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Carte de vœux, quoi mettre

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YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Je ne sais pas pourquoi, cette année je sèche sur ma carte de vœux.
Je n'ai que l'embarras du choix, pourtant, dans ma photothèque.
J'en ai fait une avec du gui, trop convenue pour mon goût.
Une autre avec une flûte de champagne, pire...
J'ai essayé une NB chic, un peu tristoune surtout que le passage en 8
bits n'a pas l'air de lui réussir.
Je mets quoi ? Un paysage, des fleurs ? Un graphisme asbtrait ?
Des zoulies couleurs ? Une fractale ? Un dessin ?
J'ai pas de père Noël à barbe en stock non plus...
Il faut que ça passe à peu près pour tout le monde...
Vous faites quoi, vous ? Claudepalmer, on sait, mais les autres ?

Noëlle Adam

10 réponses

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markorki
Ghost-Rider a écrit :

Si on a pris l'habitude de dépasser ses limites, on le peut d'autant
plus quand c'est vraiment nécessaire.



Attention, n'oublie pas que
"quand on dépasse les bornes, il n'y a plus de limites".
Je ne sais pas si la réciproque est vraie, je ne me souviens pas de
toute l'oeuvre philosophique dont j'ai tiré ma citation...
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Stephane Legras-Decussy
Le 06/01/2012 22:15, FiLH a écrit :

Pas forcément, loin de là... d'une part de plus en plus de gens
« normaux » sont tatoués donc on y rencontre des gens... normaux,
d'autre part les conditions d'hygiène et réglementaires actuelles font
que ce sont des endroits très clean.
Enfin, les tatoueurs que j'ai pu rencontrer sont des gens plutôt rangés,
avec femmes, enfants, tout le tralala quoi, de bons artisans qui aiment
leur métier,



c'est clair... en 2012 c'est même "anormal" de pas être tatoué.



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Ghost-Rider
Le 07/01/2012 00:18, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 06/01/2012 22:15, FiLH a écrit :

Pas forcément, loin de là... d'une part de plus en plus de gens
« normaux » sont tatoués donc on y rencontre des gens... normaux,
d'autre part les conditions d'hygiène et réglementaires actuelles font
que ce sont des endroits très clean.
Enfin, les tatoueurs que j'ai pu rencontrer sont des gens plutôt rangés,
avec femmes, enfants, tout le tralala quoi, de bons artisans qui aiment
leur métier,



c'est clair... en 2012 c'est même "anormal" de pas être tatoué.



Flûte, je suis anormal. Je le sentais bien depuis quelque temps mais je
refusais l'évidence.
Vous avez une adresse où je pourrais redevenir normal ?

--
Ghost Rider
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Ghost-Rider
Le 06/01/2012 22:58, René a écrit :


"Ghost-Rider" a écrit dans le message de groupe de discussion :

Ma fille a fait un reportage sur des tatoueurs. Voir le sang couler
sous les aiguilles n'est pas drôle à voir et ça a l'air de faire mal
aussi. Je retire donc "ni volonté", même si elle ne dure pas longtemps
par rapport à un entraînement culturiste.



Encore une fois je constate ton érudition dans le domaine équestre. Mais
il me semble manquer à tes commentaires quelques qualificatifs comme:
excessif, maladif, etc



Heu... Je ne vois pas bien le rapport entre les chevaux et le tatouage.
D'ailleurs, on ne tatoue pas les chevaux, on les puce, c'est obligatoire
(en France).
Je ne dirais pas que le tatouage est excessif, maladif ou autre, mais
j'ai un peu de mal avec quand même, question d'éducation évidemment.
Je ne juge pas les tatoués, il me semble qu'ils veulent se réapproprier
leur corps alors que dans les sociétés primitives, c'est au contraire
une marque d'appartenance de l'individu au groupe, comme la
circoncision, la clitoridectomie, les scarifications, le piercing, les
tatouages douloureux et les mutilations des yakuzas, les déformations
corporelles (négresses à plateaux, femmes-girafes, crânes allongés) etc..
Sociologiquement, ce retour identique dans ses formes mais inverse dans
sa signification, à des pratiques de sociétés primitives, est intéressant.

--
Ghost Rider
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filh
Ghost-Rider wrote:

Je ne dirais pas que le tatouage est excessif, maladif ou autre, mais
j'ai un peu de mal avec quand même, question d'éducation évidemment.
Je ne juge pas les tatoués, il me semble qu'ils veulent se réapproprier
leur corps alors que dans les sociétés primitives, c'est au contraire
une marque d'appartenance de l'individu au groupe, comme la
circoncision, la clitoridectomie, les scarifications, le piercing, les
tatouages douloureux et les mutilations des yakuzas, les déformations
corporelles (négresses à plateaux, femmes-girafes, crânes allongés) etc..
Sociologiquement, ce retour identique dans ses formes mais inverse dans
sa signification, à des pratiques de sociétés primitives, est intéressant.




D'un autre côté, un tatouage peut-etre quelque chose de très beau, donc
pourquoi pas en avoir un pour soi ? L'intérêt simplement esthétique ?

FiLH


--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
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filh
Stephane Legras-Decussy wrote:

Le 06/01/2012 22:15, FiLH a écrit :
>
> Pas forcément, loin de là... d'une part de plus en plus de gens
> « normaux » sont tatoués donc on y rencontre des gens... normaux,
> d'autre part les conditions d'hygiène et réglementaires actuelles font
> que ce sont des endroits très clean.
> Enfin, les tatoueurs que j'ai pu rencontrer sont des gens plutôt rangés,
> avec femmes, enfants, tout le tralala quoi, de bons artisans qui aiment
> leur métier,

c'est clair... en 2012 c'est même "anormal" de pas être tatoué.



Faut pas non plus dire des âneries...

FiLH

--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
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efji
Le 01/07/2012 05:56 PM, FiLH a écrit :
Stephane Legras-Decussy wrote:

c'est clair... en 2012 c'est même "anormal" de pas être tatoué.



Faut pas non plus dire des âneries...



Aux états-unis, 16% de la population a un tatouage,
36% des 18-25 ans et 40% des 26-40 ans.
http://www.effacertatouage.com/info-tatouage/40-millions-americains-tatoues/
Pas trouvé de stat identique pour la France, mais
ça doit être au moins aussi important chez les moins de 30 ans.

--
F.J.
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sebastienmarty
efji wrote:

Le 01/07/2012 05:56 PM, FiLH a écrit :
> Stephane Legras-Decussy wrote:
>>
>> c'est clair... en 2012 c'est même "anormal" de pas être tatoué.
>
> Faut pas non plus dire des âneries...

Aux états-unis, 16% de la population a un tatouage,



Il y aurait donc 84% d'anormaux ?

--
[SbM]
<http://sebastienmarty.free.fr> - <http://tradintosh.free.fr>
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"If the French were really intelligent, they'd speak English" (W. Sheed)
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Ghost-Rider
Le 07/01/2012 17:50, FiLH a écrit :

D'un autre côté, un tatouage peut-etre quelque chose de très beau, donc
pourquoi pas en avoir un pour soi ? L'intérêt simplement esthétique ?



La relativité des critères esthétiques m'a toujours intéressé.
Dans certaines sociétés, plus la femme est obèse, plus elle est belle...

Ces tatouages me font penser à ce passage de Moby Dick où le héros
découvre avec horreur qu'il va devoir passer la nuit dans le lit
d'auberge d'un authentique sauvage dont la face est tatouée comme un
échiquier.
Ledit authentique sauvage, à peine humain, lui sauvera plus tard la vie
en l'extrayant des entrailles d'une baleine (lui ou un autre, je ne sais
plus trop).

Ceci dit, les tatouages des yakuzas, ou d'autres, sont considérés comme
beaux, même par nous occidentaux.
http://img.over-blog.com/430x320/3/34/75/95/Angels/Angels2/Yakuza.jpg

Un petit papillon au creux des reins d'une fille, pourquoi pas ?

--
Ghost Rider
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filh
efji wrote:

Le 01/07/2012 05:56 PM, FiLH a écrit :
> Stephane Legras-Decussy wrote:
>>
>> c'est clair... en 2012 c'est même "anormal" de pas être tatoué.
>
> Faut pas non plus dire des âneries...

Aux états-unis, 16% de la population a un tatouage,
36% des 18-25 ans et 40% des 26-40 ans.
http://www.effacertatouage.com/info-tatouage/40-millions-americains-tatoues/
Pas trouvé de stat identique pour la France, mais
ça doit être au moins aussi important chez les moins de 30 ans.



Donc cela reste minoritaire, donc la normalité est de ne pas être
tatoué, donc Legras disait une fois de plus une ânerie.

Merci de confirmer ce que je disais.

FiLH


--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org