franeric a écrit:dis moi, le Louvre, ils peuvent pas lui payer un materiel si elle y
bosse, ca serait quand même bien ?
Les copistes sont des gens qui ont demandé l'autorisation de poser un
chevalet pour reproduire des ouvres exposées. Ils ne travaillent pas
pour le Louvre.
franeric <d.francoise32@aliceadsl.fr> a écrit:
dis moi, le Louvre, ils peuvent pas lui payer un materiel si elle y
bosse, ca serait quand même bien ?
Les copistes sont des gens qui ont demandé l'autorisation de poser un
chevalet pour reproduire des ouvres exposées. Ils ne travaillent pas
pour le Louvre.
franeric a écrit:dis moi, le Louvre, ils peuvent pas lui payer un materiel si elle y
bosse, ca serait quand même bien ?
Les copistes sont des gens qui ont demandé l'autorisation de poser un
chevalet pour reproduire des ouvres exposées. Ils ne travaillent pas
pour le Louvre.
.
Et l'usage du monopod est-il lui aussi interdit ?
Je l'utilise parfois en extérieur avec le bout un pied en appui dans
la poche du jean ou coincé dans la ceinture du pantalon ! Cela permet
de gagner encore un peu en stabilité, mais avec une mobilité maximale
;-)
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Et l'usage du monopod est-il lui aussi interdit ?
Je l'utilise parfois en extérieur avec le bout un pied en appui dans
la poche du jean ou coincé dans la ceinture du pantalon ! Cela permet
de gagner encore un peu en stabilité, mais avec une mobilité maximale
;-)
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Et l'usage du monopod est-il lui aussi interdit ?
Je l'utilise parfois en extérieur avec le bout un pied en appui dans
la poche du jean ou coincé dans la ceinture du pantalon ! Cela permet
de gagner encore un peu en stabilité, mais avec une mobilité maximale
;-)
la ficelle et la planchette en bois à coincer sous le pieds marche
bien aussi.
la ficelle et la planchette en bois à coincer sous le pieds marche
bien aussi.
la ficelle et la planchette en bois à coincer sous le pieds marche
bien aussi.
Un compact où un bridge numérique stabilisé, du fait de l'absence du
miroir, permet de gagner 4IL sans difficultés et permet de réaliser
des photos nettes, par exemple au 1/8s à une focale équivalente 50mm !
Un compact où un bridge numérique stabilisé, du fait de l'absence du
miroir, permet de gagner 4IL sans difficultés et permet de réaliser
des photos nettes, par exemple au 1/8s à une focale équivalente 50mm !
Un compact où un bridge numérique stabilisé, du fait de l'absence du
miroir, permet de gagner 4IL sans difficultés et permet de réaliser
des photos nettes, par exemple au 1/8s à une focale équivalente 50mm !
Que me conseillez-vous comme APN compact pour prendre des photos de
tableaux (je suis copiste) dans des musées où, vous les savez, on n'a
droit ni au pied, ni souvent au flash, d'ailleurs inutilisable à cause
de reflets. Netteté primordiale, of course.
Merci d'avance
Que me conseillez-vous comme APN compact pour prendre des photos de
tableaux (je suis copiste) dans des musées où, vous les savez, on n'a
droit ni au pied, ni souvent au flash, d'ailleurs inutilisable à cause
de reflets. Netteté primordiale, of course.
Merci d'avance
Que me conseillez-vous comme APN compact pour prendre des photos de
tableaux (je suis copiste) dans des musées où, vous les savez, on n'a
droit ni au pied, ni souvent au flash, d'ailleurs inutilisable à cause
de reflets. Netteté primordiale, of course.
Merci d'avance
Que me conseillez-vous comme APN compact pour prendre des photos de
tableaux (je suis copiste) dans des musées où, vous les savez, on n'a
droit ni au pied, ni souvent au flash, d'ailleurs inutilisable à
cause de reflets. Netteté primordiale, of course.
Merci d'avance
Le gros problème, dans les musées, c'est l'éclairage.
Il est souvent insuffisant, mal réparti, hétérogène, trop jaune, il y
a des reflets, l'horreur.
De plus, pour éviter les déformations des courtes focales, il faut se
mettre bien dans l'axe de l'oeuvre et choisir un angle de champ pas
trop ouvert, donc une focale un peu longue, d'où des problèmes de
vitesse, de public qui passe devant l'oeuvre etc..
Mais on y arrive quand même.
Voici Les Jeunes filles au Piano de Renoir, photographié en janvier au
Musée d'Orsay:
Olympus E20, 160 ISO, 1/40, f2,2, foc.équiv. 76 mm, JPEG 1/8 (pas de
raw), pas de débruitage, à main levée, mais genoux fléchis pour être
dans l'axe (position pénible passé un certain âge) ;-)
http://cjoint.com/?cxsLB4XUNP
Pour pouvoir descendre en vitesse et en sensibilité et diaphragmer un
peu plus, j'utilise maintenant une sorte de support prévue pour les
camescopes. On trouve ça à la FNAC (et ailleurs aussi je suppose).
Il est suspendu au cou et s'appuie sur la poitrine. On peut régler la
hauteur du mât. C'est pratique, très léger et démontable, ça tient
dans la poche. On gagne ainsi environ 2 vitesses.
Pour l'appareil, je pense, avec l'expérience, que n'importe quel APN
actuel de bonne qualité doit convenir. La visée me semble importante:
il faut que le viseur optique soit précis avec des bords bien droits
pour éviter les légers penchés. La visée sur écran me paraît plus
difficile: utiliser des vitesses un peu basses avec l'appareil à
bout de bras me semble aléatoire, d'autant qu'il faut viser aussi
serré que possible pour éviter les marges.
En revanche, les hautes sensibilités, avec le grain qui va
généralement avec, me semblent inutiles, dans 95% des cas. Elles
n'ont, à mon avis d'intérêt que pour des dessins ou peintures
fragiles exposés sous un très faible éclairage.
Ghost Rider
PS: pour les amateurs de retouche qui voudraient se faire la main,
j'ai aussi L'Origine du Monde de Courbet, en 5 méga-pixels,
introuvable dans cette définition sur google.... ;-)
Que me conseillez-vous comme APN compact pour prendre des photos de
tableaux (je suis copiste) dans des musées où, vous les savez, on n'a
droit ni au pied, ni souvent au flash, d'ailleurs inutilisable à
cause de reflets. Netteté primordiale, of course.
Merci d'avance
Le gros problème, dans les musées, c'est l'éclairage.
Il est souvent insuffisant, mal réparti, hétérogène, trop jaune, il y
a des reflets, l'horreur.
De plus, pour éviter les déformations des courtes focales, il faut se
mettre bien dans l'axe de l'oeuvre et choisir un angle de champ pas
trop ouvert, donc une focale un peu longue, d'où des problèmes de
vitesse, de public qui passe devant l'oeuvre etc..
Mais on y arrive quand même.
Voici Les Jeunes filles au Piano de Renoir, photographié en janvier au
Musée d'Orsay:
Olympus E20, 160 ISO, 1/40, f2,2, foc.équiv. 76 mm, JPEG 1/8 (pas de
raw), pas de débruitage, à main levée, mais genoux fléchis pour être
dans l'axe (position pénible passé un certain âge) ;-)
http://cjoint.com/?cxsLB4XUNP
Pour pouvoir descendre en vitesse et en sensibilité et diaphragmer un
peu plus, j'utilise maintenant une sorte de support prévue pour les
camescopes. On trouve ça à la FNAC (et ailleurs aussi je suppose).
Il est suspendu au cou et s'appuie sur la poitrine. On peut régler la
hauteur du mât. C'est pratique, très léger et démontable, ça tient
dans la poche. On gagne ainsi environ 2 vitesses.
Pour l'appareil, je pense, avec l'expérience, que n'importe quel APN
actuel de bonne qualité doit convenir. La visée me semble importante:
il faut que le viseur optique soit précis avec des bords bien droits
pour éviter les légers penchés. La visée sur écran me paraît plus
difficile: utiliser des vitesses un peu basses avec l'appareil à
bout de bras me semble aléatoire, d'autant qu'il faut viser aussi
serré que possible pour éviter les marges.
En revanche, les hautes sensibilités, avec le grain qui va
généralement avec, me semblent inutiles, dans 95% des cas. Elles
n'ont, à mon avis d'intérêt que pour des dessins ou peintures
fragiles exposés sous un très faible éclairage.
Ghost Rider
PS: pour les amateurs de retouche qui voudraient se faire la main,
j'ai aussi L'Origine du Monde de Courbet, en 5 méga-pixels,
introuvable dans cette définition sur google.... ;-)
Que me conseillez-vous comme APN compact pour prendre des photos de
tableaux (je suis copiste) dans des musées où, vous les savez, on n'a
droit ni au pied, ni souvent au flash, d'ailleurs inutilisable à
cause de reflets. Netteté primordiale, of course.
Merci d'avance
Le gros problème, dans les musées, c'est l'éclairage.
Il est souvent insuffisant, mal réparti, hétérogène, trop jaune, il y
a des reflets, l'horreur.
De plus, pour éviter les déformations des courtes focales, il faut se
mettre bien dans l'axe de l'oeuvre et choisir un angle de champ pas
trop ouvert, donc une focale un peu longue, d'où des problèmes de
vitesse, de public qui passe devant l'oeuvre etc..
Mais on y arrive quand même.
Voici Les Jeunes filles au Piano de Renoir, photographié en janvier au
Musée d'Orsay:
Olympus E20, 160 ISO, 1/40, f2,2, foc.équiv. 76 mm, JPEG 1/8 (pas de
raw), pas de débruitage, à main levée, mais genoux fléchis pour être
dans l'axe (position pénible passé un certain âge) ;-)
http://cjoint.com/?cxsLB4XUNP
Pour pouvoir descendre en vitesse et en sensibilité et diaphragmer un
peu plus, j'utilise maintenant une sorte de support prévue pour les
camescopes. On trouve ça à la FNAC (et ailleurs aussi je suppose).
Il est suspendu au cou et s'appuie sur la poitrine. On peut régler la
hauteur du mât. C'est pratique, très léger et démontable, ça tient
dans la poche. On gagne ainsi environ 2 vitesses.
Pour l'appareil, je pense, avec l'expérience, que n'importe quel APN
actuel de bonne qualité doit convenir. La visée me semble importante:
il faut que le viseur optique soit précis avec des bords bien droits
pour éviter les légers penchés. La visée sur écran me paraît plus
difficile: utiliser des vitesses un peu basses avec l'appareil à
bout de bras me semble aléatoire, d'autant qu'il faut viser aussi
serré que possible pour éviter les marges.
En revanche, les hautes sensibilités, avec le grain qui va
généralement avec, me semblent inutiles, dans 95% des cas. Elles
n'ont, à mon avis d'intérêt que pour des dessins ou peintures
fragiles exposés sous un très faible éclairage.
Ghost Rider
PS: pour les amateurs de retouche qui voudraient se faire la main,
j'ai aussi L'Origine du Monde de Courbet, en 5 méga-pixels,
introuvable dans cette définition sur google.... ;-)
Que me conseillez-vous comme APN compact pour prendre des photos de
tableaux (je suis copiste) dans des musées où, vous les savez, on n'a
droit ni au pied, ni souvent au flash, d'ailleurs inutilisable à cause
de reflets. Netteté primordiale, of course.
Merci d'avance
Le gros problème, dans les musées, c'est l'éclairage.
Il est souvent insuffisant, mal réparti, hétérogène, trop jaune, il y a
des reflets, l'horreur.
De plus, pour éviter les déformations des courtes focales, il faut se
mettre bien dans l'axe de l'oeuvre et choisir un angle de champ pas trop
ouvert, donc une focale un peu longue, d'où des problèmes de vitesse, de
public qui passe devant l'oeuvre etc..
Mais on y arrive quand même.
Voici Les Jeunes filles au Piano de Renoir, photographié en janvier au
Musée d'Orsay:
Olympus E20, 160 ISO, 1/40, f2,2, foc.équiv. 76 mm, JPEG 1/8 (pas de
raw), pas de débruitage, à main levée, mais genoux fléchis pour être
dans l'axe (position pénible passé un certain âge) ;-)
http://cjoint.com/?cxsLB4XUNP
Pour pouvoir descendre en vitesse et en sensibilité et diaphragmer un
peu plus, j'utilise maintenant une sorte de support prévue pour les
camescopes. On trouve ça à la FNAC (et ailleurs aussi je suppose).
Il est suspendu au cou et s'appuie sur la poitrine. On peut régler la
hauteur du mât. C'est pratique, très léger et démontable, ça tient dans
la poche. On gagne ainsi environ 2 vitesses.
Pour l'appareil, je pense, avec l'expérience, que n'importe quel APN
actuel de bonne qualité doit convenir. La visée me semble importante: il
faut que le viseur optique soit précis avec des bords bien droits pour
éviter les légers penchés. La visée sur écran me paraît plus difficile:
utiliser des vitesses un peu basses avec l'appareil à bout de bras me
semble aléatoire, d'autant qu'il faut viser aussi serré que possible
pour éviter les marges.
En revanche, les hautes sensibilités, avec le grain qui va généralement
avec, me semblent inutiles, dans 95% des cas. Elles n'ont, à mon avis
d'intérêt que pour des dessins ou peintures fragiles exposés sous un
très faible éclairage.
Ghost Rider
PS: pour les amateurs de retouche qui voudraient se faire la main, j'ai
aussi L'Origine du Monde de Courbet, en 5 méga-pixels, introuvable dans
cette définition sur google.... ;-)
Que me conseillez-vous comme APN compact pour prendre des photos de
tableaux (je suis copiste) dans des musées où, vous les savez, on n'a
droit ni au pied, ni souvent au flash, d'ailleurs inutilisable à cause
de reflets. Netteté primordiale, of course.
Merci d'avance
Le gros problème, dans les musées, c'est l'éclairage.
Il est souvent insuffisant, mal réparti, hétérogène, trop jaune, il y a
des reflets, l'horreur.
De plus, pour éviter les déformations des courtes focales, il faut se
mettre bien dans l'axe de l'oeuvre et choisir un angle de champ pas trop
ouvert, donc une focale un peu longue, d'où des problèmes de vitesse, de
public qui passe devant l'oeuvre etc..
Mais on y arrive quand même.
Voici Les Jeunes filles au Piano de Renoir, photographié en janvier au
Musée d'Orsay:
Olympus E20, 160 ISO, 1/40, f2,2, foc.équiv. 76 mm, JPEG 1/8 (pas de
raw), pas de débruitage, à main levée, mais genoux fléchis pour être
dans l'axe (position pénible passé un certain âge) ;-)
http://cjoint.com/?cxsLB4XUNP
Pour pouvoir descendre en vitesse et en sensibilité et diaphragmer un
peu plus, j'utilise maintenant une sorte de support prévue pour les
camescopes. On trouve ça à la FNAC (et ailleurs aussi je suppose).
Il est suspendu au cou et s'appuie sur la poitrine. On peut régler la
hauteur du mât. C'est pratique, très léger et démontable, ça tient dans
la poche. On gagne ainsi environ 2 vitesses.
Pour l'appareil, je pense, avec l'expérience, que n'importe quel APN
actuel de bonne qualité doit convenir. La visée me semble importante: il
faut que le viseur optique soit précis avec des bords bien droits pour
éviter les légers penchés. La visée sur écran me paraît plus difficile:
utiliser des vitesses un peu basses avec l'appareil à bout de bras me
semble aléatoire, d'autant qu'il faut viser aussi serré que possible
pour éviter les marges.
En revanche, les hautes sensibilités, avec le grain qui va généralement
avec, me semblent inutiles, dans 95% des cas. Elles n'ont, à mon avis
d'intérêt que pour des dessins ou peintures fragiles exposés sous un
très faible éclairage.
Ghost Rider
PS: pour les amateurs de retouche qui voudraient se faire la main, j'ai
aussi L'Origine du Monde de Courbet, en 5 méga-pixels, introuvable dans
cette définition sur google.... ;-)
Que me conseillez-vous comme APN compact pour prendre des photos de
tableaux (je suis copiste) dans des musées où, vous les savez, on n'a
droit ni au pied, ni souvent au flash, d'ailleurs inutilisable à cause
de reflets. Netteté primordiale, of course.
Merci d'avance
Le gros problème, dans les musées, c'est l'éclairage.
Il est souvent insuffisant, mal réparti, hétérogène, trop jaune, il y a
des reflets, l'horreur.
De plus, pour éviter les déformations des courtes focales, il faut se
mettre bien dans l'axe de l'oeuvre et choisir un angle de champ pas trop
ouvert, donc une focale un peu longue, d'où des problèmes de vitesse, de
public qui passe devant l'oeuvre etc..
Mais on y arrive quand même.
Voici Les Jeunes filles au Piano de Renoir, photographié en janvier au
Musée d'Orsay:
Olympus E20, 160 ISO, 1/40, f2,2, foc.équiv. 76 mm, JPEG 1/8 (pas de
raw), pas de débruitage, à main levée, mais genoux fléchis pour être
dans l'axe (position pénible passé un certain âge) ;-)
http://cjoint.com/?cxsLB4XUNP
Pour pouvoir descendre en vitesse et en sensibilité et diaphragmer un
peu plus, j'utilise maintenant une sorte de support prévue pour les
camescopes. On trouve ça à la FNAC (et ailleurs aussi je suppose).
Il est suspendu au cou et s'appuie sur la poitrine. On peut régler la
hauteur du mât. C'est pratique, très léger et démontable, ça tient dans
la poche. On gagne ainsi environ 2 vitesses.
Pour l'appareil, je pense, avec l'expérience, que n'importe quel APN
actuel de bonne qualité doit convenir. La visée me semble importante: il
faut que le viseur optique soit précis avec des bords bien droits pour
éviter les légers penchés. La visée sur écran me paraît plus difficile:
utiliser des vitesses un peu basses avec l'appareil à bout de bras me
semble aléatoire, d'autant qu'il faut viser aussi serré que possible
pour éviter les marges.
En revanche, les hautes sensibilités, avec le grain qui va généralement
avec, me semblent inutiles, dans 95% des cas. Elles n'ont, à mon avis
d'intérêt que pour des dessins ou peintures fragiles exposés sous un
très faible éclairage.
Ghost Rider
PS: pour les amateurs de retouche qui voudraient se faire la main, j'ai
aussi L'Origine du Monde de Courbet, en 5 méga-pixels, introuvable dans
cette définition sur google.... ;-)
je me demande si l'expression " se faire la main" est
bien appropriée. Ne serait-ce pas plutôt le poignet ? :-)))
je me demande si l'expression " se faire la main" est
bien appropriée. Ne serait-ce pas plutôt le poignet ? :-)))
je me demande si l'expression " se faire la main" est
bien appropriée. Ne serait-ce pas plutôt le poignet ? :-)))
La visée sur écran me paraît plus difficile:
utiliser des vitesses un peu basses avec l'appareil à bout de bras me
semble aléatoire, d'autant qu'il faut viser aussi serré que possible
pour éviter les marges.
La visée sur écran me paraît plus difficile:
utiliser des vitesses un peu basses avec l'appareil à bout de bras me
semble aléatoire, d'autant qu'il faut viser aussi serré que possible
pour éviter les marges.
La visée sur écran me paraît plus difficile:
utiliser des vitesses un peu basses avec l'appareil à bout de bras me
semble aléatoire, d'autant qu'il faut viser aussi serré que possible
pour éviter les marges.
Andre () a écrit
dans news: :Je l'utilise parfois en extérieur avec le bout un pied en appui dans
la poche du jean ou coincé dans la ceinture du pantalon ! Cela permet
de gagner encore un peu en stabilité, mais avec une mobilité maximale
;-)
la ficelle et la planchette en bois à coincer sous le pieds marche bien
aussi.
Andre (totor@sitiv.fr) a écrit
dans news:mn.bbcc7d72057e360e.39695@sitiv.fr :
Je l'utilise parfois en extérieur avec le bout un pied en appui dans
la poche du jean ou coincé dans la ceinture du pantalon ! Cela permet
de gagner encore un peu en stabilité, mais avec une mobilité maximale
;-)
la ficelle et la planchette en bois à coincer sous le pieds marche bien
aussi.
Andre () a écrit
dans news: :Je l'utilise parfois en extérieur avec le bout un pied en appui dans
la poche du jean ou coincé dans la ceinture du pantalon ! Cela permet
de gagner encore un peu en stabilité, mais avec une mobilité maximale
;-)
la ficelle et la planchette en bois à coincer sous le pieds marche bien
aussi.