Si, à notre époque, on a vraiment évolué : on ne refuse plus
« bêtement » une légitimité à tel ou tel objet mathématique pour des
raisons « philosophiques ».
Si, à notre époque, on a vraiment évolué : on ne refuse plus
« bêtement » une légitimité à tel ou tel objet mathématique pour des
raisons « philosophiques ».
Si, à notre époque, on a vraiment évolué : on ne refuse plus
« bêtement » une légitimité à tel ou tel objet mathématique pour des
raisons « philosophiques ».
In article <hpnugv$22d$,
Manuel Pégourié-Gonnard wrote:Si, à notre époque, on a vraiment évolué : on ne refuse plus
« bêtement » une légitimité à tel ou tel objet mathématique pour des
raisons « philosophiques ».
Ca m'embete d'etre presque d'accord avec Sam, mais t'as quand meme des
In article <hpnugv$22d$1@thue.elzevir.fr>,
Manuel Pégourié-Gonnard <mpg@elzevir.fr> wrote:
Si, à notre époque, on a vraiment évolué : on ne refuse plus
« bêtement » une légitimité à tel ou tel objet mathématique pour des
raisons « philosophiques ».
Ca m'embete d'etre presque d'accord avec Sam, mais t'as quand meme des
In article <hpnugv$22d$,
Manuel Pégourié-Gonnard wrote:Si, à notre époque, on a vraiment évolué : on ne refuse plus
« bêtement » une légitimité à tel ou tel objet mathématique pour des
raisons « philosophiques ».
Ca m'embete d'etre presque d'accord avec Sam, mais t'as quand meme des
Manuel Pégourié-Gonnard scripsit :Samuel DEVULDER scripsit :Manuel Pégourié-Gonnard a écrit :la majorité des mathématiciens que je connais [...]
En fait non.
Si tu veux m'apprendre des trucs sur « la majorité de mathématiciens que
je connais », on va avoir un problème, parce que par définition je les
connais mieux que toi :-)
Avant qu'un petit malin ne vienne me le faire remarquer : ok, il est
théoriquement possible que tu connaisses tous les mathématiciens que je
connais, et mieux que moi. Il est également possible en pratique que
j'ai une légère tendance à abuser de l'expression « par définition » :-)
Donc, même si je pense que le fond de ma pensée était clair, je
reformule : ce que je retire de mes échanges avec d'autres
mathématiciens, c'est que de nos jours, on manipule des objets
mathématiques variés sans trop se soucier de savoir lesquels sont des
« nombres » ou autre question « philosophique » sur leur nature et leur
légitimité. (On peut en parler à table ou à la machine à café, mais dans
l'immense majorité des cas, quand on est réellement en train de
travailler, on s'en fiche.) Et tu ne réussiras pas à me convaincre qu'il
se dégage autre chose de mon expérience personnelle :-)
Pour nous, à notre époque, on a pas tellement évolué: on a juste
remplacé 2 par -1!
Si, à notre époque, on a vraiment évolué : on ne refuse plus
« bêtement » une légitimité à tel ou tel objet mathématique pour des
raisons « philosophiques ».
C'est ça la grosse différence par rapport aux problèmes que les
pythagoriciens avaient avec les irrationnels, plus que le fait que la
variété des objets qu'on considère de nos jours est bien plus vaste que
celle qu'ils connaissaient à l'époque.
Parmi la grande variété des objets mathématiques qu'on utilise, il y en
a qui sont encore mal compris ou difficiles à manipuler techniquement.
Mais les complexes n'en font pas partie, bien au contraire.
Manuel Pégourié-Gonnard scripsit :
Samuel DEVULDER scripsit :
Manuel Pégourié-Gonnard a écrit :
la majorité des mathématiciens que je connais [...]
En fait non.
Si tu veux m'apprendre des trucs sur « la majorité de mathématiciens que
je connais », on va avoir un problème, parce que par définition je les
connais mieux que toi :-)
Avant qu'un petit malin ne vienne me le faire remarquer : ok, il est
théoriquement possible que tu connaisses tous les mathématiciens que je
connais, et mieux que moi. Il est également possible en pratique que
j'ai une légère tendance à abuser de l'expression « par définition » :-)
Donc, même si je pense que le fond de ma pensée était clair, je
reformule : ce que je retire de mes échanges avec d'autres
mathématiciens, c'est que de nos jours, on manipule des objets
mathématiques variés sans trop se soucier de savoir lesquels sont des
« nombres » ou autre question « philosophique » sur leur nature et leur
légitimité. (On peut en parler à table ou à la machine à café, mais dans
l'immense majorité des cas, quand on est réellement en train de
travailler, on s'en fiche.) Et tu ne réussiras pas à me convaincre qu'il
se dégage autre chose de mon expérience personnelle :-)
Pour nous, à notre époque, on a pas tellement évolué: on a juste
remplacé 2 par -1!
Si, à notre époque, on a vraiment évolué : on ne refuse plus
« bêtement » une légitimité à tel ou tel objet mathématique pour des
raisons « philosophiques ».
C'est ça la grosse différence par rapport aux problèmes que les
pythagoriciens avaient avec les irrationnels, plus que le fait que la
variété des objets qu'on considère de nos jours est bien plus vaste que
celle qu'ils connaissaient à l'époque.
Parmi la grande variété des objets mathématiques qu'on utilise, il y en
a qui sont encore mal compris ou difficiles à manipuler techniquement.
Mais les complexes n'en font pas partie, bien au contraire.
Manuel Pégourié-Gonnard scripsit :Samuel DEVULDER scripsit :Manuel Pégourié-Gonnard a écrit :la majorité des mathématiciens que je connais [...]
En fait non.
Si tu veux m'apprendre des trucs sur « la majorité de mathématiciens que
je connais », on va avoir un problème, parce que par définition je les
connais mieux que toi :-)
Avant qu'un petit malin ne vienne me le faire remarquer : ok, il est
théoriquement possible que tu connaisses tous les mathématiciens que je
connais, et mieux que moi. Il est également possible en pratique que
j'ai une légère tendance à abuser de l'expression « par définition » :-)
Donc, même si je pense que le fond de ma pensée était clair, je
reformule : ce que je retire de mes échanges avec d'autres
mathématiciens, c'est que de nos jours, on manipule des objets
mathématiques variés sans trop se soucier de savoir lesquels sont des
« nombres » ou autre question « philosophique » sur leur nature et leur
légitimité. (On peut en parler à table ou à la machine à café, mais dans
l'immense majorité des cas, quand on est réellement en train de
travailler, on s'en fiche.) Et tu ne réussiras pas à me convaincre qu'il
se dégage autre chose de mon expérience personnelle :-)
Pour nous, à notre époque, on a pas tellement évolué: on a juste
remplacé 2 par -1!
Si, à notre époque, on a vraiment évolué : on ne refuse plus
« bêtement » une légitimité à tel ou tel objet mathématique pour des
raisons « philosophiques ».
C'est ça la grosse différence par rapport aux problèmes que les
pythagoriciens avaient avec les irrationnels, plus que le fait que la
variété des objets qu'on considère de nos jours est bien plus vaste que
celle qu'ils connaissaient à l'époque.
Parmi la grande variété des objets mathématiques qu'on utilise, il y en
a qui sont encore mal compris ou difficiles à manipuler techniquement.
Mais les complexes n'en font pas partie, bien au contraire.
In article <hpnugv$22d$,
Manuel Pégourié-Gonnard wrote:Si, à notre époque, on a vraiment évolué : on ne refuse plus
« bêtement » une légitimité à tel ou tel objet mathématique pour des
raisons « philosophiques ».
Ca m'embete d'etre presque d'accord avec Sam, mais t'as quand meme des
querelles de clochers, entre ceux qui disent que tel domaine est tres
serieux, et d'autres qui te disent que c'est "meme pas des maths".
Et a cote de ca, t'as de vrais problemes de base, savoir ce qu'on fait
de l'axiome du choix, du tiers-exclus, de l'analyse non-standard (qui a
quand meme le leger defaut de virer certaines proprietes de R, et de te
permettre d'ecrire tres facilement de grosses erreurs si tu ne maitrises
pas parfaitement la difference entre logique du 1er ordre et logique d'ordre
superieur)... sans parler des intuitionnistes.
Au moins en France, tu as
un mouvement (Bourbaki) qui a choisi de tout reconstruire a partir de
l'algebre, et de purement evacuer sous la moquette plein de trucs (si on
lit vite fait leur Theorie des ensembles, hop, l'axiome du choix sous
la moquette),
et que tu retrouves dans la mentalite de certains mathematiciens
(de toutes facons, l'axiome du choix, c'est pas vraiment des maths, et les
intuitionnistes sont de gros clowns).
Bon, par contre, on sait tres bien categoriser tout ca, et c'est plus
vraiment "religieux" comme a l'epoque des pythagoriciens.
Note que le point de vue de base de la logique intuitioniste, c'est quand meme
que ce qui n'est pas constructible n'a pas d'existence reelle, et donc qu'on
va eviter les preuves par l'absurde. Si ca c'est pas un point de vue
philosophique...
In article <hpnugv$22d$1@thue.elzevir.fr>,
Manuel Pégourié-Gonnard <mpg@elzevir.fr> wrote:
Si, à notre époque, on a vraiment évolué : on ne refuse plus
« bêtement » une légitimité à tel ou tel objet mathématique pour des
raisons « philosophiques ».
Ca m'embete d'etre presque d'accord avec Sam, mais t'as quand meme des
querelles de clochers, entre ceux qui disent que tel domaine est tres
serieux, et d'autres qui te disent que c'est "meme pas des maths".
Et a cote de ca, t'as de vrais problemes de base, savoir ce qu'on fait
de l'axiome du choix, du tiers-exclus, de l'analyse non-standard (qui a
quand meme le leger defaut de virer certaines proprietes de R, et de te
permettre d'ecrire tres facilement de grosses erreurs si tu ne maitrises
pas parfaitement la difference entre logique du 1er ordre et logique d'ordre
superieur)... sans parler des intuitionnistes.
Au moins en France, tu as
un mouvement (Bourbaki) qui a choisi de tout reconstruire a partir de
l'algebre, et de purement evacuer sous la moquette plein de trucs (si on
lit vite fait leur Theorie des ensembles, hop, l'axiome du choix sous
la moquette),
et que tu retrouves dans la mentalite de certains mathematiciens
(de toutes facons, l'axiome du choix, c'est pas vraiment des maths, et les
intuitionnistes sont de gros clowns).
Bon, par contre, on sait tres bien categoriser tout ca, et c'est plus
vraiment "religieux" comme a l'epoque des pythagoriciens.
Note que le point de vue de base de la logique intuitioniste, c'est quand meme
que ce qui n'est pas constructible n'a pas d'existence reelle, et donc qu'on
va eviter les preuves par l'absurde. Si ca c'est pas un point de vue
philosophique...
In article <hpnugv$22d$,
Manuel Pégourié-Gonnard wrote:Si, à notre époque, on a vraiment évolué : on ne refuse plus
« bêtement » une légitimité à tel ou tel objet mathématique pour des
raisons « philosophiques ».
Ca m'embete d'etre presque d'accord avec Sam, mais t'as quand meme des
querelles de clochers, entre ceux qui disent que tel domaine est tres
serieux, et d'autres qui te disent que c'est "meme pas des maths".
Et a cote de ca, t'as de vrais problemes de base, savoir ce qu'on fait
de l'axiome du choix, du tiers-exclus, de l'analyse non-standard (qui a
quand meme le leger defaut de virer certaines proprietes de R, et de te
permettre d'ecrire tres facilement de grosses erreurs si tu ne maitrises
pas parfaitement la difference entre logique du 1er ordre et logique d'ordre
superieur)... sans parler des intuitionnistes.
Au moins en France, tu as
un mouvement (Bourbaki) qui a choisi de tout reconstruire a partir de
l'algebre, et de purement evacuer sous la moquette plein de trucs (si on
lit vite fait leur Theorie des ensembles, hop, l'axiome du choix sous
la moquette),
et que tu retrouves dans la mentalite de certains mathematiciens
(de toutes facons, l'axiome du choix, c'est pas vraiment des maths, et les
intuitionnistes sont de gros clowns).
Bon, par contre, on sait tres bien categoriser tout ca, et c'est plus
vraiment "religieux" comme a l'epoque des pythagoriciens.
Note que le point de vue de base de la logique intuitioniste, c'est quand meme
que ce qui n'est pas constructible n'a pas d'existence reelle, et donc qu'on
va eviter les preuves par l'absurde. Si ca c'est pas un point de vue
philosophique...
Vincent Lefevre scripsit :
> Dans l'article <hpn9j3$scq$,
> Manuel Pégourié-Gonnard écrit:
>> les nombres réels sont exactement ceux qui admettent un
>> développement décimal (en la base qu'on veut sauf 1) éventuellement
>> infini.
>
> Si c'est un développement décimal, la base est forcément 10. :)
> Mais bon, la norme C fait le même genre d'erreur ("decimal-point
> character"), mais probablement à cause du decimal_point qui était
> là avant le format hexa.
>
Bah, je ne connais pas d'autre façon d'appeler un développement avec un
nombre fini de chiffres, puis un séparateur « décimal » (virgule ou
point) et un suite potentiellement infinie de chiffres après. Je
t'accorde que la terminologie est malheureuse, mais c'est celle qui me
semble la plus commune. Si tu en as une plus claire à proposer, je suis
preneur.
Vincent Lefevre scripsit :
> Dans l'article <hpn9j3$scq$1@thue.elzevir.fr>,
> Manuel Pégourié-Gonnard <mpg@elzevir.fr> écrit:
>> les nombres réels sont exactement ceux qui admettent un
>> développement décimal (en la base qu'on veut sauf 1) éventuellement
>> infini.
>
> Si c'est un développement décimal, la base est forcément 10. :)
> Mais bon, la norme C fait le même genre d'erreur ("decimal-point
> character"), mais probablement à cause du decimal_point qui était
> là avant le format hexa.
>
Bah, je ne connais pas d'autre façon d'appeler un développement avec un
nombre fini de chiffres, puis un séparateur « décimal » (virgule ou
point) et un suite potentiellement infinie de chiffres après. Je
t'accorde que la terminologie est malheureuse, mais c'est celle qui me
semble la plus commune. Si tu en as une plus claire à proposer, je suis
preneur.
Vincent Lefevre scripsit :
> Dans l'article <hpn9j3$scq$,
> Manuel Pégourié-Gonnard écrit:
>> les nombres réels sont exactement ceux qui admettent un
>> développement décimal (en la base qu'on veut sauf 1) éventuellement
>> infini.
>
> Si c'est un développement décimal, la base est forcément 10. :)
> Mais bon, la norme C fait le même genre d'erreur ("decimal-point
> character"), mais probablement à cause du decimal_point qui était
> là avant le format hexa.
>
Bah, je ne connais pas d'autre façon d'appeler un développement avec un
nombre fini de chiffres, puis un séparateur « décimal » (virgule ou
point) et un suite potentiellement infinie de chiffres après. Je
t'accorde que la terminologie est malheureuse, mais c'est celle qui me
semble la plus commune. Si tu en as une plus claire à proposer, je suis
preneur.
Dans l'article <hpnrt0$1ab$, Manuel Pégourié-Gonnard
écrit:Bah, je ne connais pas d'autre façon d'appeler un développement avec
un nombre fini de chiffres, puis un séparateur « décimal » (virgule
ou point) et un suite potentiellement infinie de chiffres après. Je
t'accorde que la terminologie est malheureuse, mais c'est celle qui
me semble la plus commune. Si tu en as une plus claire à proposer, je
suis preneur.
Je propose: "écriture dans un système de numération en base B".
On peut préciser "positionnel", mais je ne pense pas que ce soit
nécessaire. :)
Et même plus simplement: "écriture en base B".
Dans l'article <hpnrt0$1ab$1@thue.elzevir.fr>, Manuel Pégourié-Gonnard
<mpg@elzevir.fr> écrit:
Bah, je ne connais pas d'autre façon d'appeler un développement avec
un nombre fini de chiffres, puis un séparateur « décimal » (virgule
ou point) et un suite potentiellement infinie de chiffres après. Je
t'accorde que la terminologie est malheureuse, mais c'est celle qui
me semble la plus commune. Si tu en as une plus claire à proposer, je
suis preneur.
Je propose: "écriture dans un système de numération en base B".
On peut préciser "positionnel", mais je ne pense pas que ce soit
nécessaire. :)
Et même plus simplement: "écriture en base B".
Dans l'article <hpnrt0$1ab$, Manuel Pégourié-Gonnard
écrit:Bah, je ne connais pas d'autre façon d'appeler un développement avec
un nombre fini de chiffres, puis un séparateur « décimal » (virgule
ou point) et un suite potentiellement infinie de chiffres après. Je
t'accorde que la terminologie est malheureuse, mais c'est celle qui
me semble la plus commune. Si tu en as une plus claire à proposer, je
suis preneur.
Je propose: "écriture dans un système de numération en base B".
On peut préciser "positionnel", mais je ne pense pas que ce soit
nécessaire. :)
Et même plus simplement: "écriture en base B".
Bah, je ne connais pas d'autre façon d'appeler un développement avec un
nombre fini de chiffres, puis un séparateur « décimal » (virgule ou
point) et un suite potentiellement infinie de chiffres après. Je
t'accorde que la terminologie est malheureuse, mais c'est celle qui me
semble la plus commune. Si tu en as une plus claire à proposer, je suis
preneur.
Bah, je ne connais pas d'autre façon d'appeler un développement avec un
nombre fini de chiffres, puis un séparateur « décimal » (virgule ou
point) et un suite potentiellement infinie de chiffres après. Je
t'accorde que la terminologie est malheureuse, mais c'est celle qui me
semble la plus commune. Si tu en as une plus claire à proposer, je suis
preneur.
Bah, je ne connais pas d'autre façon d'appeler un développement avec un
nombre fini de chiffres, puis un séparateur « décimal » (virgule ou
point) et un suite potentiellement infinie de chiffres après. Je
t'accorde que la terminologie est malheureuse, mais c'est celle qui me
semble la plus commune. Si tu en as une plus claire à proposer, je suis
preneur.
Vincent Lefevre scripsit :
> Dans l'article <hpnrt0$1ab$, Manuel Pégourié-Gonnard
> écrit:
>
>> Bah, je ne connais pas d'autre façon d'appeler un développement avec
>> un nombre fini de chiffres, puis un séparateur « décimal » (virgule
>> ou point) et un suite potentiellement infinie de chiffres après. Je
>> t'accorde que la terminologie est malheureuse, mais c'est celle qui
>> me semble la plus commune. Si tu en as une plus claire à proposer, je
>> suis preneur.
>
> Je propose: "écriture dans un système de numération en base B".
>
> On peut préciser "positionnel", mais je ne pense pas que ce soit
> nécessaire. :)
>
> Et même plus simplement: "écriture en base B".
>
Oui, mais ça ne met pas en particulièrement en valeur le fait qu'on
admet une virgule et une suite éventuellement infinie de chiffres après.
Note que la wikipédia francophone dit « Un séparateur décimal est un
symbole utilisé pour partager la partie décimale de la partie entière
d'un nombre décimal. », ce qui rejoint ton interprétation, tandis que
l'anglophone commence par « The decimal separator or decimal point or
decimal comma is a symbol used to mark the boundary between the integral
and the fractional parts of a decimal number in a positional numeral
system. », qui semble conforter mon idée initiale qu'on peut parler de
séparateur décimal quelle que soit la base (même si c'est
étymologiquement constradictoire),
mais poursuit un peu plus loin par « The English term "decimal" is
limited to base ten, but the separator in non-decimal numeral
systems may be referred to as a radix point. In a binary system, it
is sometimes referred to as binary point. » Sauf que je n'ai aucune
idée de comment on dirait « radix point » en français.
Vincent Lefevre scripsit :
> Dans l'article <hpnrt0$1ab$1@thue.elzevir.fr>, Manuel Pégourié-Gonnard
> <mpg@elzevir.fr> écrit:
>
>> Bah, je ne connais pas d'autre façon d'appeler un développement avec
>> un nombre fini de chiffres, puis un séparateur « décimal » (virgule
>> ou point) et un suite potentiellement infinie de chiffres après. Je
>> t'accorde que la terminologie est malheureuse, mais c'est celle qui
>> me semble la plus commune. Si tu en as une plus claire à proposer, je
>> suis preneur.
>
> Je propose: "écriture dans un système de numération en base B".
>
> On peut préciser "positionnel", mais je ne pense pas que ce soit
> nécessaire. :)
>
> Et même plus simplement: "écriture en base B".
>
Oui, mais ça ne met pas en particulièrement en valeur le fait qu'on
admet une virgule et une suite éventuellement infinie de chiffres après.
Note que la wikipédia francophone dit « Un séparateur décimal est un
symbole utilisé pour partager la partie décimale de la partie entière
d'un nombre décimal. », ce qui rejoint ton interprétation, tandis que
l'anglophone commence par « The decimal separator or decimal point or
decimal comma is a symbol used to mark the boundary between the integral
and the fractional parts of a decimal number in a positional numeral
system. », qui semble conforter mon idée initiale qu'on peut parler de
séparateur décimal quelle que soit la base (même si c'est
étymologiquement constradictoire),
mais poursuit un peu plus loin par « The English term "decimal" is
limited to base ten, but the separator in non-decimal numeral
systems may be referred to as a radix point. In a binary system, it
is sometimes referred to as binary point. » Sauf que je n'ai aucune
idée de comment on dirait « radix point » en français.
Vincent Lefevre scripsit :
> Dans l'article <hpnrt0$1ab$, Manuel Pégourié-Gonnard
> écrit:
>
>> Bah, je ne connais pas d'autre façon d'appeler un développement avec
>> un nombre fini de chiffres, puis un séparateur « décimal » (virgule
>> ou point) et un suite potentiellement infinie de chiffres après. Je
>> t'accorde que la terminologie est malheureuse, mais c'est celle qui
>> me semble la plus commune. Si tu en as une plus claire à proposer, je
>> suis preneur.
>
> Je propose: "écriture dans un système de numération en base B".
>
> On peut préciser "positionnel", mais je ne pense pas que ce soit
> nécessaire. :)
>
> Et même plus simplement: "écriture en base B".
>
Oui, mais ça ne met pas en particulièrement en valeur le fait qu'on
admet une virgule et une suite éventuellement infinie de chiffres après.
Note que la wikipédia francophone dit « Un séparateur décimal est un
symbole utilisé pour partager la partie décimale de la partie entière
d'un nombre décimal. », ce qui rejoint ton interprétation, tandis que
l'anglophone commence par « The decimal separator or decimal point or
decimal comma is a symbol used to mark the boundary between the integral
and the fractional parts of a decimal number in a positional numeral
system. », qui semble conforter mon idée initiale qu'on peut parler de
séparateur décimal quelle que soit la base (même si c'est
étymologiquement constradictoire),
mais poursuit un peu plus loin par « The English term "decimal" is
limited to base ten, but the separator in non-decimal numeral
systems may be referred to as a radix point. In a binary system, it
is sometimes referred to as binary point. » Sauf que je n'ai aucune
idée de comment on dirait « radix point » en français.
Vincent Lefevre scripsit :Dans l'article <hpn9j3$scq$,
Manuel Pégourié-Gonnard écrit:les nombres réels sont exactement ceux qui admettent un
développement décimal (en la base qu'on veut sauf 1) éventuellement
infini.
Si c'est un développement décimal, la base est forcément 10. :)
Mais bon, la norme C fait le même genre d'erreur ("decimal-point
character"), mais probablement à cause du decimal_point qui était
là avant le format hexa.
Bah, je ne connais pas d'autre façon d'appeler un développement avec un
nombre fini de chiffres, puis un séparateur « décimal » (virgule ou
point) et un suite potentiellement infinie de chiffres après.
Je t'accorde que la terminologie est malheureuse, mais c'est celle qui me
semble la plus commune.
Vincent Lefevre scripsit :
Dans l'article <hpn9j3$scq$1@thue.elzevir.fr>,
Manuel Pégourié-Gonnard <mpg@elzevir.fr> écrit:
les nombres réels sont exactement ceux qui admettent un
développement décimal (en la base qu'on veut sauf 1) éventuellement
infini.
Si c'est un développement décimal, la base est forcément 10. :)
Mais bon, la norme C fait le même genre d'erreur ("decimal-point
character"), mais probablement à cause du decimal_point qui était
là avant le format hexa.
Bah, je ne connais pas d'autre façon d'appeler un développement avec un
nombre fini de chiffres, puis un séparateur « décimal » (virgule ou
point) et un suite potentiellement infinie de chiffres après.
Je t'accorde que la terminologie est malheureuse, mais c'est celle qui me
semble la plus commune.
Vincent Lefevre scripsit :Dans l'article <hpn9j3$scq$,
Manuel Pégourié-Gonnard écrit:les nombres réels sont exactement ceux qui admettent un
développement décimal (en la base qu'on veut sauf 1) éventuellement
infini.
Si c'est un développement décimal, la base est forcément 10. :)
Mais bon, la norme C fait le même genre d'erreur ("decimal-point
character"), mais probablement à cause du decimal_point qui était
là avant le format hexa.
Bah, je ne connais pas d'autre façon d'appeler un développement avec un
nombre fini de chiffres, puis un séparateur « décimal » (virgule ou
point) et un suite potentiellement infinie de chiffres après.
Je t'accorde que la terminologie est malheureuse, mais c'est celle qui me
semble la plus commune.
Manuel Pégourié-Gonnard a écrit :Bah, je ne connais pas d'autre façon d'appeler un développement avec un
nombre fini de chiffres, puis un séparateur « décimal » (virgule ou
point) et un suite potentiellement infinie de chiffres après. Je
C'est le séparateur de la partie fractionnaire, c'est tout, non?
Manuel Pégourié-Gonnard a écrit :
Bah, je ne connais pas d'autre façon d'appeler un développement avec un
nombre fini de chiffres, puis un séparateur « décimal » (virgule ou
point) et un suite potentiellement infinie de chiffres après. Je
C'est le séparateur de la partie fractionnaire, c'est tout, non?
Manuel Pégourié-Gonnard a écrit :Bah, je ne connais pas d'autre façon d'appeler un développement avec un
nombre fini de chiffres, puis un séparateur « décimal » (virgule ou
point) et un suite potentiellement infinie de chiffres après. Je
C'est le séparateur de la partie fractionnaire, c'est tout, non?