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La couleur ? Mais c'est très simple

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Charles Vassallo
Bonjour à tous

Ceux qui se sont plu à lire Aisberg dans le texte ne doivent plus être
légion, et ses ayant-droits me pardonneront de singer ses titres pour
appâter le chaland.

Bref, c'est un nouveau tuto sur la théorie de la couleur et la gestion
d'icelle, appliquée à la photo numérique. Sans math (ouais, enfin...).
Tout ce que vous avez voulu savoir sans jamais le demander, etc, etc.

http://www.oitregor.com/numeric/gestion/villeneuve.html

Charles

10 réponses

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YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 16/07/11 14:35, Bour-Brown a écrit :

Bref, en ce qui me concerne je ne vais pas perdre mon temps à savoir les
réglages ésotériques d'un système d'exploitation, d'un logiciel ou d'un
matériel que je n'aurai plus dans cinq ans.



C'est parfait pour toi qui imprimeras dans 5 ans pas pour ceux qui le
font aujourd'hui.
Quand je me suis lancée dans l'impression personnelle c'était parce que
les labos démarraient dans le numérique et les résultats étaient à la
ramasse, je me souviens de ma déception lors des essais sur frontier
dont on disait grand bien sur frpn. Depuis peu j'arrive à trouver des
impressions assez satisfaisantes, je n'ai plus envie de m'emmerder trop
avec les têtes qui se bouchent...La gestion de la couleur étant un petit
problème mais celui là un gros. Epson aura résolu ça dans 5 ans ? Fort
bien, pour les prestataires...Pas pour moi.

Noëlle Adam
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delestaque
"YouDontNeedToKnowButItsNoëlle" a écrit dans le
message de groupe de discussion : ivs667$b9t$
Le 16/07/11 14:35, Bour-Brown a écrit :

Bref, en ce qui me concerne je ne vais pas perdre mon temps à savoir les
réglages ésotériques d'un système d'exploitation, d'un logiciel ou d'un
matériel que je n'aurai plus dans cinq ans.



C'est parfait pour toi qui imprimeras dans 5 ans pas pour ceux qui le font
aujourd'hui.
Quand je me suis lancée dans l'impression personnelle c'était parce que les
labos démarraient dans le numérique et les résultats étaient à la ramasse, je
me souviens de ma déception lors des essais sur frontier dont on disait grand
bien sur frpn.



le Fuji Frontier n'est qu'un outil, mais bien peu de prestataires avaient envie
d'aller plus loin avec, ce qui est regrettable, en ce qui concerne l'impression
sur papier argentique, la machine n'est pas en cause, e là, je parle vraiment
sincèrement, j'aurais bien aimé avoir ce genre de matériel, mais la plupart du
temps il a fini dans les mains des labos en ligne qui font de la soupe au
kilomètre.
le format était quand même un peu juste.
N'avaient ils pas envie ou n'avaient ils pas les connaissances, les deux,
probablement, et le marché était il là ?

Depuis peu j'arrive à trouver des
impressions assez satisfaisantes, je n'ai plus envie de m'emmerder trop avec
les têtes qui se bouchent...La gestion de la couleur étant un petit problème
mais celui là un gros. Epson aura résolu ça dans 5 ans ? Fort bien, pour les
prestataires...Pas pour moi.




Epson continue à multiplier les encres, le gamut est censé augmenter sans cesse,
il y a deux trois ans, j'avais vu apparaitre une encre orangée, comme je
demandais des renseignements, on m'a dit que certaines agences n'arrivaient pas
à sortir le rouge Coca Cola, la belle affaire...
Pour les buses : tu n' utilises pas souvent ta machine, elles se bouchent, tu
t'en sers beaucoup, elles se bouchent, j'ai toujours pensé qu'il y avait un
programme spécial et cyclique caché le " programme bouchage de buses " pour te
faire bouffer de l'encre, pigments et eau de source vendues au prix de l'or
liquide.
Combien d'encres dans cinq ans ?
--
Ricco
Avatar
René
"delestaque" a écrit dans le message de groupe de discussion :
4e214a76$0$13370$


"palmerclaude" a écrit dans le message de groupe
de discussion : 4e213b30$0$18821$


Hou là ! si tu dis cela à un ouvrier du Livre, photograveur, imprimeur,
massicotier, façonnier, etc.. tu te fais écharper !
Si le travail est un peu moins pénible, il faut toujours de l'humain pour
régler, nettoyer les rouleaux, calculer les plans de coupe
etc...l'informatique et l'automatisation existent mais... Mettons que je
t'explique bien et que je te mette devant un plieuse Stahl par exemple
avec poches et couteaux, et te demande de me plier un 16 pages, tu verras
si la machine fait toute seule...





Charriage!
Jamais je n'ai laissé croire que celui qui fait bonne impression sur sa
petite Epson ou Canon pouvait contrôler une rotative, une Heidelberg à 1,5
millons, une plieuse etc.
J'ai dit que si une photo imprimée par un service pro utilisant une presse
numérique (du genre Indigo) alors le fichier de cette photo devrait être
utilisable par n'importe quel bon imprimeur offset sans problème. Qualité
égale ici et là. Sinon, dans l'état actuel des technologie, c'est
l'imprimeur qui fait défaut. Point barre.
Et je ferai remarquer que dans mon exemple les 2 impressions sont faite par
des professionnels.




Et ce ne sont pas les opérations les plus complexes, mais ça ne
s'improvise pas.
Mais nos excellents amis seront tout à fait aptes à la conduite des
presses offset, puisque ça fonctionne tout seul
Il y a eu certes des progrès, des machines dont les plaques d'impression
se font toutes seules sur la machine, de meilleurs contrôles d'encrage,
etc.
Mais on est toujours en présence de machines avec report, le blanchet, et
tout ça, c'est facile bien sûr
Ca parait difficile tout simplement parce que ce sont de petites gens, de
sottes gens qui font ces boulots, comme photographe, tu remplaceras
avantageusement le personnel d'un atelier d'imprimerie par quelques cols
blancs informaticiens, tout ira bien mieux tout de suite.
Quoique, le temps qu'ils aient fini de se bouffer le nez, les tâches
d'impression auront filé à Hong Kong,
Que me conte tu là, Claude, facile tout ça, travail de "Toto Maculeur, "
c'est un problème de syndicat et de manque de formation, de l'impression à
la maison à la presse quatre couleurs, et façonnage, rien qu'un petit saut
allègre, léger, je te le dis, tout ça est rendu compliqué simplement par
la mauvaise volonté des ouvriers.
Qui possède son imprimante Epson est décrété apte à la conduite des presse
offset quatre couleurs, plus un passage de vernis sélectif, je me demande
pourquoi on se prend le chou, c'est quand même facile, non ?
Quelle bande de guignols en col blancs.
Mais bon, je voudrais les voir à l'ouvre, ils vont découvrir que
l'imprimerie, ça salit les mains.



Voilà Ricco qui reprend le mors au dents. Un petit ulcère avec ça? :-)
Tes arguments relèvent davantage de la déception et de la mesquinerie que de
l'analyse de la situation qui a bien changé entre tes beaux jours comme
artisan et la réalité des nouvelles générations.

Oui j'ai travaillé dans l'imprimerie et j'ai aussi fait du graphisme. J'ai
laissé à l'arrivé de l'informatique et je n'en ai pas fait une dépression
car j'ai laissé volontairement. À tous les ans je fais encore quelques
contrats, je suis donc un peu en mesure de comparer avant et maintenant.

Pour ceux qui veulent savoir plutôt que de critiquer il est possible de
comparer les impressions de livres, de magazines, de photos des années 70 ou
80 avec ce qui se fait maintenant.

Les employés et les artisans je les respecte plus que tes paroles ne le
laisse supposer de ta part. Mais il faut voir que les besoins en formations
sont très différents maintenant de ceux d'avant. Ne donnons qu'un exemple:
la perception des couleurs, ce que tu connais bien et pour lequel tu as du
talent et de l'expérience. Aujourd'hui si discussion il y a, une comparaison
au colorimètre règle le différent rapidement. Ceci n'enlève rien à personne
mais permet une démarche rapide et non conflictuelle entre le client et le
fournisseur de service. C'est un contexte équivalent au mécanicien qui, s'il
était compétent, trouvait le bobo de la bagnole au son; aujourd'hui il y a
l'analyseur, lui aussi avec ses bons et mauvais aspects. Et j'ai beaucoup de
respect pour celui qui sait ajuster la pression dans mes pneus... mais juste
assez, pas trop!

Arrêtons de tout mélanger: l'amateur et sa petite imprimante personnelle,
les services commerciaux grand public, les travaux des ateliers spécialisés
et professionnels et les compétences très variables des petits artisans
imprimeurs, graphistes, photographes et autre. En passant les informaticiens
n'ont plus rien à faire dans le domaine sauf pour quelques radoteux qui
s'obstinent encore à faire de la ligne de commande. Les vrais infographistes
ne connaissent rien à l'informatique, ce sont des spécialistes de certains
logiciels qui en connaissent tous les détours et savent en tirer des images
que peu d'entre nous saurions bien faire.

Et pour terminer ma tirade: en amérique (du nord) il n'y a jamais eu de bon
imprimeur de livres couleurs. Snif Snif pour moi. La qualité était en
Europe. Tu as raison maintenant presque tous les beaux livres se font en
Chine. J'aimerais donc souligner celui que je considère le plus beau et que
je me suis offert:

"Intérieurs chinois" par Robert van der Hilst, un photographe néerlandais.
Des photos magnifiques et une impression superbe, à moins que ce ne soient
des photos superbes et une impression magnifique. Imprimé à Shanghai,
république populaire de Chine capitalisée.
Console toi un peu, c'est édité par Gallimard

Console toi beaucoup: il y a encore du beau travail bien fait.

René
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René
"Bour-Brown" a écrit dans le message de groupe de discussion :
4e218579$0$18817$

René a écrit
( )



Tout est automatisé, l'encrage lu et ajusté en continue, tout est
identique à l'épreuve.



Eh oui, des pans entiers de connaissance ouvrière et de spécialisation ont
aujourd'hui disparu, et je pense qu'il en ira de même pour les savoirs
d'aujourd'hui.



Malheureux pour les mis à la porte et les déclassés, mais c'est ainsi.

La gestion actuelle de la couleur a de moins en moins de
sens, les constructeurs intègreront tout ce qui est nécessaire dans leurs
produits, mon scanner s'étalonne tout seul, mon apn est capable de
cartographier ses pixels morts sur demande, demain il le fera de façon
totalement transparente.



Une question de standard à imposer et intégrer aux équipement

René
Avatar
René
"delestaque" a écrit dans le message de groupe de discussion :
4e2146af$0$26818$


"René" a écrit dans le message de groupe de
discussion :


"delestaque" a écrit dans le message de groupe de discussion :
4e20894d$0$16464$


"Bour-Brown" a écrit dans le message de groupe de
discussion : 4e2045d3$0$18819$
palmerclaude a écrit
( 4e201082$0$30770$ )

Et c'est vrai que c'était une autre histoire parce que, derrière il y
avait le client très exigeant (genre Assouline, l'Oréal etc).



Je ne sais pas si on peut comparer l'impression professionnelle d'il y
a
cinquante ans et son cahier de charge tout à fait particulier avec la
technologie actuelle, condensée pour l'amateur en une imprimante
couleur, en
papiers spécialisés, en sonde et en profils.





ce n'est pas l'impression professionnelle d'il y a cinquante ans, mais de
l'offset comme on le fait toujours aujourd'hui, avec de l'encre et des
presses.
Si les amateurs pensent qu'ils peuvent improviser un métier comme ça, on
voit ce que ça donne.



Il me semble qu'aujourd'hui il n'y a plus vraiment besoin de métier. Les
machines font le boulot qui demandait de l'expérience et du doigté.



oui, on n'a plus besoin de conducteur offset d'après toi ?



La presse partie l'encre coule au besoin dans l'encrier, l'analyse se fait
en continue et les encrages corrigées en conséquence, bien plus vite que le
pressier ne peut le voir.
L'obligation pour le pressier est d'être là et de vérifier les impression
régulièrement "en cas de panne". Sinon il dort.

A l'ancienne faire une photo devant être imprimée exigeait de passer par
les mains de plusieurs personnes compétentes qui trimaient dur afin de
conserver une ressemblance avec l'original.



on a toujours des personnes très compétentes dans les imprimeries.



Oui ils ne sont pas tous mort. Avoue que la séparation des couleurs
demandait plus de compétence et d'expérience.


Aujourd'hui les APN savent automatiquement livrer une image assez
cohérente avec la scène photographiée. Le fichier peut ensuite passer par
un logiciel standard et sortir sur une imprimante numérique sans
véritable intervention humaine. Le métier n'est plus nécessaire sauf pour
les cas extrèmes, ou les clients plus exigeants.



on parle d'impression numérique ou d'imprimerie ?
Certains ont bien vu quel casse tête pouvait être l'impression, c'est
normal, s'imaginant que parce qu'ils sont informaticiens, tous les
domaines sont de leur compétence, l'impression comme le reste n'ont aucun
secrets.
mais on voit aussi des gens qui sont retournés chez le photographe ou sont
toujours à la recherche du fabuleux site d'impression en ligne qui leur
fera un truc aux petits oignons, ils n'en seront jamais totalement
satisfaits, du reste.



Il y en a qui rêvent, soit. Quand j'ai du travail sérieux à faire que que je
ne peux pas faire, je vais voir des gens plus compétents que moi.
Mais il y a toujours le conflit désir coût finalité.


Chez mon imprimeur (offset) lorsque l'épreuve Epson est acceptée, la
pressier travaille les doigts dans le nez. Tout est automatisé, l'encrage
lu et ajusté en continue, tout est identique à l'épreuve. (En autant
qu'il n'y ai pas de zone d'impression avec encrage limite, l'encrage par
rouleau de la presse web ayant des exigences différentes du jet d'encre
de la Epson. Mais si peu il suffit de se lever, de constater et faire
ajuster, et de mettre une petite signature sur le coin d'une impression -
Je n'ai pas de clients qui accepterait que je bloque le travail à cette
étape)



bref, l'imprimeur n'est plus qu'une sorte de figurant ?
je connais bien l'impression sur presse numérique Kodak Heidelberg, j'ai
pas eu l'impression en les voyant bosser que tout se passait comme sur des
roulettes, que tout allait toujours bien, que le client vous embrassait,
vous congratulait avec ferveur ?



Le client est rarement vraiment content. Et les problème, c'est normal,
c'est pour cela qu'il faut des employés compétents. des SAV etc
Mais s'il y a trop de problèmes... l'erreur peut être ailleurs.


Par contre dans l'emballage ou des couleurs spéciales sont utilisées la
situation est différente. Le résultat réel apparait sur la presse. Un
imprimeur m'a raconté qu'une grosse pharmaceutique avait déjà arrêté la
l'impression déjà à moitié terminée. Petite nuance non conforme. Retour à
la séparation des couleurs etc. Le client a payé c'était son exigence.



A mon avis, il aurait écouté l'imprimeur, ça ne serait pas arrivé.



Rien à voir, simplement un client qui avait les moyens d'être plus exigent
ou de satisfaire ses caprices, à ton choix.

René
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delestaque
"René" a écrit dans le message de groupe de
discussion :


"delestaque" a écrit dans le message de groupe de discussion :
4e214a76$0$13370$


"palmerclaude" a écrit dans le message de groupe de
discussion : 4e213b30$0$18821$


Hou là ! si tu dis cela à un ouvrier du Livre, photograveur, imprimeur,
massicotier, façonnier, etc.. tu te fais écharper !
Si le travail est un peu moins pénible, il faut toujours de l'humain pour
régler, nettoyer les rouleaux, calculer les plans de coupe
etc...l'informatique et l'automatisation existent mais... Mettons que je
t'explique bien et que je te mette devant un plieuse Stahl par exemple avec
poches et couteaux, et te demande de me plier un 16 pages, tu verras si la
machine fait toute seule...





Charriage!
Jamais je n'ai laissé croire que celui qui fait bonne impression sur sa petite
Epson ou Canon pouvait contrôler une rotative, une Heidelberg à 1,5 millons,
une plieuse etc.
J'ai dit que si une photo imprimée par un service pro utilisant une presse
numérique (du genre Indigo) alors le fichier de cette photo devrait être
utilisable par n'importe quel bon imprimeur offset sans problème. Qualité
égale ici et là. Sinon, dans l'état actuel des technologie, c'est l'imprimeur
qui fait défaut. Point barre.
Et je ferai remarquer que dans mon exemple les 2 impressions sont faite par
des professionnels.




Et ce ne sont pas les opérations les plus complexes, mais ça ne s'improvise
pas.
Mais nos excellents amis seront tout à fait aptes à la conduite des presses
offset, puisque ça fonctionne tout seul
Il y a eu certes des progrès, des machines dont les plaques d'impression se
font toutes seules sur la machine, de meilleurs contrôles d'encrage, etc.
Mais on est toujours en présence de machines avec report, le blanchet, et
tout ça, c'est facile bien sûr
Ca parait difficile tout simplement parce que ce sont de petites gens, de
sottes gens qui font ces boulots, comme photographe, tu remplaceras
avantageusement le personnel d'un atelier d'imprimerie par quelques cols
blancs informaticiens, tout ira bien mieux tout de suite.
Quoique, le temps qu'ils aient fini de se bouffer le nez, les tâches
d'impression auront filé à Hong Kong,
Que me conte tu là, Claude, facile tout ça, travail de "Toto Maculeur, "
c'est un problème de syndicat et de manque de formation, de l'impression à la
maison à la presse quatre couleurs, et façonnage, rien qu'un petit saut
allègre, léger, je te le dis, tout ça est rendu compliqué simplement par la
mauvaise volonté des ouvriers.
Qui possède son imprimante Epson est décrété apte à la conduite des presse
offset quatre couleurs, plus un passage de vernis sélectif, je me demande
pourquoi on se prend le chou, c'est quand même facile, non ?
Quelle bande de guignols en col blancs.
Mais bon, je voudrais les voir à l'ouvre, ils vont découvrir que
l'imprimerie, ça salit les mains.



Voilà Ricco qui reprend le mors au dents. Un petit ulcère avec ça? :-)
Tes arguments relèvent davantage de la déception et de la mesquinerie que de
l'analyse de la situation qui a bien changé entre tes beaux jours comme
artisan et la réalité des nouvelles générations.

Oui j'ai travaillé dans l'imprimerie et j'ai aussi fait du graphisme. J'ai
laissé à l'arrivé de l'informatique et je n'en ai pas fait une dépression car
j'ai laissé volontairement. À tous les ans je fais encore quelques contrats,
je suis donc un peu en mesure de comparer avant et maintenant.

Pour ceux qui veulent savoir plutôt que de critiquer il est possible de
comparer les impressions de livres, de magazines, de photos des années 70 ou
80 avec ce qui se fait maintenant.

Les employés et les artisans je les respecte plus que tes paroles ne le laisse
supposer de ta part. Mais il faut voir que les besoins en formations sont très
différents maintenant de ceux d'avant. Ne donnons qu'un exemple: la perception
des couleurs, ce que tu connais bien et pour lequel tu as du talent et de
l'expérience. Aujourd'hui si discussion il y a, une comparaison au colorimètre
règle le différent rapidement. Ceci n'enlève rien à personne mais permet une
démarche rapide et non conflictuelle entre le client et le fournisseur de
service. C'est un contexte équivalent au mécanicien qui, s'il était compétent,
trouvait le bobo de la bagnole au son; aujourd'hui il y a l'analyseur, lui
aussi avec ses bons et mauvais aspects. Et j'ai beaucoup de respect pour celui
qui sait ajuster la pression dans mes pneus... mais juste assez, pas trop!

Arrêtons de tout mélanger: l'amateur et sa petite imprimante personnelle, les
services commerciaux grand public, les travaux des ateliers spécialisés et
professionnels et les compétences très variables des petits artisans
imprimeurs, graphistes, photographes et autre. En passant les informaticiens
n'ont plus rien à faire dans le domaine sauf pour quelques radoteux qui
s'obstinent encore à faire de la ligne de commande. Les vrais infographistes
ne connaissent rien à l'informatique, ce sont des spécialistes de certains
logiciels qui en connaissent tous les détours et savent en tirer des images
que peu d'entre nous saurions bien faire.

Et pour terminer ma tirade: en amérique (du nord) il n'y a jamais eu de bon
imprimeur de livres couleurs. Snif Snif pour moi. La qualité était en Europe.
Tu as raison maintenant presque tous les beaux livres se font en Chine.
J'aimerais donc souligner celui que je considère le plus beau et que je me
suis offert:

"Intérieurs chinois" par Robert van der Hilst, un photographe néerlandais.
Des photos magnifiques et une impression superbe, à moins que ce ne soient des
photos superbes et une impression magnifique. Imprimé à Shanghai, république
populaire de Chine capitalisée.
Console toi un peu, c'est édité par Gallimard

Console toi beaucoup: il y a encore du beau travail bien fait.

René










t'es vraiment trop con

--
Ricco
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delestaque
"René" a écrit dans le message de groupe de
discussion :



A mon avis, il aurait écouté l'imprimeur, ça ne serait pas arrivé.

Rien à voir, simplement un client qui avait les moyens d'être plus exigent ou
de satisfaire ses caprices, à ton choix.

René





t'as tout résumé en disant qu'en Amérique du Nord, vous étiez nul en impression.

--
Ricco
Avatar
René
"delestaque" a écrit dans le message de groupe de discussion :
4e22083a$0$29582$


"René" a écrit dans le message de groupe de
discussion :



A mon avis, il aurait écouté l'imprimeur, ça ne serait pas arrivé.

Rien à voir, simplement un client qui avait les moyens d'être plus
exigent ou de satisfaire ses caprices, à ton choix.

René





t'as tout résumé en disant qu'en Amérique du Nord, vous étiez nul en
impression.



Tu excelles à répondre n'importe quoi: j'ai écrit:

"Et pour terminer ma tirade: en amérique (du nord) il n'y a jamais eu de bon
imprimeur de livres couleurs"

tu t'emportes et prétends que j'ai écrit qu'en amérique tous les imprimeurs
sont nuls.

Evidemment tu as réglé la question à ta manière habituelle en disant que je
suis trop con, surement à ta grande autosatisfaction.

Félicitation!

René
Avatar
delestaque
"René" a écrit dans le message de groupe de
discussion :


"delestaque" a écrit dans le message de groupe de discussion :
4e22083a$0$29582$


"René" a écrit dans le message de groupe de
discussion :



A mon avis, il aurait écouté l'imprimeur, ça ne serait pas arrivé.

Rien à voir, simplement un client qui avait les moyens d'être plus exigent
ou de satisfaire ses caprices, à ton choix.

René





t'as tout résumé en disant qu'en Amérique du Nord, vous étiez nul en
impression.



Tu excelles à répondre n'importe quoi: j'ai écrit:

"Et pour terminer ma tirade: en amérique (du nord) il n'y a jamais eu de bon
imprimeur de livres couleurs"

tu t'emportes et prétends que j'ai écrit qu'en amérique tous les imprimeurs
sont nuls.

Evidemment tu as réglé la question à ta manière habituelle en disant que je
suis trop con, surement à ta grande autosatisfaction.

Félicitation!

René





je maintiens, vraiment des mauvais en Amérique du Nord.
mais bon, là bas on consomme des images comme des hamburgers et la viande on la
consomme sous vide coupée en dés, je n'ai pas grand chose à voir avec ces gens,
je ne les déteste pas, mais nous n'avons pas grand chose en commun.
le fait que tu écrives des conneries ne me satisfait pas plus que ça.


--
Ricco
Avatar
Pleinair
Le 18/07/11 10:08, delestaque a écrit :

je n'ai pas grand chose à
voir avec ces gens, je ne les déteste pas, mais nous n'avons pas grand
chose en commun.



C'est plutôt un bon point pour eux ça...

--
François.
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