"Ghost-Rider" a écrit dans le message de news: 4bb73794$0$28924$
Le 03/04/2010 13:05, palmerclaude a écrit :
Pas du tout. Lors d'une visite ou d'un reportage à Versailles, (il y a quelques dizaines d'années quand même), le conservateur de l'époque expliquait que les couleurs d'origine des bois vernis mais aussi peints étaient beaucoup plus crues et vives que les couleurs telles qu'elles sont devenues. A vérifier
C'est bien connu, à tel point que le grand public est très surpris des couleurs originelles de tableaux célèbres, une fois restaurés, comme "La Cène" ou "La Ronde de Nuit".
ben les goûts naturels sont kitch finalement
jpw
"Ghost-Rider" <Ghost-Rider@compuserve.com> a écrit dans le message de news:
4bb73794$0$28924$ba4acef3@reader.news.orange.fr...
Le 03/04/2010 13:05, palmerclaude a écrit :
Pas du tout. Lors d'une visite ou d'un reportage à Versailles, (il y a
quelques dizaines d'années quand même), le conservateur de l'époque
expliquait que les couleurs d'origine des bois vernis mais aussi peints
étaient beaucoup plus crues et vives que les couleurs telles qu'elles
sont
devenues. A vérifier
C'est bien connu, à tel point que le grand public est très surpris des
couleurs originelles de tableaux célèbres, une fois restaurés, comme "La
Cène" ou "La Ronde de Nuit".
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de news: 4bb73794$0$28924$
Le 03/04/2010 13:05, palmerclaude a écrit :
Pas du tout. Lors d'une visite ou d'un reportage à Versailles, (il y a quelques dizaines d'années quand même), le conservateur de l'époque expliquait que les couleurs d'origine des bois vernis mais aussi peints étaient beaucoup plus crues et vives que les couleurs telles qu'elles sont devenues. A vérifier
C'est bien connu, à tel point que le grand public est très surpris des couleurs originelles de tableaux célèbres, une fois restaurés, comme "La Cène" ou "La Ronde de Nuit".
ben les goûts naturels sont kitch finalement
jpw
Delestaque
Ghost-Rider wrote:
Le 03/04/2010 13:05, palmerclaude a écrit :
Pas du tout. Lors d'une visite ou d'un reportage à Versailles, (il y a quelques dizaines d'années quand même), le conservateur de l'époque expliquait que les couleurs d'origine des bois vernis mais aussi peints étaient beaucoup plus crues et vives que les couleurs telles qu'elles sont devenues. A vérifier
C'est bien connu, à tel point que le grand public est très surpris des couleurs originelles de tableaux célèbres, une fois restaurés, comme "La Cène" ou "La Ronde de Nuit".
mais c'est difficile pour certains de penser que les monument étaient peints, pourtant ça semble tout à fait vrai.
-- G.Ricco
Ghost-Rider wrote:
Le 03/04/2010 13:05, palmerclaude a écrit :
Pas du tout. Lors d'une visite ou d'un reportage à Versailles, (il y
a quelques dizaines d'années quand même), le conservateur de l'époque
expliquait que les couleurs d'origine des bois vernis mais aussi
peints étaient beaucoup plus crues et vives que les couleurs telles
qu'elles sont devenues. A vérifier
C'est bien connu, à tel point que le grand public est très surpris des
couleurs originelles de tableaux célèbres, une fois restaurés, comme
"La Cène" ou "La Ronde de Nuit".
mais c'est difficile pour certains de penser que les monument étaient
peints, pourtant ça semble tout à fait vrai.
Pas du tout. Lors d'une visite ou d'un reportage à Versailles, (il y a quelques dizaines d'années quand même), le conservateur de l'époque expliquait que les couleurs d'origine des bois vernis mais aussi peints étaient beaucoup plus crues et vives que les couleurs telles qu'elles sont devenues. A vérifier
C'est bien connu, à tel point que le grand public est très surpris des couleurs originelles de tableaux célèbres, une fois restaurés, comme "La Cène" ou "La Ronde de Nuit".
mais c'est difficile pour certains de penser que les monument étaient peints, pourtant ça semble tout à fait vrai.
-- G.Ricco
Olivier B.
On Sat, 3 Apr 2010 13:44:01 +0200, "palmerclaude" wrote:
j'ai recherché dans les archives de l'INA mises à disposition du public des documents considérés comme importants à l'époque et qui le sont toujours à mon sens, en particulier les débats sur la liberté d'expression. Ils ne figurent pas au catalogue, ne sont pas mis en ligne ni accessibles dans les bases de données, alors que le dépôt légal des télévisions publiques et privées est obligatoire et les documents systématiquement numérisées.
on n'a pas les meme infos, bien des documents restent sur leurs supports d'origine, certains au fond de cartons seront inexploitables quand ils en seront sortis. Seul avancée qui aide: l'explosion de l'informatique dans les sercteurs de diffusion video brodcast, le passage en mode fichier facilite l'archivage...
-- pas de turlututu. apres l'@robase
On Sat, 3 Apr 2010 13:44:01 +0200, "palmerclaude"
<palmerclaude@wanadoo.fr> wrote:
j'ai recherché dans les archives de l'INA mises à disposition
du public des documents considérés comme importants à l'époque et qui le
sont toujours à mon sens, en particulier les débats sur la liberté
d'expression. Ils ne figurent pas au catalogue, ne sont pas mis en ligne ni
accessibles dans les bases de données, alors que le dépôt légal des
télévisions publiques et privées est obligatoire et les documents
systématiquement numérisées.
on n'a pas les meme infos, bien des documents restent sur leurs
supports d'origine, certains au fond de cartons seront inexploitables
quand ils en seront sortis. Seul avancée qui aide: l'explosion de
l'informatique dans les sercteurs de diffusion video brodcast, le
passage en mode fichier facilite l'archivage...
On Sat, 3 Apr 2010 13:44:01 +0200, "palmerclaude" wrote:
j'ai recherché dans les archives de l'INA mises à disposition du public des documents considérés comme importants à l'époque et qui le sont toujours à mon sens, en particulier les débats sur la liberté d'expression. Ils ne figurent pas au catalogue, ne sont pas mis en ligne ni accessibles dans les bases de données, alors que le dépôt légal des télévisions publiques et privées est obligatoire et les documents systématiquement numérisées.
on n'a pas les meme infos, bien des documents restent sur leurs supports d'origine, certains au fond de cartons seront inexploitables quand ils en seront sortis. Seul avancée qui aide: l'explosion de l'informatique dans les sercteurs de diffusion video brodcast, le passage en mode fichier facilite l'archivage...
-- pas de turlututu. apres l'@robase
Olivier B.
On 02 Apr 2010 13:35:50 GMT, Jide wrote:
Le Thu, 01 Apr 2010 20:51:13 +0200, Olivier B. a écrit:
Personnellement pour avoir un peu travaillé le probleme il faut considérer que les médias ne sont pas fiables et travailler sur la méthode d'archiveage, j'avais commencé à écrire un truc mais je suis trops brouillon, enfin c'est toujours là:
C'est effectivement, à mon humble avis, une bonne analyse. Reste qu'une méthode indirecte subsiste: le micro film associé à une indexation optique. Avantage: lisible à la rigueur avec une simple lentille.. Reste la durabilité du support , mais dans ce domaine les progrès ont été immenses. On oublie souvent que les archivages destinés à perdurer ( archives administratives, historiques, littéraires, etc..) sont toujours conservées sur microfilms. J.D.
possible que le microfilm soit un support plus durable que les autres, par contre j'y vois 2 inconvenients majeurs: on ne peut y stocker que certains type d'informations et c'est inaccessible au grand public
Il me semble que le stockage se fait sur des plaques de verre...?
-- pas de turlututu. apres l'@robase
On 02 Apr 2010 13:35:50 GMT, Jide <jice.jideNS@orange.fr> wrote:
Le Thu, 01 Apr 2010 20:51:13 +0200, Olivier B. a écrit:
Personnellement pour avoir un peu travaillé le probleme il faut
considérer que les médias ne sont pas fiables et travailler sur la
méthode d'archiveage, j'avais commencé à écrire un truc mais je suis
trops brouillon, enfin c'est toujours là:
C'est effectivement, à mon humble avis, une bonne analyse. Reste qu'une
méthode indirecte subsiste: le micro film associé à une indexation
optique. Avantage: lisible à la rigueur avec une simple lentille.. Reste
la durabilité du support , mais dans ce domaine les progrès ont été
immenses. On oublie souvent que les archivages destinés à perdurer
( archives administratives, historiques, littéraires, etc..) sont
toujours conservées sur microfilms.
J.D.
possible que le microfilm soit un support plus durable que les autres,
par contre j'y vois 2 inconvenients majeurs: on ne peut y stocker que
certains type d'informations et c'est inaccessible au grand public
Il me semble que le stockage se fait sur des plaques de verre...?
Le Thu, 01 Apr 2010 20:51:13 +0200, Olivier B. a écrit:
Personnellement pour avoir un peu travaillé le probleme il faut considérer que les médias ne sont pas fiables et travailler sur la méthode d'archiveage, j'avais commencé à écrire un truc mais je suis trops brouillon, enfin c'est toujours là:
C'est effectivement, à mon humble avis, une bonne analyse. Reste qu'une méthode indirecte subsiste: le micro film associé à une indexation optique. Avantage: lisible à la rigueur avec une simple lentille.. Reste la durabilité du support , mais dans ce domaine les progrès ont été immenses. On oublie souvent que les archivages destinés à perdurer ( archives administratives, historiques, littéraires, etc..) sont toujours conservées sur microfilms. J.D.
possible que le microfilm soit un support plus durable que les autres, par contre j'y vois 2 inconvenients majeurs: on ne peut y stocker que certains type d'informations et c'est inaccessible au grand public
Il me semble que le stockage se fait sur des plaques de verre...?
-- pas de turlututu. apres l'@robase
Gerald
Ofnuts wrote:
Donc le numérique va plutôt dans le sens de la conservation des choses...
oui, c'est ce que je défends
je ne vois plus ou tu veux en venir.
tu me semblais défendre une certaine "sélection naturelle" des données qui laisseraient partir dans l'oubli sans autre critère que l'absence de notoriété ou d'impact *à un moment donné* ...un certain nombre d'oeuvres considérées par définition comme sans intérêt.
je défendais que le nombre n'est pas un critère satisfaisant et qu'une volonté doit présider à tenter de sauvegarder/numériser des oeuvres, y compris méconnues ou minoritaires, dont on a de bonnes raisons de penser, via une analyse historique ou structurelle, qu'elles auront de l'importance plus tard.
-- Gérald
Ofnuts <o.f.n.u.t.s@la.poste.net> wrote:
Donc le numérique va plutôt dans le sens de la conservation des
choses...
oui, c'est ce que je défends
je ne vois plus ou tu veux en venir.
tu me semblais défendre une certaine "sélection naturelle" des données
qui laisseraient partir dans l'oubli sans autre critère que l'absence de
notoriété ou d'impact *à un moment donné* ...un certain nombre d'oeuvres
considérées par définition comme sans intérêt.
je défendais que le nombre n'est pas un critère satisfaisant et qu'une
volonté doit présider à tenter de sauvegarder/numériser des oeuvres, y
compris méconnues ou minoritaires, dont on a de bonnes raisons de
penser, via une analyse historique ou structurelle, qu'elles auront de
l'importance plus tard.
Donc le numérique va plutôt dans le sens de la conservation des choses...
oui, c'est ce que je défends
je ne vois plus ou tu veux en venir.
tu me semblais défendre une certaine "sélection naturelle" des données qui laisseraient partir dans l'oubli sans autre critère que l'absence de notoriété ou d'impact *à un moment donné* ...un certain nombre d'oeuvres considérées par définition comme sans intérêt.
je défendais que le nombre n'est pas un critère satisfaisant et qu'une volonté doit présider à tenter de sauvegarder/numériser des oeuvres, y compris méconnues ou minoritaires, dont on a de bonnes raisons de penser, via une analyse historique ou structurelle, qu'elles auront de l'importance plus tard.
-- Gérald
Stephane Legras-Decussy
Le 03/04/2010 14:41, Ghost-Rider a écrit :
C'est bien connu, à tel point que le grand public est très surpris des couleurs originelles de tableaux célèbres, une fois restaurés, comme "La Cène" ou "La Ronde de Nuit".
euh dans ces deux tableaux ya rien à part quelques vêtements colorés...
Le 03/04/2010 14:41, Ghost-Rider a écrit :
C'est bien connu, à tel point que le grand public est très surpris des
couleurs originelles de tableaux célèbres, une fois restaurés, comme
"La Cène" ou "La Ronde de Nuit".
euh dans ces deux tableaux ya rien à part quelques vêtements colorés...
C'est bien connu, à tel point que le grand public est très surpris des couleurs originelles de tableaux célèbres, une fois restaurés, comme "La Cène" ou "La Ronde de Nuit".
euh dans ces deux tableaux ya rien à part quelques vêtements colorés...
Ghost-Rider
Le 04/04/2010 02:01, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 03/04/2010 14:41, Ghost-Rider a écrit :
C'est bien connu, à tel point que le grand public est très surpris des couleurs originelles de tableaux célèbres, une fois restaurés, comme "La Cène" ou "La Ronde de Nuit".
euh dans ces deux tableaux ya rien à part quelques vêtements colorés...
Le 04/04/2010 02:01, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 03/04/2010 14:41, Ghost-Rider a écrit :
C'est bien connu, à tel point que le grand public est très surpris des
couleurs originelles de tableaux célèbres, une fois restaurés, comme
"La Cène" ou "La Ronde de Nuit".
euh dans ces deux tableaux ya rien à part quelques vêtements colorés...
Le 04/04/2010 02:01, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 03/04/2010 14:41, Ghost-Rider a écrit :
C'est bien connu, à tel point que le grand public est très surpris des couleurs originelles de tableaux célèbres, une fois restaurés, comme "La Cène" ou "La Ronde de Nuit".
euh dans ces deux tableaux ya rien à part quelques vêtements colorés...
Donc le numérique va plutôt dans le sens de la conservation des choses...
oui, c'est ce que je défends
je ne vois plus ou tu veux en venir.
tu me semblais défendre une certaine "sélection naturelle" des données qui laisseraient partir dans l'oubli sans autre critère que l'absence de notoriété ou d'impact *à un moment donné* ...un certain nombre d'oeuvres considérées par définition comme sans intérêt.
je défendais que le nombre n'est pas un critère satisfaisant et qu'une volonté doit présider à tenter de sauvegarder/numériser des oeuvres, y compris méconnues ou minoritaires, dont on a de bonnes raisons de penser, via une analyse historique ou structurelle, qu'elles auront de l'importance plus tard.
Oui, mais c'est irréaliste, parce que "méconnu" ça veut justement dire sous l'écran-radar (radar à oeillères, de toutes façons) de ceux qui pourraient faire "l'analyse historique et structurelle". Et ceux qui "auront de l'importance plus tard" n'ont pas eu d'éclipse de leur (même faible) notoriété, à moins que tu puisse me citer une révolution littéraire, picturale ou scientifique provoquée par l'analyse d'œuvres exhumées après la mort de leur auteur(*)?
(*) Évariste Galois étant l'exception qui confirme la règle, puisqu'il a envoyé ses recherches juste avant de mourir...
-- Bertrand
On 04/04/2010 00:55, Gerald wrote:
Ofnuts<o.f.n.u.t.s@la.poste.net> wrote:
Donc le numérique va plutôt dans le sens de la conservation des
choses...
oui, c'est ce que je défends
je ne vois plus ou tu veux en venir.
tu me semblais défendre une certaine "sélection naturelle" des données
qui laisseraient partir dans l'oubli sans autre critère que l'absence de
notoriété ou d'impact *à un moment donné* ...un certain nombre d'oeuvres
considérées par définition comme sans intérêt.
je défendais que le nombre n'est pas un critère satisfaisant et qu'une
volonté doit présider à tenter de sauvegarder/numériser des oeuvres, y
compris méconnues ou minoritaires, dont on a de bonnes raisons de
penser, via une analyse historique ou structurelle, qu'elles auront de
l'importance plus tard.
Oui, mais c'est irréaliste, parce que "méconnu" ça veut justement dire
sous l'écran-radar (radar à oeillères, de toutes façons) de ceux qui
pourraient faire "l'analyse historique et structurelle". Et ceux qui
"auront de l'importance plus tard" n'ont pas eu d'éclipse de leur (même
faible) notoriété, à moins que tu puisse me citer une révolution
littéraire, picturale ou scientifique provoquée par l'analyse d'œuvres
exhumées après la mort de leur auteur(*)?
(*) Évariste Galois étant l'exception qui confirme la règle, puisqu'il a
envoyé ses recherches juste avant de mourir...
Donc le numérique va plutôt dans le sens de la conservation des choses...
oui, c'est ce que je défends
je ne vois plus ou tu veux en venir.
tu me semblais défendre une certaine "sélection naturelle" des données qui laisseraient partir dans l'oubli sans autre critère que l'absence de notoriété ou d'impact *à un moment donné* ...un certain nombre d'oeuvres considérées par définition comme sans intérêt.
je défendais que le nombre n'est pas un critère satisfaisant et qu'une volonté doit présider à tenter de sauvegarder/numériser des oeuvres, y compris méconnues ou minoritaires, dont on a de bonnes raisons de penser, via une analyse historique ou structurelle, qu'elles auront de l'importance plus tard.
Oui, mais c'est irréaliste, parce que "méconnu" ça veut justement dire sous l'écran-radar (radar à oeillères, de toutes façons) de ceux qui pourraient faire "l'analyse historique et structurelle". Et ceux qui "auront de l'importance plus tard" n'ont pas eu d'éclipse de leur (même faible) notoriété, à moins que tu puisse me citer une révolution littéraire, picturale ou scientifique provoquée par l'analyse d'œuvres exhumées après la mort de leur auteur(*)?
(*) Évariste Galois étant l'exception qui confirme la règle, puisqu'il a envoyé ses recherches juste avant de mourir...
-- Bertrand
Ghost-Rider
Le 04/04/2010 13:02, Ofnuts a écrit :
Oui, mais c'est irréaliste, parce que "méconnu" ça veut justement dire sous l'écran-radar (radar à oeillères, de toutes façons) de ceux qui pourraient faire "l'analyse historique et structurelle". Et ceux qui "auront de l'importance plus tard" n'ont pas eu d'éclipse de leur (même faible) notoriété, à moins que tu puisse me citer une révolution littéraire, picturale ou scientifique provoquée par l'analyse d'½uvres exhumées après la mort de leur auteur(*)?
(*) Évariste Galois étant l'exception qui confirme la règle, puisqu'il a envoyé ses recherches juste avant de mourir...
Il n'a pas eu de chance, ce pauvre Evariste : un génie des maths recalé 2 fois à Polytechnique ! Mais il fut accepté à Normale Sup' (son équivalent à l'époque), ce qui montre assez bien la hiérarchie scientifique entre ces deux écoles, qui n'a pas changée, à mon avis.
-- Ghost Rider
"Aimez-vous les uns les autres". Jésus-Christ
Le 04/04/2010 13:02, Ofnuts a écrit :
Oui, mais c'est irréaliste, parce que "méconnu" ça veut justement dire
sous l'écran-radar (radar à oeillères, de toutes façons) de ceux qui
pourraient faire "l'analyse historique et structurelle". Et ceux qui
"auront de l'importance plus tard" n'ont pas eu d'éclipse de leur (même
faible) notoriété, à moins que tu puisse me citer une révolution
littéraire, picturale ou scientifique provoquée par l'analyse d'½uvres
exhumées après la mort de leur auteur(*)?
(*) Évariste Galois étant l'exception qui confirme la règle, puisqu'il a
envoyé ses recherches juste avant de mourir...
Il n'a pas eu de chance, ce pauvre Evariste : un génie des maths recalé
2 fois à Polytechnique ! Mais il fut accepté à Normale Sup' (son
équivalent à l'époque), ce qui montre assez bien la hiérarchie
scientifique entre ces deux écoles, qui n'a pas changée, à mon avis.
Oui, mais c'est irréaliste, parce que "méconnu" ça veut justement dire sous l'écran-radar (radar à oeillères, de toutes façons) de ceux qui pourraient faire "l'analyse historique et structurelle". Et ceux qui "auront de l'importance plus tard" n'ont pas eu d'éclipse de leur (même faible) notoriété, à moins que tu puisse me citer une révolution littéraire, picturale ou scientifique provoquée par l'analyse d'½uvres exhumées après la mort de leur auteur(*)?
(*) Évariste Galois étant l'exception qui confirme la règle, puisqu'il a envoyé ses recherches juste avant de mourir...
Il n'a pas eu de chance, ce pauvre Evariste : un génie des maths recalé 2 fois à Polytechnique ! Mais il fut accepté à Normale Sup' (son équivalent à l'époque), ce qui montre assez bien la hiérarchie scientifique entre ces deux écoles, qui n'a pas changée, à mon avis.
-- Ghost Rider
"Aimez-vous les uns les autres". Jésus-Christ
Ofnuts
On 04/04/2010 13:28, Ghost-Rider wrote:
Le 04/04/2010 13:02, Ofnuts a écrit :
Oui, mais c'est irréaliste, parce que "méconnu" ça veut justement dire sous l'écran-radar (radar à oeillères, de toutes façons) de ceux qui pourraient faire "l'analyse historique et structurelle". Et ceux qui "auront de l'importance plus tard" n'ont pas eu d'éclipse de leur (même faible) notoriété, à moins que tu puisse me citer une révolution littéraire, picturale ou scientifique provoquée par l'analyse d'œuvres exhumées après la mort de leur auteur(*)?
(*) Évariste Galois étant l'exception qui confirme la règle, puisqu'il a envoyé ses recherches juste avant de mourir...
Il n'a pas eu de chance, ce pauvre Evariste : un génie des maths recalé 2 fois à Polytechnique ! Mais il fut accepté à Normale Sup' (son équivalent à l'époque), ce qui montre assez bien la hiérarchie scientifique entre ces deux écoles, qui n'a pas changée, à mon avis.
Polytechnique est une école militaire (et c'était encore plus vrai à l'époque). Les gens trop intelligents ne peuvent pas y rentrer.
-- Bertrand
On 04/04/2010 13:28, Ghost-Rider wrote:
Le 04/04/2010 13:02, Ofnuts a écrit :
Oui, mais c'est irréaliste, parce que "méconnu" ça veut justement dire
sous l'écran-radar (radar à oeillères, de toutes façons) de ceux qui
pourraient faire "l'analyse historique et structurelle". Et ceux qui
"auront de l'importance plus tard" n'ont pas eu d'éclipse de leur (même
faible) notoriété, à moins que tu puisse me citer une révolution
littéraire, picturale ou scientifique provoquée par l'analyse d'œuvres
exhumées après la mort de leur auteur(*)?
(*) Évariste Galois étant l'exception qui confirme la règle, puisqu'il a
envoyé ses recherches juste avant de mourir...
Il n'a pas eu de chance, ce pauvre Evariste : un génie des maths recalé
2 fois à Polytechnique ! Mais il fut accepté à Normale Sup' (son
équivalent à l'époque), ce qui montre assez bien la hiérarchie
scientifique entre ces deux écoles, qui n'a pas changée, à mon avis.
Polytechnique est une école militaire (et c'était encore plus vrai à
l'époque). Les gens trop intelligents ne peuvent pas y rentrer.
Oui, mais c'est irréaliste, parce que "méconnu" ça veut justement dire sous l'écran-radar (radar à oeillères, de toutes façons) de ceux qui pourraient faire "l'analyse historique et structurelle". Et ceux qui "auront de l'importance plus tard" n'ont pas eu d'éclipse de leur (même faible) notoriété, à moins que tu puisse me citer une révolution littéraire, picturale ou scientifique provoquée par l'analyse d'œuvres exhumées après la mort de leur auteur(*)?
(*) Évariste Galois étant l'exception qui confirme la règle, puisqu'il a envoyé ses recherches juste avant de mourir...
Il n'a pas eu de chance, ce pauvre Evariste : un génie des maths recalé 2 fois à Polytechnique ! Mais il fut accepté à Normale Sup' (son équivalent à l'époque), ce qui montre assez bien la hiérarchie scientifique entre ces deux écoles, qui n'a pas changée, à mon avis.
Polytechnique est une école militaire (et c'était encore plus vrai à l'époque). Les gens trop intelligents ne peuvent pas y rentrer.