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La couleur ? Mais c'est très simple

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Charles Vassallo
Bonjour à tous

Ceux qui se sont plu à lire Aisberg dans le texte ne doivent plus être
légion, et ses ayant-droits me pardonneront de singer ses titres pour
appâter le chaland.

Bref, c'est un nouveau tuto sur la théorie de la couleur et la gestion
d'icelle, appliquée à la photo numérique. Sans math (ouais, enfin...).
Tout ce que vous avez voulu savoir sans jamais le demander, etc, etc.

http://www.oitregor.com/numeric/gestion/villeneuve.html

Charles

10 réponses

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Hic
Bour-Brown a utilisé son clavier pour écrire :
Hic a écrit
( 61ff9$4e1d47b4$538da62f$ )

faux



Ah bon.


la trichromie "parfaite" peut reproduire toutes les nuances



La couleur, physiquement, c'est un spectre continu, et la trichromie, aussi
parfaite soit-elle, ne peut pas reproduire un spectre continu.




De quelles couleurs parles tu ?


la couleur n'est qu'un concept synthètisé par le cerveau ,
à partir de la trichromie






Ne pas confondre photographie et spectrographie ,

pour la photographie c'est la trichromie qui est parfaite
puisque l'oeil humain fonctionne selon le même principe
hors problème physico-chimique









Notre oeil a trois et seulement trois types de récepteur couleur, et en fait
il réduit n'importe quel spectre à seulement trois composantes qu'il
interprète comme une nuance très précise. Autrement dit, il suffirait de
réduire le spectre à ces trois composantes et les utiliser pour procurer à
l'oeil exactement les mêmes sensations. C'est la trichromie dont on parle.


mais nous ne vivons pas dans un monde "chimico-physico-mathématique"
parfait



Si si, le monde est parfaitement ce qu'il est, au plus infime détail près.

Pour revenir à la trichromie, ces trois composantes ne tombent pas du ciel,
elles sont choisies en fonction de l'étude des courbes de réponses de notre
rétine. Pour moi on ne peut pas se lancer dans de longues explications sur
la physique de la trichromie sans aborder ce point-là. Or ici ces couleurs
primaires sont traitées comme l'étant dans l'absolu, sans jamais préciser
d'où elles sortent. C'est ce point que je souligne, rien d'autre.



--
AuReVoiR Hic
Le futur a été crée pour être changé. - Paulo Coelho
ftp://Hic::21
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delestaque
"palmerclaude" a écrit dans le message de groupe de
discussion : 4e201082$0$30770$

Tout le monde sait que les couleurs pigmentaires des peintures sont plus
saturées que les autres. A part cela j'ai bien ri de la réflexion de Ricco,
ayant pratiqué 25 ans imprimerie offset, photogravure argentique et
sérigraphie en grand format.



content de te lire à nouveau sinon, c'est vrai, pas de bla bla amateur
nouvellement venu à l'impression, je sais bien que quand on et artiste et
informaticien, on n' a rien à apprendre de personne, mais quand même...
J'ai une amie dans la partie, quand elle part chez un imprimeur en province pour
l'ultime BAT avant de rouler, ça va pas mettre dix ans de discussions, on appui
sur la mise en route de la presse et c'est parti, on roule !
Tous ces airs importants autour d'une imprimante couleur, c'est finalement assez
marrant, surtout se prendre au sérieux à ce point.

Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y avait le
client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).
Pour ce qui est de l'utilité de la formation et de la compréhension de la
couleur (additive ou soustractive avec toutes ses déclinaisons), il y a des
sites qui présentent pour les utilisations par internet par exemple, de
multiples gammes de combinaisons de 2, 3, 4, 5 couleurs à destination des
webmasters, nombre de couleurs éclaircies, assombries, selon des palettes de
couleurs de peintres connus comme Monet etc...
Enfin je dois avoir dans ma bibliothèque des ouvrages de base genre "le cube
des couleurs" de Hicketier (Dessain et Tolra), ou encore de cet auteur
allemand des années trente dont j'oublie le nom (sans doute parce que très
connu à l'époque, il était "légèrement" fasciste).
Après la question des couelurs (intensité, assonnantes ou dissonantes
complémentaires ou non), c'est affaire de goût, non ?





--
Ricco
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Bour-Brown
palmerclaude a écrit
( 4e201082$0$30770$ )

Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y
avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).



Je ne sais pas si on peut comparer l'impression professionnelle d'il y a
cinquante ans et son cahier de charge tout à fait particulier avec la
technologie actuelle, condensée pour l'amateur en une imprimante couleur, en
papiers spécialisés, en sonde et en profils.


ou encore de cet auteur allemand des années trente dont j'oublie le nom



Tu parles peut-être du « Itten » (l'art de la couleur), un machin que j'ai
toujours trouvé sans intérêt bien qu'il fût à l'époque une référence
incontestable.
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palmerclaude
Bour-Brown wrote:
palmerclaude a écrit
( 4e201082$0$30770$ )

Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y
avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).



Je ne sais pas si on peut comparer l'impression professionnelle d'il
y a cinquante ans et son cahier de charge tout à fait particulier
avec la technologie actuelle, condensée pour l'amateur en une
imprimante couleur, en papiers spécialisés, en sonde et en profils.



Plus compliqué que ça maintenant :
Je travaille parfois encore avec des confrères et donc on discute.
Effectivement, on est dans un monde où les logiciels en amont de
l'imprimerie avancent très vite :photoshop CS5 ? ou en composition et mise
en page...
Il reste que les imprimeurs préfèrent les graphistes pro parce que les
normes permettent de traiter des pages en quadri par exemple avec des
profils indiqués et des logiciels de mise en page récents. Ce qui veut dire
que le cd ou les fichiers passent directement au scanner et sortent en cpc
sans problème. D'où les grincements de dents quand un client se prétendant
professionnel arrive avec des pages créées avec des logiciels "exotiques" ou
anciens comme pagemaker ou freehand qu'il faut travailler ou reconvertir.
Cela casse la chaîne de fabrication... et augmente les coûts au temps passé.


ou encore de cet auteur allemand des années trente dont j'oublie le
nom



Tu parles peut-être du « Itten » (l'art de la couleur), un machin que
j'ai toujours trouvé sans intérêt bien qu'il fût à l'époque une
référence incontestable.



Quelle mémoire ! je ne me souvenais plus. Cela doit être resté dans un
carton chez moi...
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delestaque
"Bour-Brown" a écrit dans le message de groupe de discussion
: 4e2045d3$0$18819$
palmerclaude a écrit
( 4e201082$0$30770$ )

Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y
avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).



Je ne sais pas si on peut comparer l'impression professionnelle d'il y a
cinquante ans et son cahier de charge tout à fait particulier avec la
technologie actuelle, condensée pour l'amateur en une imprimante couleur, en
papiers spécialisés, en sonde et en profils.



ce n'est pas l'impression professionnelle d'il y a cinquante ans, mais de
l'offset comme on le fait toujours aujourd'hui, avec de l'encre et des presses.
Si les amateurs pensent qu'ils peuvent improviser un métier comme ça, on voit ce
que ça donne.
--
Ricco
Avatar
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 15/07/11 15:51, Bour-Brown a écrit :

Tu parles peut-être du « Itten » (l'art de la couleur), un machin que j'ai
toujours trouvé sans intérêt bien qu'il fût à l'époque une référence
incontestable.



Difficile à trouver de nos jours, pour quelque raison que ce soit.
Si ça se trouve, palmer dort sur un pont d'or (hardie métaphore, en
avant toute) avec son bouquin.
À la BU peut-être ? La grande bibli publique de Rennes ne l'a pas.

Noëlle Adam
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delestaque
"YouDontNeedToKnowButItsNoëlle" a écrit dans le
message de groupe de discussion : ivq5cm$tup$
Le 15/07/11 15:51, Bour-Brown a écrit :

Tu parles peut-être du « Itten » (l'art de la couleur), un machin que j'ai
toujours trouvé sans intérêt bien qu'il fût à l'époque une référence
incontestable.



Difficile à trouver de nos jours, pour quelque raison que ce soit.
Si ça se trouve, palmer dort sur un pont d'or (hardie métaphore, en avant
toute) avec son bouquin.
À la BU peut-être ? La grande bibli publique de Rennes ne l'a pas.

Noëlle Adam




Mais pour quoi faire ?

--
Ricco
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René
"delestaque" a écrit dans le message de groupe de discussion :
4e20894d$0$16464$


"Bour-Brown" a écrit dans le message de groupe de
discussion : 4e2045d3$0$18819$
palmerclaude a écrit
( 4e201082$0$30770$ )

Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y
avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).



Je ne sais pas si on peut comparer l'impression professionnelle d'il y a
cinquante ans et son cahier de charge tout à fait particulier avec la
technologie actuelle, condensée pour l'amateur en une imprimante couleur,
en
papiers spécialisés, en sonde et en profils.



ce n'est pas l'impression professionnelle d'il y a cinquante ans, mais de
l'offset comme on le fait toujours aujourd'hui, avec de l'encre et des
presses.
Si les amateurs pensent qu'ils peuvent improviser un métier comme ça, on
voit ce que ça donne.



Il me semble qu'aujourd'hui il n'y a plus vraiment besoin de métier. Les
machines font le boulot qui demandait de l'expérience et du doigté.
A l'ancienne faire une photo devant être imprimée exigeait de passer par les
mains de plusieurs personnes compétentes qui trimaient dur afin de conserver
une ressemblance avec l'original.
Aujourd'hui les APN savent automatiquement livrer une image assez cohérente
avec la scène photographiée. Le fichier peut ensuite passer par un logiciel
standard et sortir sur une imprimante numérique sans véritable intervention
humaine. Le métier n'est plus nécessaire sauf pour les cas extrèmes, ou les
clients plus exigeants.

Chez mon imprimeur (offset) lorsque l'épreuve Epson est acceptée, la
pressier travaille les doigts dans le nez. Tout est automatisé, l'encrage lu
et ajusté en continue, tout est identique à l'épreuve. (En autant qu'il n'y
ai pas de zone d'impression avec encrage limite, l'encrage par rouleau de la
presse web ayant des exigences différentes du jet d'encre de la Epson. Mais
si peu il suffit de se lever, de constater et faire ajuster, et de mettre
une petite signature sur le coin d'une impression - Je n'ai pas de clients
qui accepterait que je bloque le travail à cette étape)

Par contre dans l'emballage ou des couleurs spéciales sont utilisées la
situation est différente. Le résultat réel apparait sur la presse. Un
imprimeur m'a raconté qu'une grosse pharmaceutique avait déjà arrêté la
l'impression déjà à moitié terminée. Petite nuance non conforme. Retour à la
séparation des couleurs etc. Le client a payé c'était son exigence.

René
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palmerclaude
René wrote:
"delestaque" a écrit dans le message de groupe de discussion :
4e20894d$0$16464$


"Bour-Brown" a écrit dans le message de groupe de
discussion : 4e2045d3$0$18819$
palmerclaude a écrit
( 4e201082$0$30770$ )

Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière
il y avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).



Je ne sais pas si on peut comparer l'impression professionnelle
d'il y a cinquante ans et son cahier de charge tout à fait
particulier avec la technologie actuelle, condensée pour l'amateur
en une imprimante couleur, en
papiers spécialisés, en sonde et en profils.





ce n'est pas l'impression professionnelle d'il y a cinquante ans,
mais de l'offset comme on le fait toujours aujourd'hui, avec de
l'encre et des presses.
Si les amateurs pensent qu'ils peuvent improviser un métier comme
ça, on voit ce que ça donne.



Il me semble qu'aujourd'hui il n'y a plus vraiment besoin de métier.
Les machines font le boulot qui demandait de l'expérience et du
doigté.



Hou là ! si tu dis cela à un ouvrier du Livre, photograveur, imprimeur,
massicotier, façonnier, etc.. tu te fais écharper !
Si le travail est un peu moins pénible, il faut toujours de l'humain pour
régler, nettoyer les rouleaux, calculer les plans de coupe
etc...l'informatique et l'automatisation existent mais... Mettons que je
t'explique bien et que je te mette devant un plieuse Stahl par exemple avec
poches et couteaux, et te demande de me plier un 16 pages, tu verras si la
machine fait toute seule...
Avatar
delestaque
"René" a écrit dans le message de groupe de
discussion :


"delestaque" a écrit dans le message de groupe de discussion :
4e20894d$0$16464$


"Bour-Brown" a écrit dans le message de groupe de
discussion : 4e2045d3$0$18819$
palmerclaude a écrit
( 4e201082$0$30770$ )

Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y
avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).



Je ne sais pas si on peut comparer l'impression professionnelle d'il y a
cinquante ans et son cahier de charge tout à fait particulier avec la
technologie actuelle, condensée pour l'amateur en une imprimante couleur, en
papiers spécialisés, en sonde et en profils.





ce n'est pas l'impression professionnelle d'il y a cinquante ans, mais de
l'offset comme on le fait toujours aujourd'hui, avec de l'encre et des
presses.
Si les amateurs pensent qu'ils peuvent improviser un métier comme ça, on voit
ce que ça donne.



Il me semble qu'aujourd'hui il n'y a plus vraiment besoin de métier. Les
machines font le boulot qui demandait de l'expérience et du doigté.



oui, on n'a plus besoin de conducteur offset d'après toi ?

A l'ancienne faire une photo devant être imprimée exigeait de passer par les
mains de plusieurs personnes compétentes qui trimaient dur afin de conserver
une ressemblance avec l'original.



on a toujours des personnes très compétentes dans les imprimeries.



Aujourd'hui les APN savent automatiquement livrer une image assez cohérente
avec la scène photographiée. Le fichier peut ensuite passer par un logiciel
standard et sortir sur une imprimante numérique sans véritable intervention
humaine. Le métier n'est plus nécessaire sauf pour les cas extrèmes, ou les
clients plus exigeants.



on parle d'impression numérique ou d'imprimerie ?
Certains ont bien vu quel casse tête pouvait être l'impression, c'est normal,
s'imaginant que parce qu'ils sont informaticiens, tous les domaines sont de leur
compétence, l'impression comme le reste n'ont aucun secrets.
mais on voit aussi des gens qui sont retournés chez le photographe ou sont
toujours à la recherche du fabuleux site d'impression en ligne qui leur fera un
truc aux petits oignons, ils n'en seront jamais totalement satisfaits, du reste.

Chez mon imprimeur (offset) lorsque l'épreuve Epson est acceptée, la pressier
travaille les doigts dans le nez. Tout est automatisé, l'encrage lu et ajusté
en continue, tout est identique à l'épreuve. (En autant qu'il n'y ai pas de
zone d'impression avec encrage limite, l'encrage par rouleau de la presse web
ayant des exigences différentes du jet d'encre de la Epson. Mais si peu il
suffit de se lever, de constater et faire ajuster, et de mettre une petite
signature sur le coin d'une impression - Je n'ai pas de clients qui
accepterait que je bloque le travail à cette étape)



bref, l'imprimeur n'est plus qu'une sorte de figurant ?
je connais bien l'impression sur presse numérique Kodak Heidelberg, j'ai pas eu
l'impression en les voyant bosser que tout se passait comme sur des roulettes,
que tout allait toujours bien, que le client vous embrassait, vous congratulait
avec ferveur ?

Par contre dans l'emballage ou des couleurs spéciales sont utilisées la
situation est différente. Le résultat réel apparait sur la presse. Un
imprimeur m'a raconté qu'une grosse pharmaceutique avait déjà arrêté la
l'impression déjà à moitié terminée. Petite nuance non conforme. Retour à la
séparation des couleurs etc. Le client a payé c'était son exigence.



A mon avis, il aurait écouté l'imprimeur, ça ne serait pas arrivé.
--
Ricco
5 6 7 8 9