URL:
http://www.surleplateau.com/wordpress/le-musee-argentique/mamiyac330/>
J'avais trouvé ces liens
Les outils, c'est un ou deux petits tournevis, des godets et boites à
oeufs récupérés en cuisine pour ranger les pièces, une brucelle, brosse
à dents usagée, pinceaux, etc. Il est bon de s'organiser pour pouvoir
s'arrêter et reprendre plus tard. Prévoir un APN tout bête pour
mitrailler à chaque étape. La poire pour souffler sur les objectifs sera
utile. Le spécifique, c'est selon ce que vous découvrez, un truc bricolé
qui ressemblera à un compas pointes sèches (wrench spanner) peut-être,
un bout de caoutchouc genre bouchon d'évier pour dévisser un anneau
frontal.
IMPORTANT: il est très fréquent que, même en faisant attention, on perde
une petite bille qui, poussée par un ressort, matérialise les crans du
diaphragme. Cette bille n'a rien de rare, mais quand même. Pour stocker
ce genre de petite pièce, entre deux bandes de ruban adhésif, c'est
chiant à récupérer, mais ça évite de perdre.
Vous allez essayer de piger la mécanique du diaph, surtout de situer
l'origine du problème. Il est possible que ça coince simplement au
niveau de la transmissions entre les deux objectifs (je ne fais que
supposer que les diaphs sont couplées, dans mon idée l'objectif de visée
est muni d'un diaphragme, mais je peux me tromper). Essayez de
temporairement désolidariser les deux objectifs.
Les causes de votre problème peuvent être multiples, et certainement
cantonnées à la périphérie, évitant un démontage en profondeur. Une
cause peut avoir un effet inverse à ce que la logique prévoit. La petite
bille sortie de son logement devrait faire que ça tourne librement, en
général en fait ça bloque. Idem pour de petits ressorts. Pour ce qui est
du lubrifiant, normalement, il n'en faut pas, les métaux sont choisis en
conséquence. Il s'agit plutôt d'en enlever que d'en mettre. Ôter tout
reste de truc genre vieille graisse durcie et amalgamée à plein de
cochonneries, quelle qu'en soit l'origine. Il est plus confortable de
nettoyer une pièce démontée, surtout éviter toute migration de solvant
vers l'intérieur. Disons que si vous utilisez de l'essence à briquet,
essence F ou H, je ne sais plus, la plus ordinaire est un peu plus
grasse, vous pièces essuyées seront correctement lubrifiées.
Dans votre cas, vous ne pourrez sans doute même pas avoir l'histoire vraie de l'appareil, et en particulier savoir s'il a pu subir une tentative de réparation, c'est pourtant fondamental.
La damen question m'avait dit qu'elle s'était fait voler son Mamiya et que c'était un crève coeur de vendre l'objectif. Entretemps une réponse qui peut confirmer: "Cet objectif est resté longtemps orphelin donc inutilisé. Mais lorsque j'avais le boitier il fonctionnait parfaitement, alors effectivement un petit dépoussiérage lui ferait peut-être du bien. "
Vous pouvez tenter une réparation vous-même, il suffit de savoir s'arrêter avant l'irréparable. Recherche de documentation, d'abord. Pas trop dur, vous pouvez commencer par /exploded mamiya c330 lens/ dans Google Images. Vous arrivez immédiatement à: <URL: http://tlrgraphy.com/tag/guide/> <URL: http://tlr-mamiya-c.blogspot.sg/search?updated-max 08-02-13T16:44:00%2B01:00&max-results%>
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J'avais trouvé ces liens
Les outils, c'est un ou deux petits tournevis, des godets et boites à oeufs récupérés en cuisine pour ranger les pièces, une brucelle, brosse à dents usagée, pinceaux, etc. Il est bon de s'organiser pour pouvoir s'arrêter et reprendre plus tard. Prévoir un APN tout bête pour mitrailler à chaque étape. La poire pour souffler sur les objectifs sera utile. Le spécifique, c'est selon ce que vous découvrez, un truc bricolé qui ressemblera à un compas pointes sèches (wrench spanner) peut-être, un bout de caoutchouc genre bouchon d'évier pour dévisser un anneau frontal. IMPORTANT: il est très fréquent que, même en faisant attention, on perde une petite bille qui, poussée par un ressort, matérialise les crans du diaphragme. Cette bille n'a rien de rare, mais quand même. Pour stocker ce genre de petite pièce, entre deux bandes de ruban adhésif, c'est chiant à récupérer, mais ça évite de perdre. Vous allez essayer de piger la mécanique du diaph, surtout de situer l'origine du problème. Il est possible que ça coince simplement au niveau de la transmissions entre les deux objectifs (je ne fais que supposer que les diaphs sont couplées, dans mon idée l'objectif de visée est muni d'un diaphragme, mais je peux me tromper). Essayez de temporairement désolidariser les deux objectifs. Les causes de votre problème peuvent être multiples, et certainement cantonnées à la périphérie, évitant un démontage en profondeur. Une cause peut avoir un effet inverse à ce que la logique prévoit. La petite bille sortie de son logement devrait faire que ça tourne librement, en général en fait ça bloque. Idem pour de petits ressorts. Pour ce qui est du lubrifiant, normalement, il n'en faut pas, les métaux sont choisis en conséquence. Il s'agit plutôt d'en enlever que d'en mettre. Ôter tout reste de truc genre vieille graisse durcie et amalgamée à plein de cochonneries, quelle qu'en soit l'origine. Il est plus confortable de nettoyer une pièce démontée, surtout éviter toute migration de solvant vers l'intérieur. Disons que si vous utilisez de l'essence à briquet, essence F ou H, je ne sais plus, la plus ordinaire est un peu plus grasse, vous pièces essuyées seront correctement lubrifiées.
Que de conseils intéressants, merci.
Emmanuel
Vous allez essayer de piger la mécanique du diaph, surtout de situer l'origine du problème. Il est possible que ça coince simplement au niveau de la transmissions entre les deux objectifs (je ne fais que supposer que les diaphs sont couplées, dans mon idée l'objectif de visée est muni d'un diaphragme, mais je peux me tromper).
Il n'y a pas de diaph dans l'objectif de visée. La bague de diaph elle même, est couplée par l'extérieur via une pièce plastique qui fait office de "commande" à une autre bague qui sert à afficher les valeurs d'ouverture et de verrouillage de position.
Vous allez essayer de piger la mécanique du diaph, surtout de situer
l'origine du problème. Il est possible que ça coince simplement au
niveau de la transmissions entre les deux objectifs (je ne fais que
supposer que les diaphs sont couplées, dans mon idée l'objectif de visée
est muni d'un diaphragme, mais je peux me tromper).
Il n'y a pas de diaph dans l'objectif de visée.
La bague de diaph elle même, est couplée par l'extérieur via une pièce
plastique qui fait office de "commande" à une autre bague qui sert à
afficher les valeurs d'ouverture et de verrouillage de position.
Vous allez essayer de piger la mécanique du diaph, surtout de situer l'origine du problème. Il est possible que ça coince simplement au niveau de la transmissions entre les deux objectifs (je ne fais que supposer que les diaphs sont couplées, dans mon idée l'objectif de visée est muni d'un diaphragme, mais je peux me tromper).
Il n'y a pas de diaph dans l'objectif de visée. La bague de diaph elle même, est couplée par l'extérieur via une pièce plastique qui fait office de "commande" à une autre bague qui sert à afficher les valeurs d'ouverture et de verrouillage de position.
Pierre Maurette
Emmanuel :
Vous allez essayer de piger la mécanique du diaph, surtout de situer l'origine du problème. Il est possible que ça coince simplement au niveau de la transmissions entre les deux objectifs (je ne fais que supposer que les diaphs sont couplées, dans mon idée l'objectif de visée est muni d'un diaphragme, mais je peux me tromper).
Il n'y a pas de diaph dans l'objectif de visée. La bague de diaph elle même, est couplée par l'extérieur via une pièce plastique qui fait office de "commande" à une autre bague qui sert à afficher les valeurs d'ouverture et de verrouillage de position.
J'hésitais entre deux possibilités et Google ne m'avait pas donné de réponse en moins de trois minutes. D'un coté je trouvais balot un système de visée élaboré et pas de possibilité de tester la profondeur de champ. D'un autre coté, j'avais lu incidemment que l'objectif de visée n'avait pas nécessairement la même ouverture que celui de prise de vue, qu'il pouvait avoir moins de lentilles. Et une autre logique veut que la visée se fasse au minimum de profondeur de champ et au maximum de lumière. Après tout, sur les réflex mono-objectifs, la visée normale se fait à pleine ouverture et la possibilité de fermer est une option. C'est le couplage visible sur l'éclaté qui m'avait fait opter à tort pour la première hypothèse, même si effectivement on ne voyait pas de mécanisme de diaphragme sur l'objectif de visée.
Je n'ai jamais utilisé de bi-objectif. Les optiques ne sont pas utilisables sur un boîtier numérique et les prix sont assez élevés, je fais donc l'impasse sur ce genre de matériel. J'aimerais bien tripoter un Yashica 124, mais je n'aime pas l'idée qu'il serve de presse-papier, même s'il est très beau. Je finirai bien par en adopter un sur un vrai coup de vide-grenier. Et j'envisage - sans y croire vraiment - de refaire un peu de sauce pour du néga N&B.
-- Pierre Maurette
Emmanuel :
Vous allez essayer de piger la mécanique du diaph, surtout de situer
l'origine du problème. Il est possible que ça coince simplement au
niveau de la transmissions entre les deux objectifs (je ne fais que
supposer que les diaphs sont couplées, dans mon idée l'objectif de visée
est muni d'un diaphragme, mais je peux me tromper).
Il n'y a pas de diaph dans l'objectif de visée.
La bague de diaph elle même, est couplée par l'extérieur via une pièce
plastique qui fait office de "commande" à une autre bague qui sert à afficher
les valeurs d'ouverture et de verrouillage de position.
J'hésitais entre deux possibilités et Google ne m'avait pas donné de
réponse en moins de trois minutes.
D'un coté je trouvais balot un système de visée élaboré et pas de
possibilité de tester la profondeur de champ.
D'un autre coté, j'avais lu incidemment que l'objectif de visée n'avait
pas nécessairement la même ouverture que celui de prise de vue, qu'il
pouvait avoir moins de lentilles. Et une autre logique veut que la
visée se fasse au minimum de profondeur de champ et au maximum de
lumière. Après tout, sur les réflex mono-objectifs, la visée normale se
fait à pleine ouverture et la possibilité de fermer est une option.
C'est le couplage visible sur l'éclaté qui m'avait fait opter à tort
pour la première hypothèse, même si effectivement on ne voyait pas de
mécanisme de diaphragme sur l'objectif de visée.
Je n'ai jamais utilisé de bi-objectif. Les optiques ne sont pas
utilisables sur un boîtier numérique et les prix sont assez élevés, je
fais donc l'impasse sur ce genre de matériel. J'aimerais bien tripoter
un Yashica 124, mais je n'aime pas l'idée qu'il serve de presse-papier,
même s'il est très beau. Je finirai bien par en adopter un sur un vrai
coup de vide-grenier. Et j'envisage - sans y croire vraiment - de
refaire un peu de sauce pour du néga N&B.
Vous allez essayer de piger la mécanique du diaph, surtout de situer l'origine du problème. Il est possible que ça coince simplement au niveau de la transmissions entre les deux objectifs (je ne fais que supposer que les diaphs sont couplées, dans mon idée l'objectif de visée est muni d'un diaphragme, mais je peux me tromper).
Il n'y a pas de diaph dans l'objectif de visée. La bague de diaph elle même, est couplée par l'extérieur via une pièce plastique qui fait office de "commande" à une autre bague qui sert à afficher les valeurs d'ouverture et de verrouillage de position.
J'hésitais entre deux possibilités et Google ne m'avait pas donné de réponse en moins de trois minutes. D'un coté je trouvais balot un système de visée élaboré et pas de possibilité de tester la profondeur de champ. D'un autre coté, j'avais lu incidemment que l'objectif de visée n'avait pas nécessairement la même ouverture que celui de prise de vue, qu'il pouvait avoir moins de lentilles. Et une autre logique veut que la visée se fasse au minimum de profondeur de champ et au maximum de lumière. Après tout, sur les réflex mono-objectifs, la visée normale se fait à pleine ouverture et la possibilité de fermer est une option. C'est le couplage visible sur l'éclaté qui m'avait fait opter à tort pour la première hypothèse, même si effectivement on ne voyait pas de mécanisme de diaphragme sur l'objectif de visée.
Je n'ai jamais utilisé de bi-objectif. Les optiques ne sont pas utilisables sur un boîtier numérique et les prix sont assez élevés, je fais donc l'impasse sur ce genre de matériel. J'aimerais bien tripoter un Yashica 124, mais je n'aime pas l'idée qu'il serve de presse-papier, même s'il est très beau. Je finirai bien par en adopter un sur un vrai coup de vide-grenier. Et j'envisage - sans y croire vraiment - de refaire un peu de sauce pour du néga N&B.
-- Pierre Maurette
jdd
Le 22/11/2013 07:39, Emmanuel a écrit :
Je n'ai pas pour objectif (!) de revendre, simplement de pouvoir m'en servir. Sauf que là je ne peux pas.
la question est que toute tentative de ta part peur aboutir à un objectif irréparable. Si tu l'as eu pour pas cher (à ton goût), c'est à dire à peu près "jetable", ce n'est pas grave
pas cher, c'est aussi moins cher que ce que te prendra un pro pour la réparation... demande, ce n'est peut-être pas si cher (si tu peux le porter toi-même) - je dirais 50 euros de l'heure?
les frais de port sont souvent dissuasifs si ils s'ajoutent
si tu l'as payé plus de cent euros, un pro est peut-être envisageable
jdd
-- http://www.dodin.org
Le 22/11/2013 07:39, Emmanuel a écrit :
Je n'ai pas pour objectif (!) de revendre, simplement de pouvoir m'en
servir.
Sauf que là je ne peux pas.
la question est que toute tentative de ta part peur aboutir à un
objectif irréparable. Si tu l'as eu pour pas cher (à ton goût), c'est
à dire à peu près "jetable", ce n'est pas grave
pas cher, c'est aussi moins cher que ce que te prendra un pro pour la
réparation... demande, ce n'est peut-être pas si cher (si tu peux le
porter toi-même) - je dirais 50 euros de l'heure?
les frais de port sont souvent dissuasifs si ils s'ajoutent
si tu l'as payé plus de cent euros, un pro est peut-être envisageable
Je n'ai pas pour objectif (!) de revendre, simplement de pouvoir m'en servir. Sauf que là je ne peux pas.
la question est que toute tentative de ta part peur aboutir à un objectif irréparable. Si tu l'as eu pour pas cher (à ton goût), c'est à dire à peu près "jetable", ce n'est pas grave
pas cher, c'est aussi moins cher que ce que te prendra un pro pour la réparation... demande, ce n'est peut-être pas si cher (si tu peux le porter toi-même) - je dirais 50 euros de l'heure?
les frais de port sont souvent dissuasifs si ils s'ajoutent
si tu l'as payé plus de cent euros, un pro est peut-être envisageable
jdd
-- http://www.dodin.org
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 22/11/13 11:21, jdd a écrit :
si tu l'as payé plus de cent euros, un pro est peut-être envisageable
jdd
J'ai du bien à dire de photo-ciné-réparation à Caderousse. Comme il n'y a pas grand monde qui répare, il y a du délai par contre.
Noëlle Adam
Le 22/11/13 11:21, jdd a écrit :
si tu l'as payé plus de cent euros, un pro est peut-être envisageable
jdd
J'ai du bien à dire de photo-ciné-réparation à Caderousse.
Comme il n'y a pas grand monde qui répare, il y a du délai par contre.
si tu l'as payé plus de cent euros, un pro est peut-être envisageable
jdd
J'ai du bien à dire de photo-ciné-réparation à Caderousse. Comme il n'y a pas grand monde qui répare, il y a du délai par contre.
Noëlle Adam
MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de Dominique nous susurrait, le mardi 19/11/2013, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <l6g7q6$m29$, les doux mélismes suivants :
Aujourd'hui encore, elle ne la regarde que pour se tenir au courant des choses à la mode. En même temps, elle vit au Sénégal...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Dominique nous susurrait, le mardi
19/11/2013, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout
de même, et dans le message <l6g7q6$m29$1@speranza.aioe.org>, les doux
mélismes suivants :
Aujourd'hui encore, elle ne la regarde que pour se tenir au courant
des choses à la mode. En même temps, elle vit au Sénégal...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Dominique nous susurrait, le mardi 19/11/2013, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <l6g7q6$m29$, les doux mélismes suivants :
Aujourd'hui encore, elle ne la regarde que pour se tenir au courant des choses à la mode. En même temps, elle vit au Sénégal...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de Ghost-Rider nous susurrait, le mardi 19/11/2013, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <l6gg3m$k3h$, les doux mélismes suivants :
Je trouve que cette fille est beaucoup plus intelligente qu'on ne le croit. *Elle joue les bimbos écervelées mais elle mène très bien sa barque*.
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Ghost-Rider nous susurrait, le mardi
19/11/2013, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout
de même, et dans le message <l6gg3m$k3h$1@dont-email.me>, les doux
mélismes suivants :
Je trouve que cette fille est beaucoup plus intelligente qu'on ne le
croit. *Elle joue les bimbos écervelées mais elle mène très bien sa
barque*.
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Ghost-Rider nous susurrait, le mardi 19/11/2013, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <l6gg3m$k3h$, les doux mélismes suivants :
Je trouve que cette fille est beaucoup plus intelligente qu'on ne le croit. *Elle joue les bimbos écervelées mais elle mène très bien sa barque*.
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
t'as un ordi connecté, ce qui est EXACTEMENT la même chose. c'est juste la forme qui change. bouffon....
Ghost-Rider
Le 23/11/2013 10:16, MELMOTH a écrit :
Ce cher mammifère du nom de Ghost-Rider nous susurrait, le mardi 19/11/2013, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <l6gg3m$k3h$, les doux mélismes suivants :
Je trouve que cette fille est beaucoup plus intelligente qu'on ne le croit. *Elle joue les bimbos écervelées mais elle mène très bien sa barque*.
Ma longue fréquentation des femmes, particulièrement des cavalières (cette élite) m'a appris qu'elles sont très fortes pour laisser les hommes croire que ce sont eux qui gouvernent le monde.
Le 23/11/2013 10:16, MELMOTH a écrit :
Ce cher mammifère du nom de Ghost-Rider nous susurrait, le mardi
19/11/2013, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de
même, et dans le message <l6gg3m$k3h$1@dont-email.me>, les doux mélismes
suivants :
Je trouve que cette fille est beaucoup plus intelligente qu'on ne le
croit. *Elle joue les bimbos écervelées mais elle mène très bien sa
barque*.
Ma longue fréquentation des femmes, particulièrement des cavalières
(cette élite) m'a appris qu'elles sont très fortes pour laisser les
hommes croire que ce sont eux qui gouvernent le monde.
Ce cher mammifère du nom de Ghost-Rider nous susurrait, le mardi 19/11/2013, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <l6gg3m$k3h$, les doux mélismes suivants :
Je trouve que cette fille est beaucoup plus intelligente qu'on ne le croit. *Elle joue les bimbos écervelées mais elle mène très bien sa barque*.
Ma longue fréquentation des femmes, particulièrement des cavalières (cette élite) m'a appris qu'elles sont très fortes pour laisser les hommes croire que ce sont eux qui gouvernent le monde.