"il n'y a rien de mieux que
des contraintes techniques pour faire un bon photographe. Fonctionner au
mieux avec ce qu'on a, c'est là le vrai challenge."
p.c."
mysticisme sera toujours en avance sur le rationalisme, car au fond il
le commande, il en est l'âme perdue.
"il n'y a rien de mieux que
des contraintes techniques pour faire un bon photographe. Fonctionner au
mieux avec ce qu'on a, c'est là le vrai challenge."
p.c."
mysticisme sera toujours en avance sur le rationalisme, car au fond il
le commande, il en est l'âme perdue.
"il n'y a rien de mieux que
des contraintes techniques pour faire un bon photographe. Fonctionner au
mieux avec ce qu'on a, c'est là le vrai challenge."
p.c."
mysticisme sera toujours en avance sur le rationalisme, car au fond il
le commande, il en est l'âme perdue.
Le 26/11/2011 10:07, Octave a écrit :
Voilà, je pense que c'est un peu le même genre de réflexion, les deux
donnent l'heure, les deux font une photo. La manière d'y arriver est
totalement différente. Est-ce le médium finit par transparaître sur le
résultat (la photo), je le crois. Il n'est plus question de surface
brûlée par la lumière et révélée dans des bains, mais de mini-capteurs
réutilisables en permanence et à l'infini.
beuh...
entre une diapo et un tirage au blanc d'oeuf c'est
totalement différent... est-ce qu'on a tenu ce genre de discours
à l'époque ?
je crois surtout que le numérique déclenche pas mal de
branlette intello...
Le 26/11/2011 10:07, Octave a écrit :
Voilà, je pense que c'est un peu le même genre de réflexion, les deux
donnent l'heure, les deux font une photo. La manière d'y arriver est
totalement différente. Est-ce le médium finit par transparaître sur le
résultat (la photo), je le crois. Il n'est plus question de surface
brûlée par la lumière et révélée dans des bains, mais de mini-capteurs
réutilisables en permanence et à l'infini.
beuh...
entre une diapo et un tirage au blanc d'oeuf c'est
totalement différent... est-ce qu'on a tenu ce genre de discours
à l'époque ?
je crois surtout que le numérique déclenche pas mal de
branlette intello...
Le 26/11/2011 10:07, Octave a écrit :
Voilà, je pense que c'est un peu le même genre de réflexion, les deux
donnent l'heure, les deux font une photo. La manière d'y arriver est
totalement différente. Est-ce le médium finit par transparaître sur le
résultat (la photo), je le crois. Il n'est plus question de surface
brûlée par la lumière et révélée dans des bains, mais de mini-capteurs
réutilisables en permanence et à l'infini.
beuh...
entre une diapo et un tirage au blanc d'oeuf c'est
totalement différent... est-ce qu'on a tenu ce genre de discours
à l'époque ?
je crois surtout que le numérique déclenche pas mal de
branlette intello...
Le 26/11/2011 13:54, Stephane Legras-Decussy a écrit :Le 26/11/2011 10:07, Octave a écrit :
Voilà, je pense que c'est un peu le même genre de réflexion, les
deux
donnent l'heure, les deux font une photo. La manière d'y arriver est
totalement différente. Est-ce le médium finit par transparaître sur
le
résultat (la photo), je le crois. Il n'est plus question de surface
brûlée par la lumière et révélée dans des bains, mais de
mini-capteurs
réutilisables en permanence et à l'infini.
beuh...
entre une diapo et un tirage au blanc d'oeuf c'est
totalement différent... est-ce qu'on a tenu ce genre de discours
à l'époque ?
Enfin, c'est toujours de la chimie sur matériau unique. Le numérique,
c'est tout à fait autre chose matériellement. Même si la différence
est quasiment invisible, elle est bien de fond.
je crois surtout que le numérique déclenche pas mal de
branlette intello...
Oui, mais je crois que c'est comme ça que l'on avance, en allant dans
le détail.
C'est pour discuter tout ça, pour ouvrir; pas pour s'engueuler et
avoir raison.
Moi, ça m'énerve un peu quand des gens veulent faire de la photo, mais
refusent d'en parler ou d'y réfléchir. Mais bon, chacun fait comme il
veut, et ça ne prévaut en rien l'intérêt des photos de chacun.
De toute façon, on est ici pour en parler, donc tout va bien.
Le 26/11/2011 13:54, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 26/11/2011 10:07, Octave a écrit :
Voilà, je pense que c'est un peu le même genre de réflexion, les
deux
donnent l'heure, les deux font une photo. La manière d'y arriver est
totalement différente. Est-ce le médium finit par transparaître sur
le
résultat (la photo), je le crois. Il n'est plus question de surface
brûlée par la lumière et révélée dans des bains, mais de
mini-capteurs
réutilisables en permanence et à l'infini.
beuh...
entre une diapo et un tirage au blanc d'oeuf c'est
totalement différent... est-ce qu'on a tenu ce genre de discours
à l'époque ?
Enfin, c'est toujours de la chimie sur matériau unique. Le numérique,
c'est tout à fait autre chose matériellement. Même si la différence
est quasiment invisible, elle est bien de fond.
je crois surtout que le numérique déclenche pas mal de
branlette intello...
Oui, mais je crois que c'est comme ça que l'on avance, en allant dans
le détail.
C'est pour discuter tout ça, pour ouvrir; pas pour s'engueuler et
avoir raison.
Moi, ça m'énerve un peu quand des gens veulent faire de la photo, mais
refusent d'en parler ou d'y réfléchir. Mais bon, chacun fait comme il
veut, et ça ne prévaut en rien l'intérêt des photos de chacun.
De toute façon, on est ici pour en parler, donc tout va bien.
Le 26/11/2011 13:54, Stephane Legras-Decussy a écrit :Le 26/11/2011 10:07, Octave a écrit :
Voilà, je pense que c'est un peu le même genre de réflexion, les
deux
donnent l'heure, les deux font une photo. La manière d'y arriver est
totalement différente. Est-ce le médium finit par transparaître sur
le
résultat (la photo), je le crois. Il n'est plus question de surface
brûlée par la lumière et révélée dans des bains, mais de
mini-capteurs
réutilisables en permanence et à l'infini.
beuh...
entre une diapo et un tirage au blanc d'oeuf c'est
totalement différent... est-ce qu'on a tenu ce genre de discours
à l'époque ?
Enfin, c'est toujours de la chimie sur matériau unique. Le numérique,
c'est tout à fait autre chose matériellement. Même si la différence
est quasiment invisible, elle est bien de fond.
je crois surtout que le numérique déclenche pas mal de
branlette intello...
Oui, mais je crois que c'est comme ça que l'on avance, en allant dans
le détail.
C'est pour discuter tout ça, pour ouvrir; pas pour s'engueuler et
avoir raison.
Moi, ça m'énerve un peu quand des gens veulent faire de la photo, mais
refusent d'en parler ou d'y réfléchir. Mais bon, chacun fait comme il
veut, et ça ne prévaut en rien l'intérêt des photos de chacun.
De toute façon, on est ici pour en parler, donc tout va bien.
On 26/11/2011 09:26, René wrote:Il serait temps que chacun reconsidère son emploi erronné du mot
photographie et fasse, comme les galeries qui n'exposent plus de simples
"photographies" mais des "épreuves chromogéniques"
On 26/11/2011 09:26, René wrote:
Il serait temps que chacun reconsidère son emploi erronné du mot
photographie et fasse, comme les galeries qui n'exposent plus de simples
"photographies" mais des "épreuves chromogéniques"
On 26/11/2011 09:26, René wrote:Il serait temps que chacun reconsidère son emploi erronné du mot
photographie et fasse, comme les galeries qui n'exposent plus de simples
"photographies" mais des "épreuves chromogéniques"
Stephane Legras-Decussy wrote:bof, dans les 80's, avec le moteur, tu cramais une 36 poses
en quelques secondes. Le photographe un peu aisé shootait
n'importe quoi.
Oui, mais sans doute était-ce cette gestion des 36 vues qui imposait la
réflexion.
Dans une interview pour Télérama, le reporter-photographe David Burnett
déclarait :
"Ce n'est pas le choix final de mes photos que le numérique a changé.
C'est
en amont que ça se passe. Je shoote beaucoup plus quand je travaille en
..........
que c'était très utile. On ne réussissait pas toujours. Ce que je veux
dire,
c'est qu'en numérique ou en film traditionnel, il n'y a rien de mieux que
des contraintes techniques pour faire un bon photographe. Fonctionner au
mieux avec ce qu'on a, c'est là le vrai challenge."
Stephane Legras-Decussy wrote:
bof, dans les 80's, avec le moteur, tu cramais une 36 poses
en quelques secondes. Le photographe un peu aisé shootait
n'importe quoi.
Oui, mais sans doute était-ce cette gestion des 36 vues qui imposait la
réflexion.
Dans une interview pour Télérama, le reporter-photographe David Burnett
déclarait :
"Ce n'est pas le choix final de mes photos que le numérique a changé.
C'est
en amont que ça se passe. Je shoote beaucoup plus quand je travaille en
..........
que c'était très utile. On ne réussissait pas toujours. Ce que je veux
dire,
c'est qu'en numérique ou en film traditionnel, il n'y a rien de mieux que
des contraintes techniques pour faire un bon photographe. Fonctionner au
mieux avec ce qu'on a, c'est là le vrai challenge."
Stephane Legras-Decussy wrote:bof, dans les 80's, avec le moteur, tu cramais une 36 poses
en quelques secondes. Le photographe un peu aisé shootait
n'importe quoi.
Oui, mais sans doute était-ce cette gestion des 36 vues qui imposait la
réflexion.
Dans une interview pour Télérama, le reporter-photographe David Burnett
déclarait :
"Ce n'est pas le choix final de mes photos que le numérique a changé.
C'est
en amont que ça se passe. Je shoote beaucoup plus quand je travaille en
..........
que c'était très utile. On ne réussissait pas toujours. Ce que je veux
dire,
c'est qu'en numérique ou en film traditionnel, il n'y a rien de mieux que
des contraintes techniques pour faire un bon photographe. Fonctionner au
mieux avec ce qu'on a, c'est là le vrai challenge."
Le 26/11/11 14:36, vincent a écrit :Ce que je n'aime pas, c'est de prendre un tas de photos en me disant
qu'il y en aura bien une bonne dedans.
Personne ne t'oblige à le faire.
Pour moi si il y réflexion elle est dans le reste du temps, pas dans le
temps de la (les) photo.
Je faisait mes photos par rouleaux ; 38 poses (oui, 38) la dessus, il y
en avait en général 2 qui sortaient du lot pour moi. Différents angles,
différentes approches parfois avec peu de variantes.
Ça m'est arrivé -une fois - de faire une grosse centaine de photos
toutes bonnes (selon mes critères) j'étais presque paniquée. J'étais
tombée en rade de film, j'en aurais eu 200 sinon, et c'est le corpus qui
m’intéressait. Un instant de coïncidence avec le monde qui a duré deux
heures.
Bonne est un terme qui reste à définir. Je prend beaucoup plus de
photos, c'est à dire plus souvent, mais le ratio est je pense resté le
même pour moi.
Il sera différent pour quelqu'un d'autre, mais je crois que comme il
dépend surtout de l'approche personnelle et de la perception personnelle
aussi de ce qu'on veut, c'est une presque constante individuelle.
Je ne crois pas à une histoire d'instant décisif, ou alors pas comme
c'est compris habituellement de façon un peu fumeuse (je dirais bien un
truc sur l'instant crucial qu'il faut retarder...). Je crois par contre
à une attitude d'ouverture au monde, à un peu d'abandon à sa propre
nature, à la spontanéité (qui gagne a être servie par l'expérience bien
sûr).
Et faire beaucoup de photos, c'est gagner de l’expérience.
En les regardant, c'est le moment idéal pour réfléchir.
Pour une photo à visée technique, si il en faut une, j'en fait une, pas
40. Disons si c'est crucial, ceinture bretelles, je fais deux fois la
même pour les cas de fichiers endommagés.
Sinon, c'est vrai que pour moi la comparaison et tri sur la planche à
diapos étaient bien plus pratiques qu'avec les logiciels de photo.
Le 26/11/11 14:36, vincent a écrit :
Ce que je n'aime pas, c'est de prendre un tas de photos en me disant
qu'il y en aura bien une bonne dedans.
Personne ne t'oblige à le faire.
Pour moi si il y réflexion elle est dans le reste du temps, pas dans le
temps de la (les) photo.
Je faisait mes photos par rouleaux ; 38 poses (oui, 38) la dessus, il y
en avait en général 2 qui sortaient du lot pour moi. Différents angles,
différentes approches parfois avec peu de variantes.
Ça m'est arrivé -une fois - de faire une grosse centaine de photos
toutes bonnes (selon mes critères) j'étais presque paniquée. J'étais
tombée en rade de film, j'en aurais eu 200 sinon, et c'est le corpus qui
m’intéressait. Un instant de coïncidence avec le monde qui a duré deux
heures.
Bonne est un terme qui reste à définir. Je prend beaucoup plus de
photos, c'est à dire plus souvent, mais le ratio est je pense resté le
même pour moi.
Il sera différent pour quelqu'un d'autre, mais je crois que comme il
dépend surtout de l'approche personnelle et de la perception personnelle
aussi de ce qu'on veut, c'est une presque constante individuelle.
Je ne crois pas à une histoire d'instant décisif, ou alors pas comme
c'est compris habituellement de façon un peu fumeuse (je dirais bien un
truc sur l'instant crucial qu'il faut retarder...). Je crois par contre
à une attitude d'ouverture au monde, à un peu d'abandon à sa propre
nature, à la spontanéité (qui gagne a être servie par l'expérience bien
sûr).
Et faire beaucoup de photos, c'est gagner de l’expérience.
En les regardant, c'est le moment idéal pour réfléchir.
Pour une photo à visée technique, si il en faut une, j'en fait une, pas
40. Disons si c'est crucial, ceinture bretelles, je fais deux fois la
même pour les cas de fichiers endommagés.
Sinon, c'est vrai que pour moi la comparaison et tri sur la planche à
diapos étaient bien plus pratiques qu'avec les logiciels de photo.
Le 26/11/11 14:36, vincent a écrit :Ce que je n'aime pas, c'est de prendre un tas de photos en me disant
qu'il y en aura bien une bonne dedans.
Personne ne t'oblige à le faire.
Pour moi si il y réflexion elle est dans le reste du temps, pas dans le
temps de la (les) photo.
Je faisait mes photos par rouleaux ; 38 poses (oui, 38) la dessus, il y
en avait en général 2 qui sortaient du lot pour moi. Différents angles,
différentes approches parfois avec peu de variantes.
Ça m'est arrivé -une fois - de faire une grosse centaine de photos
toutes bonnes (selon mes critères) j'étais presque paniquée. J'étais
tombée en rade de film, j'en aurais eu 200 sinon, et c'est le corpus qui
m’intéressait. Un instant de coïncidence avec le monde qui a duré deux
heures.
Bonne est un terme qui reste à définir. Je prend beaucoup plus de
photos, c'est à dire plus souvent, mais le ratio est je pense resté le
même pour moi.
Il sera différent pour quelqu'un d'autre, mais je crois que comme il
dépend surtout de l'approche personnelle et de la perception personnelle
aussi de ce qu'on veut, c'est une presque constante individuelle.
Je ne crois pas à une histoire d'instant décisif, ou alors pas comme
c'est compris habituellement de façon un peu fumeuse (je dirais bien un
truc sur l'instant crucial qu'il faut retarder...). Je crois par contre
à une attitude d'ouverture au monde, à un peu d'abandon à sa propre
nature, à la spontanéité (qui gagne a être servie par l'expérience bien
sûr).
Et faire beaucoup de photos, c'est gagner de l’expérience.
En les regardant, c'est le moment idéal pour réfléchir.
Pour une photo à visée technique, si il en faut une, j'en fait une, pas
40. Disons si c'est crucial, ceinture bretelles, je fais deux fois la
même pour les cas de fichiers endommagés.
Sinon, c'est vrai que pour moi la comparaison et tri sur la planche à
diapos étaient bien plus pratiques qu'avec les logiciels de photo.
On peut toujours faire des pseudo planches contact, quand on n'a pas
trop de photos à trier.
sur la table pour choisir
On peut toujours faire des pseudo planches contact, quand on n'a pas
trop de photos à trier.
sur la table pour choisir
On peut toujours faire des pseudo planches contact, quand on n'a pas
trop de photos à trier.
sur la table pour choisir
On 26/11/2011 11:06, FiLH wrote:
> vincent wrote:
>
>> On 26/11/2011 09:25, Fred wrote:
>>> On 26/11/2011 08:29, vincent wrote:
>>>> avant, on réfléchissait un peu plus avant de prendre sa photo
>>>
>>> Exactement comme la programmation par l'intermédiaire de cartes
>>> perforées vs. environnement intégré visuel.
>>
>> C'est amusant, j'avais aussi cette idée en tête :)
>
> Ça a pourtant radicalement changé les choses :)
> J'ai connu l'époque juste après les cartes perforées, et je dois dire
> que me concentrer sur le fait de faire une faute de frappe ou pas
> occupait une partie de mon cerveau... qui est maintenant libre, parce
> que j'ai un environnement de travail qui me corrige la chose, et je
> pense plus en terme de concepts de hauts niveaux. De même mon compilo
> optimise mon code, mieux que je ne saurais le faire moi même.
>
Oui, mais là, tu continue à réfléchir avant de taper !
On 26/11/2011 11:06, FiLH wrote:
> vincent<vincent.bach@gratuit.fr> wrote:
>
>> On 26/11/2011 09:25, Fred wrote:
>>> On 26/11/2011 08:29, vincent wrote:
>>>> avant, on réfléchissait un peu plus avant de prendre sa photo
>>>
>>> Exactement comme la programmation par l'intermédiaire de cartes
>>> perforées vs. environnement intégré visuel.
>>
>> C'est amusant, j'avais aussi cette idée en tête :)
>
> Ça a pourtant radicalement changé les choses :)
> J'ai connu l'époque juste après les cartes perforées, et je dois dire
> que me concentrer sur le fait de faire une faute de frappe ou pas
> occupait une partie de mon cerveau... qui est maintenant libre, parce
> que j'ai un environnement de travail qui me corrige la chose, et je
> pense plus en terme de concepts de hauts niveaux. De même mon compilo
> optimise mon code, mieux que je ne saurais le faire moi même.
>
Oui, mais là, tu continue à réfléchir avant de taper !
On 26/11/2011 11:06, FiLH wrote:
> vincent wrote:
>
>> On 26/11/2011 09:25, Fred wrote:
>>> On 26/11/2011 08:29, vincent wrote:
>>>> avant, on réfléchissait un peu plus avant de prendre sa photo
>>>
>>> Exactement comme la programmation par l'intermédiaire de cartes
>>> perforées vs. environnement intégré visuel.
>>
>> C'est amusant, j'avais aussi cette idée en tête :)
>
> Ça a pourtant radicalement changé les choses :)
> J'ai connu l'époque juste après les cartes perforées, et je dois dire
> que me concentrer sur le fait de faire une faute de frappe ou pas
> occupait une partie de mon cerveau... qui est maintenant libre, parce
> que j'ai un environnement de travail qui me corrige la chose, et je
> pense plus en terme de concepts de hauts niveaux. De même mon compilo
> optimise mon code, mieux que je ne saurais le faire moi même.
>
Oui, mais là, tu continue à réfléchir avant de taper !
Je réfléchis en tappant : la rapidité de compilation et de mise en
oeuvre fait qu'il est tout aussi facile d'écrie ses algos dans le
langage final que sur papier.
Je réfléchis en tappant : la rapidité de compilation et de mise en
oeuvre fait qu'il est tout aussi facile d'écrie ses algos dans le
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oeuvre fait qu'il est tout aussi facile d'écrie ses algos dans le
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