Hic a écrit
( 61ff9$4e1d47b4$538da62f$ )faux
Ah bon.la trichromie "parfaite" peut reproduire toutes les nuances
La couleur, physiquement, c'est un spectre continu, et la trichromie, aussi
parfaite soit-elle, ne peut pas reproduire un spectre continu.
Notre oeil a trois et seulement trois types de récepteur couleur, et en fait
il réduit n'importe quel spectre à seulement trois composantes qu'il
interprète comme une nuance très précise. Autrement dit, il suffirait de
réduire le spectre à ces trois composantes et les utiliser pour procurer à
l'oeil exactement les mêmes sensations. C'est la trichromie dont on parle.mais nous ne vivons pas dans un monde "chimico-physico-mathématique"
parfait
Si si, le monde est parfaitement ce qu'il est, au plus infime détail près.
Pour revenir à la trichromie, ces trois composantes ne tombent pas du ciel,
elles sont choisies en fonction de l'étude des courbes de réponses de notre
rétine. Pour moi on ne peut pas se lancer dans de longues explications sur
la physique de la trichromie sans aborder ce point-là. Or ici ces couleurs
primaires sont traitées comme l'étant dans l'absolu, sans jamais préciser
d'où elles sortent. C'est ce point que je souligne, rien d'autre.
Hic a écrit
( 61ff9$4e1d47b4$538da62f$32497@news.bugboot.com )
faux
Ah bon.
la trichromie "parfaite" peut reproduire toutes les nuances
La couleur, physiquement, c'est un spectre continu, et la trichromie, aussi
parfaite soit-elle, ne peut pas reproduire un spectre continu.
Notre oeil a trois et seulement trois types de récepteur couleur, et en fait
il réduit n'importe quel spectre à seulement trois composantes qu'il
interprète comme une nuance très précise. Autrement dit, il suffirait de
réduire le spectre à ces trois composantes et les utiliser pour procurer à
l'oeil exactement les mêmes sensations. C'est la trichromie dont on parle.
mais nous ne vivons pas dans un monde "chimico-physico-mathématique"
parfait
Si si, le monde est parfaitement ce qu'il est, au plus infime détail près.
Pour revenir à la trichromie, ces trois composantes ne tombent pas du ciel,
elles sont choisies en fonction de l'étude des courbes de réponses de notre
rétine. Pour moi on ne peut pas se lancer dans de longues explications sur
la physique de la trichromie sans aborder ce point-là. Or ici ces couleurs
primaires sont traitées comme l'étant dans l'absolu, sans jamais préciser
d'où elles sortent. C'est ce point que je souligne, rien d'autre.
Hic a écrit
( 61ff9$4e1d47b4$538da62f$ )faux
Ah bon.la trichromie "parfaite" peut reproduire toutes les nuances
La couleur, physiquement, c'est un spectre continu, et la trichromie, aussi
parfaite soit-elle, ne peut pas reproduire un spectre continu.
Notre oeil a trois et seulement trois types de récepteur couleur, et en fait
il réduit n'importe quel spectre à seulement trois composantes qu'il
interprète comme une nuance très précise. Autrement dit, il suffirait de
réduire le spectre à ces trois composantes et les utiliser pour procurer à
l'oeil exactement les mêmes sensations. C'est la trichromie dont on parle.mais nous ne vivons pas dans un monde "chimico-physico-mathématique"
parfait
Si si, le monde est parfaitement ce qu'il est, au plus infime détail près.
Pour revenir à la trichromie, ces trois composantes ne tombent pas du ciel,
elles sont choisies en fonction de l'étude des courbes de réponses de notre
rétine. Pour moi on ne peut pas se lancer dans de longues explications sur
la physique de la trichromie sans aborder ce point-là. Or ici ces couleurs
primaires sont traitées comme l'étant dans l'absolu, sans jamais préciser
d'où elles sortent. C'est ce point que je souligne, rien d'autre.
Tout le monde sait que les couleurs pigmentaires des peintures sont plus
saturées que les autres. A part cela j'ai bien ri de la réflexion de Ricco,
ayant pratiqué 25 ans imprimerie offset, photogravure argentique et
sérigraphie en grand format.
Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y avait le
client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).
Pour ce qui est de l'utilité de la formation et de la compréhension de la
couleur (additive ou soustractive avec toutes ses déclinaisons), il y a des
sites qui présentent pour les utilisations par internet par exemple, de
multiples gammes de combinaisons de 2, 3, 4, 5 couleurs à destination des
webmasters, nombre de couleurs éclaircies, assombries, selon des palettes de
couleurs de peintres connus comme Monet etc...
Enfin je dois avoir dans ma bibliothèque des ouvrages de base genre "le cube
des couleurs" de Hicketier (Dessain et Tolra), ou encore de cet auteur
allemand des années trente dont j'oublie le nom (sans doute parce que très
connu à l'époque, il était "légèrement" fasciste).
Après la question des couelurs (intensité, assonnantes ou dissonantes
complémentaires ou non), c'est affaire de goût, non ?
Tout le monde sait que les couleurs pigmentaires des peintures sont plus
saturées que les autres. A part cela j'ai bien ri de la réflexion de Ricco,
ayant pratiqué 25 ans imprimerie offset, photogravure argentique et
sérigraphie en grand format.
Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y avait le
client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).
Pour ce qui est de l'utilité de la formation et de la compréhension de la
couleur (additive ou soustractive avec toutes ses déclinaisons), il y a des
sites qui présentent pour les utilisations par internet par exemple, de
multiples gammes de combinaisons de 2, 3, 4, 5 couleurs à destination des
webmasters, nombre de couleurs éclaircies, assombries, selon des palettes de
couleurs de peintres connus comme Monet etc...
Enfin je dois avoir dans ma bibliothèque des ouvrages de base genre "le cube
des couleurs" de Hicketier (Dessain et Tolra), ou encore de cet auteur
allemand des années trente dont j'oublie le nom (sans doute parce que très
connu à l'époque, il était "légèrement" fasciste).
Après la question des couelurs (intensité, assonnantes ou dissonantes
complémentaires ou non), c'est affaire de goût, non ?
Tout le monde sait que les couleurs pigmentaires des peintures sont plus
saturées que les autres. A part cela j'ai bien ri de la réflexion de Ricco,
ayant pratiqué 25 ans imprimerie offset, photogravure argentique et
sérigraphie en grand format.
Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y avait le
client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).
Pour ce qui est de l'utilité de la formation et de la compréhension de la
couleur (additive ou soustractive avec toutes ses déclinaisons), il y a des
sites qui présentent pour les utilisations par internet par exemple, de
multiples gammes de combinaisons de 2, 3, 4, 5 couleurs à destination des
webmasters, nombre de couleurs éclaircies, assombries, selon des palettes de
couleurs de peintres connus comme Monet etc...
Enfin je dois avoir dans ma bibliothèque des ouvrages de base genre "le cube
des couleurs" de Hicketier (Dessain et Tolra), ou encore de cet auteur
allemand des années trente dont j'oublie le nom (sans doute parce que très
connu à l'époque, il était "légèrement" fasciste).
Après la question des couelurs (intensité, assonnantes ou dissonantes
complémentaires ou non), c'est affaire de goût, non ?
Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y
avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).
ou encore de cet auteur allemand des années trente dont j'oublie le nom
Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y
avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).
ou encore de cet auteur allemand des années trente dont j'oublie le nom
Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y
avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).
ou encore de cet auteur allemand des années trente dont j'oublie le nom
palmerclaude a écrit
( 4e201082$0$30770$ )Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y
avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).
Je ne sais pas si on peut comparer l'impression professionnelle d'il
y a cinquante ans et son cahier de charge tout à fait particulier
avec la technologie actuelle, condensée pour l'amateur en une
imprimante couleur, en papiers spécialisés, en sonde et en profils.
ou encore de cet auteur allemand des années trente dont j'oublie le
nom
Tu parles peut-être du « Itten » (l'art de la couleur), un machin que
j'ai toujours trouvé sans intérêt bien qu'il fût à l'époque une
référence incontestable.
palmerclaude a écrit
( 4e201082$0$30770$ba4acef3@reader.news.orange.fr )
Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y
avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).
Je ne sais pas si on peut comparer l'impression professionnelle d'il
y a cinquante ans et son cahier de charge tout à fait particulier
avec la technologie actuelle, condensée pour l'amateur en une
imprimante couleur, en papiers spécialisés, en sonde et en profils.
ou encore de cet auteur allemand des années trente dont j'oublie le
nom
Tu parles peut-être du « Itten » (l'art de la couleur), un machin que
j'ai toujours trouvé sans intérêt bien qu'il fût à l'époque une
référence incontestable.
palmerclaude a écrit
( 4e201082$0$30770$ )Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y
avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).
Je ne sais pas si on peut comparer l'impression professionnelle d'il
y a cinquante ans et son cahier de charge tout à fait particulier
avec la technologie actuelle, condensée pour l'amateur en une
imprimante couleur, en papiers spécialisés, en sonde et en profils.
ou encore de cet auteur allemand des années trente dont j'oublie le
nom
Tu parles peut-être du « Itten » (l'art de la couleur), un machin que
j'ai toujours trouvé sans intérêt bien qu'il fût à l'époque une
référence incontestable.
palmerclaude a écrit
( 4e201082$0$30770$ )Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y
avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).
Je ne sais pas si on peut comparer l'impression professionnelle d'il y a
cinquante ans et son cahier de charge tout à fait particulier avec la
technologie actuelle, condensée pour l'amateur en une imprimante couleur, en
papiers spécialisés, en sonde et en profils.
palmerclaude a écrit
( 4e201082$0$30770$ba4acef3@reader.news.orange.fr )
Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y
avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).
Je ne sais pas si on peut comparer l'impression professionnelle d'il y a
cinquante ans et son cahier de charge tout à fait particulier avec la
technologie actuelle, condensée pour l'amateur en une imprimante couleur, en
papiers spécialisés, en sonde et en profils.
palmerclaude a écrit
( 4e201082$0$30770$ )Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y
avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).
Je ne sais pas si on peut comparer l'impression professionnelle d'il y a
cinquante ans et son cahier de charge tout à fait particulier avec la
technologie actuelle, condensée pour l'amateur en une imprimante couleur, en
papiers spécialisés, en sonde et en profils.
Tu parles peut-être du « Itten » (l'art de la couleur), un machin que j'ai
toujours trouvé sans intérêt bien qu'il fût à l'époque une référence
incontestable.
Tu parles peut-être du « Itten » (l'art de la couleur), un machin que j'ai
toujours trouvé sans intérêt bien qu'il fût à l'époque une référence
incontestable.
Tu parles peut-être du « Itten » (l'art de la couleur), un machin que j'ai
toujours trouvé sans intérêt bien qu'il fût à l'époque une référence
incontestable.
Le 15/07/11 15:51, Bour-Brown a écrit :Tu parles peut-être du « Itten » (l'art de la couleur), un machin que j'ai
toujours trouvé sans intérêt bien qu'il fût à l'époque une référence
incontestable.
Difficile à trouver de nos jours, pour quelque raison que ce soit.
Si ça se trouve, palmer dort sur un pont d'or (hardie métaphore, en avant
toute) avec son bouquin.
À la BU peut-être ? La grande bibli publique de Rennes ne l'a pas.
Noëlle Adam
Le 15/07/11 15:51, Bour-Brown a écrit :
Tu parles peut-être du « Itten » (l'art de la couleur), un machin que j'ai
toujours trouvé sans intérêt bien qu'il fût à l'époque une référence
incontestable.
Difficile à trouver de nos jours, pour quelque raison que ce soit.
Si ça se trouve, palmer dort sur un pont d'or (hardie métaphore, en avant
toute) avec son bouquin.
À la BU peut-être ? La grande bibli publique de Rennes ne l'a pas.
Noëlle Adam
Le 15/07/11 15:51, Bour-Brown a écrit :Tu parles peut-être du « Itten » (l'art de la couleur), un machin que j'ai
toujours trouvé sans intérêt bien qu'il fût à l'époque une référence
incontestable.
Difficile à trouver de nos jours, pour quelque raison que ce soit.
Si ça se trouve, palmer dort sur un pont d'or (hardie métaphore, en avant
toute) avec son bouquin.
À la BU peut-être ? La grande bibli publique de Rennes ne l'a pas.
Noëlle Adam
"Bour-Brown" a écrit dans le message de groupe de
discussion : 4e2045d3$0$18819$palmerclaude a écrit
( 4e201082$0$30770$ )Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y
avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).
Je ne sais pas si on peut comparer l'impression professionnelle d'il y a
cinquante ans et son cahier de charge tout à fait particulier avec la
technologie actuelle, condensée pour l'amateur en une imprimante couleur,
en
papiers spécialisés, en sonde et en profils.
ce n'est pas l'impression professionnelle d'il y a cinquante ans, mais de
l'offset comme on le fait toujours aujourd'hui, avec de l'encre et des
presses.
Si les amateurs pensent qu'ils peuvent improviser un métier comme ça, on
voit ce que ça donne.
"Bour-Brown" <bour-brown@wnd.fr> a écrit dans le message de groupe de
discussion : 4e2045d3$0$18819$ba4acef3@reader.news.orange.fr...
palmerclaude a écrit
( 4e201082$0$30770$ba4acef3@reader.news.orange.fr )
Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y
avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).
Je ne sais pas si on peut comparer l'impression professionnelle d'il y a
cinquante ans et son cahier de charge tout à fait particulier avec la
technologie actuelle, condensée pour l'amateur en une imprimante couleur,
en
papiers spécialisés, en sonde et en profils.
ce n'est pas l'impression professionnelle d'il y a cinquante ans, mais de
l'offset comme on le fait toujours aujourd'hui, avec de l'encre et des
presses.
Si les amateurs pensent qu'ils peuvent improviser un métier comme ça, on
voit ce que ça donne.
"Bour-Brown" a écrit dans le message de groupe de
discussion : 4e2045d3$0$18819$palmerclaude a écrit
( 4e201082$0$30770$ )Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y
avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).
Je ne sais pas si on peut comparer l'impression professionnelle d'il y a
cinquante ans et son cahier de charge tout à fait particulier avec la
technologie actuelle, condensée pour l'amateur en une imprimante couleur,
en
papiers spécialisés, en sonde et en profils.
ce n'est pas l'impression professionnelle d'il y a cinquante ans, mais de
l'offset comme on le fait toujours aujourd'hui, avec de l'encre et des
presses.
Si les amateurs pensent qu'ils peuvent improviser un métier comme ça, on
voit ce que ça donne.
"delestaque" a écrit dans le message de groupe de discussion :
4e20894d$0$16464$"Bour-Brown" a écrit dans le message de groupe de
discussion : 4e2045d3$0$18819$palmerclaude a écrit
( 4e201082$0$30770$ )Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière
il y avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).
Je ne sais pas si on peut comparer l'impression professionnelle
d'il y a cinquante ans et son cahier de charge tout à fait
particulier avec la technologie actuelle, condensée pour l'amateur
en une imprimante couleur, en
papiers spécialisés, en sonde et en profils.ce n'est pas l'impression professionnelle d'il y a cinquante ans,
mais de l'offset comme on le fait toujours aujourd'hui, avec de
l'encre et des presses.
Si les amateurs pensent qu'ils peuvent improviser un métier comme
ça, on voit ce que ça donne.
Il me semble qu'aujourd'hui il n'y a plus vraiment besoin de métier.
Les machines font le boulot qui demandait de l'expérience et du
doigté.
"delestaque" a écrit dans le message de groupe de discussion :
4e20894d$0$16464$426a74cc@news.free.fr...
"Bour-Brown" <bour-brown@wnd.fr> a écrit dans le message de groupe de
discussion : 4e2045d3$0$18819$ba4acef3@reader.news.orange.fr...
palmerclaude a écrit
( 4e201082$0$30770$ba4acef3@reader.news.orange.fr )
Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière
il y avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).
Je ne sais pas si on peut comparer l'impression professionnelle
d'il y a cinquante ans et son cahier de charge tout à fait
particulier avec la technologie actuelle, condensée pour l'amateur
en une imprimante couleur, en
papiers spécialisés, en sonde et en profils.
ce n'est pas l'impression professionnelle d'il y a cinquante ans,
mais de l'offset comme on le fait toujours aujourd'hui, avec de
l'encre et des presses.
Si les amateurs pensent qu'ils peuvent improviser un métier comme
ça, on voit ce que ça donne.
Il me semble qu'aujourd'hui il n'y a plus vraiment besoin de métier.
Les machines font le boulot qui demandait de l'expérience et du
doigté.
"delestaque" a écrit dans le message de groupe de discussion :
4e20894d$0$16464$"Bour-Brown" a écrit dans le message de groupe de
discussion : 4e2045d3$0$18819$palmerclaude a écrit
( 4e201082$0$30770$ )Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière
il y avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).
Je ne sais pas si on peut comparer l'impression professionnelle
d'il y a cinquante ans et son cahier de charge tout à fait
particulier avec la technologie actuelle, condensée pour l'amateur
en une imprimante couleur, en
papiers spécialisés, en sonde et en profils.ce n'est pas l'impression professionnelle d'il y a cinquante ans,
mais de l'offset comme on le fait toujours aujourd'hui, avec de
l'encre et des presses.
Si les amateurs pensent qu'ils peuvent improviser un métier comme
ça, on voit ce que ça donne.
Il me semble qu'aujourd'hui il n'y a plus vraiment besoin de métier.
Les machines font le boulot qui demandait de l'expérience et du
doigté.
"delestaque" a écrit dans le message de groupe de discussion :
4e20894d$0$16464$"Bour-Brown" a écrit dans le message de groupe de
discussion : 4e2045d3$0$18819$palmerclaude a écrit
( 4e201082$0$30770$ )Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y
avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).
Je ne sais pas si on peut comparer l'impression professionnelle d'il y a
cinquante ans et son cahier de charge tout à fait particulier avec la
technologie actuelle, condensée pour l'amateur en une imprimante couleur, en
papiers spécialisés, en sonde et en profils.ce n'est pas l'impression professionnelle d'il y a cinquante ans, mais de
l'offset comme on le fait toujours aujourd'hui, avec de l'encre et des
presses.
Si les amateurs pensent qu'ils peuvent improviser un métier comme ça, on voit
ce que ça donne.
Il me semble qu'aujourd'hui il n'y a plus vraiment besoin de métier. Les
machines font le boulot qui demandait de l'expérience et du doigté.
A l'ancienne faire une photo devant être imprimée exigeait de passer par les
mains de plusieurs personnes compétentes qui trimaient dur afin de conserver
une ressemblance avec l'original.
Aujourd'hui les APN savent automatiquement livrer une image assez cohérente
avec la scène photographiée. Le fichier peut ensuite passer par un logiciel
standard et sortir sur une imprimante numérique sans véritable intervention
humaine. Le métier n'est plus nécessaire sauf pour les cas extrèmes, ou les
clients plus exigeants.
Chez mon imprimeur (offset) lorsque l'épreuve Epson est acceptée, la pressier
travaille les doigts dans le nez. Tout est automatisé, l'encrage lu et ajusté
en continue, tout est identique à l'épreuve. (En autant qu'il n'y ai pas de
zone d'impression avec encrage limite, l'encrage par rouleau de la presse web
ayant des exigences différentes du jet d'encre de la Epson. Mais si peu il
suffit de se lever, de constater et faire ajuster, et de mettre une petite
signature sur le coin d'une impression - Je n'ai pas de clients qui
accepterait que je bloque le travail à cette étape)
Par contre dans l'emballage ou des couleurs spéciales sont utilisées la
situation est différente. Le résultat réel apparait sur la presse. Un
imprimeur m'a raconté qu'une grosse pharmaceutique avait déjà arrêté la
l'impression déjà à moitié terminée. Petite nuance non conforme. Retour à la
séparation des couleurs etc. Le client a payé c'était son exigence.
"delestaque" a écrit dans le message de groupe de discussion :
4e20894d$0$16464$426a74cc@news.free.fr...
"Bour-Brown" <bour-brown@wnd.fr> a écrit dans le message de groupe de
discussion : 4e2045d3$0$18819$ba4acef3@reader.news.orange.fr...
palmerclaude a écrit
( 4e201082$0$30770$ba4acef3@reader.news.orange.fr )
Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y
avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).
Je ne sais pas si on peut comparer l'impression professionnelle d'il y a
cinquante ans et son cahier de charge tout à fait particulier avec la
technologie actuelle, condensée pour l'amateur en une imprimante couleur, en
papiers spécialisés, en sonde et en profils.
ce n'est pas l'impression professionnelle d'il y a cinquante ans, mais de
l'offset comme on le fait toujours aujourd'hui, avec de l'encre et des
presses.
Si les amateurs pensent qu'ils peuvent improviser un métier comme ça, on voit
ce que ça donne.
Il me semble qu'aujourd'hui il n'y a plus vraiment besoin de métier. Les
machines font le boulot qui demandait de l'expérience et du doigté.
A l'ancienne faire une photo devant être imprimée exigeait de passer par les
mains de plusieurs personnes compétentes qui trimaient dur afin de conserver
une ressemblance avec l'original.
Aujourd'hui les APN savent automatiquement livrer une image assez cohérente
avec la scène photographiée. Le fichier peut ensuite passer par un logiciel
standard et sortir sur une imprimante numérique sans véritable intervention
humaine. Le métier n'est plus nécessaire sauf pour les cas extrèmes, ou les
clients plus exigeants.
Chez mon imprimeur (offset) lorsque l'épreuve Epson est acceptée, la pressier
travaille les doigts dans le nez. Tout est automatisé, l'encrage lu et ajusté
en continue, tout est identique à l'épreuve. (En autant qu'il n'y ai pas de
zone d'impression avec encrage limite, l'encrage par rouleau de la presse web
ayant des exigences différentes du jet d'encre de la Epson. Mais si peu il
suffit de se lever, de constater et faire ajuster, et de mettre une petite
signature sur le coin d'une impression - Je n'ai pas de clients qui
accepterait que je bloque le travail à cette étape)
Par contre dans l'emballage ou des couleurs spéciales sont utilisées la
situation est différente. Le résultat réel apparait sur la presse. Un
imprimeur m'a raconté qu'une grosse pharmaceutique avait déjà arrêté la
l'impression déjà à moitié terminée. Petite nuance non conforme. Retour à la
séparation des couleurs etc. Le client a payé c'était son exigence.
"delestaque" a écrit dans le message de groupe de discussion :
4e20894d$0$16464$"Bour-Brown" a écrit dans le message de groupe de
discussion : 4e2045d3$0$18819$palmerclaude a écrit
( 4e201082$0$30770$ )Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y
avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).
Je ne sais pas si on peut comparer l'impression professionnelle d'il y a
cinquante ans et son cahier de charge tout à fait particulier avec la
technologie actuelle, condensée pour l'amateur en une imprimante couleur, en
papiers spécialisés, en sonde et en profils.ce n'est pas l'impression professionnelle d'il y a cinquante ans, mais de
l'offset comme on le fait toujours aujourd'hui, avec de l'encre et des
presses.
Si les amateurs pensent qu'ils peuvent improviser un métier comme ça, on voit
ce que ça donne.
Il me semble qu'aujourd'hui il n'y a plus vraiment besoin de métier. Les
machines font le boulot qui demandait de l'expérience et du doigté.
A l'ancienne faire une photo devant être imprimée exigeait de passer par les
mains de plusieurs personnes compétentes qui trimaient dur afin de conserver
une ressemblance avec l'original.
Aujourd'hui les APN savent automatiquement livrer une image assez cohérente
avec la scène photographiée. Le fichier peut ensuite passer par un logiciel
standard et sortir sur une imprimante numérique sans véritable intervention
humaine. Le métier n'est plus nécessaire sauf pour les cas extrèmes, ou les
clients plus exigeants.
Chez mon imprimeur (offset) lorsque l'épreuve Epson est acceptée, la pressier
travaille les doigts dans le nez. Tout est automatisé, l'encrage lu et ajusté
en continue, tout est identique à l'épreuve. (En autant qu'il n'y ai pas de
zone d'impression avec encrage limite, l'encrage par rouleau de la presse web
ayant des exigences différentes du jet d'encre de la Epson. Mais si peu il
suffit de se lever, de constater et faire ajuster, et de mettre une petite
signature sur le coin d'une impression - Je n'ai pas de clients qui
accepterait que je bloque le travail à cette étape)
Par contre dans l'emballage ou des couleurs spéciales sont utilisées la
situation est différente. Le résultat réel apparait sur la presse. Un
imprimeur m'a raconté qu'une grosse pharmaceutique avait déjà arrêté la
l'impression déjà à moitié terminée. Petite nuance non conforme. Retour à la
séparation des couleurs etc. Le client a payé c'était son exigence.