"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49d9d938$0$13338$Ces articles s'appliquent par définition : ils sont la *loi*.
La loi définit aussi à quoi les articles s'appliquent, et les articles
cités (pas la loi, note bien) ne s'appliquent pas aux oeuvres du domaine
public.
Tu t'obstines à faire croire le contraire,
mais ton assersion est totalement fausse. Aucun article ne s'applique
"par définition",
ils ne sont pas la loi mais en sont seulement un élément.
Et je remarque que tu tentes encore une fois de faire croire le
contraire. Sur Internet, il y a énormément de musiques légales,
libres, gratuites et légales:Et le CPI s'applique à elles.
Pas seulement le CPI, donc l'assertion est fausse.
Je crois que vous confondez "le droit s'applique" et "les majors ont
raison et les anticonfirmistes ont tort".
Il n'y a aucune contradiction entre les deux.
Les majors répandent une interprétation erronée de la loi, voire même
des erreurs de droit.
Si je télécharge gratuitement une musique sous licence libre, je ne
m'expose à aucune poursuite, puisque l'auteur m'a donné explicitement
le droit de le faire.
Les majors mentent quand ils prétendent le contraire, en exhibant un
article de loi qui n'est pas pertinent car incomplet.
Tu peux continuer ad vitam eternam de me prendre pour un con,
mais je bats n'importe quel juriste sur le plan de la rigueur,
et c'est pas pour ça que je suis nul pour le reste, comme la plupart
d'iceux le sont.
"Albert ARIBAUD" <albert.aribaud@free.fr> a écrit dans le message de
news:49d9d938$0$13338$426a74cc@news.free.fr...
Ces articles s'appliquent par définition : ils sont la *loi*.
La loi définit aussi à quoi les articles s'appliquent, et les articles
cités (pas la loi, note bien) ne s'appliquent pas aux oeuvres du domaine
public.
Tu t'obstines à faire croire le contraire,
mais ton assersion est totalement fausse. Aucun article ne s'applique
"par définition",
ils ne sont pas la loi mais en sont seulement un élément.
Et je remarque que tu tentes encore une fois de faire croire le
contraire. Sur Internet, il y a énormément de musiques légales,
libres, gratuites et légales:
Et le CPI s'applique à elles.
Pas seulement le CPI, donc l'assertion est fausse.
Je crois que vous confondez "le droit s'applique" et "les majors ont
raison et les anticonfirmistes ont tort".
Il n'y a aucune contradiction entre les deux.
Les majors répandent une interprétation erronée de la loi, voire même
des erreurs de droit.
Si je télécharge gratuitement une musique sous licence libre, je ne
m'expose à aucune poursuite, puisque l'auteur m'a donné explicitement
le droit de le faire.
Les majors mentent quand ils prétendent le contraire, en exhibant un
article de loi qui n'est pas pertinent car incomplet.
Tu peux continuer ad vitam eternam de me prendre pour un con,
mais je bats n'importe quel juriste sur le plan de la rigueur,
et c'est pas pour ça que je suis nul pour le reste, comme la plupart
d'iceux le sont.
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49d9d938$0$13338$Ces articles s'appliquent par définition : ils sont la *loi*.
La loi définit aussi à quoi les articles s'appliquent, et les articles
cités (pas la loi, note bien) ne s'appliquent pas aux oeuvres du domaine
public.
Tu t'obstines à faire croire le contraire,
mais ton assersion est totalement fausse. Aucun article ne s'applique
"par définition",
ils ne sont pas la loi mais en sont seulement un élément.
Et je remarque que tu tentes encore une fois de faire croire le
contraire. Sur Internet, il y a énormément de musiques légales,
libres, gratuites et légales:Et le CPI s'applique à elles.
Pas seulement le CPI, donc l'assertion est fausse.
Je crois que vous confondez "le droit s'applique" et "les majors ont
raison et les anticonfirmistes ont tort".
Il n'y a aucune contradiction entre les deux.
Les majors répandent une interprétation erronée de la loi, voire même
des erreurs de droit.
Si je télécharge gratuitement une musique sous licence libre, je ne
m'expose à aucune poursuite, puisque l'auteur m'a donné explicitement
le droit de le faire.
Les majors mentent quand ils prétendent le contraire, en exhibant un
article de loi qui n'est pas pertinent car incomplet.
Tu peux continuer ad vitam eternam de me prendre pour un con,
mais je bats n'importe quel juriste sur le plan de la rigueur,
et c'est pas pour ça que je suis nul pour le reste, comme la plupart
d'iceux le sont.
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49d9d538$0$13338$Eh bien Marc-Antoine invoque des articles du Code de la Propriété
Intellectuelle.
Qui:
- Soit ne s'applique pas, dans le cas des oeuvres dans le domaine
public.
- Soit est incomplet, dans le cas des oeuvres sous licence
libre.
D'où une intention de tromper, en montrant l'arbre qui cache la forêt.
Je ne sais pas quelle erreur Marc-Antoine est supposé avoir commise,
mais si vous en voyez une, exposez-la et donnez les articles du CPI qui
soutiennent votre position.
T'es ridicule là. Je l'ai déjà exposée, et le code n'est pas la seule
source de droit.
Vous voulez dire que la source du droit de la propriété intellectuelle
en France, ce sont des sites web de musique libre ?
Mauvaise foi.
Je crois bien qu'au
contraire, ils vous diront tous qu'à la base de leur approche, ce qui
leur permet d'appuyer leur position sur la liberté qu'ils souhaitent
donner aux oeuvres, c'est le droit d'auteur, qui est l'objet du CPI.
Mauvaise foi. Tu passes encore une fois sous silence le domaine public
et les licences libres.
Et alors? Tu sais ce qu'est la musique classique et la musique
traditionnelle?Je sais que ce n'est pas un élément de droit.
Tu ne sais pas que pour les musique anciennes, il n'y a pas de "genre",
mais que le genre est représenté par l'époque.
Il n'y a que depuis l'invention des moyens mécaniques de reproduction
que plusieurs genres ont coexisté. Donc si l'on parle de musique
classique, on parle de la date de la mort de son auteur, donc
l'application ou non de l'article sur les droits d'auteur, donc c'est
un élément de droit.
Ton ignorance ne te permet pas de juger de celle des autres.
et la musique traditionnelle est aussi très ancienne,Plus précisément ? Parce que là, il n'y a aucun garantie qu'une musique
traditionnelle donnée soit nécessairement tombée dans le domaine
public.
Tu ne sais pas de quoi tu parles.
souvent sans auteur unique ou identifié.Souvent sans qu'on connaisse l'auteur, ce qui ne signifie pas qu'il ne
soit pas identifiable, ou identifié.
Idem.
Il n'y a pas de musique classique récente, c'est du neo-classique. La
vie ne s'apprend pas dans les codes.Si j'étais paranoïaque, je penserais que vous vous attaquez à ma
personne pour affaiblir mes arguments, et ce parce que vous n'avez pas
d'arguments basé sur le Code de la Propriété Intellectuelle
Mauvaise foi, j'ai déjà donné tous les arguments nécessaires.
Effectivement, tu as appris la vie dans les codes, puisque tu ne sais
pas que la terre n'a pas été crée il y a 70 ans, et qu'il y a des gens
qui ne s'appellent pas Wilem et qui ne se servent pas de leurs droits
pour faire de l'argent.
C'est votre opinion, mais vous avez eu des contradicteurs qui ont donné
des éléments de droit aussi. Qu'ils ne vous conviennent pas est une
chose qu'on peut bien comprendre ; que vous les niiez, c'en est une
autre.
Mauvaise foi.
ce que tout ceux de bonne foi peuvent vérifier. Ce sont ceux qui sont
de mauvaise foi qui veulent faire croire que c'est Wilem qui a écrit
les quarante symphonies de Mozart qui ont une approche non pas
subjective, mais fallacieuse et malhonnête.Nous revoilà dans une approche d'attaque personnelle caricaturée.
Quelle est la personne que j'attaque?
"Albert ARIBAUD" <albert.aribaud@free.fr> a écrit dans le message de
news:49d9d538$0$13338$426a74cc@news.free.fr...
Eh bien Marc-Antoine invoque des articles du Code de la Propriété
Intellectuelle.
Qui:
- Soit ne s'applique pas, dans le cas des oeuvres dans le domaine
public.
- Soit est incomplet, dans le cas des oeuvres sous licence
libre.
D'où une intention de tromper, en montrant l'arbre qui cache la forêt.
Je ne sais pas quelle erreur Marc-Antoine est supposé avoir commise,
mais si vous en voyez une, exposez-la et donnez les articles du CPI qui
soutiennent votre position.
T'es ridicule là. Je l'ai déjà exposée, et le code n'est pas la seule
source de droit.
Vous voulez dire que la source du droit de la propriété intellectuelle
en France, ce sont des sites web de musique libre ?
Mauvaise foi.
Je crois bien qu'au
contraire, ils vous diront tous qu'à la base de leur approche, ce qui
leur permet d'appuyer leur position sur la liberté qu'ils souhaitent
donner aux oeuvres, c'est le droit d'auteur, qui est l'objet du CPI.
Mauvaise foi. Tu passes encore une fois sous silence le domaine public
et les licences libres.
Et alors? Tu sais ce qu'est la musique classique et la musique
traditionnelle?
Je sais que ce n'est pas un élément de droit.
Tu ne sais pas que pour les musique anciennes, il n'y a pas de "genre",
mais que le genre est représenté par l'époque.
Il n'y a que depuis l'invention des moyens mécaniques de reproduction
que plusieurs genres ont coexisté. Donc si l'on parle de musique
classique, on parle de la date de la mort de son auteur, donc
l'application ou non de l'article sur les droits d'auteur, donc c'est
un élément de droit.
Ton ignorance ne te permet pas de juger de celle des autres.
et la musique traditionnelle est aussi très ancienne,
Plus précisément ? Parce que là, il n'y a aucun garantie qu'une musique
traditionnelle donnée soit nécessairement tombée dans le domaine
public.
Tu ne sais pas de quoi tu parles.
souvent sans auteur unique ou identifié.
Souvent sans qu'on connaisse l'auteur, ce qui ne signifie pas qu'il ne
soit pas identifiable, ou identifié.
Idem.
Il n'y a pas de musique classique récente, c'est du neo-classique. La
vie ne s'apprend pas dans les codes.
Si j'étais paranoïaque, je penserais que vous vous attaquez à ma
personne pour affaiblir mes arguments, et ce parce que vous n'avez pas
d'arguments basé sur le Code de la Propriété Intellectuelle
Mauvaise foi, j'ai déjà donné tous les arguments nécessaires.
Effectivement, tu as appris la vie dans les codes, puisque tu ne sais
pas que la terre n'a pas été crée il y a 70 ans, et qu'il y a des gens
qui ne s'appellent pas Wilem et qui ne se servent pas de leurs droits
pour faire de l'argent.
C'est votre opinion, mais vous avez eu des contradicteurs qui ont donné
des éléments de droit aussi. Qu'ils ne vous conviennent pas est une
chose qu'on peut bien comprendre ; que vous les niiez, c'en est une
autre.
Mauvaise foi.
ce que tout ceux de bonne foi peuvent vérifier. Ce sont ceux qui sont
de mauvaise foi qui veulent faire croire que c'est Wilem qui a écrit
les quarante symphonies de Mozart qui ont une approche non pas
subjective, mais fallacieuse et malhonnête.
Nous revoilà dans une approche d'attaque personnelle caricaturée.
Quelle est la personne que j'attaque?
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49d9d538$0$13338$Eh bien Marc-Antoine invoque des articles du Code de la Propriété
Intellectuelle.
Qui:
- Soit ne s'applique pas, dans le cas des oeuvres dans le domaine
public.
- Soit est incomplet, dans le cas des oeuvres sous licence
libre.
D'où une intention de tromper, en montrant l'arbre qui cache la forêt.
Je ne sais pas quelle erreur Marc-Antoine est supposé avoir commise,
mais si vous en voyez une, exposez-la et donnez les articles du CPI qui
soutiennent votre position.
T'es ridicule là. Je l'ai déjà exposée, et le code n'est pas la seule
source de droit.
Vous voulez dire que la source du droit de la propriété intellectuelle
en France, ce sont des sites web de musique libre ?
Mauvaise foi.
Je crois bien qu'au
contraire, ils vous diront tous qu'à la base de leur approche, ce qui
leur permet d'appuyer leur position sur la liberté qu'ils souhaitent
donner aux oeuvres, c'est le droit d'auteur, qui est l'objet du CPI.
Mauvaise foi. Tu passes encore une fois sous silence le domaine public
et les licences libres.
Et alors? Tu sais ce qu'est la musique classique et la musique
traditionnelle?Je sais que ce n'est pas un élément de droit.
Tu ne sais pas que pour les musique anciennes, il n'y a pas de "genre",
mais que le genre est représenté par l'époque.
Il n'y a que depuis l'invention des moyens mécaniques de reproduction
que plusieurs genres ont coexisté. Donc si l'on parle de musique
classique, on parle de la date de la mort de son auteur, donc
l'application ou non de l'article sur les droits d'auteur, donc c'est
un élément de droit.
Ton ignorance ne te permet pas de juger de celle des autres.
et la musique traditionnelle est aussi très ancienne,Plus précisément ? Parce que là, il n'y a aucun garantie qu'une musique
traditionnelle donnée soit nécessairement tombée dans le domaine
public.
Tu ne sais pas de quoi tu parles.
souvent sans auteur unique ou identifié.Souvent sans qu'on connaisse l'auteur, ce qui ne signifie pas qu'il ne
soit pas identifiable, ou identifié.
Idem.
Il n'y a pas de musique classique récente, c'est du neo-classique. La
vie ne s'apprend pas dans les codes.Si j'étais paranoïaque, je penserais que vous vous attaquez à ma
personne pour affaiblir mes arguments, et ce parce que vous n'avez pas
d'arguments basé sur le Code de la Propriété Intellectuelle
Mauvaise foi, j'ai déjà donné tous les arguments nécessaires.
Effectivement, tu as appris la vie dans les codes, puisque tu ne sais
pas que la terre n'a pas été crée il y a 70 ans, et qu'il y a des gens
qui ne s'appellent pas Wilem et qui ne se servent pas de leurs droits
pour faire de l'argent.
C'est votre opinion, mais vous avez eu des contradicteurs qui ont donné
des éléments de droit aussi. Qu'ils ne vous conviennent pas est une
chose qu'on peut bien comprendre ; que vous les niiez, c'en est une
autre.
Mauvaise foi.
ce que tout ceux de bonne foi peuvent vérifier. Ce sont ceux qui sont
de mauvaise foi qui veulent faire croire que c'est Wilem qui a écrit
les quarante symphonies de Mozart qui ont une approche non pas
subjective, mais fallacieuse et malhonnête.Nous revoilà dans une approche d'attaque personnelle caricaturée.
Quelle est la personne que j'attaque?
Albert ARIBAUD wrote:Les droits patrimoniaux sont cessibles, et la Sacem peut souhaiter
n'avoir d'adhérents que ceux qui abandonnent définitivement lesdits
droit. Ensuite, c'est à l'auteur de voir si ça l'intéresse.
Il est étonnant qu'on ne puisse pas rompre un contrat pour
quelque cause que ce soit. Je croyais le droit d'auteur inaliénable.
Albert ARIBAUD <albert.aribaud@free.fr> wrote:
Les droits patrimoniaux sont cessibles, et la Sacem peut souhaiter
n'avoir d'adhérents que ceux qui abandonnent définitivement lesdits
droit. Ensuite, c'est à l'auteur de voir si ça l'intéresse.
Il est étonnant qu'on ne puisse pas rompre un contrat pour
quelque cause que ce soit. Je croyais le droit d'auteur inaliénable.
Albert ARIBAUD wrote:Les droits patrimoniaux sont cessibles, et la Sacem peut souhaiter
n'avoir d'adhérents que ceux qui abandonnent définitivement lesdits
droit. Ensuite, c'est à l'auteur de voir si ça l'intéresse.
Il est étonnant qu'on ne puisse pas rompre un contrat pour
quelque cause que ce soit. Je croyais le droit d'auteur inaliénable.
Donc, les interprétations faites en 1960 de chansons dont l'auteur est
décédé depuis environ 70 ans seront bientôt dans le domaine public, en
effet.
Donc, les interprétations faites en 1960 de chansons dont l'auteur est
décédé depuis environ 70 ans seront bientôt dans le domaine public, en
effet.
Donc, les interprétations faites en 1960 de chansons dont l'auteur est
décédé depuis environ 70 ans seront bientôt dans le domaine public, en
effet.
Ça n'a rien à voir avec cet article. Il ne s'applique pas à la majorité
des oeuvres musicales existantes, c'est tout.
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de
news:49d9ed88$0$16985$Vous les avez bien lu ces articles ? ils font références à quel type
d'½uvres alors ?
C'est toi qui aurait du le dire. Il s'applique en l'état uniquement aux
oeuvres qui ne sont pas dans le domaine public ou dont l'ayant droit n'a
pas fourni de spécifications supplémentaires. Mais je ne me répète pas là?
Cet article n'est d'aucune aide si on ne connait pas le statut de
l'oeuvre.
Et je remarque que tu tentes encore une fois de faire croire le
contraire.Je ne tente rien, je cite le Code de la propriété intellectuelle c'est
tout. A la question initiale "peut-on diffuser une oeuvre musicale
enregistrée", Il n'y a pas 36 solutions.
Si justement. Il y a la solution d'une oeuvre dans le domaine public avec
des arrangements et une interprétation en licence libre, d'une oeuvre en
Share Alike, d'une oeuvre commerciale avec un arrangement commercial et une
interprétation commerciale en représentation gratuite à des fins de
promotion, d'une oeuvre libre avec arrangement libre mais interprétation
Share Alike...
La question n'étant pas précise sur la datation de l'½uvre, il était donc
important de citer ces articles, qui, que vous le vouliez ou non
s'adressent bien (du moins en France) à toutes "oeuvres de l'esprit" , et
les réponses sont on ne peut plus claires :
Ou bien dans le cas de reproduction ou représentation ces oeuvres sont
soumise à autorisation(droit patrimonial) ou bien elles sont tombés dans
le domaine public, ce que vous, appelez "libre",
Non. Si tu ne veux pas donner l'impression de vouloir embrouiller tout le
monde, lis moi correctement.
donc selon le dico "qui n'est pas soumis à un engagement, à une
*obligation* morale ou juridique",
Quelle édition? Le concept n'existe que depuis une dixaine d'année.
Sur Internet, il y a énormément de musiques légales, libres, gratuites et
légales:Et alors ? cela aussi est encadré dans ce même code que vous voulez
ignoré.
Pas seulement, et sous cette forme ne répond pas à la question posée. On a
le droit de les télécharger gratuitement et de les diffuser sans demander
d'autorisation, nonobstant ce que raconte M. L'Article
Libre mais selon certaines conditions (Paternité, Partage des Conditions
Initiales à l'Identique)
A chaque réutilisation ou distribution, faire apparaître clairement au
public les conditions *contractuelles* de sa mise à disposition. Contrat
que ne doit diminuer ou ne restreindre le *droit moral* de l'auteur.
C'est ça. C'est l'auteur lui-même qui choisi de restreindre son droit
moral.Le reste n'est qu'une "Masse-doine" indigeste....
Tu n'as pas cité le nom de l'auteur. Depuis le temps que j'entends cette
blague, ça m'étonnerais qu'elle soit de toi.
Ça n'a rien à voir avec cet article. Il ne s'applique pas à la majorité
des oeuvres musicales existantes, c'est tout.
"Marc-Antoine" <antoine@marcom.invalid> a écrit dans le message de
news:49d9ed88$0$16985$426a74cc@news.free.fr...
Vous les avez bien lu ces articles ? ils font références à quel type
d'½uvres alors ?
C'est toi qui aurait du le dire. Il s'applique en l'état uniquement aux
oeuvres qui ne sont pas dans le domaine public ou dont l'ayant droit n'a
pas fourni de spécifications supplémentaires. Mais je ne me répète pas là?
Cet article n'est d'aucune aide si on ne connait pas le statut de
l'oeuvre.
Et je remarque que tu tentes encore une fois de faire croire le
contraire.
Je ne tente rien, je cite le Code de la propriété intellectuelle c'est
tout. A la question initiale "peut-on diffuser une oeuvre musicale
enregistrée", Il n'y a pas 36 solutions.
Si justement. Il y a la solution d'une oeuvre dans le domaine public avec
des arrangements et une interprétation en licence libre, d'une oeuvre en
Share Alike, d'une oeuvre commerciale avec un arrangement commercial et une
interprétation commerciale en représentation gratuite à des fins de
promotion, d'une oeuvre libre avec arrangement libre mais interprétation
Share Alike...
La question n'étant pas précise sur la datation de l'½uvre, il était donc
important de citer ces articles, qui, que vous le vouliez ou non
s'adressent bien (du moins en France) à toutes "oeuvres de l'esprit" , et
les réponses sont on ne peut plus claires :
Ou bien dans le cas de reproduction ou représentation ces oeuvres sont
soumise à autorisation(droit patrimonial) ou bien elles sont tombés dans
le domaine public, ce que vous, appelez "libre",
Non. Si tu ne veux pas donner l'impression de vouloir embrouiller tout le
monde, lis moi correctement.
donc selon le dico "qui n'est pas soumis à un engagement, à une
*obligation* morale ou juridique",
Quelle édition? Le concept n'existe que depuis une dixaine d'année.
Sur Internet, il y a énormément de musiques légales, libres, gratuites et
légales:
Et alors ? cela aussi est encadré dans ce même code que vous voulez
ignoré.
Pas seulement, et sous cette forme ne répond pas à la question posée. On a
le droit de les télécharger gratuitement et de les diffuser sans demander
d'autorisation, nonobstant ce que raconte M. L'Article
Libre mais selon certaines conditions (Paternité, Partage des Conditions
Initiales à l'Identique)
A chaque réutilisation ou distribution, faire apparaître clairement au
public les conditions *contractuelles* de sa mise à disposition. Contrat
que ne doit diminuer ou ne restreindre le *droit moral* de l'auteur.
C'est ça. C'est l'auteur lui-même qui choisi de restreindre son droit
moral.
Le reste n'est qu'une "Masse-doine" indigeste....
Tu n'as pas cité le nom de l'auteur. Depuis le temps que j'entends cette
blague, ça m'étonnerais qu'elle soit de toi.
Ça n'a rien à voir avec cet article. Il ne s'applique pas à la majorité
des oeuvres musicales existantes, c'est tout.
"Marc-Antoine" a écrit dans le message de
news:49d9ed88$0$16985$Vous les avez bien lu ces articles ? ils font références à quel type
d'½uvres alors ?
C'est toi qui aurait du le dire. Il s'applique en l'état uniquement aux
oeuvres qui ne sont pas dans le domaine public ou dont l'ayant droit n'a
pas fourni de spécifications supplémentaires. Mais je ne me répète pas là?
Cet article n'est d'aucune aide si on ne connait pas le statut de
l'oeuvre.
Et je remarque que tu tentes encore une fois de faire croire le
contraire.Je ne tente rien, je cite le Code de la propriété intellectuelle c'est
tout. A la question initiale "peut-on diffuser une oeuvre musicale
enregistrée", Il n'y a pas 36 solutions.
Si justement. Il y a la solution d'une oeuvre dans le domaine public avec
des arrangements et une interprétation en licence libre, d'une oeuvre en
Share Alike, d'une oeuvre commerciale avec un arrangement commercial et une
interprétation commerciale en représentation gratuite à des fins de
promotion, d'une oeuvre libre avec arrangement libre mais interprétation
Share Alike...
La question n'étant pas précise sur la datation de l'½uvre, il était donc
important de citer ces articles, qui, que vous le vouliez ou non
s'adressent bien (du moins en France) à toutes "oeuvres de l'esprit" , et
les réponses sont on ne peut plus claires :
Ou bien dans le cas de reproduction ou représentation ces oeuvres sont
soumise à autorisation(droit patrimonial) ou bien elles sont tombés dans
le domaine public, ce que vous, appelez "libre",
Non. Si tu ne veux pas donner l'impression de vouloir embrouiller tout le
monde, lis moi correctement.
donc selon le dico "qui n'est pas soumis à un engagement, à une
*obligation* morale ou juridique",
Quelle édition? Le concept n'existe que depuis une dixaine d'année.
Sur Internet, il y a énormément de musiques légales, libres, gratuites et
légales:Et alors ? cela aussi est encadré dans ce même code que vous voulez
ignoré.
Pas seulement, et sous cette forme ne répond pas à la question posée. On a
le droit de les télécharger gratuitement et de les diffuser sans demander
d'autorisation, nonobstant ce que raconte M. L'Article
Libre mais selon certaines conditions (Paternité, Partage des Conditions
Initiales à l'Identique)
A chaque réutilisation ou distribution, faire apparaître clairement au
public les conditions *contractuelles* de sa mise à disposition. Contrat
que ne doit diminuer ou ne restreindre le *droit moral* de l'auteur.
C'est ça. C'est l'auteur lui-même qui choisi de restreindre son droit
moral.Le reste n'est qu'une "Masse-doine" indigeste....
Tu n'as pas cité le nom de l'auteur. Depuis le temps que j'entends cette
blague, ça m'étonnerais qu'elle soit de toi.
Maintenant j'ai une question à te poser si tu connais un peu le
droit d'auteur : les ½uvres collectives sont libres de droit 70 ans
après la première édition (art. 123-3) cela veut dire, d'après moi, que
le Larousse du XXe siècle édité en 1932 (mon édition) est aujourd'hui
libre de droits (70 ans passés). Il peut donc être dsponible sur le net
par qui le veut. Mais le titre utilisant un Patronyme/Nom de Soiété
peut-il être conservé ? Parce que le titre d'une ½uvre fait partie de
l'½uvre et des dictionnaires américains libres de droit utilisent bien
le nom d'un éditeur toujours existant.
Maintenant j'ai une question à te poser si tu connais un peu le
droit d'auteur : les ½uvres collectives sont libres de droit 70 ans
après la première édition (art. 123-3) cela veut dire, d'après moi, que
le Larousse du XXe siècle édité en 1932 (mon édition) est aujourd'hui
libre de droits (70 ans passés). Il peut donc être dsponible sur le net
par qui le veut. Mais le titre utilisant un Patronyme/Nom de Soiété
peut-il être conservé ? Parce que le titre d'une ½uvre fait partie de
l'½uvre et des dictionnaires américains libres de droit utilisent bien
le nom d'un éditeur toujours existant.
Maintenant j'ai une question à te poser si tu connais un peu le
droit d'auteur : les ½uvres collectives sont libres de droit 70 ans
après la première édition (art. 123-3) cela veut dire, d'après moi, que
le Larousse du XXe siècle édité en 1932 (mon édition) est aujourd'hui
libre de droits (70 ans passés). Il peut donc être dsponible sur le net
par qui le veut. Mais le titre utilisant un Patronyme/Nom de Soiété
peut-il être conservé ? Parce que le titre d'une ½uvre fait partie de
l'½uvre et des dictionnaires américains libres de droit utilisent bien
le nom d'un éditeur toujours existant.
Pas seulement, et sous cette forme ne répond pas à la question posée.
On a le droit de les télécharger gratuitement et de les diffuser sans
demander d'autorisation, nonobstant ce que raconte M. L'Article
Probablement parque l'autorisation a été donnée en amont par l'auteur
et qu'elle exempte toute demande "individuelle".
Pas seulement, et sous cette forme ne répond pas à la question posée.
On a le droit de les télécharger gratuitement et de les diffuser sans
demander d'autorisation, nonobstant ce que raconte M. L'Article
Probablement parque l'autorisation a été donnée en amont par l'auteur
et qu'elle exempte toute demande "individuelle".
Pas seulement, et sous cette forme ne répond pas à la question posée.
On a le droit de les télécharger gratuitement et de les diffuser sans
demander d'autorisation, nonobstant ce que raconte M. L'Article
Probablement parque l'autorisation a été donnée en amont par l'auteur
et qu'elle exempte toute demande "individuelle".
Le Tue, 07 Apr 2009 13:21:48 +0200, Marc-Antoine a écrit :Pas seulement, et sous cette forme ne répond pas à la question posée.
On a le droit de les télécharger gratuitement et de les diffuser sans
demander d'autorisation, nonobstant ce que raconte M. L'Article
Probablement parque l'autorisation a été donnée en amont par l'auteur
... en effet, c'est l'un des principes des mouvements "libristes", en
musique comme en logiciel, que d'accompagner la chose distribuée de la
licence qui confère ses droits au récipiendaire. Cela dit, une précision :et qu'elle exempte toute demande "individuelle".
Noter que le CPI a la sagesse de ne pas requérir une demande de celui qui
veut user de l'oeuvre (ce qui obligerait à faire cette demande pour
chaque usage envisagé), mais une autorisation de l'auteur ; nulle part le
CPI n'interdit à l'auteur d'autoriser a priori, ni d'autoriser en gros
plutôt qu'au détail -- et pour cause, puisque l'auteur jouit de tous les
droits sur son oeuvre... Y compris celui de disposer des droits
patrimoniaux comme il l'entend.
Amicalement,
Le Tue, 07 Apr 2009 13:21:48 +0200, Marc-Antoine a écrit :
Pas seulement, et sous cette forme ne répond pas à la question posée.
On a le droit de les télécharger gratuitement et de les diffuser sans
demander d'autorisation, nonobstant ce que raconte M. L'Article
Probablement parque l'autorisation a été donnée en amont par l'auteur
... en effet, c'est l'un des principes des mouvements "libristes", en
musique comme en logiciel, que d'accompagner la chose distribuée de la
licence qui confère ses droits au récipiendaire. Cela dit, une précision :
et qu'elle exempte toute demande "individuelle".
Noter que le CPI a la sagesse de ne pas requérir une demande de celui qui
veut user de l'oeuvre (ce qui obligerait à faire cette demande pour
chaque usage envisagé), mais une autorisation de l'auteur ; nulle part le
CPI n'interdit à l'auteur d'autoriser a priori, ni d'autoriser en gros
plutôt qu'au détail -- et pour cause, puisque l'auteur jouit de tous les
droits sur son oeuvre... Y compris celui de disposer des droits
patrimoniaux comme il l'entend.
Amicalement,
Le Tue, 07 Apr 2009 13:21:48 +0200, Marc-Antoine a écrit :Pas seulement, et sous cette forme ne répond pas à la question posée.
On a le droit de les télécharger gratuitement et de les diffuser sans
demander d'autorisation, nonobstant ce que raconte M. L'Article
Probablement parque l'autorisation a été donnée en amont par l'auteur
... en effet, c'est l'un des principes des mouvements "libristes", en
musique comme en logiciel, que d'accompagner la chose distribuée de la
licence qui confère ses droits au récipiendaire. Cela dit, une précision :et qu'elle exempte toute demande "individuelle".
Noter que le CPI a la sagesse de ne pas requérir une demande de celui qui
veut user de l'oeuvre (ce qui obligerait à faire cette demande pour
chaque usage envisagé), mais une autorisation de l'auteur ; nulle part le
CPI n'interdit à l'auteur d'autoriser a priori, ni d'autoriser en gros
plutôt qu'au détail -- et pour cause, puisque l'auteur jouit de tous les
droits sur son oeuvre... Y compris celui de disposer des droits
patrimoniaux comme il l'entend.
Amicalement,
Ah! on aimerait tant avoir les *bons* articles sur lequel vous vous
reposer, Albert ne cesse, en vain, de réclamer vos sources.
Ah! on aimerait tant avoir les *bons* articles sur lequel vous vous
reposer, Albert ne cesse, en vain, de réclamer vos sources.
Ah! on aimerait tant avoir les *bons* articles sur lequel vous vous
reposer, Albert ne cesse, en vain, de réclamer vos sources.
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49dae933$0$15294$Les licences libres n'ont droit à aucun article particulier du CPI,
lequel s'applique à elles comme à toutes les licenses de droit sur des
oeuvres de l'esprit.
Il n'est pire sourd... Les sources de droit sont aussi les réglements,
les décrets d'application,
les contrats, les licences...
Puisque le CPI ne parle pas des licences, il ne s'applique pas tel quel
aux musiques libres.
D'où une intention de tromper, en montrant l'arbre qui cache la forêt.Non. Une intention de poser les bases même pour discuter du droit des
oeuvres intellectuelles, et ce quel que soit l'avis qu'on a sur la
question.
Ce n'est pas contradictoire. Il y a des manières fallacieuses de poser
les bases, tous les avocats le savent.
T'es ridicule là. Je l'ai déjà exposée, et le code n'est pas la seule
source de droit.Et j'ai demandé quelles étaient les autres sources en droit de
propriété intellectuelle, et n'ai pas obtenu de réponse.
Et t'en déduis quoi?
Vous voulez dire que la source du droit de la propriété
intellectuelle en France, ce sont des sites web de musique libre ?Mauvaise foi.Non, interrogation légitime :
Non, il n'y a que toi qui as parlé de source de droit. C'est un agument
de l'homme de paille.
Mauvaise foi. Tu passes encore une fois sous silence le domaine
public et les licences libres.Non, puisque le passage de toute oeuvre dans le domaine public est
défini par le CPI , et puisque pour les licences libres, elles ne
contredisent aucun article du CPI (elles seraient illégales sinon) et,
au contraire, s'appuient sur lui.
Elles le complètent,
ce qui change tout dans la pratique, notamment ce
que veulent nous faire croire les majors. Le droit dans le sens général
est donc modifié, puisqu'on a *le droit* de télécharger gratuitement de
la musique libre.
La date de la mort de l'auteur suffit au calcul, et le genre (ou la
qualité) de son travail lui est secondaire. Par ailleurs, cette date
est bien plus précise que ne l'est la date de "fin" de la période
classique, sur laquelle il n'y a aucun, ahem, accord, entre
spécialiste.
La période classique se serait donc terminée il y a un peu plus de 70
ans?
Hum, je crois que tout les spécialistes sont d'accord pour dire que
c'est pas vrai.
Tes gesticulations sont pathétiques. Allez, je ne te
fais pas souffrir plus longtemps.
"Albert ARIBAUD" <albert.aribaud@free.fr> a écrit dans le message de
news:49dae933$0$15294$426a74cc@news.free.fr...
Les licences libres n'ont droit à aucun article particulier du CPI,
lequel s'applique à elles comme à toutes les licenses de droit sur des
oeuvres de l'esprit.
Il n'est pire sourd... Les sources de droit sont aussi les réglements,
les décrets d'application,
les contrats, les licences...
Puisque le CPI ne parle pas des licences, il ne s'applique pas tel quel
aux musiques libres.
D'où une intention de tromper, en montrant l'arbre qui cache la forêt.
Non. Une intention de poser les bases même pour discuter du droit des
oeuvres intellectuelles, et ce quel que soit l'avis qu'on a sur la
question.
Ce n'est pas contradictoire. Il y a des manières fallacieuses de poser
les bases, tous les avocats le savent.
T'es ridicule là. Je l'ai déjà exposée, et le code n'est pas la seule
source de droit.
Et j'ai demandé quelles étaient les autres sources en droit de
propriété intellectuelle, et n'ai pas obtenu de réponse.
Et t'en déduis quoi?
Vous voulez dire que la source du droit de la propriété
intellectuelle en France, ce sont des sites web de musique libre ?
Mauvaise foi.
Non, interrogation légitime :
Non, il n'y a que toi qui as parlé de source de droit. C'est un agument
de l'homme de paille.
Mauvaise foi. Tu passes encore une fois sous silence le domaine
public et les licences libres.
Non, puisque le passage de toute oeuvre dans le domaine public est
défini par le CPI , et puisque pour les licences libres, elles ne
contredisent aucun article du CPI (elles seraient illégales sinon) et,
au contraire, s'appuient sur lui.
Elles le complètent,
ce qui change tout dans la pratique, notamment ce
que veulent nous faire croire les majors. Le droit dans le sens général
est donc modifié, puisqu'on a *le droit* de télécharger gratuitement de
la musique libre.
La date de la mort de l'auteur suffit au calcul, et le genre (ou la
qualité) de son travail lui est secondaire. Par ailleurs, cette date
est bien plus précise que ne l'est la date de "fin" de la période
classique, sur laquelle il n'y a aucun, ahem, accord, entre
spécialiste.
La période classique se serait donc terminée il y a un peu plus de 70
ans?
Hum, je crois que tout les spécialistes sont d'accord pour dire que
c'est pas vrai.
Tes gesticulations sont pathétiques. Allez, je ne te
fais pas souffrir plus longtemps.
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news:49dae933$0$15294$Les licences libres n'ont droit à aucun article particulier du CPI,
lequel s'applique à elles comme à toutes les licenses de droit sur des
oeuvres de l'esprit.
Il n'est pire sourd... Les sources de droit sont aussi les réglements,
les décrets d'application,
les contrats, les licences...
Puisque le CPI ne parle pas des licences, il ne s'applique pas tel quel
aux musiques libres.
D'où une intention de tromper, en montrant l'arbre qui cache la forêt.Non. Une intention de poser les bases même pour discuter du droit des
oeuvres intellectuelles, et ce quel que soit l'avis qu'on a sur la
question.
Ce n'est pas contradictoire. Il y a des manières fallacieuses de poser
les bases, tous les avocats le savent.
T'es ridicule là. Je l'ai déjà exposée, et le code n'est pas la seule
source de droit.Et j'ai demandé quelles étaient les autres sources en droit de
propriété intellectuelle, et n'ai pas obtenu de réponse.
Et t'en déduis quoi?
Vous voulez dire que la source du droit de la propriété
intellectuelle en France, ce sont des sites web de musique libre ?Mauvaise foi.Non, interrogation légitime :
Non, il n'y a que toi qui as parlé de source de droit. C'est un agument
de l'homme de paille.
Mauvaise foi. Tu passes encore une fois sous silence le domaine
public et les licences libres.Non, puisque le passage de toute oeuvre dans le domaine public est
défini par le CPI , et puisque pour les licences libres, elles ne
contredisent aucun article du CPI (elles seraient illégales sinon) et,
au contraire, s'appuient sur lui.
Elles le complètent,
ce qui change tout dans la pratique, notamment ce
que veulent nous faire croire les majors. Le droit dans le sens général
est donc modifié, puisqu'on a *le droit* de télécharger gratuitement de
la musique libre.
La date de la mort de l'auteur suffit au calcul, et le genre (ou la
qualité) de son travail lui est secondaire. Par ailleurs, cette date
est bien plus précise que ne l'est la date de "fin" de la période
classique, sur laquelle il n'y a aucun, ahem, accord, entre
spécialiste.
La période classique se serait donc terminée il y a un peu plus de 70
ans?
Hum, je crois que tout les spécialistes sont d'accord pour dire que
c'est pas vrai.
Tes gesticulations sont pathétiques. Allez, je ne te
fais pas souffrir plus longtemps.