Je ne sais pas pourquoi, cette année je sèche sur ma carte de vœux.
Je n'ai que l'embarras du choix, pourtant, dans ma photothèque.
J'en ai fait une avec du gui, trop convenue pour mon goût.
Une autre avec une flûte de champagne, pire...
J'ai essayé une NB chic, un peu tristoune surtout que le passage en 8
bits n'a pas l'air de lui réussir.
Je mets quoi ? Un paysage, des fleurs ? Un graphisme asbtrait ?
Des zoulies couleurs ? Une fractale ? Un dessin ?
J'ai pas de père Noël à barbe en stock non plus...
Il faut que ça passe à peu près pour tout le monde...
Vous faites quoi, vous ? Claudepalmer, on sait, mais les autres ?
Le 06/01/2012 16:01, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 06/01/12 15:42, Ghost-Rider a écrit :
La souffrance, c'est un signal qui veut dire arrête ce truc.
Ou dépasse-la (Schwarzy dans Pumping iron).
Connerie. Le corps n'est jamais idiot, lui.
Schwarzy a tout gagné parce que le premier il a compris qu'il fallait aller plus loin que les autres. Ils l'ont reconnu (comme Tom Platz par exemple). On ne peut pas déclarer "con" un petit autrichien de province qui devient le plus grand culturiste de tous les temps, acteur richissime et gouverneur de l'état le plus riche des USA. Ça donne à réfléchir.
-- Ghost Rider
Le 06/01/2012 16:01, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 06/01/12 15:42, Ghost-Rider a écrit :
La souffrance, c'est un signal qui veut dire arrête ce truc.
Ou dépasse-la (Schwarzy dans Pumping iron).
Connerie. Le corps n'est jamais idiot, lui.
Schwarzy a tout gagné parce que le premier il a compris qu'il fallait
aller plus loin que les autres. Ils l'ont reconnu (comme Tom Platz par
exemple).
On ne peut pas déclarer "con" un petit autrichien de province qui
devient le plus grand culturiste de tous les temps, acteur richissime et
gouverneur de l'état le plus riche des USA.
Ça donne à réfléchir.
Le 06/01/2012 16:01, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 06/01/12 15:42, Ghost-Rider a écrit :
La souffrance, c'est un signal qui veut dire arrête ce truc.
Ou dépasse-la (Schwarzy dans Pumping iron).
Connerie. Le corps n'est jamais idiot, lui.
Schwarzy a tout gagné parce que le premier il a compris qu'il fallait aller plus loin que les autres. Ils l'ont reconnu (comme Tom Platz par exemple). On ne peut pas déclarer "con" un petit autrichien de province qui devient le plus grand culturiste de tous les temps, acteur richissime et gouverneur de l'état le plus riche des USA. Ça donne à réfléchir.
-- Ghost Rider
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 06/01/12 16:25, Ghost-Rider a écrit :
Le 06/01/2012 16:01, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 06/01/12 15:42, Ghost-Rider a écrit :
La souffrance, c'est un signal qui veut dire arrête ce truc.
Ou dépasse-la (Schwarzy dans Pumping iron).
Connerie. Le corps n'est jamais idiot, lui.
Schwarzy a tout gagné parce que le premier il a compris qu'il fallait aller plus loin que les autres. Ils l'ont reconnu (comme Tom Platz par exemple). On ne peut pas déclarer "con" un petit autrichien de province qui devient le plus grand culturiste de tous les temps, acteur richissime et gouverneur de l'état le plus riche des USA. Ça donne à réfléchir.
Ah, pourquoi on ne peut pas ? Riche et célèbre ça veut dire pas con, ça veut dire respectueux de son corps et en bonne santé physique et morale ? Je n'ai d'ailleurs pas dit que Schwarzy était con, mais que continuer quand le corps dit d'arrêter par de la souffrance, c'est con. Ignorer les signaux du corps, que ça soit la fatigue, la faim, la soif, la satiété, la douleur ou le sommeil, c'est bête et dangereux. Il arrive qu'on le fasse dans des circonstances extrémes, parce qu'il s'agit de sauver sa peau (ou celle d'un autre) mais en faire un système, c'est un désordre.
Noëlle Adam
Le 06/01/12 16:25, Ghost-Rider a écrit :
Le 06/01/2012 16:01, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 06/01/12 15:42, Ghost-Rider a écrit :
La souffrance, c'est un signal qui veut dire arrête ce truc.
Ou dépasse-la (Schwarzy dans Pumping iron).
Connerie. Le corps n'est jamais idiot, lui.
Schwarzy a tout gagné parce que le premier il a compris qu'il fallait
aller plus loin que les autres. Ils l'ont reconnu (comme Tom Platz par
exemple).
On ne peut pas déclarer "con" un petit autrichien de province qui
devient le plus grand culturiste de tous les temps, acteur richissime et
gouverneur de l'état le plus riche des USA.
Ça donne à réfléchir.
Ah, pourquoi on ne peut pas ? Riche et célèbre ça veut dire pas con, ça
veut dire respectueux de son corps et en bonne santé physique et morale
? Je n'ai d'ailleurs pas dit que Schwarzy était con, mais que continuer
quand le corps dit d'arrêter par de la souffrance, c'est con.
Ignorer les signaux du corps, que ça soit la fatigue, la faim, la soif,
la satiété, la douleur ou le sommeil, c'est bête et dangereux.
Il arrive qu'on le fasse dans des circonstances extrémes, parce qu'il
s'agit de sauver sa peau (ou celle d'un autre) mais en faire un système,
c'est un désordre.
Le 06/01/2012 16:01, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 06/01/12 15:42, Ghost-Rider a écrit :
La souffrance, c'est un signal qui veut dire arrête ce truc.
Ou dépasse-la (Schwarzy dans Pumping iron).
Connerie. Le corps n'est jamais idiot, lui.
Schwarzy a tout gagné parce que le premier il a compris qu'il fallait aller plus loin que les autres. Ils l'ont reconnu (comme Tom Platz par exemple). On ne peut pas déclarer "con" un petit autrichien de province qui devient le plus grand culturiste de tous les temps, acteur richissime et gouverneur de l'état le plus riche des USA. Ça donne à réfléchir.
Ah, pourquoi on ne peut pas ? Riche et célèbre ça veut dire pas con, ça veut dire respectueux de son corps et en bonne santé physique et morale ? Je n'ai d'ailleurs pas dit que Schwarzy était con, mais que continuer quand le corps dit d'arrêter par de la souffrance, c'est con. Ignorer les signaux du corps, que ça soit la fatigue, la faim, la soif, la satiété, la douleur ou le sommeil, c'est bête et dangereux. Il arrive qu'on le fasse dans des circonstances extrémes, parce qu'il s'agit de sauver sa peau (ou celle d'un autre) mais en faire un système, c'est un désordre.
Noëlle Adam
Ghost-Rider
Le 06/01/2012 16:25, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 06/01/12 15:42, Ghost-Rider a écrit :
Initiateur ou au moins divulgateur de la méthode : Schwarzy, comme souvent.
J'ai pas les même lectures, j'étais tombée sur un article dans Pour la science.
Ouh lààààà... J'aime bien "Pour la science" mais tu ne risques pas d'y apprendre grand'chose sur la "pratique" du culturisme. Ce ne sont pas des pratiquants. Il faut lire Flex, ou toute l'oeuvre de Jean Texier.
Dans le dico , le sens d'effort ne vient qu'en 4ème sens, après 3 douleurs.
Oui ben dans le mien (le webster en ligne) c'est punition en numéro un,
Oui, bon, moi j'en ai plein, hein des dicos... et des imprimés : Chambers, Collins, Websters, Oxford (2 éditions 1963 et 1997), Roget's thesaurus (le grand et le petit)... Ils mettent tous effort bien après douleur, et parfois ne le citent pas.
Quant au Webster's en ligne, il dit ceci : Definition of PAIN 1 : punishment 2 a : usu. localized physical suffering associated with bodily disorder (as a disease or an injury); also : a basic bodily sensation induced by a noxious stimulus, received by naked nerve endings, characterized by physical discomfort (as pricking, throbbing, or aching), and typically leading to evasive action b : acute mental or emotional distress or suffering : grief 3 plural : the throes of childbirth 4 plural : trouble, care, or effort taken to accomplish something <was at pains to reassure us> 5 : one that irks or annoys or is otherwise troublesome —often used in such phrases as pain in the neck — pain·less adjective — pain·less·ly adverb — pain·less·ness noun — on pain of or under pain of : subject to penalty or punishment of <made to leave the country on pain of death>
On voit que tu as fait un glissement sémantique car tu as dit ceci : "D'ailleurs le mot pain en anglais dans ce contexte veut dire effort (on n'a rien sans peine) et non douleur (on n'a rien sans souffrance)." C'est toi qui dit maintenant que punishment c'est effort, pas le dico. Dans le Webster en ligne, effort est bien en 4ème position.
alors ton truc de maso...C'est pas l'ordre dans le dictionnaire qui donne le sens, ça serait drôle non ?
Je te renvoie à la lecture ATTENTIVE de ton dico. les dicos vont toujours du sens général aux sens particuliers, justement pour éviter les contre-sens des gens trop pressés.
-- Ghost Rider
Le 06/01/2012 16:25, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 06/01/12 15:42, Ghost-Rider a écrit :
Initiateur ou au moins divulgateur de la méthode : Schwarzy, comme
souvent.
J'ai pas les même lectures, j'étais tombée sur un article dans Pour la
science.
Ouh lààààà... J'aime bien "Pour la science" mais tu ne risques pas d'y
apprendre grand'chose sur la "pratique" du culturisme. Ce ne sont pas
des pratiquants.
Il faut lire Flex, ou toute l'oeuvre de Jean Texier.
Dans le dico , le sens d'effort ne vient qu'en 4ème sens, après 3
douleurs.
Oui ben dans le mien (le webster en ligne) c'est punition en numéro un,
Oui, bon, moi j'en ai plein, hein des dicos... et des imprimés :
Chambers, Collins, Websters, Oxford (2 éditions 1963 et 1997), Roget's
thesaurus (le grand et le petit)... Ils mettent tous effort bien après
douleur, et parfois ne le citent pas.
Quant au Webster's en ligne, il dit ceci :
Definition of PAIN
1
: punishment
2
a : usu. localized physical suffering associated with bodily disorder
(as a disease or an injury); also : a basic bodily sensation induced by
a noxious stimulus, received by naked nerve endings, characterized by
physical discomfort (as pricking, throbbing, or aching), and typically
leading to evasive action b : acute mental or emotional distress or
suffering : grief
3
plural : the throes of childbirth
4
plural : trouble, care, or effort taken to accomplish something <was at
pains to reassure us>
5
: one that irks or annoys or is otherwise troublesome —often used in
such phrases as pain in the neck
— pain·less adjective
— pain·less·ly adverb
— pain·less·ness noun
— on pain of or under pain of
: subject to penalty or punishment of <made to leave the country on pain
of death>
On voit que tu as fait un glissement sémantique car tu as dit ceci :
"D'ailleurs le mot pain en anglais dans ce contexte veut dire effort (on
n'a rien sans peine) et non douleur (on n'a rien sans souffrance)."
C'est toi qui dit maintenant que punishment c'est effort, pas le dico.
Dans le Webster en ligne, effort est bien en 4ème position.
alors ton truc de maso...C'est pas l'ordre dans le dictionnaire qui
donne le sens, ça serait drôle non ?
Je te renvoie à la lecture ATTENTIVE de ton dico.
les dicos vont toujours du sens général aux sens particuliers, justement
pour éviter les contre-sens des gens trop pressés.
Le 06/01/2012 16:25, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 06/01/12 15:42, Ghost-Rider a écrit :
Initiateur ou au moins divulgateur de la méthode : Schwarzy, comme souvent.
J'ai pas les même lectures, j'étais tombée sur un article dans Pour la science.
Ouh lààààà... J'aime bien "Pour la science" mais tu ne risques pas d'y apprendre grand'chose sur la "pratique" du culturisme. Ce ne sont pas des pratiquants. Il faut lire Flex, ou toute l'oeuvre de Jean Texier.
Dans le dico , le sens d'effort ne vient qu'en 4ème sens, après 3 douleurs.
Oui ben dans le mien (le webster en ligne) c'est punition en numéro un,
Oui, bon, moi j'en ai plein, hein des dicos... et des imprimés : Chambers, Collins, Websters, Oxford (2 éditions 1963 et 1997), Roget's thesaurus (le grand et le petit)... Ils mettent tous effort bien après douleur, et parfois ne le citent pas.
Quant au Webster's en ligne, il dit ceci : Definition of PAIN 1 : punishment 2 a : usu. localized physical suffering associated with bodily disorder (as a disease or an injury); also : a basic bodily sensation induced by a noxious stimulus, received by naked nerve endings, characterized by physical discomfort (as pricking, throbbing, or aching), and typically leading to evasive action b : acute mental or emotional distress or suffering : grief 3 plural : the throes of childbirth 4 plural : trouble, care, or effort taken to accomplish something <was at pains to reassure us> 5 : one that irks or annoys or is otherwise troublesome —often used in such phrases as pain in the neck — pain·less adjective — pain·less·ly adverb — pain·less·ness noun — on pain of or under pain of : subject to penalty or punishment of <made to leave the country on pain of death>
On voit que tu as fait un glissement sémantique car tu as dit ceci : "D'ailleurs le mot pain en anglais dans ce contexte veut dire effort (on n'a rien sans peine) et non douleur (on n'a rien sans souffrance)." C'est toi qui dit maintenant que punishment c'est effort, pas le dico. Dans le Webster en ligne, effort est bien en 4ème position.
alors ton truc de maso...C'est pas l'ordre dans le dictionnaire qui donne le sens, ça serait drôle non ?
Je te renvoie à la lecture ATTENTIVE de ton dico. les dicos vont toujours du sens général aux sens particuliers, justement pour éviter les contre-sens des gens trop pressés.
-- Ghost Rider
Ghost-Rider
Le 06/01/2012 16:42, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 06/01/12 16:25, Ghost-Rider a écrit :
On ne peut pas déclarer "con" un petit autrichien de province qui devient le plus grand culturiste de tous les temps, acteur richissime et gouverneur de l'état le plus riche des USA. Ça donne à réfléchir.
Ah, pourquoi on ne peut pas ? Riche et célèbre ça veut dire pas con, ça veut dire respectueux de son corps et en bonne santé physique et morale ? Je n'ai d'ailleurs pas dit que Schwarzy était con, mais que continuer quand le corps dit d'arrêter par de la souffrance, c'est con.
Non, ce n'est pas "con", c'est justement super-intelligent. C'est là où commencent ceux qui sortiront du lot. Mais justement, seuls les gens intelligents le comprennent et l'appliquent à eux-mêmes.
Ignorer les signaux du corps, que ça soit la fatigue, la faim, la soif, la satiété, la douleur ou le sommeil, c'est bête et dangereux.
Ça fait reculer les limites et l'apparition de la souffrance. C'est comme ça qu'on progresse.
Il arrive qu'on le fasse dans des circonstances extrémes, parce qu'il s'agit de sauver sa peau (ou celle d'un autre) mais en faire un système, c'est un désordre.
Si on a pris l'habitude de dépasser ses limites, on le peut d'autant plus quand c'est vraiment nécessaire.
-- Ghost Rider
Le 06/01/2012 16:42, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 06/01/12 16:25, Ghost-Rider a écrit :
On ne peut pas déclarer "con" un petit autrichien de province qui
devient le plus grand culturiste de tous les temps, acteur richissime et
gouverneur de l'état le plus riche des USA.
Ça donne à réfléchir.
Ah, pourquoi on ne peut pas ? Riche et célèbre ça veut dire pas con, ça
veut dire respectueux de son corps et en bonne santé physique et morale
? Je n'ai d'ailleurs pas dit que Schwarzy était con, mais que continuer
quand le corps dit d'arrêter par de la souffrance, c'est con.
Non, ce n'est pas "con", c'est justement super-intelligent. C'est là où
commencent ceux qui sortiront du lot. Mais justement, seuls les gens
intelligents le comprennent et l'appliquent à eux-mêmes.
Ignorer les signaux du corps, que ça soit la fatigue, la faim, la soif,
la satiété, la douleur ou le sommeil, c'est bête et dangereux.
Ça fait reculer les limites et l'apparition de la souffrance. C'est
comme ça qu'on progresse.
Il arrive qu'on le fasse dans des circonstances extrémes, parce qu'il
s'agit de sauver sa peau (ou celle d'un autre) mais en faire un système,
c'est un désordre.
Si on a pris l'habitude de dépasser ses limites, on le peut d'autant
plus quand c'est vraiment nécessaire.
Le 06/01/2012 16:42, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 06/01/12 16:25, Ghost-Rider a écrit :
On ne peut pas déclarer "con" un petit autrichien de province qui devient le plus grand culturiste de tous les temps, acteur richissime et gouverneur de l'état le plus riche des USA. Ça donne à réfléchir.
Ah, pourquoi on ne peut pas ? Riche et célèbre ça veut dire pas con, ça veut dire respectueux de son corps et en bonne santé physique et morale ? Je n'ai d'ailleurs pas dit que Schwarzy était con, mais que continuer quand le corps dit d'arrêter par de la souffrance, c'est con.
Non, ce n'est pas "con", c'est justement super-intelligent. C'est là où commencent ceux qui sortiront du lot. Mais justement, seuls les gens intelligents le comprennent et l'appliquent à eux-mêmes.
Ignorer les signaux du corps, que ça soit la fatigue, la faim, la soif, la satiété, la douleur ou le sommeil, c'est bête et dangereux.
Ça fait reculer les limites et l'apparition de la souffrance. C'est comme ça qu'on progresse.
Il arrive qu'on le fasse dans des circonstances extrémes, parce qu'il s'agit de sauver sa peau (ou celle d'un autre) mais en faire un système, c'est un désordre.
Si on a pris l'habitude de dépasser ses limites, on le peut d'autant plus quand c'est vraiment nécessaire.
-- Ghost Rider
£g
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de news: 4f071ba5$0$5709$
Le 06/01/2012 16:42, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 06/01/12 16:25, Ghost-Rider a écrit :
Ça fait reculer les limites et l'apparition de la souffrance. C'est comme ça qu'on progresse.
Il arrive qu'on le fasse dans des circonstances extrémes, parce qu'il s'agit de sauver sa peau (ou celle d'un autre) mais en faire un système, c'est un désordre.
Si on a pris l'habitude de dépasser ses limites, on le peut d'autant plus quand c'est vraiment nécessaire.
Ne pas se mettre la tête dans le sable, pour continuer avec la douleur, Oxicontin, on commence avec 5 mg, puis 20mg, puis 40, dose à ne pas dépasser 60mg journalier. Je connais, mais quand faut arrêter, bonjour les angoisses et tout le toutim qui va avec.
-- £g
"Ghost-Rider" <Ghost-Rider@compuserve.com> a écrit dans le message de
news: 4f071ba5$0$5709$ba4acef3@reader.news.orange.fr...
Le 06/01/2012 16:42, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 06/01/12 16:25, Ghost-Rider a écrit :
Ça fait reculer les limites et l'apparition de la souffrance. C'est
comme ça qu'on progresse.
Il arrive qu'on le fasse dans des circonstances extrémes, parce qu'il
s'agit de sauver sa peau (ou celle d'un autre) mais en faire un
système,
c'est un désordre.
Si on a pris l'habitude de dépasser ses limites, on le peut d'autant
plus quand c'est vraiment nécessaire.
Ne pas se mettre la tête dans le sable, pour continuer avec la douleur,
Oxicontin, on commence avec 5 mg, puis 20mg, puis 40, dose à ne pas
dépasser 60mg journalier.
Je connais, mais quand faut arrêter, bonjour les angoisses et tout le
toutim qui va avec.
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de news: 4f071ba5$0$5709$
Le 06/01/2012 16:42, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 06/01/12 16:25, Ghost-Rider a écrit :
Ça fait reculer les limites et l'apparition de la souffrance. C'est comme ça qu'on progresse.
Il arrive qu'on le fasse dans des circonstances extrémes, parce qu'il s'agit de sauver sa peau (ou celle d'un autre) mais en faire un système, c'est un désordre.
Si on a pris l'habitude de dépasser ses limites, on le peut d'autant plus quand c'est vraiment nécessaire.
Ne pas se mettre la tête dans le sable, pour continuer avec la douleur, Oxicontin, on commence avec 5 mg, puis 20mg, puis 40, dose à ne pas dépasser 60mg journalier. Je connais, mais quand faut arrêter, bonjour les angoisses et tout le toutim qui va avec.
-- £g
Ghost-Rider
Le 06/01/2012 18:53, £g a écrit :
Ne pas se mettre la tête dans le sable, pour continuer avec la douleur, Oxicontin, on commence avec 5 mg, puis 20mg, puis 40, dose à ne pas dépasser 60mg journalier. Je connais, mais quand faut arrêter, bonjour les angoisses et tout le toutim qui va avec.
Oui, mais il faut être très prudent, parce que, comme dit Noëlle, la douleur est un signal. Après le seuil de douleur, on pourra encore faire quelques répétitions, ce seront elles qui seront les plus bénéfiques. Outrepasser ce signal peut ainsi permettre de progresser jusqu'à ce que la douleur devienne telle qu'elle soit invalidante mais le supprimer peut mener à de graves accidents.
-- Ghost Rider
Le 06/01/2012 18:53, £g a écrit :
Ne pas se mettre la tête dans le sable, pour continuer avec la douleur,
Oxicontin, on commence avec 5 mg, puis 20mg, puis 40, dose à ne pas
dépasser 60mg journalier.
Je connais, mais quand faut arrêter, bonjour les angoisses et tout le
toutim qui va avec.
Oui, mais il faut être très prudent, parce que, comme dit Noëlle, la
douleur est un signal. Après le seuil de douleur, on pourra encore faire
quelques répétitions, ce seront elles qui seront les plus bénéfiques.
Outrepasser ce signal peut ainsi permettre de progresser jusqu'à ce que
la douleur devienne telle qu'elle soit invalidante mais le supprimer
peut mener à de graves accidents.
Ne pas se mettre la tête dans le sable, pour continuer avec la douleur, Oxicontin, on commence avec 5 mg, puis 20mg, puis 40, dose à ne pas dépasser 60mg journalier. Je connais, mais quand faut arrêter, bonjour les angoisses et tout le toutim qui va avec.
Oui, mais il faut être très prudent, parce que, comme dit Noëlle, la douleur est un signal. Après le seuil de douleur, on pourra encore faire quelques répétitions, ce seront elles qui seront les plus bénéfiques. Outrepasser ce signal peut ainsi permettre de progresser jusqu'à ce que la douleur devienne telle qu'elle soit invalidante mais le supprimer peut mener à de graves accidents.
-- Ghost Rider
£g
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de news: 4f074a3d$0$2533$
Le 06/01/2012 18:53, £g a écrit :
Ne pas se mettre la tête dans le sable, pour continuer avec la douleur, Oxicontin, on commence avec 5 mg, puis 20mg, puis 40, dose à ne pas dépasser 60mg journalier. Je connais, mais quand faut arrêter, bonjour les angoisses et tout le toutim qui va avec.
Oui, mais il faut être très prudent, parce que, comme dit Noëlle, la douleur est un signal. Après le seuil de douleur, on pourra encore faire quelques répétitions, ce seront elles qui seront les plus bénéfiques. Outrepasser ce signal peut ainsi permettre de progresser jusqu'à ce que la douleur devienne telle qu'elle soit invalidante mais le supprimer peut mener à de graves accidents.
Comme dirait une de mes connaissances, lorsque l'on a passer 50 ans et quand le matin on se réveil en n'ayant mal nul part, c'est qu'on est mort. La douleur, apprendre à vivre avec et tenter de la maîtriser (dans sa tête) avec un minimum de " supports " physiques (anti-douleurs). Je bricole, trois quatre heures par jour, quand tout va bien, sinon, ben j'attend que ça passe, si ça passe pas, alors sup... avec ce qui en résulte. Faut vivre quand même et avec les autres.
-- £g
"Ghost-Rider" <Ghost-Rider@compuserve.com> a écrit dans le message de
news: 4f074a3d$0$2533$ba4acef3@reader.news.orange.fr...
Le 06/01/2012 18:53, £g a écrit :
Ne pas se mettre la tête dans le sable, pour continuer avec la
douleur,
Oxicontin, on commence avec 5 mg, puis 20mg, puis 40, dose à ne pas
dépasser 60mg journalier.
Je connais, mais quand faut arrêter, bonjour les angoisses et tout le
toutim qui va avec.
Oui, mais il faut être très prudent, parce que, comme dit Noëlle, la
douleur est un signal. Après le seuil de douleur, on pourra encore
faire quelques répétitions, ce seront elles qui seront les plus
bénéfiques.
Outrepasser ce signal peut ainsi permettre de progresser jusqu'à ce
que la douleur devienne telle qu'elle soit invalidante mais le
supprimer peut mener à de graves accidents.
Comme dirait une de mes connaissances, lorsque l'on a passer 50 ans et
quand le matin on se réveil en n'ayant mal nul part, c'est qu'on est
mort.
La douleur, apprendre à vivre avec et tenter de la maîtriser (dans sa
tête) avec un minimum de " supports " physiques (anti-douleurs).
Je bricole, trois quatre heures par jour, quand tout va bien, sinon, ben
j'attend que ça passe, si ça passe pas, alors sup... avec ce qui en
résulte.
Faut vivre quand même et avec les autres.
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de news: 4f074a3d$0$2533$
Le 06/01/2012 18:53, £g a écrit :
Ne pas se mettre la tête dans le sable, pour continuer avec la douleur, Oxicontin, on commence avec 5 mg, puis 20mg, puis 40, dose à ne pas dépasser 60mg journalier. Je connais, mais quand faut arrêter, bonjour les angoisses et tout le toutim qui va avec.
Oui, mais il faut être très prudent, parce que, comme dit Noëlle, la douleur est un signal. Après le seuil de douleur, on pourra encore faire quelques répétitions, ce seront elles qui seront les plus bénéfiques. Outrepasser ce signal peut ainsi permettre de progresser jusqu'à ce que la douleur devienne telle qu'elle soit invalidante mais le supprimer peut mener à de graves accidents.
Comme dirait une de mes connaissances, lorsque l'on a passer 50 ans et quand le matin on se réveil en n'ayant mal nul part, c'est qu'on est mort. La douleur, apprendre à vivre avec et tenter de la maîtriser (dans sa tête) avec un minimum de " supports " physiques (anti-douleurs). Je bricole, trois quatre heures par jour, quand tout va bien, sinon, ben j'attend que ça passe, si ça passe pas, alors sup... avec ce qui en résulte. Faut vivre quand même et avec les autres.
-- £g
vincent
On 06/01/2012 20:33, £g wrote:
Comme dirait une de mes connaissances, lorsque l'on a passer 50 ans et quand le matin on se réveil en n'ayant mal nul part, c'est qu'on est mort.
ben, je suis mort :(
-- vincent.
On 06/01/2012 20:33, £g wrote:
Comme dirait une de mes connaissances, lorsque l'on a passer 50 ans et
quand le matin on se réveil en n'ayant mal nul part, c'est qu'on est
mort.