Confronté à un problème de choix d'appareil, le me suis livré, pour
moi, à une petite comparaison entre marques et modèles de compacts
différents. Ça peut en intéresser certains et je donne les URL plus
loin.
Vous y trouverez un même sujet, photographié dans les conditions les
plus voisines possible. J'y ai rajouté l'image prise avec un gros
réflex. C'est surtout la qualité de la définition qui est en cause.
Il y a deux exceptions : le TZ 80 à un tout petit capteur. Le Canon est
un full frame. Le Sony et le Lumix TZ101 ont des capteurs de 1 pouce.
Le premier lien aboutit à une image de 2,3 Mo.
Pour les puristes, le second lien aboutit à une image en plus haute
résolution, qui fait 50 Mo. Bonne visu.
On voit là la génération télé pour qui un film est toujours mieux que le roman dont il est issu. Pas besoin de réfléchir, imaginer, rêver... tout est servi prêt à consommer, du fast-food pour les neurones. Toujours mieux de rester des heures devant l'écran à ingurgiter ce que quelqu'un d'autre à imaginer, que de le faire soi-même en prenant le bouquin.
là tu fais de la littérature sur ce qui n'est juste que l'entropie d'information du message. [bla bla bla]
Je ne suis pas certain que l'application de la théorie de l'information au champ artistique ait beaucoup de sens... (J'aurais bien mis un smiley pour faire comprendre qu'il y a un euphémisme entre les mots ; ça m'étonnerait que ça existe, mais, comme disait Kipling... Un élément fondamental dans l'image du barbelé est le contraste flou-net, et pour ça, il faut du flou. Sous prétexte qu'il n'apporte pas d'information tangible, tu voudrais le supprimer ? Le paysage tout flou n'est pas équivalent à un aplat blanc ou un aplat noir. Essaye, fais circuler l'image et enquête sur l'effet que ça fait aux gens. charles
Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 12/06/2016 12:29, Benoit a écrit :
On voit là la génération télé pour qui un film est toujours mieux que le
roman dont il est issu. Pas besoin de réfléchir, imaginer, rêver... tout
est servi prêt à consommer, du fast-food pour les neurones. Toujours
mieux de rester des heures devant l'écran à ingurgiter ce que quelqu'un
d'autre à imaginer, que de le faire soi-même en prenant le bouquin.
là tu fais de la littérature sur ce qui n'est juste que
l'entropie d'information du message.
[bla bla bla]
Je ne suis pas certain que l'application de la théorie de l'information
au champ artistique ait beaucoup de sens... (J'aurais bien mis un smiley
pour faire comprendre qu'il y a un euphémisme entre les mots ; ça
m'étonnerait que ça existe, mais, comme disait Kipling...
Un élément fondamental dans l'image du barbelé est le contraste
flou-net, et pour ça, il faut du flou. Sous prétexte qu'il n'apporte pas
d'information tangible, tu voudrais le supprimer ? Le paysage tout flou
n'est pas équivalent à un aplat blanc ou un aplat noir. Essaye, fais
circuler l'image et enquête sur l'effet que ça fait aux gens.
On voit là la génération télé pour qui un film est toujours mieux que le roman dont il est issu. Pas besoin de réfléchir, imaginer, rêver... tout est servi prêt à consommer, du fast-food pour les neurones. Toujours mieux de rester des heures devant l'écran à ingurgiter ce que quelqu'un d'autre à imaginer, que de le faire soi-même en prenant le bouquin.
là tu fais de la littérature sur ce qui n'est juste que l'entropie d'information du message. [bla bla bla]
Je ne suis pas certain que l'application de la théorie de l'information au champ artistique ait beaucoup de sens... (J'aurais bien mis un smiley pour faire comprendre qu'il y a un euphémisme entre les mots ; ça m'étonnerait que ça existe, mais, comme disait Kipling... Un élément fondamental dans l'image du barbelé est le contraste flou-net, et pour ça, il faut du flou. Sous prétexte qu'il n'apporte pas d'information tangible, tu voudrais le supprimer ? Le paysage tout flou n'est pas équivalent à un aplat blanc ou un aplat noir. Essaye, fais circuler l'image et enquête sur l'effet que ça fait aux gens. charles
Stephane Legras-Decussy
Le 12/06/2016 19:19, Charles Vassallo a écrit :
Je ne suis pas certain que l'application de la théorie de l'information au champ artistique ait beaucoup de sens...
au contraire, et c'est très simple, c'est pas fumeux. Rembrandt et Klein ont un contenu informatif TRES différent.
Un élément fondamental dans l'image du barbelé est le contraste flou-net, et pour ça, il faut du flou. Sous prétexte qu'il n'apporte pas d'information tangible, tu voudrais le supprimer ? Le paysage tout flou n'est pas équivalent à un aplat blanc ou un aplat noir. Essaye, fais circuler l'image et enquête sur l'effet que ça fait aux gens.
ok et ça veut dire quoi le contraste flou / net ? on demande à 30 personnes, je rammasse les copies dans 15mn :-)
Le 12/06/2016 19:19, Charles Vassallo a écrit :
Je ne suis pas certain que l'application de la théorie de l'information
au champ artistique ait beaucoup de sens...
au contraire, et c'est très simple, c'est pas fumeux.
Rembrandt et Klein ont un contenu informatif TRES différent.
Un élément fondamental dans l'image du barbelé est le contraste
flou-net, et pour ça, il faut du flou. Sous prétexte qu'il n'apporte pas
d'information tangible, tu voudrais le supprimer ? Le paysage tout flou
n'est pas équivalent à un aplat blanc ou un aplat noir. Essaye, fais
circuler l'image et enquête sur l'effet que ça fait aux gens.
ok et ça veut dire quoi le contraste flou / net ?
on demande à 30 personnes, je rammasse les copies dans 15mn :-)
Je ne suis pas certain que l'application de la théorie de l'information au champ artistique ait beaucoup de sens...
au contraire, et c'est très simple, c'est pas fumeux. Rembrandt et Klein ont un contenu informatif TRES différent.
Un élément fondamental dans l'image du barbelé est le contraste flou-net, et pour ça, il faut du flou. Sous prétexte qu'il n'apporte pas d'information tangible, tu voudrais le supprimer ? Le paysage tout flou n'est pas équivalent à un aplat blanc ou un aplat noir. Essaye, fais circuler l'image et enquête sur l'effet que ça fait aux gens.
ok et ça veut dire quoi le contraste flou / net ? on demande à 30 personnes, je rammasse les copies dans 15mn :-)
Jacques DASSIÉ
Stephane Legras-Decussy avait prétendu :
Le 12/06/2016 13:15, Jacques DASSIÉ a écrit :
Prise de vue sans aucune préparation : j'ai vu la mouche, saisi l'appareil, visé et déclenché (il est toujours sur P). http://archaero.com/Tampon/Mouche-Exif-1010079.jpg
ce qui est interessant dans ce que tu dis, c'est qu'un grand amateur de macro, semble totalement satisfait de ces perfs, en ayant pratiqué, avant, le reflex lourd et cher. si le compact-pocket, fait aussi bien que le reflex en restant au tirage A4 max, je comprends ta joie !
Je retiens "au tirage A4 max". En effet, la majorité des imprimantes actuelles sont en A4. Le papier photo se trouve chez LIDL à des prix incroyables... et il est excellent. Il n'y a que les cartouches qui coutent cher. Malgré plusieurs tentatives de compatibles, je reviens toujours à la marque (Canon). Donc, mes catalogues entomo (plusieurs milliers de tirages) sont en 10 x 15 cm et les images qui je conserve sur papier, en A4. Et les plus grandes ? Quelques bonnes reproductions de peintures sont en 60 x 80 cm, faites en labo allemand. Au-dessus, images publicitaires en 3m x 4m, c'est le demandeur qui s'occupe de tout, je ne founis que le fichier. Mais là, je reste encore dans le domaine du réflex full-frame. 2015-2016, le compact-pocket couvre 95 % et peut-être plus, de mes besoins, y compris l'observation plein écran sur un 24 pouces. Je n'éprouve pas une grande joie à me servir d'un compact, mais mes cervicales apprécient pleinement ! -- Jacques DASSIÉ Toujours sçavoir plus http://archaero.com/
Stephane Legras-Decussy avait prétendu :
Le 12/06/2016 13:15, Jacques DASSIÉ a écrit :
Prise de vue sans aucune préparation : j'ai vu la mouche, saisi
l'appareil, visé et déclenché (il est toujours sur P).
ce qui est interessant dans ce que tu dis, c'est qu'un grand amateur
de macro, semble totalement satisfait de ces perfs, en ayant
pratiqué, avant, le reflex lourd et cher.
si le compact-pocket, fait aussi bien que le reflex en restant
au tirage A4 max, je comprends ta joie !
Je retiens "au tirage A4 max". En effet, la majorité des imprimantes
actuelles sont en A4. Le papier photo se trouve chez LIDL à des prix
incroyables... et il est excellent. Il n'y a que les cartouches qui
coutent cher. Malgré plusieurs tentatives de compatibles, je reviens
toujours à la marque (Canon). Donc, mes catalogues entomo (plusieurs
milliers de tirages) sont en 10 x 15 cm et les images qui je conserve
sur papier, en A4.
Et les plus grandes ? Quelques bonnes reproductions de peintures sont
en 60 x 80 cm, faites en labo allemand. Au-dessus, images publicitaires
en 3m x 4m, c'est le demandeur qui s'occupe de tout, je ne founis que
le fichier.
Mais là, je reste encore dans le domaine du réflex full-frame.
2015-2016, le compact-pocket couvre 95 % et peut-être plus, de mes
besoins, y compris l'observation plein écran sur un 24 pouces.
Je n'éprouve pas une grande joie à me servir d'un compact, mais mes
cervicales apprécient pleinement !
--
Jacques DASSIÉ
Toujours sçavoir plus
http://archaero.com/
Prise de vue sans aucune préparation : j'ai vu la mouche, saisi l'appareil, visé et déclenché (il est toujours sur P). http://archaero.com/Tampon/Mouche-Exif-1010079.jpg
ce qui est interessant dans ce que tu dis, c'est qu'un grand amateur de macro, semble totalement satisfait de ces perfs, en ayant pratiqué, avant, le reflex lourd et cher. si le compact-pocket, fait aussi bien que le reflex en restant au tirage A4 max, je comprends ta joie !
Je retiens "au tirage A4 max". En effet, la majorité des imprimantes actuelles sont en A4. Le papier photo se trouve chez LIDL à des prix incroyables... et il est excellent. Il n'y a que les cartouches qui coutent cher. Malgré plusieurs tentatives de compatibles, je reviens toujours à la marque (Canon). Donc, mes catalogues entomo (plusieurs milliers de tirages) sont en 10 x 15 cm et les images qui je conserve sur papier, en A4. Et les plus grandes ? Quelques bonnes reproductions de peintures sont en 60 x 80 cm, faites en labo allemand. Au-dessus, images publicitaires en 3m x 4m, c'est le demandeur qui s'occupe de tout, je ne founis que le fichier. Mais là, je reste encore dans le domaine du réflex full-frame. 2015-2016, le compact-pocket couvre 95 % et peut-être plus, de mes besoins, y compris l'observation plein écran sur un 24 pouces. Je n'éprouve pas une grande joie à me servir d'un compact, mais mes cervicales apprécient pleinement ! -- Jacques DASSIÉ Toujours sçavoir plus http://archaero.com/
jdd
Le 12/06/2016 19:45, Jacques DASSIÉ a écrit :
2015-2016, le compact-pocket couvre 95 % et peut-être plus, de mes besoins, y compris l'observation plein écran sur un 24 pouces. Je n'éprouve pas une grande joie à me servir d'un compact, mais mes cervicales apprécient pleinement !
tout dépends de la façon dont on détermine le % mon compact (très bon sony voisin du tien) me donne des photos guère différentes de ce que je peux trouver sur le net, à quelques cadrages près, mon 5DMKIII me permet d'avoir des photos uniques introuvables ailleurs. Au final, je garde 80% des photos du Sony et 20% de celles du Canon, mais je regretterais vraiment ces dernières si je les perdais, alors que je pourrais me passer des autres. en gros, quand les compacts passeront 100.000 isos, ca m'ira... :-) peut-être bientôt? jdd
Le 12/06/2016 19:45, Jacques DASSIÉ a écrit :
2015-2016, le compact-pocket couvre 95 % et peut-être plus, de mes
besoins, y compris l'observation plein écran sur un 24 pouces.
Je n'éprouve pas une grande joie à me servir d'un compact, mais mes
cervicales apprécient pleinement !
tout dépends de la façon dont on détermine le %
mon compact (très bon sony voisin du tien) me donne des photos guère
différentes de ce que je peux trouver sur le net, à quelques cadrages
près, mon 5DMKIII me permet d'avoir des photos uniques introuvables
ailleurs.
Au final, je garde 80% des photos du Sony et 20% de celles du Canon,
mais je regretterais vraiment ces dernières si je les perdais, alors que
je pourrais me passer des autres.
en gros, quand les compacts passeront 100.000 isos, ca m'ira...
2015-2016, le compact-pocket couvre 95 % et peut-être plus, de mes besoins, y compris l'observation plein écran sur un 24 pouces. Je n'éprouve pas une grande joie à me servir d'un compact, mais mes cervicales apprécient pleinement !
tout dépends de la façon dont on détermine le % mon compact (très bon sony voisin du tien) me donne des photos guère différentes de ce que je peux trouver sur le net, à quelques cadrages près, mon 5DMKIII me permet d'avoir des photos uniques introuvables ailleurs. Au final, je garde 80% des photos du Sony et 20% de celles du Canon, mais je regretterais vraiment ces dernières si je les perdais, alors que je pourrais me passer des autres. en gros, quand les compacts passeront 100.000 isos, ca m'ira... :-) peut-être bientôt? jdd
Charles Vassallo
Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 12/06/2016 19:19, Charles Vassallo a écrit :
Je ne suis pas certain que l'application de la théorie de l'information au champ artistique ait beaucoup de sens...
au contraire, et c'est très simple, c'est pas fumeux. Rembrandt et Klein ont un contenu informatif TRES différent.
Un élément fondamental dans l'image du barbelé est le contraste flou-net, et pour ça, il faut du flou. Sous prétexte qu'il n'apporte pas d'information tangible, tu voudrais le supprimer ? Le paysage tout flou n'est pas équivalent à un aplat blanc ou un aplat noir. Essaye, fais circuler l'image et enquête sur l'effet que ça fait aux gens.
ok et ça veut dire quoi le contraste flou / net ?
Révise tes bases. Par exemple http://www.eyrolles.com/Audiovisuel/Livre/composition-et-couleur-en-photographie-9782212134605 charles
Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 12/06/2016 19:19, Charles Vassallo a écrit :
Je ne suis pas certain que l'application de la théorie de l'information
au champ artistique ait beaucoup de sens...
au contraire, et c'est très simple, c'est pas fumeux.
Rembrandt et Klein ont un contenu informatif TRES différent.
Un élément fondamental dans l'image du barbelé est le contraste
flou-net, et pour ça, il faut du flou. Sous prétexte qu'il n'apporte pas
d'information tangible, tu voudrais le supprimer ? Le paysage tout flou
n'est pas équivalent à un aplat blanc ou un aplat noir. Essaye, fais
circuler l'image et enquête sur l'effet que ça fait aux gens.
ok et ça veut dire quoi le contraste flou / net ?
Révise tes bases. Par exemple
http://www.eyrolles.com/Audiovisuel/Livre/composition-et-couleur-en-photographie-9782212134605
Je ne suis pas certain que l'application de la théorie de l'information au champ artistique ait beaucoup de sens...
au contraire, et c'est très simple, c'est pas fumeux. Rembrandt et Klein ont un contenu informatif TRES différent.
Un élément fondamental dans l'image du barbelé est le contraste flou-net, et pour ça, il faut du flou. Sous prétexte qu'il n'apporte pas d'information tangible, tu voudrais le supprimer ? Le paysage tout flou n'est pas équivalent à un aplat blanc ou un aplat noir. Essaye, fais circuler l'image et enquête sur l'effet que ça fait aux gens.
ok et ça veut dire quoi le contraste flou / net ?
Révise tes bases. Par exemple http://www.eyrolles.com/Audiovisuel/Livre/composition-et-couleur-en-photographie-9782212134605 charles
Jean_
Bonjour, Il se trouve que Jacques DASSIÉ a formulé :
Le papier photo se trouve chez LIDL à des prix incroyables... et il est excellent.
Exact, mais si tu en trouves encore, tu me dis comment ! Mon stock s'épuise inexorablement et j'ai beau chercher, je n'en vois plus dans mon coin. Jean_
Bonjour,
Il se trouve que Jacques DASSIÉ a formulé :
Le papier photo se trouve chez LIDL à des prix incroyables... et il est
excellent.
Exact, mais si tu en trouves encore, tu me dis comment !
Mon stock s'épuise inexorablement et j'ai beau chercher, je n'en vois
plus dans mon coin.
Bonjour, Il se trouve que Jacques DASSIÉ a formulé :
Le papier photo se trouve chez LIDL à des prix incroyables... et il est excellent.
Exact, mais si tu en trouves encore, tu me dis comment ! Mon stock s'épuise inexorablement et j'ai beau chercher, je n'en vois plus dans mon coin. Jean_
Stephane Legras-Decussy
Le 12/06/2016 20:34, Charles Vassallo a écrit :
Révise tes bases. Par exemple http://www.eyrolles.com/Audiovisuel/Livre/composition-et-couleur-en-photographie-9782212134605
un fond flou ça veut dire "je ne veux pas montrer le fond". c'est 1 bit d'info.... je trouve ça... hum leger. après on a le droit de faire de la photo abstraite, mais qu'on ne vienne pas dire qu'elle veut dire quelque chose. il suffit de vérifier la qualité de transmission du message d'une photo abstraite.
Le 12/06/2016 20:34, Charles Vassallo a écrit :
Révise tes bases. Par exemple
http://www.eyrolles.com/Audiovisuel/Livre/composition-et-couleur-en-photographie-9782212134605
un fond flou ça veut dire "je ne veux pas montrer le fond".
c'est 1 bit d'info.... je trouve ça... hum leger.
après on a le droit de faire de la photo abstraite, mais qu'on ne vienne
pas dire qu'elle veut dire quelque chose.
il suffit de vérifier la qualité de transmission du message d'une photo
abstraite.
Révise tes bases. Par exemple http://www.eyrolles.com/Audiovisuel/Livre/composition-et-couleur-en-photographie-9782212134605
un fond flou ça veut dire "je ne veux pas montrer le fond". c'est 1 bit d'info.... je trouve ça... hum leger. après on a le droit de faire de la photo abstraite, mais qu'on ne vienne pas dire qu'elle veut dire quelque chose. il suffit de vérifier la qualité de transmission du message d'une photo abstraite.
voici comment je la présenterais : http://www.cjoint.com/doc/16_06/FFkjkZd8euH_esca1.jpg après avoir photographié bcp d'escaliers je pense que -sauf exception ou nécessité- vouloir les cadrer en totalité n'est pas la bonne solution, souvent un morceau suffit.
Recadrage pas mal du tout, la partie basse est en effet assez peu intéressante et cela simplifie les lignes et densifie l'image.
Certainement pas ! Bien sûr que ce bas d'image est intéressant, qui ajoute énormément d'espace à l'image, qui permet de mieux comprendre l'organisation générale du bidule, et qui, sur le plan graphique, prolonge l'opposition des obliques de la moitié supérieure -- comme la reprise d'un thème dans le monde musical. Tout au plus ferais-je un léger recadrage pour réduire le poids de la rampe descendante tout en bas à gauche http://www.cjoint.com/doc/16_06/FFlhbkrZz5r_TT.jpg et, pendant que j'y suis, un assombrissement du ciel tout en bas pour bien ramener l'½il sur cette opposition des obliques
tout faux (pour moi) ! :-) pour ce genre de photo il faut simplifier au maximum jusqu'à la limite du compréhensible. laisser l'imagination recréer ce qui est hors champs est une bonne solution lorsqu'il n'y a pas de contrainte documentaire forte. ensuite, par goût personnel, j'aime bien balancer les diagonales dnas les coins : ça pose l'image et en même temps ça la rend légère, pas compliquée à l'oeil.
voici comment je la présenterais :
http://www.cjoint.com/doc/16_06/FFkjkZd8euH_esca1.jpg
après avoir photographié bcp d'escaliers je pense que -sauf exception
ou nécessité- vouloir les cadrer en totalité n'est pas la bonne
solution, souvent un morceau suffit.
Recadrage pas mal du tout, la partie basse est en effet assez peu
intéressante et cela simplifie les lignes et densifie l'image.
Certainement pas !
Bien sûr que ce bas d'image est intéressant, qui ajoute énormément
d'espace à l'image, qui permet de mieux comprendre l'organisation
générale du bidule, et qui, sur le plan graphique, prolonge l'opposition
des obliques de la moitié supérieure -- comme la reprise d'un thème dans
le monde musical.
Tout au plus ferais-je un léger recadrage pour réduire le poids de la
rampe descendante tout en bas à gauche
http://www.cjoint.com/doc/16_06/FFlhbkrZz5r_TT.jpg
et, pendant que j'y suis, un assombrissement du ciel tout en bas pour
bien ramener l'½il sur cette opposition des obliques
tout faux (pour moi) ! :-)
pour ce genre de photo il faut simplifier au maximum jusqu'à la limite
du compréhensible.
laisser l'imagination recréer ce qui est hors champs est une bonne
solution lorsqu'il n'y a pas de contrainte documentaire forte.
ensuite, par goût personnel, j'aime bien balancer les diagonales dnas
les coins : ça pose l'image et en même temps ça la rend légère, pas
compliquée à l'oeil.
voici comment je la présenterais : http://www.cjoint.com/doc/16_06/FFkjkZd8euH_esca1.jpg après avoir photographié bcp d'escaliers je pense que -sauf exception ou nécessité- vouloir les cadrer en totalité n'est pas la bonne solution, souvent un morceau suffit.
Recadrage pas mal du tout, la partie basse est en effet assez peu intéressante et cela simplifie les lignes et densifie l'image.
Certainement pas ! Bien sûr que ce bas d'image est intéressant, qui ajoute énormément d'espace à l'image, qui permet de mieux comprendre l'organisation générale du bidule, et qui, sur le plan graphique, prolonge l'opposition des obliques de la moitié supérieure -- comme la reprise d'un thème dans le monde musical. Tout au plus ferais-je un léger recadrage pour réduire le poids de la rampe descendante tout en bas à gauche http://www.cjoint.com/doc/16_06/FFlhbkrZz5r_TT.jpg et, pendant que j'y suis, un assombrissement du ciel tout en bas pour bien ramener l'½il sur cette opposition des obliques
tout faux (pour moi) ! :-) pour ce genre de photo il faut simplifier au maximum jusqu'à la limite du compréhensible. laisser l'imagination recréer ce qui est hors champs est une bonne solution lorsqu'il n'y a pas de contrainte documentaire forte. ensuite, par goût personnel, j'aime bien balancer les diagonales dnas les coins : ça pose l'image et en même temps ça la rend légère, pas compliquée à l'oeil.
Alf92
Charles Vassallo :
Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 10/06/2016 23:19, Benoit a écrit :
en photo, la narration doit tenir dans UNE image, donc il faut du décor pas flou pour raconter.
Faux, archi-faux
il va falloir développer jeune homme :-) http://www.rajib.com/wp-content/uploads/shallow-depth-of-field.jpg auschwitz ? le pré de ma tata germaine ? Guantanamo ? grande plaine du middle west ?
Mais ce que tu veux, naturellement. La richesse d'une image est la richesse des émotions qu'elle peut générer et ces émotions ne sont pas dans l'image, c'est le spectateur qui les ressent ; l'image ne peut que les déclencher.
oui ! 100% d'accord d'où l'inutiité du bas de l'escalier de GR.
Et puis, pourquoi veux-tu que l'image «raconte» forcément quelque chose ?
là aussi je suis complètement d'accord avec cette afirmation. pourquoi vouloir toujours donner du sens à une image ?
C'est le propre des images documentaires, il n'y a pas que ça. Par ailleurs, les images ne se présentent pas toujours une par une, mais souvent par paquets qui aident à se forger une idée de ce que l'auteur veut faire passer. Une image isolée est souvent ambigüe, même parfaitement nette. Dans le cas de ton image, l'auteur m'a tout l'air de s'être concentré sur le poids symbolique du barbelé. C'est une image du barbelé et non pas du barbelé ici ou là ; il était alors nécessaire que cet «ici ou là» ne soit pas pas identifiable. Donc décor flouté. Néanmoins, le coupage des cheveux en quatre ne s'arrête pas là : ce barbelé est unique (ça n'arrêtera personne bien longtemps) ; il est tout rouillé (encore là, mais pour combien de temps?) ; il est tout ensoleillé (espoir ?). Bref, l'image est simpliste mais elle peut encore faire causer.
oui
Charles Vassallo :
Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 10/06/2016 23:19, Benoit a écrit :
en photo, la narration doit tenir dans UNE image, donc il faut
du décor pas flou pour raconter.
auschwitz ? le pré de ma tata germaine ? Guantanamo ? grande plaine du
middle west ?
Mais ce que tu veux, naturellement. La richesse d'une image est la
richesse des émotions qu'elle peut générer et ces émotions ne sont pas
dans l'image, c'est le spectateur qui les ressent ; l'image ne peut que
les déclencher.
oui ! 100% d'accord
d'où l'inutiité du bas de l'escalier de GR.
Et puis, pourquoi veux-tu que l'image «raconte»
forcément quelque chose ?
là aussi je suis complètement d'accord avec cette afirmation.
pourquoi vouloir toujours donner du sens à une image ?
C'est le propre des images documentaires, il
n'y a pas que ça. Par ailleurs, les images ne se présentent pas toujours
une par une, mais souvent par paquets qui aident à se forger une idée de
ce que l'auteur veut faire passer. Une image isolée est souvent ambigüe,
même parfaitement nette.
Dans le cas de ton image, l'auteur m'a tout l'air de s'être concentré
sur le poids symbolique du barbelé. C'est une image du barbelé et non
pas du barbelé ici ou là ; il était alors nécessaire que cet «ici ou là»
ne soit pas pas identifiable. Donc décor flouté. Néanmoins, le coupage
des cheveux en quatre ne s'arrête pas là : ce barbelé est unique (ça
n'arrêtera personne bien longtemps) ; il est tout rouillé (encore là,
mais pour combien de temps?) ; il est tout ensoleillé (espoir ?). Bref,
l'image est simpliste mais elle peut encore faire causer.
en photo, la narration doit tenir dans UNE image, donc il faut du décor pas flou pour raconter.
Faux, archi-faux
il va falloir développer jeune homme :-) http://www.rajib.com/wp-content/uploads/shallow-depth-of-field.jpg auschwitz ? le pré de ma tata germaine ? Guantanamo ? grande plaine du middle west ?
Mais ce que tu veux, naturellement. La richesse d'une image est la richesse des émotions qu'elle peut générer et ces émotions ne sont pas dans l'image, c'est le spectateur qui les ressent ; l'image ne peut que les déclencher.
oui ! 100% d'accord d'où l'inutiité du bas de l'escalier de GR.
Et puis, pourquoi veux-tu que l'image «raconte» forcément quelque chose ?
là aussi je suis complètement d'accord avec cette afirmation. pourquoi vouloir toujours donner du sens à une image ?
C'est le propre des images documentaires, il n'y a pas que ça. Par ailleurs, les images ne se présentent pas toujours une par une, mais souvent par paquets qui aident à se forger une idée de ce que l'auteur veut faire passer. Une image isolée est souvent ambigüe, même parfaitement nette. Dans le cas de ton image, l'auteur m'a tout l'air de s'être concentré sur le poids symbolique du barbelé. C'est une image du barbelé et non pas du barbelé ici ou là ; il était alors nécessaire que cet «ici ou là» ne soit pas pas identifiable. Donc décor flouté. Néanmoins, le coupage des cheveux en quatre ne s'arrête pas là : ce barbelé est unique (ça n'arrêtera personne bien longtemps) ; il est tout rouillé (encore là, mais pour combien de temps?) ; il est tout ensoleillé (espoir ?). Bref, l'image est simpliste mais elle peut encore faire causer.