"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49d8ab73$0$16674$Précisément, les licences varient beaucoup et si elles ont en général
en commun d'autoriser la diffusion gratuitement avec des contraintes
légères ou nulles, ce n'est pas la même chose pour l'exécution
publique, et surtout, cela ne saurait porter atteinte aux droits des
arrangeurs et interprètes.
Le droit des arrangeurs et des interprètes, et en général de toute
modification ou adaptation, est parfois spécifié dans la license,
notamment Creative Common. L'exécution publique est également
habituellement libre.
"Albert ARIBAUD" <albert.aribaud@free.fr> a écrit dans le message de
news:49d8ab73$0$16674$426a74cc@news.free.fr...
Précisément, les licences varient beaucoup et si elles ont en général
en commun d'autoriser la diffusion gratuitement avec des contraintes
légères ou nulles, ce n'est pas la même chose pour l'exécution
publique, et surtout, cela ne saurait porter atteinte aux droits des
arrangeurs et interprètes.
Le droit des arrangeurs et des interprètes, et en général de toute
modification ou adaptation, est parfois spécifié dans la license,
notamment Creative Common. L'exécution publique est également
habituellement libre.
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49d8ab73$0$16674$Précisément, les licences varient beaucoup et si elles ont en général
en commun d'autoriser la diffusion gratuitement avec des contraintes
légères ou nulles, ce n'est pas la même chose pour l'exécution
publique, et surtout, cela ne saurait porter atteinte aux droits des
arrangeurs et interprètes.
Le droit des arrangeurs et des interprètes, et en général de toute
modification ou adaptation, est parfois spécifié dans la license,
notamment Creative Common. L'exécution publique est également
habituellement libre.
> !!!
La correction et le *droit*, le Code de la propriété intellectuelle
stipule que l'auteur d'une oeuvre de l'esprit jouit sur cette oeuvre,
*du seul fait de sa création*, d'un droit de propriété incorporelle
exclusif et opposable à tous. Ces droits persistent au bénéfice de ses
ayants droits pendant l'année civile en cours et les soixante-dix
années qui suivent.
> !!!
La correction et le *droit*, le Code de la propriété intellectuelle
stipule que l'auteur d'une oeuvre de l'esprit jouit sur cette oeuvre,
*du seul fait de sa création*, d'un droit de propriété incorporelle
exclusif et opposable à tous. Ces droits persistent au bénéfice de ses
ayants droits pendant l'année civile en cours et les soixante-dix
années qui suivent.
> !!!
La correction et le *droit*, le Code de la propriété intellectuelle
stipule que l'auteur d'une oeuvre de l'esprit jouit sur cette oeuvre,
*du seul fait de sa création*, d'un droit de propriété incorporelle
exclusif et opposable à tous. Ces droits persistent au bénéfice de ses
ayants droits pendant l'année civile en cours et les soixante-dix
années qui suivent.
Marc-Antoine wrote:> !!!
La correction et le *droit*, le Code de la propriété intellectuelle
stipule que l'auteur d'une oeuvre de l'esprit jouit sur cette oeuvre,
*du seul fait de sa création*, d'un droit de propriété incorporelle
exclusif et opposable à tous. Ces droits persistent au bénéfice de ses
ayants droits pendant l'année civile en cours et les soixante-dix
années qui suivent.
N'est-ce-pas l'année civile en cours le jour de son décès ?
Et quelles sont les différentes durées de ces droits suivant le type
d'½uvre ? Artistique, scientifique, logicielle...
Parce que la loi fait
une différence assez importante suivant le type d'intellectuel qu'est le
créateur.
Marc-Antoine <antoine@marcom.invalid> wrote:
> !!!
La correction et le *droit*, le Code de la propriété intellectuelle
stipule que l'auteur d'une oeuvre de l'esprit jouit sur cette oeuvre,
*du seul fait de sa création*, d'un droit de propriété incorporelle
exclusif et opposable à tous. Ces droits persistent au bénéfice de ses
ayants droits pendant l'année civile en cours et les soixante-dix
années qui suivent.
N'est-ce-pas l'année civile en cours le jour de son décès ?
Et quelles sont les différentes durées de ces droits suivant le type
d'½uvre ? Artistique, scientifique, logicielle...
Parce que la loi fait
une différence assez importante suivant le type d'intellectuel qu'est le
créateur.
Marc-Antoine wrote:> !!!
La correction et le *droit*, le Code de la propriété intellectuelle
stipule que l'auteur d'une oeuvre de l'esprit jouit sur cette oeuvre,
*du seul fait de sa création*, d'un droit de propriété incorporelle
exclusif et opposable à tous. Ces droits persistent au bénéfice de ses
ayants droits pendant l'année civile en cours et les soixante-dix
années qui suivent.
N'est-ce-pas l'année civile en cours le jour de son décès ?
Et quelles sont les différentes durées de ces droits suivant le type
d'½uvre ? Artistique, scientifique, logicielle...
Parce que la loi fait
une différence assez importante suivant le type d'intellectuel qu'est le
créateur.
La réponse n'est pas imparfaite, elle est orientée. Il y a des tas de
musiques dans le domaine public ou libres, la musique industrielle n'est
qu'un cas particulier parmi beaucoup d'autres. C'est de la propagande que
de faire croire que c'est le cas général. Quand on n'a pas assez d'élément
pour répondre, soit on envisage plusieurs cas, soit on pose la question.
La réponse n'est pas imparfaite, elle est orientée. Il y a des tas de
musiques dans le domaine public ou libres, la musique industrielle n'est
qu'un cas particulier parmi beaucoup d'autres. C'est de la propagande que
de faire croire que c'est le cas général. Quand on n'a pas assez d'élément
pour répondre, soit on envisage plusieurs cas, soit on pose la question.
La réponse n'est pas imparfaite, elle est orientée. Il y a des tas de
musiques dans le domaine public ou libres, la musique industrielle n'est
qu'un cas particulier parmi beaucoup d'autres. C'est de la propagande que
de faire croire que c'est le cas général. Quand on n'a pas assez d'élément
pour répondre, soit on envisage plusieurs cas, soit on pose la question.
Et vous croyez que *vos* éléments, sont absolument indiscutables ?
Alors, et sans commentaires, voici des éléments de droit, car vous n'en
citez aucun non plus.
Code de la propriété intellectuelle :
Et vous croyez que *vos* éléments, sont absolument indiscutables ?
Alors, et sans commentaires, voici des éléments de droit, car vous n'en
citez aucun non plus.
Code de la propriété intellectuelle :
Et vous croyez que *vos* éléments, sont absolument indiscutables ?
Alors, et sans commentaires, voici des éléments de droit, car vous n'en
citez aucun non plus.
Code de la propriété intellectuelle :
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49d8c3ee$0$29086$Euh, vous confondez le droit pour les arrangeurs d'arranger et pour les
interprètes d'interpréter, dont parle la CC, et le droit qu'ont les
arrangeurs sur leurs arrangements et les interprètes sur leurs
interprétations. La CC ne saurait restreindre ces droits, et précise
d'ailleurs explicitement qu'elle ne le fait pas.
Je crois que le mieux est de donner le synopsis des différentes liecnces
Creative Commons, qui sont d'ailleurs sur le site
(http://creativecommons.org/), pour te montrer que tu n'a pas toujours
raison.
- Attribution
Droit de distribuer et d'adapter l'oeuvre, obligation de citer l'auteur
et la licence.
- Attribution - No Derivative
Droit de seulement distribuer l'oeuvre, obligation de citer l'auteur et
la licence.
- Attribution - Noncommercial - No derivative Droit de seulement
distribuer l'oeuvre, mais pas dans un but commercial, obligation de
citer l'auteur et la licence. - Attribution - Noncommercial
Droit de distribuer et d'adapter l'oeuvre, mais pas dans un but
commercial, obligation de citer l'auteur et la licence. - Attribution -
Noncommercial - Share Alike Droit de distribuer et d'adapter l'oeuvre,
mais pas dans un but commercial, obligation de citer l'auteur et la
licence, *obligation de mettre les adaptations sous la même licence ou
similaire.* - Attribution - Share Alike
Droit de distribuer et d'adapter l'oeuvre, obligation de citer l'auteur
et la licence, *obligation de mettre les adaptations sous la même
licence ou similaire.*
Tu vois que dans les licences "Share Alike", les arrangements,
interprétations, et autres adaptations doivent aussi être sous licence
Share Alike, donc autoriser la distribution et l'adaptation, ce qui est
quand même la moindre des choses (je veux dire, du point de vue d'un
artiste, qui n'est pas forcément celui d'un légiste ou d'un commercial,
qui souvent parlent de ce qu'ils ne veulent pas connaître.)
De fait, elle ne contient aucune obligation de renoncer aux droit nés
de l' "oeuvre dite Dérivée" selons ses termes, qu'est un arrangement,
ni à ceux nés d'une exécution de ladite oeuvre dérivée.
Aucune obligation ne veut pas dire que ça n'existe pas.
Il y a moyen
d'obliger de renoncer à interdire la diffusion avec les licences Share
Alike.
Il faut une conclusion? Bon ben, disons, bon ne veut pas dire con.
"Albert ARIBAUD" <albert.aribaud@free.fr> a écrit dans le message de
news:49d8c3ee$0$29086$426a34cc@news.free.fr...
Euh, vous confondez le droit pour les arrangeurs d'arranger et pour les
interprètes d'interpréter, dont parle la CC, et le droit qu'ont les
arrangeurs sur leurs arrangements et les interprètes sur leurs
interprétations. La CC ne saurait restreindre ces droits, et précise
d'ailleurs explicitement qu'elle ne le fait pas.
Je crois que le mieux est de donner le synopsis des différentes liecnces
Creative Commons, qui sont d'ailleurs sur le site
(http://creativecommons.org/), pour te montrer que tu n'a pas toujours
raison.
- Attribution
Droit de distribuer et d'adapter l'oeuvre, obligation de citer l'auteur
et la licence.
- Attribution - No Derivative
Droit de seulement distribuer l'oeuvre, obligation de citer l'auteur et
la licence.
- Attribution - Noncommercial - No derivative Droit de seulement
distribuer l'oeuvre, mais pas dans un but commercial, obligation de
citer l'auteur et la licence. - Attribution - Noncommercial
Droit de distribuer et d'adapter l'oeuvre, mais pas dans un but
commercial, obligation de citer l'auteur et la licence. - Attribution -
Noncommercial - Share Alike Droit de distribuer et d'adapter l'oeuvre,
mais pas dans un but commercial, obligation de citer l'auteur et la
licence, *obligation de mettre les adaptations sous la même licence ou
similaire.* - Attribution - Share Alike
Droit de distribuer et d'adapter l'oeuvre, obligation de citer l'auteur
et la licence, *obligation de mettre les adaptations sous la même
licence ou similaire.*
Tu vois que dans les licences "Share Alike", les arrangements,
interprétations, et autres adaptations doivent aussi être sous licence
Share Alike, donc autoriser la distribution et l'adaptation, ce qui est
quand même la moindre des choses (je veux dire, du point de vue d'un
artiste, qui n'est pas forcément celui d'un légiste ou d'un commercial,
qui souvent parlent de ce qu'ils ne veulent pas connaître.)
De fait, elle ne contient aucune obligation de renoncer aux droit nés
de l' "oeuvre dite Dérivée" selons ses termes, qu'est un arrangement,
ni à ceux nés d'une exécution de ladite oeuvre dérivée.
Aucune obligation ne veut pas dire que ça n'existe pas.
Il y a moyen
d'obliger de renoncer à interdire la diffusion avec les licences Share
Alike.
Il faut une conclusion? Bon ben, disons, bon ne veut pas dire con.
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49d8c3ee$0$29086$Euh, vous confondez le droit pour les arrangeurs d'arranger et pour les
interprètes d'interpréter, dont parle la CC, et le droit qu'ont les
arrangeurs sur leurs arrangements et les interprètes sur leurs
interprétations. La CC ne saurait restreindre ces droits, et précise
d'ailleurs explicitement qu'elle ne le fait pas.
Je crois que le mieux est de donner le synopsis des différentes liecnces
Creative Commons, qui sont d'ailleurs sur le site
(http://creativecommons.org/), pour te montrer que tu n'a pas toujours
raison.
- Attribution
Droit de distribuer et d'adapter l'oeuvre, obligation de citer l'auteur
et la licence.
- Attribution - No Derivative
Droit de seulement distribuer l'oeuvre, obligation de citer l'auteur et
la licence.
- Attribution - Noncommercial - No derivative Droit de seulement
distribuer l'oeuvre, mais pas dans un but commercial, obligation de
citer l'auteur et la licence. - Attribution - Noncommercial
Droit de distribuer et d'adapter l'oeuvre, mais pas dans un but
commercial, obligation de citer l'auteur et la licence. - Attribution -
Noncommercial - Share Alike Droit de distribuer et d'adapter l'oeuvre,
mais pas dans un but commercial, obligation de citer l'auteur et la
licence, *obligation de mettre les adaptations sous la même licence ou
similaire.* - Attribution - Share Alike
Droit de distribuer et d'adapter l'oeuvre, obligation de citer l'auteur
et la licence, *obligation de mettre les adaptations sous la même
licence ou similaire.*
Tu vois que dans les licences "Share Alike", les arrangements,
interprétations, et autres adaptations doivent aussi être sous licence
Share Alike, donc autoriser la distribution et l'adaptation, ce qui est
quand même la moindre des choses (je veux dire, du point de vue d'un
artiste, qui n'est pas forcément celui d'un légiste ou d'un commercial,
qui souvent parlent de ce qu'ils ne veulent pas connaître.)
De fait, elle ne contient aucune obligation de renoncer aux droit nés
de l' "oeuvre dite Dérivée" selons ses termes, qu'est un arrangement,
ni à ceux nés d'une exécution de ladite oeuvre dérivée.
Aucune obligation ne veut pas dire que ça n'existe pas.
Il y a moyen
d'obliger de renoncer à interdire la diffusion avec les licences Share
Alike.
Il faut une conclusion? Bon ben, disons, bon ne veut pas dire con.
Bonne question ; il faut lire le détail du Code de la Propriété
Intellectuelle (par exemple sur Légifrance, ou la version du Celog,
annotée de jugements et jurisprudences).
> Et quelles sont les différentes durées de ces droits suivant le type
> d'½uvre ? Artistique, scientifique, logicielle...
Le logiciel est une oeuvre de l'esprit, artistique par définition comme
les autres. Une oeuvre scientifique, c'est quoi ?
Quoi qu'il en soit, toutes les oeuvres sont couvertes dans les mêmes
durées.
Bonne question ; il faut lire le détail du Code de la Propriété
Intellectuelle (par exemple sur Légifrance, ou la version du Celog,
annotée de jugements et jurisprudences).
> Et quelles sont les différentes durées de ces droits suivant le type
> d'½uvre ? Artistique, scientifique, logicielle...
Le logiciel est une oeuvre de l'esprit, artistique par définition comme
les autres. Une oeuvre scientifique, c'est quoi ?
Quoi qu'il en soit, toutes les oeuvres sont couvertes dans les mêmes
durées.
Bonne question ; il faut lire le détail du Code de la Propriété
Intellectuelle (par exemple sur Légifrance, ou la version du Celog,
annotée de jugements et jurisprudences).
> Et quelles sont les différentes durées de ces droits suivant le type
> d'½uvre ? Artistique, scientifique, logicielle...
Le logiciel est une oeuvre de l'esprit, artistique par définition comme
les autres. Une oeuvre scientifique, c'est quoi ?
Quoi qu'il en soit, toutes les oeuvres sont couvertes dans les mêmes
durées.
Albert ARIBAUD wrote:Bonne question ; il faut lire le détail du Code de la Propriété
Intellectuelle (par exemple sur Légifrance, ou la version du Celog,
annotée de jugements et jurisprudences).
Je vais jeter un ½il.
Pour l'instant je vois que ce qui est du domaine « artistique »
dure 70 ans après le décès de l'inventeur et ce qui est une marque dure
5 ans après sa dernière utilisation.
J'ai plutôt intérêt à écrire une chanson quelconque dont le
titre est ma marque plutôt que de déposer ma marque. J'espère me tromper
;-)
> Et quelles sont les différentes durées de ces droits suivant le type
> d'½uvre ? Artistique, scientifique, logicielle...
Le logiciel est une oeuvre de l'esprit, artistique par définition comme
les autres. Une oeuvre scientifique, c'est quoi ?
Un théorème mathématique tel celui de Gödel, E=MC2...
Quoi qu'il en soit, toutes les oeuvres sont couvertes dans les mêmes
durées.
Pas ce qui INPIesque que je sache.
L'invention a une durée de vie de quelques années, comme
l'interprétation d'un ½uvre.
Les médicaments tombent dans le domaine public plus vite qu'un
enregistrement de Johnny.
C'est dire.
Albert ARIBAUD <albert.aribaud@free.fr> wrote:
Bonne question ; il faut lire le détail du Code de la Propriété
Intellectuelle (par exemple sur Légifrance, ou la version du Celog,
annotée de jugements et jurisprudences).
Je vais jeter un ½il.
Pour l'instant je vois que ce qui est du domaine « artistique »
dure 70 ans après le décès de l'inventeur et ce qui est une marque dure
5 ans après sa dernière utilisation.
J'ai plutôt intérêt à écrire une chanson quelconque dont le
titre est ma marque plutôt que de déposer ma marque. J'espère me tromper
;-)
> Et quelles sont les différentes durées de ces droits suivant le type
> d'½uvre ? Artistique, scientifique, logicielle...
Le logiciel est une oeuvre de l'esprit, artistique par définition comme
les autres. Une oeuvre scientifique, c'est quoi ?
Un théorème mathématique tel celui de Gödel, E=MC2...
Quoi qu'il en soit, toutes les oeuvres sont couvertes dans les mêmes
durées.
Pas ce qui INPIesque que je sache.
L'invention a une durée de vie de quelques années, comme
l'interprétation d'un ½uvre.
Les médicaments tombent dans le domaine public plus vite qu'un
enregistrement de Johnny.
C'est dire.
Albert ARIBAUD wrote:Bonne question ; il faut lire le détail du Code de la Propriété
Intellectuelle (par exemple sur Légifrance, ou la version du Celog,
annotée de jugements et jurisprudences).
Je vais jeter un ½il.
Pour l'instant je vois que ce qui est du domaine « artistique »
dure 70 ans après le décès de l'inventeur et ce qui est une marque dure
5 ans après sa dernière utilisation.
J'ai plutôt intérêt à écrire une chanson quelconque dont le
titre est ma marque plutôt que de déposer ma marque. J'espère me tromper
;-)
> Et quelles sont les différentes durées de ces droits suivant le type
> d'½uvre ? Artistique, scientifique, logicielle...
Le logiciel est une oeuvre de l'esprit, artistique par définition comme
les autres. Une oeuvre scientifique, c'est quoi ?
Un théorème mathématique tel celui de Gödel, E=MC2...
Quoi qu'il en soit, toutes les oeuvres sont couvertes dans les mêmes
durées.
Pas ce qui INPIesque que je sache.
L'invention a une durée de vie de quelques années, comme
l'interprétation d'un ½uvre.
Les médicaments tombent dans le domaine public plus vite qu'un
enregistrement de Johnny.
C'est dire.
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de
news:49d8d441$0$16243$Et vous croyez que *vos* éléments, sont absolument indiscutables ?
Alors, et sans commentaires, voici des éléments de droit, car vous n'en
citez aucun non plus.
Code de la propriété intellectuelle :
Et alors? Ça ne s'applique pas au domaine public,
classique et le traditionnel, et dans le cas du libre, l'auteur accorde
explicitement l'un de ces droits. J'ai donné tous les éléments et lien
dans ce fils. Il faut revoir un peu le sujet mon vieux, et arrêter
d'écouter benoîtement la propagande de l'industrie musicale.
En effet, les chorales chantent très souvent un répertoire sacré,
classique ou traditionnel, il y en a de toutes sortes. "Dans une
église" n'indique absolument rien, et sûrement pas que c'est la dernière
daube de Wilem.
"Marc-Antoine" <antoine@marcom.invalid> a écrit dans le message de
news:49d8d441$0$16243$426a74cc@news.free.fr...
Et vous croyez que *vos* éléments, sont absolument indiscutables ?
Alors, et sans commentaires, voici des éléments de droit, car vous n'en
citez aucun non plus.
Code de la propriété intellectuelle :
Et alors? Ça ne s'applique pas au domaine public,
classique et le traditionnel, et dans le cas du libre, l'auteur accorde
explicitement l'un de ces droits. J'ai donné tous les éléments et lien
dans ce fils. Il faut revoir un peu le sujet mon vieux, et arrêter
d'écouter benoîtement la propagande de l'industrie musicale.
En effet, les chorales chantent très souvent un répertoire sacré,
classique ou traditionnel, il y en a de toutes sortes. "Dans une
église" n'indique absolument rien, et sûrement pas que c'est la dernière
daube de Wilem.
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de
news:49d8d441$0$16243$Et vous croyez que *vos* éléments, sont absolument indiscutables ?
Alors, et sans commentaires, voici des éléments de droit, car vous n'en
citez aucun non plus.
Code de la propriété intellectuelle :
Et alors? Ça ne s'applique pas au domaine public,
classique et le traditionnel, et dans le cas du libre, l'auteur accorde
explicitement l'un de ces droits. J'ai donné tous les éléments et lien
dans ce fils. Il faut revoir un peu le sujet mon vieux, et arrêter
d'écouter benoîtement la propagande de l'industrie musicale.
En effet, les chorales chantent très souvent un répertoire sacré,
classique ou traditionnel, il y en a de toutes sortes. "Dans une
église" n'indique absolument rien, et sûrement pas que c'est la dernière
daube de Wilem.
Le Sun, 05 Apr 2009 19:27:24 +0200, Benoit a écrit :
> Albert ARIBAUD wrote:
>
>> Bonne question ; il faut lire le détail du Code de la Propriété
>> Intellectuelle (par exemple sur Légifrance, ou la version du Celog,
>> annotée de jugements et jurisprudences).
>
> Je vais jeter un ½il.
>
> Pour l'instant je vois que ce qui est du domaine « artistique »
> dure 70 ans après le décès de l'inventeur et ce qui est une marque dure
> 5 ans après sa dernière utilisation.
>
> J'ai plutôt intérêt à écrire une chanson quelconque dont le
> titre est ma marque plutôt que de déposer ma marque. J'espère me tromper
> ;-)
La marque est préférable : elle peut avoir une durée de vie indéfinie.
>> > Et quelles sont les différentes durées de ces droits suivant le type
>> > d'½uvre ? Artistique, scientifique, logicielle...
>>
>> Le logiciel est une oeuvre de l'esprit, artistique par définition comme
>> les autres. Une oeuvre scientifique, c'est quoi ?
>
> Un théorème mathématique tel celui de Gödel, E=MC2...
Pas protégeable, comme toutes les idées, y compris les algorithmes : ce
qu'on protège, c'est l'expression d'une idée : livre ou code source.
>> Quoi qu'il en soit, toutes les oeuvres sont couvertes dans les mêmes
>> durées.
>
> Pas ce qui INPIesque que je sache.
L'INPI n'est pas concerné par les oeuvres, seulement par les brevets et
marques : c'est l'Institut National de la Protection Industrielle et non
Intellectuelle. :)
> L'invention a une durée de vie de quelques années, comme
> l'interprétation d'un ½uvre.
L'éinterprétation d'une oeuvre a la même durée de vie qu'une oeuvre en
soi : 70 ans après la mort de l'interprète.
> Les médicaments tombent dans le domaine public plus vite qu'un
> enregistrement de Johnny.
>
> C'est dire.
Brevets pour les médicaments, oeuvres de l'esprit... pour
l'enregistrement de Johnny. 20 ans pour les brevets (de tête), 70 pour
Jean-Philippe.
Le Sun, 05 Apr 2009 19:27:24 +0200, Benoit a écrit :
> Albert ARIBAUD <albert.aribaud@free.fr> wrote:
>
>> Bonne question ; il faut lire le détail du Code de la Propriété
>> Intellectuelle (par exemple sur Légifrance, ou la version du Celog,
>> annotée de jugements et jurisprudences).
>
> Je vais jeter un ½il.
>
> Pour l'instant je vois que ce qui est du domaine « artistique »
> dure 70 ans après le décès de l'inventeur et ce qui est une marque dure
> 5 ans après sa dernière utilisation.
>
> J'ai plutôt intérêt à écrire une chanson quelconque dont le
> titre est ma marque plutôt que de déposer ma marque. J'espère me tromper
> ;-)
La marque est préférable : elle peut avoir une durée de vie indéfinie.
>> > Et quelles sont les différentes durées de ces droits suivant le type
>> > d'½uvre ? Artistique, scientifique, logicielle...
>>
>> Le logiciel est une oeuvre de l'esprit, artistique par définition comme
>> les autres. Une oeuvre scientifique, c'est quoi ?
>
> Un théorème mathématique tel celui de Gödel, E=MC2...
Pas protégeable, comme toutes les idées, y compris les algorithmes : ce
qu'on protège, c'est l'expression d'une idée : livre ou code source.
>> Quoi qu'il en soit, toutes les oeuvres sont couvertes dans les mêmes
>> durées.
>
> Pas ce qui INPIesque que je sache.
L'INPI n'est pas concerné par les oeuvres, seulement par les brevets et
marques : c'est l'Institut National de la Protection Industrielle et non
Intellectuelle. :)
> L'invention a une durée de vie de quelques années, comme
> l'interprétation d'un ½uvre.
L'éinterprétation d'une oeuvre a la même durée de vie qu'une oeuvre en
soi : 70 ans après la mort de l'interprète.
> Les médicaments tombent dans le domaine public plus vite qu'un
> enregistrement de Johnny.
>
> C'est dire.
Brevets pour les médicaments, oeuvres de l'esprit... pour
l'enregistrement de Johnny. 20 ans pour les brevets (de tête), 70 pour
Jean-Philippe.
Le Sun, 05 Apr 2009 19:27:24 +0200, Benoit a écrit :
> Albert ARIBAUD wrote:
>
>> Bonne question ; il faut lire le détail du Code de la Propriété
>> Intellectuelle (par exemple sur Légifrance, ou la version du Celog,
>> annotée de jugements et jurisprudences).
>
> Je vais jeter un ½il.
>
> Pour l'instant je vois que ce qui est du domaine « artistique »
> dure 70 ans après le décès de l'inventeur et ce qui est une marque dure
> 5 ans après sa dernière utilisation.
>
> J'ai plutôt intérêt à écrire une chanson quelconque dont le
> titre est ma marque plutôt que de déposer ma marque. J'espère me tromper
> ;-)
La marque est préférable : elle peut avoir une durée de vie indéfinie.
>> > Et quelles sont les différentes durées de ces droits suivant le type
>> > d'½uvre ? Artistique, scientifique, logicielle...
>>
>> Le logiciel est une oeuvre de l'esprit, artistique par définition comme
>> les autres. Une oeuvre scientifique, c'est quoi ?
>
> Un théorème mathématique tel celui de Gödel, E=MC2...
Pas protégeable, comme toutes les idées, y compris les algorithmes : ce
qu'on protège, c'est l'expression d'une idée : livre ou code source.
>> Quoi qu'il en soit, toutes les oeuvres sont couvertes dans les mêmes
>> durées.
>
> Pas ce qui INPIesque que je sache.
L'INPI n'est pas concerné par les oeuvres, seulement par les brevets et
marques : c'est l'Institut National de la Protection Industrielle et non
Intellectuelle. :)
> L'invention a une durée de vie de quelques années, comme
> l'interprétation d'un ½uvre.
L'éinterprétation d'une oeuvre a la même durée de vie qu'une oeuvre en
soi : 70 ans après la mort de l'interprète.
> Les médicaments tombent dans le domaine public plus vite qu'un
> enregistrement de Johnny.
>
> C'est dire.
Brevets pour les médicaments, oeuvres de l'esprit... pour
l'enregistrement de Johnny. 20 ans pour les brevets (de tête), 70 pour
Jean-Philippe.