Dominique G. a pensé très fort :Pour les petits trous du cul que ça ne dérange pas quand c'est un vagin,
et qui mettent leur orifice anal dans la catégorie " touche pas ou tu
prends mon poing dans la gueule", c'est une grosse affaire, justement.
On touche au saint des saints, voyons... :-D
D'après des médecins qui ont accepté de briser l'omerta, cette pratique
concerne autant les touchers vaginaux que rectaux, uniquement lorsqu'ils
sont corrélés à une intervention chirurgicale proche, en précisant que
80% des externes en gynéco sont des femmes.
Ceci dit, dans un monde idéal où les hôpitaux recevraient les dotations
qu'ils demandent, on pourrait utiliser des mannequins réalistes
reproduisant les caractéristiques anatomiques et physiologiques H et F.
Dominique G. a pensé très fort :
Pour les petits trous du cul que ça ne dérange pas quand c'est un vagin,
et qui mettent leur orifice anal dans la catégorie " touche pas ou tu
prends mon poing dans la gueule", c'est une grosse affaire, justement.
On touche au saint des saints, voyons... :-D
D'après des médecins qui ont accepté de briser l'omerta, cette pratique
concerne autant les touchers vaginaux que rectaux, uniquement lorsqu'ils
sont corrélés à une intervention chirurgicale proche, en précisant que
80% des externes en gynéco sont des femmes.
Ceci dit, dans un monde idéal où les hôpitaux recevraient les dotations
qu'ils demandent, on pourrait utiliser des mannequins réalistes
reproduisant les caractéristiques anatomiques et physiologiques H et F.
Dominique G. a pensé très fort :Pour les petits trous du cul que ça ne dérange pas quand c'est un vagin,
et qui mettent leur orifice anal dans la catégorie " touche pas ou tu
prends mon poing dans la gueule", c'est une grosse affaire, justement.
On touche au saint des saints, voyons... :-D
D'après des médecins qui ont accepté de briser l'omerta, cette pratique
concerne autant les touchers vaginaux que rectaux, uniquement lorsqu'ils
sont corrélés à une intervention chirurgicale proche, en précisant que
80% des externes en gynéco sont des femmes.
Ceci dit, dans un monde idéal où les hôpitaux recevraient les dotations
qu'ils demandent, on pourrait utiliser des mannequins réalistes
reproduisant les caractéristiques anatomiques et physiologiques H et F.
D'une part il n'y a plus d'externes, d'autre part tous les étudiants
hospitaliers qu'on surnomme encore comme ça doivent faire un de leurs
stages en gynéco, parmi quelques autres spécialités obligatoires.
Ceci dit, dans un monde idéal où les hôpitaux recevraient les dotations
qu'ils demandent, on pourrait utiliser des mannequins réalistes
reproduisant les caractéristiques anatomiques et physiologiques H et F.
Pin-pon! Et avec toutes les pathologies possibles dans toutes leurs formes,
bien entendu:) j'espère bien que mes médecins seront, eux, formés sur de la
chair malade.
Ce qui se passe, c'est le retour par la fenêtre de tous les tabous à la con
que la médecine avait réussi à mettre à la porte.
D'une part il n'y a plus d'externes, d'autre part tous les étudiants
hospitaliers qu'on surnomme encore comme ça doivent faire un de leurs
stages en gynéco, parmi quelques autres spécialités obligatoires.
Ceci dit, dans un monde idéal où les hôpitaux recevraient les dotations
qu'ils demandent, on pourrait utiliser des mannequins réalistes
reproduisant les caractéristiques anatomiques et physiologiques H et F.
Pin-pon! Et avec toutes les pathologies possibles dans toutes leurs formes,
bien entendu:) j'espère bien que mes médecins seront, eux, formés sur de la
chair malade.
Ce qui se passe, c'est le retour par la fenêtre de tous les tabous à la con
que la médecine avait réussi à mettre à la porte.
D'une part il n'y a plus d'externes, d'autre part tous les étudiants
hospitaliers qu'on surnomme encore comme ça doivent faire un de leurs
stages en gynéco, parmi quelques autres spécialités obligatoires.
Ceci dit, dans un monde idéal où les hôpitaux recevraient les dotations
qu'ils demandent, on pourrait utiliser des mannequins réalistes
reproduisant les caractéristiques anatomiques et physiologiques H et F.
Pin-pon! Et avec toutes les pathologies possibles dans toutes leurs formes,
bien entendu:) j'espère bien que mes médecins seront, eux, formés sur de la
chair malade.
Ce qui se passe, c'est le retour par la fenêtre de tous les tabous à la con
que la médecine avait réussi à mettre à la porte.
Dans son message précédent, jr a écrit :D'une part il n'y a plus d'externes, d'autre part tous les étudiants
hospitaliers qu'on surnomme encore comme ça doivent faire un de leurs
stages en gynéco, parmi quelques autres spécialités obligatoires.
Carone Burillon doyenne de l'UFR de médecine Lyon-Sud déclare :
« Les médecins n'abusent pas de la personne qui est endormie.
On travaille ensemble et à l'occasion de la chirurgie, l'interne
et l'externe vont apprendre. »
Les “étudiants hospitaliers” (statut du décret du 8 Octobre 1970)
sont toujours appelés externes...
Ceci dit, dans un monde idéal où les hôpitaux recevraient les dotations
qu'ils demandent, on pourrait utiliser des mannequins réalistes
reproduisant les caractéristiques anatomiques et physiologiques H et F.
Pin-pon! Et avec toutes les pathologies possibles dans toutes leurs formes,
bien entendu:) j'espère bien que mes médecins seront, eux, formés sur de la
chair malade.
Plusieurs facs de médecine enseignent de la sorte, suivant en cela
les recommandations de la Haute Autorité de Santé : « jamais la première
fois sur un patient !»Ce qui se passe, c'est le retour par la fenêtre de tous les tabous à la con
que la médecine avait réussi à mettre à la porte.
Je ne vous imaginais pas réactionnaire à ce point !
Un progressiste analyserait la polémique invitant à mieux appliquer
la loi Kouchner comme une demande d'en finir avec une médecine
paternaliste et opaque (le savoir devenu "pouvoir médical" vilipendé
par les gens de gauche naguère) au profit d'une médecine moderne
transparente et conviviale.
http://www.topsante.com/medecine/medecine-divers/droits-des-patients/des-etudiants-en-medecine-pratiqueraient-des-touchers-vaginaux-a-l-insu-des-patientes-76329
Dans son message précédent, jr a écrit :
D'une part il n'y a plus d'externes, d'autre part tous les étudiants
hospitaliers qu'on surnomme encore comme ça doivent faire un de leurs
stages en gynéco, parmi quelques autres spécialités obligatoires.
Carone Burillon doyenne de l'UFR de médecine Lyon-Sud déclare :
« Les médecins n'abusent pas de la personne qui est endormie.
On travaille ensemble et à l'occasion de la chirurgie, l'interne
et l'externe vont apprendre. »
Les “étudiants hospitaliers” (statut du décret du 8 Octobre 1970)
sont toujours appelés externes...
Ceci dit, dans un monde idéal où les hôpitaux recevraient les dotations
qu'ils demandent, on pourrait utiliser des mannequins réalistes
reproduisant les caractéristiques anatomiques et physiologiques H et F.
Pin-pon! Et avec toutes les pathologies possibles dans toutes leurs formes,
bien entendu:) j'espère bien que mes médecins seront, eux, formés sur de la
chair malade.
Plusieurs facs de médecine enseignent de la sorte, suivant en cela
les recommandations de la Haute Autorité de Santé : « jamais la première
fois sur un patient !»
Ce qui se passe, c'est le retour par la fenêtre de tous les tabous à la con
que la médecine avait réussi à mettre à la porte.
Je ne vous imaginais pas réactionnaire à ce point !
Un progressiste analyserait la polémique invitant à mieux appliquer
la loi Kouchner comme une demande d'en finir avec une médecine
paternaliste et opaque (le savoir devenu "pouvoir médical" vilipendé
par les gens de gauche naguère) au profit d'une médecine moderne
transparente et conviviale.
http://www.topsante.com/medecine/medecine-divers/droits-des-patients/des-etudiants-en-medecine-pratiqueraient-des-touchers-vaginaux-a-l-insu-des-patientes-76329
Dans son message précédent, jr a écrit :D'une part il n'y a plus d'externes, d'autre part tous les étudiants
hospitaliers qu'on surnomme encore comme ça doivent faire un de leurs
stages en gynéco, parmi quelques autres spécialités obligatoires.
Carone Burillon doyenne de l'UFR de médecine Lyon-Sud déclare :
« Les médecins n'abusent pas de la personne qui est endormie.
On travaille ensemble et à l'occasion de la chirurgie, l'interne
et l'externe vont apprendre. »
Les “étudiants hospitaliers” (statut du décret du 8 Octobre 1970)
sont toujours appelés externes...
Ceci dit, dans un monde idéal où les hôpitaux recevraient les dotations
qu'ils demandent, on pourrait utiliser des mannequins réalistes
reproduisant les caractéristiques anatomiques et physiologiques H et F.
Pin-pon! Et avec toutes les pathologies possibles dans toutes leurs formes,
bien entendu:) j'espère bien que mes médecins seront, eux, formés sur de la
chair malade.
Plusieurs facs de médecine enseignent de la sorte, suivant en cela
les recommandations de la Haute Autorité de Santé : « jamais la première
fois sur un patient !»Ce qui se passe, c'est le retour par la fenêtre de tous les tabous à la con
que la médecine avait réussi à mettre à la porte.
Je ne vous imaginais pas réactionnaire à ce point !
Un progressiste analyserait la polémique invitant à mieux appliquer
la loi Kouchner comme une demande d'en finir avec une médecine
paternaliste et opaque (le savoir devenu "pouvoir médical" vilipendé
par les gens de gauche naguère) au profit d'une médecine moderne
transparente et conviviale.
http://www.topsante.com/medecine/medecine-divers/droits-des-patients/des-etudiants-en-medecine-pratiqueraient-des-touchers-vaginaux-a-l-insu-des-patientes-76329
Il me semble qu'on pourrait esquiver toute cette polémique en incluant
dans la liasse de documents que signe le patient une clause l'informant
qu'il est susceptible de subir des touchers liés à sa pathologie,
lorsqu'il sera anesthésié, si le chirurgien l'estime nécessaire,
et qu'il accepte d'avance que ceux-ci soient effectués par tout membre
de l'équipe chirurgicale.
Il me semble qu'on pourrait esquiver toute cette polémique en incluant
dans la liasse de documents que signe le patient une clause l'informant
qu'il est susceptible de subir des touchers liés à sa pathologie,
lorsqu'il sera anesthésié, si le chirurgien l'estime nécessaire,
et qu'il accepte d'avance que ceux-ci soient effectués par tout membre
de l'équipe chirurgicale.
Il me semble qu'on pourrait esquiver toute cette polémique en incluant
dans la liasse de documents que signe le patient une clause l'informant
qu'il est susceptible de subir des touchers liés à sa pathologie,
lorsqu'il sera anesthésié, si le chirurgien l'estime nécessaire,
et qu'il accepte d'avance que ceux-ci soient effectués par tout membre
de l'équipe chirurgicale.
Ben, voilà. Comme chez le notaire : on le laisse lire la liasse, la
signer et basta :-)
Recueillir le consentement des patients avant toute intervention sur
leur corps, c'est-y-pas mieux?
Ben, voilà. Comme chez le notaire : on le laisse lire la liasse, la
signer et basta :-)
Recueillir le consentement des patients avant toute intervention sur
leur corps, c'est-y-pas mieux?
Ben, voilà. Comme chez le notaire : on le laisse lire la liasse, la
signer et basta :-)
Recueillir le consentement des patients avant toute intervention sur
leur corps, c'est-y-pas mieux?
Thomas wrote:Dominique G. a formulé la demande :Je ne suis pas bégueule mais j'avais une amie qui
C'est fou comme c'est pratique, l'expression "j'ai une amie qui" pour
faire passer des idées incongrues.bossait comme
infirmière au CHU de Clermont-Ferrand et ce qu'elle m'avait raconté sur
les pratiques de certains médecins en salle d'op', sur des jeunes femmes
ou des mineures endormies (comme de vérifier leur virginité avec un
doigt, pour rigoler) ou le fait qu'une infirmière _devait_ coucher pour
ne pas se retrouver en gériatrie à torcher les grabataires (ma copine
s'est retrouvée un an dans ce service alors qu'elle avait une spécialité
en chirurgie) m'avait particulièrement écœurée.
Et c'est cette même pétasse de Dominique qui traite ensuite autrui de
parano.
Vous aimez les touchers rectaux, vous?
"On est venu nous chercher et on nous a dit : 'ce patient a une grosse
prostate, on la sent bien au touché ; c'est l'occasion'. Nous y sommes
tous passés ».
Les uns après les autres, les externes ont donc examiné la prostate du
patient endormi grâce à un toucher rectal, raconte Julie. « Je n'ai pas
osé refuser, car c'était mon premier stage d'externat, et il y a une
telle hiérarchie… J'ai dit que je n'étais pas à l'aise, on m'a répondu :
'ne t'en fais pas, il ne sent rien'. Je me sentais vraiment mal, j'avais
l'impression que nous violions tous, à la chaine, l'intimité et le corps
du patient."
<http://www.pourquoidocteur.fr/Des-medecins-pratiquent-des-touchers-vaginaux-a-l-insu-des-patientes-9697.html>
Thomas <ThxxxGr@gmail.com> wrote:
Dominique G. a formulé la demande :
Je ne suis pas bégueule mais j'avais une amie qui
C'est fou comme c'est pratique, l'expression "j'ai une amie qui" pour
faire passer des idées incongrues.
bossait comme
infirmière au CHU de Clermont-Ferrand et ce qu'elle m'avait raconté sur
les pratiques de certains médecins en salle d'op', sur des jeunes femmes
ou des mineures endormies (comme de vérifier leur virginité avec un
doigt, pour rigoler) ou le fait qu'une infirmière _devait_ coucher pour
ne pas se retrouver en gériatrie à torcher les grabataires (ma copine
s'est retrouvée un an dans ce service alors qu'elle avait une spécialité
en chirurgie) m'avait particulièrement écœurée.
Et c'est cette même pétasse de Dominique qui traite ensuite autrui de
parano.
Vous aimez les touchers rectaux, vous?
"On est venu nous chercher et on nous a dit : 'ce patient a une grosse
prostate, on la sent bien au touché ; c'est l'occasion'. Nous y sommes
tous passés ».
Les uns après les autres, les externes ont donc examiné la prostate du
patient endormi grâce à un toucher rectal, raconte Julie. « Je n'ai pas
osé refuser, car c'était mon premier stage d'externat, et il y a une
telle hiérarchie… J'ai dit que je n'étais pas à l'aise, on m'a répondu :
'ne t'en fais pas, il ne sent rien'. Je me sentais vraiment mal, j'avais
l'impression que nous violions tous, à la chaine, l'intimité et le corps
du patient."
<http://www.pourquoidocteur.fr/Des-medecins-pratiquent-des-touchers-vaginaux-a-l-insu-des-patientes-9697.html>
Thomas wrote:Dominique G. a formulé la demande :Je ne suis pas bégueule mais j'avais une amie qui
C'est fou comme c'est pratique, l'expression "j'ai une amie qui" pour
faire passer des idées incongrues.bossait comme
infirmière au CHU de Clermont-Ferrand et ce qu'elle m'avait raconté sur
les pratiques de certains médecins en salle d'op', sur des jeunes femmes
ou des mineures endormies (comme de vérifier leur virginité avec un
doigt, pour rigoler) ou le fait qu'une infirmière _devait_ coucher pour
ne pas se retrouver en gériatrie à torcher les grabataires (ma copine
s'est retrouvée un an dans ce service alors qu'elle avait une spécialité
en chirurgie) m'avait particulièrement écœurée.
Et c'est cette même pétasse de Dominique qui traite ensuite autrui de
parano.
Vous aimez les touchers rectaux, vous?
"On est venu nous chercher et on nous a dit : 'ce patient a une grosse
prostate, on la sent bien au touché ; c'est l'occasion'. Nous y sommes
tous passés ».
Les uns après les autres, les externes ont donc examiné la prostate du
patient endormi grâce à un toucher rectal, raconte Julie. « Je n'ai pas
osé refuser, car c'était mon premier stage d'externat, et il y a une
telle hiérarchie… J'ai dit que je n'étais pas à l'aise, on m'a répondu :
'ne t'en fais pas, il ne sent rien'. Je me sentais vraiment mal, j'avais
l'impression que nous violions tous, à la chaine, l'intimité et le corps
du patient."
<http://www.pourquoidocteur.fr/Des-medecins-pratiquent-des-touchers-vaginaux-a-l-insu-des-patientes-9697.html>
Dominique G. a pianoté sur son clavier :Ben, voilà. Comme chez le notaire : on le laisse lire la liasse, la
signer et basta :-)
Recueillir le consentement des patients avant toute intervention sur
leur corps, c'est-y-pas mieux?
Application de l'art L 1111-4 Al 7 du code de la santé publique :
« L'examen d'une personne malade dans le cadre d'un enseignement
clinique requiert son consentement préalable.»
Mais pour être juridiquement correct, il faut bien une signature
de l'intéressé ou à défaut de sa famille, du tuteur ou d'une personne
de confiance prédésignée, hormis les cas d'urgence.
Dominique G. a pianoté sur son clavier :
Ben, voilà. Comme chez le notaire : on le laisse lire la liasse, la
signer et basta :-)
Recueillir le consentement des patients avant toute intervention sur
leur corps, c'est-y-pas mieux?
Application de l'art L 1111-4 Al 7 du code de la santé publique :
« L'examen d'une personne malade dans le cadre d'un enseignement
clinique requiert son consentement préalable.»
Mais pour être juridiquement correct, il faut bien une signature
de l'intéressé ou à défaut de sa famille, du tuteur ou d'une personne
de confiance prédésignée, hormis les cas d'urgence.
Dominique G. a pianoté sur son clavier :Ben, voilà. Comme chez le notaire : on le laisse lire la liasse, la
signer et basta :-)
Recueillir le consentement des patients avant toute intervention sur
leur corps, c'est-y-pas mieux?
Application de l'art L 1111-4 Al 7 du code de la santé publique :
« L'examen d'une personne malade dans le cadre d'un enseignement
clinique requiert son consentement préalable.»
Mais pour être juridiquement correct, il faut bien une signature
de l'intéressé ou à défaut de sa famille, du tuteur ou d'une personne
de confiance prédésignée, hormis les cas d'urgence.
Le 04/02/2015 10:55, Dominique G. a écrit :
>> S'il s'agissait du nez ou de l'oreille, ça
>> ne ferait pas le buzz. Le patient ne sent rien, les étudiants étudient,
>> il n'y a pas de séquelle, il y a le secret médical qui couvre la
>> découverte d'une petite bite, quel est le préjudice exactement?
>
> La notion de consentement vous échappe-t-elle à ce point?
Il s'agit d'opérations dans des CHRU avec U comme universitaire, ou des
établissements habilités à recevoir des étudiants en formation.
Il y a statutairement des gens qui ne sont là que pour s'exercer sous le
contrôle de gens qui savent. Aller là-dedans, c'est consentir à la
présence d'étudiants actifs.
Chacun d'eux va forcément y faire ses premières fois, premières ponctions
lombaires, premières palpations de seins, premiers touchers. S'il y a une
belle grosseur dans le sein, ou un beau click à l'auscultation, c'est pas
plus mal pour les malades suivants que l'étudiant passe après le patron
(ou lui fasse vérifier).
En tous cas je ne vois pas comment il peut apprendre autrement. Et comme
beaucoup je suppose, moi je préfère être opéré par quelqu'un qui a de
l'expérience in vivo plutôt que sur mannequin.
Mais je sens bien que, quand ça se passe sous la ceinture, la gestion du
buzz va créer plus de complications que quand il s'agit de tumeurs du
coude.
Rien que l'idée qu'on puisse toucher aux
lieux-sacrés-dont-le-nom-seul-est-un-gros-mot est en soi une agression,
que dis-je, un viol. Aggravé. En réunion, personne ayant autorité, tout
ça. Faudrait prévoir des caméras face au cul pour filmer ce qui s'y passe
quand on est endormi. S'assurer que tout est fait par des gens de même
sexe et de même sexualité. Prévoir un correspondant éthique-sexuelle dans
chaque équipe qui opère. Pouvoir porter plainte 20 ans après la majorité
quand on a été opéré bébé.
Après il y a la narration de l'histoire. "Nous y sommes tous passés [au
toucher rectal]" Ooooh, ça fait abattage. Ils étaient "trois ou quatre"
Booof.
Et, à part les souvenir de Julie 23 ans qui ne sont en fait pas
scandaleux, personne n'a entendu parler d'abus de ce côté là. Ni
plaintes, ni remontées dans les comités d'éthique, ni rien au conseil de
l'Ordre. Juste une enquête dans pourquoidocteur qui nous informe aussi
sur les bienfaits du régime méditerranéen.
Le 04/02/2015 10:55, Dominique G. a écrit :
>> S'il s'agissait du nez ou de l'oreille, ça
>> ne ferait pas le buzz. Le patient ne sent rien, les étudiants étudient,
>> il n'y a pas de séquelle, il y a le secret médical qui couvre la
>> découverte d'une petite bite, quel est le préjudice exactement?
>
> La notion de consentement vous échappe-t-elle à ce point?
Il s'agit d'opérations dans des CHRU avec U comme universitaire, ou des
établissements habilités à recevoir des étudiants en formation.
Il y a statutairement des gens qui ne sont là que pour s'exercer sous le
contrôle de gens qui savent. Aller là-dedans, c'est consentir à la
présence d'étudiants actifs.
Chacun d'eux va forcément y faire ses premières fois, premières ponctions
lombaires, premières palpations de seins, premiers touchers. S'il y a une
belle grosseur dans le sein, ou un beau click à l'auscultation, c'est pas
plus mal pour les malades suivants que l'étudiant passe après le patron
(ou lui fasse vérifier).
En tous cas je ne vois pas comment il peut apprendre autrement. Et comme
beaucoup je suppose, moi je préfère être opéré par quelqu'un qui a de
l'expérience in vivo plutôt que sur mannequin.
Mais je sens bien que, quand ça se passe sous la ceinture, la gestion du
buzz va créer plus de complications que quand il s'agit de tumeurs du
coude.
Rien que l'idée qu'on puisse toucher aux
lieux-sacrés-dont-le-nom-seul-est-un-gros-mot est en soi une agression,
que dis-je, un viol. Aggravé. En réunion, personne ayant autorité, tout
ça. Faudrait prévoir des caméras face au cul pour filmer ce qui s'y passe
quand on est endormi. S'assurer que tout est fait par des gens de même
sexe et de même sexualité. Prévoir un correspondant éthique-sexuelle dans
chaque équipe qui opère. Pouvoir porter plainte 20 ans après la majorité
quand on a été opéré bébé.
Après il y a la narration de l'histoire. "Nous y sommes tous passés [au
toucher rectal]" Ooooh, ça fait abattage. Ils étaient "trois ou quatre"
Booof.
Et, à part les souvenir de Julie 23 ans qui ne sont en fait pas
scandaleux, personne n'a entendu parler d'abus de ce côté là. Ni
plaintes, ni remontées dans les comités d'éthique, ni rien au conseil de
l'Ordre. Juste une enquête dans pourquoidocteur qui nous informe aussi
sur les bienfaits du régime méditerranéen.
Le 04/02/2015 10:55, Dominique G. a écrit :
>> S'il s'agissait du nez ou de l'oreille, ça
>> ne ferait pas le buzz. Le patient ne sent rien, les étudiants étudient,
>> il n'y a pas de séquelle, il y a le secret médical qui couvre la
>> découverte d'une petite bite, quel est le préjudice exactement?
>
> La notion de consentement vous échappe-t-elle à ce point?
Il s'agit d'opérations dans des CHRU avec U comme universitaire, ou des
établissements habilités à recevoir des étudiants en formation.
Il y a statutairement des gens qui ne sont là que pour s'exercer sous le
contrôle de gens qui savent. Aller là-dedans, c'est consentir à la
présence d'étudiants actifs.
Chacun d'eux va forcément y faire ses premières fois, premières ponctions
lombaires, premières palpations de seins, premiers touchers. S'il y a une
belle grosseur dans le sein, ou un beau click à l'auscultation, c'est pas
plus mal pour les malades suivants que l'étudiant passe après le patron
(ou lui fasse vérifier).
En tous cas je ne vois pas comment il peut apprendre autrement. Et comme
beaucoup je suppose, moi je préfère être opéré par quelqu'un qui a de
l'expérience in vivo plutôt que sur mannequin.
Mais je sens bien que, quand ça se passe sous la ceinture, la gestion du
buzz va créer plus de complications que quand il s'agit de tumeurs du
coude.
Rien que l'idée qu'on puisse toucher aux
lieux-sacrés-dont-le-nom-seul-est-un-gros-mot est en soi une agression,
que dis-je, un viol. Aggravé. En réunion, personne ayant autorité, tout
ça. Faudrait prévoir des caméras face au cul pour filmer ce qui s'y passe
quand on est endormi. S'assurer que tout est fait par des gens de même
sexe et de même sexualité. Prévoir un correspondant éthique-sexuelle dans
chaque équipe qui opère. Pouvoir porter plainte 20 ans après la majorité
quand on a été opéré bébé.
Après il y a la narration de l'histoire. "Nous y sommes tous passés [au
toucher rectal]" Ooooh, ça fait abattage. Ils étaient "trois ou quatre"
Booof.
Et, à part les souvenir de Julie 23 ans qui ne sont en fait pas
scandaleux, personne n'a entendu parler d'abus de ce côté là. Ni
plaintes, ni remontées dans les comités d'éthique, ni rien au conseil de
l'Ordre. Juste une enquête dans pourquoidocteur qui nous informe aussi
sur les bienfaits du régime méditerranéen.
Vous croyez que je peux vous mettre dans une cage avec Navis pour voir
si vous allez vous accoupler en public?
Vous croyez que je peux vous mettre dans une cage avec Navis pour voir
si vous allez vous accoupler en public?
Vous croyez que je peux vous mettre dans une cage avec Navis pour voir
si vous allez vous accoupler en public?
Dominique G. a exposé le 05/02/2015 :Vous croyez que je peux vous mettre dans une cage avec Navis pour voir
si vous allez vous accoupler en public?
L'exposé récurrent de vos fantasmes associés à des projections
freudiennes trahit la nature et l'ampleur de vos frustrations.
Dominique G. a exposé le 05/02/2015 :
Vous croyez que je peux vous mettre dans une cage avec Navis pour voir
si vous allez vous accoupler en public?
L'exposé récurrent de vos fantasmes associés à des projections
freudiennes trahit la nature et l'ampleur de vos frustrations.
Dominique G. a exposé le 05/02/2015 :Vous croyez que je peux vous mettre dans une cage avec Navis pour voir
si vous allez vous accoupler en public?
L'exposé récurrent de vos fantasmes associés à des projections
freudiennes trahit la nature et l'ampleur de vos frustrations.